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De l’illusion à la Réalité Lumineuse

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2014

 

74847275_pNos vies nous paraissent souvent complexes parce que nous avons une perception faussée des choses. Nous regardons notre environnement ainsi que notre monde et nous croyons que tout cela est réel. Nous croyons que les situations et les relations qui se produisent sont le résultat de coïncidences, le fruit du hasard. Bien souvent, il semble que nous n’ayons aucun contrôle sur les événements alors, nous nous positionnons en tant que victimes. 

LA Réalité est toute autre. En fait à chaque instant, nous sommes le résultat de toutes nos expériences de vies. Ce qui se passe dans nos vies et dans notre environnement physique est le reflet de notre conscience. Je sais, cela semble difficile à comprendre, mais c’est parce que nous nous sommes séparés de notre Divinité que tout semble difficile et compliqué. 

Pendant quelques secondes, essayez de prendre du recul et d’appréhender les situations d’un autre point de vue. La plupart du chaos dont l’Humanité fait l’expérience, provient du fait que nous pensons être des intelligences séparées de Dieu. Certains ont même pensé que nos corps étaient la seule réalité possible. 

Nous en sommes venus à cette conclusion parce que notre regard s’est limité à l’environnement physique et nous en avons conclu que cela était la seule réalité.

Nous sommes des êtres multidimensionnels, et le monde physique que nous interprétons avec nos cinq sens ne représente qu’une partie des différentes dimensions que nous sommes. Nos cinq sens : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût limitent notre perception et notre interprétation nous poussant à croire que le monde physique est la seule réalité. 

Vous avez sûrement déjà entendu l’histoire des trois aveugles découvrant un éléphant. Un des hommes tient la queue et dit : « Un éléphant c’est long et fin comme un ruban ». Le deuxième pose sa main sur la patte et dit : « Non, un éléphant c’est cylindrique et fort comme un pilier! ». 

Le troisième qui a sa main sur le flanc de l’animal déclare : « Vous avez tort, un éléphant c’est énorme et large comme une montagne ! ». Cette histoire symbolise notre propre façon limitée dès lors que l’on tente de définir la réalité du monde au travers d’un de nos sens. 

En fait, le monde physique que nous pensons être le plus réel est le monde le moins réel de tous. Ce plan physique est même appelé le monde de l’illusion. Notre distorsion de la réalité est directement issue de notre séparation d’avec notre Divinité, ce que certains appellent « la chute ». Le voile de l’illusion, appelé également « le voile de Maya », est devenu de plus en plus épais, faussant encore et encore notre perception. Nous avons alors sombré dans la terrible croyance de la limitation. Avant « la chute », nous maîtrisions parfaitement la Loi d’Attraction et nous savions que nous étions les cocréateurs de notre réalité physique.

 

Nous savions que nos pensées, nos mots, nos actions et nos émotions étaient projetées dans l’Univers et manifestaient instantanément ce sur quoi nous portions notre attention. Nous avions pris conscience que la Loi d’Attraction était une Force Créatrice, une Lumière de la Source Universelle de toute Vie qui coule en nous à chaque instant. 

Même si nous avons oublié cette Loi, cela ne change rien à la réalité de son existence. La Loi d’Attraction fonctionne ainsi : Alors que la Lumière (notre Don de Vie), coule à travers nous, elle capture les vibrations particulières à notre conscience et exprime ces vibrations dans le monde de la forme sous forme d’expériences et de situations. Notre conscience est toujours un cumul de nos croyances, de nos pensées, de nos actions et de nos émotions. Par conséquent, tout ce qui se manifeste dans nos vies maintenant, que ce soit au niveau de l’argent, de notre santé, de nos relations de notre travail, de notre joie, de notre succès ou de notre sérénité, tout, oui  tout, est le résultat de nos croyances, pensées, mots actions et sentiments. 

Tant que l’Humanité persiste dans l’idée que nous sommes séparés de Dieu, nous ferons l’expérience d’événements difficiles et de conditions complexes. Seulement, quand nous aurons intégré à nouveau que nous sommes Divins en notre essence, Un avec Dieu, nous nous élèverons au-dessus du monde de l’illusion et nous pourrons enfin exprimer la Réalité d’un Paradis sur Terre. 

L’Humanité a donné trop de pouvoir à la matière. Nous avons donné à notre corps physique le pouvoir de nous élever ou de nous engluer. Nous avons donné à notre réalité physique la possibilité de nous invalider par la maladie, la pauvreté, la tristesse, la vieillesse, etc… . Nous avons permis à la manifestation physique limitée de devenir notre seule Réalité, alors qu’en Vérité, tout cela n’est qu’une illusion créée par nos pensées, nos croyances, nos mots, nos actions et nos émotions. 

Il est temps pour nous de prendre conscience que la matière ainsi que nos corps ne sont pas des intelligences séparées de Dieu, mais plus exactement des masses atomiques contrôlées par notre conscience… 

Il est temps pour nous de développer notre conscience en ACCEPTANT notre Vraie Réalité. Nous devons aller à l’intérieur de nous-même et établir à nouveau une relation  d’amour avec notre Présence Divine, cette partie de nous- même qui n’est qu’un avec Dieu !… 

Patti-Diane Cota-Robles

Traduit par Dominique-Claire Germain pour la Magazine Vivre sa Légende n°16

Publié dans Chemin spirituel, En 2012-2013 et après 2016 | Pas de Commentaire »

La Récolte est abondante, bien que les laboureurs soient peu nombreux

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2014

 

bradenpress2008new8 000 Personnes qui méditent en même temps, pourraient provoquer une bascule colossale pour la Planète !

De récentes études sur les effets de la prière apportent une nouvelle crédibilité aux anciennes proclamations suggérant que « nous pouvons faire quelque chose » à propos des horreurs commises dans notre monde, aussi bien aujourd’hui que dans l’avenir.

Ces études confortent le faisceau de plus en plus important de preuves assurant que les prières concentrées, spécialement celles pratiquées à grande échelle, ont un effet prévisible et mesurable sur la qualité de vie, durant la durée de la prière.

Des études statistiques approfondies effectuées durant les périodes de prière et portant sur certains éléments de notre vie quotidienne, tels les crimes et les accidents de la circulation, montrent une relation directe entre les prières et les statistiques. Au cours des prières, les statistiques baissent. Lorsque les prières cessent, les statistiques remontent à leur niveau précédent.

En 1972, des études établirent que vingt-quatre villes américaines de plus de 10 000 habitants enregistrèrent une réduction mesurable du taux de criminalité lorsque 1% de la population (soit 100 personnes par 10 000 habitants) participa à une forme quelconque de méditation.

Ce phénomène fut intitulé « l’effet Maharishi ». Durant des siècles, des prophètes et des Sages ont suggéré qu’il suffirait de 0,1% de la population du globe oeuvrant ensemble de façon unifiée pour bouleverser la conscience de notre monde. Si ces chiffres sont exacts, une très faible minorité d’individus peur planter les graines de gigantesques possibilités.

Aujourd’hui, la population mondiale est estimée à plus de 6 milliards d’individus.

Le 0,1 % proposé par les prophètes représenterait un nombre approximatif de six millions de personnes. A titre de comparaison, six millions de personnes constituent, à peu près, la population de la ville du Caire ou les trois quart de celle de Los Angeles.

Bien que ces chiffres désignent un nombre optimal susceptible de permettre des changements, les études réalisées à Jérusalem et dans les autres grands centres urbains établissent que le nombre de personnes nécessaires pour provoquer de tels changements peut bien être inférieurs ! Les études montrèrent que les premiers effets de la prière ou de la méditation collective furent perceptibles lorsque le nombre de personnes participant à ces prières était supérieur à la racine carrée de 1% de la population.

Ainsi dans une ville de un million d’habitants, ce nombre renvoie à une centaine de personnes seulement ! Des résultats encore plus probants et peut-être inattendus sont établis lorsque l’on recourt aux principes appliqués dans les villes tests ayant une population beaucoup plus importante. La racine carrée de 1% de la population mondiale représente moins de huit mille personnes, chiffre infiniment inférieur aux estimations des anciens !

 L’organisation d’une prière ou d’une méditation coordonnée suivie par un minimum de huit mille personnes est tout à fait réalisable avec, aujourd’hui, l’avènement du réseau Internet et des communications par ordinateur. En fait, ce nombre est seulement le minimum exigé pour que les premiers effets se fassent sentir – une sorte de seuil à atteindre.

Plus nombreux sont les participants, plus importante est l’accélération des effets constatés. De tels chiffres nous remettent en mémoire les admonestations des anciens nous suggérant qu’une minorité de personnes put provoquer des changements importants dans notre monde.  Peut-être s’agit-il là de la « graine de moutarde » de la parabole utilisée par Jésus pour démontrer l’importance de la foi à ses disciples. L’importance de cette foi nous est rappelle dans l’Evangile perdu selon lequel « la récolte est abondante mais les laboureurs peu nombreux ».

En possession de la preuve de telles potentialités, quelles sont les implications provoquées par l’utilisation d’un tel pouvoir collectif face aux grands défis de notre époque ?

Peut-être avons-nous déjà assisté aux effets d’une telle pratique globale, comme lors de la prière pour la paix effectuée la veille de l’action militaire en Iraq, en Novembre 1998. »

« Lorsque l’Humanité saura utiliser la prière et la méditation au lieu de s’appuyer sur de nouvelles inventions qui créent encore plus de déséquilibres, alors elle trouvera la voie véritable » Robert Boissière citation

Gregg Braden

Publié dans UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Créer son système magique

Posté par othoharmonie le 29 novembre 2014

 

Les symboles du passé et du présent…

SI comme moi vous désirez développer votre propre système magique, il convient de vous pencher sur votre passé et notamment votre enfance. Pourquoi ? Parce que le meilleur support

pour votre système magique personnalisé,  c’est votre vie, les symboles qui l’ont marquée et qui vous font vibrer. Ce sont les clés de votre monde, de votre Être, de votre magie.

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Quand je pense à créer mon système magique, je vise à construire quelque chose qui me correspond à 100%. C’est finalement, pour moi, la vraie différence avec un système dit «traditionnel» où l’on s’adapte à un existant. On cherche des  choses en nous qui rentrent en résonance avec les concepts, puis on les «calque» dessus. On fait les liens mentaux et spirituels nécessaires, un peu comme l’on traduit un langage étranger en notre langue maternelle. La langue de l’Être. 

Créer son système magique implique, majoritairement, que l’on part de soi, on fonde de zéro sur des bases symboliques qui nous sont propres. Et à moins que vous ne soyez né(e) dans une famille possédant une bibliothèque remplie d’ouvrages ésotériques, vous avez plutôt grandi avec des symboles plutôt exotériques. Concrètement : des films, des livres, des jeux vidéo, des faits marquants de votre vie, vos rêves, vos cauchemars, etc. Je suis convaincu que tout ce qui fera de nous des praticiens efficaces est en nous et à chaque instant de notre vie, depuis ses débuts. C’est la culture de l’Être, vous avez en vous les graines qui ne demandent qu’à germer, si vous décidez de les faire passer de l’ombre à la lumière… 

Mais ce ne sont que des films / jeux / livres…

Ils sont bourrés de symboles qui vous ont ému, marqué. Ce qui est lié à l’émotionnel, est très probablement lié au plan Astral, par exemple. Plus encore, ce sont ces évènements, ces choses qui vous ont aidé à devenir ce que nous sommes aujourd’hui. N’est-ce pas la meilleure preuve qu’ils ont un fort potentiel ? Combien d’entre nous (de ma génération, 90) ont été influencés, par exemple, par les films de Tim Burton, les Disneys, ou encore des jeux comme les Final Fantasy, Zelda, et autres ? Et plus anciens, mais non moins inévitables, les contes et légendes (Grimm par exemple) ? 

Les artistes qui sont à l’origine de ces oeuvres sont influencés, consciemment ou inconsciemment, par des symboles de leur esprit. Pour moi, la création artistique est une manifestation des énergies extérieures ou intérieures. Je ne crois pas une seule seconde que toute oeuvre artistique soit le résultat d’un vide énergétique. Derrière ces symboles, il y a de l’énergie, des mondes/sphères énergétiques, voire des entités, qui cherchent à s’exprimer, à  exister. Personnellement, je ne doute nullement de leur influence, de leur existence et de leur « utilisabilité ». 

Il faut ajouter à cela les effets du phénomène égrégorique (voir la vidéo de Vincent Lauvergne qui explique ce qu’est un égrégore et son atelier sur comment en concevoir un). En effet, je pense  par exemple au monde de Tim Burton, des millions de personnes l’utilisent, le reconnaissent aisément. Le monde de Tim Burton continue d’inspirer des milliers d’artistes qui contribuent à augmenter le potentiel énergétique de ce « monde énergétique », tout comme les fans. Et aujourd’hui, les symboles qui découlent de ce qui n’était qu’une simple vue d’artiste, peuvent être bel et bien utilisés en magie, peu importe que certains trouveront cela peu sérieux voire ridicule. Je vous invite à essayer, faîtes-vous votre propre opinion, je suis certain que vous serez très surpris des résultats…

 Le monde est composé d’énergie. Le monde est infini, c’est un agglomérat de mondes et de sphères d’énergies dont nous sommes plus ou moins les architectes.

 Leur utilisation dans votre système 

Dans ma vision de la création d’un système magique, nous pouvons utiliser plusieurs choses pour structurer notre magie. Des archétypes / valeurs : j’ai eu l’occasion de travailler avec des archétypes magiques (gloire, force, justice, peur, mort, etc.) et j’ai eu des résultats étonnants avec. C’est Le livre des pouvoirs, de De Thanateros, Frater Luminis Negri qui m’a donné de bonnes méthodes pour les utiliser en magie. De par leur « neutralité culturelle » et leur universalité, les archétypes peuvent être conjugués avec tous les systèmes magiques, dont le vôtre. Ils peuvent être personnifiés de la manière dont vous le désirez, ce sont des alliés précieux et efficaces. Par exemple : quel personnage symbolise le plus la force pour vous ? 

Les sphères/mondes énergétiques : prenez un monde énergétique (l’univers d’un film par exemple, ou d’un artiste) et essayez de le décrire. Que vous évoquent-ils ? Quels aspects positifs pouvez-vous en tirer ? Quels sont leurs éventuels aspects négatifs dont vous devrez vous méfier (ou utiliser à des fins plus borderline…) ? 

La musique : à chaque instant de notre vie, des musiques nous accompagnent. Il nous arrive souvent, d’ailleurs, d’associer la découverte d’une musique à un moment de notre existence, à une épreuve. Plus encore, certaines musiques manifestent chez nous d’incroyables ressentis.

Ce sont d’excellents outils, pour se connecter à nos souvenirs et à des énergies avec lesquels nous avons un lien particulier. Les odeurs : combien de fois vous êtes vous dit que ce parfum vous rappelle un moment de votre vie ? Faites une petite liste des senteurs qui vous évoquent des souvenirs ou des sensations claires. Utilisées pendant un rituel, elles pourront stimuler vos visualisations et renforcer vos actions, de la même manière qu’un encens spécifique, relié au travail que vous effectuez. Des objets : nous avons tous des objets insolites qui ont marqué notre enfance et qui peuvent servir de connexion avec des ressentis ou des souvenirs de votre passé, qui pourront vous aider dans votre pratique. Est-ce qu’il y a également des objets qui sont pour vous la manifestation concrète d’un symbole ou d’un archétype ? (exemple : une épée pour la notion de force, une balance pour la justice). N’hésitez pas à les recenser pour les utiliser dans vos rituels. En association avec les classiques athamés, coupes, baguettes, cela renforcera les possibilités et les effets…

Comment les découvrir ? 

Comme dans tout chemin spirituel, l’introspection est la clé de son développement. «Connais-toi toi-même» est un très bon credo. D’autant plus si l’on souhaite développer son système basé sur nos ressentis et principalement le symbolisme de notre inconscient ! 

Je vous conseille donc de faire une synthèse de différentes choses qui rentrent en résonance avec vous :

- Des valeurs et archétypes qui correspondent à votre personne

- Des symboles ésotériques ou exotériques avec lesquels vous vous sentez à l’aise

- Des mondes/sphères énergétiques que vous avez envie de découvrir (exemple : le monde artistique de Tim Burton)

- Des entités/personnages qui vous ont marqué et avec qui vous voudriez travailler

- (Complémentaire) Des musiques qui vous évoquent les éléments ci-dessus

- (Complémentaire) Des senteurs/parfums en relation

- Toute autre chose qui vous aidera à vous connecter à ces symboles   

 Petits conseils / avertissements nécessaires

Je pense nécessaire de préciser certaines choses à propos de cette démarche de conception   d’un système personnel. Des avertissements qui s’adressent surtout à un public débutant dans le domaine de l’ésotérisme. 

* Conservez votre esprit critique : nous avons tous eu des « grands moments de révélation », ou des ressentis tellement importants que nous les avons potentiellement mis sur un piédestal, telles des vérités absolues. Même chose pour les « messages d’entités ». Il convient de toujours avoir un recul sur nos ressentis, de les méditer et de les approfondir pour s’assurer que l’on ne s’appuie pas sur une branche qui menace de craquer. Quand on crée un système magique cohérent, on s’appuie sur des bases solides. 

Le recul, le doute, l’esprit critique et la raison sont vos gardes-fous, ils sont ceux qui vous garderont de vous enfermer dans votre monde et potentiellement dans des illusions qui peuvent avoir raison de votre équilibre mental. Si vous avez besoin d’exemples, il y en a suffisamment chez des occultistes modernes reconnus qui ont finit en asile psychiatrique, ou qui sont morts dans des conditions pour le moins… étranges. Explorer votre inconscient et travailler avec les énergies n’est pas un jeu; gardez-cela en tête. 

* Gardez les pieds sur terre : un bon ancrage est ess-en-tiel dans ce travail. Cela veut dire, sortir s’aérer la tête, vivre sa vie physique, passer du temps avec vos proches et vos amis, vous vider la tête. Faire des activités hors-éso. Travailler votre connexion avec les énergies terrestres, matérielles, qui vous éviteront de vous replier sur vous-même, dans votre monde et de vous faire perdre le sens des réalités. Une vie équilibrée est le cadre idéal d’une spiritualité épanouie. 

* N’imposez pas votre système comme une vérité absolue : gardez en tête que votre système est construit sur-mesure par vous et pour vous. D’autres personnes arriveront aux mêmes résultats que vous avec d’autres méthodes. Il marche du tonnerre pour vous ? Grand bien vous face ! Mais ne soyez pas prétentieux en hurlant sur les toits que votre système est la référence absolue. En plus d’être faux, ce serait un bel exemple d’immaturité. Respectez les croyances des autres et les plus intelligents d’entre eux respecteront les vôtres. Il n’y a pas de mauvais système, il y a surtout de l’incompréhension entre les utilisateurs. Seuls les résultats comptent. 

Soyez humbles et respectez donc le credo du magicien : savoir, vouloir, oser, se taire. * Créer son système magique est le travail de toute une vie : concevoir quelque chose d’assez solide pour être exploité nécessite beaucoup de travail. Un travail dans la durée, régulier, qui nécessite beaucoup d’investissement, de recherches, de tests pratiques. Tout s’affine et se complète avec le temps, votre parcours de vie. Si vous pensez qu’en quelques heures de travail vous allez avoir quelque chose IMGP3254 (Copier)d’exploitable, vous allez être très déçu ! ne vous découragez pas de voir qu’il y a toujours des zones d’ombres, des incertitudes et des doutes sur votre système. Concentrez-vous sur les résultats obtenus, améliorez votre système au fur et à mesure. Aucun chercheur n’a  trouvé la bonne formule du premier coup, mais après des tests, des erreurs et des analyses qui ont fait avancer le tout. Pardonnez-vous vos erreurs, car si vous y mettez votre coeur et de la bonne volonté, vous verrez que le travail paie toujours; et ne vous motivera que plus pour  continuer !

* Pratiquez, pratiquez, pratiquez : le meilleur conseil que l’on ne m’ait jamais donné. La théorie

ne suffit pas, la pratique est le seul moyen d’éprouver votre système et de l’améliorer. N’hésitez pas, ne soyez pas paranoïaques sur les éventuels risques (à vous de bien vous préparer et ne pas faire n’importe quoi n’importe comment) et vous y arriverez !

 

Retrouvez les articles d’Aldénor Aube-Ardente sur son site : http://www.aube-ardente.fr

 

 

Publié dans Créativité, PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS | Pas de Commentaire »

La porte et son symbole

Posté par othoharmonie le 29 novembre 2014

 

Celtic-trompe-loeilLa porte se distingue de toutes les composantes ordinaires d’un paysage. On la remarque, on la cherche, elle balise notre regard. 

On sait qu’on devra en passer par là. Elle coïncide avec les limites et fonctionne stratégiquement avec elles. Une porte seule, dans le vide, apparaît comme le point unique du franchissement. Passage approprié, naturel ou tactique. La porte organise l’espace et marque le temps. 

