GUÉRIR LA TERRE : énergie de Vie
Posté par othoharmonie le 25 avril 2014
avec les Intelligences de la Nature
Chaque espace de notre planète correspond à une réalité énergétique qui cherche à se réaliser dans la forme, presque toujours bafouée par les décisions arbitraires de l’Homme. En collaboration avec les Intelligences de la Nature, l’être humain peut retrouver la dynamique sacrée du lieu où il jardine, et guérir la Terre. Laurence Imhoff
Cela faisait très longtemps que j’avais entendu parler du Jardin de Perelandra1. C’était à l’époque où tout le monde parlait de Findhorn. Le livre de Machaelle Small Wright, que j’avais pris le soin de commander en Virginie était entièrement en anglais, barrière que j’avais courageusement décidé d’escalader en me lançant dans une traduction littérale mot à mot dictionnaire à la main, laborieux travail que je n’ai jamais réalisé… Il me semblait aussi qu’il fallait avoir un don de claire audience pour espérer jardiner un jour ainsi, que cela n’était pas donné à chacun et nécessitait sans doute beaucoup de temps. Lorsque je m’y essayais, quelques informations fulgurantes un peu troubles m’apparaissaient sans que je sache vraiment s’il s’agissait de bon sens, d’instinct ou d’une réelle transmission venue des Devas 2. C’était trop imprécis pour être efficace et plutôt décourageant…
Alors, en 1999, j’ai choisi d’opter pour les soins énergétiques. J’ai assis mon alignement, appris à capter la lumière, à la laisser traverser mon corps, mon cœur et mes mains, à percevoir le parfum et la note particulière de chacun, à produire des sons qui rééquilibrent la vibration des cellules, à voir et lire le corps physique, les corps subtils, les auras, les centres énergétiques et les nadis de l’organisme humain, comme on lirait un roman, avec tout le plaisir et l’amour du monde. J’ai découvert ainsi avec les autres, qu’en posant mes paumes ici ou là, le corps réagissait et les émotions, les pensées, l’âme se réajustaient ensuite d’elles-mêmes,retrouvant leur fluidité, leur équilibre et la guérison. Et à chaque fois m’a été donnée la confirmation que nous étions un Tout, un système merveilleux et relié sur lequel il était possible d’agir ici en apportant une guérison là.
Soigner aujourd’hui en jardinant
Il en est de même pour la Terre. Tout ce qu’on y fait a une étonnante répercussion sur l’ensemble. En effet, il est possible aujourd’hui de la soigner en jardinant car, au lieu de placer une main ou une huile essentielle sur un corps, planter un jour précis un brocoli ou une variété de fèves à un endroit déterminé permet de retrouver la géométrie sacrée du jardin que l’on sert et d’en recréer ainsi l’équilibre énergétique dont il a besoin. Cet équilibre, par la loi d’attraction, va harmoniser tout ce qui est alentour, comme si — et cela en surprendra plus d’un — une onde de guérison d’une portée qu’il est possible de mesurer et qui aura un impact sur le sol et sur tous les êtres végétaux, minéraux, animaux et humains, vivant sur ce rayon d’action se diffusait. Enthousiasmant, merveilleux et réconfortant!
Un jardin cocréatif
Machaelle Small Wright se consacre à l’apprentissage et à la découverte de ce qu’est réellement la Nature depuis 1976, date à laquelle elle a commencé à recevoir les enseignements, les informations et les directives des Intelligences de la Nature, pour élaborer un jardin incluant toute vie, basé sur les principes de l’équilibre. Ce travail de cocréation par une méthode de communication avec les Esprits et les Intelligences de la Nature étonnamment simple, concrète et facile, qu’elle a su rendre accessible au grand public, est réuni dans ses deux livres principaux3. Elle y transmet certains messages des Devas, les aspects essentiels de cette nouvelle façon de jardiner et de cultiver. Elle y propose les questions à poser ainsi que les protocoles qui permettent d’entrer en relation avec les Esprits et les Intelligences de la Nature afin de recevoir les informations spécifiques liées au lieu de culture de celui qui va pratiquer En effet, chaque petit coin de terre est spécifique et se trouve au sein d’un environnement unique. Les besoins d’équilibre et de guérison seront donc différents d’un lieu à un autre, mais aussi d’une année à l’autre. La relation avec les Intelligences de la Nature qui, elles, savent ce dont le jardin a besoin, est donc essentielle pour un travail de cocréation avec la Nature qui dictera ce qu’il faut planter ou semer, de quelle manière et à quel moment.
