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2013 – Création, Co…Création, Re…Création

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2013

 

images (7)La journée “Présence des Maîtres de Sagesse” du 9 décembre 2012  a commencé, Comme chaque année, par une présentation de la tendance astrologique de 2013 par Carole Sédillot. Parmi les informations passionnantes qui nous ont été exposées, nous vous présentons ce qui nous a paru essentiel pour vivre une belle année 2013. (Article de  Tania Cholat)

Planter le décor astrologique

Carole nous rappelle d’abord qu’une année n’a de sens que dans la continuité des années précédentes. Ce retour en arrière ne nous fait pas régresser mais, au contraire, nous permet de prendre de l’élan car les mots de l’an dernier vont être amplifiés et les formes vont être différentes. Si nous ne faisons pas le lien entre les années, nous sommes de nouveau dans quelque chose qui nous sépare. La séparation.

2012 : 2 + 0 + 1 +2 = 5, la traversée, une modalité horizontale, le 5 étant le pape, le pontife, le pont. Qu’avons-nous traversé ? Qu’est-ce qui nous a traversés ? Et qu’allons-nous faire de cela ? Sommes-nous restés au milieu du pont ?

Carole Sédillot nous rappelle également l’échelle qui nous indique une verticalité : c’est l’antenne entre le monde matériel qui nous incarne et le monde spirituel qui nous inspire, deux mondes dont nous avons besoin.

Le 5 de 2012, c’est le masculin, l’extériorisation dynamique, aller de l’avant alors que 2013 donne le 6 (2 + 0 + 1 + 3) qui est féminin. C’et donc le recentrage, la concentration et aussi le choix, l’amour, la beauté, l’harmonie. Pour Jung, l’harmonie de l’être humain existe quand il est dans sa complétude, c’est-à-dire quand il est complet, entier de lui-même, avec lui-même. Trop souvent encore, nous sommes séparés, divisés.

Création, ré harmonisation

Revenant sur la Co-création (qui est également le thème des rencontres 2013 de l’Université Libre des Valeurs), Carole a attiré notre attention sur ce mot cocréation. Le préfix co signifie avec : comment être avec ? Et avec qui ? Bien sûr, c’est avec soi-même », nous sommes dans la qualité avec le monde extérieur, c’est à dire le collectif.

En langage des oiseaux, la création devient la « crée-action ». En outre, l’anagramme de création, c’est réaction, ce qui signifie qu’il y a déjà eu action. Que nous est-il demandé de créer avec nous-mêmes ? Comment être dans la création, pour atteindre la co-création et bénéficier ensuite d’une re-création, le tout entrecoupé de phases de récréation, plus légères et plus agréables. Comment, malgré toutes les difficultés qui se jouent sur terre et entraînent la séparation, allons-nous être capables d’apporter une bouffée d’oxygène en restant conscients de la réalité. Il s’agit de passer de la victimisation au courage. Or, étymologiquement, le courage vient de cœur ; s’engager, c’est faire preuve de courage et avoir du courage, c’est avoir du Coeur, c’est à dire la force de vie. C’est là, au centre du cœur que réside l’âme véritable, le souffle divin.

Dans ce monde en disharmonie, il nous est demandé de réharmoniser ce qui veut aussi dire qu’il y a déjà eu harmonie et que nous sommes capables d’accomplir ce travail puisque nous l’avons déjà fait. Et n’oublions pas que nous y sommes non pas obligés, mais invités ce qui nous permet de l’aborder différemment.

Une transition qui a du sens

Mais les mots étant une énergie, nous devons aussi être clairs sur leur sens.

Le créateur est celui qui crée à partir de son propre potentiel. Le créatif est celui qui interprète ce qui existe déjà, il fait preuve de créativité qui nous permet de reproduire quelque choses qui existe déjà, mais à un autre niveau de satisfaction et de réponse à ce qui a été demandé. Quant à la création, elle répond à la demande de l’univers. Elle est ce quelque chose qui n’existait pas avant, de l’ordre du Nouveau et qui nous met en relation avec le Sacré. Qui dit sacré, dit sacrifice. Que devons-nous justement sacrifier en cette année 2013 ? A quoi devons-nous renoncer en toute conscience, sinon ce renoncement n’aurait pas de sens ?

L’année 6, c’est Vénus, l’Amour, l’art. or l’art s’adresse à cette part de l’individu qui est unique. Il vient de toucher. Chacun d’entre nous est telle une création, unique : nous sommes l’œuvre du Créateur. La séparation est la cause de nos souffrances. Il s’agit de relier notre part humaine à cette part de divin en nous et ainsi, nous serons réunis dans la complétude et l’harmonie.

Mais, comment s’unifier en soi pour pouvoir se dépasser ? Comment être au cœur, au centre, pour contacter l’harmonie ? C’est un des défis majeurs que l’année 2013 nous propose de relever.

Image sur clé Papesse Impératrice 1 et 2

A l’image de la Papesse (2) du jeu de Tarot qui porte son enseignement, la transmission, c’est le ressenti, l’émotion, le spirituel, l’Impératrice (3), c’est le mental, l’esprit, le matériel. Elles se tournent le dos : la communication est difficile. C’est donc là qu’il faut œuvrer et apprendre à dire à l’autre qu’on l’aime, sans attendre les drames, les catastrophes. Et pour cela, il faut d’abord s’aimer soi-même, avoir du respect pour soi. Et en fait, c’est plus simple qu’on le croit. Selon Jung, ce qui est juste et vrai est toujours simple. La simplicité est une Valeur qui n’est pas toujours facile à mettre en œuvre. C’est aussi être dans une humilité de la place qui est la nôtre. Notre richesse est dans qui nous sommes véritablement. Cela implique aussi d’être dans le désir de rencontrer cette harmonie en soi.

Nous sommes le changement

Ce qui est important, ce n’est pas ce qui va être formidable en 2013, c’est comment nous, nous allons être formidables en 2013. Si nous voyons les précipices autour de nous, comment est notre conscience ? Comment nous conduisons-nous ? Comme le héros ou pas ? A l’aide des Valeurs ou pas ? Nous  ne devons pas oublier qu’elles sont à notre disposition. Et les nommer c’est bien ; les mettre en œuvre, les vivre, c’est mieux.

 

Jusqu’en 2015, nous sommes dans des configurations astrales qui sont puissantes (mais pas nécessairement négativement) et qui mettent en tension Uranus (représenté par le Mat et la Maison Dieu) avec Pluton (représenté par l’Arcane XIII). Nous sommes dans un cycle similaire à 1933/34 ; il a commencé en 2012 et on va le vivre jusqu’en 2015. Cette configuration d’aujourd’hui va durer un peu plus longtemps pour des raisons astronomiques ; et il va y avoir des moments d’accalmie et des moments de tension. Ce sont ces énergies-là qui mettent en relation avec la crise ; et qui dit crise dit changement.

Le collectif doit changer, mais le monde ne peut pas changer si aucun de nous ne change. Que changeons-nous ? Pourquoi et comment ? Tout cela s’inscrit dans un processus. Nous sommes présents sur la terre, nous sommes donc tous concernés, même si c’est différemment les uns des autres. On ne peut plus rester dans les mêmes structures ; il faut faire des deuils pour aller vers le Mat (0) qui est aussi un espace uranien ; notre espace libre et éthique. Nous devons quitter l’ancien pour aller vers du nouveau.

A l’écoute de nous, nous passerons de la terre inconnue (vers laquelle nous avons peur d’aller) au terrain connu (qui est en nous), sachant qu’en fait, c’est la même chaise. Cela nécessite encore une fois du courage, première Valeur dont le héros a besoin, pour affronter ses peurs, les dépasser.

Thème de l’entrée dans 2013 à Paris

De nombreux mouvements des planètes dites « lentes » ont lieu en ce moment. Il s’agit des planètes considérées comme universelles, contrairement aux planètes « rapides » qui sont plus individuelles. Carole Sédillot les a mises également en relation avec les lames du Tarot. J’en cite quelques-unes pour les « spécialistes » ; mais ne l’étant pas moi-même, je ne m’y attarderai pas :

-      depuis 2 ans et jusqu’en 2015, Pluton est dans le signe du Capricorne (Lame XIII) ; la puissance va chercher dans les profondeurs de la terre ; il y a amplification des réactions de la terre.

-      Uranus (Maison Dieu) est entrée dans le signe du Bélier et va y rester jusqu’en 2018.

-      Saturne (l’Ermite) vient d’entrer dans le signe du Scorpion pour 2 ans et demi. Elle nous demande… lire la suite dans le magazine MEDI@ME N° 4 (www.université-libre-des-valeurs.com )

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Chi ou Quiromancie

Posté par othoharmonie le 30 octobre 2013

Chi ou Quiromancie dans Astrologie et Esotérisme chirom10

Lecture des lignes de la main, méthode divinatoire utilisée par les voyants.

Les mains sont remplies de lignes, de formes, de symboles et de particularités propres à chaque individu. Ce ne sont pas seulement des plis et des rides dues aux mouvements des mains car elles se forment dès le deuxième mois de la grossesse. Elles reflètent donc ce qu’est l’être fondamental, une sorte de code génétique qu’il est possible d’interpréter dans les lignes de la main droite et gauche. La méthode divinatoire de son interprétation se nomme la quiromancie . Chacun de nous possédons des mains uniques et il n’existe pas deux paires de mains identiques au monde. Notre caractère, notre évolution globale, toute notre vie est présente dans nos mains.

La quiromancie est une méthode divinatoire qui étudie la personnalité et le caractère de chacun au travers de nos lignes de la main.

En analysant vos lignes de la main grâce à la quiromancie , vous y trouverez les signes révélateurs de votre destin et de votre personnalité. Vous serez étonné d’y voir les vérités qui se cachent dans nos lignes de la main et ce que nous révèle la quiromancie .

En quiromancie , nous pouvons distinguer 4 grands types de tempéraments pourvus de particularités prononcées et facilement reconnaissable. 

•Le tempérament nerveux 
•Le tempérament bileux 
•Le tempérament lymphatique 
•Le tempérament sanguin

On en parle ICI sur le FORUM « La Vie devant Soi »  

 

TEMPERAMENT LYMPHATIQUE en quiromancie

Ces personnes ont des mains froides, humides et flexibles. Les doigts sont courts, noueux aux jonctions, plutôt gros, carrés et en spatule. En général, ils n’ont pas beaucoup de lignes de la main. Elles sont souvent courtes, épaisses et souvent groupées. Ce sont des personnes de tempérament tranquille. Ils évoluent à un rythme lent sans se préoccuper beaucoup des autres. Ils sont d’une sensualité irrésistible et impressionnent par leurs capacités de réflexion profondes et efficaces.

TEMPERAMENT SANGUIN selon la méthode divinatoire de la lecture des lignes de la main

Ce sont des personnes aux mains chaudes, plutôt fermes. Leurs doigts sont courts, minces, noueux aux jonctions. Les extrémités de leurs doigts peuvent être carrés ou effilées. Les lignes de la main sont bien définies, peu nombreuses et peu profondes. Ce sont des personnes impressionnables mais qui semblent bien prendre les changements brusques. Ils apprécient les choses faites rapidement et ne supporte pas de perdre leur temps. Persévérants et infatigables quand ils sont en action, ce sont des personnes d’une grande sensibilité, chaleureuses et généreuses.

TEMPERAMENT BILEUX

On reconnait ces personnes à leurs mains dures, sèches et généralement chaudes. Leurs doigts sont larges, lisses, coniques ou en spatules. Ils ont de nombreuses lignes de la main. On les distingue facilement car elles sont profondes et bien tracées. Ce sont des personnes d’une grande détermination mais très discrètes. Chez eux, tout est sujet à réflexion et à calcul. Tout est pensé. Ils évoluent à un rythme lent car ils détestent précipiter les évènements.

TEMPERAMENT NERVEUX

Les mains de ces personnes sont froides et secs. Les doigts larges et lisses, pointus ou coniques. Les lignes de la main sont fines et nombreuses souvent entrelacées. 

Ce sont des personnes sensibles, influençable, d’esprit vif et capable de s’adapter à tout. Ils ont une grande imagination et sont très créatifs. Leurs capacités mentales sont très développées mais ils ont le défaut de beaucoup exagérer. 

– Lignes de la main: Comment les lire, comment les interpréter? ICI

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

 

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LE SIGNE ASTRO. DU CANCER

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

LE SIGNE ASTRO. DU CANCER dans Astrologie et Esotérisme telechargement-91

Chacun choisit la date, l’heure et le lieu de sa naissance, en fonction de ce qu’il souhaite expérimenter durant cette vie. Mais nous avons tous déjà vécu plusieurs vies au cours desquelles nous avons travaillé pour manifester une valeur qui deviendra un acquis nous ouvrant à de multiples possibilités.

En revenant sur Terre, nous pouvons nous appuyer sur cette valeur intégrée, mais le signe solaire nous en propose une autre qu’il nous faudra manifester en fonction de ce que nous allons vivre.

C’est ce que le signe du Cancer nous montre ici.

Premier signe d’Eau, le Cancer est très marqué par la Mère, car ces Eaux sont les Eaux fœtales. Le Cancer reste également très proche de sa mère biologique.

Sa planète maîtresse, aussi bien exotérique qu’ésotérique est la Lune. Celle-ci lui octroie une intuition très forte. Dans ce signe, on trouve souvent des médiums. Le Cancer aime tout ce qui concerne le foyer, il s’entoure d’amis qu’il invite très volontiers. Il déteste critiquer qui que ce soit, trouvant des excuses à tout le monde; il est d’une extrême tolérance. Mais, derrière cet aspect de dévouement presque instinctif, se cache un égoïsme latent car le Cancer a besoin de se sentir aimé, il demande une attention constante aux autres et n’aime guère la contradiction. Malgré cela, il reste d’une extrême Tolérance et se fait aimer des autres par ce comportement souvent gai et tendre.

C’est un être rêveur, d’une extrême sensibilité qu’il tente de dissimuler sous une carapace. Son besoin d’amour est surtout marqué par un manque presque total de Confiance en lui. Il est craintif et rentre très vite dans sa coquille lorsqu’il pressent une altercation ou une sanction. Il en résulte un être qui mûrit tardivement, se réfugiant dans les rêveries au lieu d’affronter la réalité dont il a peur. C’est pourquoi cet être charmant, souriant, très tendre, fuit les contraintes, les aspects difficiles qu’il peut être amené à vivre et se réfugie dans le rêve. Mais si on lui fait trop de remarques, surtout s’il les ressent comme injustes, il est alors capable d’entrer dans de très violentes colères qu’il regrette aussitôt et il se referme bien vite sur lui-même.

En tout premier lieu, il doit apprendre à se sécuriser, à se protéger afin de mûrir et de devenir non plus dépendant de sa mère (le plus souvent) ou de quelqu’un d’autre mais de lui-même. Devenant autonome, il se plaira dans son travail.

Les deux secteurs d’activité où il excelle sont la médecine et l’enseignement. Il pourra devenir un très bon médecin ou un très bon professeur car il sait expliquer ce qu’il a compris. Toutefois, cet accomplissement professionnel risque d’arriver assez tard dans sa vie car, entre le manque de Confiance en lui et l’indépendance, souvent affective, qu’il doit atteindre, le temps va passer, vite, parfois trop vite.

Le Cancer, porte d’entrée des âmes

Le signe du Cancer est celui où l’âme s’incarne pour la toute première fois. Nous sommes donc tous passés par ce signe car il est la porte d’entrée des âmes. C’est aussi peut-être pour cette raison que l’être est craintif, qu’il se réfugie dans ces Eaux fœtales, qu’il a tendance à se refermer sur lui-même et qu’il lui faut du temps pour mûrir. C’est sa première incarnation sur la Terre qu’il ne connaît pas et sur laquelle il se trouve “transplanté”. Sans doute a-t-il peur de ce qu’il va trouver dans cet endroit inconnu! Ceci n’est évidemment valable que pour la première incarnation, mais il se peut qu’il en garde des séquelles !

La Tolérance l’aidera car il sera en général très aimé des autres puisque lui-même ne fait guère de reproches à qui que ce soit. Acceptant la façon dont l’autre vit, il prend peu à peu Confiance en lui, se disant qu’il peut faire tout aussi bien que celui avec qui il travaille. Sa très grande intuition, apportée par la Lune, l’aidera aussi puissamment en lui permettant de se sentir plus fort, plus mûr et il se rendra très vite compte que ce qu’il a ressenti très profondément, que ce soit au sujet d’un travail, d’une idée, d’une personne, etc., se réalise et lui donne raison. S’il n’y a pas trop de contradictions dans les débuts de prise de conscience de ses possibilités, il va progressivement oser dire les choses telles qu’il les ressent et sa Confiance va se renforcer.

Il pourra maîtriser, contenir son émotivité toujours présente et vivre comme il l’entend, entouré des siens, car il aime énormément son foyer, qu’il soit natal ou conjugal, ce qui renforce encore sa Confiance en lui et en les autres. Il aura atteint son but: ne plus être dépendant de quelqu’un et affirmer sa personnalité au grand jour.

Que nous propose l’allégorie de Martin Schulmann ?

«Astrologie Karmique (Vol.1 «Nœuds de la Lune et Réincarnation»)» – Editions Sum – Hameau Coll. Astrologie (3 septembre 1999) : « À toi, Cancer, Je donne la tâche d’enseigner l’émotion aux hommes. Mon Idée pour toi est de provoquer leurs rires et leurs larmes, pour que ce qu’ils vivent et pensent crée la plénitude au-dedans d’eux. Pour cela, Je te fais don de la Famille afin que ta plénitude puisse te rendre prospère».