 L’incitation au passage oblige ensemble le corps et l’esprit. L’un s’acquittant du mouvement, l’autre du sentiment d’accéder à l’inconnu. Se questionner sur la porte, c’est travailler sur la définition de l’espace sacré, sur le dedans et le dehors pour ainsi prendre conscience que cet élément d’architecture reste un élément majeur et incontournable. Percevoir au présent les deux directions du temps est un don offert à Janus par Saturne chassé de l’Olympe en remerciement de son hospitalité dans le Latium. 

Cette faculté conduit naturellement Janus à présider au destin des Portes. Celui au visage ridé regarde le soleil décliner au fil des jours, au solstice d’été, celui au visage jeune tourné vers la remontée du soleil, au solstice d’hiver. Janus était craint et respecté comme étant le maître du temps qui détruit ce qu’il a produit. Il était considéré comme le gardien des portes célestes, celles qui ouvrent le chemin vers la Lumière, devient le guide des âmes en quête d’un chemin. Il était paré des emblèmes du portier : le bâton et les clés. 

Dans la vieille Étrurie, « janua » désigne la porte domestique, « janus » un passage à double entrée, « januarius » le premier mois de l’année. 

À Rome, le temple de Janus ouvrait ses larges portes en temps de paix, les fermait en temps de guerre. Si l’on retourne aux premiers versets de la Bible, au chaos initial dont Elohim a tiré  successivement, en quelques jours, les couples Ténèbres/ Lumière, Terre/Ciel, etc, on s’aperçoit que tandis que le Temps fut immédiatement mesuré et partagé en jour et nuit, puis en semaine, l’Espace, lui, demeurait infini, sans limite, un immense territoire de montagnes, de plaines, d’océans peuplés de plantes et d’animaux. Elohim ne s’est pas occupé de partager l’Espace. Il a laissé aux hommes cet espace terrestre : à eux d’en faire ce qu’ils voudraient. 

Les hommes groupés en tribus se sont installés ici ou là. Impressionnés par les forces de la Nature bienfaisante, ou malfaisante (le Soleil, la Pluie, la Tempête, les frimas…) ils ont délimité des espaces sacrés pour rendre grâce ou amadouer ces divinités capricieuses. Au début du Paléolithique supérieur, l’homme préhistorique, observant le soleil sortir de la terre le matin et y rentrer le soir, constata vite qu’il le faisait en des points différents, que le chemin parcouru dans le ciel est différent chaque jour, qu’il ne brille pas avec la même force et la même durée, que cela varie selon les époques et que les jours et les nuits n’ont pas la même longueur sauf à quelques moments qui reviennent périodiquement. Il remarqua également que le soleil éclaire et réchauffe le jour, qu’il chasse l’obscurité et qu’avec la lumière disparaissent les dangers de la nuit et les angoisses des ténèbres. 

Cela étant, du soleil, l’homme en fit un Dieu et il chercha à en prévoir la venue. Il commença à repérer, d’abord avec des cailloux, puis des bâtons, puis encore des pierres levées, les positions des levers et des couchers de soleil. Il érigea ensuite des colonnes aux positions extrêmes, deux pour les levers et deux pour les couchers. En observant les saisons, l’homme primitif créa sans le savoir les portes solsticiales, mais il comprit vite que les solstices sont à la fois des limites et des portes. Cette assimilation, et les fêtes qui les accompagnent remontent aux traditions les plus reculées de l’humanité et sont communes à tous les peuples anciens et à tous les cultes. 

L’espace commence à se géométriser au sens étymologique du mot, au sens où l’arpenteur est un géomètre, un mesureur de terre. Ainsi, cette géométrisation favorise et entraîne la  sacralisation des choses. Le temple est consacré parce que bien délimité, coupé du monde extérieur. Il est un centre et un axe qui stabilise le groupe. L’espace, une fois clos, détermine un dehors et un dedans, un extérieur et un intérieur (et quand il s’agit du Temple, le profane et le sacré). Ainsi, chez les grecs s’opposaient Hestia et Hermès. À Hestia, le dedans, le fixe, la maison : à Hermès,  le dehors, le mobile, les chemins. Ce n’est pas un hasard si le dedans est symbolisé par Hestia, une déesse, et le dehors par un Dieu, Hermès. 

Biologiquement, la femme dont l’énergie reproductrice est interne valorise l’intime, le refuge, la protection, la maison. L’homme, au contraire, dont l’organe reproducteur est externe, valorise l’extérieur, l’exploration, la chasse, la défense de son environnement. 

Il n’y a pas de porte sans seuil. Il ouvre d’un côté sur le passé, de l’autre sur l’avenir. C’est un petit espace qui précède la porte. Sur le seuil nous ne sommes plus tout à fait dehors et pas encore dedans. C’est un espace de liaison entre les deux. Cette notion de dehors/dedans est une notion duelle (comme extérieur/intérieur) car l’une des parties n’existe que dans sa relation avec l’autre et par rapport à un lieu déterminé. C’est à partir de ce moment où il y a un lieu clos par une porte qu’il y a un seuil. Car la porte et le seuil sont liés bien évidemment puisque c’est par la porte que se fait le passage du dehors au-dedans et vice versa. 

Quand il s’agit d’entrer pour la première fois dans un lieu sacré, l’aventure, l’imprévisible se situe à l’intérieur, de l’autre côté de la porte. Sur le seuil, on est pris d’angoisse à l’idée de s’engager dans un monde clos, d’avoir à répondre de soi, de participer, de perdre ce que l’on croit être sa liberté ou une partie de sa liberté. Le seuil est lié à la notion de passage, en quelque sorte d’initiation (du latin initium, qui veut dire entrée). Tous les rites sont des rites d’entrée, du passage dehors/dedans et non l’inverse. C’est qu’entrer dans un lieu fermé est une sorte d’intrusion qu’il importe d’annoncer, de rendre bienveillante et acceptable, qu’il s’agisse d’un lieu sacré ou d’un lieu profane. Ces rites permettent de passer du profane au sacré en respectant leur étanchéité. 

Le monde profane, est un monde de substances stables dont nous connaissons la matière, le  fonctionnement, les règles. Le monde sacré est un monde d’énergies mystérieuses dont nous saisissons mal le sens, les finalités. Certaines choses, certains êtres, certains espaces, certains temps lui appartiennent. 

Pour progresser, il ne suffit pas de transgresser les règles et les lois. Il faut « se transgresser » soi-même, se dépasser. C’est l’enseignement que nous proposent d’innombrables mythes et contes ou le héros affronte les monstres gardiens des seuils, symboles agressifs  des interdits. Ils provoquent a la transgression, mais aussi a la domination de la peur, au courage, a l’abnégation. C’est face a ces dragons, serpents a sept tètes, cyclopes, méduses, ogres, sorcières de toutes sortes que le sujet fera ses preuves, donnera la mesure de ses capacités d’intelligence, de force physique et morale, d’ingéniosité. Le faible sera terrassé par la bête : le fort, vainqueur, aura progressé dans l’amélioration de lui-même. 

Les monstres sont aussi gardiens de trésors, signal du sacré. Accroupis au seuil des lieux sacrés, ils veillent. Que ce soient les Pommes d’Or des Hespérides, dans les douze travaux d’Heracles/Hercule, la Toison d’Or de Colchide ravie par Jason, ou tous les trésors de perles et de diamants de la terre, tous sont gardés par des monstres. Et peut-être faut-il considérer le Serpent de la Genèse comme le monstre gardien de l’Arbre de la Connaissance, un gardien pervers qui au lieu de rugir ou de cracher des flammes, séduit, pour mieux triompher. Les voies de la richesse, de la gloire, du savoir, de l’immortalité sont très bien surveillées : on ne s’en empare pas facilement : il faut en être digne, se dépasser. 

Toujours associé au seuil et a la porte, le monstre relevé aussi de la symbolique du passage. Il dévore le vieil homme pour que naisse l’homme nouveau. Le monde qu’il garde ici n’est pas celui des biens matériels mais plutôt le monde intérieur et spirituel auquel on n’accède que par une transformation intérieure. 

Tout être traverse les ténèbres avant de découvrir la Lumière. L’initiation comme la mort, comme l’extase mystique, comme la grâce de la foi équivalent a un passage d’un mode d’être a un autre et opèrent une véritable mutation de la personne. En somme c’est le moment de réflexion qui impose un choix, une décision car on ne demeure pas sur le seuil… Un pas de plus et c’est le passage, l’initiation à l’autre, à l’ailleurs, a l’autrement. La porte est la devant nous, il suffit de tirer la bobinette et la chevillette cherrera. Le seuil, la porte, le passage sont si liés entre eux qu’il est difficile de les séparer comme on démonterait un objet en ses différentes pièces. Ce que nous avons dit du seuil peut se répéter pour la porte car elle se présente aussi comme une limite, une frontière. Mais elle est plus que cela et, en y réfléchissant, d’autres thèmes se précisent qui prolongent et enrichissent la réflexion. 

En architecture, les portes sont toujours l’objet d’une attention particulière. Elles annoncent la nature, la fonction et même le statut social du bâtiment. Selon qu’elle est fermée, ouverte, entrouverte, fermée a clé, battante, une porte est, sans changer de nature, présence ou absence, appel ou défense, perspective ou plan aveugle, innocence ou faute… 

L’homme qui le premier bâtit une hutte créa un espace limité, distinct de l’illimité du reste du monde. En perçant une porte, il créait une communication entre le dehors et le dedans, entre l’extérieur et l’intérieur. La porte fermée est mur : ouverte, elle devient issue, accès, passage. Elle se métamorphose sans cesse, tantôt apparaissant solide, infranchissable, tantôt glissant dans ses gonds, elle s’efface, disparaît pour laisser passage. Elle apparaît et disparaît jouant de la métamorphose mécanique suivant les besoins.

La porte peut s’ouvrir et se fermer : c’est sa fonction. Les possibles ne peuvent être réalisés en même temps ; ils sont là en puissance, latents, mais en acte, un seul possible à la fois se réalisera en alternative avec l’autre. Le et entre ouvrir et fermer indique la complexité des fonctions de la porte, ses capacités possibles : le ou situe chacune d’elles en acte dans le temps. Le et le ou ne s’opposent pas ; ils indiquent des niveaux différents. 

Par contre, l’idée de dehors/dedans, soit séparé soit communiquant par la porte fermée ou bien ouverte, nous entraîne dans la dialectique des oppositions oui/non, je veux/je ne veux pas, ici et la… ici bas/ au-delà. Dans sa signification duelle, la porte, figure paradoxale, implique la coexistence des contraires et leur harmonisation dans le temps. 


Le fait de pouvoir jouer avec ces deux fonctions opposées, confère à la porte une grande richesse symbolique qui exprime à travers elle des sentiments et des espoirs. La clé qui verrouille et cadenasse la porte insiste sur le « fermé » ; la porte entr’ouverte, ouverte, grande ouverte nuance le degré de communication, d’accueil possible. L’entr’ouvert inspire l’hésitation, puis incite à la tentation, au désir.

Janus n’est pas la seule figure symbolique de la porte. Les chrétiens ont St-Pierre et la clé du Paradis. Tous ont pour mission de contrôler les entrées et parfois les sorties, de veiller à l’ordre établi, d’empêcher toute intrusion indésirable. Janus est à la fois le portier et le gardien : il contrôle, sélectionne et protège la porte. 

Avec le bâton, il chasse les intrus, avec la clé, il ouvre, ferme… mais peut aussi enfermer, retenir  prisonnier. Ainsi la porte étroite, celle qui nous fait plier les genoux, baisser la tête et resserrer le corps pour passer de l’autre côté de son battant, symbolise la difficulté du passage, d’un monde dans un autre. Mais elle évoque aussi le sablier : sa forme en deux vases égaux reliés par un étroit goulot montre l’analogie entre le haut et le bas. Sablier et porte nous invitent a méditer sur la fuite du temps, sur  l’éphémère. Nous ne faisons que passer dans l’infini du temps. A l’entrée et à la sortie de la vie, les portes entre le ciel et la terre, entre l’esprit, la matière et la chair, s’ouvrent. Au moment de la naissance, l’enfant est expulsé du ventre chaud et douillet. Son séjour aquatique terminé, c’est par un cri que le nouveau-né s’annonce dans le monde aérien. Première initiation. Première perte pour devenir un être distinct. Le prix à payer… la séparation d’avec le corps de la mère. 

Dans les litanies de l’Immaculée Conception, l’Église donne a la Vierge les épithètes de « Porte close d’Ezechiel », « Porte d’Orient », et « Porte du Ciel ». Marie est même parfois représentée, dans l’iconographie médiévale sous l’aspect d’une porte fermée (Stalles d’Amiens). La porte du Temple maçonnique est désignée sous le nom de « Porte d’Occident » : en effet, c’est à son seuil que le soleil se couche, c’est-à- dire que la lumière s’éteint. Au-delà, règnent les Ténèbres du monde profane. Pour les Alchimistes, la porte donne accès à la connaissance. Relation cherchée ou perdue, révélation, accès à la Lumière ou à la connaissance, il s’agit toujours d’une étape nouvelle, d’un changement de niveau, de  milieu, de vie. 

On termine quelque chose pour commencer autre chose : c’est l’initiation, le point de départ d’une expérience neuve. On a quitté un lieu pour en rejoindre un autre. Le passage est un mi-lieu, un entre-lieu, un tiers-lieu entre le départ et l’arrivée. Mais il est aussi un temps, un entre-temps, un tiers-temps entre la naissance et la mort. On passe d’un endroit a l’autre, d’un moment a l’autre, d’une question a l’autre… c’est toujours un passage. 

Le cycle des saisons toujours recommencé nous a familiarisé avec ces passages de l’automne/hiver/mort au printemps/été/vie… et puis on recommence. Nous savons que le grain sec et apparemment mort, enfoui dans la terre, renaîtra en moisson dorée ; que si le soleil meurt derrière l’horizon, il renaîtra demain, à l’aube. Mourir ici, renaître ailleurs. 

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L’année dans son rythme régulier et perpétuellement recommencé évoque le cercle ou l’Ouroboros grec, le serpent qui se mord la queue dont une moitié est blanche et l’autre noire symbolisant, selon les astrologues, les six mois masculins et spirituels (de l’équinoxe d’automne a celui de printemps) et dont le milieu (le  solstice d’hiver) est la porte des dieux, et les six mois féminins et matériels (de l’équinoxe de printemps a celui de l’automne) et dont le centre (le solstice d’été) est la porte des hommes. 

Chaque société fixe son 1er de l’an en fonction de son climat, de sa religion et cette date peut changer. Ainsi en Europe occidentale, jusqu’en 1564, l’année civile commençait à Pâques (le 25 mars) et, c’est pour évincer le culte de Mithra, dieu solaire fêté au solstice d’hiver, que l’Église fixa la naissance du Christ au 25 décembre. 

La vieille année s’en va avec un vieillard – le père Noël – tandis que naît la nouvelle année avec un enfant – Jésus – qui sera la Lumière. Dans la tradition des bâtisseurs, les porches et portails extérieurs ne représentent pas seulement l’entrée dans le monde céleste, le début du chemin, ils en révèlent également le mystère et l’accomplissement. 

La porte annonce ce qui est au-delà d’elle-même, si bien que réfléchir sur ce symbole demande de s’interroger sur la nature et la forme du temple que l’on veut construire. Parce que l’être humain naît inachevé, incomplet, imparfait, mortel, il avance dans la vie pas a pas, en se transformant, s’adaptant, se complexifiant. Pour franchir chaque étape, chaque seuil, il faut qu’il ait acquis une certaine expérience, une certaine maturité. La prise de conscience de la limite provoque un sentiment de crainte et de fascination, proche du sentiment du sacré. 

«Le rituel de passage canalise tout ce qui semble échapper au contrôle de l’homme» est tentative de maîtriser la transgression, une sorte de mise en scène dans laquelle l’interdit est approché mais de manière symbolique. C’est en passant de matrice en matrice par des portes successives que nous nous souviendrons de ce que nous sommes. Ces portes se font de plus en plus étroites, elles impliquent le dépouillement de tous les systèmes dans lesquels nous nous installons et dont nous nous rendons d’autant plus esclaves qu’ils sont cohérents et satisfaisants. 

Bien d’autres portes existent. Porte de l’imaginaire qui resserre l’espace visible dans la mesure de ses ouvrants, au point parfois de le rendre infime. Par le détournement audacieux de nos rêves d’enfants, Lewis Carroll en ouvre les portes inattendues. Portes éphémères qui existent le temps d’un geste ou d’une cérémonie, construites et déconstruites sur le rythme des calendriers magiques, messianiques ou solaires.

Portes du silence, le clic d’un judas, le frottement lourd sur le sol, un raclement ou le battement sur ses gonds, ces portes la s’ouvrent et se ferment avec fracas : à cause du silence ! 

Portes automates qui ont perdu leur âme et leur portier. Portes frontières, postes de guet, bastions pour surveiller les arrivants. Portes des cathédrales qui lorsqu’elles sont franchies rendent l’esprit et le corps soumis. On baisse la voix, ou même on se tait. Les sons se transforment en chuintements, ils tapissent les voutes et se perdent au pied des vitraux. Chacun prie ou essaie. Rien de plus mystérieux que le  recueillement. Il est impossible de savoir sur quelles dérives s’engage la petite nuit intime que chacun s’offre en fermant les yeux. La porte menant jusqu’ici ne serait-elle qu’un entonnoir de la pensée ? Une conduite forcée pour un passage facile dans l’au-delà ? 

Portes des sites sacrés devant lesquelles il nous faut demander la permission d’entrer. Certains livres sont aussi de véritables portes. On y trouve des paroles sésames qui arrivent au bon moment pour répondre a un besoin, pour éclairer une part de soi jusque là inconnue. L’oeuvre d’art ouvre elle aussi sa porte, par la création, sur l’au-delà des apparences en accueillant l’étincelle de l’émotion, de l’intuition et du rêve. 

Certaines encore, non palpables comme celles franchies par les mediums, porte ouverte sur un autre monde, sur un ailleurs dont on veut croire ou ne pas croire, sur un au-delà. Porte du temps où celui-ci n’existe plus. Et puis, les portes du coeur, par un mot, un regard, un sourire, porte étroite qui mené a l’amour divin. L’être s’épure pour n’être plus qu’un élan spirituel.

 

Pour terminer, je vous citerai un passage de l’Évangile de Thomas commenté par OSHO : « Il existe un tableau célèbre de William Hunt. Lorsqu’il fut exposé pour la première fois à Londres, les critiques posèrent une question. C’est un tableau de Jésus, l’un des plus beaux. Jésus se tient devant une porte fermée, qui semble close depuis une éternité car de l’herbe a poussé contre elle ; personne, semble-t-il, ne l’a ouverte depuis des siècles. Elle a l’air très vieille, défraîchie et Jésus se tient devant elle ; le tableau s’intitule – voici, je suis devant la porte – Il y a un heurtoir sur la porte, et Jésus a le heurtoir en main. 

Le tableau est magnifique, mais les critiques cherchent toujours l’erreur, tout leur mental se porte sur ce qui manque. Et effectivement, ils trouvèrent une erreur : il y a bien un heurtoir à la porte, mais pas de poignée. Hunt se mit à rire et dit – c’est une porte qui s’ouvre de l’intérieur ! – Jésus se tient devant la porte de l’homme, devant son coeur. Elle ne peut pas s’ouvrir de l’extérieur, toute poignée est donc inutile ; il n’y a qu’un heurtoir. La porte du cœur s’ouvre de l’intérieur. Jésus vient frapper à votre porte, mais vous vous mettez à penser. Vous n’ouvrez pas la porte ; au contraire, peut-être aurez-vous peur et vous la verrouillez davantage. Qui sait quelle sorte d’homme se tient dehors ? Il a l’air d’un clochard. Qui sait ce qu’il fera, une fois la porte ouverte ? Dès que vous ouvrez votre coeur, vous devenez vulnérable, vous n’êtes plus aussi à l’abri qu’avant. Et cet homme a l’air d’un parfait inconnu. Vous ne pouvez pas avoir confiance. C’est pourquoi lorsque Jésus se présente à la porte, vous le manquez. 

A la vérité celui qui a peur en vous, ce n’est pas vous. C’est l’égo, ce que vous avez accumulé du passé, votre identité. Cet égo qui va être totalement mis en pièces par cet étranger ».

source Lune Bleue

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Les DOUZE FLAMMES SACREES

Posté par othoharmonie le 26 novembre 2014

 

 

Par Dominique-Claire Germain Texte que vous trouverez dans le nouveau CD

 

voyage20through20the20chacras La nouvelle Terre nous saupoudre chaque jour de sa douce et puissante lumière.

Même si l’éclat de son rayonnement reste pour certains, invisible, ses effets dans le monde de la forme sont spectaculaires. Chacun d’entre nous est pétri, malaxé, secoué de soubresauts étonnants. Nos corps se transforment, nos esprits s’élargissent, notre ADN mute et nos âmes se régalent de cette métamorphose. Nous nous transformons au plus profond afin de manifester ce que nous sommes vraiment : nous sommes des Êtres solaires et lumineux capables de co-créer à chaque instant des univers d’une extrême beauté. 

