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FAIRE PARLER LE CORPS

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

 

par Nicolas Bernard

Nicolas Bernard est un ancien élève de Normal’sup Ulm. Passionné par la compréhension de la pensée, il a étudié le fonctionnement du cerveau avant de basculer dans une autre vision de l’humain suite à des expériences d’ouverture de conscience. En recherche d’un sens de la vie bon pour soi, au-delà de la compréhension scientifique, extérieure, il a expérimenté la méditation, le chamanisme, la danse et s’est confrontation au monde en temps que thérapeute. Ses recherches personnelles sont à l’origine d’une nouvelle approche du corps, la Thérapie des Neuf Souffles, dont les bases sont exposées dans son livre, « le Corps au Cœur de l’Homme » aux éditions Le Souffle d’Or.

 

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Faire parler les corps

Suite à mon parcours, je suis aujourd’hui thérapeute manuel. Thérapeute dans le sens le plus ancien : non pas celui qui « remet en place », mais celui qui se met à l’écoute de ce qui se dit là et qui en favorise l’émergence par son écoute. Jamais je ne manipule : à l’image d’une sage-femme, je me met à côté de l’autre et accompagne, d’abord par ma présence.
La découverte fabuleuse que j’ai faite, progressivement, est que le corps est intelligent. Il fait des choix, il interagit avec notre environnement… il est à lui seul un monde complexe, riche, surprenant. Et ce corps parle, avec son langage… et lorsque nous apprenons ce langage, il semble toujours prêt à nous révéler les merveilles qu’il recèle. 
Je reçois des gens de tous bords pour toutes sortes de problématiques, physiques, émotionnelles, mentales, relationnelles… dont l’attente principale est d’être entendu et accompagnés dans ce qui se joue à l’intérieur d’eux-mêmes.
Je fais parler les corps : je suis une espèce de confesseur des corps, qui, à la manière de certains prêtres orthodoxes, ne questionne pas la personne pour qu’elle parle, mais qui lit en elle et lui redonne le contenu de ce qu’elle porte comme poids, afin de soulager son âme et lui permettre de s’élancer dans un chemin nouveau.

Je considère en effet que tous les déséquilibres du corps ont des raisons et qu’exercer une action pour « ré-équilibrer » est en fait une violence. Mon expérience thérapeutique me montre que de très nombreux symptômes, même soi-disant non physiques peuvent disparaître dès lors que le corps livre ses raisons de les avoir créés et que l’on sait les accueillir correctement.
Le corps est un être intelligent, sensible.

 

La conscience

Cette façon de considérer les liens entre la personne et son corps sont le résultat d’un long parcours de questionnement. 
Très jeune, déjà, je me posais la question de la nature de la pensée, ce qui m’a orienté vers une carrière de chercheur. Je me suis intéressé de manière générale aux sciences cognitives (ce qui touche à la compréhension des mécanismes de la pensée) et je me passionnais en particulier pour le thème de la conscience.
Qu’est-ce que la conscience ?
Je croyais que je trouverai des explications dans le champs de la science, mais celle-ci ne sait pas quoi faire de cet objet qui n’en est pas un, au point de se demander si celle-ci existe, ou s’il elle sert à quelque chose… mais comment faire rentrer dans la boîte de la logique un phénomène qui ne semble être « transpersonnel » ?

Comme d’autres chercheurs, je me cassais la tête sur ce mur, et poussé par ma curiosité, j’accédai, par des moyens délibérés, à ce que l’on nomme des « états de conscience modifiés ».
Ce fut pour moi une révélation : j’étais vaste comme l’univers, je fusionnais avec les étoiles, je plongeais dans l’histoire des pierres et des lieux, je goûtais dans des grains de poussière à la fontaine de l’éternité… en expérimentant une conscience élargie, mes concepts matérialistes éclatèrent me montrant la vraie nature de ma recherche de connaissance.

La réalité de nos besoins et le corps

Au travers de ces expériences, je ne faisais pas que m’ouvrir à une dimension vaste de l’être : j’ouvrai aussi la boîte de pandore, inconnue de moi jusque là dans laquelle se trouvaient refoulées mes souffrances personnelles, comme si aller vers le plus grand, m’avait fait redescendre vers le plus petit. La vie m’avait descendu du piédestal de savant qui observe, classe et juge de tout en haut, à celui de petite chose prise dans la machine à laver !

En réalité, c’est bien dans le corps et sa réalité que m’ont reprécipité ces vécus transpersonnels.
Lorsque l’on expérimente que la conscience est plus vaste que notre corps (en tout cas ce que nous entendons habituellement par corps), il y a une forte tentation à se désintéresser de celui-ci pour partir à l’exploration des « royaumes célestes ». J’ai eu la chance pour ma part de cheminer sur des voies qui ont maintenu mon attention dans la direction inverse : le chamanisme, la danse, et la thérapie manuelle.

Dans toutes ces approches, c’est le placement dans le corps qui est primordial : chaque petite chose qui se trame en soi, chaque petite sensation est une porte vers un univers magique, le monde de dedans. Que ce soit dans le « voyage chamanique » ou dans le voyage dansé, la confiance apportée à ce qui monte de dedans est le début d’une grande aventure à la rencontre de soi-même. Notre fonction est juste de dire « oui », et de plonger dans un vaste réservoir de merveilleux qui est là en nous.

