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Le développement de la vie et de la conscience sur la terre

Posté par othoharmonie le 5 décembre 2015

 

Sur la terre, l’évolution des formes de vie était intimement mêlée au développement intérieur des âmes de la terre. Bien qu’aucune âme ne soit limitée à une planète particulière, on pourrait qualifier les âmes de la terre d’autochtones de votre planète. Cela parce que leur croissance et leur expansion coïncident grosso-modo avec la prolifération de la vie sur la terre.

Lorsque des unités individuelles de conscience naissent, elles sont assez semblables à des monocellules physiques, en ce qui concerne leur structure et leur potentialité. Tout comme des cellules individuelles ont une structure relativement simple, les mouvements intérieurs d’une conscience nouveau-née sont transparents. Il y existe encore peu de différenciation. Elles ont un monde de possibilités à la fois physiques et spirituelles à leurs pieds. Le développement qui s’étend d’une unité de conscience nouveau-née à un type de conscience capable de réfléchir, d’observer et de réagir à son environnement peut se comparer grosso-modo au développement qui s’étend d’un organisme monocellulaire à un organisme vivant complexe capable d’être en interaction avec son environnement de multiples manières.

vie et conscience sur terre

Nous comparons ici le développement de la conscience de l’âme avec le développement biologique de la vie et ce n’est pas qu’une métaphore. En fait, le développement biologique de la vie tel qu’il a pris place sur la terre doit être vu sur l’arrière-plan d’un besoin spirituel d’exploration et d’expérience de la part des âmes de la terre. Ce besoin ou ce désir d’exploration a fait naître la richesse de variétés des formes de vie sur la terre. Comme nous l’avons vu, la création est toujours le résultat d’un mouvement intérieur de conscience. Bien que la théorie de l’évolution, telle que reconnue par votre science actuellement, décrive de façon correcte le développement des formes de vie sur votre planète jusqu’à un certain point, elle omet complètement la commande intérieure, le motif caché derrière ce processus profondément créatif. La prolifération des formes de vie sur la terre était due aux mouvements intérieurs au niveau de l’âme. Comme toujours, c’est l’esprit qui précède et crée la matière.

D’abord, les âmes de la terre se sont incarnées dans des formes physiques qui convenaient au mieux à leur sentiment de soi rudimentaire: des organismes monocellulaires. Après une période d’acquisition d’expérience et d’intégration de celle-ci dans leur conscience, s’est éveillé le besoin de moyens d’expression physique plus complexes. C’est ainsi que des formes de vie plus complexes ont vu le jour. La conscience créait ces formes physiques pour répondre aux besoins et aux désirs des âmes de la terre dont la conscience collective habitait la terre à l’origine.

La formation de nouvelles espèces et l’incarnation d’âmes de la terre en membres individuels de ces espèces représentent une belle expérience de la vie et de la conscience. Bien que l’évolution soit dirigée par la conscience, et non par l’accident ou l’incident, elle ne suit pas une ligne de développement prédéterminée. Cela parce que la conscience est libre et imprévisible.

Les âmes de la terre ont expérimenté toutes sortes de formes de vie animale. Elles ont habité plusieurs corps physiques du règne animal mais toutes n’ont pas suivi la même ligne de développement. Le chemin de l’âme est beaucoup plus fantaisiste et aventureux que vous ne le supposez. Il n’existe aucune loi au-dessus ou hors de vous. Vous êtes votre propre loi. Si par exemple vous désirez faire l’expérience de la vie du point de vue d’un singe, vous pouvez vous retrouver à un moment donné dans le corps d’un singe, dès la naissance ou en visiteur temporaire. L’âme, et spécialement l’âme jeune, a un ardent désir d’expérience et d’expression. Cette soif d’exploration explique la diversité des formes de vie qui abonde sur la terre.

Dans cette grande expérience de vie, l’éveil de la forme de vie humaine a marqué le début d’un stade important du développement de la conscience de l’âme sur la terre. Avant d’entrer dans une explication plus détaillée, nous parlerons d’abord des stades du développement intérieur de l’âme en général.

L’évolution de la conscience: stade infantile, maturité, vieillesse

Si nous observons le développement de la conscience de l’âme qui est devenue une unité individuelle, nous constatons qu’il passe grosso-modo par trois stades intérieurs. Ces stades ne dépendent pas du plan de réalité particulier (planète, dimension, système stellaire) où la conscience choisit d’habiter ou de faire son expérience.

