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COMMENT PROCEDER POUR SE CHANGER SOI-MEME

Posté par othoharmonie le 7 juin 2015

 

tout-est-psyNous faisons partie d’un vaste champ d’énergie invisible contenant toutes les réalités possibles et réagissant à nos pensées et à nos sentiments. A l’instar des scientifiques d’aujourd’hui qui étudient les relations entre la pensée et la matière, nous désirons faire de même dans notre vie. C’est pourquoi nous nous demandons si nous pouvons utiliser notre esprit pour créer notre propre réalité. Si c’est le cas, pouvons-nous acquérir cette aptitude et l’employer pour devenir ce que nous voulons être et obtenir l’existence que nous désirons ?

Soyons francs ; personne n’est parfait. Si nous voulons effectuer un changement quelconque dans notre être physique, émotionnel ou spirituel, nous avons tous le même désir : vivre une version idéale de ce que nous pensons et croyons pouvoir être. Quand nous regardons notre embonpoint dans le miroir, nous ne voyons pas uniquement l’image qui s’y réfléchir, mais aussi selon notre humeur du jour, une version plus mince de nous-mêmes ou bien une version plus lourde encore. Laquelle des deux images est réelle ?

Quand, avant de nous endormir le soir, nous passons en revue notre journée et nos efforts pour devenir moins susceptibles et plus tolérants, nous ne voyons pas seulement le parent qui s’est emporté contre l’enfant qui n’a pas obéi simplement et rapidement à une simple demande de notre part.  Nous voyons soit un ange dont la patience est épuisée comme celle d’une victime innocente, soit un ogre hideux souillant l’estime de soi d’un enfant. Laquelle de ces deux images est réelle ?

La réponse : elles le sont toutes. Non seulement ces deux extrêmes, mais aussi une série infinie d’images allant du positif au négatif. Pourquoi ? Afin que vous saisissiez mieux la raison pour laquelle aucune de ces versions n’est plus ou moins réelle que les autres, je devrais écarter la vieille vision désuète de la nature fondamentale de la réalité et la remplacer par une nouvelle.

Il s’agit là d’une grande entreprise, mais vous devez savoir ceci : vous avez sans doute été attiré par cette lecture parce que vos efforts pour effectuer des changements durables dans votre existence, que ce soit sur le plan physique, émotionnel ou spirituel, ont échoué en regard de l’idéal que vous entretenez de vous-même. La raison pour laquelle ces efforts ont échoué relève davantage de vos croyances que d’autre chose, y compris un prétendu manque de volonté, de temps, de courage ou d’imagination.

Pour changer, nous devons toujours avoir une vision neuve de nous-mêmes et du monde afin d’acquérir de nouvelles connaissances et de vivre d’autres expériences.

C’est ce vers quoi nous devons tendre…. Il  nous est possible de remonter à la source de nos faiblesses passées qui est une seule grande bévue. C’est que nous ne nous sommes pas engagés à vivre selon cette vérité : nos pensées ont des conséquences telles, qu’elles créent notre réalité.

En fait, nous sommes tous privilégiés. Nous pouvons tous récolter les fruits de nos efforts constructif. Nous n’avons pas à nous soumettre à notre réalité présente, car nous pouvons en créer une nouvelle si nous choisissons de le faire. Nous avons cette capacité, car nos pensées influencent notre vie, pour le meilleur et pour le pire.

Je suis convaincu que vous avez déjà entendu cela auparavant, mais je me demande combien de gens y croient réellement. Si nous adhérions vraiment à l’idée que nos pensées exercent des effets tangibles sur notre existence, pourquoi ne nous efforcerions-nous pas de ne jamais entretenir une pensée que nous ne voulons pas vivre ? Pourquoi ne pas concentrer notre attention sur ce que nous voulons au lieu d’être continuellement obsédés par nos problèmes ?

Pensez-y un peu : si vous étiez convaincus que ce principe est vrai, perdriez-vous une seule journée dans la création intentionnelle du destin désiré ?

Pour changer sa vie, il faut changer ses croyances sur la nature de la réalité.

Tant que vous n’aurez pas modifié la vision de votre réalité présente, tout changement que vous apporterez à votre existence sera arbitraire et transitoire. Il vous faut repenser comment les choses se produisent afin d’obtenir des résultats désirés et durables. Pour ce faire, vous aurez besoin d’être ouverts à une nouvelle interprétation de la réalité et de la vérité.

