• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 15 avril 2015

L’écart entre matériel et spirituel

Posté par othoharmonie le 15 avril 2015

L’écart entre matériel et spirituel ne provient que d’une
différence d’écoulement de temps

BonzelecturespirituelleLa fréquence des ondes sonores diminue en s’écartant de l’OVNI par effet de variation temporelle. De façon générale, le son éventuel en provenance d’un OVNI est toujours aux limites de l’audible : basses ou hautes fréquences. Elle devient un infrason une fois sortie des bulles temporelles. D’où leur perception « auditive » par les seuls animaux dotés d’organes spécifiques. Ils manifestent alors de la nervosité ou de la peur, ne comprenant pas d’où vient ce « bruit ».

Le bang supersonique est absent chez les ET car l’air est progressivement ralenti jusqu’au fuselage. Le temps passe plus lentement dans les bulles temporelles successives. Le mur du son n’existe tout simplement pas. Du reste, un vaisseau ET n’est pas à proprement parler « volant ». Il n’entre pas dans le cadre des lois aérodynamiques du vol (force de sustentation). C’est pourquoi les OVNI sont ONI…

Dans la perception « visuelle », les écarts sont également compréhensibles. Les champs temporels autour de l’OVNI respectent la Relativité Absolue : « plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement ». Ainsi, selon l’intensité et l’influence de ces champs, la perception des témoins variera pour le même objet. Un vaisseau sera plus ou moins lumineux, plus ou moins grand, plus ou moins matériel. D’où les rapports divergents des témoins. Si les abductés(« enlevés ») s’étonnent de l’énorme dimension intérieure, elle n’en est pas moins explicable : la taille des OVNI est relative au référentiel temporel. Ils sont petits hors du champ, grand à l’intérieur.

Les moyens techniques d’observation sont à la même enseigne. Les photographies d’OVNI sont plus ou moins floues. Les bulles temporelles sont équivalentes à la capture d’un objet en mouvement rapide même si l’OVNI est stationnaire.

Haute densité de temps rime avec vision psychique du témoin, vision qu’un ET peut influencer. Beaucoup d’apparitions passées ressemblaient au niveau technique de l’époque : chars, dirigeables, etc. Ces visions étaient produites par les ET avec le consentement de notre subconscient, siège des formes-pensées longtemps émises, multipliées et consolidées par nos croyances, c’est-à-dire notre « imagination » du moment. En fait, imagination = création d’informations = réalité. Faisons en effet remarquer qu’il n’existe que création dans l’univers. Il n’y a aucune réalité sans création car la réalité EST création, quelle qu’en soit l’origine. Tentez de démontrer l’inverse ! Je vous souhaite bon courage. C’est précisément tout le problème de la perception qui se superpose à notre propre créativité psychique qui est à la fois légitime, naturelle et universelle, donc logique. Donc toute perception est VRAIE mais plus ou moins partagée ! C’est pourquoi la Réalité est Illusion et inversement. A nouveau, relisez lentement ce qui précède car bien des débats pourraient s’apaiser. Les formes « réelles » des vaisseaux ET, dans les témoignages contemporains, coïncident avec la diffusion massive des appareils photographiques qu’une émission psychique ne peut influencer car n’ayant pas accès aux plus hautes densités de temps. Les ET n’ont a priori plus besoin d’adapter notre perception et se présentent de plus en plus tels qu’ils sont de leur point de vue. Libérée des croyances créatives (description déformée des témoins au cours de l’histoire), tout n’est donc, pour l’humanité, qu’un problème de maturité perceptive, y compris psychique et spirituelle !

Extrait de La science des extraterrestres par Eric Julien

Publié dans Chemin spirituel, Créativité, Philosophie de la VIE | Pas de Commentaire »

La mémoire chez les mourants

Posté par othoharmonie le 15 avril 2015

 

 
images-4Au dernier moment, la vie tout entière est reflétée dans notre mémoire : elle émerge de tous les recoins oubliés, image après image, un événement succédant à l’autre. Le cerveau mourant déloge les souvenirs avec une impulsion de la dernière énergie et la mémoire restitue fidèlement chacune des impressions qui lui avaient été confiées pendant la période d’activité du cerveau. L’impression, ou la pensée, qui fut la plus intense devient naturellement la plus vive et survit pour ainsi dire à tout le reste qui s’évanouit ensuite et disparaît, pour ne réapparaître qu’en « devachan » ( paradis )…

Aucun homme ne meurt fou ou inconscient — comme l’affirment certains physiologistes. Même un individu en proie à la folie, ou à une crise de delirium tremens, a son instant de parfaite lucidité au moment de la mort, bien qu’il soit incapable de le faire savoir aux assistants. Souvent, l’homme peut paraître mort. Pourtant, après la dernière pulsation, entre le dernier battement de son cœur et le moment où la dernière étincelle de chaleur animale quitte le corps, le cerveau pense et l’Ego passe en revue en quelques brèves secondes l’intégralité de sa vie.

