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Les cristaux de la glande pinéale

Posté par othoharmonie le 8 octobre 2015

 

corps subtil 1Pendant qu’a lieu le re-câblage du corps physique, il se passe des choses, notamment dans le cerveau. Le corps physique évolue et l’un de ces changements a lieu dans la glande pinéale, bien qu’il ne se limite pas à cet endroit. Des cristaux se forment dans la glande pinéale; ce sont des structures cristallines qu’on appelle des cristaux de calcite qui se forment dans le cerveau de tous les êtres humains. Ces cristaux peuvent être réglés pour recevoir des fréquences électromagnétiques. Vous communiquez les uns avec les autres grâce à des fréquences électromagnétiques (des ondes hertziennes) qui traversent votre corps. De nombreuses fréquences électromagnétiques traversent votre corps physique en ce moment même, sans vous gêner, et cependant vous n’en êtes pas conscients. Cela va changer . Au début, vous pourrez en devenir hyper-conscients, ce qui peut s’avérer problématique. L’idée est d’amener cela dans votre zone de confort pour que cela vous active. Il ne s’agit pas d’une course, très chers. Prenez s’il vous plaît votre temps et ne surmenez pas trop votre corps qui doit prendre son temps. Cependant, vous le ferez et le ferez bien.

Les cristaux qui se sont formés dans votre cerveau y sont depuis un certain temps. En réalité, vous avez commencé votre seconde vague de réalisation il y a environ 60 ans, et c’est à cette époque que les cristaux ont commencé à se former. Ces cristaux sont restés à l’état latent dans votre corps, attendant d’être activés. La science médicale commence maintenant à les observer et on peut vraiment voir des images de ces cristaux qui se forment dans la glande pinéale. Selon la science, ils sont problématiques parce qu’ils causent des problèmes dans la structure physiologique humaine. On croit avoir fait quelque chose de faux.

Nous vous le disons, cela fait naturellement partie de votre évolution et c’est même passionnant, parce qu’on peut maintenant le voir. Vous parlez de communication interne et de télépathie, vous la pratiquez même. Bien que la plupart des gens sachent qu’elle est réelle, elle était toujours un peu hors de portée pour la plupart d’entre nous, mais plus maintenant. Comment peut-on activer les cristaux et les utiliser de la meilleure façon ? Et, plus important encore, comment les régler pour ne capter qu’une station à la fois ?

C’est le problème qu’auront beaucoup d’entre vous en activant ces cristaux. Les cristaux sont vivants; la Terre est vivante. C’est un être sensible, très conscient. Et si les cristaux sont le niveau vibratoire le plus élevé du règne minéral, on peut aisément dire que les cristaux sont la matière cervicale de la Terre. En fait, les cristaux constituent la glande pinéale de la planète Terre.

Les cristaux qui vous sont le plus familiers sont des niveaux vibratoires les plus élevés du règne minéral. C’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre vous parlent aux cristaux, en reçoivent des messages ou conservent des souvenirs dans des cristaux. Vous possédez la gamme vibratoire la plus élevée du règne animal et de même, les cristaux possèdent la plus haute du règne minéral.

LE GROUP sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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l’équinoxe d’Automne et L’équilibre

Posté par othoharmonie le 6 octobre 2015

 

Nous sommes dans la saison de l’équinoxe d’automne. L’équinoxe d’automne tombe un jour particulier chaque année, tout comme l’équinoxe de printemps. Bien qu’il soit un moment précis dans le calendrier, c’est également une saison. Rien ne se produit rapidement dans le temps et l’espace. Sans entrer dans des détails scientifiques quant à l’explication des 2 phénomènes, en voici une courte – le terme «équinoxe» vient du latin aequus, signifiant «égal» et nox, signifiant «nuit».

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Les deux hémisphères de la Terre reçoivent les rayons du soleil de manière égale lors des équinoxes. Ce qui a pour effet d’avoir le jour approximativement aussi long que la nuit. Dans le monde, des mythes ont été contés pour expliquer ce phénomène. Quelques histoires racontent que la Déesse s’en va jusqu’au printemps et qu’alors, elle revient. Dans d’autres, c’est le Dieu qui s’en va. L’Homme Vert («Greenman») est actif lorsque tout est vert sur Terre, du coup, il devient logique que l’équinoxe d’automne annonce son dé- part. Dans d’autres histoires c’est la Déesse qui apporte la superbe, généreuse abondance durant la saison de la croissance, et l’équinoxe d’automne marque son départ, le moment de se poser et se reposer.

Et nous voilà à l’équinoxe d’automne. Le jour a raccourci et nous revenons à l’endroit où le jour et la nuit, l’obscurité et la clarté sont égales – la période où les nuits rallongent et les jours raccourcissent. Chacun de ces événements est un moment liminal dans le temps. Avec eux, nous sommes à une charnière, passant d’un instant à un autre. Au printemps, on change et le soleil commence à prodiguer plus de lumière et cela allonge les jours. A l’automne, nous nous détournons du soleil et les jours commencent à raccourcir. Pour les deux périodes, au moment limite, le jour et la nuit sont égaux

Dans l’histoire du peuple d’Irlande, il y eut cinq invasions. Celle qui nous concerne actuellement, est celle de la venue des Gaëls en Irlande. Ils ont navigué jusqu’à la rive et au fil du temps vaincu les Tuatha Dé Danann.

Dans la conquête, les Gaëls ont partagé l’Irlande entre les deux peuples. Les Thuata Dé ont reçu leur part et les Gaëls ont pris tout le reste. Malgré tout, après leur conquête, les Thuata Dé, en représailles, ont détruit le blé et le lait de leurs conquérants. A cause de cela les Fils de Mil (les Gaëls) ont passé un pacte avec le Dagda, le Roi des Thuata Dé et ont accepté de rendre les offrandes aux Thuata Dé pour leur générosité. Depuis ce temps, les peuples d’Irlande, se remémorant ce traité, ont continué à vénérer le Peuple de la Déesse Dana en leur versant des libations de lait et en leur faisant des offrandes de fruits de la terre.

En fait, je crois que toutes les lois et coutumes d’hospitalité (hôtes et invités) des anciens celtes proviennent de ce pacte. Le fil conducteur de ces histoires est que l’équinoxe est une histoire d’équilibre. L’équilibre dans tous les aspects de nos vies. L’équilibre entre le jour et la nuit. L’équilibre entre le travail et le divertissement. L’équilibre entre le fait de recevoir et celui de donner. Une part de cela consiste à être reconnaissant, mais c’est bien plus que la gratitude. Ça doit pendre la forme du don. Je pense à quelque chose mais il n’y a ni le temps ni la place pour en parler pleinement. Je serai brève. Je travaille avec les runes scandinaves comme forme de divination. Les runes sont un ancien alphabet, qui, comme des symboles, représentent des histoires et les significations derrière ces histoires. Je pense à la rune «Gebo». Gebo signifie «don».

