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Le choix de l’incarnation

Posté par othoharmonie le 20 février 2014

images (8)Salutations à vous, chers enfants de la Terre,

Il nous fait plaisir de revenir vers vous en ce jour et de poursuivre notre enseignement sur la reconnaissance inconditionnelle de soi (voir autre texte http://www.psychologiedelame.com/message-16-12-11.html). Bien qu’en apparence secondaire, cette quête de reconnaissance extérieure anime les humains tout au long de leur parcours de vie. Si un Être n’arrive pas à l’obtenir de façon inconditionnelle, ce qui stimulerait alors son plein potentiel, il cherchera à être reconnu en tentant de découvrir ce qu’il doit faire pour y parvenir, ce qu’on attend de lui. C’est à partir de là que l’Être s’éloignera de sa vérité profonde en cherchant continuellement à s’adapter à son monde extérieur pour être aimé.

Il faut comprendre que fondamentalement, un Être humain cherche à reproduire à son échelle une sensation plus profonde ressentie par son Âme. Il cherche à être aimé pour la force de vie qui l’anime et qui le relie à l’Univers. Il cherche à être aimé parce qu’il est unique, qu’il respire et qu’à travers son souffle, c’est l’Univers tout entier qui s’exprime. Il cherche à s’unir à l’Univers en expérimentant l’amour inconditionnel que son Âme ressent de façon naturelle. Celle-ci existe en tant que parcelle de vie universelle, unie consciemment à l’Univers dans son ensemble.

En choisissant de s’incarner, tous les Êtres traversent d’abord une étape fondamentale d’oubli de qui ils sont, processus essentiel leur permettant de redécouvrir leur nature véritable par la suite. Une fois le processus d’oubli amorcé, les souvenirs subtils de l’Univers que les Êtres conservent leur suggèrent inconsciemment que s’ils ne sont plus unis à cet Univers d’amour, c’est parce que quelque chose en eux n’était pas apprécié. Sans s’en rendre compte, les humains ont interprété que la dimension unique de leur Être n’était pas appréciée de l’Univers. Ils se sont imaginé qu’ils ont été punis pour quelque chose dont ils n’ont plus aucun souvenir.

À partir de ce principe présenté simplement, il faut comprendre que les Êtres humains ont voulu être acceptés, tout en portant en eux la peur fondamentale de ne pas l’être. Et donc naturellement, lorsqu’ils se retrouvent devant les autres, ils reproduisent cette thématique, c’est-à-dire qu’ils chercheront à plaire pour être reconnus et aimés, tout en craignant de ne pas l’être. Et leur peur de ne pas être reconnu sera telle que s’ils n’y sont pas attentifs, ils chercheront à connaître ce que l’on attend d’eux et à y répondre, afin de s’assurer d’obtenir l’amour qu’ils recherchent si vivement dans l’incarnation. Et lorsque celui-ci n’est pas inconditionnel, l’Être se contentera d’un amour conditionnel, car l’envie d’être aimé est plus forte que tout.

Comprenez chers amis que s’il y a eu cette inversion, c’est-à-dire que si les Êtres ont priorisé l’envie d’être aimé et reconnu extérieurement avant de s’offrir la reconnaissance intérieure inconditionnelle, c’est parce qu’ils ont eu l’impression que quelque chose en eux ne méritait pas d’être aimé.

 

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle – lire la suite ici : www.psychologiedelame.com

 

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LES 12 CORPS

Posté par othoharmonie le 20 février 2014

 

 

images (7)Tout ce qui a eu un commencement aura une fin.  Mais cette succession d’enveloppes éphémères n’est-elle pas le simple résultat de la rencontre perpétuelle entre une énergie particulière, un individu et l’énergie contraire, le reste de l’univers, chacune prenant conscience de l’autre?  Vos corps sont éphémères mais sont la cause première d’une succession de prises de conscience.  C’est parce que vos corps se transforment continuellement que votre conscience est en perpétuelle évolution.  

Votre premier corps, le corps physique, a atteint un niveau de développement de stabilité tel qu’il est devenu votre point de référence, votre univers le plus palpable et pour certains, la seule réalité.  

