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Conversation de l’au-delà avec une personne suicidée

Posté par othoharmonie le 11 mars 2014

 

« Je m’appelle Ricky » a-t-il dit.

images (13)En désignant sa mère près de Rosemary Altea, il a alors éclaté en sanglot, soulagé d’avoir enfin pu franchir la barrière séparant les deux mondes. Quand il s’est calmé, il a pu s’exprimer. Peu à peu, il a vaincu sa répugnance et il s’est montré très direct, doté d’une forte personnalité.

Ricky a commencé par décrire un appentis de jardin qui se dressait depuis des années sur le terrain de sa maison de famille. La maison elle-même ancienne, était construite en briques. Il adorait cette bâtisse…

Les personnes qui se sont suicidées ont souvent du mal à expliquer comment elles s’y sont prise, car elles ignorent encore la plupart du temps la raison de leur geste. Le suicide ne résout rien, même lorsque l’on est malade, car les problèmes rencontrés dans la vie quotidienne sont des obstacles à franchir. Quoi que nous fassions, qui que nous soyons, que nous nous trouvions de ce côté ou de l’autre, ces problèmes se dresseront devant nous. C’est notre manière de les affronter, notre état d’esprit, qui déterminent la taille de ces obstacles ou leur caractère plus ou moins insurmontable. La mort ne nous change pas et nos problèmes nous accompagnent.

Nous devrions tous essayer de réfléchir de façon positive. Notre vie sur terre a un but : apprendre, faire le plus de découvertes possibles sur la véritable nature de notre esprit et sur l’importance de notre moi spirituel. Ricky aurait dû le réaliser et comprendre que sa bataille serait d’autant plus difficile qu’il avait infligé une peine terrible à sa famille par son acte.

Ricky s’intéressait beaucoup à la mode. Les vêtements avaient beaucoup d’importance à ses yeux. Le jour de sa mort, il se souvenait de la maire de chaussures qu’il avait achetée une semaine avant sa mort et qu’il décrit avec précision, ce qui a fourni à sa mère la preuve indubitable qu’il était encore en vie. Des chaussures très particulières, en raison de leur couleur très pâle que Ricky trouvait splendide. Ce détail a éclairé le visage de mère, jusque-là douloureux, d’un sourire larmoyant. Très vite, elle s’est mise à rire de la description que faisait Ricky de ses excentricités. Détendu, beaucoup plus confiant, Ricky a alors pu confier beaucoup de choses sur lui et sa famille. Il n’a pas dit que son suicide était une erreur. On percevait ses remords, l’inquiétude que lui inspirait sa famille et on comprenait que son évolution, le développement de son âme, allaient être entravés tant qu’il n’accepterait pas son geste. Mais il faut savoir que nombreux sont ceux dans le monde des esprits désireux de l’aider à vaincre ses difficultés et que lorsqu’il sera prêt à recevoir leur aide, il lui suffira de la leur demander.

Madame Jones, la mère de Ricky sait dorénavant que son fils est vivant, mais la tristesse ne l’a pas quittée. Elle et son mari vivent dans l’obscurité car la lumière s’est éteinte dans leurs vies. De temps en temps, cette lumière est cependant ranimée, lorsqu’ils souviennent du fils qu’ils aimaient, qu’ils ont perdu, mai qui vit toujours ailleurs. Ce sont des détails triviaux, apparemment sans importance, qui ont montré à Madame Jones que son fils est toujours vivant. Sa lumière brille toujours dans un autre monde et elle sait qu’un jour, elle e retrouvera.

Extrait du livre : Une Longue Echelle vers le Ciel – de Rosemary Altea – pages 164-169 – L’extraordinaire témoignage d’une femme qui dialogue avec les défunts.

 

Publié dans Expériences, TRANSFORMATION INTERIEURE | 5 Commentaires »

SAVOIR FAIRE L’AMOUR : union divine

Posté par othoharmonie le 11 mars 2014

 

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Savoir faire l’amour nécessite beaucoup de stabilité psychique, et surtout de constance émotionnelle. Car il s’agit moins de faire l’amour que de le créer.