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Accompagner la croissance de l’être par le corps

Pendant des années ma pratique de soins ostéopathiques, bien que basée sur l’écoute du corps, ne cadrait pas avec ce vécu magique. Je ressentais que rééquilibrer, même en douceur, les « déséquilibres » du corps n’était pas juste, que pour les personnes qui venaient consulter il s’agissait d’une perte d’informations précieuses.
Au travers de cas de plus en plus en plus fréquents, je fortifiais ma conviction que les symptômes ne sont pas des « accidents » ou des signes de dégradation du corps, mais des signaux, des appels à écouter quelque chose de profond.

Pourtant, malgré mon vécu personnel, je ne disposais que de moyens limités pour entrer dans un véritable dialogue avec cet univers, et surtout de moyens qui permettent de témoigner de la dynamique interne de la personne dans des termes accessibles, dans lesquels elle puisse non seulement se sentir reconnue, mais également accompagnée dans son évolution.

Derrière les symptômes, c’est bien d’évolution dont il s’agit : si nous avons tous un corps, c’est pour grandir, pour évoluer. Par le fait d’être incarné, notre âme peut se nourrir de nos expériences et croître. Il n’est donc pas question de faire taire les symptômes, fut-ce par des moyens doux : ma conviction est que le corps est un creuset alchimique, un athanor, et que chaque corps, chaque être est différent dans sa façon d’accomplir cela : veiller sur lui, c’est donc lui permettre de réaliser sa fonction du mieux possible, et non pas de l’emmener dans une direction d’équilibre stéréotypée.

Pour accompagner l’être dans son évolution, il m’a fallu, au-delà de toutes les techniques et savoirs que j’avais reçu, trouver des clefs pour engager ce dialogue personnalisé avec le corps et entrer en intimité dans son univers, ce qui reste selon moi le socle de toute guérison véritable.

 

Ouvrir le corps au dialogue

Le corps est un espace fabuleux, mais qui se protège… en réalité, qui nous protège : en considérant que c’est en lui et par lui que notre accomplissement et notre survie sont assurés, il m’est devenu clair qu’il était strictement impossible d’entrer en lui et de comprendre ses raisons juste par curiosité et encore moins par intrusivité.
Le corps ne nous révèle ses trésors que lorsque nous sommes clairement là pour le soutenir dans son propre fonctionnement.

Pour établir ce dialogue-là, il m’a fallut au fil des années, désapprendre à vouloir agir sur le corps… puis il m’a fallut apprendre à me laisser guider par lui : lorsque nous sommes respectueux, l’être vient nous prendre par la main à la porte du symptôme et nous emmène pas à pas dans la découverte de ce qui est là, de ce qui à besoin d’évoluer, et des ressources qui ont besoin de s’activer.

Il est très difficile de s’enfoncer dans cette lecture sans jalons. Les moyens que j’ai été amené à déployer permettent de progresser pas à pas dans cette exploration. 
Il s’agit d’abord d’une compréhension de comment l’être est structuré et évolue et qui permet de le questionner par étapes, sans jamais le contraindre : « en quoi as-tu besoin d’aide ? », « comment te protèges-tu ? », « de quoi te protèges-tu ? », « qu’est-ce que tu protèges ? », « quelles interactions établies-tu avec l’environnement ? », « quels sont les ressources disponibles en toi pour évoluer ? », « quel chemin se dessine ? », « de quoi as-tu besoin pour installer ce chemin ? ».

En avançant pas à pas avec ces questions, le corps montre par des images, des sensations, des impressions les choix et l’organisation qui sont en lui aussi bien que les moyens d’évolution disponibles.

Un symbolisme corporel au service de l’alchimie qui œuvre en nous
Toujours en recherche de moyens de dialogues plus directs et plus parlants, j’ai regardé de près la constitution du corps sous l’angle de sa dimension alchimique. J’ai pour cela appliqué un modèle développé par G.I.Gurdjieff pour décrire des lois universelles de processus (l’ennéagramme des processus) et me suis aperçu que non seulement l’anatomie humaine renvoie directement à ces lois, mais également la dynamique interne du corps.

Il est né de ces observations un modèle symbolique unique du corps, la vision des Neuf Souffles, qui décrit neuf familles principales d’archétypes qui ont pour fonction d’interagir avec le cosmos.
Écouter le corps, dans la thérapie des Neuf Souffles consiste à cheminer avec les questions que j’ai énumérées plus haut en dialoguant avec ces archétypes. À chaque pas, chaque archétype se révèle sous un jour particulier qui parle de la place qu’il a prise, pour des raisons de survie, dans l’univers intérieur de la personne : il peut être en position de protecteur, de se cacher, de se mettre au service, ou bien de potentiel de changement.

L’application en séance individuelle ou en stage de cette façon de dialoguer avec le corps ne cesse de m’émerveiller et de me montrer sa richesse. Elle amène une réelle résonance avec le vécu intime des personnes, à un niveau souvent quasi subconscient, et cette résonance provoque un profond soulagement : celui d’être entendu, sans avoir à faire d’effort pour se montrer. Cette écoute continue aussi à m’émerveiller dans sa capacité à révéler et à accompagner avec poésie les ressources disponibles en chacun.

C’est cette vision cohérente, et les pratiques qui en découlent (la thérapie manuelle, mais aussi la méditation et avec mon épouse AnneEna, la danse) que je transmets aujourd’hui en stage, en consultations et sous forme de formations… comme des moyens de permettre à chacun d’accoucher de soi-même par le corps.

