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La nourriture Pranique

Posté par othoharmonie le 18 juillet 2014

 

Selon Henry Monfort, trente mille personnes dans le monde auraient cessé de prendre de la nourriture solide. Lui-même pratiquant, il nous livre son témoignage. Selon lui, il n’a pas arrêté de manger, il se nourrit autrement, nuance importante !

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Comment vous est venue cette idée étrange de cesser de manger ?

Henri Montfort : Tout d’abord, détrompez-vous, je n’ai pas arrêté de manger. Il faut vous enlever cette croyance de la tête. On ne peut pas vivre sans manger. Je me nourris de prana. La nourriture pranique est une NOURRITURE, mais différente. Cela n’a rien à voir avec l’expérience du jeûne. Dans la nourriture pranique, on ne se prive de rien, car le prana est partout, c’est l’énergie universelle, illimitée.

J’ai commencé la nourriture pranique le 22 novembre 2002. Cela va faire plus de huit ans. Deux ans auparavant, c’est-à-dire en 2000, je pesais 120 kilos, je mangeais et buvais énormément. Un jour, après avoir grimpé un escalier, j’ai constaté qu’il me fallait dix minutes pour récupérer. Mon cœur battais à 160, ma respiration était haletante… Je me suis rendu compte que je ne pouvais pas continuer comme cela. J’ai essayé de perdre du poids grâce au jeûne et je suis descendu à 90 kilos.

SP : Vous vous êtes habitué petit à petit à ne pas manger, cela a dû être difficile au début ?

HM : Oui, surtout quand on a comme objectif de perdre du poids. Mais je sentais que je déployais une très grave problématique de santé. Je suis allé voir un ami à Lyon qui m’a proposé un livre, pensant qu’il m’intéresserait. C’était le livre de Jasmuheen « Vivre de Lumière« . Je l’ai lu dans la nuit, et le lendemain matin j’ai commencé la nourriture pranique. Depuis je n’ai jamais arrêté.

SP : Peut-on parler de déclic ?

HM : Tout à fait, une sorte de révélation. C’est ce que je raconte dans mon livre. Je suis chaman, et depuis que je suis tout petit, je vois le prana dans l’atmosphère, ces petites particules blanches qui se déplacent très vite. Je me suis dit que si l’on pouvait soigner avec le prana, il était évident que l’on pouvait aussi s’en nourrir.

SP : Vous n’aviez pas fait de préparation mentale ou psychique ?

HM : Non, c’était une évidence. Il est bien certain que, grâce aux jeûnes que j’avais faits pendant les deux années précédentes, mon corps s’était déjà bien nettoyé et que j’étais prêt à le faire.

SP : Se nourrir de prana est-il accessible à tout le monde ?

HM : Oui, c’est accessible à tous parce que c’est une technique. Il y a plusieurs phases dans la mise en place de ce changement de nourriture : la préparation, puis la phase d’installation du processus.

La phase de préparation doit se faire pendant un ou deux ans. Pendant cette période on travaille à réduire la quantité de nourriture que l’on absorbe et à en améliorer la qualité. On intercalera aussi de petits jeûnes d’un, deux ou trois jours pour voir comment le corps réagit. Ceci va participer à nettoyer notre corps aux niveaux physique, émotionnel, mental et spirituel. Lorsque ces quatre niveaux sont en harmonie, on peut commencer véritablement le processus qui dure 21 jours. Après cette période, on peut soit continuer la nourriture pranique, soit arrêter et reprendre l’alimentation solide, chacun peut décider.

SP : L’installation consiste, en fait, à donner au corps l’information qu’il va être alimenté autrement ?

HM : Tout à fait. « L’installation dure 21 jours – Vingt-et-un est un chiffre sacré. C’est aussi trois semaines, chacune correspond à un stade. La première semaine est axée sur le nettoyage du corps physique. Au cours de la deuxième semaine on va nettoyer plus en profondeur ce qu’on appelle les mémoires cellulaires. La troisième semaine est celle de l’installation elle-même c’est-à-dire le passage en mode pranique.

SP : Comment cela se passe-t-il ?

HM : On va utiliser ce que le corps connaît, c’es tà dire le système neuro-végétatif. En temps normal, lorsque vous avez faim, il se passe beaucoup de choses dans votre cors (sensation de vide, gargouillis, etc…) Nous allons associer ces moments à la nourriture pranique en nous aidant, au début de la visualisation.

SP : Quels sont les principaux critères pour différencier le jeûne de la nourriture pranique ?

