QUE RESTE-T-IL QUAND TOUT S’EST ÉCROULÉ ?

Posté par othoharmonie le 31 mars 2016

 

Tous les jours nous entendons parler de crise dans les médias : crise économique, politique, financière et diplomatique. Plus près de nous, nous entendons aussi parler de crise dans les entreprises, chez les couples et les individus. Ceux-ci sont confrontés à des situations difficiles telles que la maladie, décès, perte d’emploi, violence, incompréhension, insatisfaction, etc.

Les crises sont des moments charnières où l’on se rend compte que ce qui était satisfaisant jusque-là ne l’est plus. Les crises sont des occasions de passer à un niveau de conscience supérieur. À chaque crise nous perdons, puis retrouvons nos repères et nous réalisons des apprentissages.

La première grande crise que nous avons vécue fût le passage de l’utérus chaud et douillet à un monde froid et, peut-être hostile. Puis il y eut le passage de la maison à la garderie, à l’école, au travail, puis à la retraite. À chaque fois, il a fallu lâcher quelque chose pour accéder à d’autres expériences et à d’autres niveaux de conscience.

Il y a une crise qui est différente de toutes les autres. Lorsque vous passez au travers, elle vous transforme complètement. C’est radical. Cette crise ne concerne pas quelque chose d’extérieur à vous, mais quelque chose de très intime. Je parle de l’effondrement complet de votre système de croyances, de l’anéantissement de qui vous croyez être.

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Que reste-t-il lorsque tout s’est écroulé ?

Vous contactez un champ de forces si puissant et si aimant que vous en êtes subjugué. Vous basculez dans un niveau de conscience absolue. Vous retrouvez votre visage originel, sans forme et sans limite. Quand tout s’est écroulé, il ne reste rien. Non pas un rien qui soit en opposition avec quelque chose, mais un Rien qui contient tout. C’est l’Unité. Il n’y a plus moi et le reste, il y a Cela qui est et Cela est ma nature véritable.

Vous êtes invité à lâcher prise complètement pour vous libérer de vos chaînes et retrouver votre liberté d’être ?

Abandonnez-vous à la Vie qui vous attend depuis toujours. Lâchez prise à l’idée que vous avez de vous-même et découvrez qui vous êtes vraiment, une conscience radieuse et immaculée.

ÊTRE UNE PRÉSENCE AIMANTE

Comme beaucoup de gens vous voulez sans doute trouver la paix intérieure et, être habité en permanence par cette paix. Vous voulez être dans le moment présent et ressentir de l’amour pour vous et les autres.

Vous savez que ces possibilités existent parce que vous en avez l’intuition ou parce que vous en avez déjà fait l’expérience, ne serait-ce que quelques instants.

L’être humain aspire à expérimenter autre chose que les limitations et la souffrance dans laquelle il est plongé quotidiennement. Être constamment à la merci des émotions que peuvent déclencher une situation, parfois banale, n’est pas acceptable. Si vous vous sentez souvent menacé ou en danger, c’est que quelque chose ne va pas chez vous.

Il est inconcevable que l’être humain souffre autant et qu’il passe sa vie à chercher des distractions pour occulter sa souffrance.

Vous avez entendu des gens dire qu’ils vivent dans la plénitude. Ils parlent de joie et de sérénité. Avez-vous rencontré quelqu’un qui vit sans désir, dans l’accueil de ce qui est ? Si oui, vous avez remarqué que cette personne est détendue, accueillante et aimante ? Elle ne réagit pas à ses peurs, elle est habitée par une douceur de vivre. C’est une présence aimante.
Comment vivre en tant que présence aimante ?

Il n’existe pas de baguette magique qui va tout solutionner pour vous. Il existe cependant une voie simple, puissante et libératrice. Cette voie c’est accueillir ce qui est là pour vous, en ce moment; que ce soit du découragement, de la peine ou quelqu’émotion que ce soit. Ouvrez la porte de votre coeur et invitez ce qui est là. Laissez-vous toucher par les émotions qui vous habitent sans vous y attacher. Comme le vent entre par une fenêtre et sort par une autre, ouvrez portes et fenêtres de votre coeur. Lorsque votre coeur est ouvert, prenez conscience de ce qui est là et soyez présent à cette émotion, ressentez-là avec délicatesse et légèreté. Ne cherchez pas à vous débarrasser de quoique ce soit. Soyez présent et laissez-vous toucher. Il n’y a rien à faire. C’est la présente aimante qui accueille tout en son sein, pas vous.

Pour vivre votre spiritualité au quotidien, vous n’avez rien à ajouter à ce que vous êtes déjà. Il s’agit plutôt de vivre à partir de votre présence aimante. Cette présence n’est pas quelque chose que vous avez, c’est ce que vous êtes. Ce que vous êtes se manifeste à travers vous lorsque vous êtes ouvert et disponible.

Si vous n’êtes pas heureux, c’est simplement que vous vous êtes éloigné de vous, la présence aimante. Revenez ici et maintenant, l’éternité vous attend !

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Conférences – Retraites – Satsang
En France, Belgique et au Québec avec Claudette Vidal

« Vous êtes invités à découvrir un joyau d’une inestimable beauté. Ce joyau ne peut être capturé ni possédé. Il est d’une vastitude infinie. Ce trésor n’est rien d’autre que vous, ici et maintenant. Ce « vous » est Source. La plus grande merveille du monde est juste là lisant ce texte. Le réalisez-vous ? » Claudette Vidal

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L’inertie de l’homme spirituel moyen

Posté par othoharmonie le 30 mars 2016

 

 

L’homme spirituel ordinaire (homme de bonne volonté ou disciple) est constamment conscient de l’occasion que les temps et les événements spirituels peuvent lui offrir. Le désir de bien faire et de poursuivre des buts spirituels aiguillonne sans cesse sa conscience. Qui aime ses frères, qui rêve de voir le Royaume de Dieu se matérialiser sur terre, ou qui est conscient de l’éveil des masses (aussi lent soit-il) aux valeurs spirituelles supérieures, ne peut être que profondément insatisfait. Il se rend compte qu’il contribue en vérité bien peu à la réalisation des buts qui lui sont chers.

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Il sait que sa vie spirituelle est quelque chose de secondaire. Il la garde soigneusement cachée et craint souvent d’en parler aux êtres qui lui sont le plus proches et le plus chers. Il essaye de concilier ses efforts spirituels avec les activités de sa vie quotidienne, et s’efforce de trouver pour eux un peu de temps et quelques occasions agréables, futiles et innocentes. Il se sent impuissant devant la tâche d’organiser et de remanier sa vie de telle sorte qu’il puisse vivre spirituellement en toutes circonstances. Il cherche des excuses et se raisonne lui-même avec tant de succès qu’il finit par en conclure qu’il agit de son mieux, étant donné les circonstances actuelles.

La vérité est qu’il fait si peu que probablement une heure ou deux seulement, sur vingt-quatre, sont consacrées au travail du Maître. Il se dérobe sous prétexte que ses obligations familiales l’empêchent de faire davantage et ne s’aperçoit pas que, avec le tact et avec une affectueuse compréhension, son milieu familial doit et peut être le champ de sa victoire. Il oublie qu’il n’existe pas de circonstances ou l’esprit de l’homme puisse être vaincu, et où l’aspirant ne puisse méditer, penser, parler et préparer les voies pour la venue du Christ, pourvu qu’il le veuille suffisamment et connaisse la signification du sacrifice et du silence. Les circonstances et l’environnement n’offrent aucun véritable obstacle à la vie spirituelle.

 Peut-être se retranche-t-il derrière l’excuse d’une mauvaise santé, derrière celle de maux souvent imaginaires. Il consacre tant de temps au soin de sa personne que les heures qui pourraient être consacrées à l’oeuvre du Maître sont directement et considérablement abrégées. Il pense tellement à se sentir fatigué, ou à soigner un rhume, ou à une soi-disant maladie du coeur, que la « conscience corporelle » se développe sans cesse jusqu’à dominer finalement sa vie. Il est alors trop tard pour faire quelque chose. Tel est particulièrement le cas des personnes qui ont atteint ou dépassé la cinquantaine. C’est une excuse difficile à abandonner, car beaucoup se sentent fatigués ou malades et, avec les années, cet état peut aller s’empirant.

Le seul remède à cette inertie insinuante consiste à oublier son corps et à trouver sa joie dans une vie de service. Je ne parle pas ici de maladies caractérisées, ni d’infirmités physiques sérieuses, auxquelles il faut accorder les soins et les attentions appropriés. Je parle aux milliers d’hommes et de femmes souffrants, préoccupés d’eux-mêmes et gaspillant ainsi le temps qui pourrait être consacré au service de l’humanité. Ceux qui cherchent à suivre le Sentier du Disciple devraient consacrer au service de la Hiérarchie ces nombreuses heures employées à d’illusoires soins personnels.

 Une autre excuse encore qui conduit à l’inertie est la peur de parler à autrui des choses du Royaume de Dieu. On a peur d’être un objet de moqueries, de passer pour bizarre ou indiscret. On garde donc le silence, on rate des occasions et l’on ne découvre jamais combien les gens sont prêts à discuter de réalités, à recevoir l’espérance et le réconfort que peut apporter la pensée du retour du Christ, ou à bénéficier de la lumière spirituelle. Ce manque de courage est si répandu qu’il est la cause de la perte de millions d’heures de service pour le monde.

 Il est encore d’autres excuses, mais les précédentes sont les plus répandues. Si la majorité des gens se libéraient de ces obstacles, tant d’heures et d’efforts supplémentaires seraient consacrés au service du Christ que la tâche de ceux qui n’admettent pas d’excuses se trouverait grandement allégée, et le retour du Christ considérablement hâté. Nous ne sommes pas appelés à vivre au même rythme que le Christ et la Hiérarchie spirituelle, rythme vibrant en harmonie avec les besoins humains et les réactions spirituelles de l’homme. Toutefois, nous sommes appelés à déployer une certaine activité spirituelle et à refuser de nous réfugier derrière des excuses. Il est indispensable que tous les hommes spirituels reconnaissent qu’ils peuvent et doivent travailler dans leur milieu, parmi les personnes avec qui ils sont en rapport et avec les possibilités physiologiques qui sont les leurs. Nulle contrainte, nulle pression n’est exercée au service de la Hiérarchie. La situation est claire et simple.

Par Alice Bailey – Extrait du magazine « le Tibétain »

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L’intuition au service de notre guérison

Posté par othoharmonie le 28 mars 2016

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L’intuition est la voix de notre conscience.

Elle est notre guide, la sagesse intérieure qui nous permet de déceler les causes profondes de la maladie, et des maux dont nous souffrons. Elle se manifeste à nous sur les plans physique, énergétique et psychique. Ainsi, pour utiliser notre pouvoir de guérison, nous devons tout d’abord apprendre à l’écouter.

Pour celles et ceux qui cherchent à comprendre l’origine de leur maladie, c’est souvent l’occasion de la prise de conscience que celle-ci est d’abord la conséquence de la déconnexion avec notre corps que nous n’avons pas su écouter, respecter et aimer.

Il est donc essentiel de se mettre à l’écoute de notre corps et des signes qu’il nous envoie à travers la maladie, dont les symptômes sont les reflets des maux de notre âme. La maladie est un cri d’alarme de notre corps, mais aussi de notre psyché.

Les symptômes de la maladie nous renvoient à sa signification symbolique, au message dont elle est porteuse pour notre vie quotidienne et aussi sur notre chemin spirituel. Pour guérir, nous devons être prêt à reconsidérer notre manière de vivre, de penser, d’agir, d’être en relation avec les autres et avec nous-mêmes.

Ce n’est que lorsque nous avons résolu les problèmes qui ont généré notre maladie, et appris à éviter qu’ils ne reviennent, que nous pouvons parler de guérison. Aussi, il est plus juste d’employer le terme se soigner lorsque l’on traite les symptômes, et celui de guérison lorsque l’on traite la cause de la maladie.

Pourtant, la confusion demeure. En effet, il est d’usage de parler de guérison dans le simple fait d’estomper ou d’éradiquer les symptômes de la maladie. C’est une confusion qui peut être lourde de conséquences. Car lorsque l’on se croit guéri uniquement parce que les effets de notre maladie ne sont plus perceptibles, alors on ne s’attaque pas à la cause profonde de la maladie, et celle-ci peut revenir avec encore plus de virulence ou se manifester sous d’autres formes.

Mais percevoir avec justesse les causes du déséquilibre à l’origine de nos troubles ou maladies n’est pas une chose aisée. Il n’est pas rare que plusieurs facteurs se combinent pour provoquer une maladie, et ceux-ci peuvent être d’origines très diverses, telles que : psychologique, alimentaire, stress, anxiété, un rythme de vie inadéquat, un manque d’activités physiques… De sorte qu’il peut être très complexe de déceler, même avec l’aide d’un bon thérapeute, les causes d’une maladie lorsqu’elle a des origines multiples.

Pour autant, nous avons un outil précieux pour y parvenir : l’intuition. En apprenant à l’utiliser correctement, il est possible de déceler les causes les plus subtiles de nos déséquilibres et même de percevoir la façon de les résoudre.

Une précision s’impose : l’intuition n’est pas un outil de diagnostic de santé. Lorsque nous sommes malade, c’est aux médecins, aux professionnels de santé de poser un diagnostic quant à la nature de notre maladie. Notre intuition, elle, peut nous aider à en comprendre les causes, à percevoir l’origine du déséquilibre qui a abouti à la maladie. Elle peut aussi nous éclairer sur la meilleure façon d’agir dans l’ensemble du processus de notre guérison. En cela l’intuition est un outil complémentaire de la médecine conventionnelle. Cette dernière a pour rôle de poser un diagnostic et de proposer un traitement symptomatique. L’intuition quant à elle permet de percevoir les causes profondes de la maladie et nous aide à les résoudre.

Ainsi, si nous utilisons de manière adéquate notre intuition, nous découvrons qu’elle peut nous révéler les causes, même les plus improbables, de notre maladie, et qu’elle peut de surcroît nous guider tout au long de notre processus de guérison. Cet éclairage peut se faire en nous indiquant les changements comportementaux que nous devons adopter, mais aussi en nous guidant vers la ou les personnes qui sauront nous aider à guérir.

Ainsi, lorsque nous apprenons à écouter et à faire confiance à notre intuition, nous découvrons qu’elle est notre plus précieuse alliée sur le chemin de la guérison.

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Amédée

Amédée est thérapeute holistique et conseiller intuitif depuis 17 ans.
Il est le créateur des méthodes Guérir par la Conscience et Les 7 Clés de la Guérison.

Il anime des séminaires, des ateliers et propose des consultations en cabinet ou à distance.

Amédée est l’auteur (avec Brenda) du livre Les 7 Clés de la Guérison.

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Arcanes divins des pierres de la destinée

Posté par othoharmonie le 27 mars 2016

 

 

Une nouveauté sur le marché, un jeu de cartes composé de 48 mystérieux arcanes portant sur les pierres et les cristaux qui, en toute simplicité, divulgue ses secrets. Les mots et les symboles sciemment disposés sur chacun des arcanes facilitent l’apprentissage du jeu et le rendent efficace. À portée de main, le potentiel énergétique du monde minéral, si essentiel à notre bien-être physique, émotionnel et spirituel, est-il ainsi mis à contribution. Nous savons que la magie des pierres transmet continûment ses bienfaits à l’être humain; alors, pourquoi ne pas les utiliser, sous forme de jeu, et nous laisser guider par le dévoilement de notre destinée?

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Que sont les arcanes ?

Les arcanes sont des cartes à jouer, employées comme celles du tarot, qui inspirent grâce à leurs mots clés et symboles aisément décodables. Ce jeu ne contient toutefois aucune des figures traditionnellement associées au tarot, mais présente plutôt des pierres accompagnées de symboles associés, entre autres, aux alliances géométriques. Les 48 cartes de ce jeu sont ainsi réparties en huit alliances géométriques comprenant chacune six cartes distinctes. Inspiré du livre L’influence des pierres – Une approche psychologique…, du Groupe des 5, paru en 2010 aux Éditions Paume de Saint-Germain, et fidèle aux principes qui y sont décrits, le jeu Arcanes divins des pierres de la destinée favorise une meilleure connaissance de soi, préalable à toute transformation profonde et véritable. Il a été conçu pour offrir une guidance permettant de découvrir la juste attitude à adopter lors de situations ambiguës, troubles ou importantes de la vie.

Comment utiliser ce jeu ?

Différentes façons d’utiliser ce jeu sont possibles, et il n’est pas nécessaire d’être un fin connaisseur du monde minéral pour y jouer. Il suffit de faire appel à votre intuition et de désirer apprendre de ces arcanes propres à dévoiler leurs secrets. La plus simple façon d’y jouer consiste à mêler les cartes sur une table et d’en tirer une, ou plusieurs, selon le « tirage » souhaité, en adoptant une attitude d’ouverture à l’aide potentielle qui est générée par l’énergie des pierres. C’est alors que tout devient possible !

Les mots et les symboles figurant sur chacun des arcanes contribuent à une reconnaissance rapide de l’essentiel du message véhiculé. Aussi, pour vous permettre de déchiffrer adéquatement les symboles, et ainsi approfondir « votre lecture », nous vous suggérons de lire les courts textes du livret explicatif qui accompagne le jeu.

Quel tirage choisir ?

Le tirage à une carte consiste à prendre une seule carte qui devient votre guide pour la journée ou votre inspiration en vue d’une décision importante. Les divers symboles et mots clés vous permettent d’effectuer des choix plus éclairés. Le tirage à cinq ou à sept cartes propose une guidance accrue, se révélant alors un outil fort intéressant. En tout temps, une lecture attentive des passages en lien avec les composants des arcanes selon la ou les cartes tirées est ce qui vous aide à en comprendre les subtilités.

Que contient le livret ?

Différents modèles de tirages, leur utilité et déroulement, ainsi que des explications sur les symboles, les mots clés et les alliances géométriques sont trouvés dans le livret. Sous forme de textes courts et simples, ces explications visent à vous aider à mieux vous comprendre et à saisir les facettes de toute situation dans laquelle vous vous trouvez et sur laquelle vous vous questionnez.

Solutions possibles…
Vous serez agréablement étonnés des réponses qui surgiront de ces cartes. Nous-mêmes en sommes fort ravies ! Des solutions inattendues, qui vous guideront et vous aideront à évoluer efficacement dans les diverses sphères de votre vie, vous seront dévoilées par l’entremise de ces arcanes.

Une véritable joie nous a accompagnées lors de la conception de ce jeu. Nous sommes convaincues que ces arcanes divins des pierres de la destinée vous feront aussi sourire et qu’ils sauront vous éclairer lors des prises de décision qui soutiendront vos choix de vie.

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Klaire D. Roy et Jacqueline D. Sylvain

Klaire D. Roy est directrice de l’Institut Mandala du Bouddha de la Médecine, infirmière, auteure et conférencière recherchée.
Jacqueline D. Sylvain est auteure – conférencière – formatrice – lithothérapeute

 

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Le Groupe des 5

 

- Livre Arcanes Divins des pierres de la destinée
- L’influence des pierres

Ces auteures sont publiées par :
Éditions Paume de Saint-Germain
Enseignements universels pour l’évolution de la Conscience moderne.
Lauréates de prix littéraires, les Éditions Paume de Saint-Germain traitent, de façon moderne et innovatrice, de sagesse universelle, de lithothérapie, de bien-être et de transformation intérieure à travers des œuvres se révélant des sources d’inspiration et de réflexion.
www.palmpublications.com

Arcanes divins des pierres de la destinée
Le Groupe des 5 – Éditions Paume de Saint-Germain

Cartes… pierres et cristaux… quelle curieuse alliance ! L’étonnant monde minéral nous convie à soulever le voile de notre destin et à découvrir la juste attitude à adopter lors des périodes troubles ou importantes de notre vie. Composé de 48 cartes, ces arcanes divins, impressionnantes de simplicité et de facilité d’utilisation, sauront vous surprendre et vous intriguer par le dévoilement de leur jeu. Elles sont accompagnées d’un livret explicatif concret, simple et précis.
Les arcanes ont été inspirés par le livre l’Influence des pierres – Une approche psychologique, par le Groupe des 5.
Commentaires de lecteurs :
« 48 cartes de qualité, visuellement attrayantes ! »
« Sujet novateur et intriguant pour tout amateur de cartes »

Par Klaire D. Roy et Jacqueline D. Sylvain
Éditions Paume de Saint-Germain

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En cultivant la présence

Posté par othoharmonie le 27 mars 2016

Interview : 

Quel est l’origine de votre intérêt pour l’anxiété et la souffrance humaine ?