C’est aussi ce qui est exposé dans mon dernier ouvrage : « Le Corps au Cœur de l’Homme » paru cet automne aux éditions Le Souffle d’Or.

Plus d’infos sur l’auteur : Nicolas BERNARD
www.caravanedesneuf.fr
« Le Corps au Cœur de l’Homme », Editions Le Souffle d’Or 
Cliquez ici pour plus d’information sur ce livre.

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Sortir des acouphènes

Posté par othoharmonie le 7 novembre 2014

téléchargementLes acouphènes ou Er Ming en chinois signifiant littéralement « tintements dans l’oreille » se distinguent en deux types.
Le premier type se caractérise d’une perception de sons comparables au chant des cigales ou au bruit des vagues correspondant à l’acouphène objectif en médecine occidentale.
Le deuxième type se définit se définit d’une perception de sons d’une tonalité fine et basse, nommé acouphène subjectif. 10 à 18% de la population est atteinte d’acouphènes, les adultes étant les plus touchées, seulement 1 à 2% d’enfants. 5% des acouphènes diagnostiqués sont identifiables et peuvent être traités, pour les 95% restants cette maladie devient chronique perturbant lourdement le quotidien. Lire la suite…

Acouphènes et rein
 L’oreille est, en médecine traditionnelle chinoise, l’organe extérieur du rein, un déséquilibre énergétique de celui-ci engendre un dysfonctionnement énergétique de l’oreille. Il en résulte des troubles auditifs tels que les acouphènes.
Le foie aura lui une incidence sur la partie circulatoire des liquides et de l’énergie à l’intérieur du corps. Lire la suite…
Les acouphènes de plénitude

Signes cliniques : survenue brusque de la perception dans l’oreille des sons incessants et comparables au chant des cigales ou au bruit des vagues. Ces sons, perçus parfois au milieu de l’oreille, ne peuvent être atténués par la palpation. Lire la suite… 

Acouphènes de déficience
 Signes cliniques : acouphènes chroniques et intermittents aux sons fins et bas, aggravés par la fatigue et atténués par la palpation.
Signes associés : vertiges, douleurs et faiblesse des jambes, spermatorrhée, leucorrhées, pouls xu et xi (vide et fin).

Pour lire la totalité de cet article, rendez-vous sur le blog Tendance Santé 

 

Ses meilleures indications : Acoumen est un principe de médecine chinoise qui tonifie le Yang de la rate et des reins. Il tiédit également le foyer médian et inférieur et tonifie le Yin du foie

Composition : Pour voir la liste des plantes présentes dans le produit Acoumen, cliquer ici

Conseil d’utilisation : Cure de 100 jours (4 boîtes de 100 gélules). Pour ancrer l’efficacité de ce produit faire une cure de 6 mois. Prendre 2 gélules le matin et midi (3×2 si plus aigüe). Attention variation possible entre le 20 ème et 40 ème jour de traitement 

Retrouvez le produit Acoumen sur le site des Laboratoires Bimont : http://www.laboratoiresbimont.fr/acoumen-cure-100-jours_337.68.htm

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Art de la dévotion, de l’humilité, de l’acceptation de Soi

Posté par othoharmonie le 5 novembre 2014

 

devotionLe tantra est une dévotion à l’être de Soi-même, en ce sens, le tantra est une voie spirituelle.
Le tantra est l’art de vivre dans la matière spirituelle.

Il appelle à honorer son corps, temple de la lumière et de l’âme et à permettre que l’âme puisse demeurer dans ce corps.

Il rappelle la réunification de la chair et l’énergie, le ciel et la Terre, le visible et l’invisible le masculin et le féminin. La voie tantrique ramène à l’Unité, rappelle à la réconciliation des univers, des différences, des polarités.
Elle est en cela une philosophie de vie spirituelle, et un art de vivre. 

A travers des techniques, les tantrikas peuvent reprendre conscience de la chair, du corps, du féminin intérieur, permettant à l’éveil de leur conscience de se réaliser et de venir resacraliser ou réveiller le masculin conscient, le masculin sacré. Ainsi les pratiques de cette philosophie Universelle offrent à l’Homme de se connaître, de se reconnaître, d’accéder à Dieu à l’intérieur du Soi, en passant par le corps, par la chair, par le cœur, par les sensations, par l’éveil de la conscience…

Ceci est une voie parmi d’autres voies spirituelles afin que l’humain puisse retrouver le Divin, afin que le divin puisse émaner de la matière de l’humain. Ainsi le tantra est un outil donnant accès à la lumière en chacun de nous.

Par le tantra, l’énergie de vie, l’énergie de la création l’énergie de la liberté, l’énergie d’amour, l’énergie de l’éveil de conscience, l’énergie de la communication et l’énergie de la transcendance peuvent se manifester, se développer se faire connaître au sein de chaque être. Ceci est un choix pour chaque être de vouloir faire l’expérience de cette transformation intérieure. Ainsi chaque outil utilisé au travers la voie tantrique est un possible de retrouvailles, de connaissance à soi au Soi, à sa propre lumière/divine.. 

Un des principes de la voie tantrique est de tourner le regard à l’intérieur de soi, de lâcher le regard et l’expérience de l’autre et de cesser de se perdre en l’autre. Le tantra abouti à la dévotion de soi, le tantra abouti à l’acceptation de soi, à l’humilité dans l’essence d être. 
« Où que vous soyez, nous dit le Tantra, n’essayez pas de vous échapper, regardez les choses en face, allez au cœur, vous trouverez la liberté ». C’est pourquoi le Tantra est avant tout une voie qui dit Oui à la vie, qui dit Oui à ce qui est.