HM : Il y a trois critères absolus à surveiller :

  1. Le poids. Lorsque l’on jeûne, on perd du poids et on arrive à un poids limite qu’il  ne faut pas dépasser. Au-dessous de ce seuil, même si on remange le corps ne peut plus récupérer. C’est ce qui arrive pour les gens qui meurent de faim, même si on leur redonne à manger, ils ne peuvent pas remonter. Avec la nourriture pranique, la perte de poids s’arrêt, le poids se stabilise. 
  1. L’énergie. Au cours d’un jeûne, on perd son énergie, au bout de 45 jours on a des vertige s, on e peut plus tenir debout. Avec la nourriture pranique, on a de l’énergie à ne plus savoir qu’en faire, on est branché sur l’énergie universelle, on peut conduire, marcher, courir pendant des heures.  
  1. Le sommeil. Pendant un jeûne on dort toute la journée, avec la nourriture pranique les besoins de sommeil sont réduits de moitié.

 

SP : A votre avis, qu’est-ce qui nous attache tant à l’alimentation solide ?

HM : Ce sont des mémoires cellulaires, des blocages physiques et émotionnels. Certaines personne sont un rapport vicié avec la nourriture ; au lieu de manger pour se nourrir par exemple, elles mangent pour se remplir, combler des manques. Il faut être ouvert à l’éventualité que tout est possible, il faut avoir une confiance absolue. Il ya des blocages spirituels aussi : son on n’écoute pas son intuition, et que l’on met en œuvre une volonté égotique, on se heurte à des notions de défi. C’est alors voué à l’échec…

PS : Cette méthode peut-elle être utilisée pour les personnes qui meurent de faim ?

HM : Je ne le pense pas.. ; de toute façon, il faudrait qu’elles ne soient pas descendues au-delà du poids limite. Je ne pense pas qu’elles soient dans des conditions qui permettent de passer à la nourriture pranique.

Je crois plus à ce que mes cellules vivent au quotidien au niveau du champ quantique unifié pour transmettre, interpeller les gens, faire exploser leur cadres mentaux… Lorsque l’on sait que nous n’utilisons que 20 % de notre potentiel, comment peut-on dire que quelque chose est impossible ?

SP : N’est-ce pas difficile à vivre au niveau social ?

HM : Personnellement, pas du tout. C’et un processus intime et privé qui ne regarde que la personne concernée. Elle doit affirmer sn pouvoir personnel, sinon cela signifie qu’elle a d’autres maîtres qu’elle-même. Tant qu’elle est tributaire de ce que les autres pensent, elle ne peut pas réussir. Si vous êtes en unité avec tout ce qui existe, cela ne pose pas de problème.

J’ai fini le processus au moment du réveillon. J’ai assisté aux festivités en expliquant ce que je faisais sans honte, sans peur et cela s’est très bien passé. Cela ne me dérange pas d’être en compagnie de gens qui mangent, je vais au restaurant avec les autres, je fais à manger pour mes enfants. En préparant la nourriture, on peut y mettre du prana et élever son niveau vibratoire.

SP : N’estes-vous jamais tenté de manger ?

HM : Il n’y a plus de tentation. On est nourri, on ne peut pas être plus nourri. Il n’y a pas de manque….

SP : Lorsqu’on pratique la nourriture pranique, peut-on continuer à faire du sport ?

HM : Non seulement on peut faire du sport, mais puisque l’on est branché sur l’énergie universelle, on a beaucoup plus d’énergie. Vous pouvez visionner plusieurs vidéos sur You Tube concernant Jericho Sunfire, un ancien joueur de rugby. 41wlpw9cJ-L._SY300_Celui-ci déclare qu’l a d’abord vécu dix ans en se nourrissant de fruits, puis il a cessé complètement de s’alimenter. Il enseigne aujourd’hui l’éducation physique et n’a rien perdu de ses muscles.

 

Conseil de lecture : La nourriture Pranique de Henri Monfort 

Publié dans APPRENDS-MOI, AUTEURS A CONNAITRE, Expériences | Pas de Commentaire »

Tout est égrégore

Posté par othoharmonie le 18 juillet 2014

 

Nous connaissons l’inconscient collectif, la mémoire collective ou encore les archétypes décrits par Jung. De bien des manières, nous nommons déjà ce phénomène mal connu et pourtant inscrit en nous : l’égrégore. Mais si nous sommes capables de générer ensemble cette conscience partagée, elle aussi a le pouvoir d’agir sur nous…

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Un égrégore est produit par un puissant courant de pensée collective. Lorsque plusieurs personnes se focalisent ensemble sur un même objet, avec une même intensité, ils développent une énergie commune. Nous connaissons tous cet effet stimulant, éprouvé lorsque l’on partage avec d’autres un projet passionnant ou un moment fort. L’activité concentrée rassemble les intentions de chacun en une conscience collective, qui semble porter le groupe. Mais derrière l’impression personnelle, un processus réglé se déroule entre nous. 

