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Le trait d’union entre les Mondes s’appelle AMOUR

Posté par othoharmonie le 8 juin 2014

 

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AMOUR, décliné en ce monde en une gamme de nuances vibratoires nommées « valeurs » balisent le chemin qui nous ramène à Dieu et leurs nuances vibratoires reflètent les aspects du Divin que nous avons à découvrir en nous.  DOMINIQUE JACQUIER Jacquier.dom@orange.fr 

Etre ignorant de cela bafoue l’espace sacré qui lui est accordé par la divinité pour se connecter, se relier à l’essence même de la vie dont il est issu. 

Souillure imposée et apposée par l’humain lui-même dans son corps, temps de sa divinité qu’il doit purifier en s’élevant vibratoirement, en s’inscrivant volontairement dans le chemin du retour à la pureté originelle dont l’éclat n’a nul autre pareil. Nous sommes chacun un portail dans lequel s’engouffrent des flots d’énergies auxquelles, la plupart du temps, nous sommes étrangers. 

Et pourtant, nous sommes sans cesse traversés d’ondes vibratoires informationnelles destinées à nous inscrire harmonieusement dans la danse cosmique des particules dont nous faisons partie. Mais la conscience qui nous habite n’accueille qu’une infime partie de ce champ de conscience dans lequel nous baignons et a qui nous appartenons, perdant ainsi la majeure partie des informations offertes. 

C’est par notre élévation vibratoire que nous pouvons capter les messages de la vie, de plus en plus subtils, inhérents à notre propre évolution, utiles à notre avancement, à notre progression spirituelle. C’est ainsi que la manne de la vie nous est offerte en permanence et en abondance par le grand champ de conscience auquel nous sommes reliés la plupart du temps de manière non encore consciente. 

Nous relier à ce grand champ de conscience aidera chacun de nous à progresser ainsi que nous le devons individuellement. L’intériorisation est la porte d’accès à cette immensité, Source de Vie à laquelle nous sommes invités à nous abreuver chaque jour. Nous sommes chacun la réponse à notre propre questionnement : savoir écouter est la clé qui ouvre la porte à toutes les réponses. 

C’est la Conscience-Amour qui provoque l’alchimie dans la matière ; la rencontre des deux crée une fusion qui permet la transmutation du métal vil en or, le miracle en lui-même.  

Dominique Jacquier est hygiéniste – naturopathe, énergéticienne et  Motivatrice de Vie au sein de l’Université Libre des Valeurs. Elle co-anime avec Jean-Claude Genel les ateliers « l’Ame guérisseuse ».

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Des valeurs à vivre : marcher

Posté par othoharmonie le 8 juin 2014

 

 images (10)Marcher, dans la vie, c’est comme marcher sur un chemin. Il se passe toujours quelque chose. Il y a bien sûr des douleurs, surtout au début, par manque d’entraînement ou d’adaptation, et les difficultés, les obstacles à l’avancée liés aux vêtements, aux chaussures, à la configuration et à la nature du chemin. Il y a les inconvénients du climat, de la température, d e  l’alimentation, ceux liés au sac à dos qui, au fur et  mesure du périple et d l’expérience, est libéré de tout superflu. Il a, bien sûr, parfois des hésitations quant au choix du chemin, à la direction à prendre mais, en réalité, ce qui caractérise ces « marcheurs-pèlerins », c’est l’absence d’hésitation sur le chemin en tant que tel, du point de départ à l’arrivée et sur les grandes étapes. 

La meilleure façon de marcher….

Vous connaissez sans doute d’autres situations ou même est-ce peut-être aussi votre expérience ? En tout cas, je me souviens que, préadolescent, je passais mes vacances avec mes parents alors que je n’avais qu’une envie : être avec des amis. Je me souviens de certaines randonnées (qui ne duraient pas ce que dure un pèlerinage, loin s’en faut) où je « traînais la grolle » parce que j’aurais préféré ne pas être sur ce chemin-là. Tout y était compliqué, lourd, difficile, douloureux. Cela montre bien qu’il y a plusieurs façons de marcher dans la vie.

La vie nous le savons, se manifeste à l’instant de la naissance. Or, la naissance, c’est « naître à son sens ». C’est donc la preuve, du moins l’indication, que le sens est préexistant à la naissance et qu’il y a une antériorité ; in projet. Cette notion de « projet-sens » est très importante et permet de mieux appréhender et de compléter cette métaphore du chemin, mais ce n’est pas le sujet immédiat.

 Pour ANDRE MASSON, Docteur en médecine, nous sommes les créateurs de notre vie. Ainsi, prendre conscience du sens profond de nos maladies nous permet de nous réapproprier notre pouvoir de création et de guérison. www.ANDRE-MASSON.FR

  

Parcourir son propre destin

Pour en revenir aux valeurs et à la santé, nous voyons que si nous sommes sur le bon chemin, tous les inconvénients liés au chemin peuvent se sublimer. En tout cas, ils ne constituent pas, malgré l’apparence, la difficulté la plus importante. 

