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Pratique de l’éducation émotionnelle

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

education émotionnelle

Comme si vous y étiez, un professeur et ses élèves parcourent un programme d’éducation émotionnelle et relationnelle. Une approche ludique qui complémente l’enseignement traditionnel, mais surtout un parcours plein de surprises et de révélations pour le lecteur.

Ce récit, captivant et émouvant, offre tous les ingrédients et outils nécessaires pour les apprentissages indispensables à une vie heureuse, créative, libre et pleine de réussite. Loin de se limiter à l’essentiel, il surprendra le lecteur par la profondeur de sa vision et la pertinence des « clés » proposées. Un livre pour tous ceux qui cherchent à améliorer l’efficacité de leur existence, personnelle et professionnelle. Mais aussi et peut être surtout un projet pédagogique, une mine d’outils et d’inspiration pour l’enseignant ou l’animateur : voici enfin le livre qui offre un cadre précis permettant d’introduire l’éducation émotionnelle dans l’école.

Le parcours proposé constitue un programme visant à développer progressivement les capacités de :
– voir
– ressentir,
– écouter,
– entendre,
– apprécier correctement,
– identifier ses besoins,
– formuler des demandes recevables,
– communiquer sans juger,
– prendre responsabilité,
– se prendre en charge,
– penser et agir de façon « juste »,
– s’exprimer de façon confiante et affirmée,
– gérer les conflits,
– se fixer des objectifs,
– choisir les bonnes stratégies pour les atteindre,
– explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même.

livre

Introduction du Livre

« Ce livre décrit un cours imaginaire. Une classe comme il n’en existe probablement pas, mais à laquelle chacun, je pense, rêvera d’avoir pu participer. Une classe comme j’aimerais en voir beaucoup d’ici quelques années…

Dans ma pratique professionnelle je reçois régulièrement des personnes confrontées à des difficultés personnelles et relationnelles. Normal, c’est mon boulot. Ce qui est moins normal, c’est le nombre de fois que je me dis : cette personne ne connaît même pas le B-A-BA des notions fondamentales du bien-être. Qu’a-t-elle donc appris à l’école ? A compter, à lire, à écrire ? Peut-être, mais les apprentissages essentiels liés à la gestion de son être intérieur, de la communication, de la relation à l’autre : rien ! Ou si peu… Notre civilisation contemporaine se soucie de former des êtres capables de lire un journal, de gagner de l’argent, de voter et de consommer gentiment, mais elle a négligé jusqu’à présent le domaine de l’éducation émotionnelle et relationnelle.

Pourtant les outils existent, je le sais pour les avoir pratiqués depuis plus de vingt ans. Je sais que la plupart de ces apprentissages se font le plus efficacement dans le cadre d’un groupe, par le biais d’une approche ludique. Je sais qu’ils sont parfaitement abordables pour des adolescents, et même à quel point il est essentiel que ceux-ci puissent y avoir accès. Alors je me suis mis au travail. En voici le résultat.

Je n’ai pas voulu d’un livre théorique, intellectuel, ni un recueil de fiches techniques. Je le voulais en même temps pratique, utile et très lisible. Je voulais qu’il puisse offrir au lecteur un cheminement comparable à celui qu’il décrit. J’ai donc opté pour un scénario vivant, constitué essentiellement de dialogues et d’exercices joués et commentés.

Certes, les jeunes de cette classe sont exemplaires, brillants, intelligents, parfaitement disciplinés. Ils servent mon objectif d’auteur et ne sont aucunement représentatifs de ce qu’un cours réel pourrait être. Mon objectif est de faire passer un message au lecteur, de lui proposer une expérience, de susciter d’autres questions, voire d’inviter à aller plus loin dans un groupe de discussion. Si j’avais opté pour une classe de cancres, il m’eut fallu mille pages de plus pour arriver au même résultat.

Le parcours éducatif proposé dans cet ouvrage constitue donc (tant pour le lecteur que pour l’animateur qui souhaiterait s’en inspirer) un programme visant à développer la capacité de voir, de ressentir, d’écouter, d’entendre, d’apprécier correctement, d’identifier ses besoins, de formuler des demandes, de « prendre responsabilité » (expression qui sera précisée) , de se prendre en charge, de penser juste, d’agir, de s’exprimer, d’explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même. Tout cela s’apprend, par le jeu et la dynamique de groupe.

