AIMANTATION ÉNERGÉTIQUE

Posté par othoharmonie le 24 avril 2016

 

 

Nous sommes des aimants, que nous en ayons conscience ou non ! Les énergies d’essence ou d’égo qui sont dans chacune de nos Dimensions de vie, attirent des gens, des situations, des événements qui ont le même taux vibratoire que nous. 

Chaque fois qu’une situation désagréable survient, nous pouvons nous demander quel type de pensées ou d’émotions nous avions au moment où cela s’est produit… 

Parfois, nous sommes inconscients de nos pensées, de nos émotions, et nous les vivons mécaniquement. Nous sommes dans des états de peur, de colère, de frustration… sans le remarquer vraiment, parce que cette situation dure depuis très longtemps ou parce qu’elle est refoulée et cachée derrière nos fuites de toutes sortes, nos courses, nos diversions avec différentes activités. 

aimantation energétique

Si nous changeons nos énergies internes, le monde externe change autour de nous.

En fait, il existe un mécanisme qu’on appelle la projection, qui consiste à voir devant soi ou autour de soi, les parties de notre ombre (de notre égo) que nous sommes encore incapable d’accepter de regarder. Ainsi, nous voyons chez l’autre ce que nous sommes en profondeur. Chaque caractéristique que nous dénigrons chez une personne est une partie de nous-mêmes que nous n’avons pas encore vue et qui est cachée dans notre inconscient. Lorsque nous sommes vraiment conscient de ce qui nous habite, nous avons de la compassion pour les autres, nous les comprenons, car nous comprenons ce qui les a conduit à vivre telle ou telle situation, semblable à ce que nous avons vécu. 

Alors à chaque fois que nous sommes en colère contre quelqu’un, nous pouvons nous demander : Est-ce que j’ai déjà fait ou dit quelque chose de semblable dans ma vie ?  

Et si nous sommes vraiment honnête, nous trouverons une ou plusieurs situations semblables, parfois dans un contexte plus subtil toutefois. Cet événement est donc un signal d’alarme pour nous inviter à changer cette façon de faire… afin de changer les énergies dans notre champ d’énergie (notre aura), l’ensemble de ce que nous sommes dans nos 7 Grandes Dimensions énergétique, et ainsi l’aimant que nous sommes changera et nous attirerons de nouvelles situations de vie. 

L’aimantation énergétique qui est aussi appelée la Loi d’attraction, est difficile à accepter par bien des gens parce qu’elle nous rend profondément responsable de tout ce qui survient dans notre vie. 

Toutefois, il est utile de savoir que chacun ne peut faire que selon sa conscience actuelle en accord avec ce qu’il sait et ne sait pas présentement. La compréhension véritable de l’aimantation fait aussi en sorte que nous évitons les accusations même si nous constatons que nous sommes le créateur de notre bonheur ou de notre malheur, car chaque accusation de soi ou des autres attire le négatif. 

Il est utile également de savoir que la visualisation de notre idéal de vie est bien précieuse pour l’aimanter et pour faire les pas nécessaires pour nous en rapprocher graduellement… Cependant, l’émotion qui nous habite est tout aussi importante que la pensée dans notre pouvoir d’aimanter.

Si nous pensons à une situation x, y ou z, en ressentant des émotions très désagréables pendant une grande partie de notre journée, en lien avec autre chose de notre vie… nous ne pourrons pas aimanter la situation agréable que nous voulons car la vibration que nous dégageons ne correspond pas suffisamment à la situation agréable que nous souhaitons. Nous devons nous mettre dans l’état émotionnel et mental qui correspond à ce que nous souhaitons pour l’aimanter vraiment.  

C’est pour cette raison qu’il a souvent été expliqué aux gens de ne pas seulement visualiser leur idéal, mais de le ressentir, et de ne pas se plaindre de ce qu’ils n’ont pas. Il convient plutôt de sentir tellement fort que la situation idéale est en préparation, qu’elle est sur le point de survenir dans notre vie, que nous pouvons déjà nous réjouir, et faire comme si nous avions déjà cela dans notre vie. 

En ayant ainsi des émotions agréables et des pensées positives, nous sommes dans une vibration qui correspond au taux vibratoire de la situation idéale que nous souhaitons, c’est ce qu’on appelle « un match vibratoire », une même longueur d’ondes, et nous verrons se manifester dans notre vie ce que nous souhaitons si nos émotions et nos pensées restent ainsi alignées avec notre désir profond. 

En ressentant des émotions désagréables, nous attirons des situations désagréables… Il s’agit aussi à ce moment « d’un match vibratoire » mais sous une forme négative. Nos émotions et nos pensées négatives ont aimanté une ou plusieurs situations négatives. 

Par conséquent, nous sommes invités à faire des pivots psychologiques aussi rapidement que possible, chaque fois que nous remarquons que nous ne sommes pas dans notre essence. 

Un pivot est un passage d’une pensée ou d’une émotion de bas taux vibratoire, à une pensée ou une émotion de plus haut taux vibratoire. Une « switch » comme on dit parfois aussi. « Switcher » ou pivoter, d’un état intérieur à un autre. Et éviter autant que possible de parler du négatif dans notre vie. Plus nous faisons rapidement nos « switchs », nos pivots, et plus nous pensons et parlons des choses que nous apprécions, plus notre vie devient agréable parce que nous vivons de plus en plus dans la pensée lumineuse et l’émotion harmonieuse qui attirent de belles et bonnes choses pour notre vie. 

Chaque situation désagréable qui survient est le résultat de pensées et d’émotions du passé qui étaient dans la négativité, la non-estime de soi, le pessimisme… en d’autres mots : nous étions dans de basses vibrations qui nous ont attiré la situation en question. À ce moment, il ne sert à rien de nous apitoyer sur notre sort, de nous mettre en colère, d’accuser l’extérieur, Dieu ou les gens, et de crier notre ressentiment. Tout cela ne ferait qu’attirer vers nous encore plus de situations désagréables ! 

Alors aussitôt qu’une situation désagréable survient, il convient de détourner aussi rapidement que possible notre attention de cette dernière, et plutôt préciser ce que nous voulons vraiment vivre, et nous aligner sur cela dès maintenant, en pensée, en émotions, et en actions. Plus notre vibration s’élèvera rapidement, plus la situation idéale que nous souhaitons se manifestera rapidement. 

Nous pensons parfois que nous sommes malchanceux ou victime ou… mais il n’en est rien. Tout ce qui survient dans notre vie est le résultat de nos énergies du passé. Et lorsque nous changeons nos émotions et nos pensées, notre vie change. Alors plus nous vivons avec Intelligence et Amour, plus nous récoltons des manifestations d’Intelligence et d’Amour des gens autour de nous. 

Pour plus d’informations sur l’Aimantation des énergies, vous pouvez visiter ces 2 sites :

SOURCES : www.everyoneweb.fr/abraham  et www.everyoneweb.fr/byronkatie

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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La Félicité n’est pas un état d’âme mais un état d’être

Posté par othoharmonie le 23 avril 2016

« La Félicité, c’est le bonheur suprême.

La Félicité, c’est ce qui vous attend lorsque vous aurez lâché complètement votre ego limitatif et votre mental étriqué.

La Félicité, c’est le bonheur retrouvé. Celui de l’enfant que vous étiez jadis et qui le savourait après chaque tétée, lorsque sa joue se reposait sur le sein encore tout chaud de sa maman et que le sommeil l’emportait dans ses limbes éthérées…

La Félicité, ce n’est pas un état d’âme mais un état d’être.
La confiance rassérénante de se savoir aimé, de toute éternité, par la Source de toute Vie. La Joie de vivre, tout simplement, mais une joie sans commune mesure avec tout ce que vous avez éprouvé sur Terre. Pas le simple bien-être, la satisfaction ou le plaisir éprouvé dans une relation affective équilibrée. Plus que cela encore, mais comment l’exprimer en mots ?

Comment vous le faire ressentir sinon en vous exhortant à le VIVRE, dans ce corps, ICI et MAINTENANT, dès à présent, si vous le voulez bien ?

félicitée

Comment y accéder ? Il n’y a pas d’accès particulier.

Seule votre ouverture d’esprit et du cœur ouvre la première porte. La seconde est celle de l’abandon confiant. La troisième est celle du silence intérieur, que vous pouvez atteindre dans un premier temps par la méditation ou la contemplation.
Mais ensuite, elles ne seront pas indispensables. Vous n’aurez qu’à prendre une respiration en conscience, vous reconnecter au Divin par la pensée aimante et ouvrir votre cœur en étant dans la Gratitude.

C’est le silence intérieur qui vous amène à la Présence. Ce qui suit est une relation intime à établir avec cette Présence, cet Amour divin qui vous enveloppe de sa chaleur rayonnante mais douce, protectrice mais libératrice, pleine d’Attention et de Paix…
Oui, frères et sœurs de Lumière, voici à quoi vous êtes conviés en ces temps de Transition, chacun à sa manière et chacun à son rythme. La Source n’est pas pressée de vous envelopper de sa Grâce, elle n’a jamais cessé de veiller à ce que vous soyez toujours en chemin vers ce retour.

Le retour du Christ, c’est votre retour, sachez-le.
Le retour du Christ, c’est ce que vous vivez et, pour certains, c’est ce qu’ils vivent déjà. Le Christ en eux agit déjà de par le monde en apportant la Bonne Nouvelle. Celle du retour à la Vie Père Mère, celle des Noces célestes, celle du retour de l’enfant prodigue, celle qui – dans tous les Univers – est attendue de toute éternité par l’ensemble des galaxies des univers manifestés.
Oui, frères et sœurs de Lumière, cet événement est le plus important de toute la Création car il sonne le glas de l’ancien monde: celui de la peur et de la maladie, de la souffrance et de la mort. Des milliards d’âmes attendent votre retour au bercail et louent le Berger pour sa Patience et son Amour inconditionnel.

Oui, vous êtes attendus de pied ferme, les jeunes comme les vieux, les ignorants comme les sages, les infirmes et les bien- portants, les hétéros et les homos, les blancs et les noirs, les vertueux et les pervers. Car la Source de toute Vie a tout prévu et Elle vous demande seulement de revenir en son Sein.

Dans la Joie de l’Unité retrouvée, dans l’Abondance de l’Amour restauré, dans la Félicité, ce bonheur suprême que vous n’avez jamais oublié. Cet état de Grâce permanent et éternel, que vous avez bien mérité.

Soyez-en remerciés. »

Si vous partagez ce message, pensez à inclure ces lignes :
Extrait du livre « Semences pour la Nouvelle Terre ».
Patrick Giani- www.giani.fr

 

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les instructions de Ramana Maharshi

Posté par othoharmonie le 19 avril 2016

vidéo : Image de prévisualisation YouTube

La quintessence de l’enseignement de Ramana Maharshi se trouve dans le petit livre intitulé « Qui suis-je ? ». Il contient la première série d’instructions données par Ramana Maharshi, basées sur sa propre expérience de la réalisation du Soi. La série de questions initiale fut posée par Sivaprakasam Pillai et fut ensuite présentée par Ramana Maharshi lui-même sous forme de prose.
Chacun peut prendre conscience de la puissance de cet enseignement, à condition de le mettre en pratique. Dans L’Enseignement de Ramana Maharshi (Talks) nous lisons : « [qu’on recherche] à qui appartiennent les pensées. D’où proviennent-elles ? Elles doivent surgir du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, favorise l’élimination de l’ego. Par la suite, la réalisation de l’Existence unique et infinie devient possible. Dans cet état, il n’y a pas d’autres individus, il ne reste que l’Existence éternelle. Aussi ne pense-t-on ni à la mort ni à la souffrance ».
L’enseignement intégral peut être téléchargé ici : « Qui suis-je ». Voici une version abrégée pour faciliter l’usage.

 

téléchargement

Qui suis-je ?
Tout être vivant aspire à un bonheur qu’aucune souffrance ne troublerait ; et chacun éprouve le plus grand amour pour lui-même ; ce qui est dû uniquement au fait que le bonheur est sa nature véritable. De là, afin d’atteindre ce bonheur intrinsèque et pur que nous éprouvons chaque nuit dans le sommeil profond lorsque le mental est endormi, il est essentiel de se connaître soi-même. La meilleure méthode pour y parvenir est la voie de la Connaissance, la quête du Soi par la question « Qui suis-je ? ».

« Qui suis-je ? » Je suis pure Conscience. Cette Conscience est par nature-même Etre-Conscience-Félicité (sat-chit-ânanda).

Le mental est l’outil du savoir et la base de toute activité ; si le mental se retire, la perception du monde en tant que réalité objective cesse. L’analogie suivante est souvent utilisée dans l’Advaita : un homme voit une corde au crépuscule, la prend pour un serpent et s’effraye sans raison. La corde sur laquelle l’illusion se forme n’est pas perçue en tant que corde, jusqu’à ce que cette illusion s’évanouisse. De même, on ne peut avoir la vision de la vraie nature du Soi, sur lequel les illusions se forment, à moins que ne cesse cette perception illusoire du monde en tant que réalité objective.

Ce qui est appelé « mental » est une merveilleuse force inhérente au Soi par laquelle toutes les pensées s’éveillent. En dehors des pensées, le mental n’existe pas. Aussi la pensée constitue-t-elle la nature du mental. En dehors des pensées, il n’y a pas d’entité séparée appelée « monde ». Dans le sommeil profond il n’y a pas de pensée, et donc pas de monde. Dans les états de veille et de rêve, les pensées sont présentes, ainsi que le monde.

Tout comme l’araignée tire d’elle-même le fil (de la toile) et le résorbe en elle-même, le mental projette le monde en dehors de lui-même et le résorbe en lui-même.

Quand le mental émerge du Soi, le monde se manifeste. Ainsi, lorsque le monde apparaît (comme réel), le Soi n’apparaît pas ; et lorsque le Soi apparaît (ou resplendit), le monde n’apparaît pas. Si l’on s’interroge assidûment sur la nature du mental, celui-ci finira par se retirer, il ne restera que le Soi. Ce qui est désigné comme le Soi est l’âtman. Le mental ne peut exister indépendamment de quelque chose de grossier (le corps physique) ; il ne peut exister par lui-même. C’est le mental qu’on appelle corps subtil ou âme (jîva).

Ce qui s’élève dans ce corps en tant que « je » est le mental. Si l’on cherche à savoir d’où, dans le corps, émerge en premier la pensée « je », on découvrira que c’est du Cœur. C’est là la source du mental. Même en pensant continuellement « je, je », on sera conduit à cet endroit. La pensée « je » est la première de toutes les pensées qui apparaissent dans le mental. Ce n’est qu’après sa naissance que les autres pensées s’élèvent.

La pensée « Qui suis-je ? » détruira toutes les autres pensées et, comme le bâton qu’on utilise pour tisonner le bûcher funéraire, elle sera, elle aussi, finalement brûlée elle-même. C’est alors que surviendra la réalisation du Soi. Lorsque d’autres pensées surgissent, au lieu de les suivre, on devrait se demander avec persévérance : « A qui sont-elles venues ? ». Peu importe le nombre de pensées qui s’élèvent ainsi. Chaque fois qu’une pensée arrive, on devrait s’interroger vivement : « A qui cette pensée est-elle venue ? », la réponse serait : « A moi ». Et là, si on se demande « Qui suis-je ? », le mental retournera à sa source et la pensée qui venait de surgir s’évanouira.

En persévérant ainsi dans cette pratique, le mental développera peu à peu la capacité de demeurer dans sa source. Lorsque le mental, qui est subtil, passe par le cerveau et les organes des sens, il apparaît des noms et des formes grossières ; lorsque le mental reste dans le Cœur, ces noms et ces formes disparaissent. Ce qu’on appelle « intériorisation » consiste à ne pas laisser le mental s’échapper, mais à le retenir dans le Cœur. L’« extériorisation », c’est de laisser le mental sortir du Cœur. Ainsi, quand le mental demeure dans le Cœur, le ‘je’, origine de toutes les pensées, s’évanouit et le Soi toujours présent resplendit.
Il n’y a que l’investigation intérieure comme moyen adéquat pour faire que le mental se retire de façon permanente. Si l’on s’efforce de maîtriser le mental par d’autres moyens, il ne sera maîtrisé qu’en apparence, car il s’élèvera à nouveau. Le mental peut aussi être apaisé par le contrôle de la respiration, mais cela ne dure que le temps du contrôle ; quand elle reprend librement, le mental redevient actif et commence à vagabonder.

Tout comme la pratique du contrôle de la respiration, la méditation sur les représentations de Dieu, la répétition de mantras, le régime alimentaire, etc. ne sont que des aides temporaires pour apaiser le mental. Le mental parvient à cette concentration extrême par la méditation sur des formes de Dieu et par la répétition de mantras. Pour un mental ainsi concentré, la recherche du Soi devient facile.

En observant un régime strict [nourriture sattvic (pure)], on améliore la qualité du mental, ce qui aide à la recherche du Soi. Même un grand pêcheur est assuré de pouvoir s’amender par la pratique zélée de la méditation sur le Soi.
On ne devrait pas permettre au mental d’errer vers les choses de ce bas monde, ni de se mêler des affaires des autres. Aussi mauvais que puissent paraître certains, il ne faudrait pas les haïr pour autant.

Tout ce que l’on donne à autrui, on se le donne à soi-même. Si on a compris cela, comment ne pas vouloir donner à son prochain ?
Si l’ego se manifeste, tout se manifeste ; si l’ego s’apaise, tout s’apaise.
Le bien s’établira en proportion de notre humilité.
Une fois le mental apaisé, on peut vivre n’importe où.

Sans titre
Ce qui existe en vérité, est le Soi seul. Le monde, l’âme individuelle et Dieu ne sont que des apparences dans le Soi, comme l’argent qu’on croit voir dans la nacre. Ils apparaissent et disparaissent simultanément. Le Soi est là où il n’y a pas la moindre pensée « je ». C’est « le Silence ». Le Soi lui-même est le monde ; le Soi lui-même est « je » ; le Soi lui-même est Dieu ; tout est Shiva, le Soi.

Celui qui s’abandonne au Soi, qui est Dieu, est un excellent devotee. S’abandonner à Dieu signifie se souvenir constamment du Soi. Tout fardeau que nous remettons à Dieu, Il le portera. Puisque le pouvoir suprême de Dieu anime tout, pourquoi ne pas nous y soumettre, plutôt que de nous tracasser de ce qui doit ou ne doit pas être accompli, et comment. Sachant que le train transporte tous les bagages, pourquoi nous éreinter à porter nos petits bagages sur la tête, au lieu de les déposer dans le train et d’être à l’aise ?

 

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Accepter nos Responsabilités

Posté par othoharmonie le 16 avril 2016

 

La plupart des gens rejettent l’idée qu’ils sont responsables de la création de leur réalité lorsque survient dans leur vie quelque chose qu’ils n’auraient jamais voulu voir se produire. «Jamais je ne créerais une pareille chose!» 

C’est vrai; jamais leur personnalité ne le ferait. Mais, ainsi que l’affirment toutes les traditions spirituelles, notre être comporte plusieurs dimensions. 

Cette schizophrénie divine porte de nombreuses étiquettes: l’ego versus le véritable moi, la personnalité versus la divinité intérieure, le fils de l’homme versus le fils de Dieu, le corps mortel versus l’âme immortelle; mais,  essentiellement, elle implique qu’il existe différents niveaux d’être à partir desquels vous pouvez créer. Le but de l’illumination est de dissiper cette fragmentation du moi et de créer à partir d’une unique source. Il s’agit donc d’élargir notre conscience jusqu’à ce que nous soyons pleinement conscients de toutes nos créations. 

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Accepter la responsabilité de ce que nous créons constitue un outil extraordinaire pour faciliter cette expansion de la conscience, car, si cette responsabilité existe, c’est une partie de nous-mêmes que nous rejetons ou nions chaque fois que nous refusons d’admettre le rôle que nous jouons dans la création de la réalité. Alors, la fragmentation continue. En fait, selon les sages illuminés, la partie spirituelle de notre être crée ces réalités dans le seul but de devenir complète. 

Pour évoluer, nous devons faire l’expérience de certaines choses qui ne sont pas nécessairement le premier choix de notre ego/personnalité. C’est ce qui s’appelle le karma: nous avons créé, dans un passé récent ou lointain, toutes les conditions auxquelles nous faisons face dans cette vie-ci. 

Mais de quelle façon les karmas de toutes les personnes vivant dans le monde sont-ils en interaction? Comment tout cela s’harmonise- t-il? Comment sont orchestrées toutes ces «coïncidences» heureuses (ou malheureuses) qui sont des signes avant-coureurs d’un nouveau monde? Qui fait fonctionner l’ordinateur qui gère tout cela pour plus de six milliards d’humains? 

Comment cela fonctionne-t-il ? 