Ce n’est pas le fait de s’allonger ensemble et de se prodiguer des caresses qui crée l’amour, mais c’est l’intensité de la relation à plusieurs niveaux, sur plusieurs plans à la fois. C’est comme si on demandait à un architecte de bâtir une demeure sans les plans de construction. Alors il ferait, sous le coup de ses désirs, de ses fantasmes ou de son impulsion, une maison de bric et de broc, qui tiendrait… tant que le vent ne se lève. Si vous voulez que l’amour soit durable, mettez-vous bien en tête le plan de construction de ce bel édifice que vous souhaitez voir s’ériger :

Sur quoi se base votre relation ? Voilà qui est important ! Il faut du solide à la base, et cela tu ne peux le savoir que par la patience. Bien connaître l’autre sous tous ses aspects permet la constance dans les sentiments amoureux. Ensuite, vois si nul affect profond ne peut détériorer la relation, d’un côté comme de l’autre. Si rien n’est réglé concernant les couches basses de la psyché, cela rejaillira tôt ou tard, sois-en certain.

Il faut donc parler, communiquer entre vous afin de savoir si l’un ou l’autre a des problèmes importants à résoudre. Ceci concerne les divers étages de votre édifice : il faut qu’aucune fenêtre ne soit fermée définitivement, aucune porte ne doit grincer. Il faut que la lumière entre de toutes parts en vous, que l’harmonie règne partout.

Et maintenant, que faites-vous du toit de votre compréhension mutuelle ? Avez-vous assez de cœur pour pouvoir progresser ensemble sans qu’aucune des poutres maîtresses de votre entendement ne cède ?

 Etes-vous capables l’un et l’autre de vous remettre suffisamment en question à chaque heure du jour ou de la nuit afin que votre demeure de l’esprit laisse passer la

Sagesse et la Divinité ?

Alors oui, si cela est solide, aéré et tenace, si vous êtes prêts l’un et l’autre à évoluer

et grandir ensemble dans le Cœur de Dieu, alors vous pouvez vous aimer de façon grandiose. L’amour physique ne sera qu’un prétexte à votre union divine, sois-en certain. L’extase, la véritable extase, ne s’obtient qu’après avoir construit tout cela entre vous, en vous et avec Dieu en vous. 

Prends une fleur et coupe-la en deux, que reste-t-il ?

Une tige d’un côté, des pétales de l’autre. Voilà à quoi ressemble l’amour lorsqu’il n’est pas fait avec le cœur. Les pétales sont très beaux, mais après quelques temps, ils se fanent. Il est nécessaire de garder la tige dans l’eau pour que cela soit durable. Et si cette tige est reliée à la Terre, alors cela est merveilleux, car à chaque saison de l’Amour tu pourras en apprécier les subtilités et les mouvances sans altérer la beauté de la fleur. Regarde le lotus, n’est-il pas admirable ?

Changeant, mouvant, mais inaltérable fleur de l’amour divin, il puise sa force dans la vase mais ne s’en émeut jamais. Seul le déploiement vers le soleil, vers le ciel, l’intéresse. Il est un témoignage de l’harmonie entre le Ciel et la Terre. Et regarde le banian, cet arbre qui plonge ses branches dans le sol pour se régénérer, lui aussi entretient la même relation avec son Père céleste et sa Mère terrestre.

Voilà l’Amour véritable.

N’oubliez jamais de remercier après l’extase, vous n’y êtes pour pas grand-chose dans ce que vous avez ressenti si les Cieux et la Terre n’y avaient consenti… Il est vrai que cela est difficile en ce monde actuel, si travaillé par les forces de l’ombre. Mais pensez à vos enfants, au futur de l’humanité et ne sombrez pas trop dans l’amour aveugle, la cupidité ou la fange.

Si ces expériences doivent être vécues, elles doivent être dépassées très vite afin que l’Amour véritable puisse revenir dans vos cœurs et se déployer jusqu’au firmament, où votre Père à tous l’attend.

Que faites-vous de Son Amour ? Lui permettez-vous actuellement d’exister dans sa

forme la plus noble, la plus belle de toutes ? Dans votre cœur , oui, mais dans votre corps ?