Le moment de l’éveil est donc venu, le paradis sur terre s’infiltre à tous les niveaux. C’est ainsi que Le nouveau monde s’impose bousculant tout ce qui est. Sa vibration encercle et pénètre chaque particule de vie sollicitant tout ce qui n’est plus en phase avec les énergies de la Cinquième Dimension. Mais que se passe-t-il vraiment ? 

Pendant bien longtemps nous avons fonctionné de façon limitée et médiocre car nous avons ignoré les lois universelles. Nous nous sommes laissé piéger dans les limitations de la troisième dimension, dimension de l’illusion. Aujourd’hui, nous sommes en train de déchirer le voile et de redécouvrir la puissance divine qui bat en nos atomes et en nos coeurs. Cette réintégration et cette ré initialisation de notre divinité se met en place étape après étape et chacune d’elles est essentielle dans le processus d’évolution. Nous ne pouvons pas forcer notre illumination, cela serait dangereux. En revanche, Ascensionner est un travail de tous les jours, une discipline de l’être qui peut se colorer de joie et de légèreté. 

Afin de permettre cette bascule et la mise en place du Nouveau Monde, beaucoup d’évènements cosmiques ont été orchestrés depuis plus de cinquante ans. Ces événements sont la réponse offerte par Tous les êtres de Lumière, c’est l’assistance qui intervient dès lors que nous sollicitons le soutien des forces divines. Même si les circonstances extérieures semblent prouver le contraire, grâce à l’intervention Céleste et grâce au magnifique travail des Artisans de Lumière, la Terre a formidablement progressé. 

En effet depuis la Convergence Harmonique en Aout 1987, la planète et l’humanité ont amorcé le merveilleux processus d’ascension. Ce processus d’ascension n’est rien d’autre que la réappropriation de notre véritable identité Divine. L’ascension est donc une bascule vibratoire, bascule qui nous hisse vers de plus pures et de plus lumineuses fréquences. 

En 1987 Lors de la Convergence Harmonique nos deux polarités Masculines et féminines se sont parfaitement équilibrées. Cet équilibre a bouleversé notre condition d’être. Chaque particule de vie a été hissée à un nouveau degré de conscience. Au même moment notre épine solaire qui superpose notre épine planétaire a été réactivée sollicitant ainsi nos douze chakras solaires. (Aurélia Louis Jones, dans l’un de ces ouvrages évoque les 12 flammes sacrées) 

Le mot chakra signifie « roue » en sanskrit et leurs rôles consistent à faire circuler  l’énergie dans le corps physique et dans nos corps subtils. Ces vortex ont longtemps été « endormis » ou bloqués. La faible activité de ces centres d’énergie ont conduit à la maladie, à la dégénérescence et à l’atrophie. Pendant des millénaires, seuls les chakras planétaires ont fonctionné, couvant en leur sein l’embryon du chakra solaire. Car, en effet nous avons plusieurs chakras : 7 chakras planétaires et les 12 chakras solaires. 

Les chakras planétaires correspondent aux couleurs de l’arc en ciel. Ils sont ancrés dans les glandes endocrines.. Les chakras solaires sont les écrins des 12 flammes sacrées, ce que certains appellent : les 12 aspects de la déité. Les 12 chakras solaires, sont donc ancrés sur l’épine dorsale solaire qui s’aligne à l’épine dorsale planétaire. Dès lors que les 12 chakras solaires reprennent de l’activité (grâce au travail d’amour) nous amorçons véritablement un processus de transfiguration. Leur énergie est puissante mais très subtile, et vibre aux fréquences de la cinquième dimension. 

Leur teintes luminescentes mais très douces se présentent différemment des chakras planétaires.. Le maitre Adama, lors de ses enseignements, nous rappelle qu’il est important que nous maitrisions la connaissance de ces vortex d’énergie afin de mieux appréhender notre évolution. Il nous dit : « Vous devez maitriser les attributs divins des 12 rayons sacrés. Il n’y en a pas un plus importants que les autres. Ces aspects de la Déité demandent à être compris car chacun d’eux est un trésor de sagesse, une initiation qui ouvre les portes de la Cinquième Dimension ». 

La Vérité nous libérera et c’est pour cette raison que je vous propose une méditation sur les douze flammes sacrées afin que vous puissiez en conscience vous unir à leurs belles vibrations et raviver en vous toutes les vertus dont elles sont magnifiquement porteuses. Les douze flammes sacrées sont le souffle cosmique de la Nouvelle Terre. Inspirer ces souffles nous conduit inéluctablement à un plus haut niveau de compréhension, d’ouverture, d’amour, de liberté, de joie et de sagesse. 

Le premier aspect de la déité, véhiculé par le premier rayon est bleu saphir, ses attributs sont les suivants : volonté divine, perfection divine, pouvoir divin, et force, Il est la force du pouvoir créateur. C’est l’expression du Masculin sacré. Cette Flamme ancrée dans la gorge, est puissamment portée par L’archange Michael et lady Foi. 

Le deuxième aspect de la déité est brillant comme un puissant soleil, ses racines sont ancrées dans le chakra de la couronne. Ses attributs sont les suivants : Illumination, sagesse, constance, conscience christique. L’archange Jophiel et lady Constance attendent de faire flamboyer ce rayon en nos cellules et en nos vies. 

Le troisième aspect de la déité vibre d’Amour, cet amour divin est ancré dans le coeur et resplendit d’un rose cristallin. Ses attributs sont : l’amour divin, la tolérance, la révérence pour toute vie, l’humanisme et la beauté. C’est la source du féminin sacré. L’archange Samuel et lady Charité rayonnent cet amour inconditionnel. 

Le quatrième aspect de la déité scintille d’un blanc immaculé, son ancrage se situe au chakra de la racine. Ses attributs divins sont la pureté, l’ascension, la résurrection, le souffle sacré et le concept immaculé. L’archange Gabriel et sa polarité féminine lady Espérance déversent en nous cette pure énergie et redonnent vie à tout ce qui est. 

Le cinquième aspect de la déité flamboie d’un vert émeraude localisé sur la région du troisième oeil. Ses attributs sont les suivants : Vérité éclairée, Guérison, Vision intérieure, perception divine et concentration. L’archange Raphael et Marie en sont les magnifiques gardiens. 

Le sixième aspect de la déité contient toutes les nuances du rubis et de l’or. Son essence est véhiculée par le chakra du plexus solaire. Ses attributs sont les suivants : Paix, service divin, guérison et conscience christique. L’archange Uriel et lady Grâce nous invitent à ressentir et à intégrer leur très belle lumière rubis or. 

Le septième aspect de la Déité resplendit de toutes les nuances de pourpre au plus pâle des lavandes. Son ancrage est situé sous le nombril .Ses attributs sont les suivants : Liberté, transmutation, pardon, compassion et purification.  L’archange Zadkiel et lady Améthyste se réjouissent dès lors que nous faisons appel à leur service. 

Le huitième aspect de la Déité nous subjugue de sa magnifique lumière Aigue

Marine. Cette Flamme sacrée offre les attributs suivants : Perception Divine, discernement, clarté, lucidité et dignité. L’archange Aquariel et Lady Clarté frémissent de joie dés lors qu’ils oeuvrent à nos cotés. 

Le neuvième aspect de la Déité nous caresse de sa chaleur dont la couleur est magenta. Les attributs divins de cette flamme sacrée sont : L’harmonie, l’équilibre, la confiance. Ce rayon oeuvre également avec les 4 éléments. L’archange Anthriel et lady Harmonie se réjouissent dès lors qu’ils nous enveloppent de leur si belle Harmonie. 

Le dixième aspect de la Déité Scintille à l’infini d’une couleur Or jamais égalée. Ses attributs divins sont les suivants : LA Paix éternelle, l’Abondance, la force du Grand Silence, Le calme et la sérénité. L’archange Valeoel et lady Paix nous soufflent en permanence et en abondance leur éblouissant rayon en nos coeurs. 

Le Onzième aspect de la Déité virevolte en une danse nappée de couleur pèche. Ses attributs divins sont : la Joie, l’ordre Divin, l’enthousiasme, l’accomplissement, l’engagement et la Victoire. L’archange Perpetiel et lady Joie s’extasient dès lors qu’ils déversent en nos cellules cette qualité divine. 

Le douzième aspect de la Déité scintille de milles reflets opalins. Ses attributs divins sont : La transformation, l’Unité de toute vie, la régénérescence, la renaissance et la Transfiguration. L’archange Omniel et lady Opalescence nous drapent à chaque instant et avec finesse de cette vibration souveraine. 

téléchargement (5)Ces outils merveilles nous assurent la Victoire et nous relient aux fréquences de la Cinquième Dimension. Nous sommes venus créer un paradis sur terre, nous sommes venus sculpter ce nouveau monde à l’aide de la Substance Universelle, substance vibrante des 12 aspects de la Déité. Notre Présence JE SUIS nous accompagne et nous guide dans cette extraordinaire opportunité.. Notre gratitude envers la Lumière est infinie. Je salue en vous l’Artiste et que votre oeuvre soit un kaléidoscope multicolore, un portail vers l’infinie et merveilleuse création. 

Le CD des « Douze Flammes Sacrées » est un outil qui va « re –tisser » la matrice solaire, celle de la cinquième Dimension, qui a tant été endommagée. La douceur et la force de la méditation vous restaure et renforce votre propre matrice solaire, vous permettant ainsi de réintégrer toutes les vertus des 12 aspects de la Déité ! L’ascension devient plus aisée!

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Combien ça coûte un miracle

Posté par othoharmonie le 25 novembre 2014

Histoire vraie rapportée d’Inde par le Père Ceyrac

 

millepertuis_depression-medium-9346471L’histoire se déroule en Inde au sein d’une famille pauvre. Un jeune garçon est atteint d’une tumeur au cerveau et ses parents ont tout entrepris pour sauver leur fils. Découragé et épuisé, le père confie à sa femme : 

- « Je crois qu’on a tout essayé et il reste peu d’espoir. Nous y avons mis tout notre argent et aujourd’hui il ne nous reste plus rien. Il faudrait l’opérer. Mais c’est hors de prix. Je crois que seul un miracle pourrait le sauver ! » 

Leur jeune fille entend alors les propos de son père et réfléchit sur ce qu’elle pourrait faire pour aider son frère. Le lendemain, elle vide sa tirelire et compte ses pièces. Après un calcul appliqué, elle conclut à ce résultat : un dollar et onze cents. Munie de cette somme, elle se dirige à la pharmacie la plus proche. Se dressant sur la pointe des pieds, elle étale ses pièces sur le comptoir. 

- « Que puis-je faire pour toi ? » Lui demande le pharmacien.

- « C’est pour mon frère, il est très malade et je viens acheter un miracle ! » 

Elle explique alors la conversation qu’elle a entendue entre ses parents. Avec un sourire attristé, le pharmacien lui dit :

- « Tu sais ma petite, ici, nous ne vendons pas de miracle. »

- « Vous savez, si ce n’est pas assez, je peux encore essayer de ramasser un peu d’argent ; ça coûte combien un miracle ? » 

Dans la pharmacie, il y avait un homme grand et bien habillé. Il avait observé la petite fille. Il s’approcha d’elle et lui demanda :

- « Tu pleures ? »

- « Monsieur, le pharmacien ne veut pas me vendre un miracle, ni me dire combien ça coûte. C’est pour mon petit frère qui est très malade. » 

- « Combien as-tu, demanda l’homme ? »

- « Un dollar et onze cents. » dit la petite fille.

- « C’est exactement le prix d’un miracle pour ton petit frère. Peux-tu m’emmener chez toi. 

Je voudrais voir ton petit frère et tes parents. Je vais voir avec eux si je peux trouver le miracle dont vous avez besoin. Il prend la petite fille par la main et tous les deux sortent de la pharmacie. L’homme était chirurgien, un très grand chirurgien. Il opéra le petit frère qui rentra quelques semaines plus tard à la maison… Suite à l’opération, il fut complètement guéri. 

Quand les amis posaient aux parents la question : Mais combien a coûté l’opération ? La petite fille répondait :

- « Un dollar et onze cents, le prix d’un miracle ! »

 

Nous ne savons jamais comment l’univers satisfait nos plus profonds désirs…!

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Flamme Violette de 1000 Soleils

Posté par othoharmonie le 25 novembre 2014

 

OLYMPUS DIGITAL CAMERAJE SUIS ma Présence JE SUIS, et JE SUIS Un avec la Présence JE SUIS de chaque personne sur Terre. JE SUIS également Un avec mon Père-Mère Divin et avec l’entière Compagnie des Cieux. Maintenant, tous d’une seule voix, d’un seul battement de coeur, d’une seule énergie, vibration et conscience de pur Amour Divin, nous invoquons les fréquences les plus amplifiées de la Flamme Violette Divine de l’Infinie Perfection que la Terre et l’Humanité soient capables de  recevoir actuellement. 

Nous ouvrons les Portails Stellaires de notre coeur ; et nous devenons instantanément une Porte Ouverte aux fréquences les plus puissantes de la 5ème Dimension de la Flamme Violette de la Perfection Infinie Divine que la Terre n’ait jamais connues. La Flamme Violette émet des pulsations grâce à notre Flamme du coeur et rayonne dans toutes les actions inharmonieuses, dans toute conscience humaine inférieure et dans toutes les obstructions de la Lumière qu’une personne, un endroit, une condition ou une chose qui ait été un jour placé sur le chemin de la perfection de la Vie. Instantanément, la Flamme Violette Transmute la cause, l’origine, l’effet, l’enregistrement et la mémoire de cette énergie discordante, en la retournant à sa perfection originelle. 

Maintenant, les Anges du Feu Violet prennent leurs positions stratégiques dans chaque pays, état, ville, village et hameau de la planète. Ces messagers de notre Père-Mère Divin ouvrent leurs larges bras aimants et soutiennent un nombre illimité de personnes dans tous les lieux qui sont prêts à participer à la pratique de l’utilisation de la Flamme Violette de l’Infinie Perfection Divine. Chacune de ces personnes comprend toute l’importance de la Flamme Violette qui est offerte désormais par notre Père-Mère Divin afin d’aider à libérer l’Humanité de toutes les détresses humaines. 

L’utilisation consciente de ce pouvoir puissant venant du coeur de Dieu provoque l’installation de grands foyers de la Flamme Violette dans chacun des ces endroits. Celle-ci baigne continuellement chaque personne et tout environnement jusqu’à ce que les créations humaines erronées soient transmutées en Lumière et que le corps de la Terre Mère soit guéri et rétabli dans sa perfection originelle. Maintenant, grâce à l’Appel Retentissant de la Présence JE SUIS de TOUTE l’humanité et des Légions de Lumière à travers l’éternité, la Flamme Violette commence à s’étendre et à se propager de plus en plus. Elle fusionne avec la Triple Flamme Victorieuse et Immortelle en embrasant le coeur de chaque personne et en explosant en une énorme déflagration stellaire de Lumière. Cet afflux miraculeux de la Flamme Violette accroit l’intensité et le pouvoir d’un millier de Soleils. 

Légions de Lumière Bien-aimées associées à la Flamme Violette de la 5ème

Dimension de la Perfection Infinie Divine…

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers des différents plans de notre Terre Mère, que ce niveau soit physique, mental ou émotionnel, jusqu’à ce que les éléments de la terre, de l’air, de l’eau, du feu et de l’éther soient purifiés et restaurés dans leur beauté immaculée.

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de toutes les zones vulnérables de notre Terre Mère. Consolidez avec des éclairs de Lumière Violette tous les défauts, craquelures, fissures, plaques tectoniques et blessures créés dans le corps de la Terre Mère par les essais nucléaires, les mines, l’extraction du pétrole et tout autre dégradation humaine. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers des pensées, des mots, des actions et des sentiments de chaque homme, femme et enfant évoluant sur Terre jusqu’à ce que chaque personne, individuellement, reconnaisse et accepte l’Unité de TOUTE Vie et que chaque expression reflète le Respect de TOUTE Vie. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de tous les bébés qui arrivent, les enfants, leurs parents et gardiens jusqu’à ce que TOUS les jeunes soient élevés en énergie, vibration et conscience afin qu’ils puissent écouter les directives de leur Présence JE SUIS. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers des centres et activités de jeunesse, toutes les écoles, collèges et universités, de tous les leaders, enseignants, instructeurs et professeurs dans chaque domaine d’activité concerné jusqu’à ce que la Flamme de l’Illumination Divine et de l’Éveil soient manifestes et éternellement soutenues. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de toutes les religions et de tous les enseignements spirituels afin que l’Amour Divin, la Vérité, la Tolérance et la Fraternité Universelle se manifestent rapidement. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de tous les docteurs, infirmières, guérisseurs, hôpitaux, compagnies d’assurances, groupes pharmaceutiques et toute institution associée à la guérison de quelque façon que ce soit, jusqu’à ce que la Divine Miséricorde, la guérison, la Compassion et une Santé rayonnante soient une réalité tangible pour chaque âme en évolution. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de tous les lieux d’incarcération et de tous les employés qui s’y trouvent, de toute institution correctionnelle, de toutes les forces de l’ordre, de chaque juge, juré et cour de justice jusqu’à ce que la Justice Divine soit manifeste et éternellement installée. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers de toutes les activités spatiales du monde entier jusqu’à ce que chaque nation soit unifiée dans un service de coopération et que la Volonté Divine puisse se manifester avec nos frères et sœurs au travers de l’univers. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers du corps physique, éthérique, mental et émotionnel de l’Humanité jusqu’à ce que toute maladie et création erronée, leur cause et leur source, soient dissoutes et transmutées en une santé dynamique, en une jeunesse éternelle et une perfection physique. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers des industries alimentaires et de l’eau et au travers de toute la nourriture et de l’eau utilisée pour la consommation humaine jusqu’à ce que chaque particule de nourriture et que chaque molécule d’eau soient remplies de Lumière. Amplifiez la force de cette substance Elémentale afin d’élever l’action vibratoire du corps physique de l’humanité, qu’il soit éthérique, mental ou émotionnel, jusqu’à ce que la perfection physique devienne une réalité durable manifeste pour chaque Être Humain. 

- Faites rayonner la Lumière de milliers de Soleils au travers, autour et dans chaque électron d’énergie de Vie précieuse restant jusqu’à ce que le Concept Immaculé de la Nouvelle Terre soit manifeste et que toute Vie qui y évolue ait totalement Ascensionné et soit LIBRE….Qu’il en soit ainsi.

 

Patricia Diane Cota-Robles

Traduction : Marinette Lépine

http://www.facebook.com/TransLight

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L’ésotérisme pour retrouver le chemin du bonheur

Posté par othoharmonie le 23 novembre 2014

 

16214n« L’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu’avec le cœur… » : voilà une affirmation de Saint-Exupéry que tout ésotériste pourrait reprendre à son compte tant elle souligne l’importance de porter un regard bienveillant sur une situation au-delà de sa manifestation déplaisante. Certes, il ne s’agit pas pour le spécialiste des choses cachées de sombrer dans une sensiblerie infantilisante mais plutôt de décrypter derrière chaque difficulté existentielle qu’une puissance faite d’amour est toujours à l’œuvre…

L’Univers a parfois pour nous un plan différent de celui que l’on imagine. Pourquoi mon voisin est-il très riche pendant que j’ai du mal à joindre les deux bouts ? Pourquoi est-ce que j’attire cette difficulté de santé alors que mon collègue de bureau, gros fumeur, semble en pleine forme ? Pourquoi ? Pourquoi ? La question est accusatrice à juste titre, sauf qu’elle ne change que rarement la réalité mais accentue surtout la sensation d’un déterminisme aveugle et cruel. L’ésotérisme aborde l’interrogation, l’angoisse, de façon différente en cherchant ce que la situation apparemment négative cache de positif. Le pourquoi stérile se transforme alors en un comment, source de créativité.

Se connecter au divin en soi

Les différentes écoles ésotéristes ont en commun la certitude qu’une énergie divine habite chaque individu, de la même manière qu’elle régit toute la Création. Se connecter à ce potentiel créateur ne consiste plus alors à fantasmer un Dieu Tout-Puissant auquel nous serions injustement soumis. Cette énergie fait, au contraire, partie intégrante de notre réalité humaine et nous rend co-créateur de notre destin. Toutes les médiations utilisées par les voyants et autres parapsychologues ont pour objectif de rétablir ce lien essentiel porteur de sens.

Réceptivité et acceptation

Lors d’une consultation de type ésotérique, le spécialiste, de par son don, transmet des informations à son consultant, qu’il est libre d’accepter ou de refuser mais qui nécessitent en revanche un état de réceptivité. « Le royaume de Dieu se trouve en vous », affirme l’Évangile de Luc. Autrement dit, les réponses toute faites ne sont pas toujours à attendre de l’extérieur. L’avenir se décide ici et maintenant en fonction de l’acceptation de la réalité présente. C’est pour cette raison qu’un parapsychologue se refuse à être trop complaisant. Il signale ce qui doit être fait, changé, pour que son consultant soit le plus possible en adéquation avec lui-même.

