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Oui aux lectures spirituelles

Posté par othoharmonie le 17 février 2015

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Les spiritualités vivantes n’ont jamais eu autant de succès que depuis ces dernières décennies. Il suffit de consulter les rayons que chaque libraire consacre à ce sujet pour s’en convaincre…

Quelle est donc la motivation qui poussent nos contemporains à découvrir avec ferveur les sagesses amérindiennes, à s’initier aux traditions orientales telle que le Zen, l’hindouisme ou à redécouvrir des mystiques chrétiens comme Maître Eckhart ou encore Thérèse d’Avila ? La réponse est à chercher dans la quête du sens de la vie, de plus en plus vivace dans un monde où tout semble possible mais dans lequel manque peut-être l’essentiel…

L’appel de l’Être

Au détour de ses réflexions intellectuelles et philosophiques, l’Homme a de tout temps eu l’intuition que la vie ne se résumait pas à un simple agencement – aussi ingénieux soit-il – d’éléments matériels. Si les religions apportent des réponses, elles diffèrent selon leur contexte culturel et leurs organisations institutionnelles, donc humaines. Elles ont d’ailleurs souvent pris le pas sur le message originel qui leur a donné naissance. Mais la nature ayant horreur du vide, comme le dit si bien le philosophe Aristote, pendant que les églises semblent désertifiées et même se fermer, les étagères de nos bibliothèques, quant à elles, se remplissent de volumes spirituels ayant trait au Tao, au Bouddhisme, aux aphorismes de Patanjali (enseignement yoguique millénaire), au Soufisme (branche mystique de l’Islam)… C’est comme si l’appel de l’Être prenait une autre forme, beaucoup plus universaliste, sortant des églises constituées pour aller sur les parvis et s’adresser à tout un chacun…

Des livres qui s’adressent à l’âme

Il existe une pratique ésotérique appelée bibliomancie qui consiste à ouvrir un livre spirituel au hasard pour y trouver la réponse à une question préoccupante. Il peut s’agir de la Bible mais aussi du Coran, de la Bhagavad Gita (Bible hindoue signifiant Chant du Bienheureux), des Sutras du Bouddha ou de tout ouvrage à dimension ontologique. La méthode revient à se laisser imprégner par le texte sans a priori ni intellectualisme. Le message s’adressant à l’âme, il se peut que son sens n’apparaisse pas d’emblée mais il fera son chemin et se révèlera dans un effet d’après-coup. Il suffit de faire confiance à la Connaissance qui réside dans les profondeurs de chaque inconscient.

Une spiritualité de la vie quotidienne

Karfried Graf Dürckheim, psychothérapeute spiritualiste allemand surnommé « Le Sage de la Forêt Noire », écrit dans son livre « Le Centre de l’Être » : La différence entre celui qu’on appelle le maître et celui qu’on appelle le disciple ? Il n’y en a pas. Tous deux sont sur le même chemin. À la différence que chez celui qu’on appelle le maître, cela se voit déjà un peu plus… La nouveauté qui fait le succès des publications spirituelles actuelles réside surtout dans le fait qu’elles ne délivrent aucune vérité péremptoire et qu’elles ne supposent aucun rapport dominant/dominé, chaque lecteur restant libre d’expérimenter et de vérifier dans son existence la véracité de ce qui est transmis. L’auteur s’engage en parlant de son expérience. Ces ouvrages sont des poteaux indicateurs qui ne déconnectent pas l’esprit du corps ni de la vie quotidienne. Il n’est pas besoin d’être un érudit pour en comprendre la teneur. Il s’agit d’ailleurs souvent de la retranscription écrite d’une transmission orale s’adressant à un large public. Tels sont les enseignements de Omraam Mikhaël Aivanhov, d’Arnaud Desjardin ou du Dalaï Lama, parmi bien d’autres…

 

Lucien Martin DU MAGAZINE SIGNES ET SENS

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Kinésiologie : L’art d’interroger le corps

Posté par othoharmonie le 17 février 2015

 

Dès sa mise au point, cette méthode a connu un énorme succès outre-Atlantique, plus discret dans l’Hexagone. La kinésiologie se base sur l’évaluation du tonus musculaire, afin de permettre à la structure, la chimie et le psychisme de notre être de renouer le dialogue: la symbiose de la physiologie occidentale et 1 KINESIOLOGIEde l’énergétique chinoise.