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Ça reflète les valeurs de la générosité, de l’ouverture, et le fait d’être un bon hôte. Gebo nous demande de prendre un acompte de nos cadeaux, de nos propres talents que nous partageons avec le monde. C’est aussi le fait d’être conscients de notre gratitude et de savoir où nous avons reçu des offres de la part des autres. Il nous est demandé d’explorer notre capacité au don. Donner est relatif à notre aptitude à nous partager nous-mêmes avec le monde qui nous entoure. Les cultures nordiques valorisaient la générosité comme une attitude envers tous les individus d’une même tribu ou bien apparentés. De la même manière il nous convient de cultiver une manière de vivre généreuse. C’est la dernière moisson des cultures. Le temps est venu de rassembler et de préparer pour les mois d’hiver – Le temps de l’obscurité arrive. C’est un temps de célébration de la générosité de tout ce que nous avons récolté dans nos moissons.

C’est un temps pour reconnaître notre propre récolte personnelle. Et parce que c’est une période d’équilibre – un temps égal d’obscurité et de lumière – c’est également un temps pour offrir des remerciements et renouer avec les cœurs reconnaissants en offrant ces cadeaux en retour. C’est comme cela que j’espère appliquer Gebo à la signification de l’équinoxe d’automne, que je n’ai pas seulement à apprécier ce que j’ai reçu, mais que j’ai également une responsabilité sacrée de donner en retour, pas seulement en offrandes aux déités que j’honore pour cette récolte, mais sous toute forme qui m’apparaît, de toutes les manières que je puisse le faire. Deanne Quarrie, D. Min. est une Prêtresse de la Déesse, et auteur de cinq livres. Elle est professeur adjoint à l’Ocean Seminary College, prodigue des cours de Druidisme, Création Rituelle, Éthique pour le Clergé Néo-Païen, Exploration de la prise de Conscience Sensorielle et d’autres cours sur la magie naturelle. Elle a fondé Global Goddess, une organisation mondiale ouverte à toutes les femmes qui honorent une forme de divinité féminine, ainsi que The Apple Branch – une association de la branche Dianique où elle encadre en anglais des femmes du monde entier qui souhaitent devenir prêtresses.

par Deanne Quarrie, traduit par Lilith

(Magazine Lune Bleue/ LWE) et le lien : http://la-lwe.bbfr.net .

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Nous pouvons briser nos chaînes

Posté par othoharmonie le 6 octobre 2015

 

Brisons nos chaînesNous avons tous et chacun la disposition à changer notre vie pour le mieux. Notre vie présente peut changer en un clin d’œil, en changeant simplement l’image que l’on perçoit du monde. Notre vie est un miroir. Elle est l’irréprochable éclat de ce que l’on imagine et de ce que l’on a comme agencement émotionnel et moral dans notre cœur.

Nous pouvons changer nos problèmes en bonheurs, nos chagrins en joies, nos peurs en assurances et nos ressentiments en oublis. Il n’en tient qu’à nous de briser nos chaines et d’élever nos âmes vers le ciel de la délivrance.

La qualité et la valeur de notre vie est en harmonie avec notre pouvoir de l’imagination et de ce que l’on estime. Nos émotions, alliées à nos pensées, forment le moule de notre monde, de notre réalité objective. Tout ce que l’on voit et perçoit devient partie intégrante de notre âme.

Le monde des formes vient de l’intérieur. L’intérieur est notre inconscient, qui est un monde dans un monde. L’inconscient est le champ de force de toutes nos mémoires, croyances, pensées et sentiments. Le subconscient n’est pas séparé de notre conscience objective, il est seulement dissimulé sous forme de banque de souvenirs. Il est comme un réservoir renfermant tout ce que l’on est.

Pour changer notre vie, nous devons mettre du temps et des applications conscientes à la compréhension spirituelle, à la science de la vie. Par la pratique, par la constance nous pouvons changer telle une chenille en papillon. Toutefois ne visons pas la perfection, mais l’amélioration constante, jour après jour.

Choisissons un mode de vie sain. Une vie de tempérance, d’équilibre et de satisfaction. Cessons de courir et de tout vouloir d’un seul coup. Vivons pleinement chaque segment de la journée. Apprécions et ressentons la vie en nous et à l’entour de nous.

Soyons bons avec nous-mêmes!  Soyons authentique ! Faisons de notre mieux ! Écoutons ce que notre conscience nous dit et ce que notre corps nous dit dans le moment ! Pensons et agissons d’une manière positive. Concentrons-nous sur les bons côtés de la vie – même si cela n’est pas toujours facile. Entretenons des pensées constructives et réalistes  à longueur de journée. Nous serons plus en paix avec nous-mêmes et par conséquent – plus heureux.

Propageons la bonne humeur et l’amour à tous ceux qui croisent notre chemin autant que possible. Soyons lumière et faisons rayonnez notre étoile intérieure dans ce monde, pour ainsi éveiller les consciences et les cœurs de tous nos frères et sœurs terrestres.

P.S. Vous pouvez copier ou distribuer ce texte en autant que vous citez l’auteur et mettez un lien vers cette page.

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Comment progresser sur le sentier lumineux

Posté par othoharmonie le 4 octobre 2015

sentier lumineuxEt bien tout simplement en ouvrant votre cœur, comme nous vous l’avons dit maintes et maintes fois, en libérant l’Être de Lumière qui est en Vous, enfoui au plus profond de votre cœur.

Ainsi que nous vous l’avons déjà dit maintes et maintes fois : SOYEZ et RAYONNEZ et vous verrez votre sentier devenir de plus en plus lumineux.

N’oubliez pas mes chers Enfants de la Terre qui lise ces lignes, Vous êtes venus cette fois-ci expérimenter la Lumière. Aussi, ouvrez votre cœur et laissez s’exprimer la Lumière en vous… rejoignez celles et ceux qui progressent sur le chemin de leur évolution, sans regarder derrière eux. Vous verrez votre Sentier devenir de plus en plus lumineux, sans jamais faiblir, car les lois divines sont ainsi conçues que la Lumière ne peut faiblir, mais seulement éclairer de plus en plus.

Ce qui veut dire que ne pouvant régresser sur le chemin de votre évolution, mais seulement progresser, votre Sentier ne peut devenir que de plus en plus lumineux.

Oui bien sûr, par moments, vous pouvez penser qu’il est très sinueux, qu’il fait des détours inutiles… mais en fait, il ne fait que suivre scrupuleusement le chemin de votre évolution, dont vous êtes le seul maître et sur lequel, seulement vous et vous seul, pouvez décider de progresser ou de faire une pause. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, votre Sentier Lumineux n’en est que l’expression… lumineuse !

Vous avez le choix de votre propre progression

Comme vous le savez, tous les chemins mènent au même endroit : à la Lumière. Vous, vous avez le choix de la direction, de l’orientation, qui vous fera avancer plus ou moins directement, plus ou moins rapidement.