Un jardin thérapeutique
Chaque espèce vivante sur terre est gouvernée et développée par des Êtres de Lumière d’un très haut niveau vibratoire et d’une connaissance qui va bien au-delà des connaissances humaines. Pour qu’une plante puisse exister, c’est-à-dire se développer dans le plan subtil puis dans la matière tangible, il est nécessaire qu’un architecte en ait dessiné le plan (la forme) et que des ouvriers en assemblent les éléments indispensables reconnus par l’architecte (la manifestation). Ainsi le rôle des Dévas, êtres spirituels grands spécialistes de l’ordre, de l’organisation et de la vitalité, est de s’occuper de la forme de la plante. Les Esprits de la Nature, quant à eux, sont les ouvriers chargés de réaliser la manifestation de cette plante à partir des instructions données par les Dévas. L’être humain peut participer à cet ouvrage en recevant et en appliquant leurs instructions sur la forme à donner au jardin, pour révéler et redynamiser la géométrie sacrée du lieu. Les Dévas indiqueront également à chacun le type et le nombre de légumes à planter, leur emplacement ainsi que les dates de plantation. Le jardin ainsi créé, totalement équilibré, générera une large portée d’harmonie, de vitalité, de paix et de guérison alentour.
Un jardin participatif
La collaboration avec les Esprits de la Nature se fera au moment des plantations. À l’heure de semer la graine, le jardinier thérapeute pourra se mettre en contact avec le Deva de cette espèce. Il demandera que tous les composants d’énergie individuelle de la plante soient rassemblés ce qui, sans cette intervention, n’est pas toujours le cas car la plupart des graines — y compris bio — ont une structure énergétique altérée par les destructions et l’émotionnel humain. Puis il s’adressera aux Esprits de la Nature pour leur demander de recevoir ces énergies et de les faire converger, en essence, vers la graine qui détient le potentiel de perfection de la plante afin que ce potentiel soit activé et transformé en réalité sensorielle. Tous les gestes concrets visant à mettre la graine dans le sol, à arroser (en ayant bien pris soin de demander avec quoi et en quelle quantité), sont ensuite effectués par l’homme. Le fruit de ce travail trinitaire donnera une plante vigoureuse, équilibrée, joyeuse et pleine de vitalité, qui partagera son harmonie, son équilibre et sa communication personnels avec les autres plantes et tous les êtres vivants du jardin.
Coopération efficace
En collaborant avec le Deva du Sol, par exemple, le jardinier thérapeute peut aussi recevoir des indications sur la façon de le préparer. Selon le moment et l’endroit, il sera parfois nécessaire d’apporter des feuilles sèches, un certain paillage ou quelques crottes de poules, mais l’équilibrage et la stabilisation du sol peut aussi se faire très facilement de façon énergétique. En suivant un protocole précis, le jardinier thérapeute recueille différents échantillons (sel de mer, algues, argile, levure de bière, etc.), et teste avec le Deva du Sol ce dont la terre a besoin à un emplacement déterminé. Le responsable des Esprits de la Nature est ensuite sollicité pour transférer l’énergie des échantillons retenus à l’endroit souhaité, en quantité et à la profondeur nécessaires. Ce sont les Esprits de la Nature qui vont réaliser «concrètement» ce travail de transfert énergétique dans le plan subtil. Bien que chacun d’eux interagisse sur des plans vibratoires différents, à partir du moment où les procédés de communications sont clairs — le test kinésiologique proposé par Machaelle Small Wright les rend aisés, précis et efficaces — les choses se passent comme dans une équipe d’amis qui coopèrent, où chacun accomplit avec soin et en conscience la tâche qui lui incombe, et ce dans un but commun.