 

Thérapie manuelle? Méthode de développement personnel? La kinésiologie considère l’homme comme un tout, à la fois structurel, chimique, énergétique et psychologique. Et ses indications sont nombreuses. Elle utilise des techniques surprenantes par leur simplicité mais dont l’efficacité s’explique par la précision des modalités d’application. Avec un outil de base pour détecter les perturbations : le test musculaire. Et un procédé de correction :l’acupressure. Car la kinésiologie est le fruit de la physiologie occidentale et de l’énergétique traditionnelle chinoise.

 

Détecter le stress

C’est le Dr Goodheart, un chiropracteur américain, qui, dans les années 1960, démontre l’interaction entre muscle, méridien d’acupuncture et organe: le premier est en correspondance avec le deuxième, qui lui-même est lié à un organe précis. Le principe :lorsqu’on améliore la tonicité d’un muscle, on restaure aussi le courant d’énergie du méridien concerné et cela soulage également l’organe qui fait partie du système. Puis Goodheart met en lumière la relation entre le stress et le tonus musculaire par le test. Car le stress est une notion capitale en kinésiologie : c’est l’empreinte, au plus profond de notre être, des événements passés et/ou présents, et qui perturbe notre organisme. La kinésiologie aide à libérer ces stress.

Dans la décennie suivante, le Dr John Thie apporte une pierre angulaire aux fondements de Goodheart, et propose le Touch for health (« La santé par le toucher »), enrichi d’un concept primordial : l’interrelation entre les systèmes structurel, lymphatique, neuropsychologique, vasculaire, cérébro-spinal, nutritionnel, chimique et énergétique. Ce qui signifie que la résolution d’une perturbation dans un système peut résoudre d’autres problèmes dans chacun des systèmes. Et chaque muscle est l’élément d’un ensemble composé d’un organe, d’un vaisseau lymphatique, d’un méridien d’acupuncture, d’une ou de plusieurs émotions, etc. En le testant, on vérifie l’ensemble de ces aspects.

images (2)Le test musculaire va donc informer le praticien sur l’état de santé du patient et le guider sur la correction à apporter. La kinésiologie se réfère aux douze méridiens principaux et aux deux méridiens médians ; et le muscle correspondant à un méridien sera testé comme tel. Par exemple, le sus-épineux (un muscle du bras et de l’épaule) est en correspondance avec le vaisseau conception (méridien médian), le grand pectoral claviculaire avec le méridien de l’estomac. Il existe donc quatorze tests musculaires. Schématiquement, lorsque l’on vérifie la tonicité d’un muscle, il peut répondre de deux façons : soit il résiste (il est « verrouillé »), ce qui veut dire qu’il n’y a pas de perturbation ; soit il montre une faiblesse (il est « déverrouillé »), ce qui traduit une insuffisance énergétique, témoin d’un stress. Le thérapeute apportera les corrections par massage des points réflexes neurolymphatiques (ferme)neurovasculaires (effleuré) ou par balayage avec la main du méridien correspondant.

L’équilibre dans le mouvement

Le corps peut aussi montrer des excès énergétiques : ce sont les « points d’alarme », suivant un schéma de points d’acupuncture sur le corps vu de face. Le kinésiologue vérifie en appuyant du doigt chaque point et en testant avec le muscle indicateur du patient (en général, le bras levé et tendu sur le côté) : s’il « déverrouille », cela indique un excès d’énergie, et il suffira de le masser pour relancer la circulation.

De façon plus globale, la kinésiologie permet de faire des liens car nos muscles traduisent nos états d’équilibre ou de déséquilibre, quelle que soit leur origine. Or, dans notre corps intérieur et extérieur, tout est mouvement. En utilisant le test musculaire, cette approche aide à identifier certaines causes anciennes d’un mal-être. Et à trouver des clés en prenant davantage conscience de son potentiel, pour aller vers ses propres choix.

 

Aller plus loin

 

À écouter :

source :  http://www.principes-de-sante.com/

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