Mais même si votre corps physique est votre référence de base et appartient à un univers fait des mêmes particularités, il faut que vous sachiez dès maintenant ceci.  En raccourci, un individu, pour avoir conscience d’exister et pour pouvoir évoluer, a besoin d’au moins trois corps fonctionnels selon la loi des nombres.  Les deux premiers, en interagissant, créent le troisième.  Pour survivre en tant que personnalité à la mort du premier, il en faut un quatrième.  Sur la terre, les humains ont la possibilité de développer trois autres corps pour un total de sept.  Mais l’évolution dans votre  univers connu vous donne un potentiel de douze corps.  Chacun de ces corps est associé à un monde précis qui possède sa gamme précise de manifestations.

 Mais voici en premier, la liste de ces corps et leurs définitions selon votre situation et votre évolution.  Le sens de l’échelle de votre évolution est en fait une involution, un retour vers son origine.

 Vous pouvez les lire à rebours pour mieux comprendre le cheminement des êtres de lumière qui se répandent dans les mondes plus obscurs.

 Le premier est le corps physique, ou mieux appelé le corps sensitif, le plus dense de votre univers connu.  Il est néanmoins mobile et le siège des sensations et des perceptions brutes les plus adéquates pour expérimenter votre univers, un des plus éloignés du centre.  Il est donc le reflet stable de votre univers et en a la même composition.  A rebours, il est apte à saisir les émanations individuelles des matières denses dans une atmosphère où l’énergie est raréfiée donc peu conductrice, peu reliante.

 Le deuxième est le corps émotionnel qui varie de la texture de l’eau à celle du nuage.  Il est le siège des flots d’émotions qui donnent à l’être un début de personnalité, ce mélange de l’individu et de sa perception de son environnement.  Il est donc le reflet plus ou moins stable d’un univers fait de réactions internes face à l’extérieur.  A rebours, il est apte à ressentir les forces, les courants  primordiaux qui relient ou font entrechoquer les éléments.  Il est sensible aux changements rapides et extrêmes de fréquences autant en densité, en intensité ou en durée et à leurs pouvoirs d’attraction ou de répulsion.

 Le troisième est le corps mental qui varie du souffle de la tempête à la brise légère.  Il est le siège des pensées qui donne à l’être un début de conscience, ce mélange d’émotions qui se réfléchissent sur elles-mêmes.  Il est donc le reflet changeant d’un univers en perpétuelle remise en question mais qui établit néanmoins des premiers constats.  A rebours, il est apte à réfléchir sur les fonctions des êtres et des choses;  sur leurs motivations profondes et leurs intentions complexes qui rendent chaque entité unique. 

Le quatrième est le corps sentimental qui varie du coup de tonnerre au sifflement du vent.  Il est le siège des sentiments qui donnent à l’être un début de prolongement, ce mélange de pensées cycliques qui créent la perception du temps.  Il est donc le reflet rythmique d’un univers qui tend vers la permanence de son ensemble.  A rebours, il est apte à élaborer sur les grandes catégories, les distinctions, les particularités qui animent chaque espèce de vie.  Il peut classifier et ainsi mieux comprendre son environnement pour agir plus efficacement. 

Le cinquième est le corps amoureux qui varie de l’éclair à l’arc-en-ciel.  Il est le siège de l’amour qui donne à l’être ce besoin de se reconnaître, ce mélange de sentiments personnels qu’on recherche à l’extérieur.  C’est le début du désir de s’unir à l’autre pour retrouver l’unité originelle.  Il est donc le reflet d’un univers complexe qui va de l’harmonie entre ses parties jusqu’à la recherche de l’union complète de ses éléments.  A rebours, il est apte à capter les liens entre les êtres et les choses pour mieux apprécier la vaste gamme de nuances, de variations qui se manifestent à travers eux. 

Le sixième est le corps conceptuel.  Il est celui des concepts, des symboles qui ressortent des expériences des cinq premiers corps.  Il explore l’ensemble des principes, des lois,  des équations à l’origine des multiples interrelations entre les formes et leurs rôles essentiels pour comprendre l’univers.  Il amène la conscience à son apogée dans la matière et à une première compréhension de la perfection universelle.  A rebours, il est apte à comprendre les archétypes, les fondements qui lui permettent de structurer son cheminement dans la matière d’une façon plus cohérente. 