On constate que l’allégorie confère en premier lieu au Cancer l’émotivité, mais que pour réaliser la plénitude, il a besoin de la famille qui a une extrême importance. C’est elle qui lui permettra de comprendre que par la Tolérance, il peut se faire aider de ceux qui l’entourent et qu’eux-mêmes vont l’accepter, le tolérer et lui permettre ainsi de s’épanouir à son tour!

C’est elle aussi qui lui permet de devenir adulte, responsable, de se délier de son affectivité excessive et de conquérir son indépendance. Sa famille lui est nécessaire mais il n’en est plus dépendant. Il lui apporte joies ou pleurs car il a compris maintenant qu’il peut lui aussi sanctionner si nécessaire. Il ne subit plus les contraintes comme il le faisait auparavant car il a Confiance en lui, en ce qui l’entoure. Il est en quelque sorte libéré.

 Cancer et Capricorne, opposés et complémentaires

La planète qui gouverne le Capricorne est Saturne, ce qui l’oblige à réfléchir profondément. Il travaille sur des écrits, aime le silence, la solitude. Le Cancer est tout le contraire.

Quand il est avec ceux qu’il aime, il est heureux de les avoir autour de lui. Certes, avec la Lune pour planète, il est un rêveur. Ce n’est pas le cas du Capricorne! Lui travaille sur les livres qu’il étudie à fond, il ne rêve pas.

C’est un orgueilleux qui cherche la clef de la libération définitive, qui ne veut plus être réincarné. Le Cancer n’en est pas là, il n’en est qu’au début. Il lui faut apprendre à se séparer des autres, notamment de sa mère ou de la Mère, à prendre Confiance en lui. Comme c’est un être empli de Tolérance, il va accepter que le Capricorne lui fasse la morale, quitte à ne pas la suivre lorsqu’il va mûrir et le Capricorne, en toute Simplicité, lui expliquera qu’il faut prendre Confiance parce qu’il a des possibilités. 

Comme on peut le faire à un élève, un enfant − et c’est ce qu’est le Cancer −, il va lui faire un cours qui lui permettra de prendre Confiance en lui, doucement, sans brusquerie. L’intuition si forte et si naturelle du Cancer va se révéler et le Capricorne qui la ressent comprend que ce que dit le Cancer est loin d’être stupide, qu’il voit les choses aussi bien que lui. Il va alors s’habiller d’Humilité, qui est le but de cette incarnation, quand le Cancer manifeste la Confiance. 

En douceur, les deux signes ne s’opposent plus mais deviennent complémentaires. Évidemment, il faut du temps pour cela mais, chacun à sa manière, par sa façon de vivre et de comprendre ce qu’il vit, se rapproche de son opposé. L’âme qui, en tout premier lieu, s’est incarnée dans le Cancer peut, par ce travail profond, atteindre son but: la libération! Et c’est par le Capricorne qu’elle peut enfin prendre son envol de façon à pouvoir ensuite et de façon définitive, choisir entre revenir aider ses frères ou rester dans la Lumière Divine. 

Bien sûr, cela ne se fait pas en une seule fois, mais qu’importe le temps ? Il n’existe pas! 

Gilberte Françon de La revue de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com  

 

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L’au-delà et le voyage astral

Posté par othoharmonie le 26 septembre 2013

 

L’au-delà et le voyage astral dans APPRENDS-MOI esprit-50Avez-vous déjà fait un rêve impliquant un être cher disparu qui semblait particulièrement réel, ancré dans le présent, et qui se déroulait, contrairement à vos autres rêves, suivant une progression logique du début à la fin ? Si oui, ce n’était sans doute pas un rêve, mais votre esprit qui rendait visite à un être cher via un voyage astral. 

On parle de voyage astral lorsque l’esprit quitte le corps durant le sommeil ou une séance de méditation pour aller se promener où bon lui semble. Avant d’aller au lit, vous pouvez demander à Dieu de vous aider dans vos voyages astraux. De tels voyages peuvent être utilisés à plusieurs fins ; vous pouvez visiter des êtres chers disparus, revoir des gens et des lieux qui vous manquent ici sur terre t même faire un voyage éclair dans l’AU-DELA avec un peu de pratique et de la concentration. Les gens que vous visiterez sur terre ne vous verront probablement pas, mais il leur arrivera de vous entendre. Plusieurs  amis m’ont confié avoir été réveillés au beau milieu de la nuit par un être cher qui répétait leur nom encore et encore. Si cela vous arrive, téléphonez à cet être cher et parlez-lui de votre expérience. Il est probable qu’au moment où vous vous êtes réveillé, il méditait en pensant à vous ou « rêvait » de vous. Mais d’une manière ou d’une autre, son esprit est entré en contact avec le vôtre, grâce à la douce magie des voyages astraux. 

Si vous voulez visiter un être cher disparu via un voyage astral, vous devriez peut-être demander l’aide de votre Guide Spirituel. Rappelez-vous, si vous vous présentez chez cet être cher sans vous annoncer, il est probable que son apparence physique sera celle qu’il avait à l’âge de trente ans, puisque tout le monde a trente ans dans l’au-delà. Si vous ne savez pas de quoi il avait l’air à trente ans, il se peut que vous ne le reconnaissiez pas. Toutefois, si votre Guide Spirituel veut bien l’avertir d’avance, votre être cher peut prendre une apparence qui vous est plus familière, comme le font tous les êtres chers lorsqu’ils viennent nous rendre visite sur terre. De plus, donnez à votre Guide Spirituel des indications précises quant au lieu où se déroulera la rencontre avec votre être cher – sur un banc de par, près d’un lac, dans une église ou un temple que vous affectionnez. 

Il se peut aussi que vous désiriez rencontrer cet être cher dans l’au-delà. Si cette idée vous plaît, je vous recommande fortement de vous retrouver dans l’immense Palais des Archives, un magnifique édifice de style classique surmonté d’un dôme. Croyez-moi, cet édifice existe bel et bien. J’y suis entrée, je l’ai vu et j’ai même eu la chance (ou la malchance) de pouvoir tenir mon plan de vie entre mes mains. Ce fut une chance, car cela prouve que les plans de vie ne sont pas une rumeur ou un joli produit de notre imagination ; comme tous les autres écrits conservés dans cet imposant édifice, mon plan de vie était inscrit sur un parchemin d’une belle écriture dorée. Mais ce fut aussi une malchance, car même si je voyais les signes sur le papier, je n’arrivais pas à lire ce qui était écrit. Peut-être m’a-t-on empêchée de connaître mon propre avenir parce que je n’ai pas le droit de me servir de mes dons pour moi-même ou peut-être personne n’a-t-il le droit de prendre connaissance de son propre plan de vie et de ce que l’avenir lui réserve. Mais que vous demandiez à rencontrer un être cher disparu dans le Palais des Archives ou à Dieu de vous aider à faire un voyage astral dans l’au-delà, présentez-lui une dernière requête avant de vous endormir – demandez-lui de vous accorder de vous souvenir de votre expérience ! Comme après un rêve, il nous arrive de ne garder aucun souvenir de nos voyages astraux, à part peut-être quelques images fugitives que nous écartons promptement. Quel dommage puisqu’ils s’agit d’une expérience magique que vous ne voudriez surtout pas oublier, croyez-moi. 

C’est un voyage inattendu au Palais des Archives qui me pousse aujourd’hui à vous suggérer de laisser un magnétoscope en marche près de votre lit pendant que vous dormez, surtout si vous avez demandé dans vos prières de faire un voyage astral ou de rencontrer quelqu’un dans le monde des esprits. Ce voyage en question s’est produit durant une séance d’hypnose. Je possède une licence d’hypnose depuis vingt-cinq ans et je considère que l’hypnose est un outil de travail inestimable non seulement dans le cadre de mes recherches sur les régressions dans les vies passées, mais aussi pour avoir accès à l’esprit subconscient om sont parfois bloquées des informations qui pourraient les aider. Le sommeil et l’hypnose étant deux états voisins où notre subconscient est particulièrement disponible, il est utile d’avoir recours à un magnétophone dans les deux cas. 

J’étais en pleine séance d’hypnose avec une cliente et à ma grande surprise, pour la première fois au cours d’une séance, je me rendis compte que je marchais à ses côtés dans ces stupéfiantes allées infinies où étaient conservés tous ces parchemins. Tout en parlant, elle me guida à travers cette formidable enceinte sous ce magnifique dôme, jusqu’à ce que je remarque, deux allées plus loin, une femme aux cheveux noirs, vêtue d’un voile bleu transparent qui s’avançait vers nous. Je savais qu’il s’agissait du Guide Spirituel de Susan, et je savais qu’elle s’appelait Rachel. Mais je gardai néanmoins le silence….. Je lui demandai qui était cette femme, tâchant de ne pas trahir mon enthousiasme qui allait grandissant. Comme je l’ai dit, je n’avais jamais accompagné astralement un client sous hypnose auparavant, et encore moins reçu la confirmation immédiate que nos esprits se trouvaient effectivement au même endroit dans l’au-delà. Susan me répondit : « C’est une femme. Je ne sais pourquoi, mais je crois qu’il s’agit de mon Guide Spirituel ». 

A cet instant, Rachel nous aperçu et appela Susan. Je me mordis la langue, déterminée à laisser l’initiative à Susan. Et effectivement, elle me répondit en haletant : « Avez-vous entendu ?  Je lui demandai ce qu’elle avait entendu. Elle me répondit : « Elle a prononcé mon nom ». 

Ce fut un moment exaltant. Et pourtant ce ne fut pas aussi exaltant que la découverte que nous fîmes lorsque nous réécoutâmes l’enregistrement de la séance. Au moment précis où je demande Susan « Qui est avec nous ? «  on entend la voix de Susan qui répond claire « c’est une femme aux cheveux noirs. Je ne sais pas pourquoi, mais je crois qu’il s’agit de mon Guide Spirituel ». 

Puis on entend sur l’enregistrement une troisième voix, claire comme de l’eau de source, qui dit « Susan »… c’était la première fois que j captais la vois d’un esprit sur une cassette. Mais ce ne fut pas la dernière.

  Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà de Sylvia Browne aux éditions Ada.

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Le Tirage des Runes

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

Le Tirage des Runes  dans Astrologie et Esotérisme images-121

Le tirage de runes gratuit sert de miroir de l’âme, et elles permettent d’entrer en contact avec votre inconscient. Il ouvre les yeux sur les comportements et les attitudes envers les autres et l’univers; en l’invitant à dialoguer avec votre « moi » intérieur.

Le tirage de runes gratuit est simple, mais efficace.

Cette lecture peut vous illuminer sur la sortie d’une situation, et vous donner une perspective spécifique sur ce qui vous importe vraiment à cet instant.

Le tirage de runes gratuit est utilisé pour beaucoup de choses : savoir comment votre rendez-vous ira, pour savoir comment ira votre journée, deviner la manière de voir les choses de l’être aimé, de mettre à jour et de découvrir ce qui vous empêche d’avancer ou de progresser plus rapidement vers vos objectifs, etc…

Pour interroger les augures à travers le tirage de runes gratuit, vous devez tout simplement vous détendre un moment et ensuite réfléchir sur le sujet, à la situation qui vous préoccupe, et choisir les Runes.

Une réponse imprégnée de la sagesse légendaire des vieux peuples nordiques éclairera le chemin à celui qui le cherche…

Votre destin vous appartient, donnez lui un petit coup de pouce …

Les arts divinatoires contribuent à illuminer le chemin à suivre, pour orienter et pour mieux contrôler votre vie.

Avant d’effectuer votre tirage de runes gratuit, concentrez-vous sur ce qui vous préoccupe, notez-le même sur un papier.

N’hésitez pas à appeler nos professionnels du tirage de runes gratuit pour en savoir plus sur votre destin, prenez les rênes de votre vie et laissez les doutes de côté …

Appelez-nous et consultez notre tirage de runes gratuit le plus complet!!

Les Runes

Les runes gratuites, aussi considérées comme l’alphabet des Dieux, ont leur origine dans le nord de l’Europe.

Bien qu’il soit très compliqué de définir quand le système runique est apparu, on a constaté qu’il s’est développé et étendu à partir du IIe siècle av. J.-C. grâce aux contacts des peuples germaniques avec les peuples méditerranéens.

Runes gratuites en vieux nordique signifie un mystère, un secret, un murmurèrent. La liste des caractères s’appelle FUTHARK selon les 6 premiers signes.

Les runes gratuites ont été et sont une écriture magique et secrète, avec un aspect religieux parce qu’elles ouvrent une dimension magique avec les forces de l’univers, de la nature, du visible et de l’invisible.

Comme raconte la légende, Odin, le Dieu de la Guerre, est resté en suspend, durant neuf jours et neuf nuits, des branches de l’Arbre de la Vie et il reçu, à travers cette méditation et cette souffrance, le savoir sacré des runes gratuites.

On peut constater le lien avec la carte du Tarot de Marseille « Le pendu».

La tradition a fait des runes gratuites un objet magique utilisé pour la prédiction de la voyance, comme les cartes ou le Tarot.

Les runes gratuites sont normalement de petites pierres sur lesquelles sont gravés les caractères de l’alphabet runique utilisé par les peuples germaniques du nord de l’Europe.

Il comporte 24 runes. Les caractères sont composés uniquement par de petits traits sans arrondis.

Les runes gratuites vous permettront de vous anticiper, elles vous aideront à prendre des décisions importantes grâce à la précision et la clarté des révélations qu’elles vous feront.

Les runes gratuites font passer leur message en transmettant l’opinion des forces divines en ce qui concerne une question humaine.

Le tirage des runes gratuites nous offre la possibilité de connaître les tendances de l’avenir soufflées par les divinités telles que le Dieu Odin, par exemple.

L’ordre du tirage est important et il déterminera le sens du message expédié par les runes gratuites.

Posez votre question en étant détendu, ne pensez pas à autre chose, vous devez être très concentré pour que le tirage de runes gratuites soit révélateur et vous informe de manière constructive.

À toute question, une réponse immédiate.

Demandez aux runes gratuites. Elles vous aideront tout de suite en vous conduisant vers l’un des 25 symboles runiques!!

Signification des Runes

Ces pierres étranges ont une signification concrète. Ici vous trouverez la signification des runes. Chaque pierre peut avoir une signification de runes différente selon le sens dans lequel elle sort. Une rune de face et à l’endroit n’a pas la même signification que lorsqu’elle sort face cachée et à l’envers.

Dans cette partie, vous trouverez, le guide complet de la signification des runes.

N’y réfléchissez pas à deux fois pour savoir ce que les Dieux vous préparent !

images-131 dans Runes1. Signification des runes : LA RUNE FEHU (LA RICHESSE) 
Elle concerne le succès social et tout ce qui concerne les personnes, les biens et les idées. Elle montre un mouvement, un changement de situation, une nouvelle vie. Dans le domaine professionnel, elle montre un succès, une entrée d’argent. Dans le domaine sentimental, elle montre des sentiments réciproques et la possibilité de former un couple.

2. Signification des runes : LA RUNE URUZ (LE BUFFLE)
Imaginez une masse de muscles en mouvement, un fauve indomptable. Elle signifie une force primordiale, qui ne dévie jamais de son chemin. C’est une énergie vitale et explosive. Dans le domaine professionnel elle indique une promotion et un succès relatif à l’effort. Dans le domaine sentimental, elle indique une relation tendre et torride.

3. Signification des runes : LA RUNE THURISAZ (l’ÉPINE)
C’est une rune qui pique mais qui prévient à temps d’un danger ignoré ou sous-estimé. Elle indique ce qui s’oppose à vous, les difficultés rencontrées, bien qu’à long terme cette rune soit bénéfique. Dans le domaine professionnel, elle indique qu’il faut être prudent, réfléchir avant de se compromettre. Dans le domaine sentimental, elle indique une relation progressive où chacun définit un peu son territoire.

4. Signification des runes : LA RUNE ANZUS (LA BOUCHE, LE MOT)
Rune du verbe, de la pensée, de l’inspiration et de l’enthousiasme. Avec elle vous avez la parole. Rattachée au savoir, la sagesse, elle anticipe une épreuve dont vous tirerez profit. C’est une rune d’espérance. Dans le domaine professionnel elle indique que tout se mélange quand il y a des disputes, le côté relationnel est très important dans votre situation professionnelle. Dans le domaine sentimental, elle indique que les sentiments doivent passer avant tout par la communication.

5. Signification des runes : LA RUNE RAIDO (LA ROUE DE LA CHARRETTE)
Un véhicule, une chevauchée, des déplacements : c’est le rune du voyage. Un voyage intérieur ou voyage sur la terre, elle signifie avant tout une évolution dynamique, de l’énergie en mouvement, de la maturité, une croissance et des changements. Dans le domaine professionnel, elle indique des changements de postes, une mutation. Dans le domaine sentimental, elle indique une nouvelle histoire d’amour, un tournant inattendu.

6. Signification des runes : LA RUNE KANO (LE FLAMBEAU)
Rune très positive. Elle représente le mouvement, l’impulsion, la lumière qui se propage autour de sa source. C’est l’énergie du feu domestique, technique qui permet de contrôler les forces vitales. Dans le domaine professionnel, elle indique une nouvelle idée qui peut apparaitre, un avancement social. Si vous êtes àa la recherche d’un emploi, elle symbolise le travail. Dans le domaine sentimental, elle indique un coup de foudre, un amour fougueux mais qui peut être aussi provisoire…

7. Signification des runes : LA RUNE GEBO (LE CADEAU)
Elle symbolise une rencontre inspirée, un don du ciel, un coup de chance, le présent. C’est une rune d’échange, de soutien, rune de l’affection désintéressée, avec un don total et gratuit. Dans le domaine professionnel, elle peut indiquer une association, une aide … Dans le domaine sentimental, c’est la rune de l’amour, elle parle des liens importants, une union par exemple.