J’ai été confronté au stress et à l’anxiété depuis ma plus tendre enfance, j’ai ressenti très tôt la tension quai permanente qui habitait mon père. Cette tension se rependait dans toute la famille comme un virus et souvent s’en suivait des cris et des paroles regrettables. J’ai assisté impuissant à la mort lente et douloureuse de mon père rongé de l’intérieur par son stress et son anxiété qui lui pourrissaient la tête et le corps tel un véritable cancer. Je n’ai cessé de chercher une façon de l’aider à s’en sortir en lui achetant des livres qu’il ne lisait pas et en lui donnant des conseils qu’il ne pouvait entendre. Il n’a jamais accepté de se faire aider par un professionnel car il redoutait trop de voir ou de toucher à ce qui bouillait en lui. Les seules « aides » qu’il accepta et qui sont resté sa béquille jusqu’à sa mort furent des anxiolytiques et des antidépresseurs qui lui ont permis de survivre sans jamais se soigner réellement. Je pense que les anxiolytiques et antidépresseurs sont utiles pour commencer un traitement mais qu’ils ne peuvent en aucun cas être utilisés comme un traitement car ils ne traitent pas le problème de fond. Ayant été moi-même confronté à ce mal-être j’ai cherché à comprendre quel en était la cause profonde et comment m’en guérir.

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Quel est votre expérience de l’anxiété et de la souffrance ?

Avant que je comprenne que mon père était sous l’emprise de ses blessures et de son insécurité, j’ai souvent pris personnellement ses attaques et cela a contribué à construire en moi la source de ma propre anxiété. Ainsi la souffrance se transmet telle une maladie, Eckhart Tolle appelle cela le transfert intergénérationnel du corps de souffrance. Le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances ne se transmettent pas seulement de génération en génération, elles se transmettent dans toutes les formes de relations et souvent à notre insu car lorsque nous sommes persuadés que la cause de nos tensions sont à l’extérieur de nous, nous nourrissons inconsciemment notre propre souffrance en étant en position de victime dans les situations que nous vivons et dans nos relations. J’ai donc pendant des années blâmé mon père pour ses comportements, me coupant moi-même de ce qui vivait en moi et je constatais avec désarroi que je reproduisais ce que je lui reprochais. Plus je voyais mon père comme la cause de mes difficultés, plus la souffrance grandissait et plus j’étais impuissant face à elle.

Quel est votre chemin de libération ?

Mon expérience de libération des souffrances c’est produite lorsque j’ai commencé à les reconnaitre et à les accueillir en toute conscience, par une mise en lumière qui finalement me permit de les transcender. Ceci ne se produit pas souvent en un atelier ou en lisant un livre, c’est un travail de fond. Nos souffrances ont tant de facettes qu’il est rare d’en prendre conscience et de s’en libérer définitivement en une fois comme ce fut le cas pour Eckhart Tolle. Reconnaître mon opposition à mes souffrances et prendre conscience de cette dualité par la pratique de la présence ou de la pleine conscience me permet de les aborder avec une autre perspective et de commencer à les accueillir et à les transcender une à une dans le seul vrai atelier qu’est la vie. Dans l’atelier pratique  »La présence en relation : Les relations des révélateurs puissants  » nous voyons comment les défis du quotidien et les relations révèlent et mettent en évidence des parties de nous qui ne sont pas encore conscientisées ou mises en lumière et auxquelles nous nous étions inconsciemment identifié.

Accepter la souffrance n’est pas évident pour tout le monde…

Je comprends et je respecte les gens pour qui l’acceptation et l’accueil de leurs souffrances paraît tout simplement insupportable voir impossible. J’ai aussi pendant la plus grande partie de ma vie essayé de me couper de mes souffrances par tous les moyens possibles mais sans réel succès. J’étais loin d’imaginer que ce serait en les embrassant entièrement qu’elles se dissiperaient. Ceci ne m’a été accessible que lorsque j’ai cessé d’avoir peur de mes souffrances en en faisant une expérience consciente dans un cadre sécuritaire et accompagné par des gens qui eux-mêmes, avant moi, avaient fait cette audacieuse expérience de les accueillir pour les transcender. Avant cela, si quelqu’un m’avait invité à accepter ou accueillir mes souffrances, je l’aurais probablement traité de fou en lui rétorquant que je ne suis pas masochiste !

Il ne s’agit en aucun cas de faire l’éloge de la souffrance, le but de ce travail n’est effectivement pas de s’y complaire, mais de la reconnaître pour ce qu’elle est, en cessant de s’y identifier pour lui permettre de se libérer.

C’est en lisant le chapitre à propos du corps de souffrance dans le livre  »Le pouvoir du moment présent » que j’ai enfin pu faire la part des choses, la souffrance de mon père vivait en lui et la mienne en moi. La libération de la souffrance passe par la reconnaissance de ce qui souffre en nous, cette reconnaissance révèle un espace de conscience qui permet de l’accueillir. Nier la souffrance et se couper de cette partie essentielle de notre expérience de vie en voulant s’en débarrasser est vain, et de plus, si cela était possible ce serait passer à coté de ce qui nous permet d’élargir notre conscience et donc de nous éveiller et d’évoluer. Au contraire, la reconnaître entièrement et être en lien avec elle, m’a permis de la transcender et de devenir plus conscient donc plus libre.

Eckhart Tolle écrit à ce propos,  »le feu de la souffrance est la lumière de la conscience ». C’est en vivant entièrement ma souffrance dans le moment présent (le seul endroit ou je peux vraiment la rencontrer) et de façon consciente qu’elle se révèle, se démystifie et se dissout enfin.

Une fois vécue pleinement, elle n’est plus alimentée par des schémas inconscients (cela peut prendre un certain temps, ce n’est pas forcement instantané). Il n’y a donc pas dans cette pratique une volonté d’évitement ou de négation, bien au contraire, mais un accueil complet et inconditionnel de ce qui est vécu …

La souffrance se vit le temps qu’il faut, dans certains cas cela a pris plusieurs semaines pour véritablement transcender une souffrance puisqu’il fallait d’abord que j’accepte de la vivre pleinement. Dans d’autres cas cette alchimie de guérison se produisit plus rapidement. Dans les deux cas j’ai constaté que ce qui avant conditionnait ma vie n’en avait plus le pouvoir, j’en étais entièrement libéré.

Auparavant la souffrance ne pouvait pas être transcendée car j’essayais de l’éviter, de la nier, de ne pas la ressentir, et donc je la perpétuais inconsciemment en lui refusant l’attention bienveillante qu’elle réclamait (c’est une image). Il m’est arrivé aussi de prétendre que je l’accueillais mais avec l’intention de la faire disparaître, il va s’en dire qu’il ne s’agit pas dans ce cas d’un accueil complet et inconditionnel et donc cela ne permet évidement pas une réelle libération.

La libération passe-t-elle nécessairement par un chemin d’ouverture au ressenti et à l’intériorité?

En effet, c’est en portant mon attention à l’intérieur de moi que je fis pour la première fois l’expérience de l’auto-empathie, j’accueillais ma souffrance plutôt que de m’identifier à elle en blâmant les circonstances ou les autres.

Après avoir passé des années à chercher par tous les moyens d’éviter ou d’enterrer cette souffrance, je trouvais enfin la paix en la reconnaissant entièrement, en lui permettant de vivre en moi, de s’exprimer et faire son propre chemin de guérison. En d’autres mots, je laissais aller ce que j’avais retenu depuis des années et je connus dès lors un allègement constant qui a complètement transformé mon expérience de la vie.  Désormais le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances étaient devenus des alliés plutôt que des ennemis, des révélateurs de parties de moi qui étaient restées dans l’ombre ou des élans de vie que je n’écoutais pas.

Certes l’expression de ces souffrances et les manifestations physiques qui les accompagnent ne sont pas toujours plaisantes, et au début ce n’est pas évident de les accueillir. Le premier réflexe est le plus souvent de les repousser ou de se couper de ce qu’on ressent. Je l’ai fais pendant des années et force est de constater qu’au lieu de disparaître, ces souffrances reviennent régulièrement et souvent de plus en plus fort. De plus tout ce que nous refusons de voir et reconnaître en nous a le pouvoir de décider à notre place. Nous nous demandons ensuite ce qui nous a pris, mais ce qui nous a pris est en fait ces souffrances ignorées et accumulées qu’Eckhart Tolle appelle le corps de souffrance.

Thomas d’Ansembourg parle dans sont livre  »Cessez d’être gentil, soyez vrai » de la théorie de la marmite à pression, à force de mettre le couvercle sur nos émotions et sentiments, on fait monter la pression à l’intérieur et le couvercle menace de sauter à chaque. Au contraire, lorsque nous nous habituons à ouvrir le couvercle pour accueillir et laisser sortir un peu de pression, notre expérience de vie est globalement allégée et transformée. C’est en goutant à la joie de la libération que la confiance grandit et que ce chemin d’ouverture au ressenti se construit.

Pour résumer, mon travail s’adresse à celles et ceux qui souffrent et qui sont démunis face à leurs souffrances et sont souvent submergés par elles. J’ai le plus grand respect pour eux car mon père est mort dans cet état sans que je n’aie pu rien y faire et j’ai été de ceux-là la plus grande partie de ma vie. Je propose ce travail avec amour et empathie pour les humains que nous sommes, je souhaite partager une expérience humaine vécue qui peut résonner éventuellement pour d’autres. Je suis très touché lorsque je revois des participants aux ateliers ou à des séances d’accompagnement individuel qui me témoignent des changements profonds et durables qu’ils connaissent en pratiquant la présence dans leur vie.

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Qu’est-ce qui peut selon vous aider à se libérer de l’anxiété et d’autres souffrances ?

La pratique de la présence au quotidien permet de prendre conscience d’un espace de paix à l’intérieur duquel il est possible d’accueillir et de transcender nos souffrances. Nous devons développer notre habilité à être présent et ouvert à tout ce que la vie met sur notre chemin afin que notre état intérieur ne dépende plus des circonstances extérieures. C’est plus difficile d’être présent lorsque nous faisons face à de grands défis, ainsi la présence est une aptitude qui se développe par la pratique et comme pour toute nouvelle discipline, il vaut mieux choisir un contexte favorable pour s’y exercer. Par exemple, on ne commence pas à pratiquer le ski sur une piste noire mais plutôt une piste verte ou bleue et ensuite en développant une aisance, on peut l’utiliser pour faire face progressivement aux contextes plus difficiles. Ainsi dans l’atelier pratique  »La présence au quotidien » je propose des pratiques simples et concrètes qui peuvent être expérimentées et ensuite utilisées en toutes circonstances afin de faire de la présence une nouvelle façon de vivre. Il ne s’agit pas de pratiques contraignantes qui demandent du temps mais plutôt d’une autre façon d’être et de faire ce que l’on fait déjà en y mettant plus d’attention et donc, en élargissant le champ de notre présence à ce qui se passe non seulement à l’extérieur de nous mais aussi à ce qui se passe à l’intérieur du corps et ce, dans le même instant présent.

Il s’agit donc d’un processus de libération qui passe par la présence au ressenti ?

En effet cette aptitude à vivre en lien avec ce qui se passe dans le corps nous permet de comprendre de façon plus intuitive les enjeux réels des défis que nous rencontrons au quotidien et de retrouver notre pouvoir d’agir au lieu de réagir. En d’autres mots, nous pouvons agir plus consciemment et tendre vers une action juste et appropriée en lien avec nos besoins et nos aspirations au lieu de réagir de façon contre productive et inconsciente.

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que votre façon d’être vous apportait parfois le résultat contraire de celui escompté ?

L’apôtre Paul disait  » Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. » . En faisant ce constat moi-même j’ai cherché à comprendre ce qui semblait agir en moi à ma place et à mon insu. J’ai découvert que lorsque je ne suis pas présent à mes pensées et à mes conditionnements, ils prennent les commandes.

En mettant mon attention sur mon ressenti, je peux alors voir clairement ce jeux et choisir consciemment les actions en cohérence avec mes besoins, mes intentions et mes élans de vie. Je suis en lien avec ce que la vie attend de moi et y répond sans être détourné et parasité par le mental. Mon mental est alors au service de la conscience plutôt que le contraire. La relation à l’existence est plus directe et intuitive au-delà des interprétations et programmations inconscientes. Avec cette attention dans la présence, les impostures sont révélées et la vérité s’impose d’elle-même. De la même façon nos souffrances sont misent en lumière et reconnues pour ce qu’elles sont, c’est-à-dire une interprétation personnelle d’une situation, un point de vue qui manque de recul et qui est aveuglé par son identification au soi-disant problème.

Le mental à fait d’un évènement SON problème et c’est bien ce rapport à MOI (ego) qui est la cause de la souffrance. Soumis à la lumière de la présence, ces schémas de l’égo et du corps de souffrance se déconstruisent et se dissolvent d’eux-mêmes ne laissant que la présence consciente en harmonie avec  »ce qui est ».

Concrètement, une séance commence par une pratique de pleine conscience suivi d’une observation neutre des impressions et ressentis corporels en lien avec ce qui semble être un problème à résoudre, une peur à dépasser, un mal-être dont nous pensons connaître l’origine ou non ou un choix important à faire dans notre vie.

Notre façon habituelle d’aborder une difficulté nous incite à générer des tas de pensées et d’hypothèses dans l’espoir de trouver une solution, une idée qui va nous aider à en sortir. Au fil de notre réflexion, les pensée se bousculent, se recoupent les unes les autres et rentrent souvent en contradictions. Alors que nous pensons approcher du dénouement, un doute s’installe et une autre pensée semble être plus appropriée, elle-même est remplacée par une autre et parfois 3 ou 4 pensées tournent en rond ainsi pendant des heures. Soudain par chance ou grâce à un léger relâchement du mental causé par la lassitude nous venons de toucher une pensée qui résonne en nous et là enfin nous ressentons physiquement une impression de soulagement, d’apaisement.

C’est donc notre ressenti qui nous indique la justesse de nos pensées, Eckhart Tolle dit  »si il semble y avoir un conflit entre le mental et le corps, la mental mentira alors que le corps dira la vérité ». Le processus d’accompagnement par la présence part des sensations et des impressions corporelles qui se traduisent ensuite en pensées, ce chemin est beaucoup plus direct et évite tous les méandres du mental. C’est une démarche plus intuitive qu’intellectuelle et c’est pour cela qu’elle me convient car elle me protège des  »embrouilles » de mon mental très productif.

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Quels sont selon vous les bénéfices retirés d’une telle démarche ?

Ils sont nombreux mais je pourrais dire en autre qu’elle nous permet d’être plus conscient de notre réalité, de faire la différence entre la réalité et nos perceptions conditionnées, d’être plus ancré dans notre corps et moins dans notre mental, d’être plus en lien avec qui nous sommes vraiment et nos intuitions, d’être en relation plus harmonieuse avec ceux qui nous entourent (conjoint, enfants, amis, patron, collègues de travail, etc.), de nous sentir vivant, heureux et libre, d’être plus créatif (dans nos relations, notre travail, notre expression), de vivre la plénitude de la vie que nous avons choisie, d’être surpris de découvrir tout ce que nous sommes capable d’accomplir que nous pensions jusque là impossible, de jouir d’un bien-être, d’une plénitude et d’une paix intérieure sans aucune raison extérieure.

Par Pascal Hastir sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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L’illumination, c’est s’élever au-delà de la pensée

Posté par othoharmonie le 26 mars 2016

La pensée n’est-elle pas indispensable pour survivre en ce monde ?

Votre mental est un outil, un instrument qui est là pour servir à l’accomplissement d’une tâche précise. Une fois cette tâche effectuée, vous déposez votre outil. Je dirais ceci : telles que sont les choses, environ quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de la pensée chez l’humain est non seulement répétitive et inutile, mais aussi en grande partie nuisible en raison de sa nature souvent négative et dysfonctionnelle. Il vous suffit d’observer votre mental pour constater à quel point cela est vrai. La pensée involontaire et compulsive occasionne une sérieuse perte d’énergie vitale. Elle est en fait une accoutumance. Et qu’est-ce qui caractérise une habitude ? Tout simplement le fait que vous sentiez ne plus avoir la liberté d’arrêter. Elle semble plus forte que vous. Elle vous procure également une fausse sensation de plaisir qui se transforme invariablement en souffrance.

Pourquoi serions-nous des drogués de la pensée ?

Parce que vous êtes identifiés à elle et que cela veut dire que vous tirez votre sens du moi à partir du contenu et de l’activité du mental. Parce que vous croyez que si vous vous arrêtez de penser, vous cesserez d’être. Quand vous grandissez, vous vous faites une image mentale de qui vous êtes en fonction de votre conditionnement familial et culturel. On pourrait appeler ce « moi fantôme », l’ego. Il se résume à l’activité mentale et ne peut se perpétuer que par l’incessante pensée. Le terme « ego » signifie diverses choses pour différentes gens, mais quand je l’utilise ici, il désigne le faux moi créé par l’identification inconsciente au mental.

Aux yeux de l’ego, le moment présent n’existe quasiment pas, car seuls le passé et le futur lui importent. Ce renversement total de la vérité reflète bien à quel point le mental est dénaturé quand il fonctionne sur le mode « ego ». Sa préoccupation est de toujours maintenir le passé en vie, car sans lui qui seriez-vous ? Il se projette constamment dans le futur pour assurer sa survie et pour y trouver une forme quelconque de relâchement et de satisfaction. Il se dit : « Un jour, quand ceci ou cela se produira, je serai bien, heureux, en paix. » Même quand l’ego semble se préoccuper du présent, ce n’est pas le présent qu’il voit. Il le perçoit de façon totalement déformée, car il le regarde à travers les yeux du passé. Ou bien il le réduit à un moyen pour arriver à une fin, une fin qui n’existe jamais que dans le futur projeté par lui. Observez votre mental et vous verrez qu’il fonctionne comme ça.

livre tollé

Le secret de la libération réside dans l’instant présent. Mais vous ne pourrez pas vous y retrouver tant et aussi longtemps que vous serez votre mental.

Je ne veux pas perdre ma capacité d’analyse et de discernement. Je ne suis pas contre le fait d’apprendre à penser plus clairement, de façon plus pénétrante, mais je ne veux pas perdre ma tête. Le don de la pensée est la chose la plus précieuse que nous ayons. Sans elle, nous ne serions qu’une autre espèce animale.

La prédominance de la pensée n’est rien d’autre qu’une étape dans l’évolution de la conscience. Il nous faut passer à l’étape suivante de toute urgence. Sinon, le mental nous anéantira, car il est devenu un véritable monstre. Je reparlerai de ceci plus en détail un peu plus loin. Pensée et conscience ne sont pas synonymes. La pensée n’est qu’un petit aspect de la conscience et elle ne peut exister sans elle. Par contre, la conscience n’a pas besoin de la pensée.

Atteindre l’illumination signifie s’élever au-delà de la pensée, ne pas retomber à un niveau situé en dessous de la pensée, soit celui du règne végétal ou animal. Quand vous avez atteint ce degré d’éveil, vous continuez à vous servir de votre pensée au besoin. La seule différence, c’est que vous le faites de façon beaucoup plus efficace et pénétrante qu’avant. Vous vous servez de votre mental principalement pour des questions d’ordre pratique. Vous n’êtes plus sous l’emprise du dialogue intérieur involontaire, et une paix profonde s’est installée.

