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POUR APPRECIER LES CONTOURS

Posté par othoharmonie le 18 janvier 2016

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Les variantes offertes par les comportements humains sont illimitées. On peut même se demander s’il ne serait pas prématuré de tirer des «conclusions précises» de la seule connaissance des motivations psychologiques d’un geste, d’une réaction.

Même si le détail le plus insignifiant permet à quelqu’un qui connaît les Hommes de saisir la particularité de tout l’individu, il suffit d’un bref regard pour deviner l’ensemble du caractère. Comment est-ce possible ? Comment comprendre que l’homme se révèle totalement dans le moindre de ses mouvements ?

Ceci est dû au fait que l’organisme n’est pas un assemblage mécanique de particules, mais un ensemble biologique issu d’une cellule initiale dont les différentes parties restent, tout au long de leur évolution, étroitement associées les unes aux autres.  C’est un sujet inépuisable, qui provoque chaque jour de nouvelles controverses, un sujet au centre duquel se trouve l’être le plus intéressant qui puisse exister entre le ciel et la terre : L’HOMME.

Son caractère, chacun de nous l’étale… à son insu. Parce qu’il ne lui vient pas un instant à l’esprit que tout le trahit ; ses gestes, sa démarche, son comportement et mille autres petite choses. Mais pour un observateur avisé, des signes infaillibles permettent de cerner, d’analyser la personnalité, les trait particuliers de n’importe qui.

Certes, il est digne d’éloges d’être confiant. Seulement on paie parfois cette confiance souvent très cher ; Et voir son amitié trahie par la  personne chez qui nous avions placé de grands espoirs – apparemment justifiés – nous procure un sentiment de déception cruelle.

Alors, il serait plus intelligent, à coup sûr, de nous épargner ces échecs en découvrant, à temps, les défauts et les faiblesses de notre prochain. Ce qui nous permettrait de nous comporter à son égard en conséquence.

Tous, sans exception, sommes capables de parvenir à cette clairvoyance si précise. Il suffit de posséder la clé et cette clé est en nous, car si nous nous étudions nous-mêmes, nous aurons tout compris.

Dans la vie, rien n’est plus passionnant que l’exploration de l’homme, que de partir à la découverte de sa personnalité, de son caractère, de son comportement.  Au demeurant, et dans quelque catégorie que nous rangions caractérologie ou moderne typologie, une règle demeure pour chacun de nous, en tant qu’individu, une règle très claire ; il s’agit de bien commencer et de bien terminer sa vie, de la rendre agréable et supportable pour nous et ceux qui nous entourent. Sur le chemin de notre existence, certaines données ont été placées. Les utiliser est notre affaire.

La connaissance de soi éclaire tout homme sur ce qu’il est et ce qu’il peut ; elle le sauve des illusions souvent funestes qu’il se fait sur lui-même. Les hommes ne sont jamais plus heureux que lorsqu’ils se connaissent eux-mêmes En effet, ceux qui se connaissent sont instruits de ce qui leur convient et distinguent les choses dont ils sont capables ou non. Ils se bornent à parler de ce qu’ils savent, cherchent a acquérir ce qui leur manque et s’abstiennent complètement de ce qui est au-dessus de leurs capacités ; ils évitent ainsi les erreurs et les fautes. Ceux qui ne se connaissent pas et se trompent sur eux-mêmes sont dans la même ignorance par rapport aux autres hommes et aux choses humaines en général. La connaissance de soi est la science première. « Connais-toi toi-même » veut dire : renonce à chercher hors de toi, à apprendre par des moyens extérieurs ce que tu es réellement et ce qu’il te convient de faire ; reviens à toi, non pas certes pour te complaire en tes opinions, mais pour découvrir en toi ce qu’il y a de constant et qui appartient a la nature humaine en général, Conception d’une extrême importance car elle proclame qu’en tout esprit humain existe la science, qui intéresse I’Homme et qui n’a besoin que d’être extraite.

Ainsi m’entretenant seulement moi-même et considérant mon intérieur, je chercherai de me rendre peu a peu plus connue et plus familière à moi-même. Dans le « Je pense donc je suis », il y a deux choses. La première est que l’homme a le droit de penser par lui-même sans être influencé ; la seconde est que l’homme « est » parce qu’il pense.