N’oubliez pas que vous êtes un Être de Lumière, sous une carapace physique… le véhicule de votre âme… Vos proches, les personnes que vous rencontrez, que vous croisez, le sont aussi. Votre seule différence avec eux, qui n’a rien à voir avec le véhicule, est la volonté, les que vous pouvez faire, de progresser plus ou moins rapidement qu’eux.

Vous avez toutes et tous la capacité de sortir des zones de différents niveaux de lumière pour rejoindre La Lumière… Mais, le souhaitez-vous en votre âme ?

Aujourd’hui, beaucoup d’entrevous semblent se trouver à une « croisée » de chemins : soit emprunter une voie permettant d’accéder rapidement à la Lumière, soit de faire un détour, de prendre son temps… Consciemment, ils sont dans l’expectative, ne savent plus quoi penser, car ils ne parviennent pas à percevoir ce que leur âme a choisi pour leur futur proche… Ils s’en remettent aux voix de la désinformation et laissent à d’autres le choix de leur direction…

Respectez le choix des autres

C’est peut-être aussi cela qu’ils sont venus expérimenter… aussi, respectez leur choix, même si vous pensez qu’ils sont dans l’erreur et que vous souhaitez « pour leur bien » les ramener dans le « droit chemin ».

Oh non ! Ne faites rien de tel, laissez-les expérimenter pleinement ce que leur âme a choisi d’expérimenter ; ce qui correspond à leur degré d’avancement sur le chemin de leur évolution… se traduisant bien entendu par la luminosité de leur Sentier.

Aussi, je vous en conjure mes chers Enfants de la Terre, ne portez pas de jugement sur les faits et gestes des autres, sur leurs décisions, sur leurs choix d’expérimentation. Laissez-les vivre pleinement leur expérience avec leur libre arbitre total, sans chercher à les influencer dans un sens ou un autre, car ce faisant, vous influez également conjointement sur votre propre progression.

Aidez celles et ceux qui le souhaitent, mais n’essayez pas d’imposer votre propre vision de la progression aux autres, qu’ils soient proches, voire très proches de vous ou non. Soyez aidant à ceux qui e souhaitent, mais pas influents, même en pensées… car vos pensées ont un énorme pouvoir, bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer.

 

Le moteur de votre progression : l’Amour !

Par contre, oui, envoyez des pensées d’amour à tous ceux, sans distinction, que vous voyez être dans des endroits, des zones, très faiblement éclairés, manquant de cette énergie de Lumière dont vous disposez.

La seule façon de progresser et d’aider tous ceux qui le souhaitent, à progresser, se résume à un seul mot : AMOUR. C’est l’amour de l’autre que vous pouvez l’aider à rendre son Sentier de plus en plus lumineux, et non pas lui disant « fais ceci » ou « fais cela »…

La lumière est disponible pour tous, pour tous ceux qui le souhaitent. Mais encore faut-il qu’ils le souhaitent maintenant…

 

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Les pratiques d’enracinement (ancrage)

Posté par othoharmonie le 4 octobre 2015

arbreAncrage, enracinement… bien des théories, des exercices, des pratiques circulent sur le concept de l’ancrage. Afin d’installer, de renforcer ou de parfaire notre ancrage, il suffirait pour certains de marcher pieds nus dans l’herbe, pour d’autres de visualiser des sortes de racines partant de dessous nos pieds et plongeant dans le sol et, pour quelques autres encore, de pratiquer le jardinage ou bien la pêche en rivière. En clair, toute une liste d’activités certainement très agréables, apaisantes, réjouissantes mais indéniablement temporelles, provisoires, ponctuelles et surtout fondamentalement extérieures.

L’ancrage n’est pas un exercice, une attitude ou une posture. L’ancrage est un état. Et il ne se décrète ni ne s’improvise. L’ancrage est intimement lié à l’incarnation, c’est à dire, littéralement, au fait de descendre dans la chair, dans le corps. Et que doit-on y descendre, dans ce corps ? Tout simplement notre conscience ou notre esprit, pour employer un terme plus vaste. Evidemment ! s’exclameront peut-être certains, persuadés de ne rien apprendre de neuf dans ces propos. Certes, sauf que cette descente complète est le processus spirituel le plus difficile, exigeant, confrontant et inconfortable que je connaisse. Sans une acceptation pleine, entière, inconditionnelle de notre incarnation, dans tous ses aspects (géniteurs, sexe, apparence physique, attributs psychiques, contextes familial, social, culturel, éducatif, géographique etc…) il n’y a point d’ancrage véritable. Sans une exploration courageuse (dans le sens étymologique du « cœur qui agit ») de nos sombres cavernes intérieures, il ne peut y avoir d’ancrage.

L’ancrage n’a que peu à voir avec le fait d’être « terre à terre », cartésien, organisé, pragmatique ou capable d’affronter sans faillir les aléas apparents de l’existence. L’ancrage n’est pas l’apanage des hommes ni de celles et ceux qui se définissent comme « réalistes » et ayant les « pieds sur terre ». L’ancrage n’est certainement pas la caractéristique de ceux qui occupent leur corps et uniquement leur corps. Ceux-là sont simplement enfermés dans la paisible illusion conférée par leurs cinq sens. Cela ne suffit pas non plus d’aimer la nature, les animaux ou se sentir en communion avec les Devas de la forêt pour asseoir son ancrage à la Terre.

Il est à concevoir que la Terre porte dans les cinquante premiers kilomètres de sa croute de bien lourds stigmates qui correspondent à tout le sang versé par l’humanité depuis ses origines, au travers de toutes les guerres, tous les massacres, sacrifices, meurtres, abattages et outrages qui n’ont cessé de se perpétrer depuis des milliers et des milliers d’années. Ne nous leurrons pas davantage. Ce sang, véhicule de l’esprit dans le corps, qui a imprégné le sol en des quantités dont chacun peut sans difficulté imaginer l’importance, ne s’est pas transformé miraculeusement en une belle eau cristalline en entrant au contact de la Terre. Ce sang est, de fait, resté porteur d’une information vibratoire très lourde, sorte d’empreinte émotionnelle de fréquence remarquablement basse qui demeure en quelque sorte prisonnière de cette épaisse couche sous nos pieds, tant que le niveau de conscience présent en « surface » ne permet pas une spiritualisation effective de la matière (toujours dans le sens de faire descendre l’esprit dans la densité). Cette spiritualisation de la matière doit s’harmoniser avec l’œuvre alchimique accomplie en permanence par le collectif des arbres-maîtres (que bon nombre d’humains s’emploient d’ailleurs savamment à abattre, en toute inconscience). En outre, à ce réseau souterrain d’épais ruisseaux émotionnels s’ajoute l’infinité des corps meurtris, porteurs de toutes ces mémoires traumatiques et qui ont été enterrés dans cette même couche.