Se remettre joyeusement en route

Les personnes ayant fait l’expérience d’une rencontre ésotérique avec un astrologue, un voyant, un numérologue ou un tarologue, n’ont pas vu automatiquement leur existence transformée – même si cela peut tout à fait se produire – mais toutes ont eu l’impression d’avoir bénéficié d’une énergie salvatrice pour poursuivre sereinement leur chemin de vie. Une énergie qui était déjà en eux mais que le parapsychologue a aidé à laisser jaillir. Le miracle, pour l’ésotérisme, c’est de réaliser que tout contribue à ce que nous évoluions, toujours et encore… 

Frédéric Lieutaud du magazine http://www.signesetsens.com/

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LE NOUVEL AGE est une PERIODE DONNEE

Posté par othoharmonie le 23 novembre 2014

3878689-5829551Nous voilà au cœur d’une période chargée de défis et d’adversités, mais cette période offre également du merveilleux. Il suffit de regarder les informations télévisées ou de lire les journaux pour constater que tout s’accélère. Bien sûr, certains faits divers sont déroutants et même accablants. Mais parfois, tout cela semble faire partie d’un changement inévitable. En fait nous sommes au cœur de ce que l’on nomme « le Moment Cosmique », et que vous en ayez conscience ou pas, nous l’avons tous préparé, il y a des éons. Nous sommes dans la phase où cette douce Planète et toute vie y évoluant, vont reprendre le cours de leur destiné et franchir les portails qui mènent à la Perfection et continuer ainsi sur le chemin de l’évolution qui les reconduit au Cœur de notre Dieu Père/Mère. Il y a eu beaucoup de travail accompli pour nous préparer à vivre cette bascule vibratoire et même si beaucoup de travail reste encore à accomplir, notre victoire est assurée. 

 Un grand nombre d’évènements ont pris place ces dernières années afin que nous soyons prêts à vivre ce « bond en avant » dans les fréquences de la quatrième dimension, dimension de la perfection physique. Si vous découvrez ces notions, cela va vous sembler un peu comme de la science-fiction, mais en fait, ces informations sont clairement énoncées dans les Mémoires Akashiques de cette Planète et un jour, elles s’inscriront dans une réalité historique  Nous voilà à l’aube de ce que ce qui a été annoncé comme l’Age d’Or Permanent, impulsion de départ de l’Age de l’Illumination. C’est le moment où nous allons corriger notre trajectoire, redéfinir notre Vision et suivre inéluctablement le Plan Divin qui s’inscrit ainsi : «Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Le Paradis va concrètement se manifester sur Terre et le postulat : « Que ton Règne vienne, que Ta Volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel » sera accompli. 

 Comme souvent, dès qu’un certain degré de sagesse ou de compréhension commence à s’infiltrer dans la conscience de l’Humanité, cela génère de la confusion et de la peur. Nos systèmes de croyances sont mis à l’épreuve et nous nous sentons menacés et vulnérables.

Nous interprétons les évènements en fonction de nos expériences personnelles, ce qui crée encore plus de confusion car personne ne vit, ni ne ressent de la même façon. Il en découle une myriade de scénarii sur ce qui est vrai ou faux. Afin de dissiper nos peurs et pour nous sentir en sécurité, nous nous convainquons que ce que l’on perçoit comme réel est forcément « vrai », par déduction, le reste est« faux ». 

Nous créons ainsi une « zone de confort » qui nous donne l’illusion d’être en sécurité.

Malheureusement, cela crée une scission et limite notre analyse. Il nous devient difficile alors de percevoir et de recevoir un plus grand entendement provenant des Royaumes de Vérité. 

 Aujourd’Hui, il y a tant d’inquiétude et de désarroi que beaucoup de chefs religieux déclarent que les mouvements associés au « Nouvel Age » sont « l’œuvre du diable ».. Si ce concept n’était pas si destructeur, cela serait même drôle. Mais souvenez-vous : » ce sur quoi nous prêtons notre attention, nous le manifestons ». Par conséquent en pensant cela, nous créons encore plus de chaos. 

 Ce que l’on appelle Nouvel Age, n’est pas une religion, ni un mouvement. Ce nouvel âge ne se rattache pas à une croyance particulière, ni même à une philosophie. Le Nouvel Age est une période  donnée. Un Age est une durée de temps qui dure environ 2 000 ans et il est déterminé par les mouvements physiques et astronomiques de la planète aussi précisément que l’heure, les mois ou les saisons. Nos heures et nos jours évoluent parce que la terre tourne autour de son axe. 

 Les mois, les saisons changent en raison de la révolution que fait la terre autour du soleil et en raison de l’inclinaison de son axe. Le changement d’âge correspond à ce que l’on connaît comme étant « la procession d’équinoxes ». Alors que la terre tourne autour d’elle-même, tout en tournant autour du soleil, elle se déplace également de façon orbitale au travers des douze constellations qui entourent notre système solaire. Cette orbite se déroule sur une période de 24 000 ans. 

 Notre système solaire se situe dans une tranche de temps particulière. Autour de notre système solaire et dans l’Univers, il y a douze constellations plus connues sous les signes du zodiaque. Ces constellations restent proches de la terre, mais en raison de la rotation que la terre effectue sur son axe, chaque constellation correspond à une période de 2000 ans (soit 32 degrés) qui exerce une influence sur la planète. 

 A chaque printemps, lors de l’équinoxe, le premier degré du Bélier est calculé en fonction de la position du soleil au moment où celui-ci passe au-dessus de l’équateur. Ce point de convergence change chaque année. Il faut environ 72 ans à la terre pour se déplacer d’un degré. Sachant qu’il y a 360 degrés, il faut donc environ 24 000 ans pour compléter le cycle des constellations. Par conséquent, une constellation aura une influence prédominante pendant 2000 ans sur la terre.   Une fois le cycle d’une constellation achevé, on bascule dans la vibration d’une autre constellation. 

Voilà ce que l’on appelle Le Nouvel Age. C’est ce qui se produit actuellement sur terre. Les 2000 ans de l’ère du Poisson s’achèvent et nous entrons dans l’ère du Verseau qui à son tour, durera 2 000 ans.  Quand nous pénétrons le nouveau champ d’énergie de la nouvelle constellation, cela provoque une mutation considérable dans le champ énergétique de la Planète. Cette mutation vibratoire favorise de façon exceptionnelle l’accès à des fréquences supérieures de sagesse et de compréhension qui influencent la conscience de l’humanité. Cela est facile à comprendre si l’on observe ce qui se passe lors de pleine lune ou de nouvelle lune. Il en est de même, lors de protubérances solaires ou encore lors d’éclipses lunaire ou solaire. Il est évident que nous sommes affectés par ce qui se produit dans les corps célestes qui entourent la Terre. Alors imaginez un peu lorsqu’il s’agit d’un changement de constellation. 

 Chacune des douze constellations vibrent à sa propre fréquence de Lumière. Ces fréquences sont reconnues comme étant les Douze aspects de Déité Solaire.. Elles renferment des qualités Divines spécifiques, ainsi que des couleurs, des tonalités musicales, des fragrances, des vérités et des entendements provenant du Corps Causal de Dieu.  Quand la Terre entre dans la nouvelle constellation, tous ses « trésors » de Lumière de cette constellation se déversent sur Terre. La constellation du Verseau vibre aux énergies du septième aspect de Déité. Au cœur de cette Lumière d’un violet améthyste, resplendissent les qualités divines suivantes: Pardon, Miséricorde, Compassion, Transmutation, Invocation et Liberté. La magnifique Lumière Violette influencera avec force la Planète pour les 2000 ans à venir. Il a été déterminé (par un Fiat Cosmique) que la Terre, pendant cette période, vivra une transformation et renaîtra à sa vraie nature Divine, Terre de Liberté. 

CIB-emergeanceLa Liberté Spirituelle signifie liberté dans toutes les facettes de notre vie.  Lors de cette impulsion, quand les opportunités se présentent, Dieu et tous les Etres de Lumière qui le servent, évaluent les progrès de l’Humanité. Il est alors déterminé l’assistance dont nous avons besoin pour faciliter cette transition, et ainsi le retour vers notre Dieu Père /Mère.

 Quand la Terre était totalement immergée dans le chaos, la peur et la confusion, plusieurs tentatives ont été entreprises pour élever les consciences. Très progressivement, un plus grand niveau de conscience s’est infiltré dans l’Humanité, nous permettant alors de reprendre la direction juste. 

Cette ouverture nous a permis d’entrevoir qui nous sommes vraiment. Cette brèche dans le voile de l’illusion, nous aide à accomplir notre but celui d’affranchir cette planète dans l’amour.  Nous savons maintenant que « la chute de l’homme » et notre séparation du Divin sont le fruit de notre création. La négativité qui emprisonne la Terre n’a jamais fait partie du Plan Divin. Les évènements qui se sont succédés pour nous amener jusqu’à ce moment cosmique, nous ont permis de réveiller en nous le pourquoi nous sommes ici en cette période toute particulière. Les raisons de notre présence sur terre aujourd’hui, sont inscrites profondément dans notre ADN et ARN. Dès que les schémas pré encodés de notre Plan Divin sont réactivés, nous pouvons puiser dans toute la sagesse, les talents, la force et le courage que nous avons développés depuis des éons afin d’amorcer notre « travail » pour lequel nous nous sommes portés volontaires.(Notre Légende Personnelle) 

 Préparez-vous à recevoir des informations, ouvrez votre cœur et votre esprit. Demandez à la Présence Divine qui pulse en votre Cœur de vous guider clairement dans ces moments d’extraordinaire transformation.

Article « C’est le Moment !  » de  Patricia Diane COTA-ROBLES Traduit par Dominique-Claire GERMAIN paru au Magazine  Vivre sa légende » numéro4

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La créativité – EXERCICE

Posté par othoharmonie le 22 novembre 2014

 

 

images (4)Qu’est-ce que la créativité ? D’où vient l’énergie créatrice et de quoi est-elle faite ? En avons-nous tous ? Tout d’abord, le mot « créativité » vient du latin creatio, qui est l’action de donner la vie, de faire émerger du néant ce qui n’existait pas avant notre intervention. La créativité est donc un processus par lequel une idée est amenée à sa matérialisation ; c’est la capacité de manifester ce qui nous anime en formes tangibles dans le monde. Elle n’est pas limitée aux arts ou aux génies scientifiques, mais peut s’infiltrer partout, dans tous les gestes du quotidien ainsi que dans nos projets les plus variés. Apprenez à reconnaître votre créativité, à sentir les avenues qu’elle aime emprunter, et vous ouvrirez ainsi le chemin d’une vie qui vous ressemble. 

L’ÉNERGIE CRÉATRICE L’ÉNERGIE CRÉATRICE

L’énergie créatrice est une énergie de vie qui pousse vers la manifestation. Prenant sa source dans l’énergie vitale de base, elle est naturelle et demeure présente tant qu’on a un souffle de vie. Tout comme la plante qui pousse simplement parce que cela est dans sa nature, nous créons parce que cela est dans notre nature. C’est aussi simple que de dire qu’au lever, le matin, nous avons une certaine dose d’énergie disponible, et que la créativité c’est ce que nous en faisons. Autrement dit, l’énergie créatrice est notre énergie vitale qui prend forme. 

Elle se présente à nous par des élans, des idées, des inspirations, des envies de faire des choses pour nous-mêmes et/ou dans le monde. Quand on arrive à la suivre, l’invisible devient graduellement visible, des projets naissent, des activités, des objets, des créations de toutes sortes. L’esprit prend forme dans la matière, un peu comme si on le met tait au monde.

Quand on voit l’énergie créatrice de cette façon, on se rend vite compte que tout le monde en a, qu’elle n’est pas limitée aux arts ni réservée aux artistes ou autres spécialistes de la création. Elle n’a pas de créneau, elle s’exprime dans tous les domaines, de toutes les façons. Bien sûr, elle peut être restreinte, bloquée ou déformée de mille et une manières, mais, à la base, tous les vivants possèdent de l’énergie créatrice. Ce n’est donc pas parce qu’on ne crée pas ou qu’on ne la sent pas qu’elle est absente. Elle est toujours présente au fond de soi, en abondance, mais, pour une raison ou pour une autre, on ne sait parfois plus comment y accéder. 

C’est la domestication de notre nature instinctive, d’où émane la créativité, qui explique nos difficultés à la sentir ou à la manifester. De toute évidence, en bas âge, l’énergie créatrice est abondante et fluide. À moins d’être très réprimés, la plupart des enfants sont tout naturellement créateurs, inventant constamment quelque chose, de toutes sortes de façons. Ils ne se de mandent pas s’ils sentent leur vitalité ou leur créativité ; ils sont vivants et ils créent. Mais qu’arrive-t-il en cours de vie ? En grandissant, l’enfant comprend ce qui est requis de lui par la famille, l’école, les pairs, la société, et il s’y conforme plus ou moins, selon son besoin d’être accepté et de fonctionner dans le monde. Il de vient graduellement un peu moins naturel, se modulant aux modes et aux prescriptions qu’il pressent. L’énergie créatrice qui circulait librement se heurte maintenant à des portes qui se fer ment. Petit à petit, son canal d’expression se rétrécit et se déforme. 

Par exemple, le petit garçon qui entre à l’école saisit rapidement que les larmes et les comportements tendres sont risqués sociale ment, puisqu’ils attirent les insultes et parfois même la violence. Pour se protéger, il doit choisir d’autres façons de s’exprimer. Sa tristesse ne s’exprimera non plus par des larmes, mais par des maux de ventre ou des colères, entre autres. En se privant des larmes, son canal d’expression s’est rétréci, et en manifestant la tristesse sous forme de colère, il s’est déformé. Imaginez quand on ajoute à cela tous les interdits, les demandes, les modes, les valeurs et les discours que l’enfant perçoit et auxquels il se conforme tant bien que mal. Ceci est cool, cela est out ; ceci ne se fait pas, de cela on ne parle pas ; etc. Il est évident qu’avec le temps, la fluidité de l’énergie créatrice sera de plus en plus ré duite, parfois jusqu’à l’étranglement. 

L’énergie créatrice est faite de nos élans naturels. Or, à force d’être blessés et parfois même traumatisés en la suivant tout naturellement, nous avons appris à retenir ces élans de vie qui veulent se manifester ; voilà pourquoi nous ne sentons parfois plus l’énergie créatrice.

 Un jour d’automne, sur une plage, j’ai vu un petit garçon qui jouait tranquillement au bord de l’eau. Sa mère discutait avec une amie près de sa voiture, dans le stationnement. Tout à coup, elle a regardé son fils et a hurlé : « Ma voiture ! As-tu pensé à ma voiture ! » Le garçon s’est figé, moi aussi. Il explorait tout naturellement son environnement en s’amusant, mais son élan a été coupé à la source pour un peu de sable sur ses souliers. Répétez ça cent fois, mille fois, dans des circonstances diverses, et vous aurez quelqu’un qui ne sentira plus ses élans ou qui les réprimera. Il aura toujours l’impression qu’une brique peut lui tomber sur la tête quand il ne fait qu’être lui-même. C’est ainsi qu’à force de blessures, notre nature est subordonnée à la culture ambiante, et, pour nous protéger, nous rentrons dans les rangs. Au lieu de suivre nos élans, nous choisissons de vivre dans les moules proposés, jouant des rôles plus ou moins étriqués, nous conformant plus ou moins consciemment à toutes sortes de règles et de prescriptions sociales. Si certaines per sonnes font leur chemin à travers leur socialisation sans perdre l’accès à leur énergie créatrice, beaucoup, malheureusement, arrivent à l’âge adulte, ou même à l’adolescence, sans sentir ce qu’elles veulent, ce qu’elles aiment, ce qui a du sens pour elles. Nous n’arrivons plus à discerner ce qui vient de notre nature profonde de ce

qui vient de notre socialisation, et nous fondons nos choix de vie sur des choses extérieures : c’est payant, c’est cool, il y a du boulot là dedans, ça plaît à mon père, à ma femme, à mon mari… Puis, en cours de vie, nous nous retrouvons déprimés ou sans énergie, stressés ou brûlés, ou avec des problèmes chroniques indiquant que notre énergie vitale ne circule pas bien. Quant à notre énergie créatrice, nous ne la sentons souvent plus du tout, ou nous nous demandons si nous en avons. 

La bonne nouvelle, c’est qu’il n’est jamais trop tard pour la remettre en branle. L’énergie créatrice ne boude pas. Elle fait partie de notre nature profonde, et tant que nous sommes en vie nous en avons. Elle est toujours là et se faufilera par toutes les portes que nous lui ouvrirons. S’il faut parfois du temps pour guérir ce qui l’entrave, il suffit souvent d’une petite poussée pour que la source s’éveille et que le flot redémarre. Comme dit l’auteur Julia Cameron, c’est en utilisant la créativité que nous guérissons les blessures liées à la créativité. Rien d’autre ne fonctionne. Dans ma pratique, je suis sans cesse étonnée de la rapidité avec laquelle les valves s’ouvrent et l’énergie circule à nouveau. Il suffit de très peu de choses : un accueil de ce qui est là, une ambiance de non-jugement, une occasion de créer quelque chose, la permission de jouer et d’essayer. 

Ce qui me fascine, aussi, c’est que de simples exercices faits sur papier se réverbèrent rapidement dans les autres sphères de la vie. J’ai vu des gens réagir avec tant d’enthousiasme à de simples exercices de gribouillis sur musique qu’ils sont ensuite allés s’acheter une grande tablette et des pastels, simplement pour s’amuser. Ils disaient : « Je n’ai jamais pu faire ça quand j’étais petit ! » Ou : « On n’avait pas de crayons à la maison. » Ou encore : « Il ne fallait rien salir ! » Dans les semaines suivantes, certains tout à coup osaient faire les choses autrement, réglaient un vieux problème qui les tenaillait, s’inscrivaient à un cours de chant, etc. L’énergie créatrice s’était réactivée et s’exprimait partout dans leur vie. 

Lorsqu’on se donne la permission de jouer simplement, de suivre ce qui émerge spontanément et de mettre cela dans la matière, une brèche s’ouvre dans les barrages qui ont été érigés au fil du temps autour de la créativité. Nous verrons plus loin ce qu’on peut faire pour ouvrir ces brèches et encourager la libre circulation de cette belle énergie. Pour l’instant, mettez-vous simplement à l’écoute de cette énergie de vie que vous avez en abondance et qui ne demande qu’à s’exprimer. Prenez le temps de sentir vos élans et de les suivre — et observez ce qui se passe. 

ESSAYEZ CECI : Qu’associez-vous à votre énergie créatrice ? Quelles images vous viennent en tête quand vous y pensez ? Quelles couleurs, quelles formes ? Feuilletez des magazines et sélectionnez une dizaine d’images qui vous font penser à votre énergie de vie. Ne réfléchissez pas trop, découpez-les, puis agencez-les dans un collage spontané. Quand vous avez terminé, contemplez votre collage et demandez-vous s’il a un message pour vous. Écrivez tout autour ou sur la page suivante, faites-le parler, explorez-le à votre façon.

images (5)Terminez avec vos réflexions. 

LE DROIT DE CRÉER LE DROIT DE CRÉER

De même que nous avons tous de l’énergie créatrice en abondance tant que nous sommes en vie, nous avons tous le droit de nous en servir. Cela semble évident et pourtant beaucoup de gens ne se donnent pas ce droit de manifester leurs élans dans le monde, sous toutes sortes de prétextes. Il m’arrive si souvent d’entendre des personnes se dire sans talent ni créativité que j’ai senti le besoin d’élaborer sur ce sujet. Il me semble en effet que, en se définissant ainsi, elles s’enlèvent le droit à la création, à l’exploration et à l’expression.

 

EXTRAIT DE  » Créez la vie qui vous ressemble  » de Anne-Marie Jobin auteur du Nouveau journal créatif

 

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Co Créer Des Nouveaux Archétypes

Posté par othoharmonie le 22 novembre 2014

Par Patti-Diane Cota Robles

Traduit par Dominique- Claire Germain 

Hands-nature-Divine-MasculineVoici venu le moment que nous avons tous attendu.

Ce moment, nous savions qu’il se produirait, mais nous redoutions de ne pas vivre assez longtemps pour en faire partie. C’est le Moment Cosmique où la « descente de l’Humanité » dans les abysses de la pauvreté doit cesser pour prendre une autre direction. C’est le moment où grâce au changement de conscience, il est possible d’établir sur Terre, les Nouveaux Archétypes pour une Humanité Abondante. 

Depuis quelques temps déjà les Etres des Royaumes Supérieurs ont signifié à l’Humanité que le besoin le plus urgent, aujourd’hui, était celui de manifester la Liberté Financière. C’est une facette Vitale et fondamentale du Plan Divin. Des solutions crédibles et viables existent pour tous les disfonctionnements observés sur Terre et les Royaumes éclairés commencent à nous les transmettre… 

Actuellement dans le corps causal de Dieu pulsent des schémas de perfection et ceux-ci contiennent toutes les solutions pratiques pour résoudre les problèmes liés : à la crise de l’énergie, au réchauffement planétaire, aux maladies, à la pauvreté, à la dégénérescence, à la faim, aux sansabri, à la guerre et toute autre souffrance. Malheureusement certaines âmes incarnées ont fait en sorte que nous ne puissions avoir accès à ces solutions ainsi qu’aux technologies s’y rattachant. Ces abus de pouvoir sans borne, touchent à leur fin. Cela n’arrive pas par accident, mais grâce au travail d’Artisans de Lumière qui oeuvrent depuis plus de 100 ans avec ténacité et opiniâtreté. Depuis l’extraordinaire flot de Lumière qui s’est déversé dans la Terre lors de la Convergence Harmonique en Août 1987, les Artisans de Lumière, partout dans le monde, ont attiré les énergies de la Cinquième Dimension dans les plans : physique, mental, émotionnel et éthérique de la Planète. Grâce à ce merveilleux service rendu, et grâce à la considérable Assistance reçue des Êtres de Lumière, nous avons pu provoquer un changement réel. Ce changement remarquable, cette bascule ont permis à la Terre Mère et Tout Vie s’y évoluant, de s’élever au-dessus des distorsions pour atteindre des patterns de suprême Harmonie et d’Equilibre pour Tous. 