Faites-Lui une place lorsque vous faites l’amour à celui ou à celle que vous aimez, et rendez grâce pour ce qu’Il vous apporte dans la relation. Remerciez-Le de Son éternelle bonté, aimez-Le comme Il vous aime, notre Père du Ciel. Ressentez Son sourire éternel et sa Joie immense de vous servir et de vous bénir. 

Béni sois-tu, frère de Lumière.

Rends grâce et va dormir en Paix, nous veillons sur ton sommeil. 

 Un Guide

EXTRAIT de : Messages aux frères de Lumière – URIEL et ses frères / issus de Les Livrets bleus de l’Association AQUARIUS par Patrick Giani

Publié dans La Sexualité Sacrée | Pas de Commentaire »

Suicides et/ou peur de la Vie

Posté par othoharmonie le 11 mars 2014

 

images (9)La peur est un phénomène intangible, une émotion illusoire et insidieuse, capable d’occasionner dégâts et destruction si on la laisse se développer. Nous avons pour la plupart, plus ou moins peur de la mort ; n’est-elle pas considérée comme le grand «inconnu » ? Cela n’empêche pas nombre d’entre nous d’avoir également peur de la vie, de l’échec, de la compétition avec nos semblables, peur aussi d’effectuer le pas qui nous fera prendre le virage et affronter « l’inconnue ».

Au cours de mon existence, j’ai traversé des périodes où j’avais peur de vivre et peur de mourir, et c’est ma connaissance du monde et des rouages de l’univers qui me donne l’audace d’exister, le courage d’être moi-même avec sérénité, la capacité d’aller de l’avant, à la rencontre des nombreux défis que la vie nous apporte.

Les anciens, les grands-pères, les Indiens d’Amérique, croyaient que chaque individu détient en lui le pouvoir de l’univers et qu’il peut choisir d’en faire ce qu’il veut. Comme leurs homologues d’autres cultures, ils avaient une compréhension du monde des esprits et de tout ce que l’univers englobe. Cette connaissance leur permettait de vivre une existence éclairée, de la prendre, tout comme la mort, telle qu’elle leur venait, avec joie et fierté. Il y a dans Hanta Yo ! le livre de Rube Beebe Hill sur les Indiens d’Amérique, une expression qui résume parfaitement mon propos :

« Une spiritualité normal et consciente ».

La vie est une grande aventure, un processus d’apprentissage qui nous aide à grandir si nous la prenons à bras le corps. Ce développement peut nous permettre de découvrir notre mi spirituel et de savoir exactement qui nous sommes. Nous devons tous franchir la porte de la mort. C’est ce moi spirituel qui, s’étant dépouillé du corps physique, nous permet de poursuivre notre vie, tout en continuant à grandir et à apprendre.

J’admets volontiers qu’il m’est impossible d’affirmer que je serai capable de franchir la porte en hâte au moment de ma mort car, aujourd’hui encore, la perspective de laisser derrière soi sa famille et surtout ses enfants m’attriste.

Je suis certaine que le voyage qui m’attend me procurera une appréhension, mais je sais aussi qu’un instant me suffira pour voir la lumière qui m’indiquera la voie à suivre. Je sais également qu’ici-bas, j’avance sur une route qui peut être éclairée si je prends la peine de bien regarder. Cette certitude efface ma peur de vivre.

Malheureusement, certains ne le comprennent pas. Ils n’étaient pas éveillés aux joies de la vie, au don si précieux qu’est la vie. Aveuglément, le cœur empli de crainte, ils ont donc cheminé sur cette terre dans les ténèbres et la solitude. Ces personnes ont choisi d’anéantir leur propre vie.

Il n’est pas facile de parler du suicide, puisqu’il s’agit d’une mort que l’on se donne soi-même. Une personne utilise son libre arbitre pour décider de mettre fin à ses jours. Mais en vérité, et les auteurs de cet acte le découvrent trop tard, la vie continue. Certains appartenant au monde religieux et juridique, estiment que le suicide est un crime abominable. Affirmer qu’il s’agit ou non d’un crime revient à être juge et jury. Je vous laisse à votre propre discernement !

Extrait du livre : Une Longue Echelle vers le Ciel – de Rosemary Altea – pages 160-162 – L’extraordinaire témoignage d’une femme qui dialogue avec les défunts.

 

Publié dans LECTURES Inspirantes | Pas de Commentaire »

 

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