Et ce redoutable magma énergétique se traverserait, se franchirait par la simple intention ou en s’aidant de quelques visualisations et autres méditations guidées ? Non. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur. En clair, il ne faut espérer s’ancrer durablement au cœur de la Terre si un travail intensément déterminé d’illumination de nos grottes intérieures n’a pas été produit, un travail d’éclairage, d’accueil, d’Amour de nos propres ombres et « monstres » enfouis, un travail réalisé sans jugement, avec le plus haut degré de compassion vis-à-vis de nous-mêmes. De la même manière, nos « promenades » dans les plans subtils ne peuvent nous mener ailleurs que dans les méandres du bas astral si nous n’avons pas épuré certaines fréquences de notre personnalité et clarifié sans équivoque nos intentions.

En effet, lorsque nous tentons de nous ancrer sans passer par ce travail préalable de mise en lumière, nos racines entrent, lors de leur déploiement vers le cœur de la Terre, en résonance avec les fréquences lourdes contenues dans le sol (tant au niveau physique que vibratoire) et font gronder nos propres « monstres » intérieurs. Et cela, personne ne le supporte bien longtemps.

De quoi la Terre a-t-elle besoin en ces temps d’Ascension ? Précisément de piliers d’ancrage de la lumière, c’est à dire d’hommes et de femmes conscients de leur essence, de leur rôle dans le processus d’implantation de la nouvelle grille magnétique de la planète, des êtres qui conscientisent le fait que leur puissance de rayonnement et de manifestation de l’Amour inconditionnel dépend de leur capacité à s’incarner pleinement dans leur corps.

L’ancrage est l’attribut des maîtres, c’est à dire de ceux qui ont atteint l’équilibre entre le haut et le bas, entre le vertical et l’horizontal, qui sont expression juste de cette fameuse « croix » de l’incarnation. De ceux qui, par leur conscience fusionnée, honorent avec un amour identique leurs corps, leur âme et leur esprit.

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Source : http://www.lasymphoniedesames.com

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Sortez vos Vies d’Ange

Posté par othoharmonie le 3 octobre 2015

 

Ce titre vous fait rire?

notre vie d'angePourtant regardez ce qui se passe régulièrement dans votre vie : combien de temps passez-vous chaque semaine à chercher à vous améliorer, vous perfectionner, grandir et évoluer? Lorsque vous êtes constamment à la recherche de la « petite bête noire » qui vous empêche d’accéder à votre Lumière intérieure, c’est comme si vous sortiez de la maison chaque nuit pour vérifier que personne ne vient fouiller dans vos poubelles… Non seulement ce serait épuisant et inutile, mais cela vous empêcherait de jouir pleinement d’un sommeil réparateur! 

Ainsi en est-il dans votre vie actuelle : si vous êtes constamment occupé à arracher les mauvaises herbes dans votre jardin intérieur, il ne vous reste plus de temps pour contempler les milliers de fleurs qui sont continuellement en train d’éclore : les innombrables qualités, vertus, dons, richesses et sagesse déjà présents en vous-même! 

Si vous croyez aux vies antérieures, posez-vous la question : se pourrait-il que, à une époque ou une autre, vous ayez déjà été un ange… céleste ou terrestre? Que vous ayez mené une vie exemplaire, connecté à votre véritable lumière intérieure, serein, épanoui et rayonnant? Songez-y vraiment : l’univers étant en constance recherche d’équilibre, il est mathématiquement impossible que vous n’ayez accumulé que du « mauvais karma » à travers toutes ces existences terrestre ou interplanétaires… 

Et si, au lieu de « vouloir » sans cesse travailler (dur) sur vous-même, vous vous permettiez de partir à la recherche de toutes les « bonnes actions » que vous auriez pu faire dans votre vie (ou les précédentes) pour enfin reconnaître et « assumer » toute l’énergie POSITIVE (dharma) déjà présente en vous-même? 

Imaginer que, chaque fois que vous avez aidé quelqu’un, que vous l’avez écouté, accompagné, que vous avez été généreux envers une cause, un projet, un animal ou autre, vous ayez pu « engranger » des « bons points »… Que, dans l’au-delà, vous fassiez partie d’un « club fidélité » où vous avez accumulé des « points-mérite » pour chaque geste empreint d’amour et de lumière que vous avez posé… S’il s’agissait de points « Air Miles » certains pourraient probablement faire le tour de la planète plusieurs fois! 

Par conséquent, lorsque vous avez des moments difficiles, que vous vous sentez fragile ou ébranlé par les aléas de la vie, imaginez que vous vous permettiez de « réclamer vos points récompenses ». Songez-y vraiment : n’est-il pas temps de récolter les fruits de tout ce que vous avez semé, en vous et autour de vous, depuis si longtemps? Se pourrait-il qu’il y ait en vous beaucoup plus de lumière que de noirceur… et qu’il soit temps d’oser enfin révéler au grand jour l’Ange (En-Je) merveilleux que vous cachez si précieusement dans le secret de votre cœur? 

Aujourd’hui, en ce moment même, votre âme, votre Essence divine, vous invite à prendre conscience que la partie de vous qui a peur de se dévoiler, qui n’ose pas se trouver « beau, bon, efficace et lumineux » : c’est encore juste l’ego, de l’orgueil à l’envers! 

Car minimiser qui nous sommes  n’est pas moins « égoïste » que de s’enfler la tête… tout simplement parce qu’en refusant de se dévoiler dans toute sa splendeur, nous « empêchons » les autres d’avoir accès à notre Lumière, nous les « privons » de notre sagesse… et, pire encore, n’ayant pas d’exemple à suivre, il leur est sans aucun doute difficile d’accueillir leur propre connexion divine… 

Actuellement, au plan mondial, les personnes ouvertes, conscientes et éveillées sont accablée par le syndrome de l’enfant illégitime. C’est comme si vous saviez de quelle famille (divine) vous provenez mais que, alors qu’au fond vous n’aspirez qu’à exprimer vraiment qui vous êtes, vous vous sentez indigne, presque honteux de ne pas être encore assez « parfait » aux yeux de ceux que vous admirez ou qui, « officiellement » vous gouvernent (que ce soit au plan religieux ou institutionnel); que parce que vous ne maîtrisez pas « parfaitement » vos dons, votre capacité de co-création et/ou de guérison, vous vous sentez inférieur aux autres et, donc, déconnecté de votre partie lumineuse… 

N’est-ce pas là la plus grande illusion qui soit? Emprisonner votre Lumière de crainte qu’elle « aveugle » les autres n’est-il pas un leurre qui vous maintient dans la dualité? Croyez-vous vraiment que vos échecs, vos erreurs ou les événements douloureux de votre existence aient pu « entacher » votre Moi divin? 

Et si votre défi existentiel ne consistait plus à « sortir vos vidanges intérieures », mais bien à reconnaître, affirmer et rayonner ouvertement de toute la beauté et la magie présente dans toutes vos cellules vivantes? 

Vous n’êtes pas plus lumineux, brillant, divin et illimité que les autres : nous le sommes tous, de par notre filiation divine. Or, tout un chacun attend que l’autre ose se révéler pour ensuite, peut-être, emboîter le pas… Et la roue tourne, et la souffrance s’éternise. 