Tous les Êtres de Lumière vivant dans les Royaumes Eclairés, ont affirmé que l’année 2008 serait gravée dans les annales en raison du processus d’inversion qui se met en place, à savoir, la transmutation de la conscience de misère en conscience d’abondance ! Ils ont également confirmé que cette année serait l’année d’une Divine Renaissance. 

Pendant cette période, nous ferons « éclater » ce carcan paralysant qui nous a tant limités. Cet aspect obsolète de notre personnalité nous a manipulés pendant si longtemps que nous avons fermement cru que nous n’étions qu’une expression physique et que ce que nous observions était la seule réalité. Cette conscience rétrécie, basée sur les peurs, a nourri et accepté l’illusion du manque et de la limitation. 

Nous avons même cru qu’il nous était possible de faire « tout et n’importe quoi » pour obtenir ce que nous désirions, comme : mentir, tricher, voler ou même tuer. 

Malheureusement ce que nous observons nous le prouve. Aujourd’hui est un nouveau jour pour la Planète, car la conscience collective de l’Humanité a atteint un niveau vibratoire qui permet cette bascule. Le flot d’Abondance que notre Père/Mère Divin va déverser sur la Planète va permettre d’établir pour cette année, un Nouvel Archétype d’Abondance pour Tous. Grâce aux efforts unifiés, notre Victoire est assurée! 

Le Plan Divin renferme plusieurs facettes mais je vais principalement évoquer celle qui consiste à « pulvériser » le carcan de la pauvreté pour établir et co-créer le Nouvel Archétype d’Abondance. 

Depuis le début de l’année 2008, une importante purification et un réel nettoyage ont pris place en ce qui concerne l’argent et l’abus d’argent. 

L’économie est prise dans un tourbillon difficile et les problèmes d’argent sont devenus une réelle préoccupation même pour les plus nantis. Cela s’explique ainsi : Parce que des millions de personnes, dispersées dans le monde ont invoqué l’Assistance Divine, la réponse de notre Père/Mère Divin s’est faite en un flot puisant et pur qui a atteint le coeur de chaque électron, même ci celui-ci vibrait de misère, d’envie, de corruption, de petitesse, d’égoïsme et d’abus de pouvoir. Quand la Lumière entre en contact avec le coeur de l’électron, celui-ci met en mouvement le Divin Potentiel de l’Abondance Infinie qui est resté dormant depuis que l’Humanité s’est coupée de sa Source. 

Quand la Renaissance de l’Abondance Divine est réactivée, elle fait remonter à la surface toute fréquence ou vibration qui s’oppose à l’Abondance Divine. Ces créations négatives nous reviennent afin d’être transmutées en leur perfection d’origine. Sans cette compréhension, il semblerait que nous allions tout droit vers un crash économique mondial. 

IL est vrai que les systèmes financiers ainsi que les institutions financières qui fonctionnent sur des bases corrompues et malsaines sont vraiment mises à l’épreuve. Ces systèmes sont voués à l’échec et ce processus de purification sera très difficile pour ceux qui persistent à fonctionner de façon abusive. 

Ces vieux schémas s’opposent aux schémas de Perfection et par conséquent, ils ne pourront pas perdurer et ne perdureront pas. Il est important que nous comprenions que Notre Père/Mère Divin n’a pas l’intention de détruire financièrement l’Humanité qui s’éveille. Bien au contraire, il nous a été donné des outils extraordinaires pour transmuter la conscience de pauvreté. Ces outils sont des dons Sacrés dont le but est d’aider chacun d’entre nous à nous libérer du passé et établir de nouveaux patterns de prospérité qui ouvriront rapidement le flot de l’Abondance Divine. Cette connaissance Sacrée s’engouffre dès qu’une porte s’ouvre. Ce flot est déjà accessible à tous ceux qui désirent élever leur conscience et accepter que nous sommes Fils et Filles de Dieu. 

Pourquoi cette opportunité? Chaque maladie qui existe sur cette Planète, d’une façon ou d’une autre, est due au fait, qu’au cours de notre évolution, nous avons oublié le sens de L’Unité de TOUTE VIE. (Voir Vivre sa Légende Mai 2008 : La Responsabilité Totale- NDT).

 Cette tragédie a eu lieu il y a bien longtemps lorsque nous avons pris la fatidique décision de goûter à la Connaissance du Bien et du Mal. Il existe une myriade de scénarii qui décrivent ce qui s’est passé, mais en ce qui nous concerne, aujourd’hui, il y a eu un moment où l’Humanité a choisi de penser, d’exprimer, d’agir et de ressentir sans considérer la Volonté Divine et la Perfection qui pulse dans le Royaume de la Cause. 

Une fois ce choix fait, nous avons commencé à vivre les conséquences de notre distorsion. Afin d’atténuer les souffrances, nous avons fermé notre chakra du coeur dans l’espoir que cette fermeture nous empêcherait de ressentir tant d’intensité. A notre grande surprise, ce choix a engendré bien plus de complications et de problèmes. Quand nous avons fermé notre chakra du coeur, nous avons bloqué l’ouverture par laquelle notre Mère Divine déverse son Amour Divin sur Terre. Ceci a entraîné le retrait de l’aspect féminin de notre Divinité, alors, l’Amour de notre Mère Divine n’a pu pénétrer la Terre qu’à la « cadence d’un goutte à goutte ». 

Avant que ceci ne se produise, la Volonté Divine (le Pouvoir et l’Autorité de notre Père Divin) était en parfait équilibre avec les Energies de notre Mère

Divine (Amour Divin et révérence pour toute Vie). Quand les deux polarités étaient en parfait Harmonie en nous, nous n’avons jamais abusé du Pouvoir à des fins négatives. Nous avions bien conscience alors que si nous offensions toute sorte de Vie, ceci n’avait pour résultat que de nous blesser nous-mêmes.

Lorsque nous avons utilisé le Pouvoir Masculin sans l’équilibre de l’Amour Divin, nous nous sommes enfoncés dans un bourbier saturé de peines et de douleurs dont nous sommes aujourd’hui les témoins. Toute situation négative prend sa source dans l’abus de pouvoir et le manque de Révérence pour Toute Vie… 

… En 2007 nous avons vécu le retour de la Mère Divine et la réouverture du chakra du coeur en chacun d’entre nous. Le Méridien du coeur de notre Terre Mère est aujourd’hui ouvert comme il l’était à l’origine exprimant son potentiel Divin… La Paix et l’Abondance Divine sont des aspects indissociables de notre Père/Mère Divin. Sans l’Abondance Divine, la Paix ne  peut se maintenir et sans la Paix, l’Abondance ne peut non plus subsister.

Quand nous intégrons pleinement cette Vérité, nous comprenons alors l’envergure que de ce qui prend place cette année. Nous pouvons servir d’instrument pour toute l’Humanité afin que la Présence JE SUIS de tous ceux qui s’éveillent puisse manifester les Archétypes de l’Abondance et ce de façon tangible. Alors le flot d’Abondance se déversera comme jamais auparavant ! 

Ce travail se fait de différentes façons. Des Artisans de Lumière provenant des 4 coins du Monde, se sont regroupés en Août 2008 Au Canada afin de s’immerger dans le Vortex de l’Archange Michaël. De ce lieu sacré, Ils lancèrent l’appel et la réponse fut instantanée ! 

Extrait du Magazine VIVRE LA LEGENDE

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L’Horloge Universelle a sonné

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2014

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Nous sommes tous fatigués. Fatigués de nous battre contre nous-mêmes et contre les autres dans un état d’esprit si divisé. Fatigués de vivre cette morne et répétitive suite d’évènements qui conduit à un demain prévisible pour tous. En tant qu’individualité, que ce soit une nation, ou même la planète, nous nous sommes débattus et nous sommes entrés en guerre, depuis bien longtemps (connaissant si peu de trêve), contre ceux qui, quelque part dans le monde, engendrent la souffrance. Nous avons échoué, plusieurs fois. Depuis des décennies nous nous trompons sur la source du chaos. Bien trop souvent nous avons cru que les « autres » étaient la cause de nos problèmes, les autres : tous ce qui n’est pas nous, le pays voisin comme le pays qui est bien loin. Nous sommes si habiles à renoncer à nos responsabilités…

 …Nous n’avons jamais pleinement compris, rencontré, honoré et maintenu notre relation avec notre Nature Divine. Il est, cependant, aujourd’hui, impératif de recréer le lien.

L’Horloge Universelle a carillonné son dernier appel pour amorcer l’éveil. Nous ne sommes plus à l’heure du sommeil. Que cela nous plaise ou pas, nous n’avons pas le choix et nous devons faire le point en ce qui concerne notre passé. Malgré les apparences, ceci est une bonne chose. Cela nous permet d’avancer, d’aller de l’avant, d’aller en nous et au-delà de nous-mêmes.

 Qu’importe comment vous nommez cette période, elle est celle de la Réconciliation. Quoi qu’il en soit, grâce à une myriade de circonstances, l’Univers nous pousse à reconsidérer ce qui est notre Base Sacrée et à construire une solide connexion avec la Vie Eternelle. Dans tous les cas, tous ces changements ont pour but d’accélérer notre maturité spirituelle.

 Les êtres humains sont responsables de ne pas avoir suffisamment pris soin de leur « âme » car s’ils l’avaient chérie, ils ne se seraient pas enlisés dans les drames, les critiques et les « galères »….

… Au point où nous en sommes, il n’y a qu’une issue pour retrouver notre liberté et celle de la Terre. Nous devons chercher et intégrer notre véritable identité, élever nos consciences et exprimer notre Divinité. Lors de cette incarnation, nous sommes venus sur cette Planète pour ne faire plus qu’Un avec notre Nature Divine et devenir ainsi le héros d’une extraordinaire transition. Des accompagnateurs Divins nous soutiennent pour nous conduire à la réalisation de notre Plan.

 … Au cours des âges, la vision de vies plus justes est née dans les coeurs et les esprits de quelques uns. Certains ont réussi à la manifester à chaque instant. Ceux-là se sont engagés à devenir « vrais » au niveau mental, émotionnel et spirituel. Ils étaient déterminés plus que tout à enrayer les vibrations denses, quelle qu’en soit l’origine. Ils n’ont pas laissé de place aux turbulences. Ils ont porté toute leur attention sur leur coeur, maintenu la connexion avec la Lumière et le Divin en eux. Ils ont exploré leur véritable identité et ont exprimé l’Amour, sachant sans l’ombre d’un doute que c’est ce que nous sommes. Ils ont vécu la Clarté malgré tant de zones d’ombre et ont enfin trouvé la Paix. On leur a donné le nom de Maître, Chaman, Sages ou Saints. Ils ont vécu sereins malgré les innombrables adversités.

 Il nous est demandé d’agir de même! Il nous est demandé d’être notre Créateur, de nous chérir pour devenir ainsi, notre propre « maître ». Gandhi l’a suggéré ainsi: « Nous devons être le changement que nous souhaitons voir dans le Monde »

Nous avons tous un plan Divin et nous sommes tous aidés dans notre transformation!

Maureen Moss de L’association « VIVRE SA LEGENDE »

 

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Briser les liens avec le passé

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2014

 

téléchargement (2)Nos liens

Depuis notre naissance, nous sommes coincés dans une situation de dépendance à l’autre et en même temps d’interaction avec l’autre. Ce conditionnement se fait dans notre milieu premier : La famille proche ou lointaine, en lien avec la culture du temps, les valeurs, les croyances. Ce conditionnement se continue par les professeurs, les amis, les amants, les conjoints et autres personnes de qui l’on dépend pour sa sécurité. Au travers ces apprentissages, nous développons d’autres dépendances plus subtiles : l’entêtement à nos idées et à des émotions : la jalousie, la colère, et même au pouvoir, à l’image, au rang social, au succès, etc.

Ce conditionnement nous place depuis toujours dans une situation de stress importante. Ce besoin d’être aimé et d’être pris en charge dans les premières années de la vie, nous oblige à créer un lien avec l’autre (le parent et plus tard les autres) et nous crée un dilemme car nous voulons nous affirmer dans la vie (interagir avec le parent et plus tard les autres).

Pour bien découvrir notre territoire à chacun de nous et surtout découvrir qui nous sommes et nous permettre de transformer notre compréhension de nos conditionnements, il est important que nous connaissions nos mécanismes de fonctionnements.

Serait-il possible d’apprendre à vivre en interaction avec l’autre autrement que par la fusion, la compétition, la manipulation, le contrôle ? Oui, si on prend le temps de se connaître nous-mêmes.

Une avenue pour s’en sortir

La méthode « Briser les liens avec le passé » de Madame Phyllis Krystal convient très bien à ce travail sur Soi pour mieux se connaître. Je me permets ici de vous en donner les indications de base. Ce travail utilise des symboles précis, car comme disent les chinois « Une image vaut dix milles mots »

Aucun changement ne peut être effectué dans la vie d’une personne sans que l’inconscient ne soit lui-même imprimé même si elle souhaite changer ou évoluer consciemment. Un symbole est un moyen par lequel se transmet efficacement un message à la partie subconsciente du mental. Le symbole est efficace parce que le langage de l’inconscient se compose de symboles et d’images.

C8L001_lien-8Méthode

Le premier symbole proposé est un cercle que l’on trace autour de soi. On le pense, l’imagine ou visualise au sol autour de soi, on lui donne la couleur jaune or. Ce premier cercle symbolise l’espace que l’on se donne dans la vie, car chacun de nous a le droit à cet espace.

Maintenant, tracez un autre cercle au sol devant vous qui vient s’appuyer au vôtre, mais qui ne le croise pas. Ce ne sont pas des bulles, ce sont deux (2) cercles tracés qui signifient deux (2) espaces face à face. Puis visualisez une lumière bleue qui part du point où les deux (2) cercles se touchent¸ cette lumière circule à l’intérieur du cercle devant vous allant dans le sens de l’aiguille d’une montre et tout en faisant le tour du cercle, revient au point de départ et poursuit son chemin par le coté gauche de votre cercle pour revenir sur votre droite et pour ensuite retourner de nouveau au point de départ où les cercles se rencontrent. Le tout formant une figure en 8 couché à plat sur le sol et qui circule continuellement entre les deux cercles. Ce rayon bleu représente bien le fait que nous sommes tous en interaction les uns les autres. Donc, vous avez un cercle et vous donnez un cercle à l’autre et vous visualisez le rayon bleu qui circule continuellement entre les deux (2) cercles.

Se connecter à sa Conscience Supérieure

Ce travail demande aussi à se connecter avec ce que Madame Phyllis Krystal nomme la Conscience Supérieure, terme neutre utilisé pour ne pas introduire de connotation d’ordre religieux. La Conscience Supérieure est la super-conscience (cette partie de nous qui sait ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, cette partie de nous qui est au-delà de l’ego) que nous nommons le « Sage » en nous. Cette partie, « le Sage », que nous avons tous en nous et au travers ce travail, nous pouvons la découvrir.

Briser les liens avec le passé nous permet de briser les liens de dépendances avec les parents, enfants et autres, nous permet de ne plus exercer de contrôle l’un sur l’autre. On se libère et par le fait même on libère l’autre. Cela n’a rien à voir avec l’amour mutuel que l’on se porte, cet amour reste présent.

Un autre symbole est proposé dans ce travail, celui de l’arbre. Il est connu que l’arbre dans sa symbolique est une sécurité sur laquelle nous pouvons s’appuyer lorsque nous prenons conscience de nos apprentissages dans la vie.

Il nous est aussi proposé dans ce travail d’inviter deux parents cosmiques, un parent masculin et un parent féminin. Ces deux parents ne sont pas nos parents humains. Ce sont deux figures symboliques qui nous accompagnent dans notre vie et qui nous accompagnent dans ce profond travail de Connaissance de Soi.

Voila la base de ce travail sur Soi, simplement pratiquer la figure du huit en utilisant les cercles (figure huit) tous les jours, est déjà une aide très précieuse pour nous permettre de se recentrer et de prendre conscience que nous sommes ici et maintenant.

Il va de soi que pour mieux saisir cette méthode de travail sur soi et en comprendre toute son ampleur, vous devrez consulter les écrits de Madame Phyllis Krystal.

Ouvrages de Madame Phyllis Krystal :

Visualiser : briser les liens du passé.
Le Souffle d’Or. Collection Passages. 1990
Visualiser : accompagner l’enfant, se libérer des liens du passé, trouver son identité profonde.
Le Souffle d’Or. Collection Passages. 1993
Visualiser : fiches pratiques.
Le Souffle d’Or. Collection Passages. 1993

Claudette Gosselin Thérapeute en soins esséniens, et Psycho-énergie, Québec, Canada
http://www.energie-sante.net

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TOUTES QUETES MENENT-ELLES A L’EVEIL

Posté par othoharmonie le 18 novembre 2014

 

301801_351409564914517_100001364302666_906493_250051953_nLa plupart des épopées spirituelles s’achèvent sur l’illumination ou l’éveil. Mais que se passe-t-il ensuite ? A quoi ressemble la vie après l’extase ? Une mort peut-elle nous inviter à renaître ? Extrait du livre de Jack Kornfield, Après l’extase, la lessive.

Dans de nombreux récits initiatiques, la recherche de ce qui est au-delà de la mort est décrite comme un héros traversant les grandes eaux, escaladant l’inaccessible montagne, affrontant les dragons ou faisant face aux armées de Mara qui personnifie les forces du mal. Dans chacune de ces images, il faut risquer la vie que nous avons connue pour découvrir quelque chose de nouveau.

Peut-être ces comparaisons nous impressionnent-elles : le territoire inconnu de l’initiation ne s’ouvrira à nous que dans la mesure où nous tournons tout notre être courageusement vers lui. En affrontant l’inconnu de notre plein gré, nous accordons notre confiance à une raison de vivre plus large. Puis nous devons nous aventurer là où la route nous conduit, quel que soit l’endroit, malgré l’obscurité, malgré les palpitations de notre cœur.

Faire résolument face à l’inconnu nécessite le soutien de la pratique ou du rituel auquel nous nous sommes confiés. Pour Nachiketa, cette aide résulta de sa constante méditation et de son assise immobile trois jours trois nuits durant. pour d’autres ce sera une prière ininterrompue au milieu des crises ou un rituel initiatique traditionnel conduit par des Aînés. L’intensité de l’aspiration et de la résolution à nous diriger vers l’inconnu va nous conduire au royaume du seigneur Yama.

La rencontre avec la mort peut prendre de nombreuses formes. A l’image des forêts lointaines dans lesquelles pénétra Nachiketa, les monastères thaïlandais où je fis mon apprentissage de moine bouddhiste étaient à dessein situés dans des régions réputées pour leurs animaux sauvages, leurs grottes obscures et leurs fantômes. L’entraînement incluait le fait de s’assoir seul toute la nuit, de méditer dans des lieux de crémation dans la forêt, de rester auprès des cadavres qui avaient été brûlés jusqu’à ce que le feu s’éteigne à l’aube.
Dans le déroulement naturel de nos vies quotidiennes, la maladie ou la naissance d’un enfant peut nous amener à rencontrer la mort et modifier ainsi le cours de notre vie. lorsque ma femme accoucha de notre fille Caroline, cela dura trois nuits et trois jours comme l’épreuve de Nachiketa. Nous respirions ensemble, nous nous tenions la main et attendions. Peu à peu, au fil des heures, elle devint de plus en plus épuisée et résignée, jusqu’à ce que la dernière phase intense de l’accouchement lui ouvre le monde de la maternité.

Dans une initiation, donnons naissance à nous-mêmes. Une nonne du bouddhisme tibétain d’origine anglaise, qui passa douze ans de retraite dans des grottes himalayennes, raconte comment elle dut s’en remettre à sa pratique spirituelle pour rester en vie le jour où une énorme avalanche recouvrit sa grotte et la vallée, tuant de nombreuse personnes. Après avoir creusé un trou pour l’air, elle médita des jours et des nuits dans une longue obscurité hivernale.