Certaines religions traditionnelles véhiculent l’approche de la dualité en dressant deux extrêmes l’un contre l’autre, une appelée Dieu (le bien, la lumière) contre l’autre, appelée le Diable (le mal, l’ombre), Le Tantra dit : « Vous êtes Dieu-Un/unité, il n’y a pas lieu d’être en conflit. Vous pouvez accepter tout ce qui est en vous et le faire évoluer avec beaucoup d’amour, d’attention, beaucoup de conscience, vers plus de pureté, plus de lumière. Le corps n’est pas l’ennemi de l’âme, c’est le complément, la demeure de votre âme. Ce qui est proposé est de faire l’amour avec le tout, c’est-à dire, d’accepter le principe de la Vie, d’aimer ce que la Vie propose. 
Alors, comment-savoir ‘ce que la vie propose’? Par l’étude, par l’approfondissement de la voie tantrique.

Ainsi, le tantrika, par l’éveil, découvre lorsque Dieu lui parle et peux suivre dans ce choix d’allégresse et de liberté, Dieu en lui, pour lui, autour de lui, par lui, dans l’union, dans l’unité de l’être, des êtres de la Vie.

Emma GRILLET propose des accompagnements dans le Jura.

*Cercles mixtes : se rencontrer grâce à la relation à l’autre, chaque être contribue au cercle par sa PRÉSENCE dans ce qu’il vit. 

* Cercle « Cœur de Femmes » : crée pour réhabiliter, resacraliser le Divin Féminin au cœur de chaque être.L’accompagnement est orienté vers la réconciliation avec sa féminité, le sang de ses lunes, yoni, le corps de la femme que l’on est.

http://www.magazine-essentiel.com/

 

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NOTRE CORPS – Un vase pour notre Spiritualité

Posté par othoharmonie le 5 novembre 2014

 

athena2Les philosophes et méthodes de soins orientales (zen, chinoises et ayurvédiques) ont cette particularité de ne pas séparer l’âme et le corps, de considérer l’être humain dans son entier, comme une entité une et indivisible. Les sociétés occidentales, au contraire, ont toujours eu tendance à séparer l’âme et le corps et, par habitude ou réflexe social, nous continuons à les considérer indépendamment et à négliger leur réciprocité ; lorsque notre corps nous fait mal, nous oublions que la source de cette souffrance peut être liée à notre état mental, de même, lorsque notre esprit est embrouillé, nous oublions que le corps peut nous aider à lui faire retrouver sa sérénité.

Les premières pensées pratiques et d’utilité immédiate c’est de réconcilier le corps et l’esprit : apprendre à écouter son corps, détendre son mental en focalisant son esprit sur les différentes parties de son corps et débrancher la « machine à penser » grâce à la respiration.

Lorsque nous éprouvons des difficultés à trouver le sommeil, nous avons tendance à intellectualiser la situation et à laisser des pensées négatives se bousculer dans notre tête : « Je n’arrive toujours pas à dormir » – « Je suis fatigué, pourtant je n’ai pas sommeil », etc et en oublions l’existence même de notre corps. Nous sommes entièrement concentrés sur notre esprit et nous ne pensons plus qu’il habite une enveloppe corporelle. La première des pensées à avoir pour trouver le sommeil est donc d’apprendre à écouter son corps : « Est-ce que mon corps montre des signes de sommeil » ? Vous verront que notre corps, lui, ne peut pas nous mentir et qu’il montre tous les soirs des signes de fatigue lorsque le sommeil nous gagne. Les bâillements sont en général le premier signe significatif, suivi des paupières lourdes et surtout d’une sensation de fraîcheur qui envahit le corps.   

Débranchez la « machine à penser » grâce à la respiration

Toute la journée, notre esprit bouillonne, il y a un flux incessant de pensées qui se bousculent dans notre tête, viennent, repartent, se contredisent et amènent parfois la confusion dans notre esprit. La plupart du temps, ces petites voix intérieures vous permettent de prendre des décisions et vous sont indispensables pour réfléchir. Dans la journée, elles sont d’une grande aide et ne troublent pas trop votre concentration car vous êtes occupé à des tâches bien précises… qui focalisent votre esprit et guident vos pensées sur un seul sujet à la fois. Néanmoins, au coucher lorsque vous voulez les faire taire pour trouver un peu de repos elles ne veulent pas. Dès que votre corps est inactif, que vous soyez tranquillement installé dans votre canapé ou allongé dans votre lit, vous avez l’impression que vos pensées redoublent d’agitation et occupent tout l’espace sans vous laisser le répit de vous détendre. Cette sensation est encore accrue lorsque vous éteignez la lumière et que vous vous retrouvez dans le noir. Vous ne maîtrisez plus rien, vous vous sentez dépossédé de votre propre réflexion car les pensées arrivent et repartent de façon totalement inorganisée, sans que vous le vouliez et sèment souvent le trouble dans votre esprit. Cette perte de contrôle vous rend nerveux, votre corps s’échauffe et vous empêche de trouver le sommeil. Vous remarquerez alors que vous êtes en état de stress émotionnel et que votre respiration se fait mal, qu’elle est courte et irrégulière…. Que faire ?