8. Signification des runes : LA RUNE WUNJO (LA JOIE)
Rune de l’harmonie, de la joie, de la douceur dans les relations humaines (au travail et dans l’amour). Cette rune exalte les sentiments, aussi dans les relations sociales. Pour ponctuer, cette rune indique une époque durable. Dans le domaine professionnel, elle indique des nouvelles, un emploi très agréable. Dans le domaine sentimental elle indique la fin d’une période de solitude ou de tristesse.

9. Signification des runes: LA RUNE HAGALAZ (LA GRÊLE)
Pour les Nordiques anciens, la grêle représentait le danger venu du froid, des hauteurs du ciel où les Dieux vivent. C’est une rune ambigue, elle annonce une victoire, c’est une leçon de vie.

10. Signification des runes : LA RUNE NAUTHES (LA NÉCESSITÉ)
Cette rune révèle ce qui vous résiste, un problème profond caché. C’est la contrariété, une difficile situation qui échappe à l’individu, c’est un avertissement. Dans le domaine professionnel elle indique une époque d’arrêt. Dans le domaine sentimental.

11. Signification des runes : LE RUNE ISA (LA GLACE, LA GELÉE)
Cette rune est celle d’une situation bloquée. La situation est paralysée et elle vous oblige à faire demi-tour, à chercher une solution. Dans le domaine professionnel, les formalités n’arrivent à rien. Vous devez mettre cette époque à profit pour faire un bilan de tout. N’oubliez pas que la glace est un état passager, vous devez le chauffer pour vous libérer de cette situation. Dans le domaine sentimental, les relations de couple peuvent être froides. Cela peut aussi être une manière de débloquer une situation.

12. Signification des runes : LA RUNE JERA (LA RÉCOLTE)
Rune des récompenses attendues et méritées. C’est l’espérance enfin réalisée, matérialisée. Très positive, elle annonce un succès, des joies, du bonheur, de l’abondance. C’est la plénitude bénéfique. Dans le domaine professionnel, vous pourrez enfin reprendre les fruits de vos efforts. Si vous cherchez du travail, les portes ne tarderont pas à être ouvertes. Dans le domaine sentimental, le temps des réconciliations est arrivé pour les couples en difficulté. Pour d’autres, l’amour pourrait finir par une noce ou l’arrivée d’un enfant.

13. Signification des runes : LA RUNE EIHWAZ (LE BOIS d’IF)
Ce sont les influences cachées, domaine mystérieux de l’occulte. C’est une rune protectrice. Des changements imminents, qui finiront par vous apporter quelque chose de bénéfique, approchent. L’avenir proche sera tout à fait positif. Dans le domaine professionnel, vous aviez stagné, tout prendra un meilleur visage, en prenant un virage de cent quatre-vingts degrés. Vous vous trouverez dans une situation vraiment positive.

Consultez le site référence

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Horoscope Aztèque

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

Horoscope Aztèque  dans Astrologie et Esotérisme images-111

Les aztèques furent à l’origine d’une astrologie très complexe et distincte de la chinoise et de l’occidentale. Cependant, un point commun existent entre tous les types d’astrologie: les éléments basiques de la vie tels que le Soleil, la Lune, la Terre, la Fertilité, la Vie, la Mort, etc.

Ce peuple mexicain que voit son apogée au XV ème siècle nous a laissé dans sa mythologie de nombreuses références de leur profonde connaissance de la voute céleste et par la même de l’astrologie. Ils récupérèrent l’extraordinaire culture des mayas et l’utilisèrent dans leur société.

Le premier élément de l’horoscope aztèque était la vie, qui était représentée sous la forme d’un caïman. Dans le panthéon aztèque, le suivaient les douze signes de l’horoscope aztèque: la maison, la fleur, le serpent, le cerf, le jaguar, le bambou, le lièvre, l’aigle, le singe, le silex et le chien. Douze éléments, animaux, végétaux bien distincts qui constituaient 3 types de calendriers: l’année solaire (formée de 365 jours qui se divisaient en 20 mois de 20 jours et 5 jours additionnels), l’année sacrée et l’année vénusienne.

L’année dans l’astrologie aztèque commençait en février. 

les signes de l’horoscope aztèque sont : 


1.Silex

2.Serpent 
3.Bambou Lièvre 
4.Chien 
5.Maison 
6.Cerf 
7.Aigle
8.Fleur 
9.Jaguar 
10.Singe 

Pour savoir quel est le votre : votre horoscope aztèque et découvrez tout sur ses caractéristiques, en connaissant le signe qui vous correspond.

Votre astrologue…

Le rôle de l’astrologue est de vous montrer le chemin le plus court vers un authentique développement de soi et ceci grâce à l’étude de votre horoscope. Je me sens réellement fière de pouvoir porter ce titre que seuls les connaisseurs peuvent véritablement apprécier.

Consultez le site référence 

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Les grands traits de l’astrologie actuelle

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

Les grands traits de l’astrologie actuelle dans Astrologie et Esotérisme images-101

Selon l’astrologie occidentale, le destin de chaque être humain serait influencé en grande partie par la position des astres au moment et à l’endroit de la naissance, à partir desquels on obtient sa carte astrale. Le mouvement des astres déterminerait la chance des individus mais aussi des groupes, des pays, des entreprises, ect…

La carte astrale est m’équivalent de l’horoscope.

Seuls les initiés savent utiliser comme il est du cette science : il faut beaucoup de dévouement pour arriver à posséder les connaissances requises à l’élaboration de l’horoscope d’une personne. Les quelques élus qui possèdent ce niveau de connaissance acquièrent le titre d’astrologue. Si vous désirez bénéficier de la sagesse des astres ne doutez pas à faire appel à un ou une astrologue.

Les signes du zodiaque

Le signe du zodiaque d’un individu est le lieu du zodiaque où le Soleil se trouve en position ascendante au moment de la naissance. Les signes du zodiaque traditionnels occidentaux sont au nombre de douze: Bélier, Taureau, Gémeaux, Cancer, Lion, Vierge, Balance, Scorpion, Capricorne, Verseau et Poisson.

La position du Soleil en relation avec les constellations du zodiaque au moment de la naissance détermine le signe astrologique.

Afin de constituer la carte astrale, l’astrologie occidentale utilise le zodiaque tropical. Cdi dernier divise l’écliptique en 12 signes astrologiques de même longitude, commençant par le premier point du Bélier, que l’on définit comme le point où l’écliptique (le chemin apparent que traverse le Soleil dans le ciel) et traverse l’équateur céleste à l’équinoxe de printemps. Il est important d’indiquer que ces signes du zodiaque sont complètement indépendants des constellations astronomiques, desquelles ils tirent leur nom mais ne comportent aucune autre relation.

Pour la carte astrale, du fait que le calendrier se définit selon le mouvement de la Terre autour du Soleil et que son orbite est assez circulaire, le signe du zodiaque où se trouve le Soleil à n’importe quel jour de l’année es facilement calculable, même si il varie un peu les années bissextiles. Afin de calculer quel est le signe astrologique où la Lune et les autres planètes se trouvent un jour donné, il faut consulter les éphémérides qui sont également nécessaires pour le calcul de la carte astrale (également appelée horoscope).

Dans l’astrologie occidentale traditionnelle, chaque signe du zodiaque se trouve sous l’égide d’une seule planète (en astrologie, le Soleil et la Lune sont considérées comme des planètes).

Les signes du zodiaque traditionnels se trouvent sous l’influence des planètes de la manière suivante : 

1.Bélier (Mars)
2.Taureau (Vénus)
3.Gémeaux (Mercure)
4.Cancer (Lune)
5.Lion (Soleil)
6.Vierge (Vénus)
7.Balance (Neptune)
8.Scorpion (Mars)
9.Sagittaire (Jupiter)
10.Capricorne (Saturne)
11.Verseau (Uranus)
12.Poisson (Venus)

Chaque signe astrologique s’associe à un élément classique (feu, terre, air ou eau)
• Les signes de feu s’associent à la force, la passion et l’énergie, la sensibilité en son état physique. Ils sont attirés par la nature et tout ce qui touche à l’état primitif. Il s’agit de Bélier, Lion et Sagittaire. 
•Les signes de terre s’associent avec la sensation, la stabilité et l’utilité, la rationalité unie au conservatisme. Ils aiment le classicisme. C’est signes sont Taureau, Vierge et Capricorne. 
• Les signes d’air s’associent aux changements, à la pensée et la communication, la rationalité unie à la liberté. Ils aiment la modernité. Ces signes sont Gémeaux, Balance et Verseau. 
• Les signes d’eau s’associent à l’intuition, l’art et las sentiments, la sensibilité dans son état émotionnel. Ils sont attirés par le maternel, et ceux qui leur montrent de l’amour. Ces signes sont Cancer, Scorpion et Poisson.

Astrologue

Le rôle de l’astrologue, à travers l’étude des astres et par conséquent de votre carte astrale, est de vous montrez le chemin le plus court et authentique vous permettant d’atteindre un développement qui vous soit bénéfique. Je me sens très fières de porter ce titre, dont seuls les initiés connaissent sa portée.

Consultez le site référence 

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outils ésotériques de grande puissance

Posté par othoharmonie le 4 août 2013

Le pendule et la radiesthésie  

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La radiesthésie est la faculté de percevoir les “ondes” et les “radiations” qu’émettent les objets et les corps. Elle se réfère également à la capacité de prévoir des situations ou des moments critiques de notre vie. C’est une méthode divinatoire très efficace. Certaines personnes appelées radiesthésistes, possèdent une sensibilité spéciale leur permettant de détecter ces ondes et ils les utilisent pour prévoir des circonstances de la vie comme pour détecter des cours d’eau, des minéraux, des restes archéologiques, des trésors, des cadavres enterrés, des objets perdus, des personnes et des animaux disparus, etc. Pour cela, ils utilisent deux instruments: le pendule et la baguette de sourcier. Ces outils transmettent au radiesthésiste une espèce de vibration qui lui révèle le lieu où se trouve ce qu’il cherche et les réponses à ses questions.

Le pendule

Le pendule est un instrument utilisé par les radiesthésistes. Il consiste en une masse suspendu à un fil ou une chaine d’entre 5 et 25 centimètres de long, de forme sphérique ou allongée, confectionné généralement en métal, bois ou cristal.

Le pendule s’utilise en soutenant le fil ou la chaine avec le pouce et l’indexe, sans que les autres doigts touchent le fils du pendule. On suspend le pendule sur l’objet dont on veut tirer une information, en se concentrant sur l’élément d’interrogation et en formulant la question de manière à que le pendule puisse répondre par oui ou par non. Si le pendule tourne de façon circulaire dans un sens ou un autre selon les caractéristiques posées par la personne qui l’utilise. Le « oui » peut être déterminé par le mouvement circulaire des aiguilles de la montre et le « non » par le mouvement circulaire du pendule contraire aux aiguilles de la montre. Ou le contraire.

Pour cela, il est important de savoir comment se manifeste le pendule selon les caractéristiques de la personne. Quelques fois, il arrive que la question ne soit pas bien formulée et n’admette pas le « oui » et le « non » comme réponse. Dans ce cas le pendule aura un mouvement de va et vient avant arrière, sans rotation. Dans ce cas, il faudra reformuler la question.

La recherche d’animaux, de personnes et d’objets perdus est un usage courant du pendule. Pour cela, on utilise une carte. Dans ce cas, il est nous faut nous positionner en face de la carte et la diviser en cadran afin de passer le pendule sur chacun d’eux. Lorsque le pendule commence à tourner, il nous révèle la zone où se trouve l’objet ou la personne que nous cherchons. Il est préférable que la table où s’effectue le travail de radiesthésie soit en bois et que tous les objets métalliques, électriques et montres en soient éloignés. Les pieds ne doivent pas toucher le sol.

1. UN DES OUTILS LES PLUS PUISSANT DE VOYANCE

Le pendule est un des outils les plus puissants du monde de l’ésotérisme. Pour fonctionner, il ne lui faut aucun élément externe. Il ne faut rien invoquer ni personne. C’est en réalité la force personnelle qui en fait un élément divinatoire extraordinaire.

2. FONCTIONNEMENT DU PENDULE

En résumé, la base du fonctionnement du pendule repose sur la fait que l’esprit rentre en un état de conscience altérée dans laquelle s’ouvre un canal de perception extrasensoriel, principe fondamental de toutes les méthodes de divination. Une fois passé cette frontière, avec l’aide de l’intuition, des sensations et en gardant comme référence notre propre intérieur, nous pouvons entrevoir et connaitre les réponses à nos questions.

Notre vie comporte deux niveaux
•Un qui est notre vie de tous les jours, avec ses avatars terrestres 
•Un autre qui est le monde de la divination, de l’extra sensoriel, de l’occulte et de la voyance. 

Le pendule est une méthode de divination qui nous permet de savoir dans quelle partie du monde nous nous trouvons, car la ligne de séparation entre ces deux sphères est très fine.

Il nous faut savoir de quel coté nous trouvons nous, non seulement pour nous protéger, mais pour assurer notre stabilité en contrôlant à tout moment si ce que l’on ressent découle de la réalité quotidienne ou de ce que l’on peut ressentir d’autrui, de prémonitions ou d’autres sphères énergétiques.

Les trois bénéfices basiques de l’utilisation du pendule comme méthode de divination sont : 
•trouver la paix et la tranquillité personnelle
•trouver un bon support d’oracle divinatoire
•Trouver la force d’éliminer les problèmes du à l’ « autre monde » et ceci grâce à la voyance.

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

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Boule de cristal ou cristallomancie

Posté par othoharmonie le 4 août 2013

Boule de cristal ou cristallomancie dans Astrologie et Esotérisme images-10

Même si cet oracle de divination, le plus ancien et pratiqué du monde, semble bien complexe, il n’en est rien.

Il suffit de le pratiquer assidument, d’une bonne disposition et de patience. Cet art appelé cristallomancie est très ancien.

Naguère et ceci aux quatre coins du monde, on utilisait l’observation de sphère de cristal ou de verre et même des plans d’eau tranquilles outil de divination.

Il faut savoir que la technique de lecture de la boule de cristal trouve son origine dans les oracles de l’eau.

Mais pour pratiquer cet art, le recommandable est de disposer d’une boule de cristal. Si cela n’était pas le cas, on pourra la substituer par un récipient sphérique de cristal, du genre bocal à poisson, que l’on remplira d’eau.

Pour évoquer la boule de cristal, il est nécessaire de posséder des dons de voyance très développés, car dans le cristal rien ne se passe.

La boule de cristal est un moyen, un outil pour le clairvoyant. La personne entrainée peut y voir des couleurs, des images fugitives o nébuleuses, des couleurs, des symboles ou des voiles.

Il semble se produire une abstraction du temps et ce sui apparait dans le cristal peut avoir eu lieu dans le passé, dans le présent ou le futur.

Comment faire une voyance à l’aide d’une boule de cristal

Pour effectuer une voyance à l’aide d’une boule de cristal nous devrons d’abord trouver un lieu tranquille et peu illuminé.

Il n’est pas nécessaire de pratiquer ce type de voyance dans le noir comme on le croit souvent. Il est également faux que la boule de cristal puisse émettre des lumières comme il en apparait dans les films.

Nous aurons également besoin d’une table et d’une nappe de couleur noire. La table couverte de la nappe noire servira d’appuis à la boule de cristal. Le mieux sera qu’elle se trouve à quelques 30 cm au dessous de notre champ de vision. Des bougies doivent être mises de droite à gauche de la boule de cristal.

Afin d’optimiser notre voyance, il faudra nous relaxer, fermer les yeux, réaliser une respiration profonde et pausée et sans ouvrir les yeux, chercher à nous relaxer profondément. Il est recommandé d’interpréter la boule de cristal la nuit.

L’idéal sera que la consultation se fasse durant la Pleine Lune ou quant elle est ascendante. La chambre devra avoir de faibles lumières et la personne qui interprétera la boule de cristal devra s’assoir de dos à la source de lumière.

La chambre doit être plongée dans le silence. Il ne peut y avoir ni cheminée crépitant, ni musique, ni ventilateurs, ni murmures venant d’autres pièces. Les sons pouvant distraire l’esprit du processus de concentration.

En ouvrant les yeux, nous observerons le centre de la boule de cristal.

En respirant doucement, notre regard doit se perdre dans son intérieur.

Peu importe ce que l’on voit, la question est que les yeux doivent s’habituer à regarder.

Tandis que l’on continu à regarder la boule de cristal, le voyant doit poser ses mains autour sans la toucher et la regarder dans sa totalité.

On n’y verra pas d’image en mouvement mais seulement des taches et des lumières, plus tard avec la pratique on pourra distinguer des symboles et des chiffres.

Au fils du temps, on y trouvera des réponses sous forme de symboles. L’important est qu’au début, nous apprenions à nus relaxé, à regarder la boule de cristal et que nous obtenions des visions simples.

Lorsque l’on atteint la concentration parfaite, on formulera une question à voie haute et nous devrons attendre quelques secondes puis regarder le centre de la boule de cristal. On ne doit regarder que ce qui apparait, sans se questionner, simplement en prenant note mentalement pour que la pais puisse nous aider à interpréter l’image.

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

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La pratique et exemples de Rituels

Posté par othoharmonie le 4 août 2013

La pratique et exemples de Rituels dans Astrologie et Esotérisme abhinavagupta-inde-anime-300x233

Pour éviter le mauvais œil ou s’en débarrasser, il faut d’abord adopter une attitude positive. Mais certaine fois cela ne fonctionne pas. Et le pouvoir des mots, du sortilège oral ou mental se fait nécessaire. Tout indice de jalousie, souligné par un regard soutenu et fort doit être contrecarré par une invocation aussi simple que « Merci, Dieu vous bénisse » et lorsqu’il s’agit de quelque chose de négatif « qu’il retourne à la pierre » ou « qu’il s’accroche au sol ».