Chaque initiation nous propose une épreuve dans laquelle il nous est demandé d’abandonner ce qui est ancien et de nous ouvrir à une plus large vision. Parfois l’initiation se déroule en privé mais, dans d’autres cas, elle peut nous demander de prendre part à un rituel collectif de transformation et d’accomplir un acte public courageux. Pendant les mouvements en faveur de la démocratie dans les années 70 en Thaïlande, les étudiants et la police militaire se battirent des jours entiers dans les rues de Bangkok, à coups de pierres, faisant des centaines de morts et de blessés parmi les étudiants. Un matin, après une journée sanglante la veille, un maître de méditation de Bangkok rassembla ses moines et ses nonnes et leur dit qu’il était temps de mettre à l’épreuve ce qu’ils avaient développé. Puis prenant la tête de cette centaine de personne en robe avec leur bol d’aumône, il les mena en file indienne vers le conflit. Ils avancèrent dans le no man’s land entre les barricades. Les fusils s’abaissèrent et les tensions diminuèrent tandis qu’ils restaient là, hommes et femmes en robe pour la paix, rappelant à tous ceux qui étaient présents une autre possibilité. Ce matin-là, le processus graduel de réconciliation commença véritablement.

Après l’extase, la lessive…, Jack kornfield
Pocket (Novembre 2010) 

 

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Besoin d’être en relation étroite avec les Autres

Posté par othoharmonie le 18 novembre 2014

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La condition sine qua non de l’altruisme est d’avoir fait son introspection et d’être en paix avec soi-même. C’est en parvenant à une bonne connaissance de notre monde intérieur et au contrôle d e notre esprit que nous parviendrons à offrir à notre entourage un amour sans fille, sain et généreux. Pour aider et aimer nos proches, commençons par nous aider et nous aimer nous-mêmes.

Le XIVè Dalaï-Lama va plus loin encore dans cette idée ; la paix intérieure est la condition de l’altruisme mais aussi de la paix universelle. Si chaque individu sur terre prenait le temps de faire cette introspection, de se libérer de ses poisons émotionnels par le lâche-prise et de contrôler son esprit, les conflits n’auraient plus lieu d’être.

L’égoïste dans ses rapports à autrui, ramène tout à lui et ne considère que ses propres intérêts. Contrairement aux apparences, il ne s’aime pas assez pour offrir un amour désintéressé aux autres, il attend toujours quelque chose en retour. Il lui est nécessaire de recevoir des marques d’affection qui le valorisent car il se sent jugé, parfois même en compétition et ne peut vivre qu’à travers le regard des autres. L’égoïste cherche donc à renforcer son ego à travers les autres, mais il n’y parvient pas parce que sa démarche est faussée.

Au contraire, l’altruiste communique son amour en toute indépendance et en toute liberté. Il n’attend rien des autres, il offre son aide et son amour généreusement ; l’altruiste ne cherche donc rien, mais trouve et reçoit beaucoup d’amour en retour de son don de soi.

La croissance d’un homme ne se limite pas à sa croissance physique mais à sa capacité à s’aimer (intérieur) et à aller vers les autres (extérieur). La croissance de l’homme est indépendante de la sa taille, elle est de nature spirituelle. L’homme ne devint un sage que lorsqu’il a atteint la connaissance de soi et l’altruisme.

Les créations terrestres, la nature humaine y compris, ne changent pas. Il est vain de vouloir changer l’autre surtout si lui-même ne le souhaite pas. Vous pouvez accompagner et soutenir un changement s’il est désiré, dans le cas contraire vous vous devez d’accepter l’autre tel qu’il est ; C’est la condition première de l’altruisme, de l’amour vrai et du respect de la liberté individuelle.

Si vous aimez « véritablement » la personne que vous avez choisie pour partager votre vie, c’est que vous l’acceptez telle qu’elle est, vous n’avez aucunement besoin que cette personne change. Réciproquement, si cette personne éprouve pour vous un amour « véritable », elle vous accepte entièrement tel que vous êtes et ne cherchera pas à vous changer.

Au contraire, si l’amour éprouvé se fonde sur des suppositions, sur une image que vous vous faites de votre conjoint, sur ce que voudriez qu’il soit, c’est que cet amour n’est pas « véritable » et vous ressentirez tôt ou tard – au fur et à mesure que le feu de la passion s’éteindra – le désir de changer cette personne à cette image. En outre, vous lui en voudrez de ne pas correspondre naturellement à cette image, vous serez déçu et cet amour sera entaché de souffrance. L’altruisme ne souffre pas de compromis.

Chaque individu est un être unique, une personnalité qui se doit d’être respectée. En essayant de changer l’autre vous niez dans le même temps son identité et son intégrité. « Il faut de tout pour faire un monde », dit le vieil adage … respectons cette diversité.

Celui qui a avancé sur le chemin de la connaissance de soi et qui a atteint l’éveil de la sagesse, s’aime profondément et éprouve à l’égard des autres un amour véritable. Il ne contredit jamais la nature ; ni la nature humaine (accepter l’autre tel qu’il est), ni la nature au sens large du terme (ensemble des êtres et des choses qui constituent l’univers).

Un proverbe Malgache dit ceci : « La terre est une mère qui ne meurt jamais« …

Ce proverbe exprime de façon poétique le respect que chacun se doit d’exprimer envers la Nature. Notre planète nous nourrit chaque jour, nous sommes tous les enfants de la Terre. L’altruisme c’est le respect de l’Autre, l’amour désintéressé envers son prochain et, par voie de conséquence, c’est aussi le respect de la planète qui nourrit chaque homme. En respectant la nature, nous respecterons de fait les individus qui nous entourent.

Krishnamurti va plus loin : si notre harmonie avec la nature est perturbée, si nous ne respectons plus l’environnement, nous perdons de fait l’harmonie avec les êtres humains qui nous entourent, tout altruisme est nié.

Ces deux proverbes africains expriment de façon imagée et poétique notre vieux dicton : « L’union fait la force » :

« Un seul brin de paille ne balaie pas la cour » Proverbe wobe de Cote d’Ivoire

« Un grain de sable ne construit pas une maison » Proverbe africain.

L’altruisme, c’est aimer l’autre sans rien attendre en retour, c’est accepter l’autre tel qu’il est, c’est respecter la Nature, l’environnement la diversité… et c’est aussi s’unir avec tous les individus de la Terre. Nous serons toujours plus forts dans l’union et dans l’harmonie que dans l’indifférence et la discorde.

 

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UN LONG CHEMIN VERS L’EMPATHIE

Posté par othoharmonie le 18 novembre 2014

 

images (1)L’empathie est l’une des nombreuses manifestations du principe d’Amour. Quand j’évoque le mot « amour », je ne me réfère pas à une attitude ou un comportement sentimental, mais à une force possédant un grand pouvoir de cohésion. Une force qui agit de manière attractive, magnétique, une force qui rapproche, assemble, soigne et unit. Une force qui répand le bien-être, la joie et la sérénité. L’empathie, c’est la faculté de s’identifier à une autre personne, de se rapprocher d’elle, de se mettre à sa place et d’entrer dans son monde intérieur afin de bien la percevoir, la comprendre, la ressentir et l’intégrer en soi.

L’empathie nous défocalise de nous-mêmes, de nos petits problèmes de notre univers clos. Elle nous ouvre à l’autre, à son univers, à son mode de perception. Notre champ de vision s’en trouve démesurément agrandi. Nous ne percevons plus le monde à travers notre propre prisme limité, mais aussi à travers celui d’autrui. En agissant ainsi, nous nous ouvrons à toutes les réalités existantes, nous acquérons la faculté de prendre du recul face aux événements, de les relativiser, de ne plus les dramatiser, d e leur accorder l’importance réelle qu’ils ont, rien de plus. C’est en découvrant le monde intérieur de l’autre que nous sommes à même de déceler sa profondeur et sa richesse.

L’empathie ne consiste pas seulement à ressentir les émotions, les peurs, les aspirations, de nos semblables, mais aussi à bénéficier de ce qu’ils peuvent eux aussi nous apporter. Je donne à une personne, je l’aide à parcourir une certaine distance, je lui sers momentanément de guide, de soutien, et en retour, j’apprends à son contact, je me transforme, j’évolue, ma qualité de conscience s’affine, ma relation est un échange.

Décrite de cette manière, la faculté d’empathie peut sembler difficile à acquérir. C’est loin d ‘être le cas. Cela demande bien sûr de fournir un certain effort, d’être animé d’une bonne volonté, de faire preuve d’un peu de patience et de persévérance. Comme toutes qualités nouvelles à acquérir, il est essentiel d’effectuer un travail sur soi afin de parvenir à l’intégrer. Il en est de même pour l’empathie. Au début cela peut paraître ardu, mais avec de l’entraînement, cette qualité se développera et deviendra, pour notre plus grand bonheur, partie intégrante de nous.

EXTRAIT DU LIVRE : L’interprétation des Arcanes Mineurs par Alain BRETHES aux Editions Oriane.

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La musique qui parle à notre âme

Posté par othoharmonie le 16 novembre 2014

 

Lors du congrès « Émergence d’un nouveau monde , Logos, de son vrai nom Stephen Sicard, nous a confié ce qui l’anime aujourd’hui, après vingt-six années de création musicale, une trentaine d’albums et plus d’un million de disques vendus. Musique de relaxation et de détente, musique sacrée… nous découvrons un artiste inspiré, passionné par ce que l’électronique apporte aujourd’hui à la musique et au son.

FeelGood

SP : Pourquoi participer au congrès « Émergence d’un nouveau monde » ? 

Logos : Ma présence à cet événement est en cohérence avec un souhait qui m’habite depuis toujours : créer un « nouveau monde » et participer à son émergence. Ce fut sans doute inconscient dans mes débuts puis, progressivement, avec l’expérience, j’ai réalisé ce qu’il m’importait de bâtir avec la musique, c’est-à-dire proposer aux personnes qui écoutent mes œuvres une ouverture de conscience différente. C’est ce que je tente essentiellement de réaliser aujourd’hui.

SP : Quelle est la place de l’art et de la musique dans l’émergence de ce nouveau monde ?

L : Dans ce congrès, on peut souligner la participation importante de nouveaux artistes, des peintres, des musiciens, des sculpteurs… Dans son livre « Bruits. Essai sur l’économie politique de la musique »  , Jacques Attali a expliqué que la musique est toujours « précurseur d’une période révolutionnaire ». L’histoire dira si celle de ces artistes annonce une nouvelle période. Je crois personnellement que ces nouvelles musiques peuvent servir un monde nouveau. N’est-ce pas fantastique ?

SP : Avez-vous toujours été musicien, est-ce un choix ?

L : Au niveau professionnel, oui. J’ai eu la grande chance de pouvoir vivre immédiatement de ma musique, car, dans ma famille, il n’y avait pas de sensibilité musicale particulière. Je n’étais pas vraiment destiné à être musicien professionnel puisque j’ai fait des études scientifiques. C’est la vie qui m’y a amené sans que je le demande ou le programme et surtout sans avoir étudié la musique. J’ai appris le violon enfant mais j’ai tout oublié. Vingt ans après, la musique est revenue dans ma vie sans que je comprenne comment ni pourquoi ! J’ai été guidé par la force du destin ! En fait, les études que j’ai suivies me servent maintenant pour l’aspect technique de ma création, mais je n’en vis pas, et j’ai un métier que je n’ai pas appris et dont je vis !

SP : Quel fut l’élément déterminant dans ce changement de voie ?

L : Ce sont principalement des rencontres humaines enrichissantes qui ont orienté ma vie. Par ma famille, j’ai été baigné dans un milieu et un environnement très porteurs. Mon père était un médecin pionnier dans le domaine des médecines nouvelles et énergétiques. Il y a 26 ans, on faisait beaucoup de découvertes en médecine et en santé ; j’ai ainsi pu explorer de nouveaux domaines encore extraordinaires à l’époque. On parlait des chakras, de l’auriculomédecine… C’était la naissance d’un nouveau monde passionnant auquel je me suis trouvé mêlé par ma recherche musicale dans le secteur très précurseur de l’électro-acoustique.

SP : Avez-vous senti un appel vers la création musicale ?

L : Ce n’est pas un appel, cela m’a été imposé. J’ai le sentiment que je n’aurais pas pu faire autre chose que de devenir musicien et compositeur, même si je l’avais voulu. Vingt-six ans après je n’ai toujours pas compris ce qu’il s’est réellement passé ! Et je le vis comme un vrai bonheur !

SP : Comment a débuté votre carrière musicale ?

L : En 1987, j’ai sorti un premier CD intitulé « Couleurs Sonores » qui a connu un succès immédiat. Sans ce disque, je ne serais sans doute pas là aujourd’hui ; il a posé les fondations de Logos.

SP : Pourquoi avez-vous choisi ce nom : « Logos » ?

L : À l’origine, le choix du nom « Logos » était en rapport avec la propagation du son sacré et du Verbe créateur selon les Grecs, le discours… C’était un sujet qui me passionnait. Je me suis simplement dit : « Tiens, je vais prendre ce nom d’artiste… ». Seulement, Logos peut aussi désigner Dieu… ce qui donne accès un vaste champ de possibles !

SP : Est-ce en rapport avec le son primordial ?

L : Le son primordial est le OM, la base des sons sacrés. Le développement de la vie dans l’univers est basé sur ce son.

SP : L’utilisez-vous dans vos compositions ?

L : Dans le CD « La Lune des Sages », un morceau est composé avec le « OM ». Sinon, comme le nombre d’or, qui se trouve dans la musique classique [3], lorsque ma musique prend une dimension sacrée, le OM sera caché parmi certaines notes, presque de façon subliminale.

SP : Comment qualifiez-vous votre musique ? Musique de bien-être, musique sacrée ou « Nouvel-âge » ?

L : On me pose souvent cette question et comme il m’est très difficile d’y répondre, j’ai solutionné le problème en la nommant « musique de bien-être »  car c’est la réponse que les personnes nous renvoient le plus souvent. En l’écoutant, elles témoignent se sentir bien. Ma musique ouvre des horizons, détend et entraîne dans d’autres univers et d’autres mondes, permettant des expériences profondes.

Au fond, je la vois comme une musique nouvelle encore difficile à définir et à nommer. Le terme musique « Nouvel-âge » est connoté et souvent mal perçu. De plus, il ne veut plus rien dire : si l’on n’est pas dans le classique, le pop ou le jazz, automatiquement, on est classé « new âge » alors qu’il y a des musiques très belles, des mélodies incroyables et magnifiques, qui parlent aux gens, les portent, et qui ne sont pas nécessairement « new âge ». En réalité, je pense que la musique ne devrait pas porter d’étiquette.

SP : Le Jazz, le Blues sont des courants musicaux… On parle beaucoup aujourd’hui de musique chamanique, comment vous situez-vous dans ces styles musicaux actuels ?

L : Je considère la musique chamanique comme une musique ancienne liée à une sagesse ancestrale qui se réveille de nouveau aujourd’hui, sans doute associée à une recherche de racines. La musique qui se crée de nos jours puise ses racines à la fois dans du déjà fait, la base, et dans l’air du temps. Elle préfigure – ceci dit sans prétention – la musique classique de demain.

SP : Avez-vous le sentiment d’évoluer à travers vos albums ? Et y en a-t-il un que vous préfériez ?

L : Oui, si j’écoute le premier puis le dernier de mes albums, j’ai l’impression de m’être bonifié.

Il n’y en a pas de plus boutique d’autres, sinon cela signifierait que j’aurais sorti des albums dont je n’étais pas satisfait. Avec le recul, je me dis que j’aurais pu faire mieux parfois, mais je les aime comme mes enfants, donc tous. Aujourd’hui, en 2013, je me dirige vers la musique sacrée, quoique je ne saurais pas expliquer ce qui fait qu’une musique est sacrée ou non. C’est en partie le public qui la définit. Pour ma part, une musique doit être belle, porter les gens, parler à leur âme. Elle doit être universelle ou alors ce n’est pas de la musique mais du bruit.

SP : L’album « Corpus Christi » est une œuvre importante, comment vous est-elle venue ?

corpus_christi-29L : « Corpus Christi » est l’évocation musicale de la vie de Jésus-Christ. L’album contient deux disques qui ont été également mis en sons et lumières, avec des chants. Il doit prochainement sortir sous forme de DVD. Le spectacle retrace la vie du Christ dans une vision artistique, sous la forme d’une méditation, pour ramener les personnes qui l’écoutent à leurs origines et leur donner à vivre une expérience profonde. Un ami, évêque, m’a invité à le réaliser. Lorsqu’il m’a parlé du projet, je lui ai répondu : «Tu ne te rends pas compte, c’est un défi à la fois artistique, intellectuel et spirituel… Tout le monde va me tomber dessus… Les Églises… ». Et c’est effectivement ce qui s’est produit ! Cet œuvre occupe une place à part dans ma discographie, ce fut une aventure tellement particulière… Je ne peux toujours pas expliquer pourquoi j’ai entrepris cette création.

SP : Combien de temps ce projet vous a-t-il demandé ?

L : Un an par album, soit deux années suivies de six mois pour la préparation des concerts.

SP : D’où proviennent les textes des chants ? Vous ont-ils été fournis ou sont-ils le fruit de votre travail de recherche ?

L : Mon ami, évêque, m’a laissé me débrouiller seul ; il a d’ailleurs, par la suite, apprécié le résultat. J’ai créé les chants à partir de textes sacrés en reprenant des psaumes en hébreu, des poèmes arabes anciens et également en latin car j’ai veillé à ce que les trois courants soient équilibrés.

SP : Quels instruments et voix avez-vous fait intervenir ?

L : J’ai fait appel à une chanteuse sur scène, Oriane, avec qui j’avais déjà réalisé des disques et qui amène une présence vocale phénoménale. Il est bien sûr préférable d’avoir un chœur de chanteurs plutôt qu’un enregistrement de voix en fond, mais ce n’est plus le même budget et le spectacle prend une autre envergure. On ne peut pas déplacer tout le monde sur scène et il est donc nécessaire d’employer des artifices techniques pour obtenir le résultat voulu. Pour cela, nous avons utilisé de la lumière et des formes géométriques calculées pour créer un spectacle complet.

SP : Cette réalisation vous a-t-elle donné envie de poursuivre dans cette voie du sacré ?

L : Ces deux albums m’ont permis de recontacter une énergie christique que j’avais un peu perdue, et cela fut très bénéfique. Plusieurs morceaux m’ont offert d’établir un contact sensitif d’une grande proximité. J’ai également réalisé que l’énergie christique est bien plus présente dans le monde que ce que l’on pourrait penser. Le Christ est proche de la Terre et des humains, car en fait, il n’est jamais parti, il est toujours là. Cette idée est assez éloignée de celle des églises qui le représentent comme un personnage lointain dont on attend le retour.

Au cours de la phase de distribution de « Corpus Christi », après avoir consulté ma discographie sur internet, certains ont refusé de distribuer l’album au motif que « ma spiritualité, trop universelle », pourrait effrayer mon public… L’album est donc surtout accessible dans le milieu que l’on pourrait nommer « de la nouvelle conscience » .

SP : Cette expérience vous a-t-elle particulièrement ouvert à la musique sacrée ?

L : Oui, je le pense. Ces deux albums sont les disques les plus sacrés de ma discographie.

SP : Comment composez-vous ?

L : La création d’une œuvre d’art en général et d’une œuvre musicale, en particulier est un phénomène qui ne peut pas s’expliquer. La musique est dans l’univers, elle « flotte dans l’air » et certaines personnes ont la capacité de la capter pour l’incarner et ainsi en faire profiter d’autres. Elle est potentiellement ouverte à tout le monde. L’inspiration est impossible à provoquer ; si nous détenions la recette pour la maîtriser, nous passerions notre temps à faire des tubes.

Pour composer de la musique sacrée, on se laisse porter pendant un certain temps, variable d’un compositeur à l’autre, durant lequel il ne se passe rien. Pour moi, cela peut durer un mois, par exemple, ce qui est très pénible, ensuite dans une même journée, jusqu’à cinq morceaux peuvent se présenter. Cela nécessite d’être disponible à tout moment.

SP : Y a-t-il un environnement qui vous soit plus propice qu’un autre ?

L : Idéalement, non. C’est l’intériorité du compositeur qui est essentielle, ce dont il se nourrit, comment il vit. Si l’environnement était important, ce serait le signe que l’on est dépendant de l’extérieur et ce serait une erreur. Personne ne pourrait imaginer que « Les Couleurs Sonores  », mon premier album, dont la musique est très aérienne, avec des chants d’oiseaux, des bruits d’eau qui coulent, etc., a été composé dans une cave en plein Paris. Ceci dit, l’environnement aide, comme la forêt dans laquelle je vis aujourd’hui.

SP : Quels sont vos instruments de prédilection ?

L : Le synthétiseur, le clavier. Quoique le terme synthétiseur ne signifie plus grand-chose, c’est presque un ordinateur déguisé en clavier ! À partir de vrais sons de base, on peut reproduire des sons naturels, c’est la lutherie du XXIe siècle, en quelque sorte.

SP : La vibration d’un instrument électronique est-elle identique à celle d’un acoustique ? Dans un violon, il y a une âme. Qu’en est-il de l’électronique ?