C’est l’univers lui-même qui est l’ordinateur. Voilà la non-dualité. Tout est interconnecté et enchevêtré de telle sorte que tout est raccroché à tout et est créé à partir de tout ce qui est. L’univers ne réagit pas à nous; il est nous. Selon le modèle dualiste du karma, si je frappe quelqu’un, quelqu’un d’autre me frappera en retour. Cette manière de concevoir le phénomène est entièrement fondée sur le modèle newtonien de cause et d’effet. 

Mais si l’on aborde la chose à partir du modèle non dualiste de l’enchevêtrement de tout, on aura une vision fort différente du karma. On comprendra alors que l’idée d’une action ou d’une pensée (qui sont la même «chose») surgit dans une partie de ma conscience et qu’une certaine fréquence ou vibration y est associée. En accomplissant l’action, j’adhère à cette réalité, de sorte que je suis désormais relié à l’univers par cette fréquence ou cette vibration. Tout ce qui vibre à cette même fréquence dans l’univers y répondra et se reflétera ensuite dans ma réalité. C’est le principe sur lequel sont fondées la transmission et la réception d’ondes radio, rendues possibles lorsque le transmetteur et le récepteur syntonisent la même fréquence. 

Il s’ensuit que tout ce qui se trouve dans notre vie – les gens, les lieux, les époques et les événements – n’est rien d’autre que le reflet de notre signature vibratoire. Selon Ramtha (lien : http://francesca1.unblog.fr/category/ramtha-nous-parle/ , «tout ce qui existe dans votre vie est en résonance spécifique avec qui vous êtes». 

Par conséquent, si vous voulez connaître la réponse à la question «Qui suis-je?», il vous suffit de regarder autour de vous. L’univers vous la fournit constamment. 

L’ennui, c’est que les parties cachées et refoulées de notre être sont également reflétées, et nous les refoulons parce que nous ne les aimons pas. Ce sont ces reflets qui nous font dire: «Jamais je ne créerais une telle chose.» Et c’est ce qui nous est reflété encore et encore jusqu’à ce que nous le comprenions. C’est la roue du karma, le grand manège de la vie. Ou encore, ainsi qu’un professeur de philosophie l’a déjà affirmé: «La vie est un sandwich à la merde et chaque jour nous en prenons une bouchée.» Voilà le langage des vraies victimes.

 

Extrait de Vivre Sa Légende.  www.dominique-claire-germain.com

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UN TEMPS POUR LE SILENCE

Posté par othoharmonie le 15 avril 2016

 

 

Dieu nous parle. Il nous parle de différentes manières : par Sa parole écrite, la nature, son Esprit Saint, des circonstances, des livres et parfois par des gens autour de nous. Sa parole est vivante et comme les israélites dans le désert, nous devons chercher cette parole et la manger tous les jours pour vivre et pour vivre en bonne santé spirituelle. 

Je me lève tous les matins et je cherche la présence de Dieu (Il est Lui-même le pain de vie). Je l’écoute en sachant qu’Il parle aussi sans mots. Et dans mon expérience il est rare que Dieu crie. La plupart du temps Il nous parle doucement et il nous faut trouver des moments tranquilles et garder silence, choses qui sont de plus en plus rares dans le monde dans lequel nous vivons. Si vous en avez besoin, j’aimerais partager régulièrement avec vous un peu de ce pain, un peu de Lui qui me fait vivre. Quelqu’un a chanté ceci : 

Je suis un mendiant mais je sais où me trouver du pain.
Je suis un mendiant mais je suis bien nourri.

 

L

J’ai décidé de ne pas faire corriger mes fautes de grammaire et d’orthographe (je suis anglophone) parce que je veux que vous sachiez que je ne suis qu’un homme imparfait, ma vie étant un chantier du Seigneur, un vaisseau fragile dont Il en a fait Sa demeure. Pardonnes-moi mes offenses ! 

Le Père, le Fils et le Saint Esprit nous invite à la table qu’ils ont dressés pour nous. Venez manger, venez souvent.

-          Chris A découvrir sur le site : http://www.exogroupe.com/Pages/index.php

 

UN TEMPS POUR LE SILENCE….

« Qu’aucune parole mauvaise ne sorte de votre bouche ; dites seulement des paroles utiles, qui répondent à un besoin et encouragent l’autre, pour faire ainsi du bien à ceux qui vous entendent. » Ephésiens 4 :29

Si nous mettions en pratique la première phrase de ce verset, il y aurait beaucoup plus de silence dans le monde…au moins jusqu’à ce qu’on apprenne à pratiquer le reste du verset.

Aimer ou ne pas aimer quelqu’un commence dans nos pensées ; que pensons- nous d’eux, quelle est notre « méditation » à leur sujet ? Quand la bouche parle, elle parle de l’abondance du cœur et c’est toujours révélateur. 

Parfois il est préférable de garder le silence, d’ « apprivoiser » sa langue, plutôt que de semer les mauvaises graines et la violence que nous avons laissé pousser dans nos pensées. Si nous constatons que dans nos pensées il y a des jugements, de la condamnation, de la haine ou du négatif (autant de graines qui s’enracinent si nous le permettons,) garder le silence est la meilleure des choses à faire par respect pour l’autre. Ce silence peut être perçu par l’autre comme de l’indifférence et le perturber parce que nous avons interrompu un cercle vicieux et négatif. Il est important d’expliquer pourquoi nous décidons de garder le silence ; pour sonder notre cœur et ne plus dire ni écouter des mauvaises paroles qui blessent.

 
Le silence, même pendant une période douloureusement longue, n’est pas toujours une mauvaise chose, même si dans notre culture occidentale nous n’avons pas cette habitude et ça nous rend mal à l’aise. « Qu’aucune parole mauvaise ne sorte de votre bouche… »Souvent nous parlons pour des raisons personnelles et égoïstes, pour « exorciser » le poison intérieur et nous décharger d’un poids, sans prendre garde à l’autre. Mais ce verset nous dit que nos paroles doivent répondre aux besoins de l’autre personne et non pas soulager notre égo. Quand j’étais enfant, on m’a appris tout simplement que « mauvaise parole » voulait dire gros-mots ! Souvent les gros-mots ne sont pas aussi blessants que nos jugements injustes, nos accusations et nos conclusions fausses ou à moitié vraies. En fait le mot grec employé dans ce verset veut dire « pourri, putréfié, corrompu, inutile, usé, sans valeur ».

Mais vous allez me dire : « Le mal que je vois dans mon frère/ma sœur n’est pas le fruit de mon imagination, je le vois vivre depuis des années, c’est évident pour moi et pour les autres, je suis objectif. » En êtes-vous sûr ? Etre objectif signifie voir l’autre comme Dieu le voit. L’homme regarde l’extérieur mais Dieu regarde le cœur. L’objectivité humaine n’est pas l’objectivité divine. Nous voyons la vie et les personnes du point du vue du temps et nous ne voyons pas tout. Dieu lui voit tout et Il le voit du point de vue de l’éternel présent. 

Qu’est-ce que ça veut dire? La Bible nous dit: « Si quelqu’un est en Christ il est (déjà) une nouvelle créature. » Voici comment Dieu te voit et comment Il voit l’autre. Et par ses paroles et son Esprit Il appelle à l’existence, non pas le « faux moi » qui est arrogant, égoïste et sur la défensive, mais le « vrai moi » déjà créé à son image et déjà existant, aussi dormant ou caché qu’il puisse être aux yeux humains. Savons-nous quand il faut parler et quand il faut se taire ? Sommes-nous capables de scruter nos propres cœurs suffisamment longtemps et profondément pour discerner nos motifs cachés et savoir si nous parlons par amour ou par intérêt personnel habilement déguisé ?

Permettez-moi d’aller plus loin. Par « mauvaises paroles » on peut aussi comprendre, verbaliser la vérité « objective » quand le moment n’est pas propice pour l’autre personne ou quand le motif n’est pas sain. Parfois il ne faut rien dire même si on pense que c’est bien et vrai, parce-que le maître potier est déjà à l’œuvre. Bien souvent on veut donner un coup de main pour que le travail se fasse plus vite, car on ne veut plus souffrir. Alors Dieu nous dit : « Laisse-moi agir, laisse cette personne entre mes mains. » Le temps de Dieu est toujours propice et souvent il n’a pas besoin de nous. 

corps-de-cristal

Quelqu’un qui prie régulièrement pour moi et qui savait que je passais par des moments très sombres m’a écrit il y a quelques semaines pour me dire : « Cher Chris, combien de fois mes doigts touchaient le clavier pour t’écrire et Dieu m’a dit non. Il fallait que Dieu seul s’occupe de toi. » Ceci est très difficile pour l’être humain. Que faire? Il nous faut apprendre la patience, veiller sur nos propres cœurs et prier. Pendant combien de temps ? Le temps qu’il faudra…tant que Dieu dira: « Laisse-moi faire. »

Imaginons un enfant qui regarde le potier à l’œuvre pour former un vase sur le tour. Nous sommes souvent comme l’enfant qui ne veut pas se contenter d’observer mais qui veut donner un coup de main. Dans notre imagination infantile nous nous disons : « Je peux le faire. » Le problème c’est que si nous n’avons pas appris le processus délicat de créer des choses belles dans d’autres personnes, nous risquons de mettre nos mains charnelles sur le vase et le déformer. Et combien de fois faisons-nous cela! Et puis le potier doit tout recommencer encore…et encore…et encore. Si nous sommes capables d’attendre pendant que Dieu travaille, le temps laissera monter à la surface nos propres défauts. Les défauts de l’autre peuvent nous aider à constater les nôtres. Ne soyons pas pressés de demander à Dieu de changer l’autre si nous n’avons pas encore compris ce qu’Il veut changer en nous.

Quelqu’un a dit : « J’ai entendu beaucoup de bons conseils mais pas beaucoup de bonnes nouvelles. » On a tous besoin de bons conseils mais la plupart du temps, avant tout, on a besoin de bonnes nouvelles, par exemple : Une accolade, un sourire, un pardon sincère, l’acceptation inconditionnelle ou des paroles comme « Dieu est à l’œuvre en moi aussi, sois patient. Dieu t’aime, il ne t’abandonnera jamais. Je t’aime aussi, je ne t’abandonnerai jamais.” Point.

Nos paroles ont une puissance terrible, presque créatrices de bon ou de mauvais. Ce qu’on dit devient réalité. Par sa Parole Dieu a fait exister ce qui n’existait. Et nos paroles ont ce même pouvoir d’engendrer le bien ou le mal. Les choses qu’on met en évidence dans l’autre s’enracinent plus profondément quand nous les verbalisons. Ces choses ne font pas partie de son identité véritable. Que veut-on voir s’amplifier dans l’autre ? Le « faux moi » qu’on déteste, ou le « vrai moi » créé à l’image de Dieu ; la nouvelle création ? Comment un enfant devient-il adulte ? En jouant, en faisant semblant d’être déjà adulte. Lorsqu’un petit garçon porte le chapeau de son père ou quand une petite fille porte les chaussures de sa maman, dans leur monde de fantaisie, ils arrivent à croire qu’ils sont déjà grands, surtout si on leur dit : « Mais qu’est-ce que tu es grand! » C’est comme ça que Dieu nous fait grandir en nous donnant « son grand chapeau et ses grandes chaussures », et oui, même en nous laissant nous mêler des chefs-d’œuvre qu’il sculpte de toi et de moi !!!

Ce genre d’autocritique, de prise de conscience et de maîtrise de soi que je viens de décrire semble impossible, aussi impossible que mettre fin à toute la violence dans le monde et toutes les guerres. J’échoue tous les jours alors que je vois d’autres échouer aussi. C’est douloureux. Les solutions de Dieu sont radicales mais seulement des solutions radicales peuvent générer des changements radicaux. Peut-être que vous me direz : « Attends-tu qu’on essaie d’être comme Dieu ? » Alors, est-ce que ce n’est pas ça le but ? « Si nous visons les étoiles aujourd’hui peut-être nous atteindrons la lune demain. » Je devrais plutôt dire : En regardant avec les yeux de l’éternel présent, nous y sommes déjà.

Pour revenir au point de départ, nos pensées verbalisées ont un pouvoir terrible. Notre silence aussi…
Chris

-          A découvrir sur le site : http://www.exogroupe.com/Pages/index.php

 

 

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La place des vaisseaux de cristal sur le chemin de l’initié

Posté par othoharmonie le 7 avril 2016

De la psychothérapie à la spiritualité en passant par le développement personnel : Pascal Lacombe

Pour vous guider dans la compréhension des sons et de leurs usages, nous vous invitons dans un parcours initiatique. Celui que nous prenons tous à un moment donné de notre légende personnelle et qui nous mène à la réalisation de notre nature spirituelle.

vaisseau de cristal

Un individu, vous, moi, traverse sa vie pendant de longues années, ignorant sa nature profonde et engendrant souffrance pour lui et pour tant d’autres, répétant sans cesse ses blessures dans tous les registres de sa vie.

Combien de temps avant qu’il consulte les ouvrages de ses pairs qui ont déjà traité de la difficile condition humaine ?

Combien de doutes et de marchandage avec soi pour oser franchir la porte d’un professionnel de la relation d’aide?

Combien de médicaments, de poudre de perlimpinpin et de gris-gris avant d’accepter l’inacceptable?

La souffrance reste encore sur le plan de la matière et malgré un changement pré senti, LE moteur de notre évolution.

Tout est duel comme vous le savez.
Blanc/noir, chaud/froid…Tout est polarisé… plus/moins.

Rencontre avec sa souffrance.

La souffrance est la polarité négative qui va pousser l’humain à se remettre en question pour trouver une solution à son malheur.

Il va devoir retrouver en lui les blessures originelles qui l’oppriment inconsciemment et qui l’obligent à revivre abandon-trahison-rejet-injustice-humiliation sur trois niveaux : avec ses référents parentaux, avec les autres et envers lui-même.

Sur chacun de ses niveaux, il va apprendre à pardonner et à se pardonner. Premier pas vers l’Amour inconditionnel. Être capable d’être une bonne Mère pour soi ; prendre en charge ses blessures et grandir en humanité tout au long de son processus d’individualisation.

D’un « Nous » sans réel existence personnelle issu du troupeau, de la tribu, de la lignée, de la Nation, l’Homme construit péniblement son identité et peut enfin dire « Moi je »
Moi je pense, moi je crois, moi je sens que je suis le digne héritier de la douleur du monde transmise de générations en générations.

La psychothérapie donne à l’Homme ses premières clés qui le libèreront de ses peurs, de ses hontes, de ses culpabilités, de ses colères, de ses peines et de tant d’autres parasitages relationnels.

Rebirth, sophrologie, psycho généalogie, dialogue intérieur, astrologie (pour ne citer qu’elles) et tout le panel des fabuleuses techniques dont le genre humain dispose pour guérir sa psyché et entreprendre le chemin de la connaissance de soi. Se libérer de son ignorance et de ses dommages collatéraux.

Si le traitement de sa souffrance le soulage progressivement de son malheur, l’individu va devoir pourtant continuer sa route et explorer la polarité positive de son Être pour trouver un état de bonheur.

La patience, la persévérance et l’endurance vont animer ses jours et éclairer ses nuits.

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Rencontre avec ses valeurs.

Nous n’héritons pas seulement de nos blessures mais aussi de nos valeurs.

Réussite, aventure, profit, justice, beauté, spiritualité…plus d’une centaine de valeurs et pourtant chacun(e) n’en porte qu’une petite poignée.

Ce sont nos moteurs de vie, nos principes actifs qui sous-tendent tous nos choix, consciemment ou inconsciemment.
Nos valeurs vécues en conscience dans notre quotidien rendent notre vie si riche, si pleine. C’est ce qui nous donne ce sentiment si doux d’avoir de la valeur. Cela construit l’estime de soi.

Estimer la valeur de son « moi » c’est comme soupeser l’or pour l’apprécier et lui donner un prix.
Identifier et vivre ses valeurs c’est donner du poids à sa vie, offrir de la valeur à son existence. Commencer à donner corps à son Essence.

Faut il pour cela faire aussi un tri avec nos croyances. Ces dernières nous font vivre nos valeurs d’une certaine manière. Souvent enfermantes et limitantes, nous pouvons choisir des croyances facilitantes et rendre notre vie harmonieuse pleine de nos valeurs.

Si la valeur « réussite » par exemple m’a été transmise avec les croyances qu’il faut être meilleur que l’autre pour réussir. Où qu’il faut tout lui consacrer, tout sacrifier pour la gagner, où mieux encore, que la réussite se conquière après tellement d’effort ; alors je vais vivre inconsciemment cette valeur selon son mode d’application prédestinée, programmée.

Par un travail d’introspection, l’individu peut reconnaître ses valeurs souvent héritées et se choisir des croyances adaptées à sa vraie nature, selon son environnement et les acteurs de sa vie, non plus selon les conditions du passé de nos aïeux.

Réussir c’est faire confiance par exemple. La Réussite vient en partageant. Réussir sans effort est possible…

Ce travail sur nos valeurs est le cœur du Développement Personnel.

Cette voie offre à l’Humain la possibilité d’exprimer ses besoins, ses sentiments et de grandir plus loin encore dans son individualisation en pouvant dire « Je »
Je pense, je crois, je sens.

Systémique, PNL, Analyse Transactionnelle, Gestalt et bien d’autres outils dans la boite du coach pour aider la personne à accoucher d’elle-même.

L’individu développe ainsi son assertivité et retrouve en lui l’énergie du Père.

Deviens qui tu es ! Ressent-il au fond de lui dorénavant.

Cette affirmation l’amène après tant de décennies à se découvrir et à entreprendre le chemin de sa réalisation personnelle.

Chemin faisant, Il a constaté que ces polarités ne sont que le double visages d’un personnage en lui qui fonctionne, agit, réagit d’une manière automatique, réflexogène et inconsciente.

Un être de surface qu’il apprend à reconnaître à travers son mental, son affect, ses sentiments, ses émotions et même dans ses postures et maux physiques.

En psychologie, on l’appelle la personnalité. En spiritualité, l’ego.
Et paradoxalement, pour découvrir qui nous sommes, nous devons semble t’il, rencontrer celui ou celle que nous ne sommes pas.

Cet aspect de nous limité, autocentré, en besoin de reconnaissance permanente et dans un état de manque inassouvi.

Plongeant alors dans les profondeurs de sa psyché, l’individu en quête de lui, porté par le « qui suis-je ? » ancestral, re-découvre alors un visage de sa nature profonde, un aspect de lui jusqu’alors inconnu ou oublié. Un espace en soi immobile, silencieux et observateur qui ne participe pas aux phénomènes mais qui peut sanctionner leur existence.

Ce phare dans la tempête qui garde le cap dans une foi et une certitude inébranlable.

Voilée par le parasitage de la personnalité, la vraie Personne se découvre progressivement. L’âme en nous. Notre Être essentiel reprend les rennes de notre existence.

Alors commence l’émerveillement !
La magie divine opère en acceptant de lâcher et d’offrir, dans un surrender complet, toutes les identifications qui ont construites de vies en vies, notre identité illusoire.

Toutes les dualités vont passées au filtre de cet être central pour unifier les polarités et retrouver ce sentiment d’infinie unité.

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Le retour à Soi.

Les retrouvailles avec le maître en devenir que nous sommes tous. Maître de notre mental et de ses pensées. Maître de nos sentiments, de nos émotions, de notre physicalité et même de nos énergies.

La maîtrise devient notre but, notre réalisation propre.
La maîtrise pour créer, créer un monde à l’image de Dieu en nous.

L’Être arpente dès lors le chemin de sa vie spirituelle.
Entendons Spiritualité dans son sens le plus large : la science de l’Esprit et la connaissance de l’état divin.

Car à ce « qui suis-je ? » qui hante la pensée humaine depuis des lunes et des lunes, peut-être pouvons nous nous poser la question suivante : suis-je un corps avec un esprit ou un esprit dans un corps ?

Après avoir éveillé l’énergie du Père et de la Mère en nous, le Maître intérieur se présente pour consciemment prendre la direction de notre vie.

Jusqu’alors il oeuvrait derrière la personnalité à laquelle nous donnions tant de pouvoir, tout notre crédit, toute notre
re-connaissance.

La « dés identification » d’avec ce personnage transforme le chemin d’individualisation en quête d’individuation.

D’un « moi je » à un « je » l’Être peut dorénavant dire «JE SUIS»
Et ce que « JE SUIS » je le suis, au-delà des rôles et des fonctions sociales, du genre et des attributs humains.

Être simplement, quand l’ego vit dans l’avoir.

Un Moi permanent sans aucun attachement aux sens et aux objets des sens.

Pour cela, nous disposons de moyens habiles comme le yoga, la prière, la répétition de mantras, le tai-chi….
Toutes ses techniques qui nous ramènent à l’essentiel, en l’essence-ciel.