Cependant, lorsque le mauvais œil est plus fort, il est nécessaire d’aller consulter un voyant qui saura, à l’aide de formules et d’incantations, vous en débarrasser et ceci toujours depuis la bonté et la lumière

L’assainissement des espaces

Il existe un type d’énergie qui est nocive pour les corps physiques, mentaux, émotionnels et spirituels des personnes. Celle-ci peut occuper nos maisons.

Elles viennent souvent des personnes négatives avec qui nous sommes en contact, des lieux publics que nous visitons, des moyens de transport que nous utilisons, de notre bureau, de la rue, ect…

Pour s’en débarrasser, lorsqu’il s’agit de « sensations légères » de mal être dans un espace, nous pouvons procéder à une série de petits rituels magiques aussi simples que : •En arrivant à la maison, enlever ses chaussures, se changer, prendre un bain (si possible avec des huiles spéciales pour l’assainissement énergétique, comme par exemple, la lavande et le romarin) •Nettoyer sa maison avec une méthode de nettoyage énergétique, comme le charbon, l’encens,… •Ajouter au détergent habituel du vinaigre ou du gros sel dilué dans l’eau.

Il est également fondamental de créer un sanctuaire privé, pouvant être peu de chose mais permettant de canaliser et d’amener la paix dans votre maison et votre fort intérieur. Une image pieuse, peu importe la confession, une bougie blanche allumée avec attention, jamais avec un briquet, une petite prière, intérieure et sincère, de l’encens, des fleurs. Un lieu de protection et d’émanation. La tradition spirituelle gitane nous enseigne que tous les chemins qui nous amènent à Dieu sont bons à condition qu’ils soient sujets à la bonté et à l’absence de jalousie.

Les sortilèges

Depuis la nuit des temps, l’être humain a tenté de percer le mystère de l’incompréhensible afin de communiquer avec les forces naturelles et spirituelles qui l’entouraient. L’influence des forces visibles et invisibles s’unissent au travers des rituels magiques et des sortilèges après être passé par une transformation alchimique par la pensé, le cœur et le cœur de l’opérant.

Les puissances occultes mises en action par la Magie Blanche à travers des sortilèges créent des phénomènes palpables quelques fois difficiles d’expliquer pour ceux qui ne sont pas initiés.

En nous immergeant dans l’univers de la Magie Blanche nous serons à même d’accéder à d’autres dimensions. Ce chemin doit se faire avec le plus grand respect possible car elle met en jeu des forces d’une puissance inimaginable.

Sortilèges et Rituels gratuits

Les puissances occultes mises en mouvement par la Magie Blanche au travers des sortilèges et des rituels créent des phénomènes palpables quelques fois difficile d’expliquer pour les non-initiés.

En entrant dans l’univers de la Magie Blanche nous pourrons accéder à d’autres dimensions spirituelles. Ce chemin doit se faire avec le plus grand respect possible car il implique des forces d’une puissance inimaginable.

Exemples de Rituels

Sentimentaux : 
- Pour attirer à soi une personne 

- De magie blanche sexuelle 
- Récupérer un amour perdu 

Rituels Professionnels et économiques: 
- Pour accéder un succès professionnel 

- Pour améliorer son économie 

Autres rituels: 
- Pour réussir un examen 

- Pour améliorer sa santé 

En savoir plus sur les rituels et les sortilèges 
- En quoi consiste la Magie Blanche 

- Le sanctuaire privé: un lieu essentiel pour la pratique de la Magie Blanche 
- Le mauvais œil

 

 

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

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Interpréter Le marc de café

Posté par othoharmonie le 1 août 2013

 

Interpréter Le marc de café  dans Astrologie et Esotérisme marc

 

L’art de lire l’avenir dans le marc de café est une méthode divinatoire ancestrale qui trouve son origine dans les anciennes civilisations chinoises. En effet, ils avaient comme habitude de lire des présages au travers de nombreux éléments ? Les tasses de thé renversées ressemblaient, selon eux à des cloches. Les tasses ont été donc associées aux présages que les chinois avaient l’habitude de voir dans les cloches, et les dessins formés par les feuilles de thé furent dotées d’une signification divinatoire.

De ce fait, ce type de voyance peut s’effectuer avec n’importe quelle boisson qui laisse des résidus. Les Romains par exemple, interprétaient le future dans la lie de vin. Les dessins sont le résultat tant de facteurs personnels que d’éléments du hasard.

D’autres sociétés, ont utilisé des méthodes de voyance différente afin d’obtenir des symboles analogues. Au Moyen Age, les voyants plongeaient de l’étain ou du plomb incandescent dans de l’eau froide. Cette technique appelée molibdomancie est à mettre en relation avec les pratiques alchimistes de l’époque. Il existe également la chiromancie ou voyance par la cire qui fut très populaire au XVIII ième siècle.

La lecture du marc de café

Vous pouvez préparer votre boisson avec du café dit turc. Il faut en boire la presque totalité sans y ajouté de sucre. Remuez la tasse de façon circulaire et renversez-la dans une petite assiette. Vous pouvez également renverser les restes du café dans une assiette blanche et la remuez de façon circulaire et dans le sens des aiguilles d’une montre afin que le liquide s’étende sur les rebords de l’assiette.

Le marc de café se dispersera sur la superficie blanche de la tasse formant ainsi une série de symboles. La définition et l’interprétation des symboles du marc de café est la même que celle employé que celle du lecture du marc de thé.

Les tasses utilisées pour la voyance avec le marc de café ou de thé doivent être rondes et évasées. Leurs intérieurs doivent être lisses et sans décoration, de couleur blanc ou très clair.

Il est important que le consultant boive le café ou le thé en laissant assez de liquide pour pouvoir le renverser sur la petite assiette pour que la lecture du marc de café par la voyante soit réussie. Traditionnellement, le consultant doit prendre la tasse de la main gauche et la faire tourner 3 fois dans le sens des aiguilles d’une montre. Il faut ensuite laisser le liquide se reposer durant 7 secondes.

Après les 7 secondes passées, le consultant peut renverser la tasse et la prendre de manière à ce que l’anse de la tasse soit dirigée vers le consultant.

Il faut d’abord considérer l’aspect général des traces laissées par le marc de café dans la tasse: un grand nombre de trace indique une vie heureuse et pleine; un ensemble de traces de marc de café situé dans un coin de la tasse indique un esprit organisé et discipliné.

L’étude des symboles du marc de café

L’anse de la tasse représente le consultant. Les symboles du marc de café qui se trouve près de l’anse représentent donc les événements proches du foyer du consultant. Les symboles dessinés par le marc du café qui se trouvent orientés en direction de l’anse représente un voyage ou un départ. Certains voyants affirment que les événements du passé se trouvent situés dans la partie gauche de la tasse. Cependant, il est plus correct de lire la notion de temps verticalement dans la tasse. Les événements du présent ou du future proche se trouvent dessinés par le marc de café dans la bordure de la tasse et les prévisions plus lointaines apparaissent au fond. Un fond de tasse très chargée se considère comme un signe de mauvaise chance. – Lecture du marc de café. Comment le lire ? Son interprétation.

 

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

 

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En quoi consiste la Magie Blanche

Posté par othoharmonie le 1 août 2013

En quoi consiste la Magie Blanche dans Astrologie et Esotérisme magie

La doctrine de la Magie Blanche est quant à sa forme et les procédés qu’elle utilise tant variable comme l’histoire même du genre humain. Cependant, la Magie blanche est universelle quant à ses fondements car elle nous enseigne les Lois Universelles Matérielles et Immatérielles.

La Magie Blanche consiste en l’étude et la pratique de l’utilisation des forces secrètes de la nature. C’est une science pure et dangereuse comme toutes les sciences.la connaissance salvatrice que nous offre l’étude de la Magie Blanche consistent en l’art de savoir connaitre les forces théurgiques qui dominent le monde ainsi que la manière d’appliquer ces lois. L’univers entier et son fonctionnement sont étroitement impliqués.

En effet, si la science étudie les lois qui régissent le monde physique, visible, audible et tangible, la Magie Blanche englobe tous les plans de l’existence. La Magie Blanche est la seule qui puisse manier et connaitre l’interaction du plan physique et des sphères subtiles, non seulement en théories mais également en pratique et ceci à travers de ses rituels.

Le sanctuaire privé: un lieu essentiel pour la pratique de la Magie Blanche

Un rituel magique a besoin d’un sanctuaire privé. Il s’agit d’un lieu exclusivement dédié ai Travail Magique.

Cet endroit de votre appartement ou maison doit être réservé uniquement à cette activité. Cela ne doit pas être obligatoirement un lieu ample, deux ou trois mètres sont suffisant. L’important ne se trouve pas en la superficie du lieu mais en l’attitude psychique de la personne qui l’utilise.

En réalité, le véritable sanctuaire est en nous. Cependant, en ce qui concerne la magie, la concrétisation de ce lieu sacré est capital car les forces que l’on invoque doivent pouvoir trouver une efficacité maximum, se manifester à un niveau très dense, proche du plan physique.

L’installation du sanctuaire

Fondamental pour la réalisation des n’importe quel rituel magique ou sortilège:

•Disposez en un lieu tranquille de votre maison, al Est, où se lève le soleil, un petit autel. Cela peut être une table, une cheminée, une commode.

•Disposez au fond et à chaque extrémité de cet autel une bougie blanche, d’une vingtaines de centimètre.

•Entre ces deux bougie, mettez une Image Sainte, celle que sa religion admet. L’essentiel est que cette image devienne le canal d’une Force vibratoire élevée. La Vierge ou le Christ (s’il n’est pas en croix) pour les chrétiens, l’arbre de vie de la kabbale pour les Cabalistes, quelques versets du Coran consistent en d’excellents supports, les bouddhistes pourront utiliser une image ou une statue de Bouddha.

•Devant cette image, disposez un petit récipient de métal ou de terre réfractaire qui vous servira pour l’encens. Le mieux consiste à acquérir du charbon et de l’encens pontifical. Ce dernier est très recommandé de part la subtilité de son parfum et son efficacité magique. Le Djaouî blanc ou gris est également conseillé.

•De temps en temps veillez à arroser les tapis et les rideaux avec de l’essence de lavande ou de basilic.

•Veuillez à que la pièce soit très propre. Pensez à utiliser une petite coupelle pour les allumettes utilisées et les cendres du charbon.

•Ventilez souvent cet espace et approchez vous en chargé de pensées positives et d’attitudes respectueuses. Ne fumez pas dans cette pièce et évitez que les gens s’en approche.

Cependant, si l’installation de ce sanctuaire n’est pas possible, le rituel magique pourra se réaliser car l’essentiel réside dans l’attitude mentale et l’ouverture du cœur.

Les bougies personnelles et les bougies intentionnelles

Les bougies personnelles s’utilisent en magie blanche pour représenter les individus opérants o pour lesquels on opère un travail. Les bougies personnelles se déterminent par une couleur qui en relation avec le signe du zodiaque de l’individu. Généralement, ce signe est connu quant il s’agit de soi même ou d’un proche. Si vous ne connaissez pas le signe zodiacal de la personne, utilisez une bougie blanche

Le mauvais œil

Le mauvais œil est une réalité culturelle universelle. La force du regard, qui n’est autre que le un reflet de l’âme, peut influencer, volontairement ou pas, sur des sujets, des personnes spirituellement faibles. Des maladies subites, des malheurs qui se répètent, une apathie constante sont quelques un des indices d’un possible mauvais œil.

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

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Initiation aux cartes des tarots

Posté par othoharmonie le 1 août 2013

 

Préambule à une initiation au tarot

Le tarot s’utilise comme art divinatoire depuis le XVIIIème siècle.

Les cartes du tarot comme telles, sont beaucoup plus anciennes et datent du XIV ème.

Initiation aux cartes des tarots dans Astrologie et Esotérisme tarot

Les historiens du tarot lui donnent une origine fabuleuse. Du fait de son usage par les gitans et que longtemps l’on crut d’origine égyptienne, on a longtemps pensé que le tarot provenait de ces terres orientales. En réalité, les recherches actuelles ont démontré que l’origine des gitans se situe en Inde. De ce fait, il est possible de croire que le tarot ne provient pas de l’Egypte mais bien de l’Inde et qu’il fut diffusé dans le reste du monde grâce aux voyages de ce peuple nomade.

L’art du tarot se base sur la croyance de que rien n’est le fruit du hasard mais que tout procède d’un ordre préétablit. De ce fait, les cartes entremêlées restent étroitement liées magiquement entre elles et leurs influences se répercutent sur les personnes. Le tarologue doit être clairvoyant. Les cartes du tarot, par leur graphisme, leurs couleurs vives, stimulent le don de voyance du tarologue et l’obligent à centrer son esprit et à aiguiser les sens de son subconscient.

Le tarot, le jeu le plus riche et complet par son substrat symbolique développe l’intuition et la clairvoyance. Chacun de ses symboles possède une force active et permet de pénétrer la ligne de vie du consultant, de découvrir son passé et de connaitre son futur.

Pour les tarologues, la pratique du tarot conduit à une discipline morale. Une fois en contact avec le tarot, la personne clairvoyante ne peut plus tricher et se fait plus intuitif. En ordonnant son imagination créatrice, elle s’efforce pour arriver à développer une attention soutenue et acquière la volonté de comprendre les choses avec patience.

Arriver à avoir la conscience de soi même et comprendre qu’il existe des différents plans de conscience sont deux des principes fondamentaux de l’enseignement du tarot. Dans notre vie pleine d’énigmes, le tarot consiste en un ensemble cohérent qui représente la vie ésotérique de l’homme. Consulter le tarot consiste à chercher la vérité, un absolu qui se situ au-delà de l’illusion. Consulter le tarot s’est se diriger vers le monde magique du karma multiple.

Le mystère des origines du tarot

L’origine exacte du tarot reste un mystère. Cependant, son origine indienne est probable et le tarot serait arrivé jusqu’à nous par le peuple gitan, ces éternels nomades. La première référence écrite de l’existence des cartes du tarot date de l’interdiction de son usage en 1367 en Suisse pour motif religieux.

A cette époque, les cartes du tarot et les cartes à jouer en général étaient appelées en Italie naibbes et en Espagne naipes. Cette terminologie semble procéder de l’arabe naibi, venant lui-même de la racine naib d’origine indo pakistanaise, ce qui accrédite d’autant plus la thèse selon laquelle le tarot eut été introduit en Europe par les gitans, exilés d’Inde par Tamerlan.

Le potentiel symbolique du tarot

Le tarot peut sembler un simple divertissement. En réalité, le tarot, chargé de pouvoir, transmet une puissance effective au travers de ses figurations symboliques. Le tarot fixe notre attention, nous oblige à regarder et à imaginer. Un nouveau monde surgit, de découvre provocant une série de vision. Ces cartes archétypes du tarot réveillent les forces de notre subconscient. Le tarot provoque une rupture avec notre environnement habituel.

Cette vision du monde obtenue grâce à l’étude du tarot crée un système d’images analogiques grâce à un tissu de correspondances qui nous permet d’interpréter les cartes du tarot selon notre propre degré de connaissance.

De ce fait les interprétations peuvent varier selon les individus, selon leurs conceptions personnelles mais elles terminent toujours par des résultats similaires car chaque carte du tarot possède une valeur éternelle et unique.

Les arcanes majeurs du tarot peuvent se diviser en groupes symboliques.
• 6 personnages de haut rang social : l’Impératrice, l’Empereur, le Pape, la Papesse, l’Hermite et le Fou.
• 2 personnages allégoriques : le Diable et la Mort
• 4 vertus cardinales : la Justice, la Force, la Tempérance, la Force
• 3 éléments astronomiques : le Soleil, la Lune et les Etoiles
• Les difficultés de la vie sont représentées par : l’Amoureux et la Roue de la Fortune
• Les 4 éléments de la fatalité : le Char, la Tour, le Jugement et le Monde. 

Dans les cartes du tarot tout est symbolique. Depuis la taille de la carte (la hauteur est sensiblement le double de sa base, formant ainsi un carré large) jusqu’à la numérologie, les couleurs, les signes que nous découvrons dans chacune des figures.

Les couleurs du tarot

La répartition des couleurs dans les cartes du tarot n’est pas arbitraire, mais renforce l’aspect général de la carte. Il existe un choix déterminé quant à son élaboration. Les couleurs du Tarot de Marseille correspondent à des valeurs ésotériques.

Dans le tarot de Marseille, le bleu es la couleur dominante. Cette couleur foncée, de valeur nocturne, représente dans le tarot tout ce qui est passif, lunaire. Il représente dons les forces obscures de l’âme, les puissances occultes de la nuit. Avec ce ton froid, est représenté le secret, la valeur de l’anima.

Le rouge est présent dans chacune des cartes du tarot de Marseille. C’est la couleur de l’énergie, des manifestations de l’animus, du sang, de l’esprit qui domine l’instinct. C’est la connaissance ésotérique.

Le jaune figure en quantité beaucoup plus petite dans le tarot de Marseille, c’est la couleur chaude du soleil, de la lumière intellectuelle. Elle nous transporte vers l’éternité.

Le vert est également une couleur symbolique très importante car c’est la couleur de la mutation et de la renaissance.

Le fond des cartes du tarot est blanc. Le noir implique la passivité. On trouve également dans le tarot des tons d’ocre rosé, couleur de la chair. Tout ce qui tient de l’humanité apparait de cette couleur.

Quelques formes de tirages du tarot

1. Tirage du tarot en croix

croix dans Tarots et tirages CartesLe tirage du tarot en croix est une méthode d’interprétation tarologique proposée par Stanislas de Gaita au XIX ème siècle. C’est surement la méthode de divination par le tarot la plus utilisée. Pour ce tirage du tarot on utilise les arcanes majeurs (22 cartes). On utilise 4 cartes entre les 22.

- La 1ère carte(le positif) représente le consultant

- La 2ème carte (le négatif) indique quels sont les éléments généraux défavorables.