Une émotion active les atomes de nos cellules, transformant le corps en une pile électrique, capable de fabriquer sa propre énergie. Ainsi, par la seule force d’une émotion mutuelle et sans même s’en rendre compte, nous connectons nos sources d’énergie et en créons une plus grande, globale. Comme branchés les uns sur les autres, nous vibrons sur la même longueur d’onde. La tension est alors assez haute pour qu’émerge un esprit de groupe. « Le biochimiste Rupert Sheldrake parle de champ morphogénétique. Le ressenti d’un individu exerce une force sur celui de l’autre. Ce mouvement, par résonance, va influencer leurs comportements et leurs pensées », explique Rosa Claire Detève, formatrice en psychologie quantique. Mais cet esprit de groupe n’est pas que la résultante passive d’un instinct grégaire. 

Pierre Mabille, médecin et anthropologue, proche des artistes du surréalisme, considérait que l’égrégore possède « une personnalité différente de celles des individus qui le forment ». A l’échelle individuelle par exemple, nous savons qu’une pensée enracinée depuis longtemps finit parfois par nous dépasser. Elle est en quelque sorte devenue autonome et agira sur nous aussi longtemps que nous l’alimenterons par nos croyances. De la même manière, l’égrégore est une entité vitalisée. Il agit comme un accumulateur d’énergies, nourri par les sentiments, les désirs, les idéaux ou les peurs de ses membres. Plus ces derniers sont nombreux, plus l’égrégore se renforce jusqu’à influencer leurs existences. 

Une connexion héritée

« Dès lors qu’au moins deux personnes partagent une vision, elles forment un égrégore. Certains auront une durée de vie courte, d’autres traverseront les siècles : une histoire d’amour peut durer quelques jours, l’égrégore de l’église catholique a plus de 2000 ans », nous dit Alain Brêthes qui a beaucoup écrit sur le phénomène. L’auteur a répertorié les égrégores en trois catégories. Les égrégores neutres sont les plus nombreux. Ce sont les amicales de quartiers, les cercles professionnels ou les groupes d’amis de longue date. Ces égrégores ne sont pas très inductifs sur le plan de la pensée. Les gens partagent des choses mais vivent leur quotidien sans que cela n’ait de réelle incidence sur leur psyché. 

Ensuite, nous trouvons les égrégores dits « limitatifs » ; ce sont les égrégores de l’égo. L’individu se doit d’adopter les croyances et schémas comportementaux du groupe. C’est le cas des partis politiques, des religions. Ces dernières sont sans doute les égrégores les plus puissants car les plus longuement et largement partagés. L’égrégore s’appuie souvent sur une représentation. Et, de tous temps, les sociétés ont associé leur conviction à une symbolique forte. Or, le symbole c’est justement l’être humain qui projette sa pensée. Il est la manifestation formelle d’une énergie latente dirigée vers son accomplissement. Typiquement, l’étoile de David, la croix latine ou le yin et le yang servent de support de visualisation et de point de contact entre les membres, qui, célébrant leur foi, cultivent ainsi leur égrégore. A l’extrémité de cette catégorie, on trouve les radicaux, les gangs et les sectes. 

Enfin, les égrégores « féconds » sont ceux qui élèvent la conscience, qui s’efforcent d’unir et de rassembler, qui expriment des valeurs de justice, d’équité et de bienveillance. Ce sont des énergies utiles à la communauté mondiale, qui prennent la forme de courants de psychologie humaniste, d’associations humanitaires ou de mouvements spirituels contemporains. 

Tout est égrégore

« Observez un dîner entre amis, il y a toujours celui qui fait rire, celui qui râle etc. Chacun joue un rôle qu’il quitte une fois rentré chez lui. Ils entretiennent leur égrégore. Un match de foot avec son équipe préférée, la rentrée des classes de son enfant ou un déjeuner dans la maison de famille… Nous évoluons en permanence parmi ces zones sociales invisibles, très conditionnantes. Même quelqu’un qui voudrait échapper à ce phénomène en partant vivre sur une île déserte, se relierait encore à l’égrégore des gens qui aspirent à s’isoler sur une île déserte », plaisante l’auteur. Parfois trop forte, l’empreinte peut néanmoins donner cette impression d’être englué dans l’existence d’un autre. « Pour autant, souligne Kaly, magnétiseur,il ne faut pas confondre égrégore et possession. On sort d’un égrégore en quittant les gens ou les idées qui nous y rattachent. Cela peut être difficile mais il n’y a que ça à faire ». Dans ce cas, la psychothérapie peut être un moyen pour prendre conscience du parasitage « énergétique » qu’exercent les valeurs de notre cercle ou de notre communauté. 

