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Les secrets de l’aura du Christ

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2015

L'aura du christ

L’aura est un champ magnétique fait d’énergie, d’âme, d’esprit, qui entoure chaque créature vivante. Comment harmoniser notre aura avec celle du Christ pour bénéficier de son pouvoir d’éveil et de transformation ? La clé est contenue dans l’idée de la fraternité universelle. Cette idée est vivante et il est donc tout à fait possible de communiquer avec elle et de l’accueillir en soi. Par résonance, elle fera fleurir en nous les meilleures forces et capacités. Son énergie permet de trouver un sens positif à la vie, de dépasser des problèmes d’ordre physique, émotionnel, mental ou spirituel qui paraissent insurmontables, d’obtenir des réponses inattendues à ses questions et de découvrir en soi des richesses inconnues.  

Une ancienne légende raconte que le maître Jésus a accompli tous ses miracles grâce au mystérieux pouvoir d’un vêtement de Lumière qui appartenait à l’homme originel. Alors qu’il était chassé du paradis, le Père de l’humanité aurait emporté avec lui ce vêtement magique. Par la suite, il se serait transmis de père en fils au sein des écoles des mystères. Jésus l’a reçu à son tour des mains du prophète Élie réincarné et des Esséniens, gardiens du savoir secret de l’Égypte du Pharaon. La robe de lin blanc que portaient les Esséniens était une image de cette robe de Lumière. Elle incarnait leur idéal d’atteindre cette conscience intérieure de l’unité et de l’amour fraternel. Cette robe est connue aujourd’hui sous le nom d’« aura ». Il s’agit d’un champ magnétique fait d’énergie, d’âme et d’esprit qui entoure chaque créature vivante. Cette belle légende signifie que, par son travail sur lui-même, Jésus était parvenu à réaliser en lui un état d’être divin. Son aura a alors fusionné avec celle de l’homme originel et c’est pour cela qu’il a rayonné autour de lui l’amour fraternel. C’est la qualité de notre aura qui détermine toute notre vie : nos réussites, nos échecs, la qualité de nos rencontres, la provenance de nos inspirations, de nos pensées, de nos sentiments, de nos désirs, de nos actes… L’aura atteint sa perfection par l’acquisition de la fraternité intérieure.

 

Prendre soin de son intériorité

Imaginez un homme qui aime se reposer auprès d’un petit point d’eau qu’il a aménagé dans son jardin. Dans ce lieu, il se sent inspiré et il écrit de très beaux poèmes. Voilà qu’un jour, tous ses voisins décident de jeter leurs poubelles dans son jardin si bien qu’il se transforme en décharge. Les rats, les moustiques, les maladies y élisent leur demeure. Notre homme a perdu le lieu de son âme, il ne peut plus écrire de poésies. Ce jardin existe en chacun. Nous nous sommes tellement écartés de la nature que nous avons perdu notre nature et que nous acceptons que n’importe quoi entre dans notre espace intérieur. Le moi est la chose la plus précieuse que possède chaque homme venant en ce monde. Il est une étincelle de feu, un joyau de l’âme, une terre fertile. Il est surtout de plus en plus ignoré et dénaturé. On a fabriqué un moi artificiel, inconscient, mécanique. Les humains tournent de plus en plus leur attention vers des choses physiques, visibles, grossières, alors que le moi est spirituel dans son essence, invisible, subtil. Mon expérience m’a montré qu’il n’y a pas d’autre sécurité pour l’humanité que celle qui puise son origine dans l’ennoblissement du moi. C’est une science et un art initiatiques. Coupez un homme de sa nature divine, de sa conscience profonde et tout peut arriver. Un tel être ne réfléchira plus, sa conscience sera en sommeil, il prendra tout pour de l’argent comptant. On lui dira qu’il est dans une démocratie et il le croira. On lui dira que c’est lui qui pense sa vie et il sera d’accord. On lui dira que c’est normal de déverser les poubelles dans son jardin et non seulement il sera d’accord, mais en plus il y prendra goût. Sur la croix de son supplice, le Christ a prononcé cette parole terrible : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Lorsqu’il dit : « Ils ne savent pas ce qu’ils font », il sous-entend qu’ils sont sous l’emprise du mensonge, car ils n’ont pas trouvé l’être vrai en eux.

 

Purifier son aura Par l’éveil du moi supérieur

Dans toutes les cultures, la méditation est une science et un art de l’éveil, qui consiste à devenir conscient de tout ce qui se passe en soi. C’est une vigilance, une observation, une analyse de soi. Au bout d’un certain temps de pratique, la conscience s’élargit naturellement et accède à une réalité plus subtile, à ce que l’on pourrait appeler une conscience supérieure commune. C’est un état d’être absolument naturel que tout homme peut atteindre avec de l’entraînement. Beaucoup de traditions ont appelé cet état d’être : le moi supérieur et éternel de l’homme. Elles le décrivent comme le fondement de l’expérience de la vérité, l’origine de l’amour et de la sagesse dans l’humanité et dans le monde. Lorsque l’on en fait l’expérience, on s’aperçoit aussitôt que cette conscience supérieure est la véritable gardienne et l’inspiratrice de tout ce qui fait la beauté et la grandeur de l’âme humaine dans le monde. Chacun peut y avoir accès. Si ce chemin n’est plus connu ni enseigné d’une façon saine, libre et naturelle, c’est parce que le monde est sous l’emprise d’un mensonge et qu’il est souvent plus facile d’être faux, artificiel que de trouver sa vraie nature et de l’exprimer. La clé de ce chemin est l’observation et l’étude de soi. L’attention doit se tourner vers l’intérieur, vers ce qui est ordinairement invisible en soi. Alors l’éveil se produit naturellement, l’intelligence s’illumine, la lumière se fait dans la conscience. Vous vous apercevez que quoi que vous fassiez les-secrets-de-l-aura-du-christdans la vie, il y a une conscience supérieure aimante qui vous observe et vous protège. 

La porte pour l’atteindre est l’entrée consciente dans le silence et dans le calme profond. Lorsqu’elle est éveillée, cette conscience-témoin peut changer toute la vie. Elle éclaire sur ce qui ne va pas et elle donne la force de créer l’harmonie. Certains l’ont appelée le Christ, d’autres le Bouddha, le Messie ou la parole de Dieu dans le silence…

 

Par Olivier Manitara Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pour commencer à y voir plus clair

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2015

marcher en silence

Méditer c’est s’arrêter. S’arrêter de faire, de remuer, de s’agiter. Se mettre un peu en retrait, se tenir à l’écart du monde. Au début, ce qu’on éprouve semble bizarre : il y a du vide (d’action, de distraction) et du plein (tumulte des pensées et des sensations dont on prend soudainement conscience). Il y a ce qui nous manque : nos repères et des choses à faire ; et, au bout d’un moment, il y a l’apaisement qui provient de ce manque. Les choses ne se passent pas comme à « l’extérieur », où notre esprit est toujours accroché à quelque objet ou projet : agir, réfléchir sur un sujet précis, avoir son attention captée par une distraction.

Dans cette apparente non-action de l’expérience méditative, on met du temps à s’habituer, à voir un peu plus clair. (…) Nous sommes entrés en nous-mêmes, pour de vrai. C’était tout près de nous, mais nous n’y allions jamais. Nous traînions plutôt dehors : à notre époque de sollicitations effrénées et de connexions forcenées, notre lien à nous-mêmes reste souvent en friche. Intériorités abandonnées… Les extériorités sont plus faciles, et plus balisées. Alors que l’expérience méditative est souvent une terre sans sentiers. Dans la pièce où médite le philosophe, il y a moins de lumière, alors il faut ouvrir les yeux plus grand. En nous-mêmes aussi : il y a moins d’évidences et de réassurances, alors nous avons à ouvrir plus grand les yeux de notre esprit. On pensait, on espérait trouver le calme, le vide. On tombe souvent sur un grand bazar, du tapage, du chaos. On aspirait à la clarté, on a trouvé la confusion. Parfois, méditer nous expose à l’angoisse, à la souffrance, à ce qui nous fait souffrir et qu’on évitait en pensant à autre chose, en s’agitant ailleurs.

 

CALMER L’AGITATION

Comme ça avait l’air simple, vu de dehors ! On imaginait que s’asseoir et fermer les yeux pourrait suffire. Mais non, ce n’est qu’un début, un indispensable début, ça ne suffira pas. Alors ? Alors, il va falloir travailler, apprendre à regarder, à rester là, légèrement hors du monde, comme ça, assis, les yeux fermés. Apprendre à laisser décanter le tumulte. La première étape à franchir, c’est celle-ci : rester immobile et silencieux assez longtemps pour qu’une sorte de calme vienne envelopper le bavardage de notre esprit, suffisamment pour commencer à y voir un peu plus clair. Sans forcer, sans vouloir : cela relancerait le désordre, sinon. Laisser faire et laisser venir, de l’intérieur… Parfois, il faut attendre longtemps. On ne peut pas accélérer ce mouvement. On voudrait bien, mais non : la méditation, ça prend du temps. Et il y a même des jours où rien ne viendra. Scandaleux, n’est-ce pas ? Et anachronique, à notre époque de promesses d’instantanéité et de garanties de résultats. Les sagesses zen fourmillent de contes à ce propos. Comme celui-ci, dans lequel un élève demande à son maître : « Maître, combien de temps me faudra-t-il méditer pour atteindre la sérénité ? » Après un long silence, le maître répond : « Trente ans. » L’élève accuse le coup : « Euh… C’est un peu long. Et si je mets les bouchées doubles, si je travaille dur, jour et nuit, si je ne fais plus que ça ? » Le maître garde le silence un très long moment et fi nit par lâcher : « Alors, cinquante ans… »

 

COMMENCER À Y VOIR PLUS CLAIR

Nous nous sommes arrêtés, donc, nous nous sommes assis et nous avons fermé les yeux. Non pour dormir, non pour nous reposer, mais pour comprendre : comprendre ce que l’on éprouve, clarifier ce désordre, qui n’est que l’écho du monde en nous. Comprendre qu’il y a deux voies : celle de l’intelligence (intervenir, agir, malaxer la réalité avec notre volonté, notre lucidité, nos efforts) et celle de l’expérience (accueillir la réalité toute nue et la laisser nous recouvrir, nous habiter, nous imprégner, dans un mouvement de lâcher prise intensément attentif). Dans les deux cas, intelligence ou expérience, nous restons en lien avec le monde. Pour mieux le comprendre ou mieux l’éprouver. Les deux voies sont parfaites, chacune dans son genre. Il n’y a pas de supériorité de l’une sur l’autre. Nous avons besoin des deux. Et de maintenir les deux en état de marche et de vivacité. Disons pour simplifier que la première voie est celle de la réflexion philosophique. Et la seconde (accueillir le monde sans forcément le penser, ou le penser mais sans mots, ou au-delà des mots), celle de la pleine conscience. C’est cette approche méditative en pleine conscience qui nous intéresse…

 

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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