- La 3ème (la vibration) indique quelles sont les possibilités de la force majeure.

- La 4ème (la direction) indique le cadre général de la réponse.

La synthèse est la combinaison numérologique des cartes tirées. C’est-à-dire qu’il s’agit d’additionner la valeur chiffrée de chaque carte, chiffre indiqué sur la carte même. On additionne tous les chiffres et l’on interprète son résultat.

2. Etoile de Salomon

etoileL’étoile de Salomon est un tirage de cartes pour lequel on utilise uniquement les arcanes majeurs, excepté le Monde. Le consultant doit choisir 7 cartes de la main gauche et les disposer une par une afin de former une étoile de Salomon. Cette opération se répète 3 fois. De ce fait, à la fin, le jeu se trouve composé de 7 groupes de 3 cartes. Chaque groupe exprime une des catégories suivantes : présent, futur, désirs, surprise, ennemis, désirs du consultant. Les trois cartes du tarot qui composent chacune de ces catégories doivent s’interpréter dans leur ensemble. Ce tirage permet d’avoir une vision globale du présent et de l’avenir du consultant.

3. Le jeu de cartes : oui ou non

Le jeu du oui ou non est un tirage du tarot utilisant la totalité des arcanes majeurs. Premièrement, le consultant doit formuler une question à laquelle le tirage doit pouvoir répondre par oui ou par non. Lorsque la question est formulée clairement et avec précision, le consultant choisi un numéro entre 1 et 22. Le chiffre choisi correspond à un des 22 arcanes majeurs qui compose le jeu de tarot (par exemple, le Soleil correspond à l’arcane XIX).

Le consultant mélange et coupe les cartes du tarot. Il choisit les arcanes un par un formant ainsi 6 alignements en formes de pyramide renversée. La première ligne se compose de 6 cartes du tarot, chaque ligne qui suit est dotée d’une carte en moins que la précédente.

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ASTROLOGIE MONDIALE

Posté par othoharmonie le 20 juillet 2013

Les planètes

ASTROLOGIE MONDIALE dans Astrologie et Esotérisme images-i1

LE SOLEIL

 : Se distinguant des autres astres par sa masse et par le fait qu’il est la seule source de lumière, donc de chaleur et de vie de notre système, le Soleil marque en astrologie mondiale la même prééminence. Il représente avant tout les rois, les empereurs, les dictateurs, ceux dont le pouvoir est par essence illimité (en fait, le pouvoir royal n’était pas tel et procédait uniquement de « la grâce de Dieu »). Nous voulons dire que ce pouvoir ne doit pas être limité par des votes, des mandats, etc.
Par extension, on le consulte pour être renseigné sur l’autorité. Placé dans une carte collective, il représente l’essentiel de la collectivité, sa volonté et sa vie.
Dans le cadre d’une politique financière, il régit l’étalon-or. 
On remarquera combien de nos jours un pouvoir solaire « pur » est rare. Nous donnerons comme exemple frappant d’un tel pouvoir Napoléon Ier : Soleil en X, en dignité en Lion, maître donc du MC (les actes et le destin).

LA LUNE

 : Ses caractéristiques de mouvance, d’errance, d’éclipse, seront retenues. C’est un pouvoir qui procède avant tout du peuple (donc sans cesse remis en question).
Suffrage universel, réunions et discussions politiques, Parlement, masses populaires, consultations électorales, procèdent des influx lunaires. L’opinion publique, qui est essentiellement variable, dépend également de cet astre.
Sur le plan financier, l’argent, la terre, les récoltes. A notre époque de dévaluation (les diverses phases de la Lune, où sa masse apparaît distincte) on la préférera au Soleil pour ce qui tient aux questions monétaires.

MERCURE 

 : Le rôle de communication de Mercure est évidemment souverain. Il représente les écrivains, les intermédiaires, les journalistes, éditeurs, avocats, commerçants, professeurs, etc. Education nationale, presse, etc., sont gouvernées par lui.
Sur le plan financier, on peut lui attribuer (,surtout par ses aspects avec Jupiter) la Bourse.
Les influx mercuriens, tout d’habileté, sont insuffisants à donner la plénitude du pouvoir. Sans les appuis du Soleil, d’Uranus et de Saturne, les possibilités de la planète demeurent purement intellectuelles et ne parviennent pas à se concrétiser sur le plan immédiatement pratique et collectif.

VENUS 

 : C’est, contrairement à ce qu’on croit généralement, où on la cantonne dans un rôle purement formel, artistique, un astre très important en matière politique.
Planète magnétique, elle donne naissance à l’attachement qui se noue entre un leader et son auditoire. Elle gouverne la parole. Par la Balance, en matière internationale elle influence les traités.

MARS 

: La planète régit la guerre, les agressions brusquées (surtout en liaison avec Uranus), les militaires, la troupe, les armes, les blindés, les arsenaux, les ingénieurs, les armements, les usines. On peut le représenter avant tout, comme un facteur de violence ou d’action (suivant ses aspects et domiciles).

JUPITER 

: Avant tout il représente les lois, les sénateurs, les députés (par sa maîtrise sur le Cancer, son signe d’exaltation). Les diplomates, les dignitaires de l’Eglise, la justice, les traités, la magistrature, la classe possédante, etc., relèvent également de ses influx. Sur le plan économique, il régit importations et exportations, colonies, finances, etc. Les affaires étrangères, le sport, etc., sont sous sa domination.
On remarquera que Jupiter, pour donner la notoriété en matière politique, agit surtout par sa conjonction avec les luminaires. (Dans un destin politique, la conjonction Lune-Jupiter agit beaucoup en faveur de la popularité.)

SATURNE 

: D’une part des classes sociales : les paysans (les ouvriers en revanche sont sous la dominante de Mars) ; d’autre part des responsables politiques à l’échelon le plus élevé (haute administration). Enfin celui qui gère, organise, tisse des plans à longue échéance et possède le pouvoir, la science ou la connaissance. Sur le plan économique, les mines, les immeubles, le patrimoine immobilier, etc.

URANUS 

: L’astre gouverne la radio, la télévision, l’électricité, le téléphone, les relations internationales, les organismes communs à plusieurs pays (OTAN, OTASE, Marché Commun, ONU, etc.), qui se sont multipliés sous son influence. Planète des révolutions, Uranus signe les bouleversements subits, les mouvements ayant pour but un changement politique subit. Dans le domaine économique, automobile, aviation, fusées, transports nouveaux (aérotrain, transports par glissement d’air, etc.). Les moteurs à explosion, les explosifs, ressortent de son influence.
On doit remarquer que souvent, dans Uranus (à moins qu’il ne soit en bon aspect à Jupiter, ou au Soleil), il existe une part de bluff, ou de tromperie. Sous le masque de la fraternité se cachent d’ailleurs des intérêts bien précis. Un fait décisif qui montre bien que nous ne sommes pas encore dans l’ère du Verseau, est que les constructions politiques uraniennes, comme la Société des Nations (avant-guerre) ou l’Organisation des Nations-Unies (après-guerre) n’ont nullement empêché les conflits petits ou grands, conflit mondial pour la Société des Nations, guerre du Biafra, de l’Indochine, du Pakistan, d’Egypte-Israël, etc., pour l’ONU.

NEPTUNE 

: Le bluff et la tromperie sont plus apparents en ce qui concerne Neptune, dont les aspects violents entraînent des situations équivoques, des compromissions, comme par exemple, avant-guerre, « l’affaire Stavisky o. Les mouvements des pseudo-mages, les sociétés secrètes qui ajoutent au déséquilibre général, l’anarchie, etc., relèvent de son influence, tout comme le sionisme, le communisme, l’internationalisme prolétarien, le messianisme juif, etc. Tout ce qui est informulé, vague, s’étendant à toutes les nations, faisant fi des frontières nationales, non dans un but de fraternité, comme les bons aspects uraniens, mais dans un but de confusion, d’erreur et de tromperie. L’espionnage, le trafic d’armes, le trafic financier occulte, la spéculation forcenée, relèvent de cet astre. Egalement l’essence, les produits pétroliers, l’alcool, les stupéfiants, la contrebande, la fraude, les sous-marins, les scaphandriers, etc.

PLUTON 

: L’essence de son action est une destruction en vue d’une reconstruction. Sur le plan mondial Pluton représente l’atome et toutes les « forces de frappe » qu’avec une singulière inconscience l’homme amasse à grands frais dans ses arsenaux. Certains missiles tactiques français sont même dénommés « Pluton » !
C’est sous l’influence conjuguée de Neptune et de Pluton que furent construits les sous-marins atomiques.
Bien entendu, l’atome « pour la paix » avec les cyclotrons, les usines atomiques, etc., appartient également à Pluton, tout cela n’ayant de sens que par rapport à la bombe atomique, et servant à mieux la préparer.

Ex : dans les thèmes des leaders maoïstes chinois, on retrouve toujours un Pluton important.

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Faut-il des Mythes et de Légendes ?

Posté par othoharmonie le 20 juillet 2013

 

Avec Achille nous voici dans le mythe. Que penser des phrases d’Albert Camus ou de Simone Weil disant : « Il faut absolument s’arracher au mythe » ?

Faut-il des Mythes et de Légendes ? dans Astrologie et Esotérisme 24Tout dépend de ce qu’on appelle mythe, une notion difficile à circonscrire car là aussi les dimensions sont multiples. Prenons le mot grec, « mythos », qui veut dire récit, discours, parole. À l’origine et jusqu’au Vème siècle, mythos et logos ne sont pas différenciés, tous deux désignent la parole. Au fur et à mesure que vont se développer des formes d’écriture et de réflexion (la philosophie avec Platon et Aristote, l’histoire avec Hérodote et Thucydide, la médecine et d’autres traités de ce genre), mythos va se séparer de logos, parce que les auteurs vont utiliser le premier terme pour désigner ce que racontaient leurs devanciers et auquel ils ne croient plus. Effectuant une coupure, ils vont expliquer que mythos, c’est quand les gens racontaient n’importe quoi, répétaient de vieilles légendes invérifiables. Tandis que, dira Hérodote (et Thucydide encore plus), quand j’écris quelque chose, c’est toujours que j’ai vu ou entendu des gens qui ont participé aux événements, car moi, le mythos, pas question ! 

Alors, que sont ces histoires légendaires ? La façon dont les Grecs se représentaient leur lointain passé, l’origine du monde, la cosmogonie, les dieux, les héros. Mais le mythe, normalement, c’est oral, ça se transmet de bouche à oreille, et ce que les Grecs se transmettaient ainsi, il nous en reste uniquement ce qu’en ont fait des gens qui écrivaient : la poésie épique ou lyrique, la tragédie, la philosophie, l’histoire. Dès le VIIème siècle, beaucoup d’historiens commencent leurs récits par les dieux et les héros, qui sont pour nous légende et mythe. Pour la fondation d’Athènes, ils vont raconter comment Athéna, poursuivie par Héphaïstos, se refuse à lui. La semence d’Héphaïstos tombe sur sa cuisse, elle l’essuie avec un bout de laine qu’elle jette, et il va en naître Cécrops, mi-homme mi-serpent, fondateur d’Athènes. Et ils racontent cela comme ils vont raconter ensuite la vie de Solon, ou d’autres, qui deviennent pour nous des personnages de légende alors qu’ils sont réels. 

Quels étaient donc les principes mentaux qui présidaient aux mythes ?

Et pourquoi est-ce intéressant ?

Notez bien que je parle des mythes grecs, et non du mythe en général. Bien au contraire, je mets en garde contre l’idée qu’il existerait une fonction mythique, que le mythe serait une forme de pensée. Je crois que, comme les Grecs, il faut savoir remettre à leur place ces histoires légendaires. Quand Aristote ou Platon disent que ce sont des contes de nourrice, ils essaient de promouvoir d’autres formes de récit et de réflexion. Et le mot mythe sert maintenant à désigner toute croyance largement répandue, populaire, se diffusant très vite parce qu’elle correspond à un besoin d’explication à la fois simple et merveilleuse, et que les gens se révèlent prêts à croire n’importe quoi. C’est pourquoi il faut se garder des mythes sur l’islam, le progrès ou la science – qui sont des mythes aussi – et leur opposer une réflexion et une analyse basées sur une étude précise et objective des faits. 

Le mythe grec traduit une certaine vision de ce que sont le monde, l’homme, la vie, la mort, notre rapport au monde, au divin, à l’autre et à nous-mêmes. Il le traduit à travers une narration, sans conclusion. C’est dans le cours même du récit qu’on est amené à s’imprégner d’une certaine façon d’être au monde. Et l’être au monde des Grecs est modeste : on ne croit pas que tout est possible, que l’homme est maître de la nature et peut tout faire. Sentiment des limites, mais sentiment qu’à l’intérieur de ces limites, l’homme est responsable de ce qu’il fait. Pas de vérité imposée, pas de dogme.

Hésiode raconte l’histoire de l’origine du monde avec Chaos, Gaïa, Eros ; mais d’autres théories placent Okéanos et Thétys en premier, et les récits orphiques parlent d’un œuf cosmique où tout est confondu. Différentes façons d’expliquer un monde où chaque chose a un aspect défini, se distingue du reste, avec à la fois le jour et la nuit, le bien et le mal, le bonheur et le malheur, les contradictions de l’existence humaine. Pourquoi l’homme est-il mortel, malheureux, pourquoi doit-il travailler ? Hésiode, avec le mythe de Pandora, le raconte d’une façon incroyablement inventive et précise. Mais il existe d’autres versions, où Prométhée fabrique le premier homme et la première femme – ce qui n’est pas du tout la version d’Hésiode –, ou encore ils sont créés par des personnages héroïques qui échappent au déluge et jettent des pierres qui deviennent les hommes. Multiples versions, mais pas de vérité qui s’impose, ni de culpabilité ! Si l’on compare la Genèse et le mythe de Pandora, on voit que, contrairement à Eve qui a donné la pomme, Pandora n’a aucune responsabilité, aucune désobéissance, elle obéit strictement aux ordres de Zeus. Les hommes ne sont responsables en rien de leur destin, mais ils ont un destin : il faut naître, grandir puis mourir alors qu’au départ on était mêlé aux dieux, il n’y avait ni naissance, ni mort, ni parents, ni femme. Si tout le malheur s’ensuit, ce n’est pas la faute de la femme, c’est comme ça : acceptation d’une condition qui est faite de contradictions.

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une connexion directe avec l’invisible

Posté par othoharmonie le 8 juin 2013

Jane Roberts et Seth : Par Michka

 

Pendant plus de vingt ans, une femme écrivain a reçu d’une entité « ne se focalisant plus sur le monde physique » des messages qui forment un extraordinaire outil pour bien vivre.

une connexion directe avec l’invisible dans Astrologie et Esotérisme bougie-et-Jane Roberts est née dans l’Etat de New-York en 1929. Depuis son plus jeune âge, elle écrit des poèmes car, quand elle écrit de la poésie, elle a l’impression que « l’univers lui parle en direct ». En 1963, elle est mariée depuis 9 ans, son mari est peintre, elle a déjà publié plusieurs livres, lorsqu’elle fait l’expérience de rêves prémonitoires. Pour elle qui est cartésienne et sceptique, cette expérience est extrêmement déroutante. Son mari lui suggère d’écrire un livre sur la perception extrasensorielle, pour étudier la question. 

  Pour commencer, le couple emprunte, sans y croire, une planchette oui-ja. C’est une planchette sur laquelle se trouve un curseur que l’on tient à la main. On pose une question et le curseur semble parfois s’animer, pointant vers des lettres, ce qui permet d’épeler des mots. À la grande surprise du couple, la planchette livre des réponses cohérentes. Pire, les mots se forment dans la tête de Jane plus vite que le pointeur ne les épelle. Très vite, la réponse aux questions posées arrive, par la bouche de Jane, en paragraphes entiers, que Rob note scrupuleusement.

  Ainsi démarrent les premières sessions avec « l’essence de l’énergie d’une personnalité qui n’est plus focalisée sur le monde physique », et qui déclare s’appeler Seth. Seth ne nomme d’ailleurs jamais Jane et Rob par leurs prénoms usuels, mais, respectivement, Ruburt et Joseph – noms qui, selon lui, correspondent aux entités plus vastes dont sont issues leurs incarnations actuelles. Les propos de Seth, à la fois extraordinairement bienveillants et pleins d’humour, sont totalement pertinents sur le plan personnel, qu’il s’agisse des douleurs dans le dos de Rob ou de leurs rapports familiaux ; ils sont, enfin, d’une profondeur et d’une qualité qui emporte l’adhésion du couple qui, pourtant, ne croit pas – pas encore – à la survie de l’âme. Les sessions ont lieu deux soirs par semaine, dans le salon bien éclairé où se tient le fauteuil à bascule de Jane, faisant face à Rob. Quand elle parle pour Seth, Jane ôte ses lunettes ; ses yeux se font plus sombres, sa voix se fait plus masculine, avec un accent indéfinissable. 

