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Demandez et vous recevrez

Posté par othoharmonie le 14 juillet 2015

 FORUM1 (2)

Nous vivons dans un univers de vibrations. Ainsi qu’Einstein le faisait remarquer : « Rien ne se produit tant que rien ne bouge. » En d’autres termes, toute chose vibre à une certaine fréquence mesurable. 

Décomposez le monde solide en ses plus minuscules composantes et vous comprendrez que ce qui semble solide est en réalité une danse de particules au sein de vastes espaces vides. Étudiez la plus infinitésimale de ces particules quantiques, et vous découvrirez qu’elle émane d’une source qui vibre si rapidement qu’elle défi e toute notion de commencement et de fin.

L’énergie la plus élevée et la plus rapide est appelée Énergie Source. Chaque être et chaque  chose tirent leur origine de cette vibration et se manifestent ensuite dans le monde des choses, des corps, des esprits et des ego. C’est quand nous avons quitté cette Énergie Source et que nous avons adopté un corps doué de conscience que nos problèmes, nos maladies, nos manques et nos peurs ont commencé. 

Les enseignements d’Abraham ont essentiellement pour but de vous aider à revenir à cette source, d’où émanent toutes choses et vers laquelle tout retourne. J’ai décrit un peu à quoi  ressemble cette Énergie Source dans mon livre Le pouvoir de l’intention. Abraham peut  toutefois vous offrir cette sagesse édifiante en vous donnant l’avantage d’être totalement connecté à cette source et de ne jamais douter de cette connexion — cela saute aux yeux dans chaque paragraphe de ce livre. Voilà pourquoi j’estime que c’est un événement marquant de l’édition. 

Vous êtes en contact direct et conscient avec des êtres honnêtes et cohérents qui n’ont pour seul souci que votre bien-être. Ils vous rappelleront que vous venez d’une Source de bien-être et que vous pouvez appeler à vous cette énergie vibratoire supérieure et la laisser circuler librement dans tous les aspects de votre vie, ou bien lui résister et, ce faisant, rester déconnecté de ce qui pourvoit à tout et est tout amour. Le message offert ici est assez  surprenant et pourtant si simple : vous provenez d’une Source d’amour et de parfait bien-être. Lorsque vous êtes harmonisé avec cette énergie de paix et d’amour, vous retrouvez alors aussitôt le pouvoir de votre Source, celui de manifester vos désirs, de faire naître le bien-être en vous, d’attirer l’abondance là où régnait précédemment la rareté, et d’avoir accès à la  guidance divine sous forme de bonnes personnes et de circonstances idéales se présentant à vous. 

Voilà ce que peut accomplir votre Source, et comme vous en êtes une émanation, vous pouvez en faire tout autant. J’ai passé une journée entière avec Abraham en personne, j’ai dîné avec Esther et Jerry, et j’ai écouté des centaines d’enregistrements d’Abraham. Vous pouvez donc me croire sur parole quand j’affirme que vous êtes sur le point d’entreprendre un voyage  transformateur offert par deux des êtres les plus authentiques et les plus spirituels que j’aie jamais rencontrés. 

Jerry et Esther sont aussi émerveillés de leur rôle consistant à vous transmettre ces enseignements que je le suis d’écrire cet avant-propos pour Abraham. 

Je vous encourage à lire attentivement ce livre et à mettre son contenu en pratique sur-le-champ. Une observation que je répète depuis plusieurs années le résume bien : « Lorsque  vous changez votre façon de voir les choses, les choses que vous regardez changent. » Vous êtes sur le point de voir et de sentir un monde tout nouveau se transformer sous vos yeux.

C’est le monde créé par une Énergie Source désireuse que vous repreniez contact avec elle et que vous profitiez d’une vie de bien-être joyeux. 

Merci Abraham de m’avoir permis de dire quelques mots dans cet ouvrage précieux entre tous.

 

Je vous aime — TOUS !