Une fois encore, vous pouvez faire appel à votre corps dans le but de cesser de réfléchir, de penser. Le but est ressentir votre corps, de vous recentrer sur vous-même et de vous sentir vivant grâce à une respiration contrôlée et appliquée ; lorsque le flux d’air pénétrera régulièrement dans votre corps, vous vous sentirez exister, vous reprendrez peu à peu le contrôle et vous-même grâce au plaisir physique et immédiat que cela vous procurera et vos pensées se calmeront et disparaîtront progressivement.

Le saviez-vous ?

La respiration est la seule fonction vitale dépendante du système neurovégétatif que l’homme soit capable de maîtriser. En agissant consciemment sur votre respiration, vous participez à la régulation de votre système nerveux et émotionnel et de votre circulation sanguine. Si vous parvenez à calmer vos pensées et par là même à ralentir vos ondes cérébrales, vous participez également à la bonne santé de votre corps. Le rythme cardiaque se ralentit, la tension nerveuse et la fatigue diminuent e t vous envoyé à votre cerveau des signaux de bien être qui contribuent à améliorer l’ensemble des fonctions organique.

 

 

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Amaroli et Santé Globale

Posté par othoharmonie le 2 novembre 2014

 

 

images (1)L’urine, en applications sur la peau, en boisson, en injections sous-cutanées ou en remède homéopathique (isopathie) est l’une des méthodes thérapeutiques les plus anciennes du monde pour guérir les maladies et développer l’immunité et la santé individuelle.

Amaroli (le nom indien de la thérapie par l’urine) est connue des médecines ancestrales de la Chine, du Tibet, de l’Inde, de l’Amérique du Nord et du Sud, de l’Europe (tradition celte), de la Polynésie, de la Sibérie, des pays du bassin amazonien, etc.

Des centaines d’études scientifiques ont été consacrées à cette thérapie jusqu’à ce que le développement rapide de l’industrie pharmaceutique après la seconde guerre mondiale ne vienne bloquer toutes les recherches sur une thérapie qui a le grand défaut, pour les marchands, d’être complètement gratuite ! Il n’existe, dans toute la littérature médicale mondiale, aucune étude montrant que cette thérapie par l’urine pourrait présenter le moindre danger, contrairement aux médicaments chimiques dont les effets secondaires sont nombreux et souvent dangereux. Les occidentaux modernes sont étonnants : ils font confiance en des médicaments chimiques très toxiques et ont peur d’un médicament naturel sans danger et connu depuis des millénaires !

Il y a de nombreuses manières d’utiliser l’urine : sur la peau, sur les cheveux, gouttes dans les yeux ou les oreilles, lavements intestinaux, douches vaginales, compresses humides, gargarismes ou boisson médicinale. On utilise de l’urine fraîche et, sauf dans quelques rares cas particuliers, on prend toujours son propre « élixir de vie ».Si vous buvez votre urine, commencez par de petites quantités (par exemple un demi-verre par jour) puis augmentez progressivement la dose. Amaroli, comme toutes les médecines énergétiques et naturelles, a un grand pouvoir de nettoyage et l’on veut éviter de déclencher des crises de détoxication trop intenses. Si on prend des médicaments chimiques, commencer par de petites doses (un demi à un verre) puis diminuer les médicaments chimiques au fur et à mesure qu’on augmente la quantité d’amaroli.

Pour aller vers la guérison, amaroli doit impérativement s’accompagner d’un mode de vie holistique, qui veille au bien-être des quatre corps de l’être humain :

  • Le corps physique : exercice régulier, repos, massages, alimentation végétale, vivante et variée. Super aliments comme les graines germées, les algues, le pollen, etc. Jeûne, lavements intestinaux, techniques de santé et médecines douces.
  • Le corps émotionnel : prendre des « moments d’enfance » pour défouler ses émotions par des gestes naturels, des cris, pleurs, rires, danses et chants, hors de la vue des adultes, comme le font si bien les petits-enfants !
  • Le corps mental : pensée positive, visualisation créatrice, voyages intérieurs, psychothérapies qui permettent une guérison des traumatismes psychiques du passé, avec l’idée qu’ « il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse ! »
  • Le corps spirituel : yoga, méditation, prière et techniques pour se relier à la joie et à la sagesse des mondes de lumière, écoute de la voix intérieure (intuition). Elle nous relie à ce corps qui ne quitte jamais la lumière divine et nous guide constamment vers le bonheur et la plénitude.

Avec Amaroli, vous devenez votre propre médecin : l’odeur et le goût de votre urine vous permettent d’établir un diagnostic précis de votre état de santé et vous disposez aussitôt du remède parfait pour vous détoxiquer et vous régénérer.

Amaroli est une alchimie qui transforme le plomb en or et procure à ceux qui la connaissent tous les médicaments qu’ils achetaient en pharmacie, à cette différence près que toutes les substances contenues dans l’urine sont vivantes et parfaitement dosées par le corps lui-même. Sur le plan thérapeutique, elles sont donc bien supérieures à tous les produits chimiques fabriqués par l’homme. La question fondamentale que nous devons nous poser est : « Vaut-il mieux faire confiance à la sagesse de notre propre corps, créé il y a des millions d’années par Mère Nature, avec une intelligence qui dépasse les limites de notre imagination, ou faut-il obéir aveuglément à la science moderne, qui n’a qu’un siècle d’existence et qui est conduite par des apprentis sorciers encore très peu conscients ? Pour se guérir, vaut-il mieux absorber les médicaments chimiques préparés par les multinationales ou les substances vivantes fabriquées par les corps lui-même ? » Il n’existe aucune maladie qui n’ait pas été guérie au moins une fois par un mode de vie holistique incluant la prise d’Amaroli. Tout peut être guéri lorsque vous cessez de polluer votre corps et votre psychisme pour créer une vie nouvelle, positive et naturelle.