Publié dans TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE, Zones erronées | Pas de Commentaire »

Perdre l’habitude d’être soi-même

Posté par othoharmonie le 7 juin 2015

 

970c0-500wiEn examinant avec soin le cheminement intérieur des individus, il apparaît évident que leur mental jouait un grand rôle dans leurs changements physiques, qui n’avaient rien de spontané.

Nous ne devrions jamais attendre que la science nous donne la permission de faire ce qui n’est pas habituel ; si nous avons cette attitude, nous faisons d’elle une religion. Nous devrions être suffisamment courageux pour examiner notre existence, faire ce qui n’est pas conventionnel et l’effectuer à répétition ; quand nous agissons ainsi, nous sommes en bonne voie vers un plus grand pouvoir personnel.

Le véritable pouvoir commence lorsque nous examinons sérieusement nos croyances. Nous en trouvons la source dans le conditionnement de la religion, de la culture, de la société, de l’éducation, de la famille, des médias et même de nos gènes (ces derniers se trouvant imbriqués dans les expériences sensorielles de notre vie présente ainsi que dans d’innombrables générations). Nous comparons ensuite ces vieilles idées aux nouveaux paradigmes, qui peuvent nous servir beaucoup mieux.

Les temps changent. En tant qu’individus éveillés à une plus grande réalité, nous faisons partie d’une transformation radicale plus considérable. Nos modèles actuels de la réalité et nos systèmes s’effondrent ; il est temps qu’émerge quelque chose de nouveau. Sur tous les plans, nos modèles politiques, économiques, religieux, éducationnels et médicaux, ainsi que notre relation à l’environnement, nous présentent un paysage différent de celui d’il y a à peine dix ans.

Il est facile d’abandonner ce qui est désuet et d’adopter ce qui est nouveau, mais une grande partie de ce que nous avons appris ou vécu s’est intégrée à notre « soi » biologique et nous recouvre comme un manteau. Nous savons aussi que ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera pas nécessairement demains. Tout comme la remise en question de notre perception des atomes, que nous considérions comme des éléments de matière solide, de notre réalité, ainsi que de notre intéraction avec eux, constitue une progression des idées et des croyances.

Nous savons également que nous devons quitter l’existence familière à laquelle nous sommes habitués et nous lancer dans une vie nouvelle, à l’instar des saumons qui nagent à contre-courant. Il faut donc fournir des efforts, et honnêtement, ce n’est pas facile. Pour couronner le tout, le ridicule, la marginalisation, l’opposition et le dénigrement venant de ceux qui s’accrochent à leurs propres croyances nous accompagnent sans cesse.

Quel individu ayant un tel penchant non conventionnel veut bien faire face à l’adversité au nom d’une idée qu’il ne peut pas adopter concrètement, même si elle est vivante dans son esprit ? Combien de fois dans l’histoire des gens considérés comme des hérétiques ou des fous, et donc persécutés par la pensée non exceptionnelle, ont-ils émergé comme des génies, des sains ou des maîtres ?

Il semble que la nature humaine nous fasse résister au changement jusqu’à ce que la situation soit réellement critique et qu’elle nous indispose à tel point que nous ne pouvons plus fonctionner normalement. Cela est vrai autant de l’individu que de la société. Nous attendons que la crise, le traumatisme, la maladie ou la tragédie se manifestent pour regarder ce que nous sommes, ce que nous faisons, ce que nous ressentons et comment nous vivons, afin d’effectuer un changement réel. Il faut souvent le pire scénario pour que nous commencions à améliorer notre santé, nos relations, notre carrière, notre famille et notre futur.

Mon message est celui-ci : Pourquoi attendre ? 

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LES VOIES DE LA SAINTETE ET DE LA SAGESSE

Posté par othoharmonie le 7 juin 2015

meditation

De tous temps, sainteté et sagesse ont été considérées équivalentes ou du moins très proches l’une de l’autre. Certaines formes ésotériques du tantrisme indien ainsi que la psychologie de Krishnamurti permettent de dissiper les nombreux malentendus ayant toujours existé concernent les volets de la sainteté et de la sagesse. Celles-ci ne sont pas identiques.

Les critiques formulées à l’égard des voies traditionnelles de la stricte continence sexuelle et de la sainteté ne doivent pas être considérée comme un discrédit systématique de ces dernières. Elles ont leur valeur. Il se peut que certains êtres aient une vocation les orientant irrésistiblement vers la continence sexuelle et la sainteté dans l’otique des voies traditionnelles. Comme en toutes choses, il est souhaitable que chacun fasse les expériences qui lui semblent nécessaires. L’étude des mystiques de la plupart des religions nous révèle l‘existence d’être exceptionnels tels Maître Eckhart, Saint Jean de la Croix, Sri Ramakrishna, le Maharashi, etc..

Il se peut d’ailleurs qu’un être humain qui se soit engagé sur la voie de la sagesse atteigne une telle plénitude d’éveil spirituel que son comportement acquiert tous les signes distinctifs attachés aux critères traditionnels de la sainteté. Tel est très vraisemblablement le cas d’un Krishnamurti.

La structure psychique de l’être humain sert d’intermédiaire et de réceptacle des niveaux spirituels à la condition que le psychisme soit disponible et transparent. Or il est rare que cette transparence psychique se réalise dans la voie de la sainteté. Il est nécessaire de préciser en quoi consiste exactement une expérience psychique ? C’est une expérience qui s’effectue au niveau des émotions et des pensées. Sur le plan mystique, elle comporte des émotions religieuses, des images ou symboles construits depuis les âges les plus lointains, la ferveur dévotionnelle pour le divin ou des représentations du divin, la fixation de la pensée ou de l’amour mystique sur une vertu, sur un archétype de l’inconscient collectif, sur l’image d’un Christ, d’un Bouddha ou d’un Saint particulièrement vénéré. Tout ceci se passe dans le champ de la pensée et des émotions.

L’expérience spirituelle, au contraire, se situe originellement au-delà et en dehors du champ de l’émotion et de la pensée. Elle est essentiellement supra-mentale ou « non-mentale » selon l’expression des maîtres indiens ou japonais. Ce domaine se situe en dehors et bien au-delà de celui des tensions psychiques contradictoires et instables des pensées et des émotions. En ce qui concerne plus précisément les activités psychiques du mental et des émotions se développant au cours de la voie traditionnelle de la sainteté, nous sommes en droit de nous poser de nombreuses questions. Pour la grande majorité des êtres humains normaux, les expériences amoureuses et sexuelles sont parmi celles qui marquent le plus toute une vie. Seules les expériences de l’éveil intérieur les font apparaître sous un angle secondaire.

La vie n’est que relation, nous dit Krishnamurti. C’est notre attitude mentale d’approche au cours des relations qui détermine la qualité des révélations qu’elles peuvent nous apporter. Il existe une attitude intérieure d’approche de la relation sexuelle qui transfigure les messages déformés résultant de la fausseté de notre optique.

Ceux qui interpréteraient ces lignes comme une dévalorisation systématique de la sexualité prouveraient par là leur incompréhension du sens profond de notre optique. Une lumière intérieure nouvelle peut illuminer les démarches extérieures de la sexualité. « La félicité existentielle des profondeurs  » et l’orgasme de « surface » peuvent s’exprimer en parfaite simultanéité dans la communion sexuelle d’un couple parfaitement harmonisé. Ceci exige de part et d’autre certaines qualités de maturité psychologique, de sensibilité supérieure et de spiritualisation. De telles expériences sont une conséquence d’un certain éveil intérieur plutôt qu’un moyen en vue de l’acquérir.

Nous ne pouvons que tenter de faire comprendre qu’il existe d’autres niveaux que ceux de la seule matière, et s’il faut que l’humain épuise les possibilités de la seule matière jusqu’à sursaturation, pour entrevoir un jour d’autres horizons, il serait vain d’imposer notre façon de voir. Et ceci s’applique à toutes les circonstances et à tous les niveaux.

Pour ceux qui s’intéressent sérieusement aux problèmes de l’Eveil intérieur et de la connaissance de soi, il existe deux critères en matière de sexualité.

Le premier consiste dans un discernement entre les exigences de la sexualité objective et celles de la sexualité subjective. Chacun doit prendre conscience de la façon dont le « moi » se nourrit et se fortifie sans cesse par ses recherches de sensations. L’intensité de la recherche de sensations étant toujours un signe distinctif d’évasion ou de pauvreté intérieure. Le second critère est intimement lié à celui que nous devons prendre profondément conscience de notre dépendance à l’égard de la sexualité et quels en sont les mobiles réels. Ce problème de la prise de conscience de la dépendance doit se poser à l’occasion de toutes les circonstances de la vie, au cours de toutes nos relations, à tous les niveaux. 

Publié dans La Sexualité Sacrée, Philosophie de la VIE, SAGESSE | Pas de Commentaire »

 

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