  1. Le stade de l’innocence (paradis)
  2. Le stade de l’ego (« péché »)
  3. Le stade de la seconde innocence (illumination)

On peut comparer ces stades métaphoriquement à la petite enfance, la maturité et la vieillesse.

Après la naissance des âmes en unités de conscience, elles quittent l’état d’unité océanique dont elles se souviennent comme d’un état de béatitude et de sécurité absolues. Puis elles continuent d’ explorer la réalité d’une manière totalement nouvelle. Lentement, elles deviennent plus conscientes d’elles-mêmes et de leur unicité par rapport à leurs compagnes de voyage. A ce stade, elles sont très réceptives et sensibles, comme de jeunes enfants qui regardent le monde les yeux grands ouverts, exprimant la curiosité et l’innocence.

Ce stade peut être qualifié de paradisiaque, puisque l’expérience d’unité et de sécurité est encore fraîche dans la mémoire des âmes nouveau-nées. Elles sont encore proches de leur foyer; elles ne remettent pas encore en question leur droit à être qui elles sont.

Au fil de leur voyage, la mémoire de leur foyer s’estompe pendant qu’elles s’immergent dans divers types d’expériences. Tout est neuf au début et tout est absorbé de façon non-critique au stade infantile. Elles entament un nouveau stade quand elles commencent à se vivre comme le point focal de leur monde. Elles se mettent alors à réaliser vraiment qu’il existe quelque chose de l’ordre du « moi » et de « l’autre ». Elles commencent à expérimenter comment influencer leur environnement en agissant sur cette réalisation. La notion même d’une action originaire de leur propre conscience est neuve. Il y avait auparavant une absorption plus ou moins passive de ce qui passait à leur portée. Maintenant, il y a chez l’âme un sens croissant de son pouvoir à exercer une influence sur ce dont elle fait l’expérience.

C’est le début du stade de l’ego.

 Pamela Kribbe web Jeshua Challelings, « L’Artisan de Lumière II » SUR LE BLOG de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Channeling, En 2012-2013 et après 2016, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Le conte des maux de tête

Posté par othoharmonie le 5 décembre 2015

 question chez francesca

« Dans ce pays-là, que je connais bien pour l’avoir visité, tous les enfants naissaient avec une graine d’amour, qui ne pouvait germer que dans leur cœur.

Ce qu’il faut savoir, c’est que cette graine avait une particularité… très originale, en ce sens qu’elle était constituée de deux moitiés de graines. Une moitié de graine d’amour pour soi et une moitié de graine d’amour pour autrui.

Vous allez tout de suite me dire : « Ce n’est pas juste, c’est disproportionné, ça ne peut pas marcher ! Une moitié pour un, d’accord, car il faut s’aimer. Mais une seule moitié de graine d’amour pour autrui, pour tous les autres, ah non alors ! Cela va bien au début de la vie, quand un enfant n’a pas beaucoup de personnes à aimer, seulement sa mère, son père, un ou deux grands-parents… Mais plus tard, vous y pensez, plus tard, quand devenu adulte chacun est susceptible d’aimer beaucoup de personnes, cela est déséquilibré. Une seule moitié de graine d’amour à partager entre tant d’amours… Cela est invivable ! ».

Oui, vous me diriez tout cela avec passion, mais c’était ainsi dans ce pays ! Et d’ailleurs, ceux qui savaient laisser germer et laisser fleurir chacune de leurs moitiés de graine d’amour, avec intensité, avec passion, avec enthousiasme et respect, ceux-là découvraient plus tard qu’ils pouvaient à la fois s’aimer et aimer, aimer et être aimés.

Ceux qui ne développaient qu’une moitié de graine, soit en s’aimant trop, soit en n’aimant que les autres, soit encore en n’aimant qu’une seule personne au monde, ceux-là avaient des mi-graines qui durcissaient, qui durcissaient tellement leur cœur… que parfois leur tête éclatait de douleur.

Ah ! Vivre seulement avec une mi-graine d’amour, cela doit être terrible ! D’autant plus qu’il n’y a aucun remède à ces migraines et qu’elles sont susceptibles de durer des années.

Ainsi se termine le conte des maux de tête qui sont surtout des maux de cœur. »

Extrait Contes à guérir, Contes à grandir – Jacques Salomé sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans L'Esprit Guérisseur, Méditation, Mythologie/Légende | Pas de Commentaire »

 

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