Mon souhait évidemment est que ce type de travail soit largement intégré dans les programmes scolaires, comme le besoin s’en fait d’ailleurs ressentir de plus en plus clairement. Jusqu’à présent les éducateurs n’ont eu accès, au mieux, qu’à des outils hétéroclites, incomplets, difficiles à utiliser ou exigeant de leur part une adaptation dont ils n’ont pas nécessairement les moyens. Cet ouvrage espère combler une lacune et rendre le travail abordable sans aucune compétence particulière autre que celle liée au métier d’enseignant ou d’animateur. De plus, l’outil proposé n’est pas incompatible avec d’autres approches. Quelle que soit la formation de l’animateur, il trouvera dans les pages qui suivent un support pédagogique performant. Et bien entendu s’il a pu suivre une formation spécifique dans le domaine du développement personnel, telle que PNL, Sophrologie, Analyse Transactionnelle ou autre, cela lui sera d’une grande utilité.

Simples et efficaces, les outils proposés peuvent d’ailleurs être utilisés dans toute configuration d’animation, que ce soit à l’école ou en dehors, avec des enfants, des jeunes ou des adultes. Mais l’école constitue un contexte idéal. C’est là que les jeunes passent la plus grande partie de leur temps, là qu’ils ont leurs repères dans des groupes stables et homogènes, là qu’ils rencontrent leur premiers défis relationnels. C’est évidemment là que l’Education a sa place, celle qui englobe tous les apprentissages indispensables pour devenir un être humain accompli.

Un de mes amis, rompu au développement personnel, m’a déclaré après avoir lu le manuscrit : « J’ai eu l’occasion de pratiquer la plupart des exercices décrits, sous une forme plus ou moins analogue. Ils m’ont toujours beaucoup appris, soit au moment même, soit par après. Mais moi je les ai faits sur le tard. Il m’eut été bien plus profitable d’acquérir quelques-unes de ces compétences avant que je ne bousille la moitié de mon existence ! »

J’ai voulu proposer un outil prêt à l’emploi, un modèle suscitant et encadrant l’expérience, afin que l’apprentissage ne se résume pas à une approche purement intellectuelle.

Je n’ai pas la prétention d’avoir inventé une pédagogie « nouvelle ». Ce livre s’inspire de nombreuses écoles, impossibles à énumérer toutes. Ce serait d’ailleurs inutile. Certes j’ai créé et imaginé de nombreux exercices, mais fondamentalement je n’invente rien. Et je ne prétends pas davantage être complet. Mon souci a été de rassembler dans un approche pédagogique cohérente le meilleur de ce qui a été fait, imaginé et expérimenté dans les différentes écoles de développement personnel depuis des décennies.

Ce livre s’adresse en premier lieu aux jeunes et adolescents, dès l’âge de 12-13 ans et idéalement aux grands adolescents. Il leur est destiné, comme outil et comme guide.

Il s’adresse ensuite aux enseignants, animateurs et formateurs. Ils trouveront ici un modèle qui leur permettra en même temps de se former, de préparer et d’animer leurs propres sessions. Un complément est fourni en annexe, contenant des directives d’animation, ainsi qu’un index des jeux et activités. N’importe quel enseignant motivé et désireux de progresser lui-même dans la voie de l’Education Emotionnelle peut pratiquer cet outil.

Enfin ce livre s’adresse aussi à toute personne qui souhaite apprendre et s’enrichir, et particulièrement aux parents, bien entendu. Pour eux-mêmes, pour le couple et pour la famille. Les outils et apprentissages présentés se révéleront essentiels pour l’éducation autant que pour la communication au sein du couple. Mais surtout, s’ils ne veulent pas être rapidement déphasés par rapport à leurs enfants, il leur faudra acquérir des compétences que ce vingt-et-unième siècle ne permettra plus d’ignorer. Les enfants d’aujourd’hui, dirigeants de demain, sont porteurs de responsabilités énormes face à la complexité des défis planétaires. Ils sauront, eux, trouver ce qu’il leur faut pour s’armer correctement face à ces défis. Et il appartiendra à leurs parents de ne pas se laisser distancer. On voit aujourd’hui émerger une génération d’enfants pour qui certains apprentissages semblent ne poser aucun problème. Ils se familiarisent aux ordinateurs et appareils électroniques avec une déconcertante facilité. Gageons qu’ils feront preuve de tout autant d’aisance dans le domaine de l’Education Emotionnelle. « 


241Michel CLAEYS BOUUAERT

Né en Belgique en 1950, père de 4 enfants. Juriste et criminologue de formation, Michel Claeys Bouuaert s’est tourné vers l’éducation et le développement personnel lorsque les perspectives offertes par la carrière juridique lui parurent de nature à l’enfermer dans un système dont il s’accommodait difficilement. Il vécut, vers la fin des années 70, en Ecosse et aux USA, dans la mouvance du « développement du potentiel humain ». Il eut l’occasion d’explorer un grand nombre d’outils nouveaux, se familiarisant avec l’animation de groupes et le travail sur soi. Les années 80 le voient s’installer à Bruxelles avec sa famille et gérer un centre axé sur le développement personnel. En 1992 il fonde l’association Deuil et Transition, offrant une permanence téléphonique et accompagnant les personnes en situation de rupture ou de deuil. Depuis le début des années 90 il travaille comme psychothérapeute indépendant. En 2000, ses quatre enfants ayant grandi et menant désormais une vie plus autonome, il s’installe avec son épouse à Pékin. Il s’y consacre à introduire des outils pédagogiques et psychologiques auprès des éditeurs chinois. Il fait également l’expérience de l’enseignement à l’Ecole Internationale de Pékin. L’introduction d’une Education Emotionnelle dans les écoles est un objectif sur lequel il travaille depuis de nombreuses années. Il poursuit aujourd’hui à Pékin son travail de psychothérapeute, d’éducateur et d’animateur de stages.

de Michel Claeys Bouuaert,

 

Pour commander le livre : http://www.souffledor.fr/

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A LA DECOUVERTE DE LA CORDE D’ARGENT

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

 

La Bible y fait référence : « Mais souviens-toi de ton Créateur aux jours de ta jeunesse, avant que viennent les jours mauvais et que paraissent les années dont tu diras : « Je n’y ai point de plaisir »… Car l’homme s’achemine vers sa demeure éternelle et les pleureurs parcourent les rues ; avant que se rompe le codon d’argent, que se brise la lampe d’or … Avant que la poussière retourne à la terre pour redevenir ce qu’elle était, et que le souffle de vie retourne à Dieu qui l’a donnée (L’Ecclésiaste, XII,6)

corde d'argent

La corde d’argent prend sa source dans le corps humain, la plupart du temps au niveau des omoplates. Aux abords du corps physique, sa couleur est presque blanche, brillante come le ventre d’un poisson. En s’éloignant, elle prend une teinte plus foncée, un peu dorée. Elle a la consistance de la buée ou du corps astral, presque sans masse, et a l’apparence d’un fil de nylon. Sa forme évoque le cordon ombilical et va en s’aplatissant. Elle semble avoir la capacité de s’étirer à l’infini pour se transformer en une matière purement astrale, dans ces aspects de la réalité que nous ne connaissons pas.

La corde d’argent est l’assurance que le dédoublement ne comporte aucun danger définitif ; elle ne peut se rompre et ramène toujours le corps spirituel dans le corps physique. En cas de nécessité, vous la sentirez tressauter et vous réintégrerez votre corps en un instant. Si vous vous endormez, vous passerez par le rêve, puis l’éveil. La corde d’argent relie la maison provisoire (le corps) et la maison éternelle, le royaume des âmes.

Pour les Grecs, par exemple, trois sœurs, les Moires (les Parques des Romains), régnaient sur la vie, l’une filant, l’autre tissant, la troisième coupant. L’expression : « Sa vie ne tenait plus qu’à un fil » indique que la corde d’argent ne se brise qu’à la mort. Ensuite, l’âme est libérée et continue son exploration dans des zones astrales.

Votre corps éthérique et votre corps physique ont bien des sensations en commun, mais il est parfois difficile de les différencier. Comme je le dis : « Il m’a fallu un certain temps pour me rendre compte que je me trouvais hors de mon corps. Pendant une période qui me parut assez longue, je me suis promenée, puis j’ai réalisé que j’étais en train de rêver. Peu après, j’ai compris qu’il s’agissait d’un rêve très particulier plutôt inhabituel. Et lorsque je me suis réveillée, curieusement, j’étais toujours en train de rêver. J’étais encore dans un état de conscience modifiée et j’ai constaté que je n’étais pas chez moi. Je n’étais pas dans un rêve, mais dans un état inconnu. J’étais perchée au-dessus d’un toit, sans savoir où aller. Après quelques secondes de panique, je me suis ressaisie et me suis dirigée vers ma maison. Ce qui m’a surpris, c’est l’aspect familier de cette expérience. Une fois mon corps physique réintégré, j’ai réalisé que j’avais déjà connu pareille expérience à plusieurs reprises dans ma vie, comme si je me surprenais alors que j’étais encore à l’extérieur de mon corps. Ce qui m’avait ramené dans mon cors, c’était le besoin d‘uriner. Je me sentais étrangement bine ; j’avais l’impression d’avoir accédé à une très grande compréhension du monde extérieur.

« Plus étonnant, tout mon être était devenu un être communiquant avec le monde extérieur. Ma main, mes pieds, mes épaules, chaque partie de mon corps pensait – et je dis bien pensait, et pas seulement ressentait – , réfléchissait. Ce point est important parce que, pour la première fois, je compris que j’étais un être complet, que chacune de mes cellules communiquait avec le monde extérieur. Mon corps éthérique était un champ d’énergie, et ce champ d’énergie m’avait attiré pour me faire rentrer ; ce corps éthérique était doté des mêmes sens, des mêmes capacités de perception que mon corps physique. C’est probablement à la suite de ces expériences que les humains ont établie une relation entre la sortie du corps et le voyage de l’âme après la mort, qu’ils en ont déduit que cela perdurait au-delà du temps. On continue à voir, à entendre et à ressentir. Cependant, même si j’avais une masse identique à déplacer, ma force tétait plus grande dans ma tête que dans mon corps. Ces mots semblent absurdes, car en réalité il n’y avait pas de différence entre la pensée et le physique, fusionnés.

Mais si moi, je me sentais dans mon état quasi normal, il en allait autrement pour l’environnement. Les murs, les meubles, les objets semblaient animés…. J’étais modelé dans la même matière. « Un autre jour, e présence d’une jeune femme, je ne fis plus de différence entre elle et moi. J’étais devenu elle. Je captais ses pensées et ses émotions. Comme si j’étais son jumeau. Une substance vert argenté coulait de moi vers elle. Pourtant j’avais la certitude de ne pas la connaître, il s’agissait d’une amie de rêve ou astrale. En me déplaçant, des ondulations argentées me guidèrent. Le vent coulait sur moi, l’air coulait autour de moi, comme de l’eau. Je m’enfonçais dans cette matière vivante. Deux mètres nous séparaient, pourtant cela parut assez long.

Les sensations n’étaient pas vraiment identiques. Le poids de mon corps ne pouvait se comparer à la sensation d‘un pied nu sur la moquette. Une sorte de balancement évoquait l’oiseau qui joue dans un courant d’air, monte et descend. J’avais l’impression de marcher dans l’eau en m’enfonçant légèrement, comme sur un nuage… Ce n’était pas des hallucinations, le contact était bien réel ; il n’y avait, dans la pièce, aucun objet supplémentaire : les meubles, les livres, la télévision se trouvaient exactement à leur place. Mon corps physique et mon corps éthérique étaient reliés par une sorte de corde jaillissant de mon plexus. Elle s’étendait à l’infini, elle protégeait mon corps, le nourrissait comme un cordon ombilical. Elle ne me causait aucune gêne ; d’ailleurs, la plupart du temps je ne remarquais pas sa présence. Peut-être était-ce dû à un certain éclairage ». Propos rapportés par Bernard RAQUIN

Cette corde traverse les objets. Elle sert de courroie de transmission entre le corps physique et le corps spirituel. Grâce à elle, on revient instantanément dans son corps physique. Il se produit parfois un bruit métallique, un claquement quelque peu désagréable, mais sans gravité, lors du dédoublement ou de la réintégration. Si vous êtes en milieu hostile, ou si vous êtes épuisé, pensez à votre corde d’argent pour rentrer à la maison. La réalité est réversible, et  en permanence, vous communiquez avec votre corps spirituel par la corde d’argent. Vous pouvez la ressentir pendant l’exercice du miroir. Quand vous planez au-dessus de votre corps physique, quand vous regardez en face de vous ou dans un miroir, (ou si vous faites un exercice à deux) concentrez-vous sur le plexus. Elle se trouve parfois dans la poitrine ou dans le troisième œil.

C’est peut-être par elle que se transmet l’énergie entre le magnétiseur et son patient, et que les amoureux communiquent en osmose, lorsqu’ils forment une seule personne, sensations et pensées unies. Elle vous protège, en captant les informations lorsque votre conscience voyage. Si le corps astral et le corps physique sont trop proches, ils risquent de fusionner. Elle devient souvent perceptible lorsqu’ils sont au moins à un ou deux mètres. 

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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