Le son fait partie de ses dons que la Nature donne à l’Homme pour retrouver l’essence de son existence.


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En cultivant la présence

Posté par othoharmonie le 27 mars 2016

Interview : 

Quel est l’origine de votre intérêt pour l’anxiété et la souffrance humaine ?

J’ai été confronté au stress et à l’anxiété depuis ma plus tendre enfance, j’ai ressenti très tôt la tension quai permanente qui habitait mon père. Cette tension se rependait dans toute la famille comme un virus et souvent s’en suivait des cris et des paroles regrettables. J’ai assisté impuissant à la mort lente et douloureuse de mon père rongé de l’intérieur par son stress et son anxiété qui lui pourrissaient la tête et le corps tel un véritable cancer. Je n’ai cessé de chercher une façon de l’aider à s’en sortir en lui achetant des livres qu’il ne lisait pas et en lui donnant des conseils qu’il ne pouvait entendre. Il n’a jamais accepté de se faire aider par un professionnel car il redoutait trop de voir ou de toucher à ce qui bouillait en lui. Les seules « aides » qu’il accepta et qui sont resté sa béquille jusqu’à sa mort furent des anxiolytiques et des antidépresseurs qui lui ont permis de survivre sans jamais se soigner réellement. Je pense que les anxiolytiques et antidépresseurs sont utiles pour commencer un traitement mais qu’ils ne peuvent en aucun cas être utilisés comme un traitement car ils ne traitent pas le problème de fond. Ayant été moi-même confronté à ce mal-être j’ai cherché à comprendre quel en était la cause profonde et comment m’en guérir.

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Quel est votre expérience de l’anxiété et de la souffrance ?

Avant que je comprenne que mon père était sous l’emprise de ses blessures et de son insécurité, j’ai souvent pris personnellement ses attaques et cela a contribué à construire en moi la source de ma propre anxiété. Ainsi la souffrance se transmet telle une maladie, Eckhart Tolle appelle cela le transfert intergénérationnel du corps de souffrance. Le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances ne se transmettent pas seulement de génération en génération, elles se transmettent dans toutes les formes de relations et souvent à notre insu car lorsque nous sommes persuadés que la cause de nos tensions sont à l’extérieur de nous, nous nourrissons inconsciemment notre propre souffrance en étant en position de victime dans les situations que nous vivons et dans nos relations. J’ai donc pendant des années blâmé mon père pour ses comportements, me coupant moi-même de ce qui vivait en moi et je constatais avec désarroi que je reproduisais ce que je lui reprochais. Plus je voyais mon père comme la cause de mes difficultés, plus la souffrance grandissait et plus j’étais impuissant face à elle.

Quel est votre chemin de libération ?

Mon expérience de libération des souffrances c’est produite lorsque j’ai commencé à les reconnaitre et à les accueillir en toute conscience, par une mise en lumière qui finalement me permit de les transcender. Ceci ne se produit pas souvent en un atelier ou en lisant un livre, c’est un travail de fond. Nos souffrances ont tant de facettes qu’il est rare d’en prendre conscience et de s’en libérer définitivement en une fois comme ce fut le cas pour Eckhart Tolle. Reconnaître mon opposition à mes souffrances et prendre conscience de cette dualité par la pratique de la présence ou de la pleine conscience me permet de les aborder avec une autre perspective et de commencer à les accueillir et à les transcender une à une dans le seul vrai atelier qu’est la vie. Dans l’atelier pratique  »La présence en relation : Les relations des révélateurs puissants  » nous voyons comment les défis du quotidien et les relations révèlent et mettent en évidence des parties de nous qui ne sont pas encore conscientisées ou mises en lumière et auxquelles nous nous étions inconsciemment identifié.

Accepter la souffrance n’est pas évident pour tout le monde…

Je comprends et je respecte les gens pour qui l’acceptation et l’accueil de leurs souffrances paraît tout simplement insupportable voir impossible. J’ai aussi pendant la plus grande partie de ma vie essayé de me couper de mes souffrances par tous les moyens possibles mais sans réel succès. J’étais loin d’imaginer que ce serait en les embrassant entièrement qu’elles se dissiperaient. Ceci ne m’a été accessible que lorsque j’ai cessé d’avoir peur de mes souffrances en en faisant une expérience consciente dans un cadre sécuritaire et accompagné par des gens qui eux-mêmes, avant moi, avaient fait cette audacieuse expérience de les accueillir pour les transcender. Avant cela, si quelqu’un m’avait invité à accepter ou accueillir mes souffrances, je l’aurais probablement traité de fou en lui rétorquant que je ne suis pas masochiste !

Il ne s’agit en aucun cas de faire l’éloge de la souffrance, le but de ce travail n’est effectivement pas de s’y complaire, mais de la reconnaître pour ce qu’elle est, en cessant de s’y identifier pour lui permettre de se libérer.

C’est en lisant le chapitre à propos du corps de souffrance dans le livre  »Le pouvoir du moment présent » que j’ai enfin pu faire la part des choses, la souffrance de mon père vivait en lui et la mienne en moi. La libération de la souffrance passe par la reconnaissance de ce qui souffre en nous, cette reconnaissance révèle un espace de conscience qui permet de l’accueillir. Nier la souffrance et se couper de cette partie essentielle de notre expérience de vie en voulant s’en débarrasser est vain, et de plus, si cela était possible ce serait passer à coté de ce qui nous permet d’élargir notre conscience et donc de nous éveiller et d’évoluer. Au contraire, la reconnaître entièrement et être en lien avec elle, m’a permis de la transcender et de devenir plus conscient donc plus libre.

Eckhart Tolle écrit à ce propos,  »le feu de la souffrance est la lumière de la conscience ». C’est en vivant entièrement ma souffrance dans le moment présent (le seul endroit ou je peux vraiment la rencontrer) et de façon consciente qu’elle se révèle, se démystifie et se dissout enfin.

Une fois vécue pleinement, elle n’est plus alimentée par des schémas inconscients (cela peut prendre un certain temps, ce n’est pas forcement instantané). Il n’y a donc pas dans cette pratique une volonté d’évitement ou de négation, bien au contraire, mais un accueil complet et inconditionnel de ce qui est vécu …

La souffrance se vit le temps qu’il faut, dans certains cas cela a pris plusieurs semaines pour véritablement transcender une souffrance puisqu’il fallait d’abord que j’accepte de la vivre pleinement. Dans d’autres cas cette alchimie de guérison se produisit plus rapidement. Dans les deux cas j’ai constaté que ce qui avant conditionnait ma vie n’en avait plus le pouvoir, j’en étais entièrement libéré.

Auparavant la souffrance ne pouvait pas être transcendée car j’essayais de l’éviter, de la nier, de ne pas la ressentir, et donc je la perpétuais inconsciemment en lui refusant l’attention bienveillante qu’elle réclamait (c’est une image). Il m’est arrivé aussi de prétendre que je l’accueillais mais avec l’intention de la faire disparaître, il va s’en dire qu’il ne s’agit pas dans ce cas d’un accueil complet et inconditionnel et donc cela ne permet évidement pas une réelle libération.

La libération passe-t-elle nécessairement par un chemin d’ouverture au ressenti et à l’intériorité?

En effet, c’est en portant mon attention à l’intérieur de moi que je fis pour la première fois l’expérience de l’auto-empathie, j’accueillais ma souffrance plutôt que de m’identifier à elle en blâmant les circonstances ou les autres.

Après avoir passé des années à chercher par tous les moyens d’éviter ou d’enterrer cette souffrance, je trouvais enfin la paix en la reconnaissant entièrement, en lui permettant de vivre en moi, de s’exprimer et faire son propre chemin de guérison. En d’autres mots, je laissais aller ce que j’avais retenu depuis des années et je connus dès lors un allègement constant qui a complètement transformé mon expérience de la vie.  Désormais le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances étaient devenus des alliés plutôt que des ennemis, des révélateurs de parties de moi qui étaient restées dans l’ombre ou des élans de vie que je n’écoutais pas.

Certes l’expression de ces souffrances et les manifestations physiques qui les accompagnent ne sont pas toujours plaisantes, et au début ce n’est pas évident de les accueillir. Le premier réflexe est le plus souvent de les repousser ou de se couper de ce qu’on ressent. Je l’ai fais pendant des années et force est de constater qu’au lieu de disparaître, ces souffrances reviennent régulièrement et souvent de plus en plus fort. De plus tout ce que nous refusons de voir et reconnaître en nous a le pouvoir de décider à notre place. Nous nous demandons ensuite ce qui nous a pris, mais ce qui nous a pris est en fait ces souffrances ignorées et accumulées qu’Eckhart Tolle appelle le corps de souffrance.

Thomas d’Ansembourg parle dans sont livre  »Cessez d’être gentil, soyez vrai » de la théorie de la marmite à pression, à force de mettre le couvercle sur nos émotions et sentiments, on fait monter la pression à l’intérieur et le couvercle menace de sauter à chaque. Au contraire, lorsque nous nous habituons à ouvrir le couvercle pour accueillir et laisser sortir un peu de pression, notre expérience de vie est globalement allégée et transformée. C’est en goutant à la joie de la libération que la confiance grandit et que ce chemin d’ouverture au ressenti se construit.

Pour résumer, mon travail s’adresse à celles et ceux qui souffrent et qui sont démunis face à leurs souffrances et sont souvent submergés par elles. J’ai le plus grand respect pour eux car mon père est mort dans cet état sans que je n’aie pu rien y faire et j’ai été de ceux-là la plus grande partie de ma vie. Je propose ce travail avec amour et empathie pour les humains que nous sommes, je souhaite partager une expérience humaine vécue qui peut résonner éventuellement pour d’autres. Je suis très touché lorsque je revois des participants aux ateliers ou à des séances d’accompagnement individuel qui me témoignent des changements profonds et durables qu’ils connaissent en pratiquant la présence dans leur vie.

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Qu’est-ce qui peut selon vous aider à se libérer de l’anxiété et d’autres souffrances ?

La pratique de la présence au quotidien permet de prendre conscience d’un espace de paix à l’intérieur duquel il est possible d’accueillir et de transcender nos souffrances. Nous devons développer notre habilité à être présent et ouvert à tout ce que la vie met sur notre chemin afin que notre état intérieur ne dépende plus des circonstances extérieures. C’est plus difficile d’être présent lorsque nous faisons face à de grands défis, ainsi la présence est une aptitude qui se développe par la pratique et comme pour toute nouvelle discipline, il vaut mieux choisir un contexte favorable pour s’y exercer. Par exemple, on ne commence pas à pratiquer le ski sur une piste noire mais plutôt une piste verte ou bleue et ensuite en développant une aisance, on peut l’utiliser pour faire face progressivement aux contextes plus difficiles. Ainsi dans l’atelier pratique  »La présence au quotidien » je propose des pratiques simples et concrètes qui peuvent être expérimentées et ensuite utilisées en toutes circonstances afin de faire de la présence une nouvelle façon de vivre. Il ne s’agit pas de pratiques contraignantes qui demandent du temps mais plutôt d’une autre façon d’être et de faire ce que l’on fait déjà en y mettant plus d’attention et donc, en élargissant le champ de notre présence à ce qui se passe non seulement à l’extérieur de nous mais aussi à ce qui se passe à l’intérieur du corps et ce, dans le même instant présent.

Il s’agit donc d’un processus de libération qui passe par la présence au ressenti ?

En effet cette aptitude à vivre en lien avec ce qui se passe dans le corps nous permet de comprendre de façon plus intuitive les enjeux réels des défis que nous rencontrons au quotidien et de retrouver notre pouvoir d’agir au lieu de réagir. En d’autres mots, nous pouvons agir plus consciemment et tendre vers une action juste et appropriée en lien avec nos besoins et nos aspirations au lieu de réagir de façon contre productive et inconsciente.

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que votre façon d’être vous apportait parfois le résultat contraire de celui escompté ?

L’apôtre Paul disait  » Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. » . En faisant ce constat moi-même j’ai cherché à comprendre ce qui semblait agir en moi à ma place et à mon insu. J’ai découvert que lorsque je ne suis pas présent à mes pensées et à mes conditionnements, ils prennent les commandes.

En mettant mon attention sur mon ressenti, je peux alors voir clairement ce jeux et choisir consciemment les actions en cohérence avec mes besoins, mes intentions et mes élans de vie. Je suis en lien avec ce que la vie attend de moi et y répond sans être détourné et parasité par le mental. Mon mental est alors au service de la conscience plutôt que le contraire. La relation à l’existence est plus directe et intuitive au-delà des interprétations et programmations inconscientes. Avec cette attention dans la présence, les impostures sont révélées et la vérité s’impose d’elle-même. De la même façon nos souffrances sont misent en lumière et reconnues pour ce qu’elles sont, c’est-à-dire une interprétation personnelle d’une situation, un point de vue qui manque de recul et qui est aveuglé par son identification au soi-disant problème.

Le mental à fait d’un évènement SON problème et c’est bien ce rapport à MOI (ego) qui est la cause de la souffrance. Soumis à la lumière de la présence, ces schémas de l’égo et du corps de souffrance se déconstruisent et se dissolvent d’eux-mêmes ne laissant que la présence consciente en harmonie avec  »ce qui est ».

Concrètement, une séance commence par une pratique de pleine conscience suivi d’une observation neutre des impressions et ressentis corporels en lien avec ce qui semble être un problème à résoudre, une peur à dépasser, un mal-être dont nous pensons connaître l’origine ou non ou un choix important à faire dans notre vie.

Notre façon habituelle d’aborder une difficulté nous incite à générer des tas de pensées et d’hypothèses dans l’espoir de trouver une solution, une idée qui va nous aider à en sortir. Au fil de notre réflexion, les pensée se bousculent, se recoupent les unes les autres et rentrent souvent en contradictions. Alors que nous pensons approcher du dénouement, un doute s’installe et une autre pensée semble être plus appropriée, elle-même est remplacée par une autre et parfois 3 ou 4 pensées tournent en rond ainsi pendant des heures. Soudain par chance ou grâce à un léger relâchement du mental causé par la lassitude nous venons de toucher une pensée qui résonne en nous et là enfin nous ressentons physiquement une impression de soulagement, d’apaisement.

C’est donc notre ressenti qui nous indique la justesse de nos pensées, Eckhart Tolle dit  »si il semble y avoir un conflit entre le mental et le corps, la mental mentira alors que le corps dira la vérité ». Le processus d’accompagnement par la présence part des sensations et des impressions corporelles qui se traduisent ensuite en pensées, ce chemin est beaucoup plus direct et évite tous les méandres du mental. C’est une démarche plus intuitive qu’intellectuelle et c’est pour cela qu’elle me convient car elle me protège des  »embrouilles » de mon mental très productif.

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Quels sont selon vous les bénéfices retirés d’une telle démarche ?

Ils sont nombreux mais je pourrais dire en autre qu’elle nous permet d’être plus conscient de notre réalité, de faire la différence entre la réalité et nos perceptions conditionnées, d’être plus ancré dans notre corps et moins dans notre mental, d’être plus en lien avec qui nous sommes vraiment et nos intuitions, d’être en relation plus harmonieuse avec ceux qui nous entourent (conjoint, enfants, amis, patron, collègues de travail, etc.), de nous sentir vivant, heureux et libre, d’être plus créatif (dans nos relations, notre travail, notre expression), de vivre la plénitude de la vie que nous avons choisie, d’être surpris de découvrir tout ce que nous sommes capable d’accomplir que nous pensions jusque là impossible, de jouir d’un bien-être, d’une plénitude et d’une paix intérieure sans aucune raison extérieure.

Par Pascal Hastir sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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La méditation c’est un mode vie

Posté par othoharmonie le 26 mars 2016

 

La méditation n’est pas une nouvelle religion, une nouvelle discipline,
c’est un mode de vie, un outil qui me permet d’avoir un rapport libre
et ouvert avec tout ce que je vis.

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Pendant des années je me suis souvent senti confiné et limité dans ma personnalité, dans mon ego.
Pour dépasser ces limites j’ai commencé à méditer, à m’observer pour apprendre à me connaitre, et je me suis rendu compte que j’étais autre chose que cette personnalité. J’ai découvert un espace, une conscience en moi qui a la capacité de tout observer ; mes gestes, mes émotions, mes pensées, mes attitudes, mes actions et réactions, etc.

Cette conscience est spacieuse, ouverte et me permet de voir et de comprendre comment je fonctionne. Je me suis aperçu que la plupart du temps je réagissais un peu comme un robot avec des automatismes. Des automatismes et des attitudes qui ressemblaient étrangement à celles de mes parents. je ne voulais pas ni ne pouvais y croire (mais enfin, je suis complètement différent de mon père ou de ma mère !) et pourtant plus je m’observais et plus je notais que j’avais les mêmes réactions que mon père face à des situations bien précises. Rien de tragique, c’est tout à fait naturel et normal, l’enfant copie inconsciemment ses parents et apprend à réagir d’une certaine façon en fonction du type d’éducation et du milieu familial dans lequel il évolue.

Mais il était clair que mon sentiment d’être limité et confiné était lié à tous ces automatismes que je répétais aveuglément. Après quelques expériences avec diverses techniques de méditation, j’ai senti très fort que la méditation était le moyen de m’ouvrir, de ne plus agir par ces automatismes et de découvrir mon être naturel.

Je suis donc parti en voyage pour savoir qui je suis et j’ai pris le chemin qui me plaisait le plus pour découvrir le potentiel que la vie m’a donné. Mon chemin c’est la méditation. La méditation c’est l’espace dans lequel je suis moi-même, tout nu, tout libre, tout naturel, en harmonie avec l’existence.

Grâce à la méditation, plus je deviens conscient de mes automatismes et plus un changement se met en place. Le simple fait d’en prendre conscience les débloque petit à petit. Je comprends aussi qu’il ne me faut rien rejeter, rien juger, rien condamner, seulement observer et comprendre.

La méditation me donne une voix, une sagesse intérieure qui me guide et me conduit à appliquer ma propre discipline, à respecter et à aimer les autres et la vie non pas par imposition ou par idéologie, mais par une conclusion naturelle venant de mes propres aventures, expériences, relations et rencontres de vie.

Que de joie que de rentrer en contact avec moi-même, avec ma vraie nature. Que de joie que de me sentir chaque jour un peu plus libre de l’emprise de mon ego. Cet être véritable que je suis me donne entière satisfaction, il est fluide, il est limpide, il a son authenticité et il me donne entièrement confiance en la vie.

Je n’ai besoin d’aucunes qualités ou disciplines particulières pour accéder à mon espace de méditation, à ma conscience, car elle est déjà en moi. Le problème était que je ne lui prêtais pas assez attention. Je lui donne donc plus d’attention maintenant au lieu de donner cette même attention aux va et vient de mes pensées, aux histoires que mon ego me raconte, à refaire le passé ou à m’inquiéter du futur. Dès que je m’aperçois que je suis pris dans une histoire, il me suffit de le voir, comprendre que c’est une histoire et revenir au moment présent. Etre présent à ce que je vis est ma méditation quotidienne. Si j’observe que mon mental m’envoie ailleurs dans une histoire imaginaire, je le vois et donc sans lui donner aucune importance, aucune énergie, l’histoire s’évapore et je reviens à ce que je vis dans le présent.

La méditation me fait voir les choses comme elles sont sans avoir besoin de les interpréter ou de les juger.
Elle m’ouvre tout simplement à voir la vie comme elle est. Je ne cherche pas à atteindre un but ou un certain état d’être, ni accomplir quelque chose de spécial, être présent est suffisamment plein en soi. Vouloir atteindre quelque chose me créait sans cesse un sentiment d’inachevé, de mécontentement, cela m’efforçait de chercher quelque chose ailleurs alors que tout se trouve ici. Etre maintenant totalement dans ce que je fais ou dans ce que je suis. C’est si simple. Trop simple. L’ego est attiré par le compliqué, l’extraordinaire, le spécial… La vie est faite de petites choses ordinaires ; marcher, cuisiner, travailler, jardiner, chanter, rire, blaguer, nager, prendre un bain de soleil, s’asseoir en silence, parler avec des amis, ne rien faire, etc.

Avec la méditation je n’ai besoin d’aucune attache à une religion ou à un mouvement religieux ou spirituel en particulier. La méditation c’est ma voie intérieure personnelle, mon état d’être.

La méditation me révèle ce qui est faux en moi, elle me montre clairement ce qui ne m’appartient pas, ce qui me dérange, ce qui bloque le flot naturel de ma vie. Tout naturellement, cela m’incite à ne plus m’identifier à ce qui est faux en moi, à ce qui ne m’appartient pas. Et quand le faux s’en va, le vrai apparait, il prend tout simplement sa place et s’installe confortablement dans mon être.