L : Le son dans le synthétiseur est comme le son du violoniste qui a été enregistré… Aujourd’hui, nous pouvons atteindre une très haute qualité de son… Perçoit-on l’âme du violon lorsqu’on enregistre son timbre sur un CD ? Aujourd’hui, tout devient électronique et la musique n’échappera pas à la règle. On reproche au synthétiseur l’absence de phénomènes acoustiques comme les harmoniques, c’est-à-dire faire résonner une corde de piano qui entraîne les cordes à côté à résonner aussi. Cependant, l’électronique circule dans le monde du subtil, presque dans le domaine du quantique et produit donc d’autres phénomènes. En ce sens, les sons vont couvrir un registre différent, plus large, avec un spectre différent et d’autres fréquences et ils toucheront plus profondément que l’acoustique.

Je pense que l’âme vient de la mélodie et non du musicien… La musique écoutée est-elle inspirée ? L’âme qui se dégage du violon ne viendrait-elle pas de la mélodie jouée par l’intermédiaire de l’interprète ? Qu’est-ce qui est le plus important : avoir une très belle mélodie jouée en live ou en CD que l’on écoute chez soi, ou avoir un violon avec une âme phénoménale mais qui va jouer du hard rock ou autre ?

Le plus important est ce que le compositeur va donner comme sens à son œuvre. Bien sûr, l’interprète est essentiel : Yehudi Menuhin produira un son différent de celui produit par un étudiant en musique de deuxième année. Avec de tels artistes – Luciano Pavarotti, par exemple, dans la partie chant – on est dans le domaine de l’excellence et du génie. Dans un tel cas, aucun appareil électronique ne pourra imiter, reconstituer, ou reproduire le son à l’identique !

SP : Un concert « en live »est magique : il y a l’âme des musiciens, une présence, on perçoit certaines vibrations… Que permet l’écoute d’un CD ?

L : Le CD permet d’écouter la musique chez soi et aux artistes de l’écouter immédiatement, de l’enregistrer et de la distribuer au public, c’est génial. Auparavant il fallait attendre que le roi vous ait en sympathie, qu’il ait envie de vous payer un orchestre, que toute la cour soit présente avec ses salamalecs et dise que c’est génial. Il n’y avait aucun autre moyen d’entendre de la musique, qui était en outre censurée. On a donc progressé de manière prodigieuse.

SP : Que représentent les concerts pour vous ?

L : Pour moi la musique doit être un spectacle complet avec à la fois les lumières, la vidéo, le chant, des projections. Son et lumière se complètent à merveille. Lors du concert « Corpus Christi » à Valence, c’était magique, j’étais comme un gosse, à m’extasier de tout… Sur scène, les artistes sont privés du spectacle auquel a droit le public. J’aurais presque préféré être dans la salle, à regarder !

Je suis un musicien qui aime voir la musique, les lumières… et le spectacle… C’est ce que je fais assez régulièrement avec Michel Pépé.

SP : Avez-vous travaillé avec d’autres musiciens que Michel Pépé ?

L : J’aime beaucoup travailler en collaboration, c’est un enrichissement, sinon ce travail est trop solitaire. Avec Michel Pépé, nous avons réalisé quatre CD. J’ai créé « Chants des Voûtes Célestes », une reprise de chants classiques avec Oriane ; 2 CD avec un pianiste classique nommé Eric Aron  ; quatre CD de méditation guidée avec Michel Dogna et quatre albums avec mon épouse, Frédérique Cabezas.

SP : Comment créez-vous un spectacle, partez-vous de la musique et recherchez-vous les images ensuite ?

L : C’est un énorme travail, cela commence par la musique à composer puis toute la mise en images, la mise en scène avec les lumières, etc. J’essaie de scénariser, de donner un sens au spectacle, une cohérence en fonction de la musique qui porte soit sur la nature soit sur l’aspect onirique, ou vers ce que j’appelle les autres mondes.

SP : Avez-vous songé à créer un DVD de vos concerts ?

L : Nous l’avions envisagé avec Michel Pépé, mais nous avons abandonné le projet pour deux raisons principales : la première est technique, il est très difficile de filmer de nuit ; ensuite la logique du DVD voudrait que l’on fasse le même spectacle dans les différentes villes, sinon les spectateurs ne comprendraient pas. Or, dans la réalité, le spectacle change d’une représentation à l’autre… Si l’on en tenait compte pour créer des DVD, nous serions, avec Michel, à promouvoir un DVD tout en préparant déjà le suivant… Ce serait trop complexe.

SP : Pour quelles raisons modifiez-vous les spectacles ? Est-ce pour demeurer dans la créativité ?

L : Oui, tout à fait selon ce qu’il se passe lors du concert, comment il évolue…

SP : Pouvez-vous nous parler de votre collaboration à la création d’un jeu de cartes avec Frédérique Sicard, votre épouse ?

L : J’ai composé, pour mon épouse, une musique inspirée afin d’accompagner le tirage de son « Jeu de l’Invitation » , qui est un outil thérapeutique suivant sa méthode personnelle de travail que je trouve intéressante et originale.

SP : Quels sont vos projets ?
téléchargement (9)
L : Je continue de créer des concerts, ce qui représente beaucoup de travail… et d’incertitudes, et surtout je viens de sortir un nouvel album en septembre. 

 SOURCE : Par Dominique Duchêne pour Sacré Planète
Article extrait de Sacrée Planète n° 60 d’octobre/Novembre 2013

Logo en concert à Paris Samedi 29 novembre - renseignements ICI
www.logos-musique.com.

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Pourquoi devoir Couper les liens toxiques

Posté par othoharmonie le 16 novembre 2014

 

liens-karmiquesCouper des liens, mais pourquoi ?

Lorsqu’une situation inconfortable, voire troublante se présente, on peut par une technique assez simple prendre rapidement du recul. C’est une technique de coupure de liens mise au point par Phillis Krystal et qu’elle appelle « cutting the ties that bind », qu’on pourrait traduire par « couper les liens qui nous tendent ».

Avec un peu de pratique, on peut arriver à des résultats intéressants pour soi-même, en autant qu’on a la présence d’esprit d’utiliser la technique lorsque la situation s’y prête. On peut également trouver un thérapeute qui utilise cette méthode pour nous aider à couper des liens plus subtils, des liens toxiques profonds.

Cette méthode n’est pas la seule à permettre la coupure efficace de liens toxiques, mais elle a fait ses preuves.

Couper des liens, mais pourquoi ?

Pourquoi couper des liens ? Les êtres humains sont depuis toujours dans une interaction entre eux ainsi qu’avec leurs milieux physiques, culturel et social. Tout est donc, en un sens, une question de relation de soi avec le monde extérieur, la somme des liens que nous avons établis et appris à entretenir depuis notre naissance (et même avant) avec les autres et nos différentes sphères d’activités. Ce sont ces liens qui ont mené à nos modèles de comportement, à nos croyances, à nos dépendances si on prend le terme dans son sens le plus large. Ainsi, un travail sur ces liens toxiques, l’observation de ces liens ou même la simple prise de conscience de l’existence de ces liens peut engendrer une évolution importante pour la personne.

Pour améliorer une situation, pour prendre de la distance face à une situation ou encore à une personne, on peut se placer en situation d’observer le type de lien qui nous y unit. Couper des liens toxiques peut nous aider à sortir d’un modèle de comportement, à briser des contrats inconscients passés avec soi-même ou avec d’autres, à nous débarrasser d’un bagage transgénérationnel qui nous nuit, à sortir d’une dépendance et quoi encore. Couper des liens ne nous aidera pas à réparer une jambe cassée, c’est certain. Mais cela peut nous aider à relativiser et à transformer toute relation de soi au monde extérieur.

Exemple

Voici une anecdote qui illustre de façon très spectaculaire l’effet d’une coupure de liens toxiques effectuée en hypnothérapie avec un client lors d’une séance faisant partie d’un processus de guérison d’une fatigue chronique. Le samedi matin, nous avons coupé et transformé des liens malsains qui unissaient un jeune homme et son père pour le libérer d’un fort sentiment de dévalorisation. Le jeune homme est reparti chez lui sans parler à son père de ce que nous avions fait. Le lendemain matin, le père, qui n’appelait jamais son fils et n’avait pas rendu visite à celui-ci depuis des années, s’est annoncé pour une visite. Il a bien regardé tout ce que son fils (artiste et artisan) avait réalisé depuis un certain temps en visitant pour la première fois son atelier. Il l’a félicité et l’a encouragé à continuer. Cette coupure de liens a eu un impact non seulement sur le jeune homme mais aussi sur la difficile relation qui l’unissait à son père. Elle a même transformé l’attitude du père. Au plan subtil, non seulement la personne qui coupe les liens bénéficie de la transformation des liens mais les relations familiales ou autres gagnent beaucoup à ces coupures de liens toxiques. On a vu, dans le même ordre d’idée, certaines coupures de liens entre mères et filles annuler une bonne partie de la tension entre les deux. La coupure de liens peut aussi servir à terminer une situation laissée en plan par la mort ou le départ d’une personne ou encore la fin d’une relation amoureuse, d’une relation d’affaires ou de toute autre relation. On peut, en coupant les liens toxiques avec le passé, réduire de beaucoup les charges émotionnelles entourant ces situations.

La méthode Krystal

La coupure de liens profonds fait partie d’un processus thérapeutique. Parfois la douleur et d’autres résistances peuvent empêcher la coupure d’avoir effectivement lieu et le tout, si on ne poursuit pas un processus de guérison, demeurera au niveau de la visualisation. On ne peut pas attendre des résultats en profondeur de la mise en pratique sommaire de la méthode de Phillis Krystal comme elle est présentée ici mais on peut aisément s’en servir pour prendre le recul nécessaire à toute recherche de solution positive.

La méthode Krystal s’applique pendant que le patient est en état de relaxation et est constituée de visualisations guidées.

ALe 8 

Le symbole du 8, proposé par Madame Phyllis Krystal, pour nous aider à couper les liens toxiques.

Le premier symbole proposé est un cercle que l’on trace dans l’imaginaire autour de soi auquel on donne la couleur jaune. Ce cercle symbolise son espace personnel, l’espace qu’on s’alloue dans la vie.

Ensuite, on trace devant son propre cercle un autre cercle jaune qui s’appuie au sien à un point de sa circonférence. Les deux cercles forment ainsi une figure de 8.

Ces deux cercles symbolisent les deux espaces qui se font face dans la situation donnée. On place donc dans l’autre cercle la personne impliquée dans notre situation problématique ou encore une douleur ou une émotion envahissante.

Puis, on imagine une ligne d’énergie bleue qui voyage d’un cercle à l’autre en passant par le lieu où les deux cercles se rejoignent. Cette lumière d’énergie bleue circule dans le sens des aiguilles d’une montre autour du cercle qui est devant le sien.

Elle le pénètre en entrant par le lieu de rencontre et y circule de la gauche vers la droite, traçant à son tour une forme de 8 qui se superpose au 8 jaune.

On peut s’imaginer que le mouvement de circulation de cette énergie bleue est continuel. C’est ce qui entretient entre les deux cercles une relation, une interaction.

Cette première étape de la visualisation peut déjà permettre de défaire l’identification de soi à un problème de santé ou à un conflit relationnel.

Des aides

La personne peut ensuite imaginer que dans son cercle, pour l’aider et la soutenir, il y a derrière elle un bon gros arbre bien enraciné et bien déployé et qu’elle peut s’asseoir et s’appuyer sur le tronc de cette force de la nature.

Cet arbre symbolise cet aspect de soi qui est immunisé contre la tentation de réagir à ce qui se trouve dans l’autre cercle. Pendant qu’on s’appuie à cet arbre, on respire profondément et on se replace au présent, dans « l’ici et maintenant » afin de relativiser ce qui se trouve dans l’autre cercle.

On peut aussi inviter dans son cercle ses parents cosmiques, imaginer un être féminin et un être masculin en plaçant la figure maternelle à gauche et la figure paternelle à droite. Il ne s’agit pas de ses parents biologiques mais bien d’un idéal cosmique de parentalité équilibrée qu’on peut imaginer nous enlaçant pour nous entourer de leur protection et de leur amour inconditionnel. Le cercle devient alors un véritable foyer, rassurant et chaleureux, un lieu où l’on peut se réfugier et se ressaisir en toute sécurité.

La conscience supérieure

L’étape suivante peut consister à imaginer qu’une boule de conscience supérieure, une belle boule de lumière dorée, est suspendue dans le ciel au-dessus du point d’intersection entre les deux cercles. Cette belle boule de conscience supérieure (cet aspect de soi qui sait ce qui est juste, qui est bien au-delà de l’ego, sa conscience divine, son grand Soi, etc.) est en réalité ce qui peut unir dans l’harmonie les deux cercles. Alors on peut imaginer que de cette belle boule de lumière dorée images (6)descendent deux rayons de lumière dorée qui investissent le contenu de chacun des cercles et qui unissent aussi les cercles par leurs bases, formant ainsi un triangle de lumière dorée dont la pointe se situe dans la boule de lumière et dont la base est constituée par le rayon qui circule entre les sujets des deux cercles.

Ce lien de lumière peut être associé à l’amour inconditionnel qui est possible entre les deux protagonistes des cercles.

C’est en imaginant ce lien de conscience supérieure qu’on peut se dégager temporairement d’une situation embêtante et prendre le recul nécessaire pour trouver une solution juste et harmonieuse pour les deux cercles. Si, par exemple, on a placé dans le cercle en face de soi une situation qui provoque une anxiété qui nous empêche de dormir, on peut, déjà en se distanciant de la cause anxiogène reprendre le contrôle de sa respiration et se détendre en reléguant à la conscience supérieure le soin de s’occuper de la situation anxiogène et de l’harmoniser. Le sommeil viendra sous peu.

Pour conclure

C’est un outil qui peut être beaucoup plus élaboré et rejoindre la personne plus en profondeur. Claudette Gosselin, une psychothérapeute de la région de l’Estrie, utilise régulièrement cette méthode pour couper des « liens avec le passé » en thérapie avec ses clients. Elle a aussi commencé à enseigner la méthode aux thérapeutes intéressés.

Les deux volumes et le cahier d’exercices de Phyllis Krystal (en anglais) intitulés « Cutting the Ties That Bind » de même que leur traduction en français sont disponibles en bibliothèque seulement. Merci à Claudette Gosselin pour m’avoir fait vivre l’expérience et avoir répondu à mes questions pour cet article. Claudette Gosselin a étudié avec Phyllis Krystal et peut être jointe au : 819-620-6206.

Louise Gauthier -Naturothérapeute
Laurentides, Montréal, Estrie (Québec) Canada 

SOURCE : http://www.energie-sante.net/fr/c8/C8L011_couper-les-liens-toxiques.php

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Apprendre à se des-identifier avec Tony Parsons

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2014

 

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https://www.youtube.com/watch?v=fobmRpM_DPY

 » Lorsque s’effondre l’apparente identité séparée, la radieuse merveille de la présence se révèle – à personne «  nous dit Tony Parsons

téléchargement (3)L’unicité ou l’éveil n’émerge pas à travers une acquisition mais plutôt à travers la perte de quelque chose… Le « moi » avec son encombrant fatras de certitudes et de refuges s’étiole et s’effiloche. Tony Parsons révèle au lecteur l’esquive permanente de l’éveil dont il est le théâtre. Il insiste sur le fait que c’est le « chercheur » qui est l’obstacle et qu’un lâcher prise est nécessaire. Les entretiens se déroulent d’abord au niveau d’un échange de concepts, dans le cadre duquel il est possible que des idées confuses à propos de notre nature originelle puissent être délogées par une clarté sans concession. A un autre niveau, ce qui est partagé est déjà su. La sagesse parle à la sagesse et nous reconnaissons ce que nous sommes déjà. Déchiquetée par le souffle de l’évidence, l’idée d’une individualité autonome et souveraine part en lambeaux jusqu’à s’évanouir pour de bon, faisant place à l’évanescente fragrance de l’ultime.

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Connaissance de Soi : une porte vers la Sagesse

Posté par othoharmonie le 14 novembre 2014

 

Qui peut prétendre bien se connaître ?

Qui a le sentiment de maîtriser tout son univers  intérieur, de dominer parfaitement son esprit, d’être toujours en pleine conscience de ses pensées et de ses actes ?

Comme l’exprime habituellement cette citation de Sigmund Freud, nul ne peut prétendre se connaître parfaitement car la conscience n’est que la partie émergée de l’iceberg, tandis que l’inconscient, représenté par la zone immergée de cet iceberg, constituerait le « moi », notre psychisme.

La majeure partie de nos pensées naît de notre inconscient et cette zone intérieur qui fait partie de nous, mais dans le même temps échappe à notre contrôle, nous fait peur et souvent nous submerge … Mais n’existe-t-il pas différents degrés de conscience ? Prenons-nous vraiment le temps d’analyser tous les messages qui nous parviennent depuis la zone mystérieuse de notre inconscient ?

Tels des automates, nous sommes la plupart du temps guidés par nos émotions inconscientes et par les conditionnements et réflexes sociaux (éducation, habitudes ancrées dans la société, règles de savoir vivre ;..), bien plus que par notre conscience libre et indépendante ; Ce n’est pas pour autant qu’il faut abandonner toute recherche de soi. Au contraire, c’est en prenant conscience de cette situation que nous avançons et devons persévérer dans la recherche de la connaissance de soi.

Nous ne pouvons pas tout résoudre grâce à l’intelligence e tau raisonnement ; Certaines pensées échappent à notre connaissance objective de nous-mêmes ; celles qui sont dictées par nos émotions, pures produits de l’inconscient. Que faire ? Laisser parler notre cœur, écouter ce qu’il y a à dire sans refouler systématiquement les pensées qui en émanent, libérer nos émotions … et poursuivre ainsi notre chemin intérieur vers la connaissance de nous-mêmes.

moine

« Connais-toi toi-même »

Socrate reprenant la maxime inscrite sur le temple d’Apollon à Delphes.

Cette célèbre devise a le mérite de nous rappeler le but essentiel de la démarche que nous devons mener constamment tout au long d e notre vie, le but vers lequel nous devons tendre sans relâche pour accéder à la sagesse.

Néanmoins, il ne faut pas oublier la suite, trop souvent passée sous silence, de la maxime qui était inscrite sur le temps de Delphes : « Connais-toi toi-même … et tu connaîtras les dieux ». Celui qui parvient à la connaissance de soi,  la sagesse, devient l’égal de Dieu. En d’autres termes, cette devise nous rappelle notre condition d’être humain, mortel et imparfait, elle nous invite à prendre conscience de nos propres limites, de notre véritable identité et par là même de notre liberté potentielle.

« Connaitre les autres, c’est sagesse. Se connaître soi-même, c’est sagesse supérieure »

Notre tendance première est de vouloir connaître les autres, de les analyser afin de mieux les comprendre et parfois de leur apporter notre aide. Lao-Tseu nous rappelle ici que, si cette démarche altruiste est un pas en  vers la sagesse, elle ne doit pas pour autant nous détourner de notre recherche primordiale et essentielle : la connaissance de soi.

Il est nécessaire avant toute autre démarche de se penser à l’intérieur de soi, avant même de se tourner vers autrui. Ce n’est qu’en ayant fait connaissance avec son monde intérieur que l’on peut faire face aux autres avec honnêteté, amour et sincérité.

Bouddha va plus loin encore : pour parvenir à la paix intérieure et à la véritable sagesse, il est indispensable d’apprendre à contrôler son esprit, à ne plus se laisser envahir par des pensées négatives et inutiles ; ‘est à cette condition seulement que vous pourrez apporter le bonheur et la paix à votre entourage. Pour Bouddha, le contrôle de l’esprit passe par la médiation. En outre, de la paix de l’esprit naît la paix du corps, la santé mentale étant indissociable de la santé physique dans la philosophie bouddhiste. En d’autres termes, il faut au préalable être soi-même en bonne santé mentale pour nourrir des relations saines avec autrui.

Contrairement aux idées reçues, toutes nos perceptions émanent de notre monde intérieur : c’est à l’intérieur de nous-mêmes que naissent nos émotions, indépendamment des contraintes extérieures ; Autrement dit, si nous sommes en paix avec nous-mêmes et libérés des pensées qui affluent de notre inconscient, rien ne peut nous empêcher d’être parfaitement heureux et de garde le sourire même sous un temps maussade, dans l’adversité ou dans la pauvreté. A l’inverse, si nous ne parvenons pas à nous libérer des émotions négatives qui empoisonnent notre espace intérieur, nous ne parviendrons pas à ressentir une once de bien être même si nous nous offrons un voyage à l’autre vous de la terre ou un séjour sur une plage paradisiaque.

Dans la même veine que ce proverbe algérien, Alexandra David-Neel nous confie : « Le calme et la quiétude sont choses qui dépendent plus des dispositions intérieures de l’esprit que des circonstances extérieures et l’on peut les goûter même au milieu d’une apparente agitation ».

En somme, lorsque vous n’avez pas le moral, il est inutile d’incriminer ce et ceux qui vous entourent mais indispensable d’entamer une démarche d’introspection, de tendre vers une meilleure connaissance de soi.

Le chemin vers la sagesse et la connaissance de notre monde intérieur est long et difficile. Il nécessite un courage et une persévérance que nous ne pouvons puiser qu’en nous-mêmes. La sagesse, ça se mérite et vous êtes le seul maître à bord du vaisseau qui vous y conduira.

