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Le langage de la Divine Matrice

Posté par othoharmonie le 3 mai 2015

En 1944, Max Planck, le père de la physique quantique, a étonné le monde en disant que cette  » matrice  » était le lieu d’origine des étoiles, de l’ADN et tout ce qui existe. Des découvertes récentes fournissent la preuve indéniable que la matrice évoquée par Planck – la Divine Matrice – existe réellement. Serait-ce là le chaînon manquant à notre connaissance, celui qui forme le contenant de l’univers, le pont entre notre imagination et notre réalité, et le miroir, dans notre monde, de ce que nous créons par nos croyances ? Pour introduire dans notre vie le pouvoir de la matrice, nous devons comprendre comment elle fonctionne et parler le langage qu’elle comprend.

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D’un clic sur « Playlist » au bas de cette vidéo, vous accédez aux 3 autres vidéos qui vous permettront de bénéficier de la totalité de la conférence. Un grand merci à Gregg Braden, ainsi qu’aux personnes qui ont réalisé la traduction en français.

« Sous plusieurs aspects, notre expérience de la Divine Matrice peut se comparer au fonctionnement d’un logiciel d’ordinateur. Dans les deux cas, les instructions doivent être fournies dans un langage que le système comprend. Pour l’ordinateur, il s’agit d’un code numérique fait de 0 et de 1. Pour la conscience, il faut un langage différent, qui n’utilise ni nombres ni lettres, ni même des mots. Parce que nous faisons partie de la Divine Matrice, il serait tout à fait logique que nous possédions déjà tout ce qu’il nous faut pour communiquer avec elle, sans avoir besoin d’un manuel d’instructions ou d’un  entraînement spécial. C’est bien le cas.
 
Il semble que le langage de la conscience soit l’expérience universelle de l’émotion. Nous savons déjà comment aimer, haïr, craindre et pardonner. Reconnaissant que ces sentiments sont en réalité les instructions qui programment la Divine Matrice, nous  pouvons perfectionner nos aptitudes afin de mieux comprendre comment apporter la joie, la guérison et la paix dans notre vie. »

gregg-braden-fractal-time« …Pour beaucoup de gens, les découvertes effectuées en physique quantique ne sont rien de plus que des faits intéressants faisant l’objet de conférences, d’ateliers ou de conversations devant un bon café au lait. Malgré leurs profondes implications philosophiques, ces découvertes ne semblent avoir qu’une incidence minimale sur notre quotidien. Par exemple, à quoi sert de savoir qu’une particule de matière peut se trouver à deux endroits à la fois ou que les électrons peuvent voyager plus vite que l’a dit Einstein si ces connaissances ne changent rien à notre vie ? C’est uniquement quand nous pouvons associer ces découvertes ahurissantes à la guérison de notre corps ou à ce que nous vivons dans les parcs, les aéroports et les salles de cours que nous fréquentons qu’elles acquièrent de l’importance pour nous.
 
C’est ce fossé apparent entre les mystères du monde quantique et la vie quotidienne que vient combler La Divine Matrice. En plus de décrire ces découvertes, ce livre nous mène un peu plus loin en expliquant comment elles peuvent nous aider à devenir de meilleurs humains et à construire ensemble un monde meilleur. J’ai écrit cet ouvrage pour une raison bien précise : donner aux lecteurs un sentiment d’espoir et de puissance dans un monde où nous nous sentons souvent petits et impuissants. Et je le fais dans un style familier, décrivant les nouvelles découvertes d’une manière intéressante et facile à comprendre. »

« … Tout comme la vie est construite à partir des quatre bases chimiques qui composent notre ADN, l’univers semble fondé sur quatre caractéristiques de la Divine Matrice qui le font fonctionner. Nous pouvons utiliser le pouvoir de la Matrice dans la mesure où nous acceptons les quatre découvertes fondamentales qui l’associent à notre vie d’une manière que nous ne soupçonnions pas :

  • Découverte 1 : Il existe un champ d’énergie qui unit toute la création.
  • Découverte 2 : Ce champ joue un rôle de contenant, de pont et de miroir pour nos croyances intérieures.
  • Découverte 3 : Ce champ n’est pas localisé et il est holographique. Chacune de ses parties est connectée à toutes les autres et reflète l’ensemble sur une plus petite échelle.
  • Découverte 4 : Nous communiquons avec ce champ par le langage de l’émotion.

C’est notre aptitude à reconnaître et à appliquer ces réalités qui détermine le succès de notre guérison, de nos relations et de notre carrière. Finalement, notre survie en tant qu’espèce est peut-être liée directement à notre capacité et à notre volonté de partager des pratiques qui, issues d’une vision quantique et unifiée du monde, affirment la vie. »
 

Morceaux choisis extraits des pages 1 à 26 de La Divine Matrice de Gregg Braden aux éditions Ariane.