Lorsque vous employez le mental, en particulier quand vous devez trouver une solution créative à quelque chose, vous oscillez toutes les quelques minutes entre la pensée et le calme, entre le vide mental et le mental. Le vide mental, c’est la conscience sans la pensée. C’est uniquement de cette façon qu’il est possible de penser de manière créative parce que c’est seulement ainsi que la pensée acquiert vraiment un pouvoir. Lorsqu’elle n’est plus reliée au très grand royaume de la conscience, la pensée seule devient stérile, insensée, destructrice.

Essentiellement, le mental est une machine à survie. Attaque et défense face à ses « congénères », collecte, entreposage et analyse de l’information, voilà ce à quoi le mental excelle, mais il n’est pas du tout créatif. Tous les véritables artistes, qu’ils le sachent ou pas, créent à partir d’un état de vide mental, d’une immobilité intérieure. Puis, c’est le mental qui donne forme à l’impulsion ou à l’intuition créative.

Même les plus grands savants ont rapporté que leurs percées créatives s’étaient produites dans des moments de quiétude mentale. Une enquête effectuée à l’échelle nationale auprès des plus éminents mathématiciens américains, Einstein y compris, a donné des résultats surprenants. Questionnés au sujet de leurs méthodes de travail, ils ont répondu que la pensée ne « jouait qu’un rôle secondaire à l’étape brève et déterminante de l’acte créatif lui-même ». Je dirais donc que la simple raison pour laquelle la majorité des scientifiques ne sont pas des gens créatifs, c’est qu’ils ne savent pas s’arrêter de penser et non pas qu’ils ne savent pas comment penser !

Ce n’est pas la pensée, le mental, qui est à l’origine du miracle de la vie sur terre ou de votre corps. Et ce n’est pas cela non plus qui les sustente. De toute évidence, il y a à l’oeuvre une intelligence qui est bien plus grande que le mental.

Comment une seule cellule humaine mesurant 1/2500 de centimètre de diamètre peut-elle contenir dans son ADN des informations qui rempliraient un millier de livres de six cents pages chacun ? Plus nous en apprenons au sujet du fonctionnement du corps, plus nous réalisons le caractère grandiose de l’intelligence qui est à l’oeuvre en lui et la petitesse de notre savoir.

Lorsque le mental se remet en contact avec cette réalité, il devient le plus merveilleux des outils et sert alors une cause bien plus grande que lui.

Eckart TOLLE


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Par Eckhart Tolle sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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La méditation c’est un mode vie

Posté par othoharmonie le 26 mars 2016

 

La méditation n’est pas une nouvelle religion, une nouvelle discipline,
c’est un mode de vie, un outil qui me permet d’avoir un rapport libre
et ouvert avec tout ce que je vis.

attitude

Pendant des années je me suis souvent senti confiné et limité dans ma personnalité, dans mon ego.
Pour dépasser ces limites j’ai commencé à méditer, à m’observer pour apprendre à me connaitre, et je me suis rendu compte que j’étais autre chose que cette personnalité. J’ai découvert un espace, une conscience en moi qui a la capacité de tout observer ; mes gestes, mes émotions, mes pensées, mes attitudes, mes actions et réactions, etc.

Cette conscience est spacieuse, ouverte et me permet de voir et de comprendre comment je fonctionne. Je me suis aperçu que la plupart du temps je réagissais un peu comme un robot avec des automatismes. Des automatismes et des attitudes qui ressemblaient étrangement à celles de mes parents. je ne voulais pas ni ne pouvais y croire (mais enfin, je suis complètement différent de mon père ou de ma mère !) et pourtant plus je m’observais et plus je notais que j’avais les mêmes réactions que mon père face à des situations bien précises. Rien de tragique, c’est tout à fait naturel et normal, l’enfant copie inconsciemment ses parents et apprend à réagir d’une certaine façon en fonction du type d’éducation et du milieu familial dans lequel il évolue.

Mais il était clair que mon sentiment d’être limité et confiné était lié à tous ces automatismes que je répétais aveuglément. Après quelques expériences avec diverses techniques de méditation, j’ai senti très fort que la méditation était le moyen de m’ouvrir, de ne plus agir par ces automatismes et de découvrir mon être naturel.

Je suis donc parti en voyage pour savoir qui je suis et j’ai pris le chemin qui me plaisait le plus pour découvrir le potentiel que la vie m’a donné. Mon chemin c’est la méditation. La méditation c’est l’espace dans lequel je suis moi-même, tout nu, tout libre, tout naturel, en harmonie avec l’existence.

Grâce à la méditation, plus je deviens conscient de mes automatismes et plus un changement se met en place. Le simple fait d’en prendre conscience les débloque petit à petit. Je comprends aussi qu’il ne me faut rien rejeter, rien juger, rien condamner, seulement observer et comprendre.

La méditation me donne une voix, une sagesse intérieure qui me guide et me conduit à appliquer ma propre discipline, à respecter et à aimer les autres et la vie non pas par imposition ou par idéologie, mais par une conclusion naturelle venant de mes propres aventures, expériences, relations et rencontres de vie.

Que de joie que de rentrer en contact avec moi-même, avec ma vraie nature. Que de joie que de me sentir chaque jour un peu plus libre de l’emprise de mon ego. Cet être véritable que je suis me donne entière satisfaction, il est fluide, il est limpide, il a son authenticité et il me donne entièrement confiance en la vie.

Je n’ai besoin d’aucunes qualités ou disciplines particulières pour accéder à mon espace de méditation, à ma conscience, car elle est déjà en moi. Le problème était que je ne lui prêtais pas assez attention. Je lui donne donc plus d’attention maintenant au lieu de donner cette même attention aux va et vient de mes pensées, aux histoires que mon ego me raconte, à refaire le passé ou à m’inquiéter du futur. Dès que je m’aperçois que je suis pris dans une histoire, il me suffit de le voir, comprendre que c’est une histoire et revenir au moment présent. Etre présent à ce que je vis est ma méditation quotidienne. Si j’observe que mon mental m’envoie ailleurs dans une histoire imaginaire, je le vois et donc sans lui donner aucune importance, aucune énergie, l’histoire s’évapore et je reviens à ce que je vis dans le présent.

La méditation me fait voir les choses comme elles sont sans avoir besoin de les interpréter ou de les juger.
Elle m’ouvre tout simplement à voir la vie comme elle est. Je ne cherche pas à atteindre un but ou un certain état d’être, ni accomplir quelque chose de spécial, être présent est suffisamment plein en soi. Vouloir atteindre quelque chose me créait sans cesse un sentiment d’inachevé, de mécontentement, cela m’efforçait de chercher quelque chose ailleurs alors que tout se trouve ici. Etre maintenant totalement dans ce que je fais ou dans ce que je suis. C’est si simple. Trop simple. L’ego est attiré par le compliqué, l’extraordinaire, le spécial… La vie est faite de petites choses ordinaires ; marcher, cuisiner, travailler, jardiner, chanter, rire, blaguer, nager, prendre un bain de soleil, s’asseoir en silence, parler avec des amis, ne rien faire, etc.

Avec la méditation je n’ai besoin d’aucune attache à une religion ou à un mouvement religieux ou spirituel en particulier. La méditation c’est ma voie intérieure personnelle, mon état d’être.

La méditation me révèle ce qui est faux en moi, elle me montre clairement ce qui ne m’appartient pas, ce qui me dérange, ce qui bloque le flot naturel de ma vie. Tout naturellement, cela m’incite à ne plus m’identifier à ce qui est faux en moi, à ce qui ne m’appartient pas. Et quand le faux s’en va, le vrai apparait, il prend tout simplement sa place et s’installe confortablement dans mon être.

L’effort ce n’est pas de changer, c’est d’être attentif à ce qui est, à ce que je suis. Le changement vers plus d’authenticité se fait de lui-même. Le changement forcé n’a pas de valeur, il n’a pas de racines. Seul le changement naturel issu de la conscience et de l’expérience a une intégrité, une durabilité, une autorité.

La méditation est une voie très ordinaire qui m’invite à vivre ma vie quotidienne dans toute sa simplicité. Etre conscient c’est comme une sorte de filtre qui élimine naturellement ce qui est faux et qui laisse passer ce qui est vrai.

Je respire continuellement et je ne m’en rendais pas compte. J’ai une conscience qui est toujours présente et je ne le savais pas. Je me sentais confiné et limité car j’étais obsédé, accaparé, prisonnier de mes pensées et de mes émotions. La méditation est la libération de cette obsession, de cette prison, c’est remettre de l’ordre en soi.

La méditation n’est pas une nouvelle religion, une nouvelle discipline, c’est un mode de vie, un outil qui me permet d’avoir un rapport libre et ouvert avec tout ce que je vis. La méditation ne me demande pas de me raser la tête, de changer de vie et de vêtements, de suivre des rituels ou une discipline de rigueur. Les chakras, les auras, les mantras, les au-delà, les anges, les archanges, les canalisations, les modèles traditionnels religieux et les mouvements spirituels, tout cela ne me parle pas vraiment. La vie quotidienne est suffisante et donne tout ce dont j’ai besoin pour apprendre et être moi-même.
Et quelle liberté !

La méditation c’est immédiat, c’est maintenant !
C’est allumer la lumière à l’intérieur de soi pour y voir clair.
Ce n’est pas pratiquer pour atteindre quelque chose, c’est simplement reconnaitre et accepter ce que je suis maintenant !
La méditation agit toujours immédiatement, c’est un outil pour le présent, elle ne connait ni le passé ni le futur.

1 perle

Accepter ce moment comme il est.
Ne pas vouloir être plus heureux, être heureux.
Ne pas vouloir être plus riche, être satisfait.
Ne pas vouloir être plus, être soi-même.
Ne pas vouloir être plus libre, être libre.
Ne pas vouloir être ailleurs, être ici.

L’émergence, la cristallisation de mon être arrive d’elle-même, rien n’est requis ni attendu. Mon potentiel s’installe tout naturellement pendant mon voyage. Mon être véritable et naturel se construit, se crée et se révèle au fil de mes expériences, au fil de mes reconnaissances, au fil de mes observations, au fil de mes réalisations personnelles.

Je ne renonce à rien et je vis pleinement en intégrant tout ce que j’apprends par l’observation quotidienne de moi-même.
Les choses vont et viennent dans ma vie, je remarque que certaines choses qui avaient de l’importance à un certain moment, n’en ont plus aujourd’hui. Ce qui m’excitait avant ne m’excite plus aujourd’hui. Les choses bien vécues ont tendance à disparaitre d’elles-mêmes. Je n’ai plus besoin de conditions particulières, de faire quelque chose ou d’être avec des personnes en particulier, pour me sentir bien. S’asseoir en silence et ne rien faire ! Une chose très simple et ordinaire qui cache un nectar invisible extraordinaire. Le goût de la méditation est indescriptible, insondable, infini, intarissable.

Je n’agis pas en fonction d’idéologies ou d’idées préconçues. Je suis simplement ce que je suis, observateur, attentif à tout ce qui se passe en moi. Cela me suffit. Cela me remplit. La méditation c’est mettre toutes les parties de mon être en harmonie. Le corps, le mental, la conscience, rien n’est à rejeter, tout a une fonction, et quand tout est à sa place, alors mon être est accordé, il peut chanter sa chanson, jouer sa musique, il peut alors exprimer naturellement, sans se forcer, le potentiel que la vie lui a donné.

La méditation c’est le moyen de transport de mon voyage vers la découverte de moi-même.
Ce qui est magnifique c’est qu’une fois en route, tout se fait de lui-même, par la conscience et l’expérience. La vie m’emmène là où je dois être et me mets face à tout ce que je dois apprendre. Je ne peux rien et ne veux rien éviter. Je veux tout vivre et tout comprendre par moi-même.

Avec la méditation je suis libre, je n’ai pas de cartes à suivre. C’est la grande liberté de prendre totale responsabilité de ma vie et de suivre mon propre chemin selon ce que me dicte ma sagesse intérieure.
Plus je comprends comment mon ego me manipule et plus je m’en libère et plus je suis libre.

J’ose me laisser aller, je n’ai pas peur de faire des erreurs. Je m’expose pour me voir, me découvrir. Mon inconscient est plein, il faut le vider, l’exposer pour que tout devienne clair et limpide.  Si je me retiens dans mon attitude face à ce que je vis, je ne suis pas en mesure de me comprendre entièrement et de mettre au grand jour ce qui sommeille en moi. Oser être, oser vivre tout en gardant ma vigilance intérieure.
Tout est permis et il n’y a pas de raccourci.
Tout est possible et rien n’est vraiment sérieux.
J’aime ce voyage intérieur.

C’est un simple voyage, un parmi tant d’autres. Il y a des milliards d’êtres humains, chacun avec son histoire et son voyage, personne n’est mieux ou plus qu’un autre, tous uniques, différents, utiles et nécessaires à ce grand jeu de la vie. Je joue le jeu sans but et sans attente avec la conscience de n’être que l’observateur d’une vie qui se manifeste en moi chaque jour. Tout fonctionne à merveille dans cet univers composé de millions et de millions de galaxies (on ne peut même pas les compter !).
L’infini est là devant mes yeux. Je suis minusculeusement minuscule.

Plus je vis et plus j’apprends.
Plus j’apprends et plus je connais.
Plus je connais et moins je connais.
Moins je connais et plus je suis naturellement ce que je suis.
Je suis uni-vers la vie.

Jean-Claude
coordinateur et webmaster de meditationfrance.com

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La Présence de la SOURCE

Posté par othoharmonie le 24 mars 2016

Refuge

Prenez de plus en plus conscience de la Présence du Divin, en vous et autour de vous. Dans le silence de votre être essentiel, après avoir fait le vide dans vos pensées et ouvert votre coeur, ressentez la Présence dans chacune de vos cellules…

Laissez le contact s’établir en savourant cet “enveloppement” agréable et affectueux de la Source, semblable à celui d’une mère pour ses enfants. Car vous êtes ses enfants chéris, la “prunelle de ses yeux” par lesquels Elle voit et apprécie sa Création. 

Laissez-vous porter par la vague irrésistible de Lumière et d’Amour qui arrive en ces temps bénis, cette vague qui nettoie chacune de vos cellules, chacun des brins de vos spirales d’ADN, les purifie, les sanctifie et leur insuffle le nouveau programme de Vie. En fait, c’est moins un nouveau programme qu’une reprogrammation, une redécouverte de QUI vous êtes vraiment : un enfant aimé et chéri de la Source qui retrouve ses origines, sa Terre promise, celle qu’il n’a jamais quittée. 

Ressentez cette Présence, baignez-vous dans cette Présence et louez-la du plus profond de votre coeur. Ces retrouvailles célestes sont une véritable bénédiction. Vous la ressentez de plus en plus et vous allez encore plus la VIVRE dans les mois qui viennent. Vous n’êtes qu’au début de vos découvertes, qu’aux premières minutes de votre Réveil. Cela va s’intensifier dans les temps à venir, chacun à son rythme et chacun selon sa capacité à l’intégrer.

Cette vague de Lumière, un puissant rayonnement Gamma en provenance d’une super nova, va toucher tous les êtres vivants sans exception. Ce n’est point un “châtiment divin” ni une malédiction des forces des ténèbres, elle est voulue par la Source pour que votre Terre évolue dans une nouvelle dimension. Cette irradiation est mille fois plus puissante que celle d’une bombe atomique mais elle ne vous affectera pas de la même manière, ne vous inquiétez pas. En purifiant et en illuminant vos brins d’ADN, elle les cristallise afin que vos perceptions deviennent plus fines, plus aérées et plus lumineuses. 

Certains êtres humains auront du mal à les intégrer et, dans un premier temps, auront l’impression de “péter les plombs”. Qu’ils laissent passer la Vague, en faisant totalement confiance en la Lumière. Comme lors d’une douche froide, qu’ils serrent les dents en attendant patiemment que cela s’arrête. Et ensuite, ils apprécieront grandement le nettoyage effectué…
Une véritable renaissance, une mise à niveau sur tous les plans de l’être : émotionnel, mental, spirituel, une bénédiction qui leur permettra de passer au stade supérieur de l’évolution.

Vous qui êtes préparés à la recevoir, accueillez cette Vague comme vous accueilleriez l’un de vos proches ou l’être aimé: les bras ouverts, le coeur confiant et le sourire aux lèvres.

Cette Vague, nécessaire à la Transition, fait partie du Plan divin, qu’elle ne vous effraie pas. Elle permet le “basculement” dont nous vous avons déjà parlé.

Entre-temps, ressourcez-vous le plus possible en vous connectant à la Présence. Plus vous le ferez, plus grands seront les bénéfices que vous en tirerez.

La Source ne souhaite que du bonheur pour ses enfants chéris. Ressentez, au plus profond de votre coeur, son Amour infini…

Ressentez sa Présence, en vous et autour de vous.

 

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Extrait du livre « Semences pour la Nouvelle Terre ».
© 2016 Patrick Giani
http://www.giani.fr/SemencesNouvelleTerre.htm

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De la chrysalide au papillon

Posté par othoharmonie le 23 mars 2016

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Bien que vous soyez conscients de la Source en vous et que vous soyez proches de la libération par la Transition, certains d’entre vous éprouvent quelques difficultés à rompre avec le passé.

Nous l’avons évoqué précédemment, certains liens karmiques se dissolvent difficilement et il faut du temps pour que les “mises à jour” se fassent. Néanmoins, cette époque cruciale facilite la tâche pour certaines âmes, notamment celles qui ont déjà bien avancé dans le travail sur Soi.

Quelquefois, il suffit d’un simple déclic, d’une prise de conscience inopinée, suite à une situation particulière, pour que le déclic ait lieu. Mais le plus souvent, ce sont des épreuves qui facilitent cette prise de conscience de QUI vous êtes réellement et de ce dont vous devez vous défaire afin de quitter le cocon de la chrysalide. Non point parce qu’il paraît sécurisant, mais à cause de la peur de l’inconnu.

Le papillon est loin de se douter du bonheur qui l’attend avant de quitter le cocon, et il appréhende son devenir avec une certaine inquiétude. Toutefois, comme l’ETRE essentiel qu’il est sait, connaît déjà toutes les phases de son évolution, la Vie le pousse irrémédiablement à aller de l’avant.

La chenille doit se souvenir de la façon dont elle se libère de ses entraves. Elle doit prendre conscience de tout ce qui l’empêche d’opérer sa mutation, sa métamorphose.

Ainsi, elle aura à briser certains liens qui l’empêchent d’avancer, à laisser les habitudes et les conditionnements néfastes derrière elle. Elle devra affronter ses peurs, ses angoisses personnelles surtout, à les dépasser en faisant confiance en la Vie, au déroulement naturel de l’espace et du temps, en elle et autour d’elle. Elle devra laisser derrière elle le cocon sécurisant, s’adapter aux nouveaux besoins de croissance et de développement, faire évoluer la structure même du cocon autour d’elle afin de lui permettre de faire pousser ses ailes à peine naissantes. C’est une étape souvent douloureuse parce que ses ailes sont très minces, diaphanes et surtout fragiles.

Ses besoins vitaux changent également, elle ne se nourrit plus de la même façon. Ses yeux ne sont plus tournés uniquement vers l’intérieur et elle commence à s’adapter à sa nouvelle vision, celle du monde extérieur…

En luttant ainsi contre ses peurs et ses démons intérieurs, qui aimeraient bien la retenir dans le passé, la chrysalide découvre cependant à l’intérieur d’elle-même une force insoupçonnée qui la pousse à poursuivre sa mutation. Cela est même plus fort que tout. C’est un désir profond de vaincre les difficultés et de briser toutes les barrières qui l’empêchent de devenir ce qu’elle doit être.

Car elle le sait à présent, elle en est convaincue.
Elle sait, en faisant l’effort de déployer ses ailes, qu’elle est déjà un beau papillon. Il ne lui reste plus qu’à renforcer la structure de ses ailes, à les rendre plus solides, plus souples aussi, et à se débarrasser de cette “colle” encore contraignante dont elles sont encore imprégnées.