Le septième est le corps transcendantal.  Il est la transcendance de toutes les expériences, l’assimilation de l’ensemble, des concepts jusqu’à la découverte de l’essence de toutes choses;   le multiple qui redevient un et réalise l’être éternel.  A cette étape, on peut se délester de son corps physique sans perdre pour autant une seule fraction de sa conscience globale.  Avant la formation du premier niveau de ce corps, la mort peut affecter l’héritage des autres corps.  Son univers s’ouvre sur des horizons aux perspectives radicalement nouvelles.  A rebours, il est apte à percevoir les  variations de fréquences qui le différencient nettement des autres entités. 

Le huitième est le corps universel.  Il est une fréquence spécifique et unique obtenue par  l’harmonisation des sept premiers corps.  Les corps se fondent littéralement l’un dans l’autre pour créer un diapason qui permet de faire tomber des frontières entre les mondes parallèles.  Les déplacements conscients d’un monde à l’autre deviennent  possibles.  A rebours, il permet l’exploration de mondes inconnus, variés et la découverte de leurs richesses. 

Le neuvième est le corps révolutionnaire.  Il est la force d’intention liant les sept premiers corps qui prend son essor et augmente son taux vibratoire jusqu’à accélérer le processus d’évolution à révolution.  C’est une explosion dans toutes les directions qui accélère la prise de conscience globale.  Son univers se déploie et englobe une vastitude.  A rebours, il se voit comme une entité différente par rapport à l’extérieur et est apte à se définir par comparaison avec le non-soi. 

Le dixième est le corps rayonnant.  Il est un nouvel équilibre obtenu par une vitesse super évolutive qui atteint une stabilité.  Sa vitesse est si rapide qu’il est perçu comme statique dans sa perpétuelle expansion.  L’évolution semble même n’être qu’une illusion. Son univers n’a plus de limite perceptible mais seulement celle de sa conscience.  A rebours, il interagit avec lui-même et est apte à percevoir des variations de temps dans ses propres réactions internes. 

Le onzième est le corps unique.  Il est la disparition de tout corps palpable, de toute perception étrangère à lui.  Il est l’unité consciente s’exprimant en harmonie avec elle-même.  Son univers est l’immensité de son “je suis”.   A rebours, il se perçoit comme unique et complexe à la fois. 

Le douzième est le corps essentiel.  Il est l’intégralité parfaite qui se contemple dans sa réalisation.  Son univers est le ici, maintenant.  A rebours, il est le Divin qui prend conscience de son individualité, de sa présence dans l’univers. 

Cette description de chaque corps peut vous sembler pour l’instant ardue mais leur compréhension se fera lentement avec la suite de mes exposés. Chacun de ces douze corps évolue, dans un univers, un champ de perception qui lui est propre. Cela constitue la gamme possible de l’évolution qui va du corps le plus dense à celui le plus éthéré donc de l’univers le plus éloigné du centre jusqu’à l’univers le plus proche du centre.  Comme il y a trois temps à toute chose, l’aller, le retour et l’arrêt, on suppose qu’il y a douze autres corps différents stationnaires dans le centre de l’univers et douze autres corps différents descendant dans ce que vous appelez l’envers de l’univers (l’antimatière).  Le sujet sera élaboré ultérieurement. 

Sachez cependant tout de suite que cela fait trente-six univers à traverser afin d’accomplir un cycle, une boucle complète.  Chaque univers particulier se divise en douze niveaux principaux d’évolution se divisant à leur tour chacun en trois à douze paliers.  Ce qui sous-entend que dans un type de corps précis, cela prend un minimum de trente-six vies à cent quarante-quatre vies environ (12 x 3 à 12 x 12) pour faire le tour complet de l’univers qui lui est associé.  Plus les corps deviennent complexes et subtils, plus leurs espérances de vie s’allongent.

 

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Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

 

 

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