Conseil de lecture : « Les enseignements d’Abraham » de Esther et Jerry Hicks retranscrit par Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

Les auteurs de ce livre ne dispensent aucun conseil de nature médicale et ne prescrivent l’usage d’aucune technique visant à traiter des problèmes d’ordre physique ou médical sans demander au préalable l’avis d’un médecin, et ce, de manière directe ou indirecte. Les auteurs ne cherchent qu’à offrir de l’information de nature générale afin de vous aider dans votre quête de bien-être émotionnel et spirituel. S’il advenait que vous ayez recours à l’information contenue dans ce livre pour des fi ns personnelles, ce qui est votre droit légitime, les auteurs et l’éditeur ne pourront être tenus responsables de vos actions

Publié dans APPRENDS-MOI, Méditation, SPIRITUALITE c'est quoi ? | Pas de Commentaire »

PARLER DE L’EVEIL AVEC LE MAITRE ADYASHANTI

Posté par othoharmonie le 14 juillet 2015

 

8716_243843828Mon enseignement vise l’illumination, il cherche à éveiller du rêve de séparation de la réalité qui est l’Un. En bref, mon enseignement vis à vous inciter à réaliser ce que vous êtes. Vous y découvrirez peut-être d’autres éléments qui découlent simplement d’une réaction aux besoins particuliers des gens sur le moment, mais à la base, je ne m’intéresse qu’à votre Eveil.

L’illumination, c’est s’éveiller à ce que l’on Est vraiment et puis être ce que l’on est vraiment. Réaliser et être, réaliser et être. La réalisation seule ne suffit pas. Parachever la réalisation de Soi, c’est être, ce qui signifie agir, faire et exprimer ce que vous réalisez. La question est extrêmement profonde, il s’agit d’un mode de vie inédit – de vivre dans la réalité et comme réalité au lieu de vivre selon des idées, des croyances et des pulsions programmées de votre mental qui rêve.

En vérité, vous êtes déjà ce que vous cherchez. Vous cherchez Dieu avec ses propres yeux. Cette vérité est si simple, si bouleversante, si radicale et si tabou qu’il est facile de ne pas la voir au milieu de votre quête frénétique. Vous aurez peut-être déjà entendu ce type de propos et vous y accordez peut-être même foi, mais ma question est : « l’avez-vous réalisé de tout votre être ? Le vivez-vous ?

Mes paroles visent à vous ébranler pour vous éveiller, non à vous dire comment mieux rêver. Vous savez comment mieux rêver. Selon votre état mental ou émotionnel du moment, je serai très doux et souple avec ovus, ou alors, ni très doux ni très souple. Après m’avoir lu, vous vous sentirez peut-être mieux, mais c’est accessoire à l’Eveil. Réveillez-vous !

Vous êtes tous des bouddhas vivants. Vous êtes la divine vacuité, cet espace de conscience pure, l’inexistence infinie. Je le sais parce que je suis ce que vous êtes, et vus êtes ce que je suis. Délaissez toutes les idées et images dans votre mental, elles vont et viennent et ne sont même pas générées par vous. Pourquoi donc prêter tant d’attention à votre imagination lorsque vous pouvez réaliser la réalité dès maintenant ?

Ne croyez pas que l’Eveil soit la fin. L’Eveil est la fin d’une quête, la cessation de celui qui cherche, mais c’est le début d’une vie vécue depuis votre nature essentielle. C’est une tout autre découverte – une vie vécue depuis l’unité, à incarner ce que vous êtes, à être l’expression humaine de l’unité. Il n’est pas question de devenir l’Un ; vous êtes l’Un. La question c’est, êtes-vous l’expression conscient de l’Un ? L’Un s’est-il éveillé à lui-même ? Vous êtes-vous souvenu de ce que vous êtes vraiment ? Et si vous vous en êtes souvenu, le vivez-vous ? Vivez-vous vraiment consciemment en tant que l’Un ? Tous mes propos concernent l’Eveil ou la vie après l’Eveil. Peu importe ce sur quoi semblent porter mes paroles, je ne parle essentiellement que de ces deux choses.

Il y a plusieurs années, avant mon Eveil ultime, je cherchais l’illumination à corps perdu. Il faut en effet être un peu cinglé pour s’adonner sérieusement au zen. Mon maître disait toujours, « Seuls les fous restent ». L’une des formes que prenait ma folie, c’était qu’avant d’aller méditer parmi le groupe de mon maître pendant une heure ou deux les dimanches matins, je me levais tôt, à 5 h ou à 5 h 30, pur une méditation supplémentaire. Je restais assis dans une pièce minuscule à méditer, transi de froid.

Assis là, un de ces matins, il se passa deux choses, l’une après l’autre ; deux événements en apparence très paradoxaux. La première, ce fut de constater spontanément que tout ne faisait qu’n. pour moi, cela prit la forme d’un chant d’oiseau, un gazouillis dans le jardin et intérieurement, une question s’éleva, « Qu’est-ce qui  entend le son » ? je ne m’étais jamais posé cette question auparavant. J’ai soudain réalisé que j’étais tout autant le son et l’oiseau, que celui qui entendait cet oiseau ; que le fait d’entendre le son et l’oiseau étaient les manifestations d’une seule et même chose. Je ne peux dire ce qu’elle est, sauf de dire que c’est une seule chose.

J’ai ouvert les yeux, et j’ai découvert que le même phénomène se produisait dans la pièce – le mur et celui qui voyait le mur étaient une seule chose. J’ai songé que c’était inouï et j’ai réalisé que celui qui avait cette pensée était une autre manifestation de cela. Je me suis levé et je me suis mis à me déplacer dans la maison en quête de quelque chose qui ne soit pas partie de l’Un. Mais tout était un reflet de cette chose unique. Tout était le divin. J’ai pénétré dans la salle de séjour. Au beau milieu d’un pas, la conscience ou la perception, s’évanouirent, objets matériels, physiques ou choses de ce monde.

En l’espace d’un pas, tout avait disparu. Ce qui s’éleva ensuite fut l’image de ce qui me semblait être un nombre infini d’incarnations passées, des têtes alignées les unes après les autres aussi loin que portait mon regard. Ma conscience comprit quelque chose du genre, « Mon Dieu, je me suis identifié à diverses formes pendant un nombre incalculable de vies ». A cet instant, la conscience – l’Esprit – réalisa qu’elle s’était identifié à toutes ces formes au point de croire qu’elle était une forme jusqu’à l’existence actuelle.

Soudainement, la conscience n’était plus confinée à une forme, elle existait indépendamment. Elle ne se définissait plus par une forme quelconque, que ce soit celle du corps, d’un mental, d’une existence, d’une pensée ou d’un souvenir. Bien que j’aie vu cela, je pouvais à peine le croire. Comme si l’on m’avait fourré un million de dollars dans la poche et que je devais le regarder sans cesse pour en croire mes yeux ; c’était cependant impossible à nier. Même si j’emploie le terme « je » il n’y avait aucun « je », seulement l’UN.

Pendant environ trois mois, je n’ai rien divulgué à mon maître au sujet de cette expérience parce que je n’en voyais pas la raison. Pourquoi quelqu’un devrait-il en prendre connaissance ? Je ne ressentais nul besoin de me confier à quiconque, ni de glaner des félicitations. L’expérience semblait se suffire à elle-même. Ce ne fut que plus tard que je compris qu’elle correspondait à ce dont parlait mon maître depuis le début. J’ai réalisé que tous ses enseignements portaient sur cet Eveil. D’une manière bien tangible, cette expérience, qui se poursuit et demeure inchangée à ce jour, est la fondation sur laquelle reposent tous mes propos.

Lorsque nous examinons de près ce que nous croyons être, nous sommes sujets à la grâce. Nous constatons que les pensées, les croyances et les identités que nous entretenons ne définissent pas qui nous sommes, individuellement ni collectivement. Un mystère demeure ; nous comprenons que lorsque nous nous observons clairement et minutieusement, il est étonnant de constater à quel point nous, les humains, nous définissons d’après le contenu de notre mental, de nos sentiments et de nos antécédents.

Plusieurs courants de spiritualité tentent de supprimer les pensées, les sentiments et les souvenirs – de rendre l’esprit vierge, comme si c’était là un état spirituel ou souhaitable. Mais avoir l’esprit vide n’est pas forcément sagesse. Il est plus utile de percer à jour les pensées et de reconnaître qu’une pensée n’est qu’une pensée, une croyance, un souvenir ; nous pouvons dès lors cesser d’associer la conscience, ou l’Esprit, à nos pensées ou à nos états mentaux. Avec ce premier pas, quand j’ai compris que ce qui voyait par mes yeux et mes sens était l’état éveillé, ou l’Esprit, plutôt qu’un conditionnement ou un souvenir, j’ai constaté que le même Esprit voyait par toutes les autres paires d’yeux. Il n’importait nullement qu’il voie au travers d’autres conditionnements ; c’était exactement la même chose. La conscience se percevait elle-même partout, pas uniquement dans les yeux, mais aussi dans les arbres, les pierres, le sol.

L’obstacle le plus important qui s’oppose à cet Eveil, c’est la conviction que c’est quelque chose de rare. Une fois cet obstacle dissipé, ou du moins lorsque vous songez enfin : « J’ignore vraiment si ma conviction que l’Eveil est difficile à atteindre est réelle ou pas » alors tout se trouve instantanément à votre portée. Puisque c’est tout ce qui existe, il ne peut être rare et difficile à moins que nous nous en persuadions. La base de tout cela n’est pas théorique, elle repose sur l’expérience. Personne ne me l’a enseignée, et personne ne peut vous l’enseigner.

L’Eveil a ceci de merveilleux : lorsque vous ne fonctionnez plus suivant votre conditionnement, alors le sentiment du « moi  » qui vivais cette vie disparaît ; la plupart des gens ont ce sentiment d’un mi qui vit cette vie. si on le perce à jour cependant, on s’aperçoit que ce qui régit et fait fonctionner cette vie c’est l’amour, et ce même amour réside en chacun à tout instant. Lorsqu’il se manifeste par vos états d’âme personnels, il se dissipe, mais il est toujours présent. Personne ne détient cet amour. Chaque être est essentiellement une manifestation de cet amour.

Que vous en ayez conscience ou pas, vous avez vécu des instants où vous aviez oublié le « je » auquel vous vous identifiez. Cela peut se produire spontanément devant un paysage merveilleux, ou en raison d’un oubli de la part de l’ego. On ne tient généralement pas compte de tels événements. Après ces « instants merveilleux », votre sentiment d’identité familier se reconstitue. Ces occasions sont pourtant des trous permettant d’épier l’expérience authentique de la Vérité. Si vus y prêtez attention, vous les remarquerez. Soudainement, le mental cesse de penser à son histoire. Vous remarquerez peut-être que votre identité en soi ou que le sentiment d’un moi s’est estompé et que ce que vous êtes vraiment n’a pourtant pas disparu. Puis, interrogez-vus : « Qu’est-ce que le vrai moi ? Si mon identité peut faire une pause et que je ne disparais pas, que suis-je donc ? Ou plutôt : Que suis-je quand je disparais » ?

C’est alors que la spiritualité devient non seulement concrète, mais audacieuse et amusante. Vous commencez à ressentir ou à pressentir que vous approchez de quelque chose qui n’est pas une fabrication de la pensée, de la croyance ou de la foi. Et assimiler cette présence éveillée exempte de toute identité est ahurissant. La tradition zen l’appelle « l’incréé » ; c’est la seule chose que le mental ne fabrique pas.

Le paradis, c’est cette expérience qui survient après avoir pénétré notre propre vacuité. Nous réalisons notre propre état éveillé pur et constatons que nous sommes purs esprits exempts de forme. Nous reconnaissons que l’Esprit dépourvu de forme est l’essence, la présence qui anime tout. Voilà ce qu’est le paradis, car à chaque pas, l’Esprit et l’essence occupent notre corps. C’est le sens véritable de naître de nouveau. Renaître ne se limite pas à une conversion religieuse très émotionnelle. C’est peut-être agréable, mais ce n’est rien de plus que de changer de vêtements. Renaître c’est naître encore, pas de se procurer un nouveau vêtement spirituel. Plus précisément, c’est de ne pas être né encore au moment où nous réalisons que l’éternel néant vit cette vie nommée « ma vie ».

hqdefaultNéanmoins, ce n’est pas parce que vous réalisez votre vérité et que vous vous éveillez spirituellement que votre vie connaîtra des bonheurs sans fin. Ce ne serait pas la paix qui transcende toute compréhension. Tant que notre vie est heureuse, il est facile d’être en paix. La vie agit toutefois selon sa nature, tel un océan en mouvement. Que les vagues soient hautes ou petites, elle est toujours aussi sacrée. Au sein de cet état éveillé réside la paix qui transcende toute compréhension et votre vie n’a pas forcément à produire quelque chose de mieux. Elle fait ce que la vie fait ; elle s’écoule doucement. Cela n’a plus aucune importance pour vous.

Extrait de Conscience pure et méditation véritable du Maître Adya 

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