Ne vous laissez pas influencer par les apparences et guider par la facilité. Ce qui importe avant toute chose, c’est ce qui se passe à l’intérieur de vous-mêmes. Votre petite voix intérieure peut beaucoup plus pour vous que votre voix physique. Favorisez toujours la recherche de votre véritable identité et explorez sans relâche les chemins de la connaissance de soi avant de prendre la parole. 

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DANS LE MONDE DE L’INTUITION

Posté par othoharmonie le 14 novembre 2014

 

images (1)L’intuition pourrait être comparée à un rayon d’énergie qui illumine notre cerveau. Quand elle se manifeste, elle agit sur certaines parties du cerveau et active les cellules qui s’y trouvent ; Cette intuition vient de l’intérieur de nous, de notre Supraconscient, de notre Soi, de notre Ame. L’on pourrait la définir comme la juste perception synthétique et globale des principes spirituels qui animent le monde. Lorsqu’elle se révèle, tout ce qui nous entoure est perçu comme une lumière ; Cette lumière nous illumine et nous fait pénétrer des plans de conscience vibrant d’Amour desquels sont absent stout esprit de séparativité et de critique.

L’intuition nous permet d’entrer en contact avec la lumière présent eau centre de chaque être. Cette lumière que nous ne percevons pas toujours, soit que nous n’y prêtons assez attention par manque d’habitude ou d’intérêt, soit qu’elle se trouve encore à l’état latent chez la personne se trouvant en face de nous. En nous centrant sur le rayonnement qui resplendit dans son cœur et qui se répand, tel un soleil, au-delà de son enveloppe charnelle, nous sommes à même de mieux la comprendre, de percevoir ses réelles difficultés, son potentiel et le sens de sa quête de l’absolu. En ce sens, l’épanouissement de l’intuition permet d’accroître les qualités d’empathie si nécessaires quand on œuvre au bien d’autrui.

L’amour et l’intérêt que nous portons aux autres favorisent l’épanouissement de l’intuition.

Les personnes d’inclinations mentales, férues de logique, se fient peu à leur ressenti intérieur et se méfient des sensations d’ordre psychique. Elles éprouvent souvent la nécessité de corroborer leur intuition par leurs facultés de discrimination, par des associations d’idées leur venant de la connaissance et de la compréhension des choses de la vie. L’environnement doit être perçu, par elles, de la manière la plus précise, car elles se méfient de ce qui ne semble pas cohérent. Quand ces facteurs sont réunis, alors ces personnes peuvent accepter cette brillance intérieure, cette voix insistante qui se fait entendre. Elles devront, pour cela, s’ouvrir sans réserve à la puissante énergie du cœur qui avait été tenue bridée depuis longtemps.

Les personnes de tendances psychiques trouveront certainement cette méthode surprenante. Elles se demanderont pourquoi cette perte de temps, pourquoi ce manque de confiance en soi-même, pourquoi ce besoin de vérification, pourquoi la nécessité de ce contrôle sur les sentiments, les sensations, les perceptions les plus élevées ? Elles accueillent avec enthousiasme ces perceptions intérieures qui les éclairent de mille feux. L’exaltation qu’elles éprouvent leur enlève souvent toute prudence, et les rend sujettes à s’entourer des voiles de l’illusion. Elles devront soumettre leur ressenti à l’épreuve du discernement qu’elles n’utilisent pas sassez.

Toutes les approches destinées à mieux comprendre, appréhender et aimer ses semblables et la vie en général, sont honorables. Aucune n’est supérieure à l’autre. Il est judicieux de s’harmoniser à celle qui nous correspond intrinsèquement afin de nous donner les moyens d’être le plus performant possible dans notre travail de soutien, de conseil et de guide. Il n’est tout de même pas inutile de faire l’effort de comprendre et d’intégrer le pont de vue de celui qui fonctionne suivant des paramètres différents des nôtres. En effectuant ce travail dans ce sens, nous faisons preuve d’une certaine sagesse et d’une grande ouverture d’esprit. Deux qualités essentielles pour interpréter le plus judicieusement un tirage d’arcanes.

L’intuition est une faculté de l’Ame.

Elle lui sert à mieux communiquer avec l’autre partie de nous-mêmes

(l’ego, le moi, la triple personnalité)

qui demande  à être éveillée aux réalités spirituelles de ce monde.

 

DEVELOPPER SON INTUITION

téléchargement (1)Par son côté abstrait, onirique et symbolique, le Tarot par exemple se prête particulièrement au développement de cette faculté présente à des degrés divers en chacun de nous. L’un des moyens les plus efficaces pour développer son intuition, consiste à effectuer un profond travail de visualisation sur des symboles. Comme le dit Patanjali, ce grand Maître Indien qui initia le Raja Yoga il ya plus de 2500 ans, dans ses Yogas Soutras, « l’art de lire les symboles relève de la lecture spirituelle ». Etant conçu à partir des symboles, le Tarot nous incite sans cesse à laisser notre intuition s’écouler librement, sans la moindre entrave. Nous pouvons stopper ce processus et nous focaliser essentiellement sur l’aspect connaissance intellectuelle des symboles et créer à partir d’eux des grilles de lecture dans lesquelles nous allons enfermer un consultant. 

Pourquoi vouloir limiter l’outil que nous utilisons en ne développant qu’une infime partie de ce qu’il nous offre ? Pourquoi s’enfermer dans des définitions toutes faites susceptibles de restreindre le libre arbitre d’un consultant ? Pourquoi nier les capacités créatrices et la divinité de l’Homme ? Cette démarche me semble enfermante, sclérosante au quotidien, peu féconde sur le plan de la pensée et contraire à l’épanouissement du centre cardiaque. 

Ce n’est bien sûr pas cette dernière voie que je développe dans mes ouvrages et que je vous incite à suivre. Etant traditionaliste et conservatrice de nature, elle est contraire à l’esprit humaniste. Cette méthode appartient au mode de fonctionnement qui était utilisé, à juste titre, pendant l’Ere des Poissons. L’Homme avait besoin de garde-fous, de limites précises, d’une autorité supérieure représentée par les systèmes religieux, les écoles de pensées, dirigés eux-mêmes par des « maîtres » pour avancer sur le chemin. Les concepts de globalité, d’universalité, de conscience de groupe, de liberté individuelle et collective, étaient difficilement concevables. L’Etre du Verseau offre de nouvelles opportunités d’ouverture de la conscience. Ces nouvelles valeurs peuvent s’incarner en raison des qualités que nous avons développées par le passé ; qualités, estimées les plus élevées et les plus nobles à un moment donné de notre longue histoire, mais devenues inadéquates aujourd’hui. 

Il en sera de même vers la fin de l’Ere du Verseau vis-à-vis de cette nouvelle façon de penser, d’aborder les choses et de concevoir la vie. Ce qui est encore considéré comme l’idéal le plus haut, sera perçu comme le mode de pensée le plus sclérosant au début de la prochaine Ere, celle du Capricorne ; Cette époque erra naître des concepts encore inconcevables à notre perception actuelle. 

Voici en rois points, le processus de visualisation à suivre qui vous permettra de développer votre intuition tout en étudiant en profondeur les Arcanes du Tarot. Je conseil de faire ce travail carte par carte, que ce soit dans l’ordre de numérotation à l’intérieur de chacune des familles, ou dans le désordre, en prenant dans ce cas, bien soin de retirer du jeu les cartes que vous avez tirées afin de ne pas les choisir à nouveau. Vous pouvez aussi utiliser cette visualisation pour interpréter un tirage vous posant quelques difficultés d’interprétation. Dans ce second cas, procédez de la même manière, mais en visualisant l’ensemble des Arcanes formant le jeu que vous devez commenter. 

PHASE VISUELLE PAR L’INTEGRATION DES SYMBOLES

-          Je choisis l’Arcane avec lequel je vais travailler. Soit j’opte délibérément pour une carte avec laquelle j’éprouve des difficultés, soit je m’en remets au « hasard ».

-          Pour commencer à étudier un symbole, il est important d’en visualiser son contour, sa forme générale, sa couleur, d’en ressentir sa puissance émotive, l’idée générale qu’il est censé représenter, sa valeur archétypale.

-          Avec le Tarot, nous chercherons aussi à comprendre le rôle social des personnages représentés, l’aspect mythologique t religieux de certaines cartes, la valeur numérique ainsi que celles des Quatre éléments, la signification du nom de la carte, la façon dont sont agencés les symboles (cercle, triangle, carré, étoiles) des Arcanes Mineurs. 

PHASE DU RESSENTI ET DE LA PERCEPTION MENTALE

Après avoir effectué ce travail, ne prêtons plus attention à l’aspect-forme des symboles et centrons-nous sur l’émotion qu’ils évoquent, à l’intérieur d’une carte, et sur l’idée générale, le concept, qui se dégage de notre perception. 

Les symboles et tout particulièrement ceux du Tarot éveillent chez chacun de nous, par rapport à la vie en général et à l’Homme en particulier, des réactions, des sentiments, qui n’avaient jamais été éprouvés jusque là. Je me pose donc la question ; quelle émotion je ressens face à cette carte ? Quelle idée et pensée me traversent l’esprit ? 

Quelle relation je discerne entre l’Arcane que je visualise et certains autres du jeu de Tarot ? 

Maintenant, je perçois l’Arcane par le sentiment ou la pensée qu’il m’évoque. 

Je ne suis plus centré sur le graphique de la carte, ni sur ce que j’en ressens et perçois. Je traduis ces impressions par un Symbole. Ce symbole représente ma perception la plus globale de la carte, sa qualité ultime. 

PHASE DE CONTEMPLATION

Je me tiens dans un état de relâchement et de disponibilité. Je ne pense à rien, ne m’arrête sur aucune des images pouvant défiler devant moi. Même le symbole qu’évoque pour moi la carte s’estompe de mon esprit. Je fais le vide en moi. 

En me maintenant dans cet état de contemplation, je suis ouvert à toutes les intuitions qui peuvent affluer à mon esprit sur le Tarot en général et les Arcanes en particulier. 

Nourri par le travail effectué au cours des deux premiers stades, c’est au cours de celui-ci que je vais véritablement pénétrer les Arcanes du Tarot, que je vais percevoir ses possibilités, son rôle sa dimension spirituelle et que je vais m’ouvrir véritablement à l’interprétation, sans préjugés ou idées préconçues, l’esprit libre de toutes entraves. 

Je laisse maintenant l’intuition libre s’écouter en moi de l’âme vers le cerveau, qui s’en trouve illuminé. 

RumiJe peux faire cette visualisation avec les Arcanes Majeurs et Mineurs en les étudiant intérieurement les uns après les autres. Rien ne m’empêche de l’utiliser au cours d’un tirage quand je ne comprends pas le sens de l’histoire décrite par les cartes. Au lieu de travailler une care à la fois, je peux effectuer le même processus pour l’ensemble des cartes posées devant moi. La réponse viendra immanquablement avec une évidente précision. Je conseille aussi cet exercice à ceux qui étudient l’Astrologie en remplaçant les cartes par les Signes du Zodiaque, les Planètes, les Maisons, les Aspects, les Dessins Planétaires. 

Je recommande tout particulièrement cet exercice pour l’étude des Nombres (de 1 à 10) et des Quatre Eléments (Terre, Eau, Feu, Air). Vous découvrirez par ce biais des données essentielles qui vous seront grandement utiles pour mieux comprendre les Arcanes Mineurs et appréhender avec plus de facilité vos futures interprétations. 

Les informations que vous recueillerez seront, le plus souvent totalement nouvelles pour vous ; Ce que l’intuition nous permet de découvrir, se trouve rarement contenu à l’intérieur d’un livre. Chaque fois que je fais faire cet exercice, je suis émerveillé par ce que les personnes découvrent, même si elles abordent le domaine sur lequel elles travaillent pour la première fois, il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances dans un domaine donné pour que l’intuition survienne. Au cours de cet exercice elle se manifeste autant chez le débutant que chez le spécialiste. 

Ce type de méditation nous met en relation avec notre « SOI », notre âme, notre être intérieur, appelé souvent l’ange gardien, avec la partie divine en nous. Notre Soi ainsi contacté éclaire notre mental à la manière d’un projecteur dont le faisceau illumine une scène de spectacle.

 

EXTRAIT DU LIVRE : L’interprétation des Arcanes Mineurs par Alain BRETHES aux Editions Oriane.

 

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Physique quantique et spiritualité

Posté par othoharmonie le 13 novembre 2014

 

HommeSablierAprès des études de physique à l’école poly technique de Munich et l’obtention d’une thèse d’état dans le domaine de la structure atomique et moléculaire de la matière, Andreas K.

Freund a travaillé pendant quarante ans dans deux grandes institutions scientifiques européennes à Grenoble. Passionné par la communication vers le grand public, il a été responsable des relations publiques pendant quatre années. En parallèle à ses activités de chercheur scientifique, il a été formé en psychologie, en communication et en yoga.

Persuadé que c’est l’homme qui limite l’expérience de la réalité, qui fragmente les choses à ne pas séparer, Andreas Freund cherche à dépasser les limites physiques par une exploration parallèle intérieure afin de franchir le « mur de la lumière » physique et aboutir dans un nouvel espace conjugué où brille une lumière de nature différente.

Voyageant souvent en Inde il s’intéresse particulièrement à la conciliation entre science et  spiritualité et à ce que les traditions ancestrales, en particulier védiques, peuvent apporter à notre monde moderne dans un bouleversement profond se manifestant par des crises de toute nature, qui, au fond, sont des crises d’ignorance et de manque de conscience.

La découverte de la physique quantique au début du siècle dernier a révolutionné notre  compréhension de la nature. Aujourd’hui, les appli cations technologiques du quantique ont un impact très important sur nos vies. Des thérapies basées sur les phénomènes quantiques font leur apparition dans le domaine de la santé. Mais relativement peu de personnes sont conscientes des aspects philosophiques, métaphysiques, également révolutionnaires de cette science nouvelle.

La vision quantique du monde s’approche de façon étonnante de ce que les traditions spirituelles millénaires enseignent. La relation intime entre l’expérimentation orientée vers l’extérieur en physique, chimie, biologie, et l’expérience intérieure par la méditation, la contemplation et les états de conscience modifiée devient évidente.

La matière n’est pas une masse inerte et inanimée, mais tout au contraire une substance dynamique et vivante ; elle est de la lumière condensée. La physique moderne le démontre et les traditions ancestrales le savaient déjà. Le scientisme matérialiste et le mysticisme spiritiste disparaissent dans la lumière d’une nouvelle approche plus globale où science et spiritualité sont non seulement compatibles, mais associées l’une avec l’autre. Ici, il ne s’agit donc ni d’une spiritualisation de la science, ni d’une « scientification » de la spiritualité ou de l’expérience religieuse, mais d’une véritable synergie de ces deux formes de réalisation de la vérité qui s’interpénètrent et se complètent mutuellement. Dans ce nouvel espace transdisciplinaire et exempt de dogmes science rime avec conscience.

Andreas Freund écrit des articles et donne des conférences accessibles à tout public en Europe et outre Atlantique expliquant les termes énergie, lumière, vibration, résonance, champ, etc., et illustrant la congruence des visions scientifique et spirituelle par de nombreux exemples.

La sortie d’un livre en l’automne 2013 aux Éditions Le Mercure Dauphinois : Lignes de lumière : physique quantique et spiritualité.

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LE LANGAGE DES SIGNES

Posté par othoharmonie le 13 novembre 2014

 

2782178592_1Qu’est-ce que le langage des signes ?
– Tout homme a sa propre façon de communiquer avec Dieu et avec son âme.

– Alors, l’homme n’a pas besoin de religion ?
– Les religions sont très importantes. Elles nous permettent d’adorer collectivement et de partager les mêmes mystères. Cependant, chacun est responsable de sa quête spirituelle personnelle. Si vous vous éloignez de votre chemin, il est inutile d’en rejeter la faute sur le prêtre, le rabbin, le pasteur. La responsabilité vous en incombe. Il existe un alphabet que votre âme seule comprend, un alphabet de signes qui lui indique les meilleures décisions à prendre.

– Comment apprendre ce langage ?
– Comment n’importe quel autre ! D’abord, il faut de la discipline pour discerner le signe lui-même. Ensuite, du courage pour pratiquer ce langage. Enfin, il ne faut jamais avoir peur de se tromper pendant cet apprentissage. La signe est souvent plus concret et plus évident qu’on ne pourrait l’imaginer. Laissez-moi vous raconter une histoire à ce sujet.

 » Dans son rêve, un homme vit apparaître un ange qui lui dit : « La pluie arrivera demain. Ton village sera inondé mais tu sera épargné ». Une forte pluie se mit à tomber le lendemain. Comme le risque d’inondation était réel, une équipe de secours évacua tous les habitants du village en leur faisant abandonner leur maison. Tout le monde partit, à l’exception de cet homme. Il disait aux gens : « Dans mon rêve, un ange m’a dit que je serai épargné ».

Le lendemain, l’eau atteignit le premier étage des habitations. Une deuxième équipe de secours vint et tenta d’emmener l’homme. De nouveau, il refusa. Il disait qu’il avait reçu un signe d’un ange et qu’il lui fallait montrer au monde qu’il était un homme de foi.

Le troisième jour, l’eau monta encore et la situation devint vraiment critique. L’homme était tout seul, perché sur le toit de sa maison. Une troisième équipe de secours essaya, en désespoir de cause, de le faire partir. De nouveau, il refusa. Il insulta ses sauveteurs, en prétendant que c’étaient des démons dont le but était de lui faire nier le signe de l’ange.

Peu après, l’eau recouvrit entièrement la maison, l’homme mourut noyé. Comme il avait toujours été un bon chrétien, Saint Pierre lui ouvrit les portes du Ciel mais l’homme refusa d’y entrer. Il disait que Dieu l’avait trompé, qu’Il avait envoyé un ange qui lui avait promis le salut. Pourtant, il avait été le seul habitant du village à périr.

Saint Pierre rétorqua que cela n’était pas possible, Dieu ne mentait pas. Il devait y avoir une explication. Il partit la chercher, entra au Paradis et, une demi-heure plus tard, il revint pour dire à l’homme : « C’est vrai, Dieu a demandé à un ange de vous faire savoir que vous seriez épargné. Mais par trois fois vous avez refusé l’aide qu’Il vous a envoyée sous la forme d’un équipe de secours ! « .

Conte philosophique 

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La Guérison de la Terre-Mère

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

Image de prévisualisation YouTube

 

http://www.youtube.com/watch?v=fzXHTb5lqQg#t=53

 

« Rencontre chamanique à Valsavarenche, Italie (Aoste), en 2004.

Présence de chamanes tibétains, sibériens et de Myriam (vers la 5ème minute) »

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Qualités d’une personne mature

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

 

par Osho

poussière cosmiqueLes qualités d’une personne mûre sont très étranges.

Tout d’abord, elle n’est pas une personne. Elle n’est plus un moi. Elle a une présence, mais elle n’est pas une personne.

Deuxièmement, elle ressemble davantage à un enfant – simple et innocente.

C’est pourquoi je dis que les qualités d’une personne mûre sont très étranges, car le mot  » maturité  » donne l’idée d’avoir de l’expérience, d’être âgé, vieux. Physiquement, il se peut que la personne soit vieille, mais spirituellement, c’est un enfant innocent. Sa maturité n’est pas qu’une expérience acquise à travers la vie. Dans ce cas, elle ne serait pas un enfant, dans ce cas, elle ne serait pas une présence ; elle serait une personne qui a de l’expérience – qui a des connaissances, mais qui n’est pas mûre.

La maturité n’a rien à voir avec les expériences de la vie. Elle a à voir avec votre voyage intérieur, avec votre expérience de ce qui est intérieur.

Plus on entre profondément en soi, plus on est mûr. Lorsqu’on a atteint le centre même de son être, on est parfaitement mûr. Mais à ce moment-là, la personne disparaît, seule la présence demeure ; le moi disparaît, seul le silence demeure ; le savoir disparaît, seule l’innocence demeure.

Pour moi, la maturité est un autre nom pour la réalisation. Vous êtes arrivé à l’accomplissement de votre potentiel. Il s’est actualisé. La graine a fait un long voyage et s’est épanouie.

La maturité a un parfum. Elle donne une immense beauté à l’individu. Elle donne de l’intelligence, l’intelligence la plus affinée qui soit. La personne mûre ne devient rien d’autre qu’amour. Son action est amour, son inaction est amour, sa vie est amour, sa mort est amour. Elle est simplement une fleur de l’amour.
L’Occident a des définitions de la maturité qui sont tout à fait infantiles. En Occident, par maturité on entend que vous n’êtes plus innocent, que vous avez mûri à travers les expériences de la vie, qu’on ne peut plus vous tromper facilement, qu’on ne peut plus vous exploiter ; que vous avez en vous quelque chose comme un roc solide – une protection, une sécurité. Cette définition est très ordinaire, très terre-à-terre. Oui, dans le monde vous trouverez ce type de personnes mûres. Mais ma façon de voir la maturité est totalement différente, diamétralement opposée à cette définition. La maturité ne fera pas de vous un roc ; elle vous rendra si vulnérable, si doux, si simple.

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