Amaroli est aussi une révolution, celle de l’ « écologie intérieure », qui touche des millions d’être humains dans le monde et permet d’apporter la santé aux pays du Tiers Monde. Pour tous les pays qui ne peuvent acquérir de médicaments chimiques en raison de leur coût élevé, Amaroli est une véritable bénédiction, un moyen merveilleux pour gérer sa santé sans devenir dépendant d’une aide extérieure. Pour les pays riches, intoxiqués d’une manière dramatique par le mode de vie industriel, Amaroli représente une voie royale vers la reconquête de santé.

En Allemagne fédérale, plus de dix millions de personnes connaissent et pratiquent Amaroli et la prise de conscience que notre santé dépend de nous et non des multinationales pharmaceutiques ne peut que croître dans le monde entier. Peu à peu on commence à en parler aussi en France… ainsi par exemple, Tal et Johanne ont été invités à présenter l’urinothérapie dans l’émission Se soigner autrement sur FR3 le 02 février 2009.

Comment peut-on expliquer les effets thérapeutiques exceptionnels d’Amaroli ? On peut tenter de les expliquer de diverses manières complémentaires :

  • Substances vivantes que l’urine contient (enzymes, hormones, neurotransmetteurs, vitamines, anticorps, antibiotiques et autres médicaments naturels).
  • Processus d’auto-vaccination et de transmutations biologiques.
  • Effets nettoyants et régénérateurs des sels minéraux urinaires.
  • Énergie vitale et information biologique que contient Amaroli.

L’urine, contrairement à ce que croient beaucoup de gens, n’est pas un déchet toxique mais du sang filtré. Elle constitue le médicament le plus extraordinaire qui soit. Les substances dont le corps n’a pas besoin restent dans le tube digestif et sont éliminées par les selles. On oublie trop souvent que le corps est intelligent et que l’absorption par les cellules intestinales est un processus subtil. L’argument « puisqu’il y a des déchets dans l’urine, c’est forcément mauvais ! « est un raisonnement simpliste qui ne tient pas compte de la sagesse du corps.

La caractéristique principale de ceux qui critiquent et rejettent Amaroli est qu’ils n’ont pas fait d’essai personnel de cette méthode. Ils se contentent de réactions émotionnelles sans étudier le sujet à fond. En fait, tout thérapeute devrait avoir pratiqué Amaroli sur lui-même avant de le conseiller à ses patients car, dans ce domaine, rien ne peut remplacer l’expérience personnelle !

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Les principaux livres en français sur le sujet sont Testez l’urinothérapie , et Urinothérapie (livre de poche qui résume le contenu de Testez l’urinothérapie) de CT Schaller et J. Razanamahay, et L’Élixir de Vie de Coen Van der Kroone, http://www.santeglobale.info/

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Médecine vibratoire : la science de demain !

Posté par othoharmonie le 2 novembre 2014

 

C’est une nouvelle compréhension des processus de guérison chez l’homme. C’est une toute nouvelle orientation de la science : des vertus médicinales, issues de notre environnement, sont transmises à notre organisme par des vibrations : des informations, enregistrées sur un petit support magnétique de poche. Il s’agit du Correcteur d’état fonctionnel (CEF), une invention révolutionnaire du scientifique russe, Sergueï Koltsov.

Le CEF est capable d’enregistrer, de conserver durablement et surtout, de diffuser en permanence autour de lui l’information dont il est le vecteur. Cet appareil a été fondé sur les idées développées par le physicien ingénieux, Nicola Tesla. Tesla fut l’un des premiers à découvrir l’existence de ces ondes étranges se propageant à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Plus tard, on les appellera « ondes scalaires » ou « ondes longitudinales ». On a compris que l’échange d’informations entre tous les systèmes vivants se faisait à l’aide des ondes scalaires. C’est sur ces fréquences que communiquent nos cellules. Aujourd’hui, la connaissance des champs scalaires ainsi que leur usage dans la médecine vibratoire deviennent progressivement l’apanage du monde scientifique. 

On a appris à enregistrer sur les CEF des images complexes, copiées sur des plantes médicinales, des minéraux ou des sources d’eau aux vertus curatives. Ces informations sont transmises à notre organisme par des vibrations au niveau cellulaire. Elles normalisent la structure du sang, de la lymphe et de tous les liquides de l’organisme en général. Par conséquent, l’immunité augmente, et l’organisme résout lui-même ses problèmes. Ce n’est pas un placébo, et cela se vérifie par toute forme de diagnostic ou de recherche médicale.

Des études ont montré que les champs de masse volumique qui se créent autour des Correcteurs d’état fonctionnel, ont une propriété étonnante. Ils aident à contrebalancer les effets néfastes des rayonnements électromagnétiques et des champs géo-pathogènes extérieurs de source naturelle et technologique. Ils synchronisent par ailleurs les rythmes du corps humain avec les rythmes du champ magnétique terrestre et du rayonnement cosmique. Ce qui est l’une des conditions principales pour se rétablir et rester en bonne santé ! Une autre fonction des CEF, c’est la dynamisation de l’eau et de tous les liquides, dont les milieux aqueux de notre organisme. Les liquides structurés à l’aide des CEF permettent à l’organisme de lutter contre la déshydratation et le vieillissement des cellules. Les microorganismes ne se développent pas dans les milieux aqueux dynamisés. Le sel ne s’y dépose pas, et les toxines y sont neutralisées. N’importe quel correcteur peut être utilisé pour structurer l’eau et lui transmettre toutes les informations, inscrites sur ce même correcteur. C’est un traitement systémique par l’eau de tous les milieux de l’organisme. 

