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Rallier le mental à la Conscience

Posté par othoharmonie le 16 mai 2015

 

89bb4bccfeSi vous voulez rejoindre l’esprit, il va falloir procéder par étapes. Il faut déjà que votre mental se dégage de cette espèce d’envoûtement psychique qui s’est fait sur vous ; il faut que votre mental s’allie à la conscience et celle de servir cet automatisme du corps physique qui agit sur le psychisme, sur la gravitation mentale.

Votre mental doit méditer sur tous ces conditionnements : pénétrez dans ce qui est l’enfant en vous-même et voyez comment vous vous êtes fait « coiffer », comment vous avez dû vous protéger, comment vous vous êtes trouvées dans un environnement qui vous a conditionnées et vous a confinée dans une situaiton d’impuissance. Votre mental examine, pièce par pièce, les situaitons : cela peut être l’action de votre mère, celle de votre père, ou la mésentente de vos parents, ou alors un manque d’écoute et de compréhension de la part de votre milieu familial.

Maintenant, avec le recul, examinez si vous avez acquis de nouvelles connaissances et une nouvelle vision des choses. Vous pouvez comparer par exemple, votre éveil de conscience actuel à celui qu’il y avait dans votre environnement d’enfance et qui perdure peut-être encore. Et vous pouvez toujours vous dire : « Oh ! Bien sûr, moi je sais cela, mais je ne peux pas leur en parler, ils ne comprendraient pas » ! Mais ce que vous oubliez dans cette situation quand vous dites « Ils ne comprendraient pas » c’st qu’il y a aussi une partie de vous qui est restée en dessous de ces gens qui ne comprennent pas, une partie que vous ne touchez jamais, et à qui vous n’expliquez rien parce qu’elle est sous la coiffe et sous l’inversion. Vous pouvez constater alors qu’il y a une faiblesse dans la maîtrise de votre limite, puisque vous l’avez laissée en-dessous et qu’en plus vous englobez ces gens qui se sont débrouillés plus ou moins consciemment pour vous limiter, quelque fois vous inverser, et qui continuent à vous utiliser pour les dégager et les tirer de l’ornière dans laquelle ils sont encastrés.  (voir explications ici : réf post précédent)

Il ne faut pas oublier que tous les corps physiques sont créés aussi par les puissances. Si vous êtes incarnée dans un champ de puissance (famille) d’un niveau de conscience insuffisant, il est possible que ce soit pour une bonne polarisation conscience-puissance ; Vous vous dites : « Ma famille est d’un certain niveau de conscience, et moi je suis d’un autre, mais je ne peux rien leur dire ». Vous ne vous rendez pas compte que votre famille vous a générées comme une suite à sa propre émergence et que, en passant, elle vous a conditionnée pour que vous réalisiez l’élévation de son système de puissance précédent (lignée familiale).

Vous avez deux démarches possibles. Ou vous dite : « D’accord, je suis reliée à cette famille, mais moi je veux m’élever, donc je décide d’élever ce système de puissance ». Cela veut dire qu’il faut vous y consacrer totalement comme on élève un enfant qui est à sa suite. Et vous savez que s’occuper de quelqu’un, c’est le prendre en charge des pieds à la tête, mentalement, psychiquement, vitalement substantiellement, etc. C’est une solution, mais vous devez vous y consacrer entièrement.

Ou alors vous dites : « Non, franchement parlant, c’est tellement différent, ce n’est pas ma génération, ils sont accrochés à des champs de puissance trop lourds, vu ce que j’ai vécu et comment j’ai évolué, la différence est trop grande, non je ne peux rien faire pour eux, non, ce n’est pas possible, je ne peux rien faire ». Alors c’est là où il y a un très grave problème, car si vous dites que vous ne pouvez rien faire, votre unique démarche devrait être celle de tirer votre limite. Mais ce n’est pas ce que vous faites. Vous laissez les choses en l’état, vous ne récupérez pas le circuit que vous avez en-dessous de vous.

