A LA RESONNANCE DE LA RENAISSANCE

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2015

 

désequilibreNous, les générations qui peuplent la planète Terre en ce début du XXIè siècle, sommes privilégiés. Non pas notre appartenance à une classe fortunée ou noble, mais du simple fait de notre présence ici. A l’instant même. Nous aussi vivons une renaissance, supérieure de plusieurs octaves, car nous nous apprêtons à devenir des résidents pleinement conscients d’un multivers infini fourmillant d’innombrables espèces et de myriades de populations d’êtres vivants et intelligents.

Nous émergeons d’une ère d’obscurité et de destruction relative qui enténébrait nos sociétés. En dépit de nos technologies et de nos réalisations, la condition humaine demeure dans son ensemble accablée de souffrances et d’insatisfactions.

Sur cette vaste Terre, il y a toujours d’une part une minorité privilégiée et absolue, et d’autre part, la majorité qui tire le diable par la queue. Dans chaque région, la violence fait rage, incoercible, car l’animal en l’être humain continue de s’approprier le pouvoir par l’avidité, s’abreuvant à sa soif de sang. La seule différence entre nous et les prédateurs de ce monde, c’est que nous tuons par plaisir. Et pourtant, nous sommes censés être des créatures douées d’un intellect supérieur, des êtres au sommet de la chaîne évolutive sur la planète.

En cet âge des ténèbres dans notre monde contemporain, des maux que nous n’aurions jamais imaginés se propagent d’un continent à l’autre et mettent en péril notre existence même. Des populations sont affamées – c’est exact – en ces années qui, à nos yeux, reflètent un apogée technologique pour notre civilisation.

A première vue nous ne sommes certainement pas à l’aube d’un âge de lumière !

Nombreux sont ceux qui contemplent les champs de bataille et n’aperçoivent que futilité et désolation. d’autres scrutent le regard cru des médias sous contrôle et se résignent à l’échec de notre espèce, persuadés qu’il n’y a tout simplement pas d’espoir pour l’humanité ou notre planète. Les prophètes de l’apocalypse s’en donnent à cœur joie. Ils estiment que nous revivons Sodome et Gomorrhe et que les prophéties évoquant l’ultime anéantissement de la source même de la vie sont sur le point de se réaliser : sa solution finale, l’Armageddon.

Malgré tout…

En dépit de la corruption aveugle des figures politiques contemporaines (« élues » ou qui nous sont imposées), en dépit des dictats usés des religions et des cultures, en dépit des bouleversements terrestres, un miracle a cours sous nos yeux et voit le jour en nous, dans chaque cellule de notre être. Il s’agit de la renaissance d’une vision d’une vaste portée, vision qu’entretenaient nos ancêtres. Le combat entre la logique et l’intuition évolue vers un nouveau paradigme, une science nouvelle, qui se mêle de l’Esprit.

Nous neutralisons la dualité dans notre existence (en tant qu’êtres vivants dans la sphère matérielle d’un espace physique), nous raffinons les signatures vibratoires de notre organisme et de son empreinte sur les champs du vivant. De ce fait, nous reconnaissons comment toutes choses existent sous forme d’aspects les unes des autres. Dans le cosmos, tout ne fait qu’un.

Si nous nous accordons aux fréquences du Soi supérieur, tout devient d’une harmonie divine, exquise. Unités conscientes de cette totalité, nous sommes livres de déterminer comment nous jouerons notre musique dans la symphonie de la vie – à chaque détour.

Grâce à l’alliance de la science et de l’Esprit, l’écart entre la logique et l’intuition s’estompe et disparait. Nous apprenons que nous l’avons toujours su, depuis les grandes civilisations de l’histoire orale sur terre, au fil des âges. Le sens primordial de la vie se trouve sous nos yeux, tout au long des maints cycles de notre existence. Quelquefois, au fil de l’ascension et du déclin, nous tenions à la main cette sagesse précieuse, telle une rose fraichement coupée. A d’autres moments, nous y avons renoncé au profit de soifs fugitives et insensées d’accomplissements et de gratifications personnelles aussi illusoires que les nuages. Nous apprenons avec beaucoup d’humilité que malgré les efforts que nous mettons à rendre l’idée de la Création complexe et ultimement ineffable, la question incontournable de l’existence, du macrocosme au microcosme, est parfaitement simple. La sagesse est encodée dans toutes les expressions de la vie – dans chaque brin d’herbe, chaque fleur, chaque montagne, chaque animal, chaque nuage, chaque humain, chaque note, chaque mélodie, chaque chant, chaque symphonie.

Peu importe notre conception de ce que peut être Dieu, nous nous entendons pour dire qu’Il ou Elle ou ça est doué de la capacité la plus exquise d’engendrer des manifestations éloquentes de la matière organisée selon des formules mathématique superlatives, en vue de produire le déploiement sans fin d’êtres vivants interactifs sur notre planète et – nous le croyons – dans d’autres mondes que nous découvrirons bientôt.

Si on élague les disciplines spirituelles des méthodes, techniques, outils ou formations, on atteint une vérité simple et inébranlable, à savoir que tout ce qui existe n’est que pure énergie. Tout est conscience ; tout est vibration. Les grands penseurs scientifiques affirment désormais qu’il en va de même dans leurs laboratoires. Alléluia !

Sur le blog de Francesca - Extrait des propos de Patricia Cori dans son livre : Au-delà de la Matrice

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