Quand je dis “bon chemin “, cela ne signifie pas qu’il y a, de façon “générique”, un bon et un mauvais chemin. Cela veut dire que, pour chacun d’entre nous, le bon chemin est celui qui est le nôtre et pas celui du voisin. Il ne s’agit pas d’établir une hiérarchie dans les chemins, non!  L’important, c’est d’être sur son bon chemin. Beaucoup de personnes, pour reprendre la métaphore, sont en marche. Elles sont peut-être accompagnatrices ou veulent faire plaisir à quelqu’un, ou bien cela leur est imposé, à moins qu’elles ne se l’imposent elles-mêmes ou veuillent prouver quelque chose, etc. Vous avez aussi sans doute observé que certaines personnes ont “tout” — la réussite familiale, professionnelle, affective… — et on pourrait dire que, pour elles, toutes les conditions sont réunies pour que leur vie se déroule le mieux possible. Eh bien non! Pourquoi?

Parce que, si à un moment donné, la personne ne marche pas sur son chemin, une sorte de dichotomie intérieure s’installe et devient de plus en plus béante. La meilleure façon d’être malade, à mon avis, c’est de ne pas marcher sur son chemin, de ne pas être à sa place, ce qui signifie ne pas avancer dans la vie sur un chemin en accord avec ses valeurs. Je ne dis pas en accord avec LES valeurs, non! En accord avec SES valeurs! Alors, tôt ou tard, cette incohérence se manifestera dans le corps. 

Bien sûr, ce n’est pas ici que je vais aborder toutes les dimensions des valeurs. Jean-Claude Genel nous parle, j’ai envie de dire “amoureusement”, de leur sens et de leur signification, de leur symbolisme, de leur correspondance y compris dans le corps et dans les corps… 

L’importance du “Connais-toi toi-même”

Le regard que je souhaite porter aujourd’hui, c’est que, parmi les nombreuses valeurs qui existent et qu’il est souhaitable de cultiver, nous avons tous des valeurs fondamentales sur lesquelles nous sommes “construits, avec lesquelles est bâtie notre existence et selon lesquelles il est souhaitable de dérouler notre vie. Si je ne tiens pas compte de mes valeurs fondamentales, alors je prends des risques! Je peux avoir une vie construite sur des valeurs donc, bien sûr, ma vie sera “valeureuse”. Mais, peu à peu, au fil du temps, le mal-être et ses conséquences s’installent: je marche “à côté de mes pompes”! 

Certes, je marche sur un beau chemin, avec ardeur et décision, mais je ne suis pas à ma place.

Les valeurs que je manifeste sont peut-être celles reçues de l’éducation, des mémoires familiales, du transgénérationnel, de la religion ou par tout un système de croyances… Ce sont bien des valeurs, mais au fond de moi résident mes valeurs intrinsèques qu’il m’appartient de connaître, parfois de découvrir, de développer, etc… Personnellement, ce qui m’a beaucoup apporté dans ce domaine, c’est la PNL (Programmation Neuro Linguistique). Il me paraît important de s’arrêter un moment pour s’interroger et faire jaillir les valeurs fondamentales. Il n’y a pas de valeur supérieure à une autre, il y a celles qui sont importantes pour moi. Deux individus peuvent avoir des valeurs fondamentales différentes, voire apparemment opposées et incompatibles. 

C’est ce qui s’observe dans la vie relationnelle de tous les jours et particulièrement dans la vie de couple. Il est donc important de connaître ses valeurs fondamentales. On peut ainsi les hiérarchiser, décider de développer certaines qui seraient plus “aidantes”. On peut également négocier avec soi-même, au sein du couple, de l’entreprise, etc., pour que les valeurs respectives de l’une et de l’autre personne soient reconnues et satisfaites, afin de vivre en plénitude notre vie et non une vie de substitution. 

La vision d’un monde parfait

Car tôt ou tard viendra l’heure du bilan et tous, nous serons confrontés à ce face à face. Pour ma part, je pense qu’il est préférable de le faire régulièrement pour éviter l’ultime confrontation qui pourrait être difficile. Autant en prendre l’habitude! A l’heure de ces bilans — c’est mon expérience de médecin et de thérapeute —, bien des patients m’ont dit quelque chose comme: “J’ai fait un beau voyage, j’ai rencontré des gens intéressants, tout était magnifique sauf que je me retrouve ailleurs que là où je voulais être, je ne suis pas arrivé à destination”. Cette image, certes simpliste, est néanmoins très évocatrice et explicite de ce que je veux exprimer. 

Combien de personnes, au cours des ateliers sur les valeurs m’ont dit: “j’étais heureux (dans mon métier, ma famille…) mais pas comblé”. 

Pourquoi? Le métier contribue-t-il au développement de mes valeurs intrinsèques ou m’en éloigne-t-il?

images (11)Il est nécessaire de comprendre ce que sont les valeurs. Ce sont elles qui vont me permettre de jouer pleinement mon “rôle” dans l’incarnation. Pour jouer ce rôle, il importe de le choisir, de l’élaborer, de connaître les tenants et les aboutissants de la pièce et, pour cela, en avoir une vision. C’est donc à partir de la “vision” qu’il faut travailler, la vision toute personnelle et unique que j’ai du monde parfait que je créerais si j’avais une baguette magique. 

Ensuite, quand je crée cette vision du monde parfait, quel est le rôle, la mission, c’est-à-dire quelle est la partition que je voudrais jouer pour que le monde soit tel que je l’imagine? Il est alors plus évident de découvrir les valeurs fondamentales qui vont me permettre de vivre ce que j’ai imaginé: marcher sur mon chemin car alors je serai aligné, je serai UN. Il ne me restera qu’à définir comment concrètement je compte m’y prendre pour faire vivre ces valeurs. Ce travail est l’un des plus fondamentaux pour moi. Il permet d’avancer en plénitude et de vivre ses rêves. Être à sa place, ici et maintenant, pour être au rendez-vous en temps, lieu et heure. 

La revue de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com  MEDI@ME N°6 Novembre-Décembre 2013

 

 

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L’équilibre des principes

Posté par othoharmonie le 8 juin 2014

images (9)Le PRINCIPE MASCULIN 

Le principe masculin est représenté par le côté droit du corps et l’hémisphère gauche du cerveau. Il est aussi appelé le côté yang en médecin chinoise ou le côté rationnel en Occident. 

Il représente ma relation avec le principe masculin, tant le mien que par rapport aux hommes de ma vie : père, compagnon, etc. Les qualités dominantes sont le courage, la puissance, la logique ; il est relié aux connaissances, à la parole et au raisonnement. C’est le côté rationnel, autonome, matérialiste de l’être. Il est représenté par le soleil. Il représente aussi l’aspect intellectuel, le côté actif de ma personne qui prend les idées et les intuitions de mon côté féminin et les mets à exécution. Il gère le pourquoi des choses. C’est lui qui choisit les directions. 

Chaque être humain, tant homme que femme, possède un côté masculin (yang) et un côté féminin (yin). Des malaises du côté droit me montrent un conflit avec ma notion de virilité  et de rivalité si je suis un homme et, pour la femme, une dualité face à ma vie professionnelle et les clichés auxquels je désire me soustraire. Puisque j’ai développé mon côté masculin en analysant et en voulant « devenir comme mon père » (comportement appris), il y a de fortes chances pour que nous ayons tous les deux des points très similaires par rapport aux qualités et aux caractéristiques nommées au début.. 

J’accepte c’est lorsque je peux équilibrer mon côté masculin et mon côté féminin que je peux atteindre ma pleine réalisation.  

LE PRINCIPE FEMININ 

Que je sois homme ou femme, le cerveau droit et le côté gauche du corps représentent le principe féminin (le Yin), siège de la créativité, des dons artistiques, de la compassion, de la réceptivité, des émotions et de l’intuition, il a trait à ma nature intérieure. Il se manifeste aussi par la tendresse, la sensibilité, le douceur, l’harmonie, la beauté, la pureté. 

Il me relie à ma nature féminine et à celle des autres. C’est mon côté maternel. Il est représenté par la lune. Les principales difficultés éprouvées sont reliées à l’expression des sentiments. Est-ce que je me sens bien lorsque je réconforte quelqu’un ? 

Suis-je capable de dire « je t’aime », « j’ai de la peine » ?

Je ne me sens pas à l’aise quand je suis celle ou celui qui reçoit, en particulier lorsqu’il s’agit d’amour. Que je le veuille ou non, le principe féminin fait partie de moi. L’attitude que j’ai développée face à ma nature féminine à un lien direct avec les relations que j’ai entretenues avec les femmes de ma vie : mère, fille, amie, épouse, etc… 

La façon dont je vais exprimer ma féminité (soit la faculté, soit la difficulté) dépendra en grande partie du modèle parental et de mon identification à l’une ou l’autre des parents. Si je suis un homme, j’ai de la difficulté avec mes émotions, soit de les exprimer, de m’en libérer, soit de les accueillir d’autres personnes. Su je suis une femme, il y a un aspect de ma féminité que je nie ou refoule. C’est en suivant mon intuition que mon côté gauche dans le physique et ma polarité féminine sera en santé. Si mon côté féminin est exagérément développé, je me questionne pour savoir quel est mon niveau de confiance et d’assurance en moi et si je laisse mes émotions prendre trop le dessus sur mon côté logique et rationnel. 

J’accepte que ce principe féminin fasse partie de moi et je m’ouvre davantage à celui-ci, sachant que ce processus est essentiel à l’équilibre de mes deux principes (féminin et masculin). L’un complète l’autre afin d’amener l’équilibre spirituel, émotif et physique de tout mon être.

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