L’effort ce n’est pas de changer, c’est d’être attentif à ce qui est, à ce que je suis. Le changement vers plus d’authenticité se fait de lui-même. Le changement forcé n’a pas de valeur, il n’a pas de racines. Seul le changement naturel issu de la conscience et de l’expérience a une intégrité, une durabilité, une autorité.

La méditation est une voie très ordinaire qui m’invite à vivre ma vie quotidienne dans toute sa simplicité. Etre conscient c’est comme une sorte de filtre qui élimine naturellement ce qui est faux et qui laisse passer ce qui est vrai.

Je respire continuellement et je ne m’en rendais pas compte. J’ai une conscience qui est toujours présente et je ne le savais pas. Je me sentais confiné et limité car j’étais obsédé, accaparé, prisonnier de mes pensées et de mes émotions. La méditation est la libération de cette obsession, de cette prison, c’est remettre de l’ordre en soi.

La méditation n’est pas une nouvelle religion, une nouvelle discipline, c’est un mode de vie, un outil qui me permet d’avoir un rapport libre et ouvert avec tout ce que je vis. La méditation ne me demande pas de me raser la tête, de changer de vie et de vêtements, de suivre des rituels ou une discipline de rigueur. Les chakras, les auras, les mantras, les au-delà, les anges, les archanges, les canalisations, les modèles traditionnels religieux et les mouvements spirituels, tout cela ne me parle pas vraiment. La vie quotidienne est suffisante et donne tout ce dont j’ai besoin pour apprendre et être moi-même.
Et quelle liberté !

La méditation c’est immédiat, c’est maintenant !
C’est allumer la lumière à l’intérieur de soi pour y voir clair.
Ce n’est pas pratiquer pour atteindre quelque chose, c’est simplement reconnaitre et accepter ce que je suis maintenant !
La méditation agit toujours immédiatement, c’est un outil pour le présent, elle ne connait ni le passé ni le futur.

1 perle

Accepter ce moment comme il est.
Ne pas vouloir être plus heureux, être heureux.
Ne pas vouloir être plus riche, être satisfait.
Ne pas vouloir être plus, être soi-même.
Ne pas vouloir être plus libre, être libre.
Ne pas vouloir être ailleurs, être ici.

L’émergence, la cristallisation de mon être arrive d’elle-même, rien n’est requis ni attendu. Mon potentiel s’installe tout naturellement pendant mon voyage. Mon être véritable et naturel se construit, se crée et se révèle au fil de mes expériences, au fil de mes reconnaissances, au fil de mes observations, au fil de mes réalisations personnelles.

Je ne renonce à rien et je vis pleinement en intégrant tout ce que j’apprends par l’observation quotidienne de moi-même.
Les choses vont et viennent dans ma vie, je remarque que certaines choses qui avaient de l’importance à un certain moment, n’en ont plus aujourd’hui. Ce qui m’excitait avant ne m’excite plus aujourd’hui. Les choses bien vécues ont tendance à disparaitre d’elles-mêmes. Je n’ai plus besoin de conditions particulières, de faire quelque chose ou d’être avec des personnes en particulier, pour me sentir bien. S’asseoir en silence et ne rien faire ! Une chose très simple et ordinaire qui cache un nectar invisible extraordinaire. Le goût de la méditation est indescriptible, insondable, infini, intarissable.

Je n’agis pas en fonction d’idéologies ou d’idées préconçues. Je suis simplement ce que je suis, observateur, attentif à tout ce qui se passe en moi. Cela me suffit. Cela me remplit. La méditation c’est mettre toutes les parties de mon être en harmonie. Le corps, le mental, la conscience, rien n’est à rejeter, tout a une fonction, et quand tout est à sa place, alors mon être est accordé, il peut chanter sa chanson, jouer sa musique, il peut alors exprimer naturellement, sans se forcer, le potentiel que la vie lui a donné.

La méditation c’est le moyen de transport de mon voyage vers la découverte de moi-même.
Ce qui est magnifique c’est qu’une fois en route, tout se fait de lui-même, par la conscience et l’expérience. La vie m’emmène là où je dois être et me mets face à tout ce que je dois apprendre. Je ne peux rien et ne veux rien éviter. Je veux tout vivre et tout comprendre par moi-même.

Avec la méditation je suis libre, je n’ai pas de cartes à suivre. C’est la grande liberté de prendre totale responsabilité de ma vie et de suivre mon propre chemin selon ce que me dicte ma sagesse intérieure.
Plus je comprends comment mon ego me manipule et plus je m’en libère et plus je suis libre.

J’ose me laisser aller, je n’ai pas peur de faire des erreurs. Je m’expose pour me voir, me découvrir. Mon inconscient est plein, il faut le vider, l’exposer pour que tout devienne clair et limpide.  Si je me retiens dans mon attitude face à ce que je vis, je ne suis pas en mesure de me comprendre entièrement et de mettre au grand jour ce qui sommeille en moi. Oser être, oser vivre tout en gardant ma vigilance intérieure.
Tout est permis et il n’y a pas de raccourci.
Tout est possible et rien n’est vraiment sérieux.
J’aime ce voyage intérieur.

C’est un simple voyage, un parmi tant d’autres. Il y a des milliards d’êtres humains, chacun avec son histoire et son voyage, personne n’est mieux ou plus qu’un autre, tous uniques, différents, utiles et nécessaires à ce grand jeu de la vie. Je joue le jeu sans but et sans attente avec la conscience de n’être que l’observateur d’une vie qui se manifeste en moi chaque jour. Tout fonctionne à merveille dans cet univers composé de millions et de millions de galaxies (on ne peut même pas les compter !).
L’infini est là devant mes yeux. Je suis minusculeusement minuscule.

Plus je vis et plus j’apprends.
Plus j’apprends et plus je connais.
Plus je connais et moins je connais.
Moins je connais et plus je suis naturellement ce que je suis.
Je suis uni-vers la vie.

Jean-Claude
coordinateur et webmaster de meditationfrance.com

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De la chrysalide au papillon

Posté par othoharmonie le 23 mars 2016

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Bien que vous soyez conscients de la Source en vous et que vous soyez proches de la libération par la Transition, certains d’entre vous éprouvent quelques difficultés à rompre avec le passé.

Nous l’avons évoqué précédemment, certains liens karmiques se dissolvent difficilement et il faut du temps pour que les “mises à jour” se fassent. Néanmoins, cette époque cruciale facilite la tâche pour certaines âmes, notamment celles qui ont déjà bien avancé dans le travail sur Soi.

Quelquefois, il suffit d’un simple déclic, d’une prise de conscience inopinée, suite à une situation particulière, pour que le déclic ait lieu. Mais le plus souvent, ce sont des épreuves qui facilitent cette prise de conscience de QUI vous êtes réellement et de ce dont vous devez vous défaire afin de quitter le cocon de la chrysalide. Non point parce qu’il paraît sécurisant, mais à cause de la peur de l’inconnu.

Le papillon est loin de se douter du bonheur qui l’attend avant de quitter le cocon, et il appréhende son devenir avec une certaine inquiétude. Toutefois, comme l’ETRE essentiel qu’il est sait, connaît déjà toutes les phases de son évolution, la Vie le pousse irrémédiablement à aller de l’avant.

La chenille doit se souvenir de la façon dont elle se libère de ses entraves. Elle doit prendre conscience de tout ce qui l’empêche d’opérer sa mutation, sa métamorphose.

Ainsi, elle aura à briser certains liens qui l’empêchent d’avancer, à laisser les habitudes et les conditionnements néfastes derrière elle. Elle devra affronter ses peurs, ses angoisses personnelles surtout, à les dépasser en faisant confiance en la Vie, au déroulement naturel de l’espace et du temps, en elle et autour d’elle. Elle devra laisser derrière elle le cocon sécurisant, s’adapter aux nouveaux besoins de croissance et de développement, faire évoluer la structure même du cocon autour d’elle afin de lui permettre de faire pousser ses ailes à peine naissantes. C’est une étape souvent douloureuse parce que ses ailes sont très minces, diaphanes et surtout fragiles.

Ses besoins vitaux changent également, elle ne se nourrit plus de la même façon. Ses yeux ne sont plus tournés uniquement vers l’intérieur et elle commence à s’adapter à sa nouvelle vision, celle du monde extérieur…

En luttant ainsi contre ses peurs et ses démons intérieurs, qui aimeraient bien la retenir dans le passé, la chrysalide découvre cependant à l’intérieur d’elle-même une force insoupçonnée qui la pousse à poursuivre sa mutation. Cela est même plus fort que tout. C’est un désir profond de vaincre les difficultés et de briser toutes les barrières qui l’empêchent de devenir ce qu’elle doit être.

Car elle le sait à présent, elle en est convaincue.
Elle sait, en faisant l’effort de déployer ses ailes, qu’elle est déjà un beau papillon. Il ne lui reste plus qu’à renforcer la structure de ses ailes, à les rendre plus solides, plus souples aussi, et à se débarrasser de cette “colle” encore contraignante dont elles sont encore imprégnées.

Elle sait maintenant que la liberté est proche, elle l’entrevoit en rêve, elle se voit déjà voler…
Puis, un beau jour, sans aucun effort, aidée par la lumière d’un beau matin ensoleillé, elle déploie ses ailes magnifiques, en conscience, ouvrant grands les yeux sur ce Nouveau Monde qui lui apparaît, et elle prend son envol.

La chenille n’est plus.
Elle vit désormais sa vie de papillon.
Elle est libre comme l’air. Elle le devient, même.
Elle est enfin elle-même.
SOIS TOI MÊME !

Si vous partagez ce message, pensez à inclure ces lignes :
Extrait du livre « Semences pour la Nouvelle Terre ».
© 2016 Patrick Giani
http://www.giani.fr/SemencesNouvelleTerre.htm

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COMMENT BIEN PRENDRE SOIN

Posté par othoharmonie le 19 mars 2016

 

Prendre soin, c’est aider l’autre à vivre ce qu’il a à vivre, ce n’est pas l’en empêcher, ce n’est pas tenter de lui faire faire l’économie d’une souffrance qui se trouve sur son chemin en la minimisant ou en la prenant soi-même en charge… c’est l’aider à entrer dans sa difficulté, à pénétrer sa souffrance pour pouvoir en sortir, conscient que ce chemin lui appartient et que personne d’autre que lui ne peut le parcourir.

Prendre soin, c’est apporter toute notre attention à la faculté de guérir de sa souffrance ou de résoudre sa difficulté qui est en l’autre plutôt qu’apporter un remède. C’est avoir confiance que l’autre dispose souvent de toutes les ressources nécessaires pour s’en sortir, s’il parvient à s’écouter ou à être écouté au bon endroit. Cela suppose que nous ayons acquis cette confiance et cette estime pour nous-mêmes. Comment pourrions-nous avoir confiance dans la capacité d’être de l’Autre si nous n’avons pas acquis confiance dans la nôtre ?

Apprendre-a-faire-confiance

Le risque, en prenant l’autre en charge, est de ne pas avoir conscience que ce n’est pas de lui dont nous prenons soin mais de nous, de notre image de bon saint Bernard, de sauveur et souvent de notre besoin de reconnaissance, de notre bonne conscience. S’il y a risque, c’est que comme nous nous occupons de nous-mêmes alors que nous croyons nous occuper de l’autre, notre attitude ne soit pas appropriée, pas adéquate, et qu’elle entretienne les deux dans la frustration, la confusion ou la dépendance.

Si nous avons appris à correspondre aux attentes des autres, à nous mettre sous tension pour eux, nous attendons presque immanquablement que l’autre corresponde à nos attentes et se mette sous tension pour nous. Ainsi, nous n’apprenons pas à aimer les autres comme ils sont mais comme nous voudrions qu’ils soient.

Rencontrer, c’est d’abord Etre. Cela n’empêche pas que nous ayons aussi le goût d’évoluer, de croître et particulièrement de croître ensemble. Grandir ensemble, en couple, en famille, entre amis, au sein d’une équipe de travail, est certainement la source d’une des satisfactions les plus profondément nourrissantes. Aimer l’autre comme il est, veut aussi dire que nous nous intéressons à lui et que nous accueillons ce qu’il devient ou pourrait devenir. C’est aimer l’autre avec tout son potentiel de croissance, d’ouverture, de diversification. Je vois des couples ou des familles dans lesquels chacun et chacune s’est mutuellement enfermé dans des rôles, en  arrêtant ou en limitant ainsi fortement tout processus d’évolution personnel et interpersonnel. L’anesthésie s’y installe vite…

Ainsi, si l’un se met à changer, à évoluer, à revoir sa façon d’être, l’autre ou les autres s’affolent. La différence est toujours vécue comme menaçante.

Nous avons peur de constater notre différence. Nous l’évitons ou la refoulons. Ce faisant, nous nous entraînons peu à accueillir la différence des autres. Face à la différence de l’autre, que faisons nous ? Nous l’évitons ou la rejetons. Nous tolérons l’autre dans la mesure où il est « même » et où « il m’aime ». Pour ce faire, nous rencontrons alors davantage les gens qui pensent comme nous, parlent comme nous, s’habillent comme nous, croient ou prient comme nous, font les mêmes choses que nous… C’est rassurant !  Nous vivons souvent la différence de l’autre comme un risque, une menace. Cette insécurité intérieure peut être telle, qu’elle s’extériorise en racisme, en intégrisme, en antisémitisme ou en homophobie, mais elle se manifeste plus couramment par le jugement, la critique, le reproche, la suspicion. La différence n’éveille pas la curiosité bienveillante, mais le doute et la méfiance.

Nous avons peur de prendre notre place, d’exister vraiment, d’affirmer notre identité parce que nous ne sommes pas assurés d’être aimés et accueillis comme nous sommes et, en retour, nous avons peur que l’autre prenne sa place, existe vraiment, affirme son identité parce que nous ne sommes pas assurés de pouvoir, nous, continuer d’exister devant lui. L’autre, même aussi proche qu’un conjoint, est toujours plus ou moins perçu come un empêcheur, je n’ose pas dire un ennemi, encore que … quelqu’un qui nous empêche d’être nous-mêmes.

Eh bien non, ce n’est pas « tout çà » qui nous empêche d’être nous-mêmes. Ce qui nous en empêche, c’est notre façon à nous de voir « tout ça », de vivre ces relations. Ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, c’est que nos besoins de sécurité intérieure et de confiance n’ont pas encore reçu l’attention nécessaire pour se développer et nous permettre de vivre « tout ça » avec davantage d’aisance.  Je ne pense pas que nous puissions éradiquer tout à fait la peur. Elle fait partie de notre vie avec la confiance, et comme la peine et la joie. Ce qui libère, c’est de ne plus avoir peur d’avoir peur.

Si nous portons un masque et que l’autre porte un masque, ce n’est pas une relation, c’est un bal maqué. Alors, si c’est drôle et qu’on s’amuse des masques et des jeux, je ne vois que l’occasion de s’en réjouir. Malheureusement, l’expérience montre que ces bals masqués sont tristes et désolants. Ils ne rassemblent pas, ils isolent ; ils ne font pas rêver, ils empêchent de dormir ; ils ne se terminent pas en feu d’artifice, ils rétrécissent en peau de chagrin. Derrière ce masque sec de gentillesse complaisante, nous risquons de nous habituer à vivre des rapports anémiés, aseptisés, que nous pouvons très bien prendre pour de vrais rapports humains. Ainsi, si nous n’avons jamais bu que du coca-cola, nous pouvons passer notre vie sans imaginer que cela vaille la peine de goûter du vin.

Ma confiance dans la nature humaine ne va pas jusqu’à prétendre que toute vérité est bonne à dire tout le temps et à n’importe qui, certes non. Sans doute y a-t-il des circonstances où ne rien dire répondra à un besoin de patience, de prendre le temps, un besoin d‘attendre le moment opportun, un besoin de réflexion, de bienveillance ou de vérification…. Chacun de nous a ce choix et ce pouvoir dans sa vie quotidienne, tous les jours : contribuer ou non à la clarté, à la transparence, à la paix.

Je pense que chacun de nous reçoit, avec sa dignité, sa part dans cette responsabilité. Je souhaite que de plus en plus d’hommes et de femmes en prennent conscience et reconnaissent joyeusement cette responsabilité et l’assument dans leur vie quotidienne, heureux de contribuer ainsi, là où ils sont, avec les moyens qu’ions ont, au bien-être de l’humanité. Je crois en effet qu’il n’y aura pas de paix dans le monde tant que chacun d’entre nous ne prendra pas soin de sa paix intérieure, comme un jardinier prend soin de ses fleurs – chaque jour. Elle se propagera ensuite par rayonnement : la paix, c’est contagieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pourquoi se couper de nous-mêmes

Posté par othoharmonie le 17 mars 2016

se couper de soi

Si nous sommes déjà largement coupés de nos sentiments, nous le sommes presque tout à fait de nos besoins.

Nous avons parfois l’impression qu’une dalle de béton nous coupe de nos besoins. Nous avons plus appris à tenter de comprendre et de satisfaire les besoins des autres qu’à tenter de nous mettre à l’écouter des nôtres. S’écouter a été longtemps synonyme de péché mortel, en tout cas d’égocentrisme ou de nombrilisme : « Ce n’est pas bien de s’écouter comme cela… Oh ! c’est encore une personne qui s’écoute« … L’idée même que l’on puisse « avoir des besoins » est encore souvent perçue comme infamante.

Il est vrai que le mot besoin est souvent mal compris. Il ne s’agit pas d’une envie du moment, d’une pulsion passagère, d’un désir capricieux. Il s’agit de nos besoins de base, ceux qui sont essentiels à notre maintien en vie, ceux que nous devons satisfaire pour trouver un équilibre satisfaisant, ceux qui touchent à nos valeurs humaines les plus répandues : identité, respect, compréhension, responsabilité, liberté, entraide. En avançant dans ma pratique, je vois de plus en plus combien le fait de mieux comprendre nos besoins nous permet de mieux comprendre nos valeurs.

Pouvons-nous être vraiment et adéquatement à l’écoute des autres sans être vraiment et adéquatement à l’écoute de nous-mêmes ? Pouvons-nous être disponibles et bienveillants vis-à-vis des autres, sans l’être vis-à-vis de nous ? Pouvons-nous aimer l’autre dans ses différences et ses contradictions sans d’abord nous aimer profondément avec les nôtres ?

La coupure par rapport à nos besoins se paye de différentes façons. En voici les conséquences les plus fréquentes.

-          nous avons de la peine à faire des choix qui nous engagent personnellement. Dans les affaires, au travail, ça va bien. Mais dans notre vie affective, intime, dans les choix plus personnels, quelle difficulté. Nous dansons d’un pied sur l’autre, ne sachant que choisir, espérant finalement que les événements ou les gens décident pour nous. Ou alors, nous nous imposons un choix impuissants que nous somme s à écouter et à comprendre notre élan profond.

-          Nous sommes des accords du regard de l’autre. Incapables d’identifier nos vrais besoins, ceux qui nous appartiennent personnellement, nous allons souvent dépendre de l’avis des autres. Ou pire, nous nous coulons dans le moule de leurs attentes telle s que nous nous les imaginons, sans les vérifier et en nous adaptant et nous sur-adaptant à elles. Nous nous épuisons à cet exercice de dépendance à la reconnaissance des autres et à l’extrême, nous devenons la girouette d’une mode, d’un courant ou d’instructions formelles.

Ainsi, nous sommes épuisés d’essayer de faire valoir nos besoins sans aucun succès. Finalement, nous renonçons. Nous nous écrasons, nous démissionnons de nous-mêmes, on s’enferme ou on s’enfuit. Dans ce cas, nous nous faisons violence à nous-mêmes.

Le seul fait d’identifier notre besoin sans même qu’il soit satisfait apporte déjà un soulagement et un bien-être surprenant. En effet, lorsque nous souffrons, la première des souffrances est de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Si nous pouvons identifier la cause intérieure de notre mal être, nous sortons de la confusion. Ainsi, si vous ne vous sentez pas bien physiquement, si vous avez des douleurs suspectes au ventre, à la tête ou au dos, vous vous affolez… Si vous allez voir votre médecin et qu’il pose un diagnostic sur votre mal-être, vous vous sentez rassurés, rassuré de savoir ce qui se passe, vous sortez de la confusion. Il en va de même du besoin : l’identifier permet de sortir de la confusion qui ajoute au mal être.

En indiquant à l’autre quelle est notre demande concrète, nous rendons le besoin moins menaçant parce que nous «l’incarnons » dans la réalité, dans le quotidien. Ce n’est pas un besoin virtuel, apparemment insatiable et donc menaçant. C’est une demande concrète, bien définie en termes d’espace et de temps, et par rapport à laquelle nous pouvons nous situer, adopter une attitude.