Aussi, parlez tout bas, vous qui vous trouvez près du lit d’un mourant, en la présence solennelle de la mort. Observez surtout le calme dès que la mort aura posé sa main moite et froide sur le corps. Parlez tout bas, de peur de troubler le cours naturel des pensées qui reviennent et d’empêcher l’activité intense du Passé projetant sa réflexion sur le voile du Futur… 

Plus d’une fois, les matérialistes ont fortement condamné de telles affirmations ; d’après eux, la biologie et la psychologie scientifique s’opposent toutes deux à ces idées : la seconde n’ayant aucun élément solide sur lequel appuyer une tellehypothèse, la première rejetant l’idée comme pure « superstition ». En attendant, même la biologie est forcée d’évoluer ; voici d’ailleurs ce que nous venons d’apprendre sur ses dernières découvertes. Le Docteur Ch. Ferré a communiqué tout récemment à la Société de Biologie de Paris une très curieuse note concernant l’état mental des mourants et venant admirablement confirmer les affirmations précédentes. En effet, c’est sur ce phénomène particulier des réminiscences de la vie, et sur la réapparition soudaine sur l’écran blanc de la mémoire d’un défilé d’images surgissant de ses « coins et recoins » négligés et oubliés depuis longtemps, que le Docteur Ferré attire spécialement l’attention des biologistes.
 

Nous mentionnerons ici, pour prouver l’exactitude scientifique des enseignements reçus de nos Maîtres orientaux, cet exemple tel qu’il a été rapporté par ce chercheur. Il concerne un phtisique à l’article de la mort, dont la maladie s’était développée à la suite d’une affection de la moelle épinière. Il avait déjà perdu conscience lorsque, rappelé à la vie par deux injections d’un gramme d’éther, il releva légèrement la tête et commença à parler avec volubilité en flamand, langue que ni lui, ni personne autour de lui, ne comprenait. Quand on lui tendit un crayon et une feuille de carton blanc, il écrivit avec une grande rapidité plusieurs lignes dans cette langue — très correctement, comme on put le vérifier plus tard — puis il retomba en arrière et mourut. Une fois la traduction faite, on s’aperçut qu’il s’agissait d’une affaire tout à fait prosaïque : le mourant s’était soudain souvenu qu’il devait à quelqu’un une somme de 15 francs depuis 1868 — ce qui remontait à plus de vingt ans — et désirait qu’on la remboursât.
 

Mais pourquoi avoir écrit sa dernière volonté en flamand ? Le défunt était né à Anvers, mais il avait quitté son pays encore enfant, sans avoir jamais connu la langue flamande, et comme il avait passé toute sa vie à Paris, il ne savait parler et écrire que le français. De toute évidence, son sursaut de conscience, ce dernier éclair de mémoire qui avait permis de déployer devant lui, comme un panorama rétrospectif, toute sa vie, jusqu’à ce détail insignifiant — l’emprunt de quelques francs à un ami, vingt ans auparavant — n’émanait pas de son cerveau physique seul, mais bien plutôt de sa mémoire spirituelle, celle de son Ego supérieur (que nous appelons Manas, ou l’individualité qui se réincarne). Le fait qu’il parla et écrivit en flamand, langue qu’il avait entendue à un âge où lui-même ne parlait pas encore, en est une preuve supplémentaire. L’EGO est presque omniscient dans sa nature immortelle. Car, en vérité, la matière n’est rien d’autre que « le dernier degré et l’ombre de l’existence ».

 

Texte théosophique (extraits)

 

Publié dans LECTURES Inspirantes, Zones erronées | Pas de Commentaire »

 

katoueluv |
jeanneundertheworld |
darkangelusmag |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | debbyka
| nouvelles du front ... en a...
| Les ateliers d'Anissina Tur...