Le CEF est un appareil de la taille d’un téléphone portable, constitué de quatre fines plaques superposées, fabriquées en résine magnétique de haute qualité, protégées à l’extérieur par un boitier en plastique. L’appareil a une particularité : il n’a pas d’alimentation électrique et puise l’énergie dans son environnement. Ses propres rayonnements sont si faibles sur le plan énergétique que l’on peut le qualifier à juste titre d’un remède homéopathique électromagnétique.

Ce qui différencie surtout le CEF de Koltsov des appareils physio-thérapeutiques, c’est qu’il agit sur l’être humain non pas par la force ou la puissance, mais avec de la pure information. En effet, l’action de cet appareil n’est pas aussi directe et rapide que celle des appareils physio-thérapeutiques, mais plutôt délicate et prolongée, proche du naturel. C’est pourquoi il ne perturbe pas, mais rééquilibre le fonctionnement de l’organisme.

Reconnus par le Ministère de la Santé de Russie, les Correcteurs d’état fonctionnel sont aujourd’hui utilisés et recommandés par des consommateurs très divers. Dans ce documentaire, plusieurs intervenants tels que chercheurs, physiciens et médecins russes prennent la parole pour apporter leur témoignage autour des CEF : 

 

Image de prévisualisation YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=IgX0uotK9TU&;feature=youtu.be

medecine-vibratoire7La photo kirlian ci-contre met en évidence l’aura d’une personne, détériorée par des ondes artificielles, émises par l’activité techno-gène de l’homme. L’importance d’une aura forte et harmonieuse est capitale, car elle constitue une protection contre les agressions extérieures : virus, influences psycho-pathogènes, stress… Trente  minutes de travail avec un CEF suffisent pour corriger notre état énergétique.

Pour en savoir plus : https://www.quant-essence.fr/nous-contacter

Ci-contre les résultats d’études sur le sang sous l’effet d’un téléphone portable, réalisées à l’aide d’un microscope à fond  sombre. Sur l’image du haut, les érythrocytes se sont collés pour former de petits tas. Cela témoigne du manque d’oxygène dans les cellules et du risque accru de thrombose. L’image du bas a été réalisée après que le patient a tenu le CEF dans ses mains pendant 15 minutes.

medecine-vibratoire

Cette expérience met en évidence l’amélioration des caractéristiques rhéologiques du sang en contact avec les CEF, c’est-à-dire la prévention des infarctus et des AVC (accident vasculaire cérébral) ainsi que le rajeunissement des cellules. Le résultat analogique a été obtenu après avoir bu un verre d’eau structurée à l’aide d’un CEF.

Ces documents ont été fournis par une compagnie d’assurance russe. Dans le cadre de la souscription à une assurance vie, on a procédé à un diagnostic informatique de la santé du souscripteur. D’habitude, les résultats sont mauvais. On constate la présence, voire la prédominance des couleurs jaune et rouge, ce qui témoigne des sérieuses altérations de la santé (défaillance fonctionnelle, pré-pathologie, pathologie).

En faisant passer les tests à un homme qui utilise en permanence les CEF pour se protéger des ondes, on a cru que l’ordinateur était en panne. En effet, on constate sur l’image du bas que l’indicateur de l’état de santé des organes ne descend pas en-dessous de l’état de tension physiologique, ce qui est visible grâce aux couleurs prédominantes: le vert et le bleu. Alors même que cet homme n’était plus très jeune, exerçait un métier plutôt stressant (celui d’un chef d’entreprise) et était en surpoids, ce qui constitue normalement un facteur aggravant.

Il existe des endroits, appelés « zones géo-pathogènes ». Les rayonnements naturels de la Terre et de l’Univers y sont défavorables à la vie. Dans ces endroits, les bâtiments s’écroulent plus souvent, et les catastrophes d’origine naturelle et technologique sont plus fréquentes. On ne connait pas très bien la nature des zones géo-pathogènes, mais cela ne met pas en doute leur existence. Et il se peut que votre lieu d’habitation et/ou de travail se trouve dans une de ces zones. A une époque, on appelait ces endroits « lieux de perdition » et ne s’y installait jamais. Alors qu’aujourd’hui, les bâtiments sont construits les uns sur les autres et des quartiers entiers peuvent être situés dans une zone défavorable. Parmi ces endroits, il y a d’anciens lits de rivières et, par exemple, le grand quartier de Moscou, Mitino. A Moscou, on compte huit grandes zones géo-pathogènes. Leurs effets sont du reste fortement amplifiés par l’activité techno-gène de l’homme. Comme exemple, on peut citer le quartier d’Ostankino où se trouve une grande tour de télévision. Les lignes à haute tension et les nœuds de transmission radio peuvent également aggraver les effets des réseaux cosmo-telluriques. Le CEF est un moyen très simple et efficace de neutraliser les effets des champs géo-pathogènes.