Tant que nous serons obnubilés par l’idée que notre besoin n’est pas reconnu, nous ne serons pas disponibles pour constater qu’il l’est. A force de ressasser l’impression de ne pas être compris(e) ou reconnu(e), de faire l’objet d’injustices ou de rejet, nous nous forgeons une nouvelle identité. Nous nous installons dans cette croyance de telle sorte  que le monde autour de nous peut bien nous envoyer des messages d’accueil, de compréhension, d’intégration, nous ne les entendons ni ne les voyons plus.

Un travail sur soi est nécessaire, et une fois notre besoin identifié, nous allons pouvoir formuler une demande concrète et négociable qui va dans le sens de nos satisfactions.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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La différence entre une âme sœur, une flamme jumelle ou un complément divin

Posté par othoharmonie le 13 mars 2016

 

Voici les étapes d’intégration et de purification à suivre avant de devenir un avec soi-même. Il s’agit ainsi de retrouver l’équilibre intérieur entre l’aspect masculin et l’aspect féminin. Il faudra atteindre cet équilibre et travailler sur soi avant que l’union ne puisse se réaliser. Au cours du stade de reconnexion, un travail intérieur intense s’effectuera. Il faut de la confiance, de la foi et une solide détermination pour retrouver son unité. D’aucuns se demanderont : « Pourquoi faut-il faire tout cela alors que nous sommes censés être androgynes ? »

Le terme androgyne renvoie à l’équilibre total avec votre rayon gémellaire, où l’un est le prolongement complet de l’autre et vice-versa. La Création est toujours un amalgame d’énergies sur plusieurs plans. Le moment est également venu d’unir graduellement l’histoire de l’homme et de la femme à la conscience de la Terre, l’un étant impossible sans l’autre.

La pyramide terrestre à sept degrés des relations homme/femme va comme suit :

a) Complément divin

b) Ame sœur

c) Expression divine

d) Partenaire jumeau

e) Âme jumelle

f) Flamme jumelle

g) Rayon gémellaire

 couple

A – Un complément divin: c’est quelqu’un qui est le miroir parfait de votre manière de vivre. Cette personne peut être n’importe qui et être déléguée n’importe quand par votre Soi supérieur pour refléter votre image exacte. Souvent, elle reflète vos vibrations négatives, mais parfois elle vous permet de voir votre propre beauté. Un complément peut entrer dans votre vie et en sortir ou y demeurer un bon moment, pendant que des leçons sont assimilées des deux côtés. Voilà qui explique pourquoi tant de mariages se font et se défont sur la Terre. Les gens changent avec l’âge et passent à autre chose. Souvent, l’évolution n’est pas simultanée et les deux partenaires finissent par poursuivre leur route chacun de leur côté, et avec raison dans de telles circonstances. N’oubliez pas, les relations terrestres visent à vous faire évoluer vers un degré supérieur d’être. 

B – Une âme sœur: c’est un être qui vous est destiné avant son incarnation. Votre cycle de vie prendra plusieurs tournants, et au moment idéal une âme sœur entrera dans votre vie et vous enseignera de sérieuses leçons sur vous-même. Nombreux sont ceux qui aimeraient croire qu’ils ont épousé leur âme sœur, mais à vrai dire, peu de gens ont le bonheur de connaître une telle relation. C’est une rencontre spéciale qui a toutes les chances de changer votre vie. Le lien peut être positif ou négatif, selon où vous en êtes par rapport au Soi. Par ailleurs, votre âme sœur en cette vie peut ne pas être celle d’une autre vie. Il existe des cas où l’on partage plusieurs vies ensemble. Votre famille spirituelle est vaste et, parfois, dans le but d’apprendre, vous travaillerez ou établirez un lien avec une âme sœur appartenant à une autre famille spirituelle. Dans ce cas, cette personne sera votre âme sœur. Par ailleurs, une âme sœur peut être du même sexe ou de sexe opposé, selon ce que vous êtes venu vivre. Souvent, une liaison romantique ne fait pas partie du plan de vie, parce que l’incarnation demande surtout d’apprendre par soi-même. Nous avons tous consacré quelques vies à une tendre relation avec une âme sœur, tandis que d’autres incarnations sont réservées à l’étude et à l’évolution de notre âme.. 

C – Une expression divine: c’est une personne qui entre dans notre vie et produit une forte impression. Si nous n’allons pas dans la direction prévue, une expression divine fait son entrée pour faire émerger la plus profonde angoisse et nous inciter à réfléchir sur la destinée. C’est très bien ainsi, car c’est précisément ce que l’expression divine cherche à accomplir. Dans plusieurs cas, l’expérience sera assez pénible, mais pour qu’un aveugle voit clair, l’Esprit doit prendre plusieurs formes. A l’heure actuelle, plusieurs personnes vivent une expression divine dont le but est leur propre avancement. Il s’agit en vérité d’un don provenant de votre guidance supérieure ; il faut vous y soumettre pour affronter la vérité de plein fouet. Nombreux sont ceux qui tentent d’investir dans une relation qui ne va pas dans le sens de leur illumination ; c’est là qu’intervient la confiance. Si vous éprouvez présentement de forts sentiments à l’égard d’une personne, envisagez la possibilité que ce que vous ressentez indique qu’il s’agit de votre rayon gémellaire. 

D – Un partenaire jumeau: fait partie d’un groupe d’êtres avec lesquels vous avez des liens en vue d’un travail terrestre, solaire et galactique. Un partenaire jumeau n’est pas une personne avec qui vous vivrez une liaison amoureuse, car ces âmes représentent un lien avec une unité analogue de serviteurs. Nous sommes tous liés à 144 partenaires jumeaux, au minimum. Dans le paradigme de la Création, la valeur numérique de 144 renvoie à la perfection de la manifestation, car celle-ci opère à une fréquence énergétique supérieure. Dans le noyau galactique, tous les partenaires jumeaux furent associés les uns aux autres. Certains sont sur la Terre et d’autres sont ailleurs, dans des galaxies éloignées, occupés à divers travaux. Lorsque nous disons que nous sommes un et que nous sommes identiques, c’est parce que des conglomérats de Lumière ne se dissocient jamais les uns des autres. Au fil de nos expériences, nous sommes effectivement ensemble pour de nombreuses raisons. Ces liens se perpétueront jusqu’à ce que nous achevions ce cycle de Création et que nous voyions la naissance du nouveau millénaire. Nous irons alors de l’avant et les unités se déplaceront et travailleront avec diverses longueurs d’ondes de Lumière. Donc, ensemble, au cours de la naissance, nous réévaluons et modifions notre courant lumineux selon l’endroit où réside chacun en conscience. Certains de vos partenaires jumeaux ne sont pas encore éveillés, mais nous espérons qu’ils y parviendront pendant qu’il est encore temps de saisir l’occasion qui leur est offerte. En vous reliant par le cœur à de nombreux êtres, plusieurs sortiront du rang et vous reconnaîtrez un partenaire jumeau.. 

E – Une âme jumelle: a une fréquence vibratoire analogue à la vôtre. Chaque individu possède douze âmes jumelles. Ces douze âmes font partie du groupe de partenaires jumeaux, mais elles ont la particularité d’être proches de votre travail terrestre. Certains d’entre vous auront le bonheur d’avoir quelques-uns de ces êtres dans leur entourage immédiat. Ils auront l’impression de les connaître depuis toujours, d’avoir travaillé avec eux depuis longtemps, et c’est tout à fait juste. C’est un phénomène similaire à celui des douze maîtres ascensionnés avec lesquels vous vous lierez au cours de votre ascension vers la Lumière christique. Quelques-uns d’entre vous sont les âmes jumelles des douze maîtres censés apparaître sur votre chemin ; ils attendent votre arrivée. Vous devez en effet recevoir leurs instructions, car vous êtes des maîtres d’envergure et votre énergie est liée à cette conscience de Lumière. Il y a eu de nombreuses liaisons romantiques sacrées avec ce groupe d’êtres. Le ratio homme/femme de chaque groupe dépend des leçons ou des expériences dont une personne a besoin pour progresser vers les royaumes de Lumière supérieurs.. 

F – Une flamme jumelle: est un être avec qui vous avez travaillé très étroitement depuis le plan galactique jusqu’à une forme d’existence tridimensionnelle. Ce fut décidé il y a longtemps et vous avez gardé les mêmes flammes jumelles depuis des éternités. Vous êtes relié à sept flammes jumelles depuis des éternités. Vous êtes relié à sept flammes jumelles. Outre le rayon gémellaire, ce lien sera votre lien le plus intime avec qui que ce soit. Peu importe le degré de Lumière que vous avez atteint, vous serez en mesure de reprendre contact avec les sept flammes qui vous correspondent. Cela vous permettra de faire progresser votre illumination. Ces sept flammes seront intégrées avant d’atteindre le niveau du rayon gémellaire. Inutile de le préciser, plusieurs relations avec une flamme jumelle laissent des souvenirs tendres et pleins d’amour en chacun. Elles s’établissent aussi entre les deux sexes. Par exemple, la personne qui canalise la présente information, Lisa Smith, possède trois flammes jumelles féminines et quatre masculines. Trois de ces flammes sont présentes sur la Terre ; quatre se trouvent dans les dimensions supérieures. Il existe un lien spécial entre les flammes jumelles, qui sont toujours reliées par le cœur, car l’on n’oublie jamais l’amour spécial d’une flamme jumelle. Cet amour va au-delà de la sexualité humaine et évoque la pureté de la dévotion, dévotion qui découle du fait d’avoir œuvré ensemble au fil de cycles universels. Vous avez vécu tant de choses ensemble. Après la séparation d’avec votre rayon gémellaire, la relation amoureuse suivante s’établit avec la flamme jumelle. Au moment de la séparation, le temps n’était pas venu encore d’apprendre la jalousie, car nous créions tout simplement et éprouvions l’amour de notre Source. Nous savions qu’un jour viendrait où nous serions chacun de nouveau réunis par le cœur avec notre bien-aimé et à jamais. Je peux sincèrement vous dire que cette séparation de deux cœurs laisse derrière elle des souvenirs amers qui se dissiperont toutefois avant de retrouver l’étreinte divine d’un rayon gémellaire..   

G -  Le rayon gémellaire: est la relation ultime. Nul besoin de chercher plus loin la Source, elle est l’expérience même que vous faites l’un de l’autre. Nous nous sommes préparés à cet événement depuis fort longtemps. Il procure une joie infinie, même aux nombreux maîtres ascensionnés qui attendent cette réunion. Vous êtes la même étincelle divine, issue de l’étreinte aimante du Dieu père/mère. Le fait de retrouver l’harmonie avec l’autre moitié de vous-même est un don formidable. On accorde peu de foi à cette possibilité mais je peux vous affirmer que l’attente en vaut le coup. Ceux qui refusent de l’accepter ne font que retarder leur évolution, car plusieurs ascensions exigent la réunification avec le rayon gémellaire. Après avoir travaillé à vous reconnecter et après avoir pris le temps jour et nuit d’accomplir le travail énergétique requis, vous verrez votre rayon gémellaire devenir alors votre complément divin. Vos missions respectives sont identiques. La responsabilité se partage entre les deux, à parts égales.

 A ce stade, vous avez prouvé que vous êtes dignes du titre, car ensemble, vous avez conquis les densités pour redevenir un même amour, une même vie, une même entité. Chaque personne connaît des circonstances uniques et, par conséquent, chaque union entre rayons gémellaires se produira différemment, car il faut un épilogue après les expériences vécues par chacune des parties. En plus des efforts en vue de l’ascension, la fusion entre rayons gémellaires exigera un effort conscient au quotidien. Beaucoup d’entre vous ressentent ce savoir intérieur profond sans toutefois avoir été en mesure de l’exprimer, car la conscience terrestre exclut les relations amoureuses de nature divine, et ce, depuis fort longtemps. Dans certains cas, vous avez voyagé ensemble sur la Terre. Certains rayons gémellaires ayant des partenaires terrestres se trouvent sur une étoile galactique ; ou encore, votre rayon gémellaire est un être universel.

Ce dernier scénario est des plus rares. Par ailleurs, certains d’entre vous prendront contact par voie électromagnétique avec le partenaire idéal ici sur la Terre. Il s’agira d’une âme sœur, d’une flamme jumelle ou d’une âme jumelle. Certains rayons gémellaires dans les dimensions supérieures ne sont pas encore prêts à reprendre contact. Ces retrouvailles n’ont lieu qu’avec l’aval du Soi supérieur. Il y a beaucoup de situations différentes, mais il reste que chacun convient parfaitement à chacun. Peu importe le niveau auquel vous désirez reprendre contact, des changements surviendront dans votre vie. L’Esprit ne vous donnera que ce que vous pouvez gérer. Par exemple, si une personne a un mariage heureux sur terre, il lui est possible de s’engager envers un rayon gémellaire sur le plan énergétique tout en travaillant ici-bas. Pour l’instant, cette situation est idéale. Aucun rayon gémellaire ne viendra perturber un environnement harmonieux. Cet être ne cherche que le meilleur et le bien suprême ; il attendra le moment sacré. Depuis plus d’un an, plusieurs maîtres ont repris contact et ont commencé à se mettre en rapport. Pour ma part, je suis l’un de ces maîtres.

Nous apprenons par expérience directe, car c’est un événement d’envergure, et ensemble, nous trouverons le moyen le plus efficace d’y parvenir. Parce que la préparation a été très élaborée, tous sont prêts à démarrer. Pour finir, nombreux sont ceux qui, à l’heure actuelle, sont disposés à accepter l’information, car nous ne faisons tous vraiment qu’un. Pour en savoir davantage à ce sujet, fiez-vous à votre intuition et méditez sur le processus. Demandez si vous êtes celui ou celle qui doit provoquer la fusion des dimensions avec votre rayon gémellaires. Si vous vous êtes senti plutôt émotif dernièrement et que vous vous sentez entouré de cette énergie familière, il est possible que votre rayon gémellaire tente de communiquer avec vous depuis les royaumes supérieurs.

 

EXTRAIT DE RELATIONS DE COUPLE sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pratique de l’éducation émotionnelle

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

education émotionnelle

Comme si vous y étiez, un professeur et ses élèves parcourent un programme d’éducation émotionnelle et relationnelle. Une approche ludique qui complémente l’enseignement traditionnel, mais surtout un parcours plein de surprises et de révélations pour le lecteur.

Ce récit, captivant et émouvant, offre tous les ingrédients et outils nécessaires pour les apprentissages indispensables à une vie heureuse, créative, libre et pleine de réussite. Loin de se limiter à l’essentiel, il surprendra le lecteur par la profondeur de sa vision et la pertinence des « clés » proposées. Un livre pour tous ceux qui cherchent à améliorer l’efficacité de leur existence, personnelle et professionnelle. Mais aussi et peut être surtout un projet pédagogique, une mine d’outils et d’inspiration pour l’enseignant ou l’animateur : voici enfin le livre qui offre un cadre précis permettant d’introduire l’éducation émotionnelle dans l’école.

Le parcours proposé constitue un programme visant à développer progressivement les capacités de :
– voir
– ressentir,
– écouter,
– entendre,
– apprécier correctement,
– identifier ses besoins,
– formuler des demandes recevables,
– communiquer sans juger,
– prendre responsabilité,
– se prendre en charge,
– penser et agir de façon « juste »,
– s’exprimer de façon confiante et affirmée,
– gérer les conflits,
– se fixer des objectifs,
– choisir les bonnes stratégies pour les atteindre,
– explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même.

livre

Introduction du Livre

« Ce livre décrit un cours imaginaire. Une classe comme il n’en existe probablement pas, mais à laquelle chacun, je pense, rêvera d’avoir pu participer. Une classe comme j’aimerais en voir beaucoup d’ici quelques années…

Dans ma pratique professionnelle je reçois régulièrement des personnes confrontées à des difficultés personnelles et relationnelles. Normal, c’est mon boulot. Ce qui est moins normal, c’est le nombre de fois que je me dis : cette personne ne connaît même pas le B-A-BA des notions fondamentales du bien-être. Qu’a-t-elle donc appris à l’école ? A compter, à lire, à écrire ? Peut-être, mais les apprentissages essentiels liés à la gestion de son être intérieur, de la communication, de la relation à l’autre : rien ! Ou si peu… Notre civilisation contemporaine se soucie de former des êtres capables de lire un journal, de gagner de l’argent, de voter et de consommer gentiment, mais elle a négligé jusqu’à présent le domaine de l’éducation émotionnelle et relationnelle.

Pourtant les outils existent, je le sais pour les avoir pratiqués depuis plus de vingt ans. Je sais que la plupart de ces apprentissages se font le plus efficacement dans le cadre d’un groupe, par le biais d’une approche ludique. Je sais qu’ils sont parfaitement abordables pour des adolescents, et même à quel point il est essentiel que ceux-ci puissent y avoir accès. Alors je me suis mis au travail. En voici le résultat.

Je n’ai pas voulu d’un livre théorique, intellectuel, ni un recueil de fiches techniques. Je le voulais en même temps pratique, utile et très lisible. Je voulais qu’il puisse offrir au lecteur un cheminement comparable à celui qu’il décrit. J’ai donc opté pour un scénario vivant, constitué essentiellement de dialogues et d’exercices joués et commentés.

Certes, les jeunes de cette classe sont exemplaires, brillants, intelligents, parfaitement disciplinés. Ils servent mon objectif d’auteur et ne sont aucunement représentatifs de ce qu’un cours réel pourrait être. Mon objectif est de faire passer un message au lecteur, de lui proposer une expérience, de susciter d’autres questions, voire d’inviter à aller plus loin dans un groupe de discussion. Si j’avais opté pour une classe de cancres, il m’eut fallu mille pages de plus pour arriver au même résultat.

Le parcours éducatif proposé dans cet ouvrage constitue donc (tant pour le lecteur que pour l’animateur qui souhaiterait s’en inspirer) un programme visant à développer la capacité de voir, de ressentir, d’écouter, d’entendre, d’apprécier correctement, d’identifier ses besoins, de formuler des demandes, de « prendre responsabilité » (expression qui sera précisée) , de se prendre en charge, de penser juste, d’agir, de s’exprimer, d’explorer son pouvoir sur les autres et surtout sur soi-même. Tout cela s’apprend, par le jeu et la dynamique de groupe.

Mon souhait évidemment est que ce type de travail soit largement intégré dans les programmes scolaires, comme le besoin s’en fait d’ailleurs ressentir de plus en plus clairement. Jusqu’à présent les éducateurs n’ont eu accès, au mieux, qu’à des outils hétéroclites, incomplets, difficiles à utiliser ou exigeant de leur part une adaptation dont ils n’ont pas nécessairement les moyens. Cet ouvrage espère combler une lacune et rendre le travail abordable sans aucune compétence particulière autre que celle liée au métier d’enseignant ou d’animateur. De plus, l’outil proposé n’est pas incompatible avec d’autres approches. Quelle que soit la formation de l’animateur, il trouvera dans les pages qui suivent un support pédagogique performant. Et bien entendu s’il a pu suivre une formation spécifique dans le domaine du développement personnel, telle que PNL, Sophrologie, Analyse Transactionnelle ou autre, cela lui sera d’une grande utilité.

Simples et efficaces, les outils proposés peuvent d’ailleurs être utilisés dans toute configuration d’animation, que ce soit à l’école ou en dehors, avec des enfants, des jeunes ou des adultes. Mais l’école constitue un contexte idéal. C’est là que les jeunes passent la plus grande partie de leur temps, là qu’ils ont leurs repères dans des groupes stables et homogènes, là qu’ils rencontrent leur premiers défis relationnels. C’est évidemment là que l’Education a sa place, celle qui englobe tous les apprentissages indispensables pour devenir un être humain accompli.

Un de mes amis, rompu au développement personnel, m’a déclaré après avoir lu le manuscrit : « J’ai eu l’occasion de pratiquer la plupart des exercices décrits, sous une forme plus ou moins analogue. Ils m’ont toujours beaucoup appris, soit au moment même, soit par après. Mais moi je les ai faits sur le tard. Il m’eut été bien plus profitable d’acquérir quelques-unes de ces compétences avant que je ne bousille la moitié de mon existence ! »

J’ai voulu proposer un outil prêt à l’emploi, un modèle suscitant et encadrant l’expérience, afin que l’apprentissage ne se résume pas à une approche purement intellectuelle.

Je n’ai pas la prétention d’avoir inventé une pédagogie « nouvelle ». Ce livre s’inspire de nombreuses écoles, impossibles à énumérer toutes. Ce serait d’ailleurs inutile. Certes j’ai créé et imaginé de nombreux exercices, mais fondamentalement je n’invente rien. Et je ne prétends pas davantage être complet. Mon souci a été de rassembler dans un approche pédagogique cohérente le meilleur de ce qui a été fait, imaginé et expérimenté dans les différentes écoles de développement personnel depuis des décennies.