  La bonté inhérente de l’espèce humaine 
La vie de Jane et de Rob devient vite inséparable du phénomène Seth. Cela suppose bien des transformations. Croire en la bonté inhérente de l’espèce humaine, en dépit des enseignements de Darwin et de la théorie de l’Évolution, selon laquelle seuls survivent les plus féroces (en réalité, dit Seth, le monde résulte d’une immense coopération, et l’univers conspire à la réalisation personnelle de tous). Cela suppose de croire en la bonté inhérente de l’individu, en dépit des enseignements de Freud, pour qui nos pulsions les plus profondes sont les plus destructrices. Pour Seth, la conscience précède la matière. Le monde a été rêvé avant de se matérialiser. Nous sommes sur Terre pour apprendre par l’expérience la façon dont nos pensées et nos croyances se matérialisent, pour apprendre à être des co-créateurs, pour faire, dans la joie et la compassion, l’expérience de notre individualité et augmenter, par là même, l’expérience de Tout-ce-qui-est. Loin de renier la chair, la spiritualité véritable comprend une saine appréciation des plaisirs charnels, propres au monde physique. La souffrance n’est pas bonne pour l’âme, sauf si elle enseigne à ne plus souffrir. Après plusieurs années de sessions privées, Seth se met à « écrire » des livres. Il les dicte mot à mot, sans la moindre hésitation, en spécifiant la ponctuation. Rob note scrupuleusement les paroles prononcées, ainsi que les circonstances extérieures – la date, l’heure, le chat qui saute sur les genoux de Jane, la vitesse à laquelle elle parle, le ton de sa voix, la cigarette qu’elle allume, le verre de vin qu’elle boit. Les livres de Seth – il en dictera huit – décrivent un univers multidimensionnel. Le monde physique en trois dimensions que nous connaissons n’est qu’un monde particulier dans un univers en création constante, dans lequel coexistent toutes sortes de mondes. Notre âme existait avant que nous naissions, elle existera après notre mort. Le temps et l’espace sont des illusions liées à notre système de perception, et nous existons simultanément dans différentes incarnations. Et, surtout, nous créons notre propre réalité. Nous la créons littéralement. Nos pensées, nos croyances, nos émotions forment la trame électromagnétique sur laquelle s’accroche la matière. Nous attirons ce sur quoi nous concentrons notre attention. 

  S’en remettre aux impulsions qui montent du moi profond 
Les années passent. La notoriété de Jane, de Rob et de Seth ne cesse de s’étendre. Les livres de Seth sont traduits en de multiples langues, vendus à des millions d’exemplaires dans le monde. Le couple vit simplement, à l’écart du monde, tout à son travail, répondant scrupuleusement à un volumineux courrier. Rob peint et rédige les notes qui accompagnent le matériau de Seth ; Jane continue à écrire ses propres livres, en plus de ceux dictés par Seth. Elle passe chaque jour de longues heures à son bureau, s’imposant des horaires d’écriture rigoureux. 

Or les déplacements de Jane sont de plus en plus limités par une forte raideur musculaire, qui donne lieu à de nombreuses communications de Seth. Convaincue qu’elle s’éparpillerait si elle ne s’imposait pas une discipline contraignante, Jane a pris l’habitude d’ignorer toute impulsion qui pourrait la distraire pendant ses heures de travail (aller se promener, jouer avec le chat, peindre une aquarelle, faire l’amour avec Rob). Seth affirme et réaffirme qu’elle doit avoir foi en son moi intérieur, qu’elle doit s’abandonner aux impulsions qui montent à sa conscience ; c’est ainsi qu’elle progressera le plus vite dans tous les domaines qui lui sont chers. 

Mais, au fil des ans, Jane a mis en place un garde fou tellement rigide qu’elle peine à s’en libérer. Son corps est de plus en plus raide, les mouvements de plus en plus difficiles. Ces « symptômes » – c’est le terme qu’emploie Seth, pour qui regrouper des symptômes sous une appellation médicale particulière ne fait que les renforcer, les figer dans un corps qui est en perpétuel changement – ces symptômes, donc, qui résultaient, à l’origine, d’un raidissement contre les tentations du monde, prennent une ampleur préoccupante. Jane les a sans doute entretenus, dans la mesure où ils constituaient une protection efficace contre un monde extérieur auquel elle ne souhaite pas être confrontée. Ils lui évitent, par exemple, de partir en tournée lors de la parution des livres, ou de se rendre sur les plateaux télévisés. Avec les années, cependant, les symptômes finissent par acquérir une telle inertie que Jane peine à s’en débarrasser. Son état s’améliore à chaque fois qu’elle cesse de s’inquiéter et reprend confiance, ils s’aggravent à chaque fois que l’anxiété prend le dessus. Elle finit par utiliser une chaise roulante pour se déplacer à l’intérieur de la maison. Finalement, Jane est hospitalisée. Les sessions continuent, lui apportant chaque fois une énergie renouvelée. Seth persiste à livrer un message plein d’espoir et de vie, tentant jusqu’à la fin de remettre Jane sur le chemin de la santé. Jane Roberts s’éteint en 1984, laissant derrière elle une œuvre unique. Jane Roberts, Rob Butts et Seth ont formé un inséparable trio. Selon Seth, ils ont en commun certaines données réincarnationnelles personnelles qui lui ont permis de parler par Jane (c’est pourquoi, précise-t-il, Jane est son unique interprète). Les livres de Seth (dont les manuscrits originaux sont légués à l’Université de Yale) présentent un système philosophique complexe, dépourvu de dogme et d’attaches culturelles – un univers d’une complexité inouïe, dont l’essentiel peut se résumer en peu de mots : vous êtes plus que votre corps physique, et vous créez votre propre réalité. 

  SETH, LE NOM 
Seth dit « je me donne le nom de Seth », sans autre explication. Il s’agit là, en tout cas d’un nom très ancien, puisque c’est aussi bien celui d’une divinité égyptienne que, selon la Genèse, celui du troisième enfant d’Adam et Ève (car, dit-Ève, « Dieu m’a donné un autre fils, pour remplacer Abel, qui a été tué par Caïn »). Dans la tradition biblique, Seth fait donc partie de la lignée des patriarches bibliques, d’Adam à Noé, père de l’humanité après le Déluge.

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L’Astrologie en 20 questions

Posté par othoharmonie le 8 juin 2013

 L'Astrologie en 20 questions dans Astrologie et Esotérisme astrologie

ISSU du site : http://www.boudry.net/

1. - QU’APPELLE-T-ON « UN THEME ASTROLOGIQUE » ?

L’état du ciel à la naissance. Avec l’heure, la date et le lieu de naissance, on établit ce qu’on appelle « une carte du ciel ». Les positions planétaires qui y figurent entraînent des déterminations astrologiques mais aussi des possibilités d’évolution. Seul un astrologue professionnel peut faire ce travail de synthèse. Ceci exclut naturellement les machines électroniques. De même, il serait inutile de demander à une machine à écrire d’imaginer « La Divine Comédie ». On peut seulement lui demander de la reproduire.

2. - QUELS SONT LES ELEMENTS DE CE THEME ASTROLOGIQUE ?

Les éléments de base sont au nombre de trois : 

A. Le Zodiaque, formé de douze signes :
Le Bélier, signe de feu entraînant à l’action, ver tout ce qui débute, vers un commencement.
Le Taureau, signe de terre déterminant la construction et tout ce qui accroît ou enrichit.
Les Gémeaux, signe d’air favorisant la multiplication ou la division, tout ce qui rattache un élément donné à un milieu voisin.
Le Cancer, signe d’eau créant fécondité et croissance secrète dans un milieu protégé, l’amnios ou la mer, tout ce qui est susceptible d’être fécondé et de naître.
Le Lion, signe de feu poussant à la force du moi, sa glorification, aux valeurs du jour ; à tout ce qui, à l’exemple du soleil, génère une lumière et un règne.
La Vierge, signe de terre rassemblant tout ce qu’on peut récolter, tout ce qui nécessite un travail préalable donnant lieu à une discrimination ou un examen.
La Balance, signe d’air déterminant la recherche d’un équilibre, le moi soumis à un moi social, le jugement. 
Le Scorpion, signe d’eau entraînant au secret, aux ressources profondes, à tout ce qui est susceptible de mourir et donc de renaître, à tout ce qui peut bénéficier d’une initiation, c’est-à-dire d’un recommencement.
Le Sagittaire, signe de feu montrant une direction un progrès, un enseignement, tout ce qui peut donner lieu à un dépassement sur le plan individuel ou collectif.
Le Capricorne, signe de terre régissant les force poussant à une élévation, un pouvoir ou une connaissance universels.
Le Verseau, signe d’air imposant un progrès, un éclatement, une rupture avec l’ordre antérieur ou une fraternité.
Les Poissons, signe d’eau entraînant à une fuite ou une fusion avec l’universel.

B. Les astres, qu’on appelle des « planètes ».
Le Soleil, qui correspond au coeur du système solaire, et donc de la carte du ciel. Il est le symbole de la vie.
La Lune, qui symbolise la nourriture, la mère, l’opinion.
Mercure, qui régit l’intelligence, les écrits, les fonctions de relation, l’entourage.
Vénus, qui gouverne l’amour, l’adhésion sociale. 
Mars, qui correspond à la guerre, au combat. 
Jupiter, qui détermine le jugement, la loi.
Saturne, qui correspond à la connaissance ou au pouvoir.
Uranus, qui régit l’invention, le progrès, l’amitié. 
Neptune, qui symbolise la foi, la religion, l’inspiration.
Pluton, qui gouverne la sexualité, la mort, l’initiation ou la magie.

C. Les « maisons », qui sont les secteurs d’influence des planètes.
La maison I : le moi physique.

La maison II : les biens, l’accroissement.
La maison III : l’entourage, les voisins, l’intellect. 
La maison IV : le foyer, le patrimoine.
La maison V : l’amour, la création. 
La maison VI : le travail.
La maison VII : les contrats, le mariage.
La maison VIII : la sexualité et la mort, la régénération.
La maison IX : les hautes facultés de l’esprit, l’étrange: 
La maison X : le pouvoir, le destin, les actes.
La maison XI : la publicité, les amis. 
La maison XII : l’introversion.
En réalité, les correspondances se chiffrent par milliard et le principe d’analogie demeure l’outil de travail privilégié de l’astrologue.

3. - POUR DRESSER UN THEME ASTROLOGIQUE SUFFIT-IL DE CONNAITRE SA DATE, SON HEURE ET SON LIEU DE NAISSANCE ?

Oui. Ces renseignements nous situent dans l’univers.

4. - EN SOMME, UN THEME ASTROLOGIQUE S’AVERE LE RESUME DE NOTRE DESTIN ET DE NOTRE MISSION SUR TERRE ?

Oui.

5. - UN PROFANE PEUT-IL DRESSER CE THEME ASTROLOGIQUE ?

Rien de plus simple, avec une Table des maisons, de éphémérides planétaires, et un manuel pratique et clair. 

6. - DE LA NAISSANCE A LA MORT, NOUS SUIVONS DONC EN QUELQUE SORTE UN ITINERAIRE ? L’ASTROLOGIE SERAIT AINSI LA CONNAISSANCE DE CET ITINERAIRE ET NOUS PERMETTRAIT DE CONNAITRE NOTRE VOIE LA PLUS PROPICE ?

Elle vise à accroître notre force, à supprimer la peur, l’ignorance et à renforcer notre volonté. Bien comprise, elle nous enseigne à obéir à tout ce qui est clarté.

7. - TOUS LES ASTROLOGUES ONT-ILS LA MEME CONCEPTION DE L’ASTROLOGIE ?

Non. Beaucoup, faute de la connaître, y voient une sorte de pseudo-psychanalyse, y ajoutent leurs propres problèmes, leurs conflits qu’ils n’ont pu sublimer, et aboutissent ainsi à des erreurs navrantes. D’autres encore, uniquement mûs par le profit, présentent sous ce vocable l’une de ses multiples caricatures.

8. - L’ASTROLOGIE PEUT-ELLE S’ENSEIGNER ? 

Oui.

9. - QU’APPELLE-T-ON « LA TRADITION» ?

L’ensemble des rapports entretenus fidèlement entre l’homme et la Divinité, selon des lois d’équilibre et de respect de la volonté divine qui font la cité humaine correspondre au Cosmos, telle la règle d’or : « ce qui est en est en haut est comme ce qui en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Ce qui est multiple se modèle sur l’Unité. Ce qui est périssable se réfère à ce qui est Eternel. Ce qui est corruptible se tourne vers ce qui est incorruptible. Ce qui change se soumet à ce qui ne peut changer. Du point de vue physique – la Divinité oeuvrant sur ce plan par l’Incarnation – ces rapports sont définis par les astres. La connaissance des lois astrales forme l’astrologie qui descend donc de l’Unité vers l’humain et part de l’homme pour aboutir à Dieu. Sur le plan physique, ces rapports entre Dieu et l’homme et entre l’homme et l’Unité Suprême sont symbolisés par la propagation de l’onde lumineuse et par les rythmes cycliques des phénomènes du Cosmos.

10. - QU’EST-CE QUE L’INITIATION ?

L’initiation est, après leur compréhension, la soumission à ces lois cosmiques.

11. - QUELLE EST LA DIFF’ERENCE ENTRE SCIENCE ET L’ASTROLOGIE ?
La science est l’hypothèse du moment. Par définition elle s’interdit les rapports de l’homme avec Dieu. Or, en Dieu et en Lui seul se situe l’éternité. L’astrologie ne regarde vers Dieu et ne s’occupe de son oeuvre que pour y étudier son action. Elle représente donc par définition l’étude des rapports qu’entretient toute chose créée avec son Créateur. Elle étudie l’Unité et les rapports – force, temps, espace – de tout ce qui tourne et progresse en fonction de cette Unité et autour d’Elle.

12. - L’ASTROLOGIE EST DONC DEISTE ?

Il ne peut y avoir d’astrologie sans connaissance de Dieu. Le meilleur astrologue serait donc l’homme le plus proche de Dieu, c’est-à-dire de la Connaissance absolue.

13. - L’ASTROLOGIE A-T-ELLE UN DOGME, UN SYSTEME POLITIQUE PREFERES ?

L’astrologie se place en dehors de toute religion, de tout dogme et de tout système politique.

14. - QUELS SONT LES MOTS LES PLUS IMPORTANTS EN ASTROLOGIE ?

Ceux symbolisés par le Soleil : volonté et amour.

15. - L’ASTROLOGIE PERMET-ELLE D’ABORDER DIEU ?

Oui, par la connaissance de son langage, celui de la lumière. Cette lumière se révèle à chacun de nous par notre naissance dans l’un des douze signes du Zodiaque, qui nous a fait prendre part à l’évolution du grand Tout.

16. - QUEL EST LE ROLE VERITABLE DE L’ASTROLOGIE ?

Un rôle de libération.

17. - POURQUOI L’ASTROLOGIE EST-ELLE REJETEE, NIEE OU MAL COMPRISE A L’HEURE ACTUELLE ?

Parce qu’une société basée sur un déséquilibre permanent refuse le langage de Dieu – la lumière – au profit de l’illusoire primauté de la matière. Rejetant ce qui est incorruptible et faisant sien ce qui est corruptible, elle se condamne du même coup.

18. - IL EST DE MULTIPLES FAÇONS DE SE CONNAITRE (TESTS, GRAPHOLOGIE, CARACTEROLOGIE, ETC…). QUELLE EST, SI ELLE EXISTE, LA SUPERIORITE DE L’ASTROLOGIE SUR CES MOYENS ?

A côté de l’homme et au-dessus de lui, elle introduit par le langage de la lumière et des astres, son Créateur. Seule donc, elle montre la Voie qui est Une.

19.- QUE RECLAME L’ASTROLOGIE, SUR LE PLAN INTELLECTUEL ?

Le sens de l’observation et la logique.

20. - QUEL EST, LE DERNIER MOT DE L’ASTROLOGIE ?

Le mot « Unité ».

bonjour14 dans Astrologie et Esotérisme

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Esotérisme et occultisme

Posté par othoharmonie le 6 mai 2013

Enseignements de la Sagesse éternelle

Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

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 Esotérisme et occultisme dans Astrologie et Esotérisme esoterisme

RO. Avant de poursuivre cet entretien, j’aimerais vous demander de clarifier deux mots. Vous venez d’introduire la notion d’ésotérisme, qui est souvent appelé occultisme. Que signifient, à proprement parler, ces deux mots ?

BC. Esotérique ou occulte signifie  » caché « . C’est-à-dire caché pendant une période donnée, mais pas de manière définitive, caché cependant parce qu’à ce point précis d’évolution de la race humaine, ces notions sont pratiquement inconnues et inacceptables pour tout le monde, si ce n’est d’un nombre relativement restreint d’initiés et de disciples de ceux qui transmettent les enseignements. Pour l’humanité en général c’est quelque chose d’inconnu, donc d’ésotérique ou d’occulte.

Différents groupes religieux ont donné au mot  » occulte  » une connotation plutôt péjorative ; comme s’il s’agissait de quelque chose de sombre, de mauvais, qui a trait à des pratiques infâmes, à l’adoration du démon, etc. C’est une conception totalement erronée du sens du mot occulte. Occulte signifie simplement caché, et spécialement la connaissance cachée ou science des énergies à la base du processus évolutif. L’ésotérisme pourrait être considéré comme la philosophie du processus d’évolution, et l’occultisme comme la science des énergies entraînant ce processus.

RO. Lorsque vous parlez d’énergies, cela fait, bien sûr, immédiatement penser à la science, parce que la science traite de l’énergie. Vous êtes en train de dire que même la religion a un fondement énergétique, et par conséquent scientifique ?

BC. Oui, certainement. Toutes les religions sont l’expression d’enseignements qui, du fond des âges, ont permis à l’humanité de rester, plus ou moins, reliée à ce que nous appelons Dieu – Dieu étant, dans le sens ésotérique, la somme totale de toutes les Lois et de toutes les énergies gouvernées par ces Lois dans l’univers manifesté et non manifesté. Ainsi Dieu est-il impersonnel. Néanmoins, ce Dieu transcendant se manifeste dans tous les aspects de la création, y compris nous-mêmes. Nous ne sommes pas séparés de cette création, ni de Dieu par conséquent. Tout être humain possède, à l’état latent, la capacité de connaître, d’être conscient de chaque aspect de la création que nous pouvons considérer comme la manifestation de Dieu.

La Hiérarchie Spirituelle

RO. Vous avez indiqué auparavant que ces enseignements étaient donnés périodiquement et qu’ils avaient été transmis plus récemment par l’intermédiaire d’Helena Blavatsky et d’Alice Bailey. Comment l’information leur est-elle parvenue ? D’où venait-elle pour qu’elles puissent la recevoir et nous la communiquer ?