Il faut être lucide ; ou vous faites quelque chose et vous risquez d’y laisser votre peau, ou vous décidez de ne rien faire parce que vous pensez que la distance est trop grande et qu’il est impossible de les en sortir. Il faut réfléchir à cette situaiton ; vaut-il mieux qu’il y ait deux personnes qui meurent ou qu’il n’y en ait qu’une ? Il faut se décider car la faiblesse reste dans l’absence de prise de conscience de la situation et dans la non-décision. Alors de deux choses l’une : soit ils sont susceptibles de s’élever à votre suite et il faut que vous fassiez le maximum ; soit vous jugez que vous n’en avez pas la force, que c’est extrêmement ancré, alors là, c’est impossible, il n’y a plus rien à faire, il faut les laisser tranquilles.

Francesca du Forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

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Le bonheur c’est l’art d’éviter les grands malheurs

Posté par othoharmonie le 16 mai 2015

 

toucherCe qui nuit à l’évolution de l’Etre, c’est tout ce qu’il englobe dans ses plans profonds inconscients qu’il ne nettoie jamais. Il faut provoquer des transformations fondamentales qui récurent les bases mêmes de l’individu. Il peut y avoir des impressions transitoires, des petits coups de fouet qui vous sont donnés mais ce ne sont pas des vaguelettes qui changent la situation du rivage.

En réalité, ce qui fait l’impuissance d’un Etre, c’est son incapacité à faire resurgir sa limite du dessous de tous les engloutissements dont il s’est chargé à une époque, suite à un mauvais filtrage ou  à une mauvaise gestion de ses stocks. Il faut faire émerger de ses bases, de ses réserves sous-jacentes, ce qui peut passer au-dessus, comme une sorte de vapeur qui s’extrait. Mais néanmoins, ce qui reste encore en dessous est toujours très condensé.

La difficulté, c’est que cette condensation est enveloppée par une partie de nous-mêmes, comme une fine pellicule entourant tout ceci.

Nous avons une structure biologique qui correspond à cet aspect de la question, puisque nous absorbons de la nourriture par le haut et nous la décantons par l’intestin, en bas. Ceci est à la fois physique et psychique. En général, les gens accumulent dans leur psychisme parfond sans s’en rendre compte, des tas de choses non traitées. Ils sont d’autant plus sensibles aux événements de leur environnement que ces derniers correspondent à ce qu’ils ont dans leur partie inférieure. Par exemple, quand on est choqué par une situation particulière, c’est parce qu’on l’a mal vécue et qu’elle est toujours en souffrance dans notre psychisme profond.

Si les êtres n’ont pas le courage de regarder en face ce qui se présente à eux et les perturbe, ils ne font qu’accumuler sans arrêt des circuits en-dessous pour masquer leurs problèmes, alors que beaucoup d’occasions se présentent dans leur vie et dans leur destin pour leur montrer en images ce qui se passe en-dessous d’eux. S’approcher de ces parties inférieures demande beaucoup de concentration, des heures de méditation, de l’opérativité, du dialogue, car pour traiter il ne faut pas tourner autour du pot, mais entrer dedans et pénétrer ces duretés qui viennent de l’environnement, de la famille ou des règlements karmiques.

Les êtres qui veulent vraiment se libérer, sortir du cachot, arrivent à solutionner ce genre de situation. Mais ceux qui on évolué dans un champ d’énergie inconscient entraînant toute une série de fonctionnements souterrains, ont enregistré beaucoup de choses sans les émerger jusqu’à leur conscience. Ils les traînent donc avec difficulté, ils se trouvent chargés par des poids de cailloux inutiles dans leur sac à dos. Et ralentis par  ce poids, ils sont de plus en plus en retard.

Il y a trois processus à suivre pour se libérer de cette situation.

  • Premièrement, il faut faire passer au-dessus ce qui est mutable au-dessus.
  • Deuxièmement, on doit préciser, autour et en dessous, quelle est sa fine et fragile limite, afin de définir aussi son rapport à d’autres figures. Cela réclame beaucoup d’attention et de perception.
  • Troisièmement, il faut surveiller l’excrétion.

Par exemple, quand on dort, en fait, une autre mutation s’effectue par le dégrafage des systèmes de puissance qui sont accrochés en-dessous et qui retournent à la masse pendant le sommeil. Quand vous faites passer une énergie vers le haut, un certain nombre de signatures se mutent, passent la frontière, mais  d’autres ne la passent pas et restent en-dessous, accrochées dans l’axe de la mutation qui s’est effectuée. Si vous restez en tension, s’il n’y a pas de relâchement, ces circuits demeurent toujours accrochés à vous, alors que si vous vous relâchez dans le sommeil, ils repartent, se détachent de vous parce qu’il y a rupture de continuité entre le dessus et tous ces circuits. Ainsi, tout ce qui n’a pas été muté se dissout et disparaît.