Elle sait maintenant que la liberté est proche, elle l’entrevoit en rêve, elle se voit déjà voler…
Puis, un beau jour, sans aucun effort, aidée par la lumière d’un beau matin ensoleillé, elle déploie ses ailes magnifiques, en conscience, ouvrant grands les yeux sur ce Nouveau Monde qui lui apparaît, et elle prend son envol.

La chenille n’est plus.
Elle vit désormais sa vie de papillon.
Elle est libre comme l’air. Elle le devient, même.
Elle est enfin elle-même.
SOIS TOI MÊME !

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Extrait du livre « Semences pour la Nouvelle Terre ».
© 2016 Patrick Giani
http://www.giani.fr/SemencesNouvelleTerre.htm

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Laisser vivre la vie en soi

Posté par othoharmonie le 23 mars 2016

 

A quel but doit répondre notre vie ? Où se diriger ? Grandir en soi est-il possible et comment aller dans l’épanouissement ? Cette quête n’est-elle qu’un rêve ?

Qui, un jour, ne s’est pas posée la question du véritable sens de sa vie ?

Qui suis-je, où vais-je, sommes-nous seuls dans l’univers ?

Qu’est-ce qui m’attend lorsque mon corps aura terminé son passage sur terre. Y a t-il une vie après la mort ?

Et cette vie, si elle est éternelle, quel sens prend-elle ?

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La plénitude de l’instant

Issus des civilisations, des religions, les maîtres de sagesse ont sondé leur cœur, leur vie, les autres hommes pour apporter la réponse. Le but ultime de la quête n’est ni l’extase, ni la libération. C’est la sagesse de vivre dans l’instant présent. S’affranchissant du va et vient du mental redécouvrir la beauté révélée du moment présent, sa puissance, sa grandeur. La vie est là, j’y suis entier et vrai.

Le chemin du chercheur est long et, dit-on, parsemé d’embuches. Notre voyageur trouvera-t-il un sens à sa vie ? Il n’est plus le commun des mortels qui satisfait les besoins du corps, mange, boit, dort, se reproduit, vieillit et meurt.
L’éternelle quête devient celle qui satisfait l’esprit. Quelle que soit sa voie spirituelle, la vie quotidienne se transforme en un incroyable défi de choisir et de mettre en pratique un ou des enseignements.

Etre, c’est se laisser pénétrer par la vie ; l’accueillir. L’accueil réclame l’humilité puisque réfléchir est déjà choisir. Méditer, c’est vivre l’instant. La force de l’instant devient joie. Observer ou être ? Le méditant vit l’expérience et ne choisit pas… La vie est, tout simplement, dans l’instant.

Pour une bonne pratique, tout méditant sait qu’il lui faudra déjouer certains pièges et trouver l’enseignement authentique dans cette jungle du bizness spirituel.

Il n’y a pas de méditation réussie ou ratée, le processus de l’observation est lui-même la méditation. Emotions, pensées, sensations glissent comme des nuages dans un ciel pur, l’observateur demeure dans la nature véritable de son esprit. Non action ou pensée ? Il ne s’agit plus de choisir mais d’accueillir ce qui est.

Mais notre mental dévie. Par lui, les enseignements sont régulièrement détournés, réinterprétés. Découragement, doutes, questionnements, remises en questions, changements de voie ou de maître, si maître il y eût. La quête demeure quête du sens. Point d’assurance sur le résultat.

Certains deviendront végétariens…c’est bon pour la planète ! D’autres abstinents….c’est bon contre la surpopulation ; d’autres encore établiront une communauté spirituelle, c’est bon contre la crise du logement.

Mais encore !!!

La quête devient parfois poursuite d’effets spéciaux… gadgets du new age, la panoplie est large, le bonheur n’est guère à la clé.

Que devient l’expérience de l’être. La résonance de vérité nous sert à reconnaître ce qui est réel et fait avancer sur la voie choisie.

Parfois, le voyageur s’égare vers un but inatteignable. Et pourtant, n’est-il pas vrai que « Vous n’êtes pas de la Terre, vous venez des étoiles. » La conscience s’étend sur l’infini et interroge le ciel.

Et Dieu dans tout cela ? Il est trop loin, trop abîmé par les religions qui l’ont vidé de son sens. Il semble qu’il faille abandonner l’idée d’un Dieu à visage humain et entrer dans l’expérience du divin qui transcende toutes notions.

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Donner naissance à cette réalité

Cette expérience est donnée par la méditation. Elle favorise un véritable éveil à ce qui est .Elle transforme en conscience l’énergie dispersée dans les pensées.
Une méditation authentique permet de découvrir qu’il faut demeurer dans son être, qu’il ne faut aller nulle part ; se réfugier dans les Himalayas ? Notre ombre nous y attend dans la grotte

Vivre ici et maintenant et donc transcender la réalité suffit. Cette réalité filtrée par nos sens et par nos lunettes, qu’elles soient noires, roses ou dorées.

La quête du sens alors peu à peu s’estompe …le voyage devient sans but. Dés l’aube, ai-je trouvé ce qui apporte à ma vie une joie sans cause ?

Pour avoir la tête dans les étoiles, mes pieds doivent être enracinés, mon cœur grand ouvert. Et cela suffit à accueillir cette vie.

Patricia Menetrey

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LE CHANT DES BOLS TIBETAINS

Posté par othoharmonie le 22 mars 2016

 

 

Est-elle véritablement Zen, cette rentrée?

Il faut rester centrée pour retrouver parmi tous ces exposants, le secret de la Zénitude : chacun tente de vous vendre son produit ou sa recette miracle. Ecole de formation, stages divers, outils de développement personnel, musique new âge, artisanat, compléments alimentaires … tout cela pourrait donner le sentiment d’avoir parfois affaire aux nouveaux marchands du temple…

1 Patrica

Certains stands attirent plus le regard, une envie de s’arrêter devant une peinture sur soie, un parfum d’authenticité avec les huiles essentielle qui reconnectent à l’essence dont on a tant besoin. C’est super. Et je vais dans une vibration différente avec un massage des pieds ou une lecture d’aura. Tant de choses sont à découvrir qui veulent nous mener au mieux-être, moyennant finances. Mais au fil des allées, il n’est pas aisé de faire son choix entre trop belles promesses et réalité.

Pour les femmes en quête de leur identité, une jeune revue est apparue: « Rêves de femmes ». Une voie féminine pour être uni…vers…elles, pour la nouvelle conscience.

Toutes ces technique ou approches proposées peuvent-elles ouvrir des horizons nouveaux et permettre le commencement d’un mieux-être ? Un stage, un livre peuvent-ils à eux seuls transformer notre quotidien ? Ce salon Zen apporte la preuve que la diversité s’élargit, que des choix deviennent possibles, que la conscience grandit et se matérialise dans des offres pour la santé, le mieux-être et le devenir plus…

C’est un oui à la vie. Pour ceux qui en ont besoin une thérapie peut démarrer un processus. A mes yeux, y ajouter la connaissance de soi, une méditation appropriée accélère grandement cette transformation. Est-ce le but de ce salon de plus en plus visité ? Je laisse à chacun le soin d’y répondre…

Mirabai Ceiba, c’est avant tout la rencontre de deux artistes Angelika Baumbach et Markus Sieber. Influencés par la musique indienne et amérindienne, ils parcourent le monde depuis 2001 afin de partager leurs musiques. Les voici pour la première fois à Paris. Patricia Betsch a réussi le pari incroyable d’organiser ce concert en un temps record.

Mais le public répond présent et sort peu à peu de cette réserve bien française. Prana yoga, mantras repris en cœur, nous font glisser subtilement vers l’espace du cœur.
Leur pratique spirituelle se ressent dans la qualité du concert…c’est elle qui permet ce subtil passage pour le public du formel à l’intemporel.
Une sorte de grâce les anime, si l’on croit au concept de l’âme sœur, ils en semblent la représentation vivante. Le yin et le yang s’interpénètrent au fil des sons.
Lorsque la fin du partage approche, c’est à regret que nous vous quittons ! Angelika et Markus, il nous reste vos disques. Rien ne remplace une présence, mais pour tous nos lecteurs, ces disques offrent l’occasion de découvrir des harmonies sonores devenues trop rares de nos jours.

Voir l’interview audio en anglais faite par Patricia
avant le concert.

1 Patricia MENETREY

Patricia Menetrey

Patricia donne des séances à Paris de Bols tibétains, chants sacrés, massages, lecture d’aura et rééquilibrage énergétique.
Cliquez ici pour voir sa page web sur meditationfrance

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Soigner les malades et sauver les âmes

Posté par othoharmonie le 22 mars 2016

 

 CHAMANISME

Dans la vision chamanique du monde, la maladie n’a qu’un nombre limité de cause possibles. L’âme ou les âmes d’un individu peuvent s’égarer, et l’âme du chamane se rendre dans le monde des esprits pour lutter en sa faveur et la rapporter. Autrement, on peut trouver un objet étranger, par exemple une chenille poilue ou un éclat d’os, logé dans le corps du malade. Il y aura été placé par des esprits, ou encore, un sorcier aura plongé une fléchette magique dans le corps du patient. Dans ce cas, il y a quelque chose d’excédentaire à l’intérieur du patient qu’il faut enlever. 

Le chamane l’extraira en le suçant et le montrera peut-être au patient et aux spectateurs. Dans ces circonstances, on pourra recourir à la transe. Pourtant le vol de l’âme sera peu probable parce que le problème ne se trouve pas dans le monde des esprits mais ici, dans le monde physique. 

Si un ennemi vivant est impliqué dans les causes d’un mal, alors le chamane tentera de l’atteindre par magie, puisque l’une des façons de rendre les forces au patient consiste à affaiblir son adversaire. La possession et l’exorcisme, où le corps de la victime abrite un esprit qu’il est nécessaire de chasser, ne font normalement pas partie de la cure chamanique. 

La maladie peut encore provenir du viol des tabous, lesquels constituent la base de la moralité et de la vie juste. De tels actes affaiblissent le patient en tirant sur ses forces vitales. Ce genre de malheur afflige souvent des communautés et des régions entières en provoquant mauvaises récoltes et manque de gibier. Le traitement exige généralement que l’on confesse ses méfaits. 

La perception chamanique du bien-être ne se limite pas à la santé physique au sens médical ni ne se restreint à la santé mentale au sens psychiatrique. S’y trouvent incluses une bonne alimentation, de bonnes amitiés, la prospérité, de même que des affaires et des guerres couronnées de succès. Toutes ces choses renvoient à des idées d’équilibre, de fluidité et de stabilité par rapport à l’environnement, à des idées de don et de retenue, d’amour et de colère, et dépendent aussi de la motivation et de l’intention des esprits qui animent l’environnement.

Dès qu’une âme se perd, elle se comporte un peu comme un animal. Elle peut s’être égarée d’elle-même, ou on l’aura détournée par ruse, capturée, emprisonnée. Enlevée par les esprits, elle sera passée dans un autre monde. 

Il arrive que l’âme soit l’impuissante victime d’un rapt violent, et dans ce cas il faudra combattre l’esprit voleur ou se montrer plus malin que lui. Il existe parfois un certain degré de connivence entre l’âme et son voleur, et c’est l’âme capturée qu’il faudra tromper pour lui permettre d’être secourue. 

Une Wana raconte comment, un jour qu’elle était malade, les esprits auxiliaires d’un chamane en voyage dans un canoë repérèrent son âme. Attirée par leur tambour, elle leur faussa quand même compagnie de par sa nature « sauvage ». 

La patiente était une danseuse de renom et les esprits auxiliaires encouragèrent son âme à danser pour dévoiler ses talents ; peu à peu, l’âme fut touchée par leurs compliments et, finalement se laissa « dompter » ; repêchée, on la rapporta à sa propriétaire. Parfois l’âme rechigne à être sauvée à cause d’une attirance érotique. Les vegetalistas disent que les Gens de l’Eau vivent au fond de l’Amazone dans un monde de beauté où les canoës sont des alligatoris, les bancs des tortues et les policiers des dauphins. Les sirènes sont là pour séduire les pêcheurs. Quand un pêcheur succombe à leurs charmes, il faut vite le sauver, sinon il se transforme en Homme de l’Eau et on ne peut plus de ramener. 

Le chamane ingère une préparation d’ayahuasca et d’autres plantes et chante l’icaro du nicacuru, insecte aux yeux semblables à des phares de voitures. Le chamane devint alors pareil au nicacuru et part en reconnaissance ; il entre dans l’eau et repère la victime dans les bras d’une sirène. Il revient à terre et cherche un compagnon pour le voyage suivant. Ils prennent tous les deux de l’ayahuasca et entrent dans l’eau. Tandis que son collègue distrait al sirène en lui chantant un icaro spécial, le premier chamane ramène le pêcheur à terre. Le pêcheur sauvé pleure et veut retourner dans l’eau, mais el chamane lui pose un crucifix sur la poitrine ; le pêcheur recouvre peu à peu la raison et reconnaît les siens.

Les vegetalistas soient aussi les maladies dues à l’introduction de fléchettes magiques appelées virotes qui se trouvent dans le yachay, le flegme que les chamanes et les sorciers régurgitent et qui contient l’essence de leur pouvoir. Les virotes sont des fléchettes, des flèches ou des éclats d’os en suspension dans le flegme, que l’on peut cracher sur une victime éloignée. 

Les Chamanes  de Piers Vitebsky sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Les Cartes de l’Homme Nouveau

Posté par othoharmonie le 20 mars 2016

 

Vient juste de paraître à l’automne : un magnifique tarot/jeu de cartes qui s’appelle « Cartes de l’Homme Nouveau » : conçu par le thérapeute tantra et méditant de longue date Jacques Lucas que nous avons interviewé à cette occasion…

Question : Le jeu ‘des Cartes de l’Homme Nouveau » que vous avez crée vient juste de sortir au Souffle d’Or. Il se présente sous forme de coffret qui contient 72 cartes avec un livre de 310 pages.

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Interview de Jacques Lucas 


A qui ce jeu de Cartes de l’Homme Nouveau » s’adresse-t-il ?

Réponse de Jacques Lucas : Les « Cartes de l’Homme Nouveau » s’adressent à tous et à toutes car même si la base du jeu s’appuie sur le « masculin », hommes et femmes présentent des caractéristiques masculines et féminines. C’est d’ailleurs l’alliance de ces deux polarités en Soi qui conduit à une vraie spiritualité incarnée, vivante et humaine.

Dans le coffret, il y aussi un magnifique poster réalisé par un info-graphiste : Alex Fuller. Ce poster image la démarche et les étapes que doit franchir l’« Homme Nouveau » pour atteindre son but : la réalisation de son « Etre profond ». Mais ce plan de réalisation colle également à chaque action, chaque projet que le consultant se propose d’étudier en interrogeant les « Cartes de l’Homme Nouveau ». Ce tarot sera donc utile à chacun, peu importe son degré de conscience ou d’évolution. Il posera le consultant face à lui-même et lui proposera des axes de réflexions ou des « regards » qu’il n’avait peut-être pas envisagés. 

Question: Comment vous est venue l’idée de créer ‘les Cartes de l’Homme Nouveau » ? Après le célèbre jeu Féminitude, vous vous êtes dit qu’il était temps de créer un jeu équivalent pour le principe masculin ? (rire)
Est-ce que cela correspond à une évolution collective dans notre relation au masculin ? Qu’est-ce que l’Homme Nouveau ?

L’idée de créer « les Cartes de l’Homme Nouveau » m’est venue d’une constatation : les hommes sont beaucoup moins impliqués que les femmes dans une démarche de « remise en question » d’eux-mêmes, de leurs croyances etc … ! (voir la petite proportion d’homme à fréquenter les cabinets de psychothérapie, les stages de développement personnel etc …). Ils ont peur de rencontrer leur sensibilité, leur « intériorité », leur « Ombre » et ils se coupent ainsi d’une part d’eux-mêmes qu’on peut qualifier de « part féminine » sans la confondre avec l’homosexualité.

L’union du « masculin » et du « féminin » en Soi, pour l’homme comme pour le femme, est pourtant une porte accessible à tous. Elle ouvre à un épanouissement et à une réalisation de soi-même. Cette alliance du masculin et du féminin débouche sur une spiritualité incarnée au quotidien très créative et très humaine.

Les femmes, ces dernières décennies, ont beaucoup évolué. Elles se sont émancipées. Elles ont intégrées et épanouies leur part « masculine ». C’est maintenant, je crois, le temps pour les hommes de se mettre en mouvement. Les rencontres avec les femmes seront plus riches et plus équilibrées.

Le « masculin » est préoccupé et satisfait par le résultat, l’efficacité, atteindre un but ; l’éjaculation dans la relation sexuelle. Alors que le « féminin », lors d’un voyage, par exemple, appréciera autant le paysage et le dialogue avec ses compagnons de route que le fait d’arriver à destination. Les femmes, dans la sexualité, aiment autant les caresses et la sensualité que l’orgasme en lui-même.

Le jeu décrit une évolution psychique et « sociale » qui passe par une affirmation des qualités du masculin puis par une intégration du féminin intérieur. Ceci pour trouver un épanouissement profond de l’humanité qui nous habite tous. Mais le jeu ne s’arrête pas là. Il propose ensuite de donner sens à son existence en se confrontant aux « Mystères » de la conscience, de la vie.

L’Homme Nouveau est un être qui a pacifié et allié ses parts masculines et féminines. Il n’arrête pas sa quête et sa démarche aux premiers « bien-être » ou à la satisfaction de ses besoins et désirs égotiques. Il cherche à approfondir sa qualité d’être et oeuvre pour développer la sagesse en lui.

Il s’intéresse ainsi aux « Mystères » de l’existence (la conscience de Soi, le sens de la vie, la mort … ) pour investir ses énergies dans une démarche soutenue qui l’amène à re-visiter ses valeurs existentielles ….. L’image de lui-même, la performance, l’efficacité, l’argent, le pouvoir etc … ne sont plus ses priorités.

L’Homme Nouveau est être « vrai », ouvert, profondément humain, en mouvement, qui se remet en question. Il travaille à l’émergence d’une société plus juste, plus humaine et en quête de Vérité.

P.S. : j’apprécie le jeu « Féminitude » mais je crois que la portée spirituelle des « Cartes de l’Homme Nouveau » n’est pas à comparer avec « Féminitude ». (humblement, sans prétention mais justement, je crois que c’est au « masculin » d’apporter la dimension spirituelle à l’humanité)

De quels courants spirituels, de quelle approches de développement personnel vous vous êtes inspiré pour créer ‘les Cartes de l’Homme Nouveau » ?

Etant psychothérapeute (technique psycho-corporelle) depuis 15 ans, j’ai créé une grille de structuration du psychisme qui donne sens au jeu. Mais je suis également animateur de stage de Tantra et la grille d’évolution proposée par la théorie des chakras se juxtapose, croise celle de la structuration du psychisme pour décrire un cheminement d’évolution personnel vers une spiritualité vraie, incarnée au quotidien et accessible à tous et toutes.

L’introspection du psychisme et le Tantra constituent donc le socle de ce tarot. Et la relation (à soi-même, à l’autre, à l’environnement, au cosmos, …) est au cœur des messages transmis par les « Cartes de l’Homme Nouveau ». Mais je ne me suis pas limité à ces deux courants.

En effet, ma vie spirituelle a commencé à 17 ans et demi par une expérience paroxystique (irruption d’une lumière blanche au 3ème œil, changement soudain de plan de conscience …). Ce fut une vraie révolution intérieure, profondément déstabilisante.

J’ai cherché la « Vérité » pendant des années ; pratiqué une technique de « Raja yoga » avec assiduité (jusqu’à 8 heures par jour pendant 3 mois); me suis intéressé à l’astrologie, le chamanisme, le spiritisme etc …. .

J’ai intégré dans la constitution du jeu 15 courants spirituels sous forme de pratiques. Ce sont les lames des voies que j’ai posées au niveau du 3ème chakra. Chaque consultant s’y retrouvera facilement, ponctuellement ou d’une manière plus « dominante » car elles s’appuient aussi sur des aspects sociaux-professionnels et des caractéristiques du « masculin ».