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DE LA CONFIANCE QUE NOUS POUVONS AVOIR DANS LA PENSÉE

Posté par othoharmonie le 3 mai 2015

 ET DE LA NATURE DE L’ÂME PENSANTE DE LA MÉDITATION

DSC_0198La pensée humaine est, pour l’état de veille, comme une île au milieu des flots d’impressions, de sensations, de sentiments, etc., où s’écoule la vie de l’âme. On en a fini, jusqu’à un certain degré, avec une impression ou une sensation, quand on l’a comprise, c’est-à-dire quand on a conçu une idée qui l’éclaire. Même, dans le tumulte des passions et des émotions, un certain calme peut survenir si la nacelle de l’âme a su gagner l’île de la pensée. L’âme possède une confiance naturelle dans la pensée.

Elle sent qu’elle perdrait toute sécurité dans la vie si cette confiance lui était ôtée. La vie de l’âme cesse d’être normale quand le doute commence à ronger la pensée. Si notre pensée ne nous mène pas à une pleine clarté il faut que nous ayons du moins la consolation que cette clarté se ferait, pour peu que nous arrivions à la force et à l’acuité de pensée suffisantes. Nous pouvons nous tranquilliser en face de notre propre incapacité d’arriver à la clarté au moyen de notre pensée ; par contre, l’idée est intolérable que la pensée en soi, projetée comme il faut sur un domaine donné, puisse ne pas être à même d’éclairer celui-ci suffisamment.

Cette disposition de l’âme à l’égard de la pensée est à la base de toute aspiration humaine à la connaissance. Certes, cette disposition peut être comme assourdie par des états d’âme spéciaux ; on la retrouvera pourtant toujours dans le sentiment confus des âmes. Les penseurs qui doutent de la validité et de la force de la pensée se trompent sur la disposition fondamentale de leur âme. Car les doutes qu’ils conçoivent et les énigmes qui leur apparaissent, ne se forment souvent, au fond, que par suite d’une tension et d’une acuité trop grandes de leur pensée. Si vraiment ils n’avaient pas confiance dans la pensée, ils ne se creuseraient pas le cerveau à cause de ces doutes et de ces énigmes qui dérivent après tout de la pensée. Quand on cultive en soi ce sentiment de confiance dans la pensée, on s’aperçoit que la pensée n’existe pas seulement dans l’âme comme une force qu’on développe, mais qu’elle peut aussi, pleinement indépendante, former le support d’un être cosmique, mais d’un être cosmique qu’il s’agit d’atteindre grâce à des efforts laborieux, si l’on veut vivre dans quelque chose qui appartient à la fois à l’homme et au cosmos.

Pouvoir s’adonner à une vie de pensée contient quelque chose de profondément apaisant. L’âme sent qu’elle peut, dans cette vie, se détacher d’elle-même. Or, l’âme a besoin de ce sentiment autant que du sentiment opposé, à savoir qu’elle peut se concentrer complètement en elle-même. L’un et l’autre de ces sentiments représentent les oscillations nécessaires de sa vie normale. Au fond, l’état de veille et le sommeil ne sont que les expressions extrêmes de ces oscillations. À l’état de veille l’âme est en soi ; elle vit sa vie propre ; dans le sommeil elle se perd dans la vie cosmique générale, elle est donc en quelque sorte détachée d’elle-même.

Les deux états de ce pendule de l’âme s’accusent par divers autres éclats de la vie intérieure : la vie de pensée, représente un détachement de l’âme d’elle-même ; la faculté de sentir, la vie affective, etc., un état de concentration de l’âme sur elle-même. Ainsi considérée, la pensée offre à l’âme la consolation dont elle a besoin en face du sentiment d’abandon de la part du cosmos. Car il est tout à fait légitime qu’on se dise : que suis-je donc au sein du grand cours des événements qui s’écoule d’un infini à l’autre, avec mes sentiments, mes désirs et mes volitions qui n’ont d’importance que pour moi-même ? Mais le fait d’avoir bien saisi par l’âme la vie de la pensée permet d’opposer au sentiment caractérisé la considération que voici : la pensée qui est liée au cours des événements cosmiques te reçoit avec ton âme ; tu es, uni à ceux-ci au moyen de la pensée. Ainsi, l’on peut alors se sentir reçu, et justifié par le cosmos.

Et une âme qui s’ouvre à de tels sentiments est fortifiée comme si les puissances cosmiques elles-mêmes lui dispensaient de la force selon les lois de la sagesse. Une âme s’élevant à un pareil sentiment pourra bientôt se dire : ce n’est pas moi seulement qui pense, mais « cela pense en moi » ; l’évolution cosmique s’exprime en moi ; mon âme est seulement le théâtre sur lequel le cosmos se manifeste en forme de pensée. Certaines philosophies peuvent repousser un pareil sentiment. On peut alléguer les raisons les plus variées pour rendre tout à fait plausible que l’idée du cosmos, apparaissant en forme de pensée dans l’âme humaine, est absolument erronée. Il faut reconnaître cependant que, cette idée est acquise par l’expérience intérieure et que sa validité n’est comprise que quand, par cette voie-là, on est arrivé à s’en emparer. Alors toutes les « réfutations » ne sauraient rien changer à cette validité ; au contraire, on reconnaît alors ce que valent, en vérité, tant de « réfutations » et de « preuves ».

Ces dernières semblent souvent impeccables, mais seulement aussi longtemps qu’on se fait une conception erronée de leur valeur démonstrative. Il est difficile alors de s’entendre avec des personnes qui considèrent de pareilles « preuves » comme concluantes. Celles-ci croient forcément que les autres sont dans l’erreur, parce qu’elles-mêmes n’ont pas encore fourni le travail intérieur qui a amené les autres à reconnaître ce qui, à elles, paraît erroné et même déraisonnable. Quiconque veut pénétrer dans la science spirituelle se livrera avec avantage à des méditations comme celle que nous venons d’indiquer sur la pensée. Ce dont on a besoin, c’est de se créer une disposition d’esprit donnant accès au monde spirituel. Ce dernier peut rester fermé à la pensée la plus aiguisée, à l’esprit scientifique le plus accompli, si l’âme ne réagit pas aux faits spirituels (ou à la communication de ces derniers) qui voudraient pénétrer en elle.

C’est une bonne préparation à saisir la connaissance spirituelle que de se mettre souvent dans la disposition d’âme qui s’exprime dans la formule suivante : « Par la pensée je me sens un avec le cours des événements cosmiques ». Et ce qui importe ici, ce n’est pas tant la valeur abstraite de cette pensée, mais bien plutôt le sentiment d’un effet vivifiant, provenant du fait qu’une pareille pensée pénètre de sa force la vie intérieure et s’y répand comme un air vivifiant venu des mondes spirituels. En présence d’une pareille pensée l’essentiel est l’expérience, non la connaissance.

Elle est un objet de connaissance dès qu’elle a été une fois présente dans l’âme avec une force de conviction suffisante. Pour faire mûrir des fruits en vue de la compréhension du monde spirituel, avec ses phénomènes et ses habitants, il faut que, une fois comprise, elle soit toujours à nouveau vivifiée dans l’âme. Toujours à nouveau il faut que l’âme s’en emplisse, ne permette qu’à elle seule d’être présente en elle, à l’exclusion de toutes les autres pensées, sensations, souvenirs, etc. Une telle façon de se concentrer pleinement sur une pensée édifie dans l’âme des forces qui sont pour ainsi dire disséminées dans la vie ordinaire ; elle les renforce en elle-même. Ce sont ces forces qui deviennent les organes de la perception du monde spirituel et de ses vérités. Les indications qui précèdent permettent de reconnaître le vrai procédé de la méditation. Tout d’abord on s’efforce de bien saisir une idée susceptible d’être comprise par les moyens qu’offrent la vie et la connaissance ordinaire. Ensuite on se plonge à différentes reprises dans cette idée ; on s’unit complètement avec elle. Par la vie en union avec une pensée de ce genre on fortifie l’organisme de l’âme. Ici le procédé de la méditation a été illustré par un exemple tiré de la nature même de la pensée. J’ai choisi cet exemple parce qu’il est particulièrement fécond pour la méditation. On pourrait toutefois illustrer le procédé en question par n’importe quelle autre idée trouvée de la manière que nous venons de décrire. Il est particulièrement utile pour l’épanouissement de la vie spirituelle du méditant de connaître la disposition de l’âme résultant des oscillations de la vie intérieure que nous avons indiquées.

C’est pour lui le moyen le plus sûr d’arriver à sentir le contact avec le monde spirituel, contact immédiat né de sa méditation. Or, un pareil sentiment est un résultat sain de la méditation, il devrait faire rayonner sa puissance sur le contenu de tout le reste de l’état de veille ; non pas toutefois dans le sens d’une disposition méditative persistante, mais bien dans le sens d’une vivification ressentie comme un influx permanent dû à la méditation. Car si la disposition méditative s’étendait sur la vie journalière comme une impression continue, elle troublerait le caractère naturel de la vie quotidienne. Il s’en suivrait qu’aux moments mêmes de la méditation, la disposition méditative ne serait pas assez forte et ne pourrait être assez pure. La méditation révèle précisément ses vrais fruits par le fait que, par sa tonalité, elle se détache du reste de la vie. Aussi son action sur celle-ci est d’autant plus bienfaisante qu’elle est ressentie comme un état d’exception qui s’élève au-dessus du monde contingent, nettement détaché de l’existence ordinaire.

EXTRAIT du livre : LE SEUIL Du MONDE SPIRITUEL de RUDOLF STEINER aux Editions ALICE SAUERWEIN

 

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La conférence de Terry Pratchett

Posté par othoharmonie le 3 mai 2015

La conférence de Terry Pratchett est visible ici :

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 Retrouvez les articles de Vivianne Cowley en anglais sur Patheos : http://www.patheos.com/blogs/viviannecrowley/author/ viviannecrowley/

et les articles et traductions de Valentina Ferracioli sur https://voxiferaldiana.wordpress.com

de 2010

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