Pour pouvoir lâcher certaines signatures, il faut avoir une conscience suffisamment modulatrice de sa limite, qui sache la manier pour faire traverser des énergies dans le sens de l’excrétion, et en intégrer d’autres dans le sens de l’assimilation. Ce qui empêche d’avoir cette modulation de gestion de sa limite, c’est l’absence de souplesse et d’adaptation aux situations. Par manque de réflexion, certains êtres ont des attitudes bloquantes dans les rapports humains, mettant des étiquettes sur les gens, désirant une chose au mauvais moment ou quand ils n’ont rien fait pour la mériter. Ils établissent des rapports heurtés avec l’environnement. Ce sont des cerveaux infantiles qui ne réfléchissent pas, qui vivent dans un univers égotique et nombriliste, et qui n’ont pas une dimension d’aperception de ce qui  se passe dans la totalité.

Au lieu de rendre leur limite modulée par la conscience, donc efficace selon les situations, c’est à dire parfois forte, dure pour empêcher certaines énergies de pénétrer, parfois subtile pour en intégrer d’autres, ils inversent le processus. Ils sont dures dans les situations où il s devraient être subtils, et mous quand il faudrait éviter de se faire défoncer. Le résultat, c’est qu’ils ne cessent de se charger de choses négatives qui peuvent finir par les détruire. Il y a des climats où il faut intégrer les énergies parce qu’elles sont favorables, d’autres au contraire, où il faut être très précis et très sélectif.

Les êtres intègrent des énergies négatives parce qu’ils se laissent guider par leurs réactions instinctives ou affectives, étant trop dans leur corps et pas assez dans leur conscience. Ils prennent pour vérité des réactions spontanées qui ne sont que des réactions animales. En réalité, ces êtres n’ont pas fait une élévation réelle de leur système énergétique dans un plan où leur conscience peut leur donner exactement l’adaptation nécessaire pour être en accord avec un environnement donné.

Se déconditionner de l’enfance

Dès le début de la vie, l’être prend l’habitude de ce type de réaction, parce qu’il est jeune et pas assez informé. Il doit pouvoir réagir contre un environnement qui l’agresse. Mais n’ayant pas encore l’expérience de la maturité, il va avoir des réflexes automatiques de réactivité souvent excessifs, inversés, désordonnés, qui vont lui rester toute sa vie.

Ce type d’inversion vient souvent d’un milieu familial insuffisamment conscient pour moduler harmonieusement les interventions sur l’enfant. Par exemple, une mère peut avoir de très bonnes intentions et, en fait, agresser son enfant : elle lui donne des biberons trop chauds, elle le nourrit avec excès, elle en fait un obèse, etc. Le réflexe automatique de l’enfant est de se défendre contre cette agression involontaire. Le conditionnement inversé de l’être est donc le résultat d’attitudes erronées du milieu familial.

Il faut faire très attention aux envoûtements faits sur les êtres depuis leur plus tendre enfance car, le es inversant dès le départ, ils les conditionnements pour tout jamais à être des ratés. Si vous n’avez pas une démarche extrêmement précise pour vous sortir de cette inversion, vous avez une situation qui est piégée parce qu’elle est envoûtée depuis votre plus jeune âge. Si l’être n’a pas, par lui-même, une sorte de moteur énergétique de survie, de redimensionnement, il traîne toute sa vie les conditionnements du départ et il n’arrive jamais à mener une action libératoire  réelle.

Dans l’univers féminin, cette situation peut être particulièrement grave, parce que la femme est amoindrie tous les mois par un système la rattachant, en quelque sorte, à un infantilisme qui la fait retourner au niveau des couches-culottes de son enfance. Si à une époque de sa vie elle a été touchée par un phénomène de conditionnements inversés, elle y replonge régulièrement, puisque tous les mois cela se recycle. Comme ses règles sont inéluctables, ce qu’on lui a imposé est aussi inéluctable. Il y a une assimilation au corps physique qui intervient sur le psychisme, lequel à son tour agit sur le mental. Le mental, se trouvant ainsi coiffé et limité, dirige l’ensemble de la personnalité de l’être dans une situation « complexuelle ».

Francesca du Forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

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