Les 15 voies de réalisation de soi-même offrent des champs d’ouverture de la conscience et de développement personnel. Ils sont inspirés de 15 courants spirituels bien connus et ….efficaces.

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Les 72 cartes de ce tarot de « L’homme nouveau » sont très jolies. Les illustrations ont été faites je crois par Magalie Masson qui est Artiste-Peintre. Pouvez-nous parler de cette collaboration ?

Le projet initial était un projet d’homme, fait pour les hommes. J’ai donc cherché un peintre-illustrateur, homme, et adhérant au projet. J’en ai trouvé aucun suffisamment disponible dont le « pinceau » me satisfaisait.

Magalie Masson est une amie. Elle habite près de Montpellier (son atelier est à Toubes, à côté de Pezenas )où je réside moi-même … .

J’ai pensé à elle d’autant plus que sa démarche personnelle collait à l’essence du jeu. Elle travaille sur l’alliance en Soi du masculin et du féminin.

Elle a perçu et retranscrit la beauté du « féminin » de l’homme.Elle le transmet en couleur et avec une poésie très personnelle.

Les deux ans et demi nécessaires à la réalisation de la totalité des illustrations furent riches en émotions : excitation, « dépression », satisfaction, « insights », etc … . Parfois mes exigences ou les siennes l’amenaient à refaire et refaire encore telle ou telle illustration.Ce fut un travail très prenant pour l’un comme pour l’autre.

L’amitié entre Magalie et moi en sort renforcée : le bébé nous plaît. Il est conforme au projet initial et je tiens ici à remercier Magalie pour son engagement et sa ténacité.

Son talent et sa créativité contribuent largement à la réussite et à la beauté des « Cartes de l’Homme Nouveau ». Certaines lames : « Le Féminin », « Le Roi » etc … sont des créations exclusives de Magalie ; des expressions de sa poésie en phase avec le « féminin » de l’homme.

Jacques Lucas*

*Jacques Lucas anime avec Marisa Ortolan des séminaires de développement personnel et de tantra et des méditations dans la région de Montpellier.
Pour en savoir plus sur les «Cartes de l’Homme Nouveau» ou pour les commander cliquez ici

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COMMENT BIEN PRENDRE SOIN

Posté par othoharmonie le 19 mars 2016

 

Prendre soin, c’est aider l’autre à vivre ce qu’il a à vivre, ce n’est pas l’en empêcher, ce n’est pas tenter de lui faire faire l’économie d’une souffrance qui se trouve sur son chemin en la minimisant ou en la prenant soi-même en charge… c’est l’aider à entrer dans sa difficulté, à pénétrer sa souffrance pour pouvoir en sortir, conscient que ce chemin lui appartient et que personne d’autre que lui ne peut le parcourir.

Prendre soin, c’est apporter toute notre attention à la faculté de guérir de sa souffrance ou de résoudre sa difficulté qui est en l’autre plutôt qu’apporter un remède. C’est avoir confiance que l’autre dispose souvent de toutes les ressources nécessaires pour s’en sortir, s’il parvient à s’écouter ou à être écouté au bon endroit. Cela suppose que nous ayons acquis cette confiance et cette estime pour nous-mêmes. Comment pourrions-nous avoir confiance dans la capacité d’être de l’Autre si nous n’avons pas acquis confiance dans la nôtre ?

Apprendre-a-faire-confiance

Le risque, en prenant l’autre en charge, est de ne pas avoir conscience que ce n’est pas de lui dont nous prenons soin mais de nous, de notre image de bon saint Bernard, de sauveur et souvent de notre besoin de reconnaissance, de notre bonne conscience. S’il y a risque, c’est que comme nous nous occupons de nous-mêmes alors que nous croyons nous occuper de l’autre, notre attitude ne soit pas appropriée, pas adéquate, et qu’elle entretienne les deux dans la frustration, la confusion ou la dépendance.

Si nous avons appris à correspondre aux attentes des autres, à nous mettre sous tension pour eux, nous attendons presque immanquablement que l’autre corresponde à nos attentes et se mette sous tension pour nous. Ainsi, nous n’apprenons pas à aimer les autres comme ils sont mais comme nous voudrions qu’ils soient.

Rencontrer, c’est d’abord Etre. Cela n’empêche pas que nous ayons aussi le goût d’évoluer, de croître et particulièrement de croître ensemble. Grandir ensemble, en couple, en famille, entre amis, au sein d’une équipe de travail, est certainement la source d’une des satisfactions les plus profondément nourrissantes. Aimer l’autre comme il est, veut aussi dire que nous nous intéressons à lui et que nous accueillons ce qu’il devient ou pourrait devenir. C’est aimer l’autre avec tout son potentiel de croissance, d’ouverture, de diversification. Je vois des couples ou des familles dans lesquels chacun et chacune s’est mutuellement enfermé dans des rôles, en  arrêtant ou en limitant ainsi fortement tout processus d’évolution personnel et interpersonnel. L’anesthésie s’y installe vite…

Ainsi, si l’un se met à changer, à évoluer, à revoir sa façon d’être, l’autre ou les autres s’affolent. La différence est toujours vécue comme menaçante.

Nous avons peur de constater notre différence. Nous l’évitons ou la refoulons. Ce faisant, nous nous entraînons peu à accueillir la différence des autres. Face à la différence de l’autre, que faisons nous ? Nous l’évitons ou la rejetons. Nous tolérons l’autre dans la mesure où il est « même » et où « il m’aime ». Pour ce faire, nous rencontrons alors davantage les gens qui pensent comme nous, parlent comme nous, s’habillent comme nous, croient ou prient comme nous, font les mêmes choses que nous… C’est rassurant !  Nous vivons souvent la différence de l’autre comme un risque, une menace. Cette insécurité intérieure peut être telle, qu’elle s’extériorise en racisme, en intégrisme, en antisémitisme ou en homophobie, mais elle se manifeste plus couramment par le jugement, la critique, le reproche, la suspicion. La différence n’éveille pas la curiosité bienveillante, mais le doute et la méfiance.

Nous avons peur de prendre notre place, d’exister vraiment, d’affirmer notre identité parce que nous ne sommes pas assurés d’être aimés et accueillis comme nous sommes et, en retour, nous avons peur que l’autre prenne sa place, existe vraiment, affirme son identité parce que nous ne sommes pas assurés de pouvoir, nous, continuer d’exister devant lui. L’autre, même aussi proche qu’un conjoint, est toujours plus ou moins perçu come un empêcheur, je n’ose pas dire un ennemi, encore que … quelqu’un qui nous empêche d’être nous-mêmes.

Eh bien non, ce n’est pas « tout çà » qui nous empêche d’être nous-mêmes. Ce qui nous en empêche, c’est notre façon à nous de voir « tout ça », de vivre ces relations. Ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, c’est que nos besoins de sécurité intérieure et de confiance n’ont pas encore reçu l’attention nécessaire pour se développer et nous permettre de vivre « tout ça » avec davantage d’aisance.  Je ne pense pas que nous puissions éradiquer tout à fait la peur. Elle fait partie de notre vie avec la confiance, et comme la peine et la joie. Ce qui libère, c’est de ne plus avoir peur d’avoir peur.

Si nous portons un masque et que l’autre porte un masque, ce n’est pas une relation, c’est un bal maqué. Alors, si c’est drôle et qu’on s’amuse des masques et des jeux, je ne vois que l’occasion de s’en réjouir. Malheureusement, l’expérience montre que ces bals masqués sont tristes et désolants. Ils ne rassemblent pas, ils isolent ; ils ne font pas rêver, ils empêchent de dormir ; ils ne se terminent pas en feu d’artifice, ils rétrécissent en peau de chagrin. Derrière ce masque sec de gentillesse complaisante, nous risquons de nous habituer à vivre des rapports anémiés, aseptisés, que nous pouvons très bien prendre pour de vrais rapports humains. Ainsi, si nous n’avons jamais bu que du coca-cola, nous pouvons passer notre vie sans imaginer que cela vaille la peine de goûter du vin.

Ma confiance dans la nature humaine ne va pas jusqu’à prétendre que toute vérité est bonne à dire tout le temps et à n’importe qui, certes non. Sans doute y a-t-il des circonstances où ne rien dire répondra à un besoin de patience, de prendre le temps, un besoin d‘attendre le moment opportun, un besoin de réflexion, de bienveillance ou de vérification…. Chacun de nous a ce choix et ce pouvoir dans sa vie quotidienne, tous les jours : contribuer ou non à la clarté, à la transparence, à la paix.

Je pense que chacun de nous reçoit, avec sa dignité, sa part dans cette responsabilité. Je souhaite que de plus en plus d’hommes et de femmes en prennent conscience et reconnaissent joyeusement cette responsabilité et l’assument dans leur vie quotidienne, heureux de contribuer ainsi, là où ils sont, avec les moyens qu’ions ont, au bien-être de l’humanité. Je crois en effet qu’il n’y aura pas de paix dans le monde tant que chacun d’entre nous ne prendra pas soin de sa paix intérieure, comme un jardinier prend soin de ses fleurs – chaque jour. Elle se propagera ensuite par rayonnement : la paix, c’est contagieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pourquoi se couper de nous-mêmes

Posté par othoharmonie le 17 mars 2016

se couper de soi

Si nous sommes déjà largement coupés de nos sentiments, nous le sommes presque tout à fait de nos besoins.

Nous avons parfois l’impression qu’une dalle de béton nous coupe de nos besoins. Nous avons plus appris à tenter de comprendre et de satisfaire les besoins des autres qu’à tenter de nous mettre à l’écouter des nôtres. S’écouter a été longtemps synonyme de péché mortel, en tout cas d’égocentrisme ou de nombrilisme : « Ce n’est pas bien de s’écouter comme cela… Oh ! c’est encore une personne qui s’écoute« … L’idée même que l’on puisse « avoir des besoins » est encore souvent perçue comme infamante.

Il est vrai que le mot besoin est souvent mal compris. Il ne s’agit pas d’une envie du moment, d’une pulsion passagère, d’un désir capricieux. Il s’agit de nos besoins de base, ceux qui sont essentiels à notre maintien en vie, ceux que nous devons satisfaire pour trouver un équilibre satisfaisant, ceux qui touchent à nos valeurs humaines les plus répandues : identité, respect, compréhension, responsabilité, liberté, entraide. En avançant dans ma pratique, je vois de plus en plus combien le fait de mieux comprendre nos besoins nous permet de mieux comprendre nos valeurs.

Pouvons-nous être vraiment et adéquatement à l’écoute des autres sans être vraiment et adéquatement à l’écoute de nous-mêmes ? Pouvons-nous être disponibles et bienveillants vis-à-vis des autres, sans l’être vis-à-vis de nous ? Pouvons-nous aimer l’autre dans ses différences et ses contradictions sans d’abord nous aimer profondément avec les nôtres ?

La coupure par rapport à nos besoins se paye de différentes façons. En voici les conséquences les plus fréquentes.

-          nous avons de la peine à faire des choix qui nous engagent personnellement. Dans les affaires, au travail, ça va bien. Mais dans notre vie affective, intime, dans les choix plus personnels, quelle difficulté. Nous dansons d’un pied sur l’autre, ne sachant que choisir, espérant finalement que les événements ou les gens décident pour nous. Ou alors, nous nous imposons un choix impuissants que nous somme s à écouter et à comprendre notre élan profond.

-          Nous sommes des accords du regard de l’autre. Incapables d’identifier nos vrais besoins, ceux qui nous appartiennent personnellement, nous allons souvent dépendre de l’avis des autres. Ou pire, nous nous coulons dans le moule de leurs attentes telle s que nous nous les imaginons, sans les vérifier et en nous adaptant et nous sur-adaptant à elles. Nous nous épuisons à cet exercice de dépendance à la reconnaissance des autres et à l’extrême, nous devenons la girouette d’une mode, d’un courant ou d’instructions formelles.

Ainsi, nous sommes épuisés d’essayer de faire valoir nos besoins sans aucun succès. Finalement, nous renonçons. Nous nous écrasons, nous démissionnons de nous-mêmes, on s’enferme ou on s’enfuit. Dans ce cas, nous nous faisons violence à nous-mêmes.

Le seul fait d’identifier notre besoin sans même qu’il soit satisfait apporte déjà un soulagement et un bien-être surprenant. En effet, lorsque nous souffrons, la première des souffrances est de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Si nous pouvons identifier la cause intérieure de notre mal être, nous sortons de la confusion. Ainsi, si vous ne vous sentez pas bien physiquement, si vous avez des douleurs suspectes au ventre, à la tête ou au dos, vous vous affolez… Si vous allez voir votre médecin et qu’il pose un diagnostic sur votre mal-être, vous vous sentez rassurés, rassuré de savoir ce qui se passe, vous sortez de la confusion. Il en va de même du besoin : l’identifier permet de sortir de la confusion qui ajoute au mal être.

En indiquant à l’autre quelle est notre demande concrète, nous rendons le besoin moins menaçant parce que nous «l’incarnons » dans la réalité, dans le quotidien. Ce n’est pas un besoin virtuel, apparemment insatiable et donc menaçant. C’est une demande concrète, bien définie en termes d’espace et de temps, et par rapport à laquelle nous pouvons nous situer, adopter une attitude.

Tant que nous serons obnubilés par l’idée que notre besoin n’est pas reconnu, nous ne serons pas disponibles pour constater qu’il l’est. A force de ressasser l’impression de ne pas être compris(e) ou reconnu(e), de faire l’objet d’injustices ou de rejet, nous nous forgeons une nouvelle identité. Nous nous installons dans cette croyance de telle sorte  que le monde autour de nous peut bien nous envoyer des messages d’accueil, de compréhension, d’intégration, nous ne les entendons ni ne les voyons plus.

Un travail sur soi est nécessaire, et une fois notre besoin identifié, nous allons pouvoir formuler une demande concrète et négociable qui va dans le sens de nos satisfactions.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Les guérisseurs spirituels

Posté par othoharmonie le 17 mars 2016

 

Devant la douleur de ceux qui pleurent et grâce aux possibilités infinies que les forces bienfaisantes de la nature et de Dieu accordent à ceux qui veulent se dévouer, il y a une sainte tâche à remplir. Pour cela, il faut une disposition d’esprit, un don de soi, une confiance totale en l’Energie créatrice, en Dieu, et aux esprits parvenus au stade de bonté qui fait les âmes grandes et généreuses. 

En rédigeant ce dossier, nous n’avons pas d’autre but que d’apporter au lecteur les bases qui sont celles en lesquelles le rédacteur croit, là encore il ne s’agit pas de la vérité, mais d’une vérité. 

guérisseur

Le guérisseur spirituel n’a souvent besoin ni de « passes » ni de contacts matériel avec le malade, il peut guérir aussi bien à distance qu’en contact, instantanément ou progressivement, assistés d’esprits bienveillants. La voie dans laquelle le guérisseur s’engage est difficile mais dispensatrice de joies profondes et Vraies. Joies de l’âme et du coeur. La vision de l’état du médium guérisseur, est celle du guérisseur sous l’angle moral et spirituel. Cela implique bien des abandons et des devoirs. Il s’agit, en premier lieu, de vaincre en soi « le vieil homme » et d’accepter le nouveau, celui qui a volonté de se rapprocher toujours plus de la spiritualité de Dieu. 

« Pense à Dieu aussi souvent que tu respires. » Epictète 

Par-là, il voudrait montrer la voie qui mène à la connaissance, à l’atteinte du Divin par la prière, car toute pensée de compassion, de bonté, tout élan de la personne vers Dieu, est une prière et la prière est essentielle à l’action guérissante. La prière quelle que soit sa forme, est seule à déclencher les forces pures au bénéfice de la détresse, de la souffrance humaine. Il est d’ailleurs constaté que chez les grands guérisseurs mystiques, dignes de cette appellation par la droiture et la dignité de leur vie, la force spirituelle qu’ils reçoivent est d’essence supérieure, elle diffère du fluide magnétique végétal, animal ou humain. 

Sans aller jusque là dans notre quotidien, nous pouvons tout de même penser que les qualités morales et spirituelles du guérisseur seront dispensatrices de fluides bienfaisants émanant de son propre fluide, allié à celui des esprits qui lui sont supérieurs. Ainsi plus le guérisseur sera en Dieu, en l’Amour, en la Foi, en l’Humilité, plus il s’élèvera moralement, plus il bénéficiera des fluides de l’autre monde, parfois à son insu, nous pourrions même dire « souvent » à son insu. 

« Si les médecins échouent dans la plupart des maladies, c’est qu’ils traitent le corps sans l’âme, et que, le tout n’étant pas en bon état, il est impossible que la partie se porte bien.« 

-          Platon« 

 La médecine spirituelle transporte son action dans le plan astral en agissant sur la source même de la vie, réparant les fonctions inconscientes, les tissus. Les maladies sont atteintes dans leurs sources mêmes. Le guérisseur est un foyer de force spirituelle et fluidique, il agit directement sur « l’âme » du malade, la partie malade se modifie sous les mouvements de la force, les molécules les plus denses soumises à l’action du courant spirituel changent progressivement la vitesse de leurs vibrations. L’harmonie alors se rétablit. 

Les vibrations lumineuses et régulières qui lui sont envoyées par le guérisseur, qui les reçoit « d’en haut », rétablissent les vibrations irrégulières du malade. « Une condition favorable est que dans la vie privée, la conscience humaine ait la volonté de s’ouvrir au principe Divin, se montre capable de recevoir la vie mise à sa portée par le don de guérisseur » nous explique le Dr Bertholet. 

Ceci voudrait-il dire aussi que le malade doit être partie prenante de sa guérison ?

Nous dirons oui et non, dans le sens où plus le malade est convaincu par la guérison spirituelle, plus celle-ci aura un effet puissant sur lui. 

Que dire alors des animaux ou des bébés, qui guérissent ainsi particulièrement bien (l’action guérissante, est parfois fulgurante sur les animaux), puisqu’ils « n’acceptent pas » ? 

Nous en déduirons que si le malade n’est pas partie prenante des soins spirituels, il ne doit pas la refuser (psychologiquement). Il doit se laisser faire. Qu’il soit dans le doute au départ, n’est pas un obstacle, mais s’il est intimement convaincu que cela ne se peut, alors le guérisseur ne pourra rien pour lui, sauf à lui prodiguer des soins à distance, sur photo ou par la pensée, à son insu bien sur, pour qu’il n’y ait pas blocage. 

La faculté guérissante, véritable bienfait pour celui qui l’ayant méritée, la possède et la pratique avec humilité et désintéressement, est une récompense de tous les instants. 

Intervention de l’esprit : « La médiumnité guérissante est l’apanage des justes, des bons et des mystiques. Seul un coeur altruiste et élevé pourra y accéder. Dieu n’accorde son fluide qu’aux méritants. Elevez-vous mes frères, vous atteindrez Dieu ». 

Toutes les méthodes sont bonnes mais parfois incomplètes selon le malade auquel elle est appliquée. Un guérisseur dira qu’il guérit uniquement par la foi, un autre uniquement par la prière et imposition des mains sur le front du patient, un troisième ne travaillera qu’à distance par la pensée, un autre encore uniquement par des passes magnétiques et l’eau magnétisée. La plupart du temps le guérisseur se fiera à son intuition et travaillera probablement ainsi toute sa

vie et c’est très bien, mais peut-être gagnerait-il parfois, à s’ouvrir aux autres pratiques afin que, par une astucieuse combinaison, il puisse accentuer les facultés que Dieu lui accorde…. 

La plupart des médiums guérisseurs le sont inconsciemment. Ils ne se rendent pas compte de leur faculté. Ils se croient magnétiseurs sans jamais s’apercevoir de l’aide qu’ils reçoivent des esprits. Ils exécutent des gestes sans trop savoir pourquoi ils font tel ou tel geste, ils prient en pensant que telle ou telle formule est plus apte dans ce type de maladie que dans une autre, ou recommandent une formule de prière à leurs malades. On les trouve beaucoup chez les personnes les plus humbles, chez celles qui ont une foi, un amour, un altruisme élevés. Quant à la prière, peu importe les mots, seul l’élan d’amour vers Dieu et vers le malade est important.

 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

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Beaucoup voudraient imputer l’ombre à une entité

Posté par othoharmonie le 14 mars 2016

 

 Beaucoup voudraient imputer l’ombre à une entité, terrifiés qu’ils sont de tout ce qui sort de leurs quatre dimensions. Peu importe ce que c’est, si cela peut traverser un mur, c’est sans doute néfaste !

spectres

Ne voyez-vous pas que c’est exactement le cœur de ce que vus êtes, êtres interdimensionnels ? Savez-vous pourquoi vous n’êtes pas contenus intégralement de votre corps physique ? Si vous l’étiez, les lois de la physique quadridimensionnelle ne s’appliqueraient pas à vous. La multidimensionnalité constitue votre état naturel, si vous vous en souvenez.

C’est seulement parce que vous avez accepté de voir réduite et dissimulée de vous par votre dualité que vous pensez être limités aux quatre dimensions. Rappelez-vous. Tout ange divin qui vous soit jamais apparu, a prononcé les mots : « N’aie crainte ». En effet, les entités divines habitant la planète sont bien conscientes que les êtres humains ont tendance à craindre tout ce qu’ils ne peuvent comprendre.

Certains d’entre vous appréhendent des entités de l’ombre. La vérité est que ça n’existe pas.

Quelques-uns répliqueraient « J’ai vu ceci ou cela ». Ce n’est qu’une projection de ce qu’un être humain – ou quelqu’un aidé d’autres personnes cachées derrière lui – a placé sur ses épaules. Il s’agit d’une peur renforcée par votre propre peur, en coopération avec eux. La crainte peut-elle faire apparaître la magie ? Oui, si vous coopérez avec elle. Elle peut vous montrer n’importe quoi, puisque aucune lumière ne permet de déceler la vérité. Cela signifie que vous pouvez grandement faciliter le travail de ceux qui désirent vous envoyer de l’ombre si vous leur en concédez le pouvoir. Si, de votre plein gré, vous éteignez les lumières, ils accourront et se feront un plaisir de projeter sur l’écran noir tout ce que vous pouvez imaginer. Multiples peuvent être alors les visages de la danse que vous exécuterez dans le noir, et ils seront tous terrifiants. A vous de décider.

Mais ce dont vous devez être certains, c’est que tout cela est toujours humain, peu importe le visage que vous lui attribuez, là est la vérité.

Beaucoup redoutent de ce qui se déroule à l’instant présent. Je pense par exemple à mes lectures, souvent critiquées lorsque j’aborde le sujet des livres de Kryeon…. Certains s’exclameraient par exemple : « Une entité nommée Kryeon a possédé une personne et s’exprime par le biais de celle-ci pendant une rencontre » en parlant par exemple de Lee Carroll.

Détrompez-vous, cela ne se passe pas ainsi.

Que ressentez vous actuellement ? La peur ou une impression de sécurité ? Une entité faisant partie de la famille pourrait-elle mystifie votre cœur année après année ? Seriez-vous si faibles ? Non.

Une fusion se produit sous le sceau de l’amour, votre Soi Supérieur et un frère ou une sœur vous transmettant des messages d’amour depuis l’autre côté du voile. Et quelles sont les recommandations par rapport à cela ? Exercez votre discernement.

Nous avons toujours le dernier mot. Est-ce que cela sent le piège ? Est-ce que cela s’appelle avoir une idée derrière la tête ? Notre fil d’Ariane, c’est d’accroître notre niveau de conscience et d’amour.

Il est temps de nous rappeler la lumière que nous portons et les événements survenu sur cette planète. Nous nous déplaçons, porteurs d’une vibration accrue, et n’en sommes même pas conscients. Nous  effleurons souvent le fait que certains d’entre nous se rendent en des endroits de travail qu’ils n’aiment pas. C’est difficile pour eux et ils prient afin d’en être délivrés. Ils pensent que cette situation est inopportune et qu’ils ne font que passer le temps en attendant que leur prière soit exaucée. Ces lieux de travail ou même ces logements, où nous habitons ? ont besoin de la lumière que nous émettons.

Pensez à ce  fait … Et si c’était l’unique lumière qui y brillait !?!

Je pense que c’est la tâche des travailleurs de la lumière que nous sommes. Nous ne saurons jamais à quel point les gens gravitant autour de nous auront bénéficié du contact avec la lumière que porte notre visage. Cette lumière se dresse sans fin, même dans la nuit, émettant sa source lumineuse afin de permettre à tout capitaine de gouverner son bateau sans écueil. Un capitaine ne rencontre jamais un gardien de phare ; il ignore son nom et quelle sorte d’être c’est, mais son navire n’en est pas moins bien dirigé.

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La différence entre une âme sœur, une flamme jumelle ou un complément divin

Posté par othoharmonie le 13 mars 2016

 

Voici les étapes d’intégration et de purification à suivre avant de devenir un avec soi-même. Il s’agit ainsi de retrouver l’équilibre intérieur entre l’aspect masculin et l’aspect féminin. Il faudra atteindre cet équilibre et travailler sur soi avant que l’union ne puisse se réaliser. Au cours du stade de reconnexion, un travail intérieur intense s’effectuera. Il faut de la confiance, de la foi et une solide détermination pour retrouver son unité. D’aucuns se demanderont : « Pourquoi faut-il faire tout cela alors que nous sommes censés être androgynes ? »

Le terme androgyne renvoie à l’équilibre total avec votre rayon gémellaire, où l’un est le prolongement complet de l’autre et vice-versa. La Création est toujours un amalgame d’énergies sur plusieurs plans. Le moment est également venu d’unir graduellement l’histoire de l’homme et de la femme à la conscience de la Terre, l’un étant impossible sans l’autre.

La pyramide terrestre à sept degrés des relations homme/femme va comme suit :

a) Complément divin

b) Ame sœur

c) Expression divine

d) Partenaire jumeau

e) Âme jumelle

f) Flamme jumelle

g) Rayon gémellaire

 couple

A – Un complément divin: c’est quelqu’un qui est le miroir parfait de votre manière de vivre. Cette personne peut être n’importe qui et être déléguée n’importe quand par votre Soi supérieur pour refléter votre image exacte. Souvent, elle reflète vos vibrations négatives, mais parfois elle vous permet de voir votre propre beauté. Un complément peut entrer dans votre vie et en sortir ou y demeurer un bon moment, pendant que des leçons sont assimilées des deux côtés. Voilà qui explique pourquoi tant de mariages se font et se défont sur la Terre. Les gens changent avec l’âge et passent à autre chose. Souvent, l’évolution n’est pas simultanée et les deux partenaires finissent par poursuivre leur route chacun de leur côté, et avec raison dans de telles circonstances. N’oubliez pas, les relations terrestres visent à vous faire évoluer vers un degré supérieur d’être. 

B – Une âme sœur: c’est un être qui vous est destiné avant son incarnation. Votre cycle de vie prendra plusieurs tournants, et au moment idéal une âme sœur entrera dans votre vie et vous enseignera de sérieuses leçons sur vous-même. Nombreux sont ceux qui aimeraient croire qu’ils ont épousé leur âme sœur, mais à vrai dire, peu de gens ont le bonheur de connaître une telle relation. C’est une rencontre spéciale qui a toutes les chances de changer votre vie. Le lien peut être positif ou négatif, selon où vous en êtes par rapport au Soi. Par ailleurs, votre âme sœur en cette vie peut ne pas être celle d’une autre vie. Il existe des cas où l’on partage plusieurs vies ensemble. Votre famille spirituelle est vaste et, parfois, dans le but d’apprendre, vous travaillerez ou établirez un lien avec une âme sœur appartenant à une autre famille spirituelle. Dans ce cas, cette personne sera votre âme sœur. Par ailleurs, une âme sœur peut être du même sexe ou de sexe opposé, selon ce que vous êtes venu vivre. Souvent, une liaison romantique ne fait pas partie du plan de vie, parce que l’incarnation demande surtout d’apprendre par soi-même. Nous avons tous consacré quelques vies à une tendre relation avec une âme sœur, tandis que d’autres incarnations sont réservées à l’étude et à l’évolution de notre âme.. 

C – Une expression divine: c’est une personne qui entre dans notre vie et produit une forte impression. Si nous n’allons pas dans la direction prévue, une expression divine fait son entrée pour faire émerger la plus profonde angoisse et nous inciter à réfléchir sur la destinée. C’est très bien ainsi, car c’est précisément ce que l’expression divine cherche à accomplir. Dans plusieurs cas, l’expérience sera assez pénible, mais pour qu’un aveugle voit clair, l’Esprit doit prendre plusieurs formes. A l’heure actuelle, plusieurs personnes vivent une expression divine dont le but est leur propre avancement. Il s’agit en vérité d’un don provenant de votre guidance supérieure ; il faut vous y soumettre pour affronter la vérité de plein fouet. Nombreux sont ceux qui tentent d’investir dans une relation qui ne va pas dans le sens de leur illumination ; c’est là qu’intervient la confiance. Si vous éprouvez présentement de forts sentiments à l’égard d’une personne, envisagez la possibilité que ce que vous ressentez indique qu’il s’agit de votre rayon gémellaire. 

D – Un partenaire jumeau: fait partie d’un groupe d’êtres avec lesquels vous avez des liens en vue d’un travail terrestre, solaire et galactique. Un partenaire jumeau n’est pas une personne avec qui vous vivrez une liaison amoureuse, car ces âmes représentent un lien avec une unité analogue de serviteurs. Nous sommes tous liés à 144 partenaires jumeaux, au minimum. Dans le paradigme de la Création, la valeur numérique de 144 renvoie à la perfection de la manifestation, car celle-ci opère à une fréquence énergétique supérieure. Dans le noyau galactique, tous les partenaires jumeaux furent associés les uns aux autres. Certains sont sur la Terre et d’autres sont ailleurs, dans des galaxies éloignées, occupés à divers travaux. Lorsque nous disons que nous sommes un et que nous sommes identiques, c’est parce que des conglomérats de Lumière ne se dissocient jamais les uns des autres. Au fil de nos expériences, nous sommes effectivement ensemble pour de nombreuses raisons. Ces liens se perpétueront jusqu’à ce que nous achevions ce cycle de Création et que nous voyions la naissance du nouveau millénaire. Nous irons alors de l’avant et les unités se déplaceront et travailleront avec diverses longueurs d’ondes de Lumière. Donc, ensemble, au cours de la naissance, nous réévaluons et modifions notre courant lumineux selon l’endroit où réside chacun en conscience. Certains de vos partenaires jumeaux ne sont pas encore éveillés, mais nous espérons qu’ils y parviendront pendant qu’il est encore temps de saisir l’occasion qui leur est offerte. En vous reliant par le cœur à de nombreux êtres, plusieurs sortiront du rang et vous reconnaîtrez un partenaire jumeau.. 

E – Une âme jumelle: a une fréquence vibratoire analogue à la vôtre. Chaque individu possède douze âmes jumelles. Ces douze âmes font partie du groupe de partenaires jumeaux, mais elles ont la particularité d’être proches de votre travail terrestre. Certains d’entre vous auront le bonheur d’avoir quelques-uns de ces êtres dans leur entourage immédiat. Ils auront l’impression de les connaître depuis toujours, d’avoir travaillé avec eux depuis longtemps, et c’est tout à fait juste. C’est un phénomène similaire à celui des douze maîtres ascensionnés avec lesquels vous vous lierez au cours de votre ascension vers la Lumière christique. Quelques-uns d’entre vous sont les âmes jumelles des douze maîtres censés apparaître sur votre chemin ; ils attendent votre arrivée. Vous devez en effet recevoir leurs instructions, car vous êtes des maîtres d’envergure et votre énergie est liée à cette conscience de Lumière. Il y a eu de nombreuses liaisons romantiques sacrées avec ce groupe d’êtres. Le ratio homme/femme de chaque groupe dépend des leçons ou des expériences dont une personne a besoin pour progresser vers les royaumes de Lumière supérieurs.. 

F – Une flamme jumelle: est un être avec qui vous avez travaillé très étroitement depuis le plan galactique jusqu’à une forme d’existence tridimensionnelle. Ce fut décidé il y a longtemps et vous avez gardé les mêmes flammes jumelles depuis des éternités. Vous êtes relié à sept flammes jumelles depuis des éternités. Vous êtes relié à sept flammes jumelles. Outre le rayon gémellaire, ce lien sera votre lien le plus intime avec qui que ce soit. Peu importe le degré de Lumière que vous avez atteint, vous serez en mesure de reprendre contact avec les sept flammes qui vous correspondent. Cela vous permettra de faire progresser votre illumination. Ces sept flammes seront intégrées avant d’atteindre le niveau du rayon gémellaire. Inutile de le préciser, plusieurs relations avec une flamme jumelle laissent des souvenirs tendres et pleins d’amour en chacun. Elles s’établissent aussi entre les deux sexes. Par exemple, la personne qui canalise la présente information, Lisa Smith, possède trois flammes jumelles féminines et quatre masculines. Trois de ces flammes sont présentes sur la Terre ; quatre se trouvent dans les dimensions supérieures. Il existe un lien spécial entre les flammes jumelles, qui sont toujours reliées par le cœur, car l’on n’oublie jamais l’amour spécial d’une flamme jumelle. Cet amour va au-delà de la sexualité humaine et évoque la pureté de la dévotion, dévotion qui découle du fait d’avoir œuvré ensemble au fil de cycles universels. Vous avez vécu tant de choses ensemble. Après la séparation d’avec votre rayon gémellaire, la relation amoureuse suivante s’établit avec la flamme jumelle. Au moment de la séparation, le temps n’était pas venu encore d’apprendre la jalousie, car nous créions tout simplement et éprouvions l’amour de notre Source. Nous savions qu’un jour viendrait où nous serions chacun de nouveau réunis par le cœur avec notre bien-aimé et à jamais. Je peux sincèrement vous dire que cette séparation de deux cœurs laisse derrière elle des souvenirs amers qui se dissiperont toutefois avant de retrouver l’étreinte divine d’un rayon gémellaire..   

G -  Le rayon gémellaire: est la relation ultime. Nul besoin de chercher plus loin la Source, elle est l’expérience même que vous faites l’un de l’autre. Nous nous sommes préparés à cet événement depuis fort longtemps. Il procure une joie infinie, même aux nombreux maîtres ascensionnés qui attendent cette réunion. Vous êtes la même étincelle divine, issue de l’étreinte aimante du Dieu père/mère. Le fait de retrouver l’harmonie avec l’autre moitié de vous-même est un don formidable. On accorde peu de foi à cette possibilité mais je peux vous affirmer que l’attente en vaut le coup. Ceux qui refusent de l’accepter ne font que retarder leur évolution, car plusieurs ascensions exigent la réunification avec le rayon gémellaire. Après avoir travaillé à vous reconnecter et après avoir pris le temps jour et nuit d’accomplir le travail énergétique requis, vous verrez votre rayon gémellaire devenir alors votre complément divin. Vos missions respectives sont identiques. La responsabilité se partage entre les deux, à parts égales.

 A ce stade, vous avez prouvé que vous êtes dignes du titre, car ensemble, vous avez conquis les densités pour redevenir un même amour, une même vie, une même entité. Chaque personne connaît des circonstances uniques et, par conséquent, chaque union entre rayons gémellaires se produira différemment, car il faut un épilogue après les expériences vécues par chacune des parties. En plus des efforts en vue de l’ascension, la fusion entre rayons gémellaires exigera un effort conscient au quotidien. Beaucoup d’entre vous ressentent ce savoir intérieur profond sans toutefois avoir été en mesure de l’exprimer, car la conscience terrestre exclut les relations amoureuses de nature divine, et ce, depuis fort longtemps. Dans certains cas, vous avez voyagé ensemble sur la Terre. Certains rayons gémellaires ayant des partenaires terrestres se trouvent sur une étoile galactique ; ou encore, votre rayon gémellaire est un être universel.

Ce dernier scénario est des plus rares. Par ailleurs, certains d’entre vous prendront contact par voie électromagnétique avec le partenaire idéal ici sur la Terre. Il s’agira d’une âme sœur, d’une flamme jumelle ou d’une âme jumelle. Certains rayons gémellaires dans les dimensions supérieures ne sont pas encore prêts à reprendre contact. Ces retrouvailles n’ont lieu qu’avec l’aval du Soi supérieur. Il y a beaucoup de situations différentes, mais il reste que chacun convient parfaitement à chacun. Peu importe le niveau auquel vous désirez reprendre contact, des changements surviendront dans votre vie. L’Esprit ne vous donnera que ce que vous pouvez gérer. Par exemple, si une personne a un mariage heureux sur terre, il lui est possible de s’engager envers un rayon gémellaire sur le plan énergétique tout en travaillant ici-bas. Pour l’instant, cette situation est idéale. Aucun rayon gémellaire ne viendra perturber un environnement harmonieux. Cet être ne cherche que le meilleur et le bien suprême ; il attendra le moment sacré. Depuis plus d’un an, plusieurs maîtres ont repris contact et ont commencé à se mettre en rapport. Pour ma part, je suis l’un de ces maîtres.

Nous apprenons par expérience directe, car c’est un événement d’envergure, et ensemble, nous trouverons le moyen le plus efficace d’y parvenir. Parce que la préparation a été très élaborée, tous sont prêts à démarrer. Pour finir, nombreux sont ceux qui, à l’heure actuelle, sont disposés à accepter l’information, car nous ne faisons tous vraiment qu’un. Pour en savoir davantage à ce sujet, fiez-vous à votre intuition et méditez sur le processus. Demandez si vous êtes celui ou celle qui doit provoquer la fusion des dimensions avec votre rayon gémellaires. Si vous vous êtes senti plutôt émotif dernièrement et que vous vous sentez entouré de cette énergie familière, il est possible que votre rayon gémellaire tente de communiquer avec vous depuis les royaumes supérieurs.

 

EXTRAIT DE RELATIONS DE COUPLE sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pour une Nouvelle Spiritualité

Posté par othoharmonie le 12 mars 2016

 

Notre vie et notre monde peuvent être guéris, un instant à la fois. Par chacun de nous.

Allez, maintenant, et accomplissez ce travail joyeux. Soyez dès à présent des messagers. Prenez ces Nouvelles Révélations et implantez-les fermement dans votre esprit, au plus profond de votre cœur et à jamais dans votre âme.

la porte

Je vous laisse ces paroles, je vous offre ces cadeaux. Ils peuvent change à jamais notre monde :

A – Dieu n’a jamais cessé de communiquer directement avec les humains. Depuis le début des temps, il communique avec et à travers eux. Il le fait encore.

B – Tout être humain est aussi exceptionnel que tous ceux qui ont vécu, vivent à présent ouvriront un jour. Vous êtes tous des messagers. Chacun d’entre vous. Vous portez un message à la vie à propos de la vie, chaque jour, à chaque heure ou instant.

C – Aucune voie menant à Dieu n’est plus directe qu’une autre. Aucune religion n’est la « seule véritable », aucun peuple n’est « le peuple élu » et aucun prophète n’est « le plus grand ».

D – Dieu n’a besoin de rien. Dieu n’exige rien pour être heureux. Dieu est le bonheur même. Par conséquent, il n’exige rien de quiconque ni de quoi que ce soit dans l’univers.

E – Dieu n’est pas un Super Etre singulier habitant quelque part dans l’univers ou à l’extérieur, ayant les mêmes besoins émotionnels et étant sujet aux mêmes tourments émotionnels que les humains. Ce qui Est Dieu ne peut être aucunement terni ni perturbé et n’a donc aucun besoin de vengeance ni de punition.

F – Toutes choses ne font qu’Une. Il n’y a qu’Une chose, et tout fait partie de la seule chose qui Soit.

G – Le bien et le mal n’existent pas. Il n’y a que ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, selon ce que vous cherchez à être, faire ou avoir.

H – Vous n’êtes pas votre corps, vous êtes sans limites et sans fin.

I – Vous ne pouvez mourir et ne serez jamais condamnés à la damnation éternelle.

Ces affirmations sont vraies. Ces révélations sont réelles. Elles peuvent servir de base, si vous le voulez, à une Nouvelle Spiritualité. Mais tout d’abord, tournez-vous vers la vérité, la sagesse et l’amour de votre être ; Qu’ils vous servent de baromètres. Qu’ils vous servent d’étalons de mesure. Rappelez-vous que votre plus grand outil pour créer non seulement une nouvelle spiritualité, mais tout un nouveau monde, c’est la vie telle que vous la vivez.

Utilisez les moments de votre vie pour démontrer votre propre vérité ultime, pour offrir votre propre amour authentique et guérir les blessures que vous et les autres vous êtes infligées.

Vous n’avez pas à vivre ainsi. Les humains sont capables de vivre ensemble dans la paix et l’harmonie. Mais certains doivent décider de montrer la voie. Certains doivent déclarer par leur vie qu’ils sont la voie. Certains doivent choisir d’être le premier domino.

Je vous invite à faire ce choix. Je vous invite à faire des instants de votre vie…

…. Les nouvelles Révélations.

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LE MONDE CHAMANE

Posté par othoharmonie le 10 mars 2016

ameridien

Etre élu des esprits qui vous apprennent à entrer en transe et à voler avec votre âme vers d’autres mondes, dans le ciel, ou à descendre par  de périlleuses crevasses dans les terreurs des mondes souterrains ; être écorché vif, réduit à l’état de squelette (pour une société de chausseurs, les os sont le noyau même de la vie), puis reconstruit pour renaître ; acquérir le pouvoir d’affronter les esprits et de soigner leurs victimes, de tuer les ennemis et de sauver les siens de la maladie et de la faim. Voilà quelques traits propres aux religions chamanistes répandues un peu partout dans le monde.

Ce qui n‘empêche pas les chamanes de mener une vie ordinaire, de chasser, cuisiner, jardiner et faire le ménage comme les autres. Quand les chamanes parlent d’autres mondes, ils ne veulent pas dire que ces mondes n’ont aucun lien avec celui-ci. Au contraire, les autres mondes représentent la véritable nature des choses et les causes réelles, de ce qui se passe dans ce monde-ci. Cette division est largement partagée dans la communauté et nombre d’individus peuvent se retrouver chamanes à la mesure de leur intuition de cette réalité supérieure.

Les chamanes sont à la fois médecins, prêtres, travailleurs sociaux et mystiques. On les a traités de fous et persécutés tout au long de l’histoire ; on les a écartés dans les années 60 comme de purs produits « insipides » de l’imagination des anthropologues, et aujourd’hui ils sont tellement à la mode qu’ils inspirent autant le débat universitaire que le nom des groupes de rock.

Le mot chamane est une création des Evenk, un petit groupe sibérien de chasseurs et de gardiens de rennes parlant toungouse ; au début du XXè siècle, il s’appliquait déjà à toutes une catégorie d’hommes-médecins d’Amérique du Nord, et, de nos jours, certains adeptes du Nouvel Age appellent chamanes tous ceux qui, pensent-ils, sont en rapport avec les esprits. Il semblerait que l’âme du chamane sibérien soit à même d’en quitter le corps pour visiter d’autre lieux, particulièrement le monde supérieur, ou céleste, et le monde inférieur, ou souterrain. Cette capacité, dont la tradition existe dans certaines parties du monde et non dans d’autres, permet de parler de société et de cultures clairement chamanistes.

Une définition plus large inclura tout individu capable de contrôler sa transe et, en ce sens, les chamanes diffèrent des autres médiums que certains esprits possèdent et dominent comme et quand ils le choisissent. Or, même si le chaman entre en transe dans des conditions qu’il contrôle, sa « maîtrise » des esprits demeure extrêmement précaire ; Aussi, sont métier est-il considéré comme très dangereux au niveau psychique, car le chamane court toujours un risque de mort ou de folie.

Il n’existe pas de chamane sans société ni culture environnantes. Le chamanisme n’est pas une simple religion mais une forme pluriculturelle et de sensibilité et de pratique religieuses. Dans toutes les sociétés que nous connaissons à ce jour, les idées chamanistes ne forment généralement qu’une seule tendance au sein des doctrines qui font autorité dans les autres religions, idéologie set pratiques. Il devait autrefois exister des communautés purement chamanistes mais nous n’avons qu’une vague idée de la vie qu’on pouvait y mener. Dispersé, fragmenté, le chamanisme ne devrait peut-être pas être un « isme » : il n’a ni doctrine, ni église mondiale, ni texte sacré, ni prêtres faisant autorité pour décider du bien et du mal.

Cependant, on trouve d’étonnantes similitudes dans les idées et les pratiques chamanistes de sociétés aussi éloignées que l’Arctique, l’Amazonie et Bornéo. Nombre d’interprétations actuelles insistent sur le côté thérapeutique du chamanisme, mais ce n’en est là qu’un seul aspect. Le chamanisme est, entre autres, une religion de chasseurs contraints de prendre la vie pour vivre. La vision chamanique de l’équilibre cosmique est largement fondée sur l’idée de fournir une compensation aux animaux dont il faut se nourrir et dans de nombreuses sociétés, le chamane a pour tâche d’aller trouver le propriétaire de l’animal pour en négocier le prix avec lui.

Enfin, de nombreux mouvements du Nouvel Age se réclamant aujourd’hui du chamanisme, il importe de préciser que ce phénomène n’est intelligible – et que l’on ne peut en faire une expérience authentique – que dans le cadre de sociétés données, participant d’un univers « pré-moderne ». Il se peut que certaines idées des chamanes puissent venir enrichir notre vision « post-moderne » du monde, mais ces notions, extraites du contexte précis dans lequel elles ont surgi, n’ont plus grand-chose à voir avec le chamanisme proprement dit.

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Quelle est la différence entre l’âme et l’esprit

Posté par othoharmonie le 10 mars 2016

enfer-ou-paradis-et-ciel-eden

D’ailleurs, y a-t-il une différence ?

Votre âme est l’individuation de l’Esprit divin, qui est Tout ce qui Est. L’âme est l’énergie vitale universelle, focalisée et localisée, vibrant à une fréquence donnée, dans un espace-temps précis. L’énergie qui vibre avec cette précision est un flux singulier de la Vie universelle.

En faisant appel à l’énergie vitale universelle dont elle fait partie, l’âme fait du reste d’elle-même un outil d’élaboration d‘une expérience précise. L’énergie vitale universelle est parfois appelée l’esprit. Les autres outils sont le corps et l’intellect.

Votre âme, c’est qui vous êtes. Votre corps et votre intellect, c’est ce que vous utilisez pour faire l’expérience de qui vous êtes dans le domaine du relatif. Le foyer de votre âme est du domaine de l’absolu, où réside l’Esprit divin. Votre âme habite maintenant le Royaume du relatif, en route vers chez elle. Lorsqu’elle arrivera chez elle, elle se joindre à nouveau au reste d’elle-même. C’est à dire qu’elle se réunira à l’Esprit divin, fusionnant avec lui pour redevenir Un seul Esprit.

Dans certaines traditions mystiques orientales, cette fusion en Un Seul s’appelle samadhi. Elle s’atteint même lorsque l’âme se trouve dans le domaine du relatif, avec un corps et un esprit, bien que l’expérience soit généralement fort brève ; l’âme peut également quitter le corps et l’intellect pour se rafraîchir et refaire ses forces. Cela a lieu durant la période que vous appelez le sommeil.

Finalement, l’âme peut fusionner avec son énergie universelle, s’unifiant avec l’Esprit divin pour des périodes longues et étendues. C’est ce qui se produit à l’instant que vous appelez la mort.

Bien sûr la mort n’existe pas ; la mort n’est que le nom que vous avez donné à l’expérience que fait votre âme lorsqu’elle transmute l’énergie de votre corps et de votre intellect au moment où elle se réunit au Grand Tout.

L’âme s’y adonne au sien d‘un cycle sans fin. Puis, après avoir revécu l’extase du samadhi et de l’ultime connaissance de l’Unité, l’âme émerge à nouveau du Tout, contrôlant et régularisant sa vibration, et transmutant son énergie en un point précis de ce que vous appelez le continuum spatio-temporel.

Son passage le plus récent à travers ce cycle infini de la divinité faisant l’expérience d’elle-même engendre l’Etre que vous appelez « vous ».

Mais s’il te plaît, explique-moi ceci : je n’ai jamais entendu dire que l’âme aspirait à se connaître en union avec Tout ce qui Est….. Mais si l’âme aspire à cela, comment se fait-il lorsqu’elle finit par se réunir dans le Grand Tout, par revenir chez elle vers Dieu, qu’elle n’y reste pas ? Pourquoi émerge-t-elle à nouveau du Tout pour se « réindividualiser » ?

Parce que le Divin aspire également à faire l’expérience de tous les aspects individuels de sa divinité. Il veut se connaître complètement, de façon expérientielle, et s’étendre et se recréer à neuf, devenir une version de plus en plus grande de lui-même. Et pour cela, il entre dans le domaine du relatif sous une forme individualisée.

L’esprit divin émerge du tout sous la forme de projections individuelle du tout, afin de vivre une expérience totale de tout ce qui Est à travers une multitude sans fin d’expression distinctives que vous appelez à raison l’incroyable Miracle de la Vie.

C’est vraiment un miracle. Et c’est vraiment incroyable. Mais aussi belle soit-elle à tant d’égards, la vie sur cette planète est aujourd’hui menacée. Nous sommes en train de la détruire peu à peu, et nous ne semblons pas savoir comment nous arrêter.

Voilà pourquoi je suis venu vers toi. Je suis en train de vous dire comment vous arrêter. C’est cela, les Nouvelles Révélations.

Lorsque vous étudierez ces révélations, que vous les rassemblerez pour former une seule et même cosmologie nouvelle, vous comprendrez mieux, votre conscience prendra de l’ampleur et vous vous arrêterez automatiquement. Et maintenant, reçois ceci :

LA HUITIEME NOUVELLE REVELATION : Vous n’êtes pas votre corps. Vous êtes sans limites et sans fin.

Extrait du livre : NOUVELLES REVELATIONS

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Des Images pour communiquer avec son Ange

Posté par othoharmonie le 8 mars 2016

 

 TAROT

Le Tarot : une origine spirituelle

L’ancêtre du Tarot de Marseille nous a été donné par des Initiés : les traces les plus lointaines remontent à l’ancienne Egypte (4200 ans av.Christ) où Thot Hermès, le grand Initié de l’époque utilisait des images symboliques pour faire vivre des expériences spirituelles à ses disciples. Cet outil initiatique s’est perdu durant de nombreux siècles pour réapparaître vers les 12/13ème siècle grâce à des initiés Soufis (porteurs de cette spiritualité orientale). Le Tarot renaît alors au cœur d’une période de renouveau spirituel avec les troubadours, les chevaliers du Graal, l’amour courtois…Cette sagesse venue d’Orient vit alors une transformation pour s’adapter à l’Occident. Puis le Tarot trouve sa forme « définitive » à la fin du 14ème siècle.

Ce bref historique invite à considérer le tarot comme un outil sacré, un grand « livre » de sagesse empli d’une richesse spirituelle infinie. Aujourd’hui, le tarot de Marseille présente 22 lames majeures montrant de façon plus ou moins voilées, 22 étapes de l’évolution, 22 facettes et potentiels de l’être humain, 22 manières de vivre des expériences humaines…

Le Tarot, un moyen de développer son libre-arbitre ?!

Dans notre société matérialiste, le tarot est considéré comme un art divinatoire, pour « dire l’avenir ». Pourquoi a-t-il perdu la profondeur initiatique de ses origines ?

Il faut savoir que depuis la Renaissance, l’être humain vît une identification de plus en plus forte au monde matériel, ce qui le coupe davantage de sa nature spirituelle (pour en savoir plus, voir le livre de Pierre Lassalle « La vie spirituelle »). Cette séparation l’insécurise fortement car il perd la conscience de sa nature éternelle et donc la confiance en son futur. Ainsi s’explique la recrudescence de la voyance : ce besoin vital de connaître son avenir pour se rassurer. Cependant, les réponses qui sont données dans les pratiques divinatoires apportent au mieux une connaissance psychologique de l’individu mais ne répondent aucunement aux vraies questions sur le sens de la vie. Ce tarot divinatoire empêche surtout l’individu de penser et de faire des choix par lui-même pour se reconnaître en tant qu’être spirituel adulte, capable de diriger sa vie à partir de vraies et nobles valeurs. Comme de nombreux autres outils spirituels, le Tarot a été matérialisé et désacralisé, créant ainsi une dépendance entre la personne qui cherche de l’aide et son médium.

Oui, d’une certaine façon, le Tarot peut nous montrer notre avenir mais pas celui que l’on croit !

Il nous montre des étapes pour nous améliorer, exprimer de plus en plus nos qualités d’être spirituel jusque dans notre vie matérielle. Le tarot est un langage codé, symbolique pour nous aider à prendre du recul par rapport à une question, à en voir le point de vue spirituel. Son but n’est pas de nous dicter ce qu’il faut faire, effaçant notre libre-arbitre, mais au contraire, il nous invite à nous poser les bonnes questions puis à choisir en tenant compte de notre dimension spirituelle. L’utiliser ainsi fait naître un sentiment de liberté mêlé de joie de vivre et de volonté d’entreprendre.

Du Tarot vers l’Ange…

Mais, qui nous « parle » au travers du Tarot ?
Lorsqu’on fait un tirage, que l’on questionne le tarot avec un état d’esprit sincère, en cherchant la vérité, avec l’envie de grandir, d’évoluer, de se transformer, c’est celui que l’on nomme l’Ange-guide (ou le Gardien de notre destinée) qui nous « répond ». Cette entité spirituelle, plus évoluée que nous, a en main toutes les « cartes » de notre destinée sur terre. Notre Ange veille sur nous comme un grand frère et nous accompagne pour accomplir notre but de vie. Le Tarot est donc pour Lui un moyen idéal pour entrer en relation avec son protégé et le guider. En apprenant à « parler le Tarot », on apprend à communiquer de façon de plus en plus sensible avec son Ange et à ne plus perdre le fil qui nous relie à notre nature spirituelle.

Ainsi, le tarot joue le rôle d’intermédiaire entre les mondes spirituel et matériel. Notre pensée interprète le tirage grâce à la connaissance symbolique des 22 lames majeures, ce qui nous rapproche de la manière de voir de notre Ange. Si on ajoute à cela la méditation sur les Images du Tarot, alors nous vivons l’expérience intérieure et vivante du message que notre Ange nous a adressé. (voir livre de Pierre Lassalle et Céline Divoor « Parler le langage des Anges »). A chacun de nos efforts d’élévation vers le point de vue de notre Ange, c’est un peu la mission originelle du Tarot que nous faisons renaître.
Pratiquer de façon autonome le Tarot est un excellent moyen de retrouver une confiance absolue dans l’existence du monde spirituel, présent à nos côtés à chaque instant de notre vie, si on y est attentif !

Et n’oublions pas, le Tarot est un jeu, ce n’est pas un hasard ! C’est justement pour apprendre à jouer avec la vie, à cultiver un détachement par rapport à soi-même et aux événements, et apprendre toujours plus des expériences pour progresser vers son futur dans la liberté.
Les « cartes » sont entre vos mains,
A vous de jouer !


Virginie LANDELLE

images (1)A 22 ans, elle découvre ce langage merveilleux des 22 lames majeures du Tarot de Marseille qui lui ouvrent le chemin d’une évolution spirituelle, lui dévoilant le vrai sens de sa vie : partager aux autres cette proximité qu’elle retrouve consciemment avec le Monde Spirituel ou monde angélique.

Durant quinze années, elle apprend à parfaire cette relation au Monde Spirituel par la pratique méditative dans le cadre du Sentier du Graal, une université spirituelle libre créée et enseignée par Pierre Lassalle (auteur de nombreux ouvrages de spiritualité). Elle est amenée aussi à transmettre le fruit de ses transformations au travers d’animations de séminaires, d’ateliers, de conférences sur le Tarot, de nombreuses consultations individuelles en thérapie spirituelle ainsi qu’à co-écrire un livre avec Pierre Lassalle « Les mystères de l’Enfant Intérieur – un point de vue spirituel » (eds. Terra Lucida)

 

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Le magnétisme personnel influe sur le regard et la parole

Posté par othoharmonie le 8 mars 2016

 

Qu’une sorte charme, d’ascendant, semble émaner de certains individus, c’est un fait d’observation courante. Les avantages pratiques qui en résultent fixèrent, il y a environ un demi-siècle, l’attention de divers psychologues. Ils s’efforcèrent de définir la nature de cet appréciable attribut, ainsi que les procédés à mettre en pratique pour l’acquérir ou le développer ils convinrent de le désigner par l’expression séduisante de « Magnétisme personnel ». Depuis, des ouvrages traitant de la question se sont multipliés.

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Il y aurait, nous disent presque tous les auteurs, des Hommes « magnétiques » et des Hommes « non magnétiques ». En réalité, chacun irradie une influence exactement expressive de ses qualifications affectives ou intellectuelles. Insignifiante ou intense, harmonieuse ou inharmonieuse, alternante ou continue, une influence invisible s’extériorise de toute créature humanise et impressionne plus ou moins favorablement ceux pour lesquels elle se trouve habituellement en relation, ceux à qui elle pense et même, certains inconnus que leur similitude ou leur complémentarisme mettent en rapport, en réceptivité avec l’émetteur.

Le magnétisme personnel doit donc être considéré comme une subséquence de la vie psychique, c’est à dire de la pensée, de toutes les sources de celle-ci. Chez certains, il surabonde, chez d’autres il vacille. Les caractères fermes, résolus, irradient un magnétisme dominateur, tout différent de celui des velléitaires. Instable chez les êtres changeants qui passent fréquemment de l’exaltation à la dépression, il garde une continuité très efficace quand l’orientation du cours des pensées, maintenu vers la poursuite d’un objectif bien défini, assure la convergence de celles-ci. Des qualités morales (bienveillance, sociabilité, droiture) résulte son harmonie qui détermine une résonance sympathique dans l’âme des bienveillants et des sociables, ainsi que la confiance et l’estime de ceux-ci. Chez les violents, les despotiques, il peut être oppressif, et imposer à certains une véritable subordination, mais il engendre de l’extérieur des antagonisme et des heurts. En résumé, l’agent essentiel du magnétisme personnel n’est autre que l’influence radiophysique.

L’aspect extérieur comme le regard, la parole, l’attitude paraissent considérés comme des éléments capitaux. En réalité, tout cela est secondaire. De deux hommes, l’un d’allure bénigne, effacée, l’autre d’allure hardie, ostentatoire, le premier peut être plus magnétique que le second. Expliquons-nous :

Des yeux brillants, fixes, largement ouverts constituent un élément physique d’esthétique qu’il ne faut pas sous-estimer. Un regard fuyant et mal assuré impressionne désavantageusement, mais la puissance fascinatrice de l’œil s’apparente de très près à celle du point brillant à l’aide duquel on peu parfois produire l’hypnose, justement pour démontrer qu’un instrument matériel détermine le même résultat que la fascination humaine. S’exercer à regarder sans ciller et hardiment à la racine du nez, entre les deux yeux, ceux à qui l’on a affaire, développe une certaine forme d’assurance. A ce titre, c’est un exercice utile. Mais c’est l’intensité de la vie psychique qui donne au regard son influence magnétique. Ce qu’il y a derrière les yeux importe plus que les yeux eux-mêmes. La fermeté intérieure réelle l’emporte sur la simulation extérieure de la hardiesse.

Par là même…. Il est entendu qu’une parole distincte, claire, calmement affirmative, constitue un moyen d‘influence inconsidérable. Le caractère résolu de la pensée qui s’exprime ainsi donne d’autre part à la voix un magnétisme qui en restera absent si l’excellence de la diction, si la facilité d’élocution et la virtuosité expressive restent seules en jeu. Qui possède mieux qu’un comédien, qu’un tragédien, la maîtrise de ses moyens vocaux. Or, ce même artiste, si émouvant sur scène, peut fort bien manier de puissance persuasive, d’autorité, sinon de charme, dans la vie quotidienne, même et surtout, lorsque ce à quoi il tient par-dessus tout devient le sujet d’un ébat.

De même, l’Homme accoutumé professionnellement à commander, à obtenir, en vertu d’insignes ou de titres, l’obéissance passive et qui, de ce fait, use d’un verbe péremptoire, perd souvent tous ses moyens s’il a affaire à des gens qui ne dépendant pas de lui.

Comme le regard « magnétique », la parole « magnétique », celle qui imprègne profondément l’esprit, qui y implante le germe de sentiments oud e convictions irrésistibles, procède de dispositions intérieures, d’une invisible influence inséparable de qualifications intrinsèques, tout à fait distinctes du talent oratoire. La faconde du « beau parleur » et les subtilités de la rhétorique sont des éléments de suggestion verbale qui suffisent à perturber l’imagination ou, le jugement des indécis, des subjectifs et plus encore des perturbés mentaux ; elles restent sans effets sur les esprits objectifs dont le discernement, sans cesse en éveil, gouverne l’impressionnabilité physique et intellectuelle.

Il en va de même pour l’attitude. Celle des présomptueux, des impulsifs, des infatués ou des égoïstes, leur donne l’apparence de la sûreté de soi. Mais cette apparence repose sur une illusion. La sûreté de soi, elle repose sur des certitudes ; certitude d’une capacité d’effort éprouvé, d’un savoir étendu et précis, de possibilités réalisatrices mises en évidence par des accomplissements antérieurs, d’une impassibilité plusieurs fois vérifiée en mainte circonstance périlleuse. Là, encore ce sont les dispositions psychiques qui dégagent une influence, non pas l’imitation de l’attitude qu’engendrent ces dispositions.

Une valeur intrinsèque supérieure n’est pas incompatible avec la timidité, la gaucherie, l’embarras en public. Cela vient souvent de ce que l’intéressé, préoccupé principalement de choses sérieuses, de l’exécution de quelque grand dessein, de hautes idéologies, se détourne malaisément des richesses de sa vie intérieure et ne saurait posséder la désinvolture d’un danseur mondain. Son magnétisme personnel, inopérant sur l’immense majorité, sans résonance sur l’infantilisme cérébral de ceux qui le considèrent d’un œil narquois, influe exclusivement sur les gens dont le mental est réceptif à l’espèce et à la qualité de ses sentiments et de ses pensées.

Moralité : Ne pas se fier aux apparences !

Francesca du blog :  http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pratique de l’éducation émotionnelle

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

education émotionnelle

Comme si vous y étiez, un professeur et ses élèves parcourent un programme d’éducation émotionnelle et relationnelle. Une approche ludique qui complémente l’enseignement traditionnel, mais surtout un parcours plein de surprises et de révélations pour le lecteur.

Ce récit, captivant et émouvant, offre tous les ingrédients et outils nécessaires pour les apprentissages indispensables à une vie heureuse, créative, libre et pleine de réussite. Loin de se limiter à l’essentiel, il surprendra le lecteur par la profondeur de sa vision et la pertinence des « clés » proposées. Un livre pour tous ceux qui cherchent à améliorer l’efficacité de leur existence, personnelle et professionnelle. Mais aussi et peut être surtout un projet pédagogique, une mine d’outils et d’inspiration pour l’enseignant ou l’animateur : voici enfin le livre qui offre un cadre précis permettant d’introduire l’éducation émotionnelle dans l’école.

Le parcours proposé constitue un programme visant à développer progressivement les capacités de :
– voir
– ressentir,
– écouter,
– entendre,
– apprécier correctement,
– identifier ses besoins,
– formuler des demandes recevables,
– communiquer sans juger,
– prendre responsabilité,
– se prendre en charge,
– penser et agir de façon « juste »,
– s’exprimer de façon confiante et affirmée,
– gérer les conflits,
– se fixer des objectifs,
– choisir les bonnes stratégies pour les atteindre,
– explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même.

livre

Introduction du Livre

« Ce livre décrit un cours imaginaire. Une classe comme il n’en existe probablement pas, mais à laquelle chacun, je pense, rêvera d’avoir pu participer. Une classe comme j’aimerais en voir beaucoup d’ici quelques années…

Dans ma pratique professionnelle je reçois régulièrement des personnes confrontées à des difficultés personnelles et relationnelles. Normal, c’est mon boulot. Ce qui est moins normal, c’est le nombre de fois que je me dis : cette personne ne connaît même pas le B-A-BA des notions fondamentales du bien-être. Qu’a-t-elle donc appris à l’école ? A compter, à lire, à écrire ? Peut-être, mais les apprentissages essentiels liés à la gestion de son être intérieur, de la communication, de la relation à l’autre : rien ! Ou si peu… Notre civilisation contemporaine se soucie de former des êtres capables de lire un journal, de gagner de l’argent, de voter et de consommer gentiment, mais elle a négligé jusqu’à présent le domaine de l’éducation émotionnelle et relationnelle.

Pourtant les outils existent, je le sais pour les avoir pratiqués depuis plus de vingt ans. Je sais que la plupart de ces apprentissages se font le plus efficacement dans le cadre d’un groupe, par le biais d’une approche ludique. Je sais qu’ils sont parfaitement abordables pour des adolescents, et même à quel point il est essentiel que ceux-ci puissent y avoir accès. Alors je me suis mis au travail. En voici le résultat.

Je n’ai pas voulu d’un livre théorique, intellectuel, ni un recueil de fiches techniques. Je le voulais en même temps pratique, utile et très lisible. Je voulais qu’il puisse offrir au lecteur un cheminement comparable à celui qu’il décrit. J’ai donc opté pour un scénario vivant, constitué essentiellement de dialogues et d’exercices joués et commentés.

Certes, les jeunes de cette classe sont exemplaires, brillants, intelligents, parfaitement disciplinés. Ils servent mon objectif d’auteur et ne sont aucunement représentatifs de ce qu’un cours réel pourrait être. Mon objectif est de faire passer un message au lecteur, de lui proposer une expérience, de susciter d’autres questions, voire d’inviter à aller plus loin dans un groupe de discussion. Si j’avais opté pour une classe de cancres, il m’eut fallu mille pages de plus pour arriver au même résultat.

Le parcours éducatif proposé dans cet ouvrage constitue donc (tant pour le lecteur que pour l’animateur qui souhaiterait s’en inspirer) un programme visant à développer la capacité de voir, de ressentir, d’écouter, d’entendre, d’apprécier correctement, d’identifier ses besoins, de formuler des demandes, de « prendre responsabilité » (expression qui sera précisée) , de se prendre en charge, de penser juste, d’agir, de s’exprimer, d’explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même. Tout cela s’apprend, par le jeu et la dynamique de groupe.

Mon souhait évidemment est que ce type de travail soit largement intégré dans les programmes scolaires, comme le besoin s’en fait d’ailleurs ressentir de plus en plus clairement. Jusqu’à présent les éducateurs n’ont eu accès, au mieux, qu’à des outils hétéroclites, incomplets, difficiles à utiliser ou exigeant de leur part une adaptation dont ils n’ont pas nécessairement les moyens. Cet ouvrage espère combler une lacune et rendre le travail abordable sans aucune compétence particulière autre que celle liée au métier d’enseignant ou d’animateur. De plus, l’outil proposé n’est pas incompatible avec d’autres approches. Quelle que soit la formation de l’animateur, il trouvera dans les pages qui suivent un support pédagogique performant. Et bien entendu s’il a pu suivre une formation spécifique dans le domaine du développement personnel, telle que PNL, Sophrologie, Analyse Transactionnelle ou autre, cela lui sera d’une grande utilité.

Simples et efficaces, les outils proposés peuvent d’ailleurs être utilisés dans toute configuration d’animation, que ce soit à l’école ou en dehors, avec des enfants, des jeunes ou des adultes. Mais l’école constitue un contexte idéal. C’est là que les jeunes passent la plus grande partie de leur temps, là qu’ils ont leurs repères dans des groupes stables et homogènes, là qu’ils rencontrent leur premiers défis relationnels. C’est évidemment là que l’Education a sa place, celle qui englobe tous les apprentissages indispensables pour devenir un être humain accompli.

Un de mes amis, rompu au développement personnel, m’a déclaré après avoir lu le manuscrit : « J’ai eu l’occasion de pratiquer la plupart des exercices décrits, sous une forme plus ou moins analogue. Ils m’ont toujours beaucoup appris, soit au moment même, soit par après. Mais moi je les ai faits sur le tard. Il m’eut été bien plus profitable d’acquérir quelques-unes de ces compétences avant que je ne bousille la moitié de mon existence ! »

J’ai voulu proposer un outil prêt à l’emploi, un modèle suscitant et encadrant l’expérience, afin que l’apprentissage ne se résume pas à une approche purement intellectuelle.

Je n’ai pas la prétention d’avoir inventé une pédagogie « nouvelle ». Ce livre s’inspire de nombreuses écoles, impossibles à énumérer toutes. Ce serait d’ailleurs inutile. Certes j’ai créé et imaginé de nombreux exercices, mais fondamentalement je n’invente rien. Et je ne prétends pas davantage être complet. Mon souci a été de rassembler dans un approche pédagogique cohérente le meilleur de ce qui a été fait, imaginé et expérimenté dans les différentes écoles de développement personnel depuis des décennies.

Ce livre s’adresse en premier lieu aux jeunes et adolescents, dès l’âge de 12-13 ans et idéalement aux grands adolescents. Il leur est destiné, comme outil et comme guide.

Il s’adresse ensuite aux enseignants, animateurs et formateurs. Ils trouveront ici un modèle qui leur permettra en même temps de se former, de préparer et d’animer leurs propres sessions. Un complément est fourni en annexe, contenant des directives d’animation, ainsi qu’un index des jeux et activités. N’importe quel enseignant motivé et désireux de progresser lui-même dans la voie de l’Education Emotionnelle peut pratiquer cet outil.

Enfin ce livre s’adresse aussi à toute personne qui souhaite apprendre et s’enrichir, et particulièrement aux parents, bien entendu. Pour eux-mêmes, pour le couple et pour la famille. Les outils et apprentissages présentés se révéleront essentiels pour l’éducation autant que pour la communication au sein du couple. Mais surtout, s’ils ne veulent pas être rapidement déphasés par rapport à leurs enfants, il leur faudra acquérir des compétences que ce vingt-et-unième siècle ne permettra plus d’ignorer. Les enfants d’aujourd’hui, dirigeants de demain, sont porteurs de responsabilités énormes face à la complexité des défis planétaires. Ils sauront, eux, trouver ce qu’il leur faut pour s’armer correctement face à ces défis. Et il appartiendra à leurs parents de ne pas se laisser distancer. On voit aujourd’hui émerger une génération d’enfants pour qui certains apprentissages semblent ne poser aucun problème. Ils se familiarisent aux ordinateurs et appareils électroniques avec une déconcertante facilité. Gageons qu’ils feront preuve de tout autant d’aisance dans le domaine de l’Education Emotionnelle. « 


241Michel CLAEYS BOUUAERT

Né en Belgique en 1950, père de 4 enfants. Juriste et criminologue de formation, Michel Claeys Bouuaert s’est tourné vers l’éducation et le développement personnel lorsque les perspectives offertes par la carrière juridique lui parurent de nature à l’enfermer dans un système dont il s’accommodait difficilement. Il vécut, vers la fin des années 70, en Ecosse et aux USA, dans la mouvance du « développement du potentiel humain ». Il eut l’occasion d’explorer un grand nombre d’outils nouveaux, se familiarisant avec l’animation de groupes et le travail sur soi. Les années 80 le voient s’installer à Bruxelles avec sa famille et gérer un centre axé sur le développement personnel. En 1992 il fonde l’association Deuil et Transition, offrant une permanence téléphonique et accompagnant les personnes en situation de rupture ou de deuil. Depuis le début des années 90 il travaille comme psychothérapeute indépendant. En 2000, ses quatre enfants ayant grandi et menant désormais une vie plus autonome, il s’installe avec son épouse à Pékin. Il s’y consacre à introduire des outils pédagogiques et psychologiques auprès des éditeurs chinois. Il fait également l’expérience de l’enseignement à l’Ecole Internationale de Pékin. L’introduction d’une Education Emotionnelle dans les écoles est un objectif sur lequel il travaille depuis de nombreuses années. Il poursuit aujourd’hui à Pékin son travail de psychothérapeute, d’éducateur et d’animateur de stages.

de Michel Claeys Bouuaert,

 

Pour commander le livre : http://www.souffledor.fr/

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A LA DECOUVERTE DE LA CORDE D’ARGENT

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

 

La Bible y fait référence : « Mais souviens-toi de ton Créateur aux jours de ta jeunesse, avant que viennent les jours mauvais et que paraissent les années dont tu diras : « Je n’y ai point de plaisir »… Car l’homme s’achemine vers sa demeure éternelle et les pleureurs parcourent les rues ; avant que se rompe le codon d’argent, que se brise la lampe d’or … Avant que la poussière retourne à la terre pour redevenir ce qu’elle était, et que le souffle de vie retourne à Dieu qui l’a donnée (L’Ecclésiaste, XII,6)

corde d'argent

La corde d’argent prend sa source dans le corps humain, la plupart du temps au niveau des omoplates. Aux abords du corps physique, sa couleur est presque blanche, brillante come le ventre d’un poisson. En s’éloignant, elle prend une teinte plus foncée, un peu dorée. Elle a la consistance de la buée ou du corps astral, presque sans masse, et a l’apparence d’un fil de nylon. Sa forme évoque le cordon ombilical et va en s’aplatissant. Elle semble avoir la capacité de s’étirer à l’infini pour se transformer en une matière purement astrale, dans ces aspects de la réalité que nous ne connaissons pas.

La corde d’argent est l’assurance que le dédoublement ne comporte aucun danger définitif ; elle ne peut se rompre et ramène toujours le corps spirituel dans le corps physique. En cas de nécessité, vous la sentirez tressauter et vous réintégrerez votre corps en un instant. Si vous vous endormez, vous passerez par le rêve, puis l’éveil. La corde d’argent relie la maison provisoire (le corps) et la maison éternelle, le royaume des âmes.

Pour les Grecs, par exemple, trois sœurs, les Moires (les Parques des Romains), régnaient sur la vie, l’une filant, l’autre tissant, la troisième coupant. L’expression : « Sa vie ne tenait plus qu’à un fil » indique que la corde d’argent ne se brise qu’à la mort. Ensuite, l’âme est libérée et continue son exploration dans des zones astrales.

Votre corps éthérique et votre corps physique ont bien des sensations en commun, mais il est parfois difficile de les différencier. Comme je le dis : « Il m’a fallu un certain temps pour me rendre compte que je me trouvais hors de mon corps. Pendant une période qui me parut assez longue, je me suis promenée, puis j’ai réalisé que j’étais en train de rêver. Peu après, j’ai compris qu’il s’agissait d’un rêve très particulier plutôt inhabituel. Et lorsque je me suis réveillée, curieusement, j’étais toujours en train de rêver. J’étais encore dans un état de conscience modifiée et j’ai constaté que je n’étais pas chez moi. Je n’étais pas dans un rêve, mais dans un état inconnu. J’étais perchée au-dessus d’un toit, sans savoir où aller. Après quelques secondes de panique, je me suis ressaisie et me suis dirigée vers ma maison. Ce qui m’a surpris, c’est l’aspect familier de cette expérience. Une fois mon corps physique réintégré, j’ai réalisé que j’avais déjà connu pareille expérience à plusieurs reprises dans ma vie, comme si je me surprenais alors que j’étais encore à l’extérieur de mon corps. Ce qui m’avait ramené dans mon cors, c’était le besoin d‘uriner. Je me sentais étrangement bine ; j’avais l’impression d’avoir accédé à une très grande compréhension du monde extérieur.

« Plus étonnant, tout mon être était devenu un être communiquant avec le monde extérieur. Ma main, mes pieds, mes épaules, chaque partie de mon corps pensait – et je dis bien pensait, et pas seulement ressentait – , réfléchissait. Ce point est important parce que, pour la première fois, je compris que j’étais un être complet, que chacune de mes cellules communiquait avec le monde extérieur. Mon corps éthérique était un champ d’énergie, et ce champ d’énergie m’avait attiré pour me faire rentrer ; ce corps éthérique était doté des mêmes sens, des mêmes capacités de perception que mon corps physique. C’est probablement à la suite de ces expériences que les humains ont établie une relation entre la sortie du corps et le voyage de l’âme après la mort, qu’ils en ont déduit que cela perdurait au-delà du temps. On continue à voir, à entendre et à ressentir. Cependant, même si j’avais une masse identique à déplacer, ma force tétait plus grande dans ma tête que dans mon corps. Ces mots semblent absurdes, car en réalité il n’y avait pas de différence entre la pensée et le physique, fusionnés.

Mais si moi, je me sentais dans mon état quasi normal, il en allait autrement pour l’environnement. Les murs, les meubles, les objets semblaient animés…. J’étais modelé dans la même matière. « Un autre jour, e présence d’une jeune femme, je ne fis plus de différence entre elle et moi. J’étais devenu elle. Je captais ses pensées et ses émotions. Comme si j’étais son jumeau. Une substance vert argenté coulait de moi vers elle. Pourtant j’avais la certitude de ne pas la connaître, il s’agissait d’une amie de rêve ou astrale. En me déplaçant, des ondulations argentées me guidèrent. Le vent coulait sur moi, l’air coulait autour de moi, comme de l’eau. Je m’enfonçais dans cette matière vivante. Deux mètres nous séparaient, pourtant cela parut assez long.

Les sensations n’étaient pas vraiment identiques. Le poids de mon corps ne pouvait se comparer à la sensation d‘un pied nu sur la moquette. Une sorte de balancement évoquait l’oiseau qui joue dans un courant d’air, monte et descend. J’avais l’impression de marcher dans l’eau en m’enfonçant légèrement, comme sur un nuage… Ce n’était pas des hallucinations, le contact était bien réel ; il n’y avait, dans la pièce, aucun objet supplémentaire : les meubles, les livres, la télévision se trouvaient exactement à leur place. Mon corps physique et mon corps éthérique étaient reliés par une sorte de corde jaillissant de mon plexus. Elle s’étendait à l’infini, elle protégeait mon corps, le nourrissait comme un cordon ombilical. Elle ne me causait aucune gêne ; d’ailleurs, la plupart du temps je ne remarquais pas sa présence. Peut-être était-ce dû à un certain éclairage ». Propos rapportés par Bernard RAQUIN

Cette corde traverse les objets. Elle sert de courroie de transmission entre le corps physique et le corps spirituel. Grâce à elle, on revient instantanément dans son corps physique. Il se produit parfois un bruit métallique, un claquement quelque peu désagréable, mais sans gravité, lors du dédoublement ou de la réintégration. Si vous êtes en milieu hostile, ou si vous êtes épuisé, pensez à votre corde d’argent pour rentrer à la maison. La réalité est réversible, et  en permanence, vous communiquez avec votre corps spirituel par la corde d’argent. Vous pouvez la ressentir pendant l’exercice du miroir. Quand vous planez au-dessus de votre corps physique, quand vous regardez en face de vous ou dans un miroir, (ou si vous faites un exercice à deux) concentrez-vous sur le plexus. Elle se trouve parfois dans la poitrine ou dans le troisième œil.

C’est peut-être par elle que se transmet l’énergie entre le magnétiseur et son patient, et que les amoureux communiquent en osmose, lorsqu’ils forment une seule personne, sensations et pensées unies. Elle vous protège, en captant les informations lorsque votre conscience voyage. Si le corps astral et le corps physique sont trop proches, ils risquent de fusionner. Elle devient souvent perceptible lorsqu’ils sont au moins à un ou deux mètres. 

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