BC. En ce qui concerne Madame Blavatsky, elle l’a reçue d’un groupe de Maîtres avec qui elle a vécu pendant quelques années dans l’Himalaya. Les Maîtres ont franchi les étapes du processus évolutif dans lequel nous sommes toujours engagés et ont appris comment fonctionne l’évolution, en quoi elle consiste. Ce sont des Maîtres, mais nullement dans un sens autoritaire ; ils sont Maîtres d’eux-mêmes et des forces de la nature. Ils ont la pleine conscience et la maîtrise totale sur tous les plans de notre planète.

RO. Et je présume que c’est de ce niveau d’accomplissement humain que sont venus les grands instructeurs de tous les temps ?

BC. Oui, absolument. Chaque nouveau cycle cosmique – nous entrons actuellement dans l’un deux, l’âge du Verseau – amène un instructeur dans le monde. Des êtres comme Hercule et Hermès, Rama, Mithra, Vyasa, Zoroastre, Confucius, Krishna, Shankaracharya, le Bouddha, le Christ, Mahomet, sont tous des Maîtres qui sont venus du même centre spirituel de la planète, appelé la Hiérarchie spirituelle ou la Hiérarchie ésotérique, qui est composée des Maîtres et de leurs initiés et disciples de différents degrés.

RO. Le  » centre spirituel de la planète  » ?

BC. Il s’agit de la Hiérarchie spirituelle, du Royaume de Dieu, du Règne spirituel. On l’appelle aussi le Royaume des Ames.

RO. Il s’agit donc d’un état d’être, et non d’un lieu ?

BC. Oui. Les chrétiens attendent que le Royaume de Dieu descende sur la Terre, lorsque nous serons assez bons pour le mériter. En fait, il a toujours été là, derrière l’écran ; il est composé de ces hommes et de ces femmes qui, en élargissant leur conscience (et donc en faisant la démonstration de leur divinité), se sont rendus dignes de séjourner dans le Royaume de Dieu, le Règne spirituel.

RO. Est-ce à quoi se réfèrent les Ecritures en mentionnant le  » Royaume des Cieux parmi nous  » ?

BC. Le Christ a dit par l’intermédiaire de Jésus que le Royaume des Cieux était en nous. Ne le cherchez pas à l’extérieur ou là-haut, il est en vous. Et c’est vrai, c’est un état de conscience. Si vous parvenez à cet état de conscience, vous êtes dans le Royaume de Dieu.

Dieu

RO. Et Dieu dans tout cela ? Qui est-il ? Où est-il ? Quel lien y a-t-il entre lui, la Hiérarchie spirituelle et nous-mêmes ?

BC. Eh bien, Dieu, dois-je dire, est un concept très relatif. Nous-mêmes sommes des dieux, mais, pour l’instant, nous ne manifestons guère cette divinité. Avec le temps, à travers le processus de l’évolution, nous la manifesterons, tout comme les Maîtres le font actuellement. Les Maîtres sont des dieux réalisés, ce qui est un état bien spécifique, en ce sens qu’ils ont réussi à fusionner totalement leur conscience, en tant qu’étincelle divine, l’Absolu, le Soi, avec leur manifestation en tant qu’hommes sur le plan physique : la personnalité et l’aspect divin sont totalement intégrés. C’est la réalisation du Soi ou réalisation de Dieu. Nous-mêmes sommes à un certain stade de ce développement.

RO. Et Dieu en dehors de nous ?

BC. Dieu est aussi le grand Etre cosmique qui est l’âme de cette planète. Notre planète, en dépit de son aspect bien matériel, avec ses villes, ses avions, ses studios de télévisions et tout le reste, est, en fait, le corps de manifestation d’un Etre cosmique qui lui donne vie, et qui a un plan d’évolution pour tous les règnes de la nature, y compris, bien sûr, le règne humain.

Ce qui se passe, en réalité, c’est que tous, à nos différents niveaux, depuis le règne minéral jusqu’au Royaume de Dieu lui-même, nous participons à un processus d’évolution dont l’ensemble fera de notre planète une expression parfaite de la forme-pensée qui existe dans le mental du Logos créateur.

RO. Vous avez parlé de Dieu en tant qu’âme de cette planète. Existe-t-il un autre Dieu ou un niveau de conscience encore plus élevé ?

BC. Oui, bien sûr ; il y a le Dieu qui est l’âme de notre système solaire. Notre Logos planétaire n’est qu’une partie, un centre dans le corps du Logos solaire, qui est lui-même un centre dans le corps du Logos galactique. Et ainsi de suite, galaxie après galaxie. Dieu est sans fin, il est transcendant, et aussi immanent dans chaque partie de la création. Chaque aspect de Dieu, y compris nous-mêmes, a le potentiel de connaître un jour et d’être cette totalité, et de travailler avec les énergies qui créent l’univers.

RO. Chaque religion présente Dieu d’une manière différente. Les religions orientales ont leur conception particulière de Dieu. En Occident, on le voit plutôt avec une forme définie et qui nous ressemble d’une certaine façon. Ces deux conceptions sont-elles valables ? Chacune présente-t-elle une part de vérité ? Dieu est-il tout cela ?

BC. Oui, je crois que ces deux conceptions sont exactes. Dieu est tout ce qui existe, et tout l’espace entre ce qui existe, entre vous et moi, et autour de nous, autour de chaque chose. Tout cela est Dieu. Dieu se manifeste à travers sa création, qui est faite d’énergies à différents taux de vibration. Chaque forme dépend de la fréquence particulière du noyau et des électrons qui la composent. La science moderne a su briser la structure cellulaire et montrer qu’au centre de chaque atome se trouve un noyau entouré d’électrons, vibrant à un taux spécifique, et que tous les atomes dans l’univers sont faits de la même manière. Dans tout l’univers manifesté, il n’existe rien d’autre que de l’énergie. La différence entre cette conception totalement scientifique et celle que soutiendrait un ésotériste est que l’ésotériste va plus loin et dit qu’en effet tout est énergie, mais que, de plus, l’énergie suit la pensée, que la pensée agit sur elle. La pensée est le principe moteur de la création.

RO. Je voudrais revenir en arrière un instant pour élucider un point précis. Vous parlez en effet de Dieu, en tant qu’énergie, imprégnant et traversant toute chose. Mais beaucoup de gens ont appris, par leur éducation, à considérer Dieu comme quelqu’un qui a créé l’univers, créé le monde, l’a mis en mouvement, et qui depuis se tient un peu à l’écart tandis que cet univers traverse ses cycles, et que les gens se débattent avec leurs problèmes, essaient de se débarrasser de leurs péchés, etc.

BC. Dieu, dans ce sens, est transcendant. Mais il est aussi immanent, présent dans chaque aspect de la création. La création elle-même peut parvenir à connaître Dieu dans son aspect transcendant, et voir qu’il n’y a en fait aucune division entre Dieu transcendant et Dieu immanent. Nous ne sommes pas séparés de Dieu comme on nous a appris à le croire.

Lire la suite ici …. 

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ASTROLOGIE HORAIRE

Posté par othoharmonie le 6 mai 2013

 ASTROLOGIE HORAIRE dans Astrologie et Esotérisme horaire

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La règle d’or est d’ériger la carte du ciel pour le moment où la question se pose à vous ou vous est posée.

L’astrologie horaire érige, tout comme l’astrologie judiciaire, appelée aussi généthliaque ou traditionnelle, une carte du ciel. Elle le fait dans les mêmes conditions mais, au lieu que ce soit pour une naissance, celle d’un être humain, elle s’y emploie à l’occasion d’un fait déterminé, dont elle entend signifier les conséquences, la conclusion ou le temps. Ainsi pour un voyage, un amour, un mariage, un accident de santé, etc…

Maisons, signes, planètes, etc., sont identiques.

ASTROLOGIE HORAIRE
( Comment dresser une carte )

La règle d’or est d’ériger la carte du ciel pour le moment où la question se pose à vous ou vous est posée.

Imaginez par exemple que l’on vous téléphone que l’un de vos enfants ait été victime d’un accident. Vous reposez le téléphone ; vous vous demandez bien légitimement : « Quelles vont être les conséquences de cet accident ? Sera-t-il grave ? »

II est, mettons, 10 h. 10 du matin. Vous prenez les éphémérides, une table des maisons, et vous dressez une carte du ciel. Elle sera valable (c’est-à-dire : la question pourra être interprétée par l’examen de cette carte) si l’ascendant est hors des deux premiers ou des deux derniers degrés d’un signe. Ainsi si l’ascendant est à 1° 55′ du signe du Taureau, ou à 28° 43′ du signe des Poissons, vous ne pouvez pas interpréter la question. Il convient alors de ne pas utiliser l’astrologie horaire.

Dans tous les autres cas, c’est-à-dire lorsque l’ascendant se trouve hors des deux premiers degrés ou des deux derniers degrés d’un signe, la question peut être valablement interprétée.
Vous dressez la carte pour le lieu où vous vous trouvez. Il s’agit de calculer en premier l’heure de Greenwich, qui servira pour placer les planètes, puis l’heure locale qui permettra de trouver les maisons, donc d’orienter le thème.

Comment procéder pour soi-même ?

Peut-on dresser une carte d’astrologie horaire pour soi ? Réponse : naturellement. Imaginons que vous tombiez amoureux. Vous venez de rencontrer une femme, vous désirez savoir quelles seront les suites de cette rencontre.

Vous notez l’heure. Vous faites les corrections nécessaires (heure de Greenwich, heure locale) puis vous posez la question : « Quelles vont être les suites de cette rencontre, au point de vue affectif, avec Mme ou Mlle X… ? »

Si l’ascendant tombe hors des deux premiers degrés ou des deux derniers degrés d’un signe du Zodiaque, votre question est valable. Tout ce qui vous est demandé par le ciel est une extrême sincérité. Il est bien évident qu’il faut prendre un réel intérêt à la question, il s’agit (tout comme dans le Tarot, le Yi-King, etc.) d’être sincère et loyal vis-à-vis de soi-même (et des autres).

Dans la pratique, ce qui est difficile, c’est la détermination de la maison de la question.
Vous-même, à titre de Consultant, serez toujours représenté par la maison I, le maître de I, éventuellement les planètes en maison I, et la Lune.

Nous trouvons là une importante distinction avec l’astrologie natale, érigée pour n’importe quelle naissance : le Consultant est non seulement représenté par l’ascendant, son maître, il l’est aussi par la Lune.

Nous aurions pû en conséquence baptiser l’astrologie horaire du nom de la planète la plus rapide du Zodiaque, du nom d’Astrologie lunaire.

Lire la suite sur le site d’origine…. http://www.boudry.net/sentiment-horaire.html

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ASTROLOGIE MEDICALE

Posté par othoharmonie le 6 mai 2013

ASTROLOGIE MEDICALE dans Astrologie et Esotérisme 10 

les ascendants et la santé

les planètes régissant les organes et fonctions physiologiques

aspects des astres entre eux sur le plan physiologique

maisons gouvernant santé ou maladie

thèmes d’exemple: 
troubles cardiaques
 - maladies du foie - leucémie - stérilité masculine - accidents -

destin tragique

L’astrologie médicale demande un jugement sûr, une grande charité pour autrui, un tact et une grande compassion en plus des connaissances proprement astrologiques. 
L’astrologie médicale reste avant tout une science d’observation.

medical dans Astrologie et Esotérisme

Un homéopathe peut guérir tout aussi bien qu’un acuponcteur ou un praticien allopathe limitant ses prescriptions à des remèdes essentiels et prudents. Mais la plupart des maladies proviennent d’une tricherie avec les lois de la vie, non pas du malade lui-même le plus souvent, mais de ses ascendants. Les maladies de dégénérescence, les cardiopathies, les tumeurs, les épidémies, les névroses, tout cela est le signe d’une civilisation brouillée avec elle-même et se hâtant terriblement vers sa fin. Dans cette optique, on peut dire que chacun de nous doit essayer de retrouver les véritables principes d’une vie saine.

L’astrologie médicale demande un jugement sûr, une grande charité pour autrui, un tact et une grande compassion en plus des connaissances proprement astrologiques. 
L’astrologie médicale reste avant tout une science d’observation.

LES ASCENDANTS

ASCENDANT BELIER : gouverne la tête, le cerveau, le nez. Le physique Bélier ressemble souvent à une tête de mouton. Le nez est généralement aquilin. Un tel ascendant donne beaucoup d’initiative sur le plan moral; on tend à prendre la tête de quelque chose. 

Au point de vue physiologique, les maladies des reins, les fièvres cérébrales, la surdité, les troubles oculaires et les accidents se rencontrent en accord avec les afflictions planétaires.

ASCENDANT TAUREAU : gouverne le cou, la nuque, les dents, la mâchoire, le larynx, les organes de la phonation, la trachée-artère. Le physique Taureau ressemble, par son teint très coloré et ses fortes épaules, à l’animal ayant donné son nom au signe.

Un tel ascendant accorde beaucoup de solidité et doit faire craindre les colères du natif. La ténacité et la puissance de travail sont des traits marquants sur le plan psychologique, mais aussi la gourmandise et la sensualité. En général un tel ascendant accorde le don d’organiser ou de gérer et la possibilité d’incarner quelque chose ou de bâtir, avec des perspectives de durée. La fidélité aux instincts est puissante.

Au point de vue physiologique, les maladies de la gorge et des reins sont les plus fréquentes ainsi que les troubles osseux de la colonne vertébrale. Un tel physique est pourtant un des plus puissant du Zodiaque.

Lire la suite ici …. http://www.boudry.net/ascendants-medical.html

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Origine, et histoire des mois

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2012

Les Romains commençaient l’année au premier mars ; c’est d’après eux que les mois de septembre, octobre, novembre et décembre conservent encore aujourd’hui leur dénomination dans le calendrier romain

Origine, et histoire des mois dans Astrologie et Esotérisme roue-270x300Sous la monarchie française, l’année catholique commença à Noël et à Pâques. L’année, commençant à Pâques, était tantôt de onze mois et tantôt de treize, suivant le détour de la lune, ce qui devait gêner le commerce. En 1564, un édit de Charles IX fit invariablement commencer l’année au premier janvier 1565. Cet édit fut suivi en France jusqu’en 1792, où la république succéda à la monarchie, et changea entièrement l’ordre et le nom du calendrier. L’année commença au 22 septembre. Les noms des mois anciens furent remplacés par des noms analogues aux fleurs, aux prés, aux saisons, etc.

Tous les mois de cet annuaire étaient de trente jours ; plus, cinq jours complémentaires pour les années ordinaires, et six pour les années bissextiles. Les saints de l’ancien calendrier étaient remplacés par les noms des légumes et des arbres, ou par ceux des grands hommes de chaque siècle, en attendant que la France eût compté ses mois et ses jours par ses héros, ou par ses personnages célèbres dans sa révolution, et dans celle des autres peuples.

En 1806, deux ans après l’élection de Bonaparte comme Empereur, le calendrier républicain est réformé, et la France adopte deux annuaires, celui de l’empire, qui répond au 2 décembre, premier de l’empire ; et l’ancien, nommé calendrier grégorien, qui commence au premier janvier. Ce retour à l’ancien ordre des choses a ramené les anciens usages des visites, des compliments, et surtout des étrennes, dont l’origine date de loin.

   etoiles-00052 dans Astrologie et Esotérisme      Histoire du mois de janvier   etoiles-000521

220px-Les_Tr%C3%A8s_Riches_Heures_du_duc_de_Berry_JanvierRomulus composa l’année de dix mois ; Numa Pompilus y ajouta ceux de janvier et février. Les calendes de janvier étaient particulièrement consacrées au dieu Janus, dont les deux visages regardaient l’année qui venait de finir et celle où l’on entrait. On offrait à ce dieu, dans le cours de la première journée, le gâteau nommé janual, des dattes, des figues et du miel ; les artistes et les artisans ébauchaient la matière de leurs ouvrages, persuadés que le travail de ce jour leur assurait une année favorable. On se visitait, on s’adressait des voeux, on se gardait de laisser échapper un propos de mauvais augure, on s’envoyait des présents ; le soir on se régalait en l’honneur de Janus.

On pense que l’usage des souhaits d’étrennes vient des Romains. Tatius, roi des Sabins, et qui régnait dans Rome conjointement avec Romulus, considéra, dit-on, comme un bon augure le présent qu’on lui fit le premier jour de l’an de quelques branches coupées dans un bois consacré à Strenia ; il autorisa la coutume des présents faits à cette époque, et leur donna le nom de Streniae.

Avant la Révolution de 1789, et dans plusieurs provinces de France, les usages suivis le premier jour de l’an conservaient les traces de la fête du Gui que célébraient les anciens Druides. Les enfants du Vendomois couraient les rues dans ce jour solennel, et demandaient à ceux qu’ils rencontraient le Gui-l’an-neu. Dans la dernière nuit de l’année, le peuple du Maine parcourait également les rues en chantant des chansons dont le refrain était toujours : Donnez-nous le Gui-l’an-neu.

La Fête des Rois ou Epiphanie : ce dernier nom signifie apparition. C’est en effet le jour où le Christ commença de se faire connaître aux gentils, et où les quatre rois appelés Mages dans l’Ecriture vinrent l’adorer.

L’analogie qui existe entre les habitudes de cette fête et celle des Saturnales a fait penser que l’une était la continuation de l’autre. Les Saturnales se célébraient du 15 au 21 décembre.