Revenez à l’intérieur de vous. Branchez-vous sur cette fabuleuse énergie cosmique qui vibre dans chaque parcelle de votre Être depuis des éons… et osez laisser enfin émerger cette puissance co-créatrice infinie afin qu’elle éclaire votre route, transforme votre vie… et illumine vos semblables tel un phare dans la tempête! 

N’est-ce pas là le plus beau cadeau que vous puissiez faire à l’humanité toute entière? Il suffit de dire « oui » ! 

Message de Bianca Gaïa/Diane LeBlanc, transmis le 10 septembre 2015,

aussi disponible sur www.biancagaia.com. Vous êtes invité à faire circuler ce texte

à condition d’en respecter l’intégralité, y compris ces quelques lignes.

Voir sur La vie Devant Soi : http://devantsoi.forumgratuit.org/

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Rien ne manque à cet instant

Posté par othoharmonie le 3 octobre 2015

Tant que vous n’y ajoutez rien

chemin-du-coeurDans ce livre Malo Aguettant constate que toute la beauté de l’être humain réside dans la possibilité de s’interroger sur sa véritable nature et de la réaliser. L’enjeu de ce qu’il est convenu d’appeler la quête spirituelle est la croyance en un moi séparé et auteur de ses actes, croyance qui est à l’origine de la souffrance et de la nostalgie de l’unité perdue. Tout notre malheur provient du fait que l’on s’identifie à une forme autour de laquelle l’ego se cristallise. Mais la seule chose à laquelle nous ne pouvons pas nous identifier, c’est justement notre identité. « Être » n’est pas une identité.

En amont de tout ce qui constitue le contenu d’une existence, il y a être.

Pouvons-nous nous libérer des constructions imaginaires du mental, de ce parasitage permanent, pour accéder directement à « être », c’est-à-dire à ce que nous sommes déjà ?

Il s’agit de revenir à quelque chose de très simple, mais qui n’est pas facile pour autant : l’immédiateté d’être, en amont de toute représentation de soi. Sur le plan de l’être, il ne nous manque rien. Ici, là, maintenant, vous pouvez apprécier la qualité très particulière de cet espace vivant que vous êtes. Cet espace permet un regard sans jugement, et donne accès directement à chaque situation concrète, dans toute sa dimension et dans toute son intensité. Il n’y a en réalité ni « ici », ni « maintenant », ni souffrance, ni éveil, sauf dans nos rêves. Le mental transforme en concept et neutralise la moindre vérité, issue d’un enseignement authentique, qui pourrait le remettre en question.
Rien ne manque à cet instant dès lors que nous sommes présent.

Voici un extrait de cet ouvrage passionnant :

En amont de tout ce qui constitue le contenu d’une existence, il y a être.

En amont de notre apparente identité, de notre nom, de notre sexe, de nos qualités et défauts, des sensations et des émotions que l’on éprouve, des pensées que l’on a, il y a être.

Un livre ne peut pas changer les événements de notre vie, mais il peut changer le regard, la perspective, à partir de laquelle nous les vivons. Si notre relation aux situations auxquelles nous sommes confrontés est différente, ces situations ne nous affecteront pas de la même manière. Nos pensées, nos émotions, ne seront plus les mêmes.

La substance même de la vie n’est que relation. Les sensations nous mettent en relation avec notre corps qui lui-même est en relation avec le monde. Nos émotions et nos pensées sont également des ensembles de relations qui interagissent avec les sensations. Il suffit donc de changer notre regard sur ces relations pour que notre expérience de la vie change radicalement. Notre vie devient ainsi la qualité d’attention que nous lui portons.

La vie, avant de se manifester dans le monde apparent des phénomènes, est elle-même attention sans attente, c’est-à-dire conscience.

Ce livre ne prétend pas parler de ce que nous sommes, mais plutôt examiner tout ce qui vient interférer avec cette conscience-être.

Il s’agit d’une enquête sur les représentations que nous nous faisons de nous-mêmes. Toutes ces images, toutes ces histoires que nous produisons à longueur de vie forment autant de filtres, d’écrans, entre ce que nous sommes essentiellement et ce à quoi nous réduisons notre vie.

D’où proviennent ces images, ces histoires ? Pourquoi apparaissent-elles avec autant d’insistance ?

Pouvons-nous nous libérer de ce bruit de fond, de ce parasitage permanent, pour accéder directement à « être », c’est-à-dire à ce que nous sommes déjà ? Ou bien sommes-nous condamnés à passer notre vie entière sous hypnose, esclaves de nos émotions et de nos pensées ?

L’ urgence de cette question constitue le sujet de ce livre.

On ne peut pas se représenter la présence.

On ne peut donc pas imaginer ce que signifie vivre sans représentation du moi. On ne peut que projeter des formes sur ce qui est sans forme, autrement dit, se raconter des histoires, de belles histoires ou de moins belles, selon la résonance que cela provoque précisément avec notre histoire personnelle.

Ayant fait l’expérience de l’unité, n’étant plus attachés à leur histoire personnelle, les témoins du réel sont des êtres libres que l’on appelle en Orient « éveillés » ou « réalisés » et dans la tradition chrétienne : « morts à eux-mêmes ». N’éprouvant plus aucune attente, ces êtres expriment l’amour de la vie d’une manière particulièrement intense, au point d’en devenir contagieux.

On ne peut qu’éprouver une infinie reconnaissance pour ce qu’ils représentent comme force de révélation de notre nature essentielle et surtout, comme dissolvant très efficace pour toute forme de croyance.

Mais pour incarner cet amour, cette liberté, dans nos vies, sommes-nous prêts à mourir à notre image ? Ou bien préférons-nous attendre le miracle d’une illumination soudaine ?

Poser la question en terme de recherche, d’effort à fournir en vue d’un résultat, paraît contradictoire avec le fait d’ « être », qui est immédiat. Certains en tirent la conclusion qu’il n’y aurait rien à faire.

Pourtant, il est indispensable de voir que cette nécessité d’une investigation sur la nature du moi s’impose dans la mesure où nous croyons à un moi autonome et séparé du monde. Il est donc très important de tenir compte de cette croyance puis-qu’elle est à l’origine de notre recherche. Ainsi, il est impossible de faire l’éco-nomie de cette enquête sur le moi tant que cette croyance persiste. C’est un paradoxe inévitable à considérer. Plus nous serons authentiques avec nous-mêmes, c’est-à-dire plus nous serons cohérents avec notre identification à notre moi, plus cette croyance diminuera, jusqu’à disparaître complètement. C’est grâce à une soumission rigoureuse à ce paradoxe que l’identification sera alors vue comme une illusion.

Nous ne pouvons pas nous contenter de rumeurs à propos d’une réalité dont certains qui en ont fait l’expérience affirment qu’elle est déjà là, disponible pour tout le monde, pour décider d’in-terrompre toute recherche. Croire que l’on pourrait décider d’arrêter la recherche fait encore partie de la recherche, parce que cela revient à cautionner l’existence hypothétique d’une entité qui serait à l’origine de la recherche ou de l’arrêt de la recherche. Ce n’est qu’après être allé jusqu’au bout de l’inves-tigation sur la nature du moi, que rétrospectivement, nous pourrons réaliser que toute cette recherche était elle-même le jeu de la conscience.

presence-a-SOIIl serait tentant de rattacher la perte du réflexe « moi » à certaines situations particulièrement intenses, au cours desquelles semble se jouer la disparition de l’attachement au moi. Mais rien, aucune situation, aucun effort ne peut provoquer la libération définitive de cette hypnose qui consiste à se prendre pour quelqu’un. Cela ne peut pas être le résultat d’une expérience quelle qu’elle soit, puisqu’il s’agit de ce qui permet à toute expérience d’avoir lieu.

Pour ma part, durant des années de recherche, avec l’aide de ces témoins du réel, plusieurs expériences d’éveil ont eu lieu sans pour autant apporter un changement définitif, dans un premier temps. Par exemple, dans une situation particulièrement douloureuse de rupture amoureuse, j’ai clairement vu que plus je tentais de fuir ma souffrance, plus elle augmentait à mes dépens. Elle était comme une ombre qui m’enveloppait et qui finirait par me tuer. La nécessité s’est donc imposée d’affronter ces mécanismes d’identification. Quel est ce moi qui souffre ? Ce fut un face à face qui s’est déroulé seconde après seconde, minute après minute, heure après heure, dans un effort d’attention ininterrompu, jusqu’à ce que cet effort se relâche de lui-même, ne laissant plus alors que la conscience.

Lorsque vous êtes confronté à votre mental, vous constatez deux choses :

– d’une part, son extrême rapidité pour faire diversion avec toute sorte de pensées,
– et d’autre part, du fait qu’il connaît parfaitement vos faiblesses, son habileté à établir des stratégies mensongères. Il se comporte ainsi comme s’il était hors de votre contrôle et prenait les décisions à votre place.
Cependant, il ne faut jamais oublier que ce mental fait partie de nous-mêmes. Nous sommes donc complices de ces histoires que nous nous racontons.

Lors de cette situation de détresse, ma confrontation avec le moi en souffrance, sans que des pensées interfèrent, a eu lieu à la charnière du plan psychologique et du plan « être ». Dans ce cas, il y a eu basculement d’un plan dans un autre. Plus précisément, le plan psychologique fut vu pour ce qu’il était, c’est-à-dire pour un phénomène apparaissant et disparaissant au sein d’une autre dimension qui le comprenait. Cette autre dimension, ce plan, lui, demeurait stable et n’était pas affecté par les perturbations émotionnelles. De plus, ce plan ne contenait aucun moi. Il fallait bien se rendre à l’évidence, aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’y avait qu’un grand vide. Et encore, ce n’est qu’une manière de parler très approximative car ce n’est qu’après coup que l’on utilise cette image du vide, sur laquelle, d’ailleurs, le mental projette immédiatement toute sorte d’émotions comme la peur ou l’attirance. Sur le moment, il n’y a personne pour constater ce vide. Il y a tout simplement absence de l’illusion d’un moi.

Durant quelques semaines, ce fut comme si le poids de l’existence était tombé de mes épaules. Toute préoccupation concernant le passé ou le futur avait disparu, et pourtant des décisions suivies d’actions adaptées à chaque situation continuaient d’avoir lieu. Tout était parfaitement à sa place.

Plusieurs autres épisodes de ce genre sont arrivés de façon spontanée, et non pas à la suite d’une démarche particulière. Mais, entre ces épisodes, la nostalgie de ces états et la tentative de les retrouver montraient bien que la racine de l’identification au moi n’avait toujours pas été coupée.

Le mental ne peut se représenter la libération que sous la forme d’un événement qui aurait lieu dans le temps, avec un avant et un après. Mais au plan d’ « être », il n’y a ni avant ni après. Il n’y a pas à proprement parler un événement au cours duquel se serait passée une libération. Il n’y a pas de cause à « être ». On peut seulement constater après coup qu’une transformation radicale a eu lieu. Et cependant, cette transformation n’est qu’un effet secondaire et non le cœur même de ce qui est en question, car la réalité était déjà là avant cet apparent événement.

« Être » ne change pas. « Être » continue de jouer le jeu de la forme, mais au lieu de s’y perdre, il se retrouve dans ce jeu.

On ne peut donc pas parler de quelque chose que l’on aurait obtenu, ni même de quelque chose que l’on aurait perdu, puisque ce que l’on a perdu, c’est une illusion, la croyance en un moi séparé, capable de décider par lui-même de ses actes. C’est pourquoi il est absurde de parler de personnes éveillées. Tout ce que l’on peut dire, c’est qu’il y a éveil à chaque instant.
Cette illusion apparemment inoffensive d’un moi séparé possède pourtant un pouvoir de nuisance que l’on ne peut imaginer avant d’en être libre. Plusieurs années ont été nécessaires pour intégrer ce bouleversement, avant qu’une détente profonde s’installe. Mais l’éveil lui-même, la réalisation, la libération, n’est pas un état. Il est cette liberté de l’inconnaissable qui se renouvelle au cœur de chaque instant. Un glissement imperceptible du point de perception s’est opéré. Il n’y a plus un centre ETRE PRESENTà partir duquel le monde apparaît. La conscience s’apparaît à travers les objets du monde.

Au fur et à mesure de la maturation et de l’intégration de cette mutation, se fait jour le sentiment d’une parenté intime avec tout être vivant, qui n’est plus ni proche ni lointain, mais immédiat.

Depuis, dans la vie quotidienne, les réponses aux situations continuent de se dérouler alors que la croyance en un moi qui serait l’auteur de ces réponses aux événements de la vie a disparu.

Rien ne manque à cet instant (Tant que vous n’y ajoutez rien) Par Malo Aguettant 
Un livre de 160 pages – 16,50 € – ÉDITIONS ACCARIAS-L’ORIGINEL
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Petit Lexique Spirituel

Posté par othoharmonie le 1 octobre 2015

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EVEIL

( Extrait ) G.M. L’éveil est devenu de nos jours le terme qui désigne le centre de toute quête spirituelle. Vous-même, vous ne cessez de tenter une description de cette autre rive de soi-même qu’est l’éveil. Malheureusement pour ceux qui restent du côté de la rive enténébrée, toute description ne fait que stagner la plupart du temps dans les eaux boueuses de la représentation intellectuelle. Ne pourra-t-on jamais définir ce mot ?

S.J. Non bien sûr, mais on peut essayer d’approcher son sens de la façon la moins tendancieuse et la plus descriptive possible.

G. M. Pour rester simple dans l’approche de ce mot éveil, ne pourrait-on pas dans un premier temps, parler de nos trois états de conscience : sommeil, veille, éveil en partant de ce que chacun connaît, c’est-à-dire la différence entre le sommeil et la veille pour faire ensuite la distinction entre la veille et l’éveil ?

S.J. : C’est vrai que l’analogie avec le sommeil nocturne et l’éveil matinal est très grande. Dans les deux cas, il y a retour à la conscience. C’est très clair.

Ce qui se produit lorsque l’on dort physiquement et que l’on s’éveille le matin en se dressant tout d’un coup dans son lit ressemble beaucoup à ce qui se passe lorsqu’un homme s’éveille alors qu’il ne dort plus, alors qu’il veille, du moins, croit veiller. Quelqu’un qui se souvient bien de ces éveils en sursaut de l’enfance attache une grande importance à ce moment du retour à la conscience, qui lui apparaît comme l’une des expériences les plus mystérieuses et les plus émouvantes qui soient. Le retour à la conscience de l’éveil matinal a pour base le sommeil et les rêves.

Mais l’éveil matinal n’est que la prémisse balbutiante de la véritable accession à la conscience, de « l’éveil », qui s’effectue à partir d’une toute autre base. Tout se passe comme s’il subsistait un résidu mystérieux de sommeil et de rêve dans la texture même de ce que nous considérons comme l’état vigilant. « L’éveil » dissout de façon fulgurante cette obscurité et cette hallucination résiduelles, il met fin à un sommeil métaphysique. « L’éveil » foudroie sur place un rêve qui s’épanchait dans ce grand sommeil qu’est l’état conscient habituel. L’analogie a des limites, mais il est vrai qu’elle est très grande, et surtout très utile pour se faire comprendre.

G M : Si cette analogie fonctionne bien, quelle est l’information préalable qui manque pour qu’elle fasse sens de façon plus décisive ?

S.J. : Il n’y a aucune pré-connaissance de « l’éveil », il n’y a pas d’avant-goût de « l’éveil ». Quand « l’éveil »‘ jaillit, on réalise immédiatement que l’on ne savait préalablement rien sur la nature de « l’éveil ». Admettons que quelqu’un cherche une telle chose, soudain il l’atteint : il comprend aussitôt qu’il cherchait une toute autre chose. « L’éveil » se révèle comme l’irruption d’un principe totalement neuf et inédit, dont la notion n’existe simplement pas dans l’état conscient habituel.

G.M. : On ne peut pas faire de description de l’éveil, on ne peut pas non plus s’en faire la moindre idée. Est-ce qu’on ne risque pas de faire un monument inaccessible de ce mot éveil tout comme pendant des siècles on a fait un monument indescriptible et inaccessible du mot Dieu. On dirait qu’avec ce mot à la mode – éveil -, on aurait tout simplement ravalé la vieille peinture du monument Dieu.

S.J. : C’est une très bonne remarque. Le danger majeur qui guette l’homme qui aura entendu parler d’un tel éveil est la conception perverse qu’il va s’en faire, le statut d’objet extérieur, et simplement d’objet, qu’il va lui conférer. « L’éveil »-objet est un néant profond. Le pire est que cet objet va acquérir rapidement un aspect monumental, la naïveté humaine incline vers le monumental. Sans s’en rendre compte, cet homme va glisser de l’erreur spirituelle, excusable, à la trahison spirituelle, et se mettre à adorer une abstraction, une entité. Objectiver « l’éveil », ce n’est pas une bonne façon de frapper à sa porte. Déifier « l’éveil », c’est prendre le risque de s’aliéner à jamais ses bonnes grâces. « L’éveil » est sujet pur, moi pur. « L’éveil » n’est en aucune façon dissociable de moi. « L’éveil » jaillissant récuse comme hallucinatoire « l’éveil »-objet et « l’éveil »-lui.

G M. : Qu’entendez-vous plus précisément par « l’éveil »-objet ?

S.J. : « L’éveil »-objet, c’est la pensée de « l’éveil ». La pensée de « l’éveil » est une imposture, qui doit être dénoncée farouchement.

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EVEIL=MOI

G M. : Si je comprends bien, « l’éveil » reviendrait à dire « l’éveil c’est moi », mais en fait, ce moi n’est pas moi en tant qu’objet, ni même en tant qu’état, ce n’est même pas un événement non plus.

S.J. : La proposition sacrée, première, inscrite en lettres de feu dans ce miracle qu’est « l’éveil », est : Je suis personnellement cette conscience infinie, cette conscience infinie est moi. L’intuition de cette identité absolue de « l’éveil » et de moi est une même chose que « l’éveil ».

Très curieusement cette proposition est souvent correctement formulée par des esprits à la fois ouverts et brûlants : « éveil » = moi, conscience infinie = moi. Mais rien ne se passe et on se demande alors : nom de Dieu, pourquoi cela ne marche-t-il pas ? Et la question est empreinte de rage, car « l’éveil » est une potentialité de tout esprit humain, et que le type qu’on a devant soi est à un cheveu de l’actualiser.

Si la proposition magique fait long feu, c’est qu’elle n’est correcte que formellement. Le mot « moi » est là, pas le sens « moi », ce qui est véritablement signifié est « lui » = un objet. Le mot sacré « moi » a été vidé de sa signification personnelle, et ceci n’est pas pieux, ni intelligent, ceci est un sacrilège stupide.

Il faudrait donc ajouter cette précision, « l’éveil » = moi, oui, mais moi c’est… MOI !

(En prononçant ce dernier « moi « , Stephen Jourdain pointe vigoureusement ses deux index en direction de sa poitrine.)

G.M. : En vous écoutant un autre mot me vient à l’esprit, c’est celui de conscience pure. Par rapport à cet « acte d’éveil », est-ce que la conscience pure n’est pas le point central de cet événement ?

S.J. : « L’éveil » est le surgissement de la conscience-moi infiniment consciente d’elle-même. « Eveil » c’est un bon mot, « l’éveil » cela chosifie et généralise dangereusement le sens du mot, mais il faut bien s’exprimer ! Je me console en me disant qu’au moins j’emploie ce substantif dans son sens propre, et non dans un quelconque fumeux sens figuré, où il ne resterait rien de la notion fondamentale de vigilance. « L’éveil » est un événement, la plus colossale et la plus décisive des révolutions que puisse connaître le « dedans » d’un homme, et il est également vrai que l’événement ici est datable… Impossible de ne pas tenir ce langage. Et en même temps, impossible de ne pas le désavouer aussitôt, de ne pas affirmer que « l’éveil » est un non- événement pur. Quand un chien se trouve devant une contradiction, il se gratte, moi je parle d’un non-événement majeur.

Conscience pure. Pure de quoi ? On pourrait se le demander. Mais l’épithète est juste. « Infinie », là c’est strictement descriptif, il y a dans cette conscience un infini qui n’a rien de théorique, un infini, aussi peu discutable que la présence du soleil dans le ciel d’août. « Un infini patent d’active conscience », je me cite. « Absolue » ? Je n’utilise ce terme que rarement, je le trouve lourd.

G. M. : Le mot de vigilance pourrait-il s’associer à celui d’éveil ?

S.J. Les mots en français qui sont immédiatement adéquats à « l’éveil » sont en nombre extraordinairement restreint. Il y a conscience, vigilance, être, moi, valeur suprême, et puis basta ! Ecrire sur cette chose est une gageure, c’est comme essayer de composer une symphonie pour trois doigts. Vraiment difficile d’accomplir un acte littéraire avec cinq mots – mais on peut s’en sortir !

Petit Lexique Spirituel par Stephen Jourdain
aux Editions Charles Antoni l’Originel
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Science et sixième sens

Posté par othoharmonie le 1 octobre 2015

Depuis des décennies, des expérimentations en parapsychologie sont menées en laboratoire. Aucune théorie n’explique les variations constatées, mais les résultats sont là.

De manière générale, comment la population perçoit-elle les capacités psi ?

illusion
D.R : Aux États-Unis, 60 % de la population répond par l’affirmative à la question : « Croyez-vous en la possibilité ou en la réalité des phénomènes psi ? » Ce pourcentage est plus élevé chez les gens éduqués que chez les gens non éduqués et il est resté très stable depuis plusieurs décennies. Les gens y croient parce que la plupart du temps, ils ont eu une expérience, ou quelqu’un de proche leur a raconté un événement qui a été plus fort que leur scepticisme naturel.

Quel type d’expériences vous racontent les personnes qui viennent vous voir ?

D.R : Les gens évoquent principalement deux grandes catégories d’expériences – la première concerne la prémonition pendant un rêve, un rêve qui devient réalité. Il s’agit de rêves parfaitement inattendus qui laissent les gens complètement déboussolés. La deuxième catégorie concerne les cas de télépathie en situation de crise, quand un membre de la famille ou un ami, qui se trouve dans un lieu distant, vit un événement dramatique et que la personne expérimente l’événement dans son propre corps. Ces personnes peuvent être également très perturbées quand elles apprennent que ce qu’elles ont ressenti physiquement est en réalité arrivé à quelqu’un d’autre. Dans les deux cas, ces individus ont besoin d’être rassurés. D’abord nous leur confirmons que ces phénomènes se produisent réellement ; ensuite nous leur apprenons que les expérimentations menées en laboratoire montrent que les choses se passent exactement comme ils les ont décrites – qu’une sorte de communication est possible entre vous et une autre personne se trouvant à distance, ou entre vous et votre futur vous-même. Nous ne disposons d’aucune explication théorique solide pour expliquer comment ça fonctionne, mais nous savons que ces expériences peuvent se produire.

Pourquoi beaucoup de gens pensent-ils que ces phénomènes ne sont pas réels ?

D.R : Certains sceptiques disent effectivement qu’il n’y a pas preuves scientifiques, c’est exaspérant d’entendre ça parce que ça signifie qu’ils ne sont pas au courant des preuves qui ont fait l’objet de milliers de publications, et pas seulement dans des journaux obscurs. Des travaux ont été publiés dans les meilleurs périodiques du monde. Il faut se renseigner. On se rend alors compte qu’il y a énormément de recherches, et énormément de preuves. Prenons l’exemple de la télépathie : concernant un seul type d’expérimentation pratiquée depuis les années 70 jusqu’à aujourd’hui, vous avez eu 122 publications pour un total de 4 000 sessions individuelles effectuées dans 25 laboratoires. Les statistiques montrent que la possibilité que les résultats aient été obtenus par hasard est de 1 sur plusieurs milliards. Quand vous avez examiné les lacunes possibles de l’expérimentation – est-ce que quelqu’un a donné des indices, est-ce que la sélection de la cible a été vraiment aléatoire, etc. – et qu’elles ont été écartées, alors la seule hypothèse qui subsiste est une forme de communication entre les gens, d’une manière qui n’est pas explicable actuellement, et qu’on nomme télépathie, faute d’avoir un meilleur terme.

Vous voulez dire que la télépathie, la clairvoyance et tous ces phénomènes psychiques sont une réalité ?

D.R : C’est ce qui est suggéré par les données scientifiques. Je dirais que mon niveau de certitude quant à la réalité de ces phénomènes est passé de 20 % à mes débuts à 90-95 % aujourd’hui. Il y a toujours une place pour le doute. Télépathie, clairvoyance, précognition : toutes ces dénominations concernent à mon avis essentiellement une même chose qui se manifeste de différentes manières. Tous ces phénomènes se rapportent en définitive aux propriétés de la conscience.

Tous ces phénomènes se rapportent en définitive aux propriétés de la conscience.

Comment se fait-il que la société estime toujours que ce sont des illusions ?

D.R : 60 % de la population les acceptent en se basant sur leurs propres expériences personnelles et la perception qu’ils en ont. Votre question serait plutôt de savoir pourquoi ce n’est pas plus accepté dans les courants traditionnels de la science ? Car ce n’est pas de la magie. Plus la science et la physique avancent, plus nous aurons une idée claire sur la façon dont la réalité est faite. Nos expériences se situent en amont de nos explications scientifiques. C’est pour cela que nos observations sont si importantes. Si nous avions à faire à des phénomènes qui étaient déjà acceptés, ou qui ne contredisent pas si violemment les théories en vigueur, la preuve de leur réalité aurait déjà été acceptée depuis bien longtemps. D’un point de vue statistique, nous avons une certitude quasi absolue que ces phénomènes sont réels. Ce point est d’ailleurs reconnu par les plus sceptiques des sceptiques. Si ces faits devaient être scientifiquement évalués, dans des conditions normales, ils seraient prouvés. Mais ces sceptiques ajoutent que ces faits sont tellement extraordinaires, si étranges au regard des théories scientifiques actuelles, qu’il faut encore et encore plus de preuves pour réussir à les accepter.

Que se passerait-il si l’hypothèse de l’existence de ces capacités était acceptée par la science dominante ?

D.R : Sans doute rien ! On dirait que l’expérience humaine fonctionne selon certains modes que les spécialistes des neurosciences ne sont pas en mesure d’expliquer. Ça ne signifierait pas que des forces invisibles envahiraient immédiatement nos vies, ni que les fantômes et les esprits seraient sur nous ! Mais cela pourrait montrer que nous avons prématurément exclu la possibilité que le cerveau et l’esprit fonctionnent selon des processus quantiques. Cela voudrait dire que nous devons laisser de côté l’image que nous avons de nous-mêmes de créatures indépendantes enfermées dans notre cerveau, pour une autre conception selon laquelle certains aspects de notre cerveau fonctionnent en dehors de nous-mêmes. C’est encore du domaine des neurosciences. C’est même encore mécaniste. Il faut bien comprendre que nous ne parlons pas de quelque chose qui serait ailleurs : ce quelque chose est là, ici et maintenant. Ce que nous expérimentons dans le monde ordinaire est une approximation suffisante pour la vie de tous les jours, mais ce n’est pas toute l’histoire. L’histoire vraie (sur la base des découvertes récentes en physique – NDLR) nous dit que l’observation importe, que la conscience importe, que les choses ne sont pas vraiment séparées. Ça colle parfaitement avec le langage que les gens utilisent pour décrire les phénomènes psychiques.

avec Dean Radin source : Magazine » Air du temps

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