Paroles des Intelligences de la Nature
«Dans le cadre de l’évolution de notre développement sur la planète Terre, il est trop tard pour que l’homme se contente de reconnaître simplement son ingérence et se retire complètement de la scène pour permettre à la nature de se reconstruire elle-même et de suivre à nouveau sa route. L’interdépendance entre l’homme et la nature est trop étendue et le développement de la technologie trop sophistiqué pour permettre un tel mouvement. Entrer ensemble dans un partenariat cocréatif est à présent l’action appropriée et recherchée (…). Plutôt que de nous reléguer à vous divertir et à vous charmer dans vos représentations artistiques, je vous suggère d’essayer de nous considérer comme vos professeurs. Nous désirons ardemment ce contact avec vous. Tout ce que vous avez à faire est de nous ouvrir votre cœur et votre intention. Vous serez très surpris de la rapidité avec laquelle nous nous emploierons à vous communiquer notre savoir et ce dont vous avez besoin.»
Un jardin de paix
Les emplacements préconisés ou les instructions données par les Devas ne correspondent pas toujours à la logique humaine et demandent de l’humilité et une grande confiance en la très haute connaissance des Intelligences de la Nature. Mais au fur et à mesure de son engagement, le jardinier thérapeute s’émerveille de la guérison du lieu et découvre quelle est sa propre place et la valeur de celle- ci. Il reçoit intuitivement et par déduction, une nouvelle et profonde compréhension de ce qu’est réellement la Nature, sa grâce, sa beauté et ses merveilleuses interactions. Cette guidance douce et naturelle est un cadeau d’une valeur inestimable qui, personnellement, me touche à chaque fois profondément et m’emplit de gratitude pour ces Êtres sublimes, si souvent négligés, et pour toutes les manifestations qu’ils développent. Il est aussi extrêmement émouvant d’entrer en relation avec la note particulière de chaque légume et de l’Être qui le gouverne. Chacun a son caractère, sa tonalité, sa particularité et toujours cet immense amour. Cultiver ainsi permet de créer un jardin de paix où chacun est reconnu pour ce qu’il est, a le droit d’être et se trouve à sa juste place.
Dans cette nouvelle étape de transition où chacun est invité à se responsabiliser et à créer concrètement le nouveau monde, cet outil merveilleux plus novateur que les «nouvelles techniques» (comme la permaculture4 où l’homme décide arbitrairement de l’emplacement du jardin, de son contenu, de l’emplacement des légumes et des amendements) propose à chacun de se mettre entièrement à l’écoute des conseils des Intelligences de la Nature. Un partenariat joyeux et humble est possible avec les Devas et les Esprits de la Nature pour réparer les erreurs de la destruction humaine, féconder le sol et les êtres vivants dans un esprit de beauté et de guérison durable. Pratiqué comme un jeu d’enfants par les spécialistes des soins énergétiques qui peuvent ainsi étendre leurs compétences des soins subtils de l’humain aux soins à la Nature, il peut aussi être utilisé par tous ceux qui souhaitent cultiver leur jardin et apporter leur contribution à la guérison de Gaïa. Il peut même se réaliser en ville avec les plantes d’appartement. Nous sommes en 2014, le temps de la guérison responsable de la planète est arrivé et les clés sont là. À nous d’accepter de les accueillir et de les utiliser en agissant concrètement, sans précipitation mais avec engagement, amour, disponibilité et plaisir.
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1 Le Jardin de Perelandra, Guide complet du jardinage avec les Intelligences de la Nature, Machaelle Small Wright
2 Les Dévas sont donc des intelligences actives de niveau archangélique absolument indispensables à toute vie sur terre.
3 Le jardin de Perelandra, tome I et II, de Machaelle Small Wright, traduits en français par François Deporte, Ed. Co-créatives.
4 S’inspirant de l’écologie scientifique, la permaculture prend modèle sur la façon dont fonctionnent les écosystèmes sauvages pour établir et maintenir des systèmes (et des sociétés) conceptuellement, matériellement, énergétiquement, économiquement et socialement efficaces, peu technologiques, localement et globalement auto-suffisants, pérennes, régénératifs, résilients, non polluants, non dangereux, non destructeurs (ni pour la Terre, ni pour les personnes), et d’une étonnante diversité et adéquation aux conditions locales, tant physiques qu’humaines.
EXTRAIT du Magazine MEDI@ME N° 7 : http://universite-libre-des-valeurs.com/
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