Mais quitter un égrégore n’est jamais que l’occasion d’en intégrer un autre. Un cheminement de vie clairvoyant permettra simplement de choisir ses sources d’inspiration, toujours avec le cœur. « Car, insiste Alain Brêthes, on ne peut pas y échapper. Tout est égrégore, c’est l’archétype universel, ce qui vient conditionner nos représentations ». Lorsque l’enfant qui naît prend son premier inspire, il se relie déjà à l’égrégore de la famille dans laquelle il arrive, mais également à l’égrégore de son pays et de l’histoire de son pays. Il inhale une quantité d’énergie collective qui ne lui appartient pas en propre et qu’il va faire sienne. « L’égrégore est la contre-partie psychique d’un groupe humain », ajoute-t-il. Il vit donc à la fois sur un plan physique, au travers des êtres qui le portent et sur un plan astral. Celui-ci est un espace intermédiaire, une sorte de canal qui nous relie à notre dimension éthérique, ultra-pronfonde. C’est par lui que communiqueraient les énergies subtiles des uns et des autres qui, unifiées, forment l’égrégore. Nul besoin donc d’être physiquement ensemble ; l’égrégore est comme le négatif de notre expérience vécue, une réalité alternative dans laquelle nous sommes en présence les uns des autres. 

Le rapport entre le caractère invisible, impalpable de cette énergie et son pouvoir bien tangible a très tôt fait sa dimension sacrée. Dans certains courants occultes, l’égrégore est un véritable support rituel. Les premiers à avoir exploré leur potentiel égrégorique furent les francs-maçons, reliés à travers le monde et les époques par leurs codes et initiations mystérieuses. Les écoles ésotériques utilisent l’égrégore comme un puissant outil divinatoire. Le chamanisme fait également de la transe et des cérémonies collectives une porte d’accès vers l’énergie universelle. Mais aujourd’hui, notre sacro-sainte science moderne tend elle aussi à s’emparer du phénomène. 

Aura universelle

Depuis un peu plus de quinze ans, une théorie discrète est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine. Le Global Consciousness Project (Projet de Conscience Globale) est une expérience parapsychologique débutée en 1998 au sein de la prestigieuse université de Princeton, aux États-Unis. L’initiative, qui réunit scientifiques et ingénieurs, cherche à établir l’existence d’une activité énergétique universelle, grâce à un générateur aléatoire de nombres, un petit boîtier conçu au départ pour détecter les mouvements de pensées d’un cobaye. Après en avoir éprouvé l’efficacité sur une seule personne à la fois, l’appareil, baptisé Egg, est testé sur un groupe. On réunit une trentaine de personnes et on les invite à parler et à bouger comme bon leur semble. L’appareil de mesure, placé dans un coin de la pièce, ne réagit pas. Mais quand on demande ensuite au groupe de s’asseoir et de méditer ensemble, l’appareil semble capter une synergie et amorce une courbe. La découverte fait l’effet d’une bombe dans la communauté scientifique. Bientôt, des dizaines d’autres boîtiers Egg sont envoyés aux quatre coins du globe, de l’Alaska aux Fidji, avec une question précise : est-il possible de détecter un émoi collectif à l’échelle planétaire ? Les premiers résultats sont étonnants : lors des funérailles de Lady Di, les boîtiers enregistrent jusqu’en Chine une variation du champ psychique. 
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A ce jour, 65 générateurs sont positionnés dans presque autant de pays, dont deux en France. Tous reliés en réseau, ils archivent en continu l’encéphalogramme terrestre. Chaque fois qu’un événement mondial se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus il est fort et médiatisé, plus elles sont importantes. L’informaticien Pierre Macias héberge l’un des deux Egg français à Toulouse : « Le flot de données des capteurs tend à s’éloigner des valeurs attendues lorsque se produit un événement public qui concentre les pensées et les émotions d’un grand nombre de gens. Le jour de l’attaque terroriste du 11 septembre 2001, la probabilité pour que les capteurs enregistrent une telle variation  »par hasard » fut de l’ordre de 1 pour 1 million… Nous ne savons pas encore comment expliquer ces relations subtiles entre des événements d’importance pour les hommes et les données obtenues mathématiquement, mais elles sont indéniables aujourd’hui. Ces résultats montrent à l’évidence que le monde physique et le monde de l’esprit humain sont liés d’une relation encore inconnue ».

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