Dans la Beauce, un souper splendide a lieu la veille des rois ; le président du repas est toujours la personne la plus respectée parmi les convives. Avant d’entamer le gâteau, on fait mettre sur la table un enfant ; c’est le plus jeune garçon de la famille. Quand la part est coupée, le président dit : Fébé (la fève). L’enfant qui s’est levé répond : Domine ; le président reprend : Pour qui ? L’enfant répond : Pour le bon Dieu. Cette part est mise en réserve, et on la donne au pauvre qui vient la demander. Voici quelques fragments des chansons naïves du pauvre qui attend et regarde à travers les fentes de la porte :

Honneur à la compagnie
De cette maison.
A l’entrée de votre table,
Nous vous saluons.
Nous sommes venus d’un pays étrange
Dedans ces lieux ;
C’est pour vous faire la demande
De la part à Dieu.

Il s’interrompt pour crier : La part à Dieu, s’il vous plaît ; et il termine le premier chant. Nous donnons encore ici le premier couplet du second chant :

Les Rois ! les Rois ! Dieu vous conserve,
A l’entrée de votre souper.
S’il y a quelque part de galette,
Je vous prie de nous la donner.
Puis nous accorderons nos voix,
Bergers, bergères ;
Puis nous accorderons nos voix
Sur nos hautbois.

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Histoire du mois de février

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2012

 

Le second des deux mois ajoutés par le roi Numa au calendrier des Romains fut consacré à Neptune, parce que les pluies, à Rome, étaient très abondantes à cette époque de l’année. Il faut remarquer que, dans le calendrier républicain, février correspond à pluviôse, mois des pluies. On représente ce mois sous la figure « d’une femme vêtue de bleu, la tunique relevée par une ceinture, tenant en ses mains un canard, ayant près d’elle une urne qui verse de l’eau en abondance et à ses pieds un héron et un poisson. » Tous ces symboles indiquent le temps des pluies.

Histoire du mois de février dans Astrologie et Esotérisme neptuneNeptune, fils de Saturne et de Rhéa, par conséquent frère de Jupiter, est le roi des mers. On le représente « debout sur un char en forme de conque et traîné par quatre chevaux marins. Il tient à la main un trident. » Les Grecs adoraient Neptune sous le nom de Poseidon. Neptune disputait à Apollon l’honneur de gouverner la ville de Corinthe. Les deux rivaux demandèrent au géant Briarée, fils d’Uranus, de décider entre eux. Neptune eut l’isthme de Corinthe ; le promontoire fut donné à Apollon.

Tous les trois ans, à Corinthe, on célébrait en l’honneur de Neptune les jeux Isthmiques. Des concours de musique et de poésie venaient s’ajouter aux luttes du corps ; le vainqueur recevait une couronne de branches de pin. Ce fut pendant la célébration d’une de ces fêtes, l’an 196 avant Jésus-Christ, que le consul Flaminius proclama, au milieu d’une immense assemblée, l’indépendance de la Grèce. A Rome, les fêtes données en l’honneur du dieu des mers, les Neptunales, étaient célébrées avec solennité le 23 juillet de chaque année. Des temples célèbres étaient consacrés à Neptune. On immolait à ce dieu un cheval et un boeuf et les devins lui offraient le fiel des victimes.

Le mois qui nous occupe ne porta pas le nom du dieu auquel il était consacré. Numa l’appela februarius, du mot latin februare, qui signifie purifier. A cette époque de l’année avaient lieu, en effet, des fêtes publiques expiatoires appelées Fébruales. Ces fêtes, qui commençaient le 1er février et qui duraient huit jours, avaient été instituées en l’honneur des morts. En signe de deuil, les magistrats ne portaient que la toge blanche des simples particuliers, au lieu la toge blanche ornée d’une bande de pourpre qu’ils revêtaient d’ordinaire et qu’on appelait la toge prétexte. Des sacrifices étaient faits aux dieux infernaux en l’honneur des morts qu’en voulait honorer. Pendant la durée des fêtes, il n’était permis à personne de se marier.

Le 15 février on célébrait les Lupercales, fondées, dit-on, par Romulus et Rémus en l’honneur de la louve (en latin lupa) qui les avait nourris. Des pontifes appelés luperques sacrifiaient aux dieux, durant ces fêtes, des chèvres et de jeunes chiens, et avec des lanières de la peau des chèvres ils fustigeaient les passants.

Les luperques, presque nus, frottés d’huile, se rendaient dans une grotte située au pied du mont Palatin et qui avait, dit-on, servi de tanière à la louve qui allaitait Romulus. C’est dans cette grotte, qu’on appelait luperccal, que les sacrifices avaient lieu ; le couteau teint du sang des victimes était essuyé avec un morceau de laine qui avait été trempé dans du lait.

Quelques auteurs pensent que les Lupercales avaient lieu en l’honneur du dieu Pan, dont le nom grec lycoeus est dérivé de lycoslupus. Si cette explication est la bonne, on comprend mieux la nature des sacrifices que les luperques offraient aux dieux. Pan, fils de Jupiter et de la nymphe Callisto, n’a-t-il pas des jambes et des pieds de chèvre ? Et n’est-il pas, comme le chien, le gardien des troupeaux ? D’ailleurs les luperques étaient les sacrificateurs ou, comme l’on disait, les flamines du dieu Pan. Ils formaient deux collèges : les Quintiens et les Flabiens.

On célébrait encore, le 23 février, les Terminales, c’est-à-dire les fêtes données en l’honneur du dieu Terme, protecteur des limites. On représentait le dieu Terme tantôt sous la forme d’un bloc de pierre brut, tantôt sous la forme d’un pilier à tête humaine. On raconte que lorsque Tarquin le Superbe voulut bâtir un temple à Jupiter, les ouvriers ne parvinrent pas à enlever les statues de Terme et de la Jeunesse qui étaient sur l’emplacement choisi. Les augures consultés annoncèrent que cela voulait dire que la jeunesse de Rome serait éternelle et que ses limites ne seraient jamais diminuées. Les Terminales se célébraient. dans les champs ; sur chaque borne, on élevait un autel et l’on offrait au dieu des gâteaux, des fruits, un agneau, une jeune truie.

220px-Sommer%2C_Giorgio_%281834-1914%29_-_n._2056_-_Tempio_di_Nettuno_-_Pesto dans Astrologie et EsotérismeSignalons enfin parmi les fêtes romaines célébrées en février : les Quirinales, le 17, en l’honneur de Romulus, dont le surnom était Quirinus ; les Fornacales, le 18, en l’honneur de la déesse Fornax (four), qui présidait à la cuisson du pain ; le Régifuge, le 24, dont nous avons déjà parlé.

L’Église catholique célèbre tous les ans, le 2 février, la fête de la Purification de la Vierge. « Quarante jours après la naissance du Christ, la Vierge vint au temple présenter, pour sa purification, deux tourterelles et deux pigeons. » En ce jour, on faisait autrefois des processions avec des chandelles allumées, d’où le nom de Chandeleur donné à cette fête. Le pape Gélase, en 472, fit supprimer cette cérémonie ; néanmoins le nom de Chandeleur est encore conservé.

Février se distingue de tous les autres mois par une assez curieuse particularité : c’est le mois pendant lequel les jeunes filles parlent le moins, dit-on. Et les mauvaises langues ajoutent que c’est uniquement parce que février n’a que 28 jours. Le jour complémentaire qu’on ajoute tous les quatre ans à la fin du mois se plaçait autrefois entre le 23 et le 24 février.

Toutefois l’Église catholique a conservé l’intercalation romaine. Dans les années bissextiles, la Saint-Matthias, qui tombe d’ordinaire le 24 février, est célébrée le 25 ; les autres fêtes reculent d’un jour, de manière que les anniversaires du 28 se présentent le 29.

Lorsque le roi Numa eut introduit deux nouveaux mois, janvier et février dans le calendrier romain, février terminait l’année. Ce fut César qui donna à ce mois le second rang, et la raison paraît assez curieuse. Le nombre deux était considéré par les Romains comme un nombre néfaste, d’abord parce qu’il est pair, et que les nombres impairs seuls plaisent aux dieux : Numero deus impare gaudet ; et ensuite parce qu’il indique toutes sortes de présages funestes. On donna donc le second rang à février parce qu’il était consacré à Neptune en même temps qu’à Pluton, c’est-à-dire au dieu des enfers. C’est pour la même raison que les fêtes en l’honneur des mânes, les Fébruales, avaient lieu le deux du mois.

En février les jours augmentent d’une manière sensible, de 1h30 environ, à savoir : de 46 minutes le matin et de 44 minutes le soir. Les journées sont encore très froides. Au point de vue météorologique, février présente un phénomène très singulier. Tous les ans, vers le 13 février, on observe pendant quelques jours un refroidissement de la température ; ce phénomène météorologique, avant d’avoir été constaté par les savants, avait été remarqué des agriculteurs, qui donnaient à cette période le nom de saints de glace de février. On les retrouve au mois de mai.

Février, disent les agriculteurs, doit être froid et pluvieux pour que les récoltes soient excellentes.

Neige, eau, pluie, brouillard de février
Vaut du fumier. (Allier, Dordogne)

Si février laisse les fossés pleins,

Les greniers deviendront pleins. (Charente)

Vaut autant voir un loup en son troupeau

Que le mois de février beau.(Vaucluse)

Quand à Notre-Dame de Chandeleur soleil luit,

L’hiver encore quarante jours s’ensuit. (Ardèche, Gers, Tarn)

Les agriculteurs redoutent les orages durant ce mois, ainsi qu’on le voit dans les deux proverbes qui suivent :

Quand il tonne au mois de février,
Toute l’huile tient dans une cuiller. (Aveyron)

S’il tonne en février, point de vin.

(Nièvre, Deux-Sèvres)

En février peu de récoltes : chicorées, choux, épinards, radis… Si le temps est beau, on peut faire quelques semailles : féveroles, pavots, blés de mars. Dans la culture forestière, on sème l’érable et l’aune, quelquefois les glands et les faînes. C’est en février qu’il faut débarrasser les vergers des chenilles qui les dévastent, d’abord parce que l’on sauve ainsi ses récoltes et ensuite parce que la loi punit d’une amende tous ceux qui négligent l’échenillage dans leurs campagnes et dans leurs jardins. Vers la fin du- mois, on procède à la toilette des rosiers, on met en place les roses trémières, on peut enfin labourer les parties du jardin sur lesquelles on veut semer du gazon.

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Histoire du mois de mars

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2012

 

0147 - Roma - Piazza del Campidoglio - Statua del Tevere - Foto Giovanni Dall'Orto, 7-Apr-2008.jpgLe fondateur de Rome, Romulus, voulant donner à son peuple un calendrier nouveau, divisa l’année en dix mois de trente jours, et consacra le premier de ces mois au dieu Mars, dont les Romains le prétendaient issu. Cette année de dix mois n’était ni solaire, ni lunaire ; on la connaît dans l’histoire sous le nom d’année martiale. C’est Numa Pompilius qui vers 700 av. J.-C. changea cet ordre de choses, en ajoutant au calendrier les mois de janvier et février, et en fixant le commencement de l’année au 1er janvier. En France, on commençait d’ailleurs l’année à Pâques, ou plutôt au samedi saint, après la bénédiction du cierge pascal, et ce jusqu’à la promulgation de l’édit de Charles IX en 1567.

Mars incarne la force brutale. Tous les peuples de l’Antiquité l’adoraient. Dieu de la guerre, fils de Jupiter et de Junon, il avait, sous le nom d’Arès, des autels dans toute la Grèce. On raconte que Mars, cité devant les dieux par Neptune dont il avait tué le fils, fut acquitté par ses juges, réunis sur une colline près d’Athènes. En souvenir de ce fait mémorable, les Grecs donnèrent à leur tribunal, installé au lieu même où Mars fut jugé, le nom d’Aréopage signifiant colline de Mars.

Ce même nom de Mars fut donné plus tard à l’un des jours de la semaine, le mardi ; à l’une des planètes que connaissaient les Anciens, et enfin au métal, le fer, qui servait à fabriquer les armes de guerre. Le mois de mars était symbolisé par un homme vêtu d’une peau de louve, en souvenir de la nourrice de Romulus. Le dieu Mars était représenté sous la figure d’un guerrier terrible. Le coq, symbole de vigilance, lui était consacré. On sacrifiait sur ses autels des loups et quelquefois des victimes humaines. Le poète Ausone place auprès de lui un bouc pétulant, une hirondelle qui gazouille, un vase plein de lait, qui, avec l’herbe verdoyante, annoncent le retour du printemps. Dans les combats, il était accompagné de ses fils Phoibos et Déimos (la Crainte et l’Effroi) qui attelaient et conduisaient son char, ainsi que d’Eris (la Discorde), sa compagne et sa soeur, qui se tenait à ses côtés.

Mars, dieu de la guerre, est parfois confondu avec la déesse Bellone qui avait à Rome même un temple célèbre. C’est dans ce temps qu’étaient reçus les généraux vainqueurs, qu’on donnait audience aux ambassadeurs. A la porte du temple était une colonne contre laquelle le héraut, c’est-à-dire l’officier public chargé de déclarer la guerre, lançait une pique pour annoncer que la guerre venait d’être décidée. Les prêtres de Bellone, les bellonaires, célébraient les fêtes de la déesse en se perçant la poitrine avec leurs épées et en lui offrant le sang qui sortait de leurs blessures. Ces fêtes avaient lieu le 24 mars, et ce jour-là portait dans le calendrier le nom de jour de Sang.

Histoire du mois de mars dans Astrologie et Esotérisme mars-156x300

 

On raconte qu’à Rome, sous le règne de Numa (en l’an 44 de la fondation de la ville), une pierre en forme bouclier tomba du ciel. Les augures furent consultés. Rien de plus bizarre assurément que ces prêtres nommés Augures (du latin ex avium garritu signifiant du chant des oiseaux), qui tiraient des prophéties du chant des oiseaux ou de la manière dont se nourrissaient les poulets sacrés. Un bâton recourbé était le signe de leur dignité. Ils formaient une classe spéciale parmi les prêtres chargés des présages ; à côté d’eux se trouvaient les aruspices (du latin ara inspicio signifiant j’observe les autels), plus particulièrement chargés d’inspecter le mouvement des victimes, d’examiner leurs entrailles… Les esprits sérieux se moquaient de ces devins ; on disait que deux augures ne pouvaient se regarder sans rire, et cependant ils jouissaient du plus grand crédit. Cicéron lui-même appartenait au collège des augures.

Lorsque ce bouclier tomba du ciel, les augures déclarèrent que le destin de la ville naissante était lié à la conservation du bouclier céleste. Numa fit exécuter par un ouvrier habile onze boucliers absolument semblables, afin de déjouer les mauvais desseins de ceux qui tenteraient de s’en emparer. On donna à ces boucliers le nom d’Anciles, d’un mot grec signifiant courbe, parce qu’ils étaient échancrés latéralement de façon à être plus larges vers leurs extrémités qu’à leur partie moyenne.

Ces anciles étaient déposés dans le temple de Mars, sous la garde de douze prêtres appelés saliens (de salire signifiant sauter, ou sallare signifiant danser), parce que chaque année, le 1er mars, ils parcouraient la ville portant au bras les boucliers sacrés et exécutant, au son des instruments de musique, des danses et des chants solennels. Pendant les trois jours que durait cette fête, on ne pouvait ni se marier, ni entreprendre quelque chose d’important. On raconte que Veterius Mamurius, l’ouvrier qui fabriqua les anciles, refusa tout salaire, en demandant seulement que son nom fut mentionné dans les hymnes que chantaient les prêtres de Mars. Nous savons aujourd’hui que cette pierre était un météorite, un aérolithe, au même titre que la pierre noire tombée en Grèce et qu’on adorait sous le nom de Cybèle.

Le mois de mars renferme souvent deux fêtes religieuses. La première, l’Annonciation, fut instituée en mémoire de la nouvelle que l’ange Gabriel vint donner à Marie, qu’elle concevrait le fils de Dieu. Le peuple l’appelle Notre-Dame de mars, à cause de l’époque où elle est solennisée. Son institution, sans être précisément connue, est fort ancienne ; il existe sur cette fête deux sermons de saint Augustin, qui mourut en 430. Ce jour de l’Annonciation était autrefois lié à une singulière légende. Comme cette fête arrive presque toujours en plein carême, où le jeûne est prescrit et que, selon les saints usages, on ne le peut rompre qu’après les vêpres, on chante les vêpres, ce jour-là, immédiatement à la suite de la messe. Mais si l’on interrogeait nos ancêtres sur la raison de cette coutume, ils répondaient que tout enfant qui naîtrait entre la messe et les vêpres, le jour de l’Annonciation, appartiendrait droit au démon, ce qui a obligé l’Église a supprimé l’intervalle…

La seconde, le dimanche des Rameaux, commence la semaine sainte. Elle reçut son nom de l’usage établi dans les premiers siècles, de porter ce jour-là en procession, et pendant l’office, des palmes ou des rameaux d’arbres en mémoire de l’entrée triomphante du Christ à Jérusalem, huit jours avant la Pâques. Les peuples, disent les évangélistes, avertis de l’arrivée de Jésus, allèrent au-devant de lui, étendirent leurs vêtements sous ses pas, et couvrirent le chemin de branches de palmier. Ils l’accompagnèrent jusqu’au temple en poussant des cris de joie. Par suite de cette cérémonie, le dimanche des Rameaux est appelé dans plusieurs provinces Pâques fleuries.

150px-NAMA_Myc%C3%A8nes_bouclier_1 dans Astrologie et EsotérismeLa bénédiction des rameaux, en usage aujourd’hui, l’était déjà dans les Gaules au VIIe siècle. On appelle encore ce dimanche Capitilavium, parce que c’était le jour où on lavait la tête des catéchumènes qui venaient tous ensemble demander à l’évêque la grâce du baptême, qu’on leur administrait le dimanche suivant.

Un brasseur du faubourg Saint-Marceau, à Paris, ne faisant que de la bière de mars (ainsi nommée parce qu’elle se fabrique avec un froment qