Le reiki, source d’énergie
Posté par othoharmonie le 28 février 2014
En Japonais, Rei signifie source et Ki signifie énergie. Découvert au 19e siècle par un médecin japonais, le reiki nous apprend à écouter notre corps et à nous détendre. Efficace et doux, nous l’avons testé pour vous…
Créé au 19e siècle par Mikao Usui, un professeur de médecine de Kyoto, il permet de faire circuler l’énergie dans le corps grâce à l’imposition des mains sur des zones bien définies. Le reiki ne se substitue pas à la médecine « traditionnelle » mais permet un mieux-être en cas de stress ou de douleurs en traitant la zone concernée. Egalement compatible avec des techniques comme la réflexologie plantaire, il en accentue les effets. Pour donner le reiki, il faut faire le calme dans sa tête – rassurez-vous, cela s’apprend ! On appel « canal », la personne qui administre le reiki : elle ferme les yeux et commence le traitement en posant les mains environ trois minutes par zone. La personne qui reçoit le reiki ferme également les yeux et se détend. Les picotements et la chaleur sont des exemples de sensations possibles tout au long de la séance. Cela permet de relâcher toutes les tensions et de se mettre à l’écoute de son corps.
Le reiki, pour qui, pourquoi ?
Tout le monde peut recevoir le reiki : du nourrisson à la personne en fin de vie. Cette technique très douce peut même être pratiquée à quelques centimètres de la zone du corps si elle est sensible. Sa pratique peut avoir lieu en cas d’urgence : blessure ou crise d’angoisse seront vite traitées. Il n’est pas nécessaire de se déshabiller, ce est pratique les plus pudiques d’entre-nous. Si le consultant dispose d’une vingtaine de minutes, il est possible de recevoir un traitement complet, assis sur une chaise. On peut bien sûr s’autotraiter en posant ses mains sur une zone que l’on veut décontracter.
Autres usages du reiki
Moins connus mais tout aussi efficaces, ils s’adaptent à votre vie quotidienne.
En effet, on peut donner le reiki à un animal. Votre chien ou votre chat bénéficiera d’un moment de détente. S’il s’enfuit alors que vous tentez de le traiter, c’est qu’il n’en a pas besoin. En revanche, s’il se laisse faire, il reviendra certainement vous faire comprendre qu’il est prêt à renouveler l’expérience.
J’ai franchi le pas : j’ai passé mon premier degré
J’ai testé le reiki une ou deux fois en tant que consultante. J’ai très vite eu envie d’être initiée afin d’en recevoir les bienfaits et le faire découvrir à mes proches. J’ai aussitôt convaincu mon chéri, un grand sceptique, de me suivre dans l’aventure ! Nous avons suivi un stage de deux jours loin des centres commerciaux bondés, du ciné et du foot ! Formés par Françoise Goubert, Maître reiki au Cannet, nous avons pu nous relaxer totalement en recevant quatre rituels d’initiation (imposition des mains) entrecoupés de séances de méditation. Nous ne l’avions jamais pratiquée auparavant et nous avons essayé de sentir ce qu’est le « lâcher prise »…C’est assez difficile mais ce n’est pas insurmontable. De plus, apprendre à donner le reiki est une expérience très gratifiante. Depuis, nous nous entraînons mutuellement à traiter une personne assise. Cependant, l’apprentissage est long et passe par l’obtention de deux autres degrés… Le maître mot est la patience. D’ailleurs, il est conseillé d’attendre au moins trois mois entre les différentes étapes, le temps de digérer cette initiation en douceur …
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