En un mot, le Correcteur d’état fonctionnel est un bio-énergéticien de poche qui vous suit partout, assainit tout ce qui vous entoure, dynamise tous les milieux aqueux, améliore votre façon de vivre et constitue un moyen de prévention efficace. C’est un investissement à court, moyen et long terme, car le CEF a pour but de vous faire faire des économies !

En contact avec un CEF, l’essence ou le diesel modifient leur structure, l’indice d’octane change, et le véhicule parcourt plus de kilomètres avec le même nombre de litres. L’économie généralement constatée est de 10 à 15%.

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AVERTISSEMENT A CEUX QUI CHERCHENT

Posté par othoharmonie le 2 novembre 2014

 

eclair-ciel-rougeNous connaissons tous des gourous et des évangélistes qui attirent des foules d’adeptes en pêchant un évangile d’amour et de lumière. Et nous avons tous entendu parler de personnes intelligentes et dévouées qui les ont suivis. Des gens cultivés, au jugement solide, qui abandonnent conjoint, enfants, travail et sacrifient leur fortune pour suivre un maître qui est censé les conduire à l’illumination. Nous avons aussi vu, comment, des années plus tard, un grand nombre d’entre eux reviennent chez eux accablés, humiliés, désespérés.

Mais comment distinguer un bon chemin d’un mauvais, dans la Quête spirituelle ? Quels sont les signaux ?

Un chemin est mauvais quand il nous abuse financièrement, nous fourvoie intellectuellement, nous contraignant  donner de notre temps à une quête qui ne mène nulle part. Comme un sage le remarquait un jour, la meilleure méthode pour reconnaître le bon chemin spirituel consiste à apprendre à identifier les mauvais.

Refuser l’Appel – et la Quête

Recevoir une injonction spirituelle et choisir de l’ignorer n’est pas exactement un mauvais chemin : ce n’est pas un chemin du tout ; Pour cette raison, c’est aussi un choix dangereux, peut-être le plus dangereux de tous. Le « refus de l’Appel », comme le nomme Joseph Cambell, pourrait aussi bien s’appeler « refus de la Quête ». Cette réponse, ou cette non-réponse, est motivée par notre répugnance à abandonner le confort d’ habitudes acquises.

Que vous répondraient les maîtres spirituels si vous leur disiez que vous avez entendu l’Appel et que vous profitez au maximum de la vie avant de mourir ? Si vous leur répétiez ce que disent les « experts » ; que le moment est venu, dans la maturité, de passer à la vitesse supérieure, de vraiment commencer à vivre ? Si vous êtes un comptable consciencieux, commencez par racheter le cabinet. Si vous êtes salariés depuis vingt ans, il est temps de racheter cette charmante auberge dans ce ravissant petit coin de vacances. Rien n’empêche les casaniers invétérés de partir enfin pour le tour du monde dont ils rêvent. Et si vos projets échouent, au moins vous aurez donné le meilleur de vous-même. Lancez-vous. Reculez vos limites prenez des risques, foncez . L’âge n’est qu’un état d’esprit ; osez rêver.

Qu’en penseraient les maîtres spirituels ? Ils diraient ce que la spiritualité traditionnelle a toujours dit aux personnes qui recherchent leur épanouissement en ce bas monde. Oui, Bravo ! C’est magnifique de se sentir vivant. De travailler et de jouer ; Nous devons vivre notre vie jusqu’à notre dernier souffle, lui donner un sens fort, lutter. Ou encore, en citant les Psaumes : « Vos jeunes hommes auront des visions et vos vieillards feront des rêve ».

Le grand mystique Maître Eckhart écrivit un jour : « La vieillesse ne concerne que l’influence de la sensation corporelle sur l’âme […]. Mon âme est aussi jeune que quand elle a été créée. Oui, et beaucoup plus jeune. Je vous le dis, cela ne me surprendrait pas qu’elle soit plus jeune demain qu’elle ne l’est aujourd’hui.

Tandis que nous avançons dans notre voyage spirituel, une sorte de miracle se produit : nous effaçons le temps. Il ne s’agit pas d’une régression infantile mais d’un lieu en nous où le temps des horloges et des calendriers n’a plus cours, qui nous fait revivre le bonheur et la joie intemporelle que nous avons connus enfants. N’est-ce pas notre vœu le plus cher que de pouvoir retourner dans un lieu de repos,  coupé de l’activisme frénétique de nos semblables ? « N’est-ce pas un meilleur chemin ? N’est ce pas un chemin qui retourne en arrière, en dehors du corps, vers la lumière d’où vous êtres un jour venus » ?  demandait un maître soufi à son disciple.

Le choix entre la recherche de stimulations de plus en plus intenses et la Quête de l’âme doit se fonder sur une véritable connaissance de soi et non sur une illusion du type « Refuser votre âge à tout prix ». Cette dernière ne nous laisse le choix qu’entre deux options : se lancer dans l’activisme et progresser, ou s’encroûter, vieillir et décliner.

Mais ce que la sagesse des tenants de l’activisme ne nous dit pas, c’est qu’il existe aussi une troisième option. « Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et le reste vous sera donné de surcroît », nous dit posément la Bible. Mettez-vous en Quête des pouvoirs de votre âme – c’est cela a troisième option – et les bonnes choses de la vie vous seront données de surcroit. Poursuivez la Quête de tout votre cœur, dit-elle, et laissez les pouvoir de la lumière et de l’amour vous guider jusque chez vous.

 

Extrait de « Les chemins de l’harmonie » de Harry Moody et David Carroll

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