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Maîtriser les ondes électroniques

Posté par othoharmonie le 21 juin 2014

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Sachons que les ondes produites par les appareils électroniques sont nocives. Elles sont très polluantes pour l’esprit humain. 

Les ondes émises par les appareils de cuisson ou les téléviseurs et même par les ordinateurs, viennent perturber le réseau interne de notre propre champ vibratoire. Ce sont des ondes physiques générées par la matière. Elles se produisent partout où il existe un champ électromagnétique. Mais  il ne faut surtout pas confondre leur puissance avec la nôtre. Jamais, il ne peut être possible de confondre. Elles s’expriment parallèlement et très fortement par l’intermédiaire de toute l’électronique. C’est la raison pour laquelle nous pouvons agir sur elles. 

Nous pouvons manipuler, nous les maîtrisons à notre guise. C’est pour cela que le visage de certains décédés peut apparaître sur l’écran de nos téléviseurs, ou que leur voix peut s’imprimer sur nos bandes magnétiques. La matière est maîtrisable par nous, et rien ne s’oppose à ce que nous intervenions sur elle. Parfois, nous avons l’impression d’être surpris par certaines manifestations que la matière, et la science qui la contrôle, sont incapables de produire. 

Les ondes spirituelles émises par notre esprit sont incroyablement puissantes. Mais il se trouve qu’elles peuvent, malgré tout, être très fortement perturbées par d’autres. Il nous faut être vigilants parce que si nous n’y prenons garde, elles peuvent à certains moments prendre totalement le contrôle de notre esprit. C’est un peu ce qui se passe avec les jeux vidéo, les émissions de télévision ou avec la nourriture que nous absorbons, lorsqu’elle a été préparée de façon artificielle ; les ondes courtes sont présentes, elles ne meurent pas, elles se diffusent dans l’organisme, qu’il soit individuel ou collectif. Nous le constatons chaque jour. 

Alors, il est temps de nous protéger de toute cette technologie audiovisuelle dont le téléphone portable est la pire des inventions, parce qu’il agit directement au plus près de notre cerveau et atteint très rapidement notre esprit. 

Une mise au point s’avère indispensable. Dénoncer la nocivité des ondes liées aux appareils dits « électroniques » ne veut pas dire ignorer leur existence et encore moins leur utilisation. Il suffit de prendre conscience du danger pour s’en protéger. Qui aurait l’audace de marcher tout près d’un précipice avec le risque de chuter, s’il peut s’en écarter légèrement ? Personne, me direz-vous, excepté un fou, un drogué, un kamikaze ou encore un suicidaire. Pardon pour l’exagération ! 

Il nous suffit de comprendre et de prendre conscience des risques encourus pour mieux nous en protéger, parce qu’ils existent réellement. Tout dépend ensuite du degré d’utilisation et de la gravité qui s’ensuivra. Il faut rester mesuré là aussi, comme en toute chose, et savoir qu’une personne avertie sera moins vulnérable qu’une autre. Par ailleurs, sachons que notre évolution spirituelle, notre champ vibratoire rapide, nous exposent moins que quiconque à ces ondes nocives pouvant entraîner de sérieux dommages. 

Restons utilisateurs de nos outils, mais de grâce, n’en faisons jamais des dieux. Parce que c’est là, arrivé à ce stade, que commence l’irréversible danger. Sachons garder la tête froide et disons-nous bien que si la technique est incontournable, elle doit dans tous les cas rester sous le contrôle de l’esprit humain, et ne jamais mettre ce dernier sous son contrôle parce qu’il souffrirait d’esclavage, de conditionnement et de soumission. La matière doit rester et restera sous l’autorité de l’esprit. Nul humain n’est plus fort que lorsqu’il la maîtrise grâce à son évolution spirituelle, garante de toutes les protections. 

Peut-être qu’un jour nous seront trahis par notre intelligence mentale, et ne pourrons, le moment venu, que faire une grande marche arrière. Mais ce temps n’est pas arrivé. Il nous faut encore expérimenter pour comprendre que certaines de nos inventions vont s’avérer, ou s’avèrent déjà, terrifiantes pour la vie des terriens. 

Peut-être avez-vous constaté vous-mêmes, bien que les pays les plus avancés sur le plan de la technologie, sont le plus en retrait par rapport à la démarche spirituelle. les autres, les « sous-développés » comme nous les désignons si facilement, tournent le dos à toutes ces « merveilles », mais n’en sont pas pour autant malheureux ; les habitants de ces régions du monde sont proches de Dieu. Ils ont compris que leur bonheur ne passe pas par les gadgets dont nous, les gens « civilisés » voulons les envahir, parce qu’il en résultera de nouvelle sparts de marché ! Ces gens ne demandent qu’une seule chose : être en paix avec leur corps et avec leur conscience. C’est-à-dire qu’ils ne veulent pas exagérer leur consommation, sachant que celle-ci entraînerait de graves dommages pour les ressources naturelles, parce qu’ils les respectent plus que quiconque. Mais nous, les « civilisé » nous les pillons. 

Cessons rapidement de produire et de consommer à outrance et sachons équilibrer les choses. Répartissons nos richesses et rendons à l’Autre ce qui lui appartient. 

Je suis persuadée que nous nous en sentirons grandis. 

Quoi qu’il en soit, nous sommes tous LIBRE. Il ne sera jamais question de nous priver de telle bonne chose que nous prenions plaisir à consommer ; qu’il s’agisse de nourriture, de loisir, ou même de relation d’amour. Parce que c’est nous qui devons fixer les limites de notre vie physique en suivant notre conscience….

 Tout comme il est par exemple possible de fumer, de voir ou de consommer la viande des animaux, sans qu’il soit pour autant répréhensible ou interdit par Dieu de le faire. Mais à la seule condition que les animaux ou les plantes concernées, soient traités avec tous les égards qui leur sont dus, et l’amour que nous devons leur porter est, le plus important d’entre eux. 

N’allons pas au-delà de ce que notre corps physique et notre esprit ne peuvent supporter. Sachons vivre, mais surtout bien vivre ! et comme vous l’aurez compris cela ne veut pas dire vivre dans l’excès.  Il est dans cette formule une forme de sagesse. Car gardons à l’esprit que tous ceux qui sont dans une démarche spirituelle peuvent, s’ils n’y prennent garde, se retrouver très rapidement pilotés par une force noire qui les conduira, après les avoir séduits, vers le néant. 

Merci à vous de votre attention ! 

Et que cela ne vous empêche pas d’apporter vos commentaires !

 

 

 

Publié dans Zones erronées | Pas de Commentaire »

L’Etre, plutôt que l’avoir : prise de conscience

Posté par othoharmonie le 21 juin 2014

 

téléchargement (3)C’est l’histoire d’un réalisateur à succès qui envoie balader les fastes de sa réussite hollywoodienne pour soutenir, caméra au poing, l’être plutôt que l’avoir, la coopération plutôt que la compétition. Le documentaire « I AM » retrace la quête, réelle, du cinéaste Tom Shadyac.

Vous connaissez Ace VenturaProfesseur FoldingueMenteur, menteur ou Bruce Tout Puissant ? Signées Tom Shadyac, ces comédies loufoques ont fait se bidonner l’Amérique, et assuré le succès de leur réalisateur.

En 2007, un grave accident de vélo entraîne celui-ci vers la dépression. « J’avais des sautes d’humeur, un tintement résonnait dans ma tête, j’étais devenu sensible à la lumière et au bruit », explique-t-il. Aucune thérapie ne le soulage. Après plusieurs mois de souffrance, il se croit condamné.Frôler la mort ne laisse pas indemne. Tom Shadyac s’interroge alors sur le sens de sa vie. Quel message veut-il laisser ? « J’ai commencé à comprendre que le monde dans lequel je vivais était un leurre. » Qu’à partir d’un certain niveau de confort, « l’accumulation de richesses n’achète pas le bonheur », voire qu’elle peut être « une forme de maladie mentale ».
Il vend sa luxueuse propriété de 1600 m2, arrête de voyager en jet privé, emménage dans un camping résidentiel, entreprend une existence plus simple et plus responsable… Et imagine un projet de film, à la rencontre de ceux dont les livres ont nourri sa prise de conscience – journalistes, universitaires, scientifiques, poètes, activistes, fers de la lance de l’économie éthique… Comme par miracle, ses troubles régressent ; le documentaire peut voir le jour.

Une vision tronquée

« Pourquoi le monde ne tourne-t-il pas rond ? Que peut-on faire pour le changer ? » Telles sont les questions posées par Tom Shadyac, convaincu que « la guerre, la pauvreté, la crise environnementale ou la cupidité ne sont que les symptômes d’une cause plus profonde, source de tous les autres maux »Du philosophe Noam Chomsky au généticien David Suzuki, tous lui répondent que la folie actuelle découle d’une vision faussée du monde et de l’humain. « Depuis 300 ans, on pense que l’univers se comporte selon des lois fixes dans le temps et l’espace, et que le processus primordial à l’œuvre dans nos vies est la compétition », explique la journaliste Lynne McTaggart.

Or aujourd’hui, la science découvre que la nature, loin de valoriser la loi du plus fort, privilégie la coopération. Des études montrent que chez bon nombre d’espèces – insectes, cerfs, primates ou oiseaux – les décisions sont prises à la majorité. D’autres révèlent que les émotions positives comme l’amour, l’attention ou la gratitude favorisent l’équilibre et la santé, clarifient les pensées, améliorent les performances – alors que la colère, la frustration et la peur inhibent nos capacités.
« Une multitude d’éléments prouvent que nous sommes câblés pour la connexion et la compassion », commente Tom Shadyac. Les neurones miroirs nous font ressentir les émotions des autres comme si c’était les nôtres ; le nerf vague libère des ocytocines dès que nous assistons à un acte compassionnel ; venir en aide stimule des endorphines, à l’origine d’un « sentiment de plénitude et d’extase » dont témoigne l’archevêque Desmond Tutu, figure historique de l’anti-apartheid…

Selon les chercheurs de l’Institut Heartmath, le cœur serait même le principal moteur de notre intelligence, avant même le cerveau, et nos émotions auraient la capacité d’affecter le reste du vivant. « Les battements du cœur créent un vaste champ magnétique à l’extérieur du corps, dont le rayonnement est perçu par les êtres environnants, indique le Dr Rollin McCraty. Sans qu’on sache encore comment, se créent entre les deux organismes des échanges d’ondes et d’informations qui dépassent le cerveau. »

Tous reliés

Les mystiques et les cultures traditionnelles l’avaient pressenti ; la science commence à approuver l’idée que nous sommes liés les uns aux autres. « Nous faisons tous partie d’un champ d’énergie universel », affirme Lynne McTaggart. Postulat New Age ? Non, apports de la physique quantique. Même si nos perceptions ordinaires ne voient que l’apparence de la séparation, sur un autre plan, tout se joue, à tout moment, dans l’interaction et l’interdépendance. 

« Nous disposons d’une cinquantaine de capteurs partout dans le monde, reliés à des générateurs de nombres aléatoires, explique par exemple Dean Radin, chercheur en parapsychologie. Dès qu’un évènement fort se produit, tels que le 11 septembre, les appareils arrêtent de fonctionner aléatoirement. Lorsque les gens sont concentrés collectivement sur un même sujet, quelque chose crée un ordre qui n’est pas censé être là. » Preuve que « notre conscience est capable de transformer le tissu potentiel de la réalité du monde dans lequel on vit »…  « La réalité n’est pas une chose, c’est une relation entre des éléments, poursuit Marilyn Schlitz, présidente de l’Institut de sciences noétiques. Elle ne prend forme que lorsque la relation se crée. » A nous donc de décider quelle forme nous voulons lui donner. « Tant que nous continuerons à nous diviser, le monde restera le même, ponctue Tom Shadyac. La solution, c’est l’amour. Ce n’est pas une utopie ; nous l’avons dans nos gênes. »

De la conscience à l’action

Par où commencer ? « Tout part d’une transformation en profondeur de chacun d’entre nous », estime le cinéaste. Arrêter de se conformer à ce qu’on croit être la nature humaine, retrouver le lien aux autres et à la nature, cultiver l’être plutôt que l’avoir… « A partir de ce changement intérieur, l’action suit naturellement. » « Le changement vient de millions d’actes apparemment insignifiants, repris et imités par d’autres, poursuit l’historien Howard Zinn. L’histoire montre que l’émergence progressive d’une conscience, lorsqu’elle atteint un nombre critique de gens, finit par lancer un mouvement suffisamment fort pour changer la donne. » La non-violence marche : les suffragettes, Gandhi et Martin Luther King en sont la preuve. « L’amour peut être une force puissante, applicable en politique. » Si on s’y met tous, le matérialisme et l’individualisme cesseront petit à petit d’être la panacée, l’économie redeviendra un « outil pour assurer le bien-être et la sécurité des gens » plutôt qu’un « sport monétaire », espère Tom Shadyac.

Six ans après son accident, lui reste fidèle à ses choix. Il se déplace à vélo, enseigne sa vision du monde à l’université du coin, reverse tous les bénéfices de I AM à la Fondation qu’il a créée, en faveur des plus défavorisés. Après s’être mis en retrait d’Hollywood, il a repris les chemins des studios, pour réaliser le remake d’Intouchables (actuellement en tournage). Une comédie centrée sur la compassion… pour laquelle une grosse partie de sa rémunération à huit chiffres sera versée sur un compte philanthropique.« Une voix intérieure me dit parfois que je suis fou d’avoir renoncé au luxe qui m’était offert pour adopter un style de vie que la société ne considère pas comme une réussite, mais pour moi, c’est presque l’inverse,conclut le réalisateur. Comme dit Gandhi : vis simplement, pour que d’autres puissent simplement vivre. »

Plus d’informations sur le film

L'Etre, plutôt que l'avoir : prise de conscience dans Etat d'être aff_198I AM
Réalisé par Tom Shadyac
(Mai 2013) 

Publié dans Etat d'être, Nouvelle conscience | Pas de Commentaire »

 

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