C’est ainsi que l’Homme, grâce à la connaissance de lui-même devient son propre médecin…

Conseil de Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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AU DEVANT DE LA CONSCIENCE DE SOI

Posté par othoharmonie le 18 janvier 2016

 

SOURCESe servir objectivement nos cinq sens ouvre les chemins de la conscience de soi. J’étais un peu le paysage, le ciel, les nuages, la table en pin devant moi. Maintenant il ya la table et il y a moi. Elle existe et moi face à elle. J’étais prisonnière du jeu infini de mes perceptions, je suis libérée. Je deviens l’observateur, le « témoin neutre » de ma propre vie. Je cesse d’être l’actrice prise dans la mêlée. Ce retrait momentané est source de paix, induit la par la relaxation.

La conscience de soi peut être affinée, approfondie jusqu’à la perception subtile, l’intuition de notre « JE Essentiel » en deçà de toutes les attaches, les prisons multiples de l’ ego. Alors devient possible l’expérience de l’Absolu, la rencontre avec Dieu.

L’usage insolite nos sens, je veux dire, utilisés objectivement, librement, sans entraves ou émotion, a deux vertus : nous découvrir des horizons inconnus et nous mener en chemin de sérénité.

Vivre un corps réconcilié, c’est comme habiter son pays, rentrer chez soi.

Une once de pratique vaut mieux que des tonnes de théorie dit le proverbe chinois. Ecoutons-le. Pour connaître son corps il faut le regarder, le voir de l’extérieur, comme un acteur à qui l’on cesserait de s’identifier. Devenir un spectateur dans la salle, un témoin…  Faites le tour de votre corps, examinez-le avec lucidité et bienveillance. Souriez de tous ces mouvements inutile sou incongrus, des ces tensions parasitaires.

Notre corps a besoin de notre amour lucide, ferme et bienveillant à la fois. D’un amour intelligent sans parti pris, sans différences, d’un amour qui l’englobe tout entier. Nous n’aimons que des morceaux de nous-mêmes presque détachés comme des pièces de boucherie… Nous aimons volontiers ce qui nous flatte ou qui nous procure du plaisir, détestons ce qui nous dévalue ou nous fait souffrir et restons indifférents pour tout le reste.  Se connaître, s’accepter dans la clarté, et s’aimer tel que l’on est, est le meilleur moyen le plus sûr d’avancer en paix.

Une chose qui élève infiniment l’homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre, c’est d’être capable d’avoir la notion de lui-même. C’est par là qu’il devient une personne !

Les gens prétendent posséder toute sorte de connaissances : sur eux-mêmes, sur Dieu, sur la vie, sur la mort, sur l’univers, sur l’évolution, sur la politique, le sexe, sur n’importe quoi. En réalité, les gens ne savent même pas qui ils sont et ce qu’ils sont. La seule raison pour laquelle les humains ne sont pas en paix avec eux-mêmes est parce que nous sommes empêtrés dans de fausses croyances que les choses doivent être ‘bonnes ou mauvaises’. Ceci génère le jugement, qui produit la culpabilité. La réponse habituelle à la culpabilité est la projection – mettre cela sur le compte de l’autre – afin d’essayer de se débarrasser de cette culpabilité. Bien sûr ça ne marche pas, mais c’est à l’origine des guerres et donne aux gens un sentiment d’insécurité.

Les individus présentant des niveaux élevés de conscience de soi sont plus susceptibles de participer de façon plus active à leur programme de réadaptation, de vivre des relations plus solides et d’obtenir de meilleurs résultats de réadaptation en matière d’intégration communautaire.

A première vue, la cérémonie du thé japonaise tourne autour d’un acte très ordinaire, fait tous les jours : faire et boire une tasse de thé. C’est quelque chose que nous avons tous fait des centaines et des milliers de fois. Comment cela est-il fait dans la cérémonie du thé japonaise ? Cela est fait d’une façon très différente, car cela est fait avec prise de conscience.

Avec prise de conscience, la bouilloire est remplie d’eau.

Avec prise de conscience, elle est mise sur le feu de charbon de bois.

Avec prise de conscience on s’assied et on attend que l’eau bouille, écoutant le frémissement de l’eau et des bulles, et regardant danser les flammes.

Enfin, c’est avec prise de conscience que l’on verse l’eau bouillante dans la théière, avec prise de conscience que l’on verse le thé, qu’on l’offre, et qu’on le boit, observant pendant tout ce temps un silence complet.

D’un bout à l’autre, c’est un exercice de prise de conscience qui représente l’application de la prise de conscience aux choses de la vie quotidienne découlant sur la conscience de Soi.

Cette attitude, nous devrions l’avoir dans toutes nos activités. Elles devraient toutes être conduites sur le même principe que la cérémonie du thé japonaise, tout étant fait avec prise de conscience et attention, et donc avec tranquillité, calme et beauté, ainsi qu’avec dignité, harmonie et paix.

C’est le travail sur soi qui améliore la conscience de soi.

Conseil de Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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