Ce livre s’adresse en premier lieu aux jeunes et adolescents, dès l’âge de 12-13 ans et idéalement aux grands adolescents. Il leur est destiné, comme outil et comme guide.

Il s’adresse ensuite aux enseignants, animateurs et formateurs. Ils trouveront ici un modèle qui leur permettra en même temps de se former, de préparer et d’animer leurs propres sessions. Un complément est fourni en annexe, contenant des directives d’animation, ainsi qu’un index des jeux et activités. N’importe quel enseignant motivé et désireux de progresser lui-même dans la voie de l’Education Emotionnelle peut pratiquer cet outil.

Enfin ce livre s’adresse aussi à toute personne qui souhaite apprendre et s’enrichir, et particulièrement aux parents, bien entendu. Pour eux-mêmes, pour le couple et pour la famille. Les outils et apprentissages présentés se révéleront essentiels pour l’éducation autant que pour la communication au sein du couple. Mais surtout, s’ils ne veulent pas être rapidement déphasés par rapport à leurs enfants, il leur faudra acquérir des compétences que ce vingt-et-unième siècle ne permettra plus d’ignorer. Les enfants d’aujourd’hui, dirigeants de demain, sont porteurs de responsabilités énormes face à la complexité des défis planétaires. Ils sauront, eux, trouver ce qu’il leur faut pour s’armer correctement face à ces défis. Et il appartiendra à leurs parents de ne pas se laisser distancer. On voit aujourd’hui émerger une génération d’enfants pour qui certains apprentissages semblent ne poser aucun problème. Ils se familiarisent aux ordinateurs et appareils électroniques avec une déconcertante facilité. Gageons qu’ils feront preuve de tout autant d’aisance dans le domaine de l’Education Emotionnelle. « 


241Michel CLAEYS BOUUAERT

Né en Belgique en 1950, père de 4 enfants. Juriste et criminologue de formation, Michel Claeys Bouuaert s’est tourné vers l’éducation et le développement personnel lorsque les perspectives offertes par la carrière juridique lui parurent de nature à l’enfermer dans un système dont il s’accommodait difficilement. Il vécut, vers la fin des années 70, en Ecosse et aux USA, dans la mouvance du « développement du potentiel humain ». Il eut l’occasion d’explorer un grand nombre d’outils nouveaux, se familiarisant avec l’animation de groupes et le travail sur soi. Les années 80 le voient s’installer à Bruxelles avec sa famille et gérer un centre axé sur le développement personnel. En 1992 il fonde l’association Deuil et Transition, offrant une permanence téléphonique et accompagnant les personnes en situation de rupture ou de deuil. Depuis le début des années 90 il travaille comme psychothérapeute indépendant. En 2000, ses quatre enfants ayant grandi et menant désormais une vie plus autonome, il s’installe avec son épouse à Pékin. Il s’y consacre à introduire des outils pédagogiques et psychologiques auprès des éditeurs chinois. Il fait également l’expérience de l’enseignement à l’Ecole Internationale de Pékin. L’introduction d’une Education Emotionnelle dans les écoles est un objectif sur lequel il travaille depuis de nombreuses années. Il poursuit aujourd’hui à Pékin son travail de psychothérapeute, d’éducateur et d’animateur de stages.

de Michel Claeys Bouuaert,

 

Pour commander le livre : http://www.souffledor.fr/

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Le Vrai visage de la Vie ne se dévoile qu’à ceux qui le cherchent

Posté par othoharmonie le 29 février 2016

 

Oui, je sais… une incroyable quantité d’ouvrages divers nous disent tous cette même chose ; votre esprit peu tout ! oui… et malgré cette affirmation répétée, vous ne savez toujours pas comment vous y prendre pour développer en vous cette énergie formidable de vos forces créatrices. Je vais donc être extrêmement précise et vous donner ici une méthode très claire en 5 points qui va vous permettre d’épanouir en vous-même votre force intérieure.

ESPACE

Faites votre ménage intérieur

La première chose à bien comprendre, c’est que nous partageons avec tous les autres êtres humains les soucis et les problèmes de ce monde. Quoi qu’il puisse vous arriver en ce moment, la même chose est déjà arrivée à d’autres gens, en d’autres lieux, à d’autres époques. Vous n’êtes pas seul(e) avec vos problèmes. Lorsque vous aurez bien compris et surtout bien assimilé cette pensée, elle vous permettra de relativiser ce qui peut vous arriver de désagréable.

Faites votre « ménage intérieur » car vous seul(e) pouvez le faire ! acceptez dès maintenant l’idée que ce qui vous arrive n’a rien de particulier et que bien d’autres personnes que vous, ont vécu la même choses. Cette simple attitude mentale va vous permettre d’ouvrir devant vous les chemins de la liberté. Votre être intérieur, votre personnalité réelle va peu à peu s’éveiller et bientôt, vous serez celui ou celle qui sait puiser le bonheur à sa source.

Votre bonne attitude envers la vie

L’armée des mécontents de la vie est immense. Et ces éternels « mécontents de tout » ne s’aperçoivent même pas que c’est leur attitude négative devant la vie qui fait leur malheur dans un enchaînement constant de causes à effets. En fait, ils sont très nombreux ceux qui croient vivre alors qu’ils ne font médiocrement que s’empêcher de mourir. Mais vous, si vous comprenez bien l’effort sur vous-même qu’il convient de faire, vous n’appartiendrez pas ou plus à cette cohorte de défaitistes qui hélas sont de plus en plus nombreux. Commencez ce travail sur vous-même (après avoir bien fait votre ménage intérieur) en ayant une attitude positive devant la vie. Le but est pour vous de transformer les circonstances extérieures grâce à votre fois constante en vous-même. Vous devez arriver à n’avoir QUE des pensées positives.

Si vous entreprenez une affaire nouvelle, n’ayez aucun doute sur son succès. Si un obstacle survient, pensez « j’y parviendrai quand même ». Ayez toute confiance en vous en sachant que votre nouvelle façon de regarder la vie va attirer, « aimanter » le succès que vous attendez.

Votre nouvelle vie

Le vrai visage de la vie ne se dévoile qu’à ceux qui font l’effort nécessaire de le chercher en affirmant sans cesse sa beauté. Allez-y ! n’ayez pas peur. Chassez le doute ou les vaines angoisses. Lorsque votre transformation intérieure sera faite, la transformation des circonstances extérieures suivra d’elle-même. Affirmez que la vie est belle. Affirmez que vous êtes heureux (se) même si ce n’est pas encore le cas aujourd’hui. Affirmez le bien, toujours et partout. Vous verrez ainsi votre horizon d’élargir en même temps que les circonstances extérieures vous deviendront favorables.

L’esprit léger

Souvenez-vous d’un moment particulièrement heureux de votre vie ; comme vous vous sentiez léger(re) pendant ces instants là ! eh bien, qui vous empêche de retrouver cette sensation aujourd’hui même ? Quels sont les filets qui vous retiennent ? Qui vous empêche d’avoir la légèreté de l’esprit ? Qui sinon la seule personne capable de vous brimer réellement, c’est à dire vous-même. Rendez votre lumineuse par votre légèreté d’esprit et cette attitude mentale sera suffisante pour « aimanter » le bonheur.

Votre meilleure amie : LA VIE

L’esprit est tout : « Ce que tu penses, tu le deviens » disait déjà Bouddha et c’est tellement vrai. L’idée crée la réalité. Ce que vous pensez devient partie intégrante de vous-même et de votre vie. Alors, vous le savez maintenant, TOUT dépend de vous et seulement de VOUS. Vos succès à venir sont entre vos mains car ils dépendent en tout premier lieu de votre manière de penser.

Et à ceux qui penseraient lire ici des paroles en l’air…. Je répondrai : C’est mon expérience ! Car oser vivre spirituellement, c’est oser le vrai bonheur !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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CHAQUE EXCES EST SIGNE DE MANQUE

Posté par othoharmonie le 22 février 2016

 

Qu’est-ce que la jalousie ? Voici donc quelqu’un qui possède quelque chose que je ne possède pas. Voici donc quelqu’un qui sait faire quelque chose que je ne sais pas faire. Voici donc quelqu’un qui ose effectivement quelque chose que je n’ose pas.

Posséder, savoir faire, oser. C’est ainsi que l’on fabrique des dieux. C’est ainsi que nous donnons du pouvoir aux autres. C’est ainsi que nous nous rendons esclaves ou pour le formuler en termes modernes, c’est ainsi que nous critiquons. Or, cette critique diffère-t-elle d’une tristesse déguisée ou d’un adieu à nos capacités personnelles, aux moyens qui nous sont donnés personnellement ?

vague

Lorsque nous critiquons certaines caractéristique sou un certain comportement ; ne nous rendons-nous donc pas compte que nous souhaitons en fait nous comporter exactement de la même manière que l’autre, ou que nous venons de sortir de cette phase il n’y a pas encore longtemps ? Est-ce que nous ne trouvons pas que l’autre a ceci ou cela de trop, pour la simple raison que ceci ou cela nous manque ?

Toute critique d’un excès chez autrui nous indique nos seuils de vulnérabilité, d’inachèvement. Acceptez donc tout simplement ce que réalise ou possède l’autre : pour quelles raisons en a-t-il besoin. En supposant que vous soyez dans la même situation ou dans une situation comparable, vous en auriez également besoin. Mais demandez-vous surtout si vous en auriez véritablement besoin.

Si vous trouvez excessif que quelqu’un d’autre conduise une voiture de luxe, demandez-vous si vous avez suffisamment conscience de vous-même ; et si vous n’avez pas en fait le même besoin que l’autre.

Si vous trouvez excessif que quelqu’un parte cinq fois par an en vacances, demandez-vous ce que représente pour vous, votre intérieur ; et pour l’autre, le sien.

Ensuite regardez de près ce dont l’autre n’a pas assez. Chaque excès chez une personne est le signe d’un manque ; d’un trop peu ; cela se reconnaît toujours à son contraire. Trop d’affairement – trop peu de temps livre. Trop de sexe – trop peu d’amour. Trop de fête – trop peu de calme et de repos.

Vu sous cet angle, ne pensez-vous pas que vous pouvez vous estimer satisfait avec le soi-disant peu que vous avez ?

Chacun de nous a certainement joué un jour à ce jeu de devinette quelque peu éprouvant qui consiste à trouver ce que telle situation signifie pour moi.

Il n’est pas difficile de pousser la question jusqu’au fatalisme, de voir dans chaque mirage un message personnel de l’univers, sans remarquer que notre propre vis à vis « a quelque chose à nous dire » (qu’il le veuille ou non).

Nous nous entourons tous de personnes qui d’une manière ou d’une autre nous communiquent des messages. « Le comportement de l’autre est toujours une expérience pour moi. Mon comportement est une expérience pour lui. Je te vois et tu me vois. Je fais l’expérience de toi et tu fais l’expérience de moi. Je vois ton comportement et tu vois mon comportement. Mais je ne vois pas quelle expérience tu fais de moi ; de même que tu ne vois pas l’expérience que je fais de toi », L’expérience que nous faisons en général et que l’autre, notre miroir, nous confirme, est la suivante :

Ce que j’aime chez l’autre, c’est moi-même ; ce que je rejette chez l’autre, c’est moi-même.

Il est étonnant de voir avec quelle rapidité nous pouvons nous défaire de certains de nos « défauts » du seul fait que nous les reconnaissions chez l’autre. Bien sûr, nous pouvons de la même manière apprendre à aimer des faiblesses en nous parce qu’elles nous rendent si semblables à l’autre. Citons Laing : « Mais je ne vois pas l’expérience que tu fais de moi, et de même, tu ne vois pas l’expérience que je fais de toi ».

Lorsque cela est nécessaire pour l’exploration de nous-mêmes, le reflet de notre miroir change ; nous changeons d’ami, de travail, d’appartement et, après vingt ans de vacances au même endroit, peut-être aussi de lieu de villégiature. Chaque changement nous conduit un peu plus loin, nous rapproche un peu plus de nous-mêmes. Les miroirs ne deviennent aveugles que lorsqu’ils sont vieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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CHACUN PORTE SON UNIVERS DANS SON CŒUR

Posté par othoharmonie le 9 février 2016

 

Un-vieil-homme

 

Un vieil homme était assis à l’entrée d’une ville.

Un étranger venu de loin s’approche et lui demande : 
« Je ne connais pas cette cité. Comment sont les gens qui vivent ici ? »
Le vieil homme lui répond par une question :
« Comment sont les habitants de la ville d’où tu viens ? »
« Egoïstes et méchants, lui dit l’étranger. C’est pour cette raison que je suis parti »
« Tu trouveras les mêmes ici » lui répond le vieillard.

Un peu plus tard, un autre étranger s’approche du vieil homme.
« Je viens de loin, lui dit-il. Dis-moi comment sont les gens qui vivent ici ? »
Le vieil homme lui répond :
« Comment sont les habitants de la ville d’où tu viens ? »
« Bons et accueillants, lui dit l’étranger. J’avais de nombreux amis, j’ai eu de la peine à les quitter. »
Le vieil homme lui sourit :
« Tu trouveras les mêmes ici. »

Un vendeur de chameaux avait suivi les deux scènes de loin. Il s’approche du vieillard :
« Comment peux-tu dire à ces deux étrangers deux choses opposées ? »
Et le vieillard lui répond :
« Parce que chacun porte son univers dans son cœur. Le regard que nous portons sur le monde n’est pas le monde lui-même, mais le monde tel que nous le percevons. Un homme heureux quelque part sera heureux partout. Un homme malheureux quelque part sera malheureux partout. »

Histoire issue de la tradition soufie, reprise dans l’excellent livre de Frédéric LENOIR : « La puissance de la Joie ».

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L’intuition et les sens spirituels

Posté par othoharmonie le 7 février 2016

 

Levons un premier voile : si nous possédons des sens physiques, notre perception s’établie aussi sur des sens plus subtils ; les sens spirituels. A côté de la vision offerte par nos simples yeux de chair, nous pouvons contacter une vision profonde offerte par notre esprit. Les recherches en imagerie médicale démontrent que loin d’être opposés le mental et l’intuition seraient deux modes de perception juxtaposés qui concernerait des câblages neuronaux différents. Désormais, mental et intuition apparaissent même aux yeux des scientifiques les plus matérialistes comme deux modes de perception permettant une réalité augmentée. Biologiquement, nos 5 sens physiques – tous reliés les uns aux autres – seraient captés par notre cerveau gauche dont le but est de réfléchir(situer notre sentiment du moi ou, en d’autre termes, alimenter notre fameux Ego). C’est dans le cerveau droit que la Conscience serait générée : l’action de ressentir s’y ferait par nos cinq sens spirituels que sont la claire vision, la claire audition, la télépathie, la prémonition, et la préscience ; autant de facettes qui constituent le diamant de l’intuition ; appelée aussi « voie du cœur » par de nombreuses traditions spirituelles.

Intuition

La voie du cœur et ses mystères révélés

Selon Pascal, « le cœur à ses raisons que la raison ne connaît pas ». Parler avec son cœur, avoir le cœur sur la main, voir avec le cœur ; lorsqu’il s’agit de cœur notre langage ne manque pas d’expression nous encourageant à l’écouter. Suivre son cœur serait –il la clef pour construire une vie pleine de sens ? Le cœur est le siège de l’âme. On ne dit pas je t’aime de toute ma tête ! Le cœur est la graine de l’âme, les messages arrivent déjà dans le cœur puis circulent vers le mental et le corps. Cela transcende la personnalité ! Comme le dit Amit Goswami qui étudie la résonnance quantique. Vous avez une intention, identifiez d’ou elle vient ? Qui lui parle : votre égo (mental) ou votre cœur (intuition) ? 

Le cœur devrait être le maître et le mental le serviteur.

Le cœur devrait être le maître et le mental le serviteur. Si c’est le cœur qui vous guide vous expérimenterez la synchronicité des événements ! En effet, comme le démontrent les recherches de l’Institut Heath Math, de façon subliminale le cœur perçoit l’intensité des images avant leur arrivée. L’intelligence du cœur est formée par le flux intelligent de conscience et d’intuition que nous ressentons lorsque le mental et les émotions se trouvent dans un état d’équilibre… L’intuition serait alors, comme le confie le docteur Paul Bernstein une « intelligence qui commettrait un excès de vitesse » !

Levée du deuxième voile : par sa fulgurance l’intuition permet de rejoindre l’essence du monde. Tel que le résume Fréderic Lenoir : « le monde est constitué d’éléments invisibles et subtils que nous ne pouvons percevoir qu’avec notre cœur, ou notre intuition ». Comment affiner cette claire vision ? Comment y parvenir si ce n’est en retournant à l’essentiel ? En tant que prédateurs convaincus de notre supériorité, nous avons des rapports difficiles avec notre environnement naturel. Saturés par des environnements dénaturés devenus des terrains propices à la rumination mentale; Il semblerait que le chemin le plus long à emprunter soit celui qui nous fasse redescendre de la tête vers le cœur… 

Intuition et intelligence du vivant

De tout temps les chamanes et les mystiques se sont retrouvés dans la nature pour se trouver en se connectant à l’âme du monde (Anima Mundi) ; cependant la voie du cœur n’est pas l’apanage de quelque uns… Selon Eckart Tolle de plus en plus de personnes sont reliées dans le cœur. « Il n’y a rien de plus important que de trouver sa mission de vie ; et cette mission ne se pense pas, il faut la ressentir. 

Il n’y a rien de plus important que de trouver sa mission de vie.

Pour la ressentir ; il faut la vivre par le cœur. La question principale est qu’est ce que je souhaite dans ma vie ? Ou plutôt qu’est ce que la vie veut de moi ? Et pour trouver cette réponse, il faut trouver le calme. Comment ? Allez au cœur de la nature » ! L’intuition serait comme un diamant brut – et tel que le partage Leila Del Monte qui pratique la Communication Animale (en se mettant en empathie grâce à son intuition) - « Cela prends du temps pour en faire un joyau ! Ne pas projeter ses opinions et pensées : cette recherche de clarté est avant tout un travail de conscience et de quiétude intérieure dont la nature est le meilleur exemple ».

En effet, pourquoi les humains seraient-ils les seuls à posséder une intelligence et à prendre des décisions en toute autonomie ? A l’instar d’un nombre croissant de recherches croisant la science et le chamanisme dans Intelligence dans la nature Jeremy Narby montre que les bactéries, les plantes, les animaux et les autres formes de vie non humaines font preuve d’une étonnante propension à prendre des décisions déterminant leurs actions. Ils savent, sans pour autant réfléchir… Des moisissures visqueuses unicellulaires peuvent résoudre des labyrinthes. Les abeilles, dont le cerveau a la taille d’une tête d’épingle, font usage de concepts abstraits… La nature fourmille d’exemples montrant le rôle prépondérant de la Conscience. S’inspirer du vivant, respirer dans le vivant pour recréer en nous une harmonie perdue? Pour rejoindre des mondes plus subtils la nature nous permet de retrouver la spontanéité du non réfléchir. Relaxons-nous tout n’a pas besoin d’être sous contrôle ! 

Jouer avec la musique du hasard

Levée du dernier voile : l’intuition fait partie de notre nature, l’intuition se retrouve dans la nature ; mais surtout l’intuition est un jeu. En nous permettant de nous pacifier, de franchir la barrière de l’intellect, elle fait de nous des magiciens. Selon Jean-François Vézina, psychothérapeute : « Nous sommes en permanence situés dans le pôle nord du mental, là où tout est froid et gelé. Or connecter son intuition, c’est rencontrer la capacité à jouer la vie, plutôt qu’être jouée par elle. » L’histoire de Jean Baptiste Pape réalisateur du film L’infinie puissance du cœur est éloquente. A 30 ans cet avocat réputé se voit proposé une promotion internationale ; cependant sa vie manque de sens. Il se donne une semaine pour méditer à sa mission de vie. « J’avais entendu le message de Eckart Tolle.

Il me fallait aller dans la nature. Dans un grand parc, j’ai posé la question qu’est-ce que la vie veut de moi ? Rien. Je me suis mis à répéter cette phrase comme un mantra. Toujours rien ; je rageais ! Un orage s’est mis à éclater. Je me suis réfugié sous d’immenses arbres. J’ai entendu dans mon cœur un bruit assourdissant, comme un os qui se cassait. J’ai cru mourir. Et j’ai pensé ça doit être ce que la vie attends de moi… Seul je me suis mis à pleurer comme jamais, j’étais envahi par un sentiment de clarté, d’amour, j’avais l’impression d’être revenu chez moi. C’est naturellement que m’est venu l’idée de faire un documentaire sur l’infinie puissance du cœur. J’ai commencé rencontrer des producteurs. Ils me croyaient fou. Un avocat qui veux faire des films ! Je me suis pris au jeu… Que d’aventures. Cela m’a pris 5 ans ; c’était le temps nécessaire pour que je me reconnecte à mon cœur. Vous êtes sur une rivière le cerveau, voit le prochain tournant, or le cœur voit la rivière de la source à la mer ; c’est cela la sagesse du cœur : un jeu de la nature qui invite à lâcher prise » !

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La communication avec Dieu

Posté par othoharmonie le 31 janvier 2016

 

Parlons de la prochaine « communication ». Pourquoi est-ce que vous voulez humaniser Dieu ? Il y a quelques instants, je vous ai dit que vous étiez parfois portés à placer Dieu en dehors ou à part vous, que vous lui donniez un genre masculin, portant une barbe et ayant une voix de stentor. Vous le voyez comme étant plus vieux que vous, comme un ancêtre, vous l’adorez et faites des statues de lui, ayant une forme humaine. Dieu est à l’intérieur ! Chaque parcelle de votre ADN a cette énergie en elle. Environ 100 billions de parcelles d’ADN [un billion = un million de millions, en français. En anglais, un billion est appelé un trillion]. Il y a une conscience et même une communication entre les molécules d’ADN, mais la science ne l’a pas encore constaté. Dieu est en vous ! Alors, pourquoi le fragmenter et lui construire des édifices où il sera restreint à cet environnement ?

autre dimension

Permettez-moi vous demander quelque chose. Imaginons que vous entrez dans l’un de vos organes. L’exercice du moment sera d’entrer dans l’un de vos reins, afin de lui parler. Est-ce que vous commenceriez par lui construire un édifice géant, afin de pouvoir l’adorer ? Pourquoi feriez-vous une telle chose, puisque vos reins sont en vous, à l’intérieur de votre propre corps physique ? C’est parce que vous voyez ou percevez Dieu comme étant une source extérieure qui vient vers vous, au lieu d’une source intérieure qui EST VOUS et qui provient de VOUS. De notre point de vue, la limitation 3-D de votre divinité en incarnation est très drôle, mais elle est très utile à la Création. Ne l’oubliez jamais. Donc, c’est une question de perception divine. Ne pensez-vous pas qu’il serait peut-être temps de changer la perception de votre propre Divinité Intérieure ? Lorsque vous le ferez, que vous ouvrirez vos yeux quantiques et que vous vous regarderez dans le miroir, vous direz :  » Je suis ce que je suis. Je suis Dieu, et tout le monde l’est !  » Oh oui ! Je sais que c’est plus facile à dire qu’à réaliser, lorsque vous êtes dans un corps physique limité à la 3-D. Chers Êtres Humains, cela demande que vous sortiez de l’ancienne réalité de « victimisation », de la réalité qui vous plaçait dans un état d’esclavage, auprès d’un Dieu quelconque.

Voyez-vous ce que je tente d’expliquer avec mes métaphores, adages ou axiomes, car ils vont plus loin que la limitation des mots 3-D ? Il est temps que vous changiez l’image que vous voyez de vous-mêmes ! Lorsque ce sera chose accomplie, vos yeux vont s’ouvrir. En vous regardant dans le miroir, vous direz :  » Je suis qui je suis. Dieu est en moi.  » Je sais que ce n’est pas une chose facile à faire et à comprendre pleinement, lorsque vous jouez le rôle d’un Être Humain. Cela demande de sortir de l’ancienne réalité qui dit que l’Être Humain est inférieur à Dieu et qu’il doit s’y soumettre, sous peine de damnation éternelle [selon certaines religions humaines].

Que dit votre culture au sujet de votre divinité ? Tout ce que vous voyez dans les médias vous dit, parfois indirectement et subtilement, que vous n’avez pas le plein contrôle de votre vie physique. Ils disent que vous avez besoin de ceci ou de cela. Avez-vous déjà vu une publicité où ils vous regardent et disent:  » Vous n’avez besoin de rien, sauf de vous-mêmes. Alors, qu’attendez-vous pour passer à l’action ?  » Non.

Quelle est la meilleure manière de communiquer avec l’Esprit ? Permettez-moi de vous faire une « p’tite » suggestion. Vous devez commencer par « tomber ou plutôt vous élever en amour » avec vous-mêmes. C’est la clé. C’est le portail. Il est normal d’avoir Dieu en vous. Vous n’êtes pas nés en état d’infériorité, de déchéance ou avec le « péché originel », selon certaines religions humaines. Vous naissez dans toute votre magnificence. Oui, dans toute votre magnificence ! Si vous avez découvert et appliqué votre magnificence, sachez que ce n’est pas le produit de l’égo. Vous êtes axés plutôt sur l’amour que sur l’ego, et cela fait toute la différence. Vous percevez et aimez votre vous-même de la même manière que vous le faites avec Dieu. Votre équilibre vous permet de maintenir votre lumière – même dans les endroits obscurs. Vous ne permettez plus que l’ancienne énergie et l’obscurité parviennent à faire diminuer votre lumière. En outre, vous ne permettez plus à l’ego d’avoir le contrôle de vos vies. Les maîtres l’ont fait et enseigné. Lorsque vous reconnaissez votre propre créativité divine, celle qui est en vous, alors, la communication avec Dieu devient un automatisme. Ceci ouvre le portail.

KRYEON – Extraits du channeling « L’humanisation de Dieu » sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Donner le meilleur de soi

Posté par othoharmonie le 29 janvier 2016

 

Beaucoup d’entre vous souhaitent s’aligner sur la lumière qu’ils sont au niveau le plus profond, exister à partir de la Source, donner et rayonner dans ce monde. Ressentez la Source de l’intérieur de vous, car elle irrigue toutes vos cellules. Elle relie toutes choses en vous, bien que vous ne puissiez la voir. S’il vous plaît, ressentez-la maintenant, ressentez ce flot vivant qui vous porte. La vie sait quelle est votre place et quel est votre rôle. Ressentez votre désir d’incarner ce qu’il y a de meilleur en vous, votre valeur la plus haute, l’ange de lumière que vous êtes en vérité, indépendant du temps et de l’espace.

1 perle

Vous êtes ici temporairement, dans ce corps, afin de pouvoir apporter la lumière que vous êtes en ce lieu. La Terre est un lieu que vous aimez. Ressentez cela. Ressentez à quel point vous êtes reliés au coeur de la Terre, en profondeur.

Lâchez prise des pensées concernant les difficultés de la vie terrestre et les aspects sombres de la société humaine auxquels vous êtes confrontés. Reliez-vous à la Terre elle-même, à l’essence de la planète, uniquement. Pensez aux forêts immenses, aux océans, au vaste ciel. Pensez à l’abondance d’animaux, d’arbres, de plantes et de fleurs. Reliez-vous à la Terre et ressentez la façon dont elle s’inscrit dans l’entièreté du cosmos, au sein duquel elle trace son chemin.
Il y a une place pour vous, ici et maintenant, sur Terre. Croyez en vous, sachez que vous êtes reliés au Tout et qu’il y a un chemin qui vous mène à la manifestation de votre soi suprême.

Comment trouver ce chemin ? Et comment saurez-vous que vous déployez et manifestez le meilleur de vous ? Je vais vous parler de trois critères qui vous permettront de reconnaître si vous donnez le meilleur de vous.

Le caractère unique de ce que vous donnez de meilleur

Premier critère : le meilleur de vous, ce que vous pouvez donner de plus élevé sur Terre, vous est unique. Votre contribution est une combinaison unique de caractéristiques et de qualités, avec une vibration et une tonalité qui lui sont propres. Essentiellement, c’est vous que vous donnez. Ce que vous pouvez donner de meilleur, c’est vous ! Ce qui vous distingue, ce n’est pas ce que vous avez appris des autres, tels que des savoir-faire ou des connaissances. Ce que vous pouvez donner de meilleur ne provient pas de quelque chose d’extérieur. Non, c’est vous qui êtes le lien décisif.

Certes, vous avez acquis des connaissances et des informations provenant d’autres personnes, de livres ou de par votre éducation. Certes, vous êtes formés par votre culture et la façon dont vous avez été élevés. Mais vous avez intégré ces influences à votre nature d’une façon qui vous est propre. À cause de tout ce que vous avez traversé dans votre vie, dans celle-ci et celles d’avant, vous possédez un charisme unique. Vous projetez votre lumière sur la vie à votre façon. Les gens sont attirés par cette lumière unique. C’est la lumière qui brille à partir de votre place sur terre, c’est la lumière qui vous fait rayonner.

Votre lumière unique est un mélange de qualités terrestres et célestes. Dans cette vie, vous êtes homme ou femme, vous avez tel type d’éducation. Vous êtes formés par la vision du monde de la société dans laquelle vous vivez. Et c’est très bien ainsi, car cette formation vous a aidés à acquérir une connaissance intime de la vie humaine. En traversant toutes ces expériences difficiles, vous avez obtenu une compréhension intime de ce qu’un être humain peut ressentir en faisant l’expérience de toutes les fluctuations émotionnelles. Tout au long de votre voyage d’exploration, par l’alternance de lumière et d’obscurité, vous avez tracé un chemin unique. Par conséquent, ce que vous avez à donner aux autres est aussi un mélange unique de qualités.

Maintenez toujours votre individualité dans le secteur de la créativité et du travail ! Peu importe ce que vous faites, boulanger, enseignant, artiste ou thérapeute spirituel, donner le meilleur de soi signifie exprimer votre individualité et la partager avec le monde entier. Le monde est incomplet sans vous. L’univers attend votre contribution plutôt qu’une copie ou une reproduction que vous avez faites de la contribution de quelqu’un d’autre. L’univers veut vous encourager à laisser couler votre énergie unique. Par conséquent, incarner ce que vous êtes de plus élevé se réfère à être vous-mêmes et exprimer votre individualité.

Donner le meilleur de soi c’est recevoir le meilleur pour soi

Second critère : donner le meilleur de soi implique toujours le fait de recevoir le meilleur pour soi. Ces deux courants sont en fait inextricablement mêlés.
Lorsque vous laissez rayonner votre lumière unique, que vous ouvrez votre coeur et que vous donnez à partir de votre coeur, vous faites l’expérience d’une satisfaction et d’une plénitude profondes. Vous vous autorisez à être complètement vous-mêmes, à laisser rayonner votre lumière sans restrictions. Vous sentez que c’est juste, naturel et sincère d’agir ainsi.

Lorsque vous faites don de vous-mêmes de façon aussi ouverte et libre, vous recevez en retour quelque chose de très spécial. Le plus grand présent que vous recevez c’est que vous rentrez chez vous ! Dès l’instant où vous êtes vraiment vous-mêmes, vous êtes naturellement unis au grand Tout, à Dieu ! Vous êtes chez vous et en même temps, avec l’univers. Vous ne portez aucun jugement sur vous ou sur les autres. Plus de jugement qui sépare. Vous êtes Unité.

En osant être vrais envers vous-mêmes et exprimer le meilleur de vous dans le monde extérieur, vous attirez de bonnes choses dans votre vie. Les biens matériels nécessaires et les personnes adéquates apparaissent automatiquement. L’univers vous apporte soutien et nourriture. Il vous offre les circonstances adéquates pour manifester l’énergie de votre âme. Ainsi, le courant du don reçoit en réponse le courant de réception qui vous plénifie et vous enrichit dans tous les secteurs de la vie. Au niveau le plus profond, c’est vous qui vous êtes donné tout cela en ayant le courage de laisser rayonner votre lumière. La vie vous dit oui de tout coeur si vous dites oui à la vie sans restrictions.

La création toute entière, au sein de laquelle nous avons tous un rôle à jouer, ressemble à un gigantesque jeu de puzzle et chacun de nous représente une pièce. Le puzzle n’est pas complet sans vous. Dès l’instant où la pièce de puzzle que vous êtes se met à la bonne place, vous contribuez au puzzle d’une façon que personne d’autre ne peut faire. À cet instant précis, vous recevez aussi quelque chose de très précieux : vous rentrez chez vous. Vous vous sentez en harmonie avec la Totalité, vous avez le sentiment que la vie vous soutient et que vous êtes en sûreté. Vous savez que votre contribution est essentielle et vous avez l’impression que la Totalité vous reçoit avec joie et appréciation.

Donner le meilleur de soi, c’est dire oui à soi-même, de façon profonde, et vous autoriser à recevoir tout ce dont vous avez besoin pour vous épanouir et rayonner. Donner le meilleur de soi, en fait, signifie que vous n’êtes plus séparés du Tout. Vous n’êtes pas un ego, pas un individu séparé à cet instant. La question « comment équilibrer les deux courants, celui du don et celui de la réception ? » Se dissout dans cet état d’être. L’équilibre est pris en charge automatiquement. Cela se produit naturellement.

Lorsque vous vous exprimez depuis la part de vous-mêmes la plus sincère, et que vous laissez rayonner votre lumière, vous êtes la lumière et la recevez en même temps. Telle est l’expérience d’Unité à laquelle vous aspirez tous.

Bien, peut-être vous posez-vous cette question : comment faire cela ? Comment puis-je m’aligner avec ce qu’il y a de meilleur en moi, mon présent unique, ma lumière véritable ?

Extrait de PAMELA KRIBBE SOURCE : http://www.jeshua.net/fr

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Le détachement intérieur et l’ouverture au divin

Posté par othoharmonie le 26 janvier 2016

 

le divinJ’aimerais ici vous raconter une petite histoire allégorique, tirée du plus récent livre de Peter Russell, The White Hole in Time, qui exprime fort joliment de quelle façon l’être humain peut arriver à se libérer de ses peurs et de ses conditionnements pour enfin goûter à la véritable liberté d’esprit d’un être illuminé. Nous sommes tous un peu, écrit Russell, comme un homme à qui on aurait dit toute sa vie de se tenir fermement à une corde et de ne pas la lâcher sous aucun prétexte au risque de tomber et mourir. Arrive un sage qui lui dit que la sécurité offerte par la corde est illusoire et que s’il consentait à prendre le risque de la relâcher un peu, il en éprouverait une joie profonde et une réelle sécurité. Un seul doigt d’abord lui suggère-t-il… Après quelques hésitations, l’homme se dit qu’il ne risque pas grand chose après tout pour goûter à un peu de béatitude et il tente le coup.

Comme promis il en ressent une grande joie, mais ce n’est pas suffisant pour amener un bonheur durable. Après avoir été ainsi encouragé par le sage à relâcher graduellement sa prise sur la corde, un doigt après l’autre, l’homme en arrive enfin à surmonter la grande peur qu’on lui avait inculquée et il relâche le dernier doigt qui le retenait à la corde. Son bonheur est total et, à sa grande surprise, plutôt que de tomber, il réalise qu’il est simplement debout sur le sol ferme et qu’il est enfin libre d’aller où bon lui semble. Il en est de même pour nous. Il suffit de relâcher peu à peu notre adhésion à la transe culturelle qui nous maintient dans une illusoire sécurité, pour accepter enfin le risque de découvrir l’univers d’un oeil différent et ainsi changer totalement notre perception sur tout ce qui nous entoure et surtout sur nous-même.

Ce lâcher-prise, si l’on s’y abandonne de tout notre coeur, nous ouvrira la porte sur un univers merveilleux où nous vivrons des instants véritablement divins. Survenant parfois comme par magie, par la grâce d’une conjonction unique de circonstances et de disponibilité intérieure, ces moments d’extase, toujours trop courts mais d’une indescriptible intensité fulgurante, marquent à tout jamais la conscience et laissent entrevoir l’extraordinaire conscience d’être et l’ineffable paix de l’âme qui nous attendent lorsque nous aurons retrouvé le Chemin qui mène à Dieu. Après avoir vécu de tels instants, l’on ne peut ensuite que trop bien réaliser à quel point nous sommes attachés à nos désirs, à nos craintes, à nos opinions et à tout ce qui nous maintient dans l’illusion.

La pratique du détachement, surtout le détachement du fruit de nos actions, et la découverte du Soi profond que de telles expériences nous amènent à faire, nous mettent alors sûrement sur la Voie royale menant à l’illumination de l’être. Nous cultivons l’art de vivre le moment présent, laissant de côté les souvenirs passés préoccupants et toute inquiétude face à l’avenir, demeurant indifférents au bavardage omniprésent de notre incessant dialogue intérieur, pour centrer toute notre attention au sein de la pure essence de notre être, dans la conscience du veilleur silencieux qui sait, observe et est. Ainsi libéré du fardeau de tout ce qui le retenait dans le monde phénoménal de la matière, notre esprit peut alors se tourner vers le véritable service, rire sereinement grâce à tous les petits bonheurs que la vie apporte et resplendir d’un amour inconditionnel et communicatif pour tous les êtres qui habitent l’univers où nous avons la joie de vivre.

Ce tableau idyllique ne doit cependant pas nous faire oublier où nous en sommes. Le chemin à parcourir est long. Une des meilleures façons de mettre à l’épreuve notre nouvelle conscience spirituelle naissante et de renforcer notre capacité d’harmonisation avec notre lumière intérieure, consiste à appliquer dans nos relations avec nos proches la compréhension plus large de la vie que nous découvrons. Ainsi, nous pouvons prendre conscience à quel point l’amour que nous professons pour notre partenaire de vie est souvent conditionnel à ce qui nous satisfait chez cette personne, spéciale à nos yeux : son apparence physique, sa manière de s’habiller, ses talents, son comportement, etc., toutes conditions qui font qu’elle comble nos attentes.

L’expression d’un amour dénué de toute forme de jugement, empreint de compassion et d’acceptation, durable et désintéressé, dans le contexte d’une relation de couple ou envers n’importe quel autre être, est à maints égards semblable à l’amour que Dieu nous porte – selon la conception que chacun de nous a de cet être. Toute relation entre deux êtres humains constitue donc le laboratoire où peut se faire notre propre libération des attaches et illusions qui nous emprisonnent. Notre conjoint peut en effet nous aider à devenir conscient de nos peurs cachées et de nos divers attachements psychologiques et ainsi favoriser notre croissance vers une plus grande maturité intérieure.

Il peut également nous aider à voir nos réactions négatives face aux conséquences de nos rêves illusoires, nous aider à reconnaître nos erreurs et nous éveiller à notre vérité intérieure. En pratiquant le pardon avec notre conjoint, nous apprendrons aussi à nous détacher de la croyance voulant que nos états émotifs, nos colères et nos sautes d’humeur soient causés par l’autre. Nous accepterons alors d’assumer la responsabilité de notre propre détresse et changerons notre perception face à la notion de faute de l’autre, qui n’est après tout rien de plus qu’une banale erreur d’apprentissage d’une personne encore prise au piège de l’illusion – tout comme nous d’ailleurs. De même, cette capacité de pardonner appliquée envers soi-même pourra atténuer tout sentiment de blâme démesuré contre nous ou de honte destructrice, et nous aidera à mieux se comprendre et s’aimer.

Extrait de L’ÉVEIL DE LA CONSCIENCE INTÉRIEURE par JEAN HUDON sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Ne vous fiez pas trop aux sons

Posté par othoharmonie le 24 janvier 2016

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Bien des gens sont presque fous d’émerveillement s’ils pronon­cent correctement « OM », Or, par lui-même, « OM » n’est rien, il ne signifie rien, et cela, même si vous le prononcez comme il doit l’être en sanscrit. Il est superflu de prononcer correctement une « expres­sion métaphysique du pouvoir », à moins que vous ne pensiez aussi correctement. 

Considérez ceci: pensez à votre émission de radio. Il y a certains sons qui, par eux-mêmes ne peuvent être diffusés qu’à l’aide d’une onde por­teuse. Celle-ci est pareille à la lumière nécessaire pour projeter une image cinématographique ou de télévision, ou vos diapositives sur un écran. Les diapositives en elles-mêmes ne sont rien sans la lumière. Il faut un rayon de lumière comme véhi­cule, et précisément de la même manière, il faut une onde porteuse pour diffuser votre programme de radio. 

La musique, la bonne musique peut exalter et éle­ver spirituellement. Elle peut inciter à croire davantage à l’honnêteté de ses compagnons. C’est certainement une réalisation des plus désirables en elle-même. Mais une musique conçue dans une intention particulière peut transformer une foule, ou une troupe avant le combat. Les chansons de route aident à marcher correctement et au prix d’efforts moindres. Mais maintenant, que s’est-il donc passé dans le monde? 

Si seulement les gens pensaient à aimer les autres, à leur témoigner indulgence et estime. Il n’est nullement nécessaire, nullement fatal que les choses continuent de la sorte. Il faudrait seulement que quelques person­nes décidées, aux intentions pures, produisent en musique et dans le langage les sons qui permet­traient à notre pauvre monde, si gravement éprouvé, de recouvrer quelque apparence de bon sens en remplacement du vandalisme et de’ la délinquance juvénile qui nous assaillent quotidien­nement. Il faudrait aussi une certaine censure de la presse; car la presse, presque sans exception, s’efforce toujours de présenter les choses de façon sensationnelle, les gens plus assoiffés de sang et les événements plus horribles qu’ils ne le sont dans la réalité. 

Pourquoi ne pas nous imposer une période de réflexion, rendue facile par la puissance des sons qui dirigent les pensées de bien des gens? Les sons, pourvu qu’ils s’inspirent d’une pensée. 

L’homme vit dans un monde très matériel et il ne croit qu’en ce qu’il peut saisir entre les doigts et le pouce. Les animaux n’ont pas de pouce et sont incapables de saisir un objet à deux mains; ils ont donc dû évo­luer spirituellement, et la plupart des animaux sont spirituels: ils ne tuent pas, sauf dans le cas d’absolue nécessité, pour manger. Et si un chat « terrorise et torture» une souris – eh bien! c’est là une erreur de l’homme – la souris est absolu­ment inconsciente de tout cela parce qu’elle est hypnotisée et ne ressent aucune douleur.

 

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Cultiver l’Harmonie Spirituelle

Posté par othoharmonie le 22 janvier 2016

libellule

Quand notre état de conscient a été purifié des déformations et des afflictions émotionnelles, quand l’ignorance est remplacée par la sagesse et la faiblesse par la force, alors le courant d’activités qui se manifeste spontanément donne naissance à une infinité de graines de bonheur et de joie.

Le bonheur spirituel n’est pas comparable à celui qu’apporte la réussite matérielle, politique ou sociale, qu’un changement de circonstances peut nous dérober à tout moment et dont, quoi qu’il arrive, nous devrons nous éparer au moment de la. Parce qu’il ne dépend pas seulement des conditions trompeuses que sont les ressources matérielles, un environnement particulier ou une situation spécifique, une fois que celles-ci sont retirées, il lui reste toujours ses autres supports.

Purifier l’esprit, c’est contrecarrer et déraciner toutes les sources des troubles émotionnels et de l’ignorance – qu’elles soient innées ou formée conceptuellement – ainsi que toutes les graines des tendances que nous avons accumulées dans notre courant de conscience depuis le début des temps. Lorsque les émotions sont totalement purifiées, les conditions mentales qui poussent à créer davantage de négatif n’existent plus ; et lorsque le s graines sont éliminées, on ne porte plus en soi de causes de frustration et de détresse. C’est pourquoi les personnes qui cherchent le bonheur et souhaitent vaincre la souffrance ont la sagesse de s’adonner de tout cœur à des pratiques spirituelles.

Maintenant que se présente cette occasion d’avoir un corps et un esprit humains et d’avoir rencontré de profonds enseignements nous devrions en tirer parti et nous engager dans la pratique de méthodes spirituelles. Si nous ne pratiquons pas maintenant, alors que nous avons une incarnation particulièrement appropriée pour atteindre l’éveil, quel espoir aurons-nous de progresser dans le futur ?

Contrairement aux animaux, nous, les êtres humains, avons la capacité de nous engager dans les plus hautes méditations et d’atteindre l’éveil en une vie. Mais nous ne bénéficions pas tous pour autant de l’ensemble des conditions nécessaires. Les personnes totalement absorbées dans des modes de vie négatifs ou dans la culture de fausses vues, ou celles qui naissent dans des contrées reculées, où les lignes d’instruction ne sont pas présentes, ne réunissent pas toutes ces conditions. L’absence de cette liberté fondamentale est un grand obstacle pour l’atteinte de l’éveil. Ceux d’ente nous uqi ont la possibilité d’étudier et de méditer ont une chance extraordinaire.

La vie humaine est rare et précieuse, mais également très impermanente. En ce moment même elle est en train de subir un changement continu. Si nous regardons autour de nous et nous demandons combien de nos amis et de nos connaissances sont morts au cours de la dernière année, l’immanquable réalité de notre nature impermanente nous deviendra évidente. D’une certaine manière, nous nous sentons très solides et nous imaginons la réalité de notre mort comme un fait très lointain. A chaque instant pourtant, elle s’approche furtivement de nous et personne ne peut même garantir que nous serons encore en vie ce soir.

Quand nous cherchons les sources de tous les problèmes auxquels la vie humaine nous confronte, nous invoquons habituellement toutes les causes sauf la cause première ; notre manque de discipline spirituelle et de réalisation. Particulièrement durant cette époque de dégénérescence où l’atmosphère générale du monde est si négative et où les conditions autour de nous favorisent surtout la production de distractions futiles, ne pas être protégé par la connaissance spirituelle équivaut à être totalement sans défense face à l’esprit négatif.

C’est maintenait le moment d’extraire l’essence de la vie. Nous devons regarder en direction des êtres éveillés, des lignées de transmission spirituelles et de la communauté des pratiquants accomplis, e t nous consacrer aux enseignements. Cela ne veut pas dire qu’aujourd’hui nous sommes des êtres ordinaires et que demain nous serons capables de suivre toutes les instructions, mais plutôt que, lentement et soigneusement, nous étudierons et contemplerons les enseignements puis que nous travaillerons à la maitrise des divers niveaux de méditation.

Il existe beaucoup de niveaux de conscience et, bien que les niveaux les plus grossiers soient touchés par les forces souillantes, le niveau le plus subtil reste libre des négativités grossières. Les émotions ne sont pas quelque chose de solide, fondé sur la réalité. Elles disparaissent d’elles-mêmes lorsque nous leur appliquons les antidotes méditatifs. Reposant sur des croyances profondément enracinées en une réalité qui n’existe pas, elles sont vite déracinées par la sagesse et les autres qualités spirituelles. C’est ainsi que l’on parvient à dissocier l’esprit des forces négatives qu’il porte en lui et que l’on vainc la souffrance pour toujours.

Une fois acquises une perspective d’ensemble des diverses voies et pratiques, on peut non seulement comprendre en quoi toute les instructions spirituelles sont non contradictoires, mais aussi comment elles doivent toutes être adoptées, et intégrées dans notre entraînement. La capacité nous est donnée d’explorer d’une façon sûre et bénéfique l’éventail complet des enseignements, d’une manière qui nous fasse voir tous les préceptes comme des instructions personnelles, à appliquer nous-mêmes en vue de dompter et de cultiver notre esprit.

Nous devons débarrasser notre esprit des préconceptions et des superstitions que nous devons fournir un effort attentif et que nous devons tenter de garde consistance et régularité dans notre pratique.

Si nous souhaitons obtenir les pleins bénéfices de nos efforts, nous devrons remplacer les mauvaises attitudes par un état d’esprit ouvert, et part de la clarté et de la consistance dans notre application. Nous devrions toujours être conscients dès que nous sommes spirituellement malades, que les êtres éveillés sont les docteurs, et la vie est le remède dont nous avons besoin et qu’il existe un trésor particulièrement précieux en l’humanité toute entière.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Des voies parfois impénétrables

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2016

 

arc en cielNous vivons des temps où les traditions spirituelles du monde ont considérablement dégénéré. Il est très important, en de telles époques, que les pratiquants eux-mêmes fassent des efforts particulièrement soutenus pour atteindre la réalisation. Permettre aux lignées de transmission de disparaître, ce serait laisser le monde plonger dans l’obscurité.

On pourrait se demander qui, aujourd’hui, peut égaler le Maitre… Qui pratique aussi bien que le fit le Maître… ?

De telles personnes sont rares. Nous devions nous rappeler que rien ne nous est d’aucune aide le jour de la mort en dehors de l’enseignement, et plutôt que de gâcher nos vies à des actions futiles, nous devions unir notre courant de conscience avec les enseignements et la pratique. Faire ainsi nous profitera en tant qu’individus et profitera au monde en renforçant sa base spirituelle.

Chacun de nous doit pouvoir sentir une certaine fierté à l’idée de pouvoir lui-même atteindre la perfection, de pouvoir lui-même atteindre l’illumination. Quand même une seule personne s’adonne à la pratique spirituelle, cela encourage les esprits gardiens du pays et les déités célestes qui ont fait le serment de soutenir le bien. Ces forces peuvent alors libérer des ondes d’effets bénéfiques sur l’humanité. Notre pratique peut donc apporter beaucoup de bénéfices, à la fois directement et indirectement.

Chacun de nous doit faire de son mieux à son niveau personnel. Il y a un dicton qui dit : « La volonté du ciel et la volonté des hommes devraient être en harmonie ». Si nous mettons les enseignements en pratique et vivons selon celui-ci, toutes les forces naturelles du bien seront avec nous.

Regardons l’humanité ; combien peu d’êtres sont engagés dans un entraînement spirituel sérieux ; regardons ceux qui pratiquent : combien peu le font efficacement. En tant qu’êtres humains, nous avons-nous-mêmes un corps et un esprit permettant d’élever notre statut spirituel de son état présent à l’état le plus suprêmement haut.

Pourquoi laisser passer l’occasion ? Une fois que la mort nous l’aura retirée, elle ne se représentera probablement pas avant des milliers, voire des millions de vies.

Ceux qui résident dans le Nirvana se sont défaits de l’influence aveuglante des émotions perturbatrices et demeurent ainsi libres de l’existence, mais ils n’ont pas éliminé les voiles qui masquent l’omniscience. Par conséquent, bien qu’ils soient capables de rester absorbés dans les méditations sur la vérité ultime, et de rester ainsi libres de la souffrance, ils ne sont pas capables de percevoir simultanément la diversité infinie de l’univers. De telle sorte que leur capacité d’aider le monde est encore limitée.

De plus, du fait qu’il leur reste de subtils obscurcissements, leur objectif n’a pas été entièrement réalisé. Nous devions donc élever notre but à celui du Maître omniscient, dont la cause est le développement de l’esprit d’éveil.

D’abord en contemplant les souffrances des royaumes inférieurs et les causes d’errance dans ces états ; puis en contemplant les souffrances qui imprègnent toute existence et les causes de la libération. Mais nous avions alors fait cela principalement en référence à notre propre courant d’existence. Pour donner naissance à l’esprit nous devons changer le centre de référence d e la méditation et au lieu de contempler ce qui nous fait souffrir ou ce qui pourrait nous mener à la souffrance, nous considérons la condition de l’infinité des êtres sensibles qui vient atour de nous.

Nous méditons sur les mêmes souffrances des royaumes inférieurs et supérieurs, à la différence que maintenant nous les lions non plus à nous-mêmes, mais aux autres – notre mère, notre mère, notre famille, nos amis et ainsi de suite jusqu’à ce que nous englobions tous les êtres vivants.

Tous les êtres souffrent de la même façon que nous et certains sont mêmes plongés bien plus profondément encore dans la douleur. Pourtant, chacun ne souhaite connaître que le bonheur et éviter la souffrance, la frustration ou la douleur. Ils veulent un bonheur durable, mais ne savent pas comment en cultiver les causes ; ils veulent éviter la misère, mais ne font qu’accumuler les causes de plus de misère.

Si nous n’étions pas liés à l’infinité des êtres sensibles, ou si leur souffrance ne les gênait pas, peut-être ne serait-il pas nécessaire de nous soucier de leur bien-être. Mais, en vérité, tous sont liés à nous et aucun d’eux ne souhaite souffrir. Sur les milliards de vies que nous avons vécues depuis des temps sans commencement, nous avons connu chacun des êtres vivant de nombreuses fois. Ils ont été tantôt nos parents, tantôt nos amis, nos époux ou nos ennemis. Chacun d’eux sans exception a même maintes fois été notre mère, démontrant toutes les formes que peut prendre la bonté maternelle.

Seul un être illuminé peut réellement aider les êtres de façon profonde, durable et ultime, nous devions rapidement atteindre l’état d’éveil. C’est l’aspect de l’esprit d’éveil, la base interne de la pratique spirituelle.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Comment laisser son cœur s’ouvrir

Posté par othoharmonie le 16 janvier 2016

 

 

Accueillir inconditionnellement chaque émotion souffrante, laisser chaque blessure de l’enfant émerger à Soi pour être embrassée et aimée, c’est ça qui permet  au cœur de s’ouvrir.  Et lorsque le cœur s’ouvre, c’est pour permettre à tout ce qui est encore rejeté d’être accueillit à son tour. Cet accueil, c’est l’accueil de l’Amour à lui-même. Cette ouverture de cœur, c’est l’ouverture de l’Amour à lui-même. Parce qu’il n’y a que l’amour qui se reconnaît lui-même et  se donne de plus en plus de place.

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Vivre dans la conscience de l’accueil, c’est porter toute son attention sur chacune des pensées qui viennent réveiller ces vieilles blessures ensevelies derrière nos protections mentales, c’est lâcher les stratégies de fuite ou de lutte pour simplement revenir à ce qui est là en le laissant être, en l’accompagnant, en lui permettant de nous traverser entièrement, dans toute sa forme.

Accueillir n’est pas difficile en soi, c’est même très simple, mais l’accueil est contre la nature du mental. Lui, cherche à contrôler afin de ne pas laisser apparaître ce dont il a peur où ce qui le fait souffrir, en fuyant ou en rejetant les expériences, les situations, ou même les émotions. Mais même ce mental conditionné peut être totalement accueillit, car dans sa nature profonde, ce besoin de contrôle et de protection émane aussi de l’amour. Accueillir ce mental de façon inconditionnelle, c’est lui permettre d’être tel qu’il est, et dans cet accueil, il peut alors se laisser faire, se laisser aimer, se laisser pénétrer par l’amour. Rejeter ce qui rejette c’est donner plus d’énergie au rejet lui-même.

Nous croyons, souvent à tort, devoir rejeter ce qui n’est pas « amour » en nous : la colère, les ressentiments, la jalousie, la tristesse, les jugements… Mais l’amour prend tout, l’amour aime tout parce que l’amour est tout. L’amour embrasse le rejet lui-même. Nous croyons que nous ne serons pas l’amour et que nous ne ressentirons pas l’amour si nous permettons à nos colères ou à nos jugements, par exemple,  d’être là, mais c’est à chaque fois que nous ne leur permettons pas que nous ne sommes pas dans cet amour. Chaque émotion qui nous traverse, si elle n’est pas accueillie pleinement, ne peut que nous priver de l’amour.

C’est une notion assez subtile lorsqu’elle n’est comprise que mentalement. Le mental ne peut pas comprendre réellement ce qu’est l’accueil puisqu’il est lui-même ce qui sépare et rejette, donc l’opposé de l’accueil. Cette expérience d’accueil doit se vivre, se sentir, se goûter pour pouvoir être vraiment comprise. Quand l’accueil prend place en nous, il ne peut que se reconnaître et se vivre en tant qu’Amour inconditionnel.

« Accueillir » n’est qu’un mot et aucun mot ne peut jamais être sa nature propre. Le mental prend donc ce mot et en fait un concept, une théorie, parfois même une technique, mais jamais il ne peut faire l’expérience même de sa vrai nature. Les mots sont si peu de choses.  L’accueil véritable ne peut être réellement compris que dans l’expérience même de l’accueil véritable.

Cette ouverture de cœur c’est aussi ce que je vous propose de goûter à travers les diverses activités qui prennent place pour le moment et que vous pouvez retrouver SUR LE SITE / www.guerisonintuitive.com

 

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Le matin Magique de Marie Pier

Posté par othoharmonie le 11 janvier 2016

«Quand on ne perçoit plus le monde comme étant hostile, il n’y a plus de peur, et quand il n’y a plus de peur, on pense, on parle et on agit de façon différente.»
– Eckhart Tolle

Le matin Magique de Marie Pier dans APPRENDS-MOI pixel
Je partage celui-ci avec vous car il m’a particulièrement touchée !

 

TR045_lumiere-paysageQue ce soit au début de l’année, à mon anniversaire, ou simplement au début la journée, je m’intériorise souvent – c’est peut-être votre cas également – pour émettre mes intentions.Je suis passionnée de nature et, pendant longtemps, mes désirs étaient puissants, nombreux et précis. Je voulais avancer dans la concrétisation de telle ou telle vision, me transformer de telle ou telle façon. J’avais une liste d’expériences que je voulais absolument vivre – toujours accompagnée de la pression de devoir tout orchestrer, et de la peur de ne pas y arriver.Quelque chose a changé profondément, au fil du temps. Oh, je continue de me questionner régulièrement sur mes désirs profonds – particulièrement en des périodes comme celle-ci, devant cette belle toile vierge qu’est une nouvelle année. Or, je remarque maintenant que je me retrouve toujours avec la même aspiration… Oui, on dirait que je ne désire aujourd’hui qu’une seule et unique chose : de l’espace. Juste un peu plus d’espace à l’intérieur de moi. Rien de plus compliqué, rien de plus sexy. Non pas que je sois moins passionnée, mais j’ai compris que je ne pourrais désirer quelque chose de plus sacré ou de plus important.

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On part généralement de la prémisse qu’on est la source de nos belles transformations, et qu’on doit en quelque sorte pousser contre le mouvement naturel de la vie pour générer ce qu’on veut. C’est ce qui nous amène à cultiver autant de désirs, avec une intensité qui transforme souvent nos rêves en fardeaux. Et si c’était plutôt le contraire? Et si la vie était intensément de notre côté – encore plus qu’on ne pourra jamais l’être soi-même, encore plus qu’on ne peut l’imaginer? Et si notre rôle était non pas de se créer un avenir extraordinaire, mais plutôt de s’enlever du chemin et de faire la place nécessaire pour l’accueillir?Je ne sais pas pour vous, mais c’est la conclusion à laquelle je reviens constamment. Le meilleur scénario est non seulement possible… c’est l’option par défaut. Les trésors viennent naturellement à nous, ou nous sommes naturellement guidés vers eux. Et la plus grande chose qu’on puisse faire est donc simplement de se détendre, de s’alléger… de faire un peu de place à l’intérieur de soi.Le grand paradoxe est que bien souvent, ce sont nos désirs eux-mêmes – ou plus exactement, la relation tendue qu’on entretient avec eux – qui nous empêchent de vivre la plus belle version possible de notre existence. Notre désir de changer les choses est généralement ce qui les empêche de changer avec fluidité. On a les poings tellement serrés autour de ce qu’on veut, on s’agrippe tellement à ces images mentales qui nous font du charme, qu’il n’y a à peu près pas de place en nous pour recevoir quoi que ce soit. Oh, on a le sentiment que cet effort et cette intensité nous font avancer… mais c’est tout le contraire : pendant que nos mains sont agrippées, elles sont complètement fermées, et rien ne peut entrer. On n’est pas complètement dépourvu, bien sûr, mais on n’a accès ainsi qu’à notre petite force humaine limitée.

Question : avez-vous de l’espace en vous, présentement? Ou êtes-vous tout compact, tout serré?

Quand on commence à mettre en priorité l’espace, l’ouverture et la réceptivité, tout tombe en place avec aisance. On respecte nos désirs, mais on n’en devient jamais victime. Si nos tableaux de visualisation et nos listes d’objectifs nous donnent un sentiment de liberté et d’expansion, on les conserve précieusement, mais s’ils sont source de stress et de lourdeur, on les lance sans hésiter dans le feu de foyer. On réalise que la plus belle façon de «visualiser» les bonheurs futurs est d’être aussi heureux qu’on peut ici et maintenant – de s’ouvrir à ce qui s’en vient en étant pleinement ouvert à ce qu’on vit présentement. On est très à l’écoute de nos élans, sachant que la vie nous utilise à ces moments pour créer un mouvement. On fait le minimum d’actions qui nous amènent à serrer les poings, même si tout le monde semble indiquer que c’est la chose à faire. On respire. On danse. On oublie ce qu’on veut, une fois de temps en temps.

Évidemment, on peut choisir d’essayer de tout contrôler, de créer notre vie par la force limitée de nos petites mains humaines. C’est ce que j’ai fait pendant longtemps, et oui, on peut se créer ainsi une vie assez intéressante – surtout si on est doté d’une très forte volonté. Mais on peut aussi choisir de s’abandonner à cette force qui est tellement plus grande et plus sage que la nôtre, et la laisser créer à travers nous des miracles qu’on ne pourrait même pas imaginer. On peut s’avouer que notre perspective est limitée, qu’on ne saura jamais ultimement ce qui est le mieux pour nous, et ouvrir notre cœur aux belles surprises qui pourraient être en train de se préparer. En fin de compte, on peut choisir de faire le geste apparemment le plus simple, mais aussi le plus courageux qui soit : desserrer nos mains et tourner nos paumes vers le haut, sachant que tout l’espace créé ainsi, absolument tout l’espace offert à la vie, sera toujours empli de beauté et de magie.

Bon lundi!

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P.-S. Merci de partager ce message s’il vous a touché! D’ailleurs, si vous recevez ce courriel d’un ami qui a eu la gentillesse de le partager avec vous, notez que vous pouvez vous abonner sans frais à Matin Magique sur le site et recevoir de petites doses de magie – comme ce message – directement dans votre boîte courriel. Je serais ravie de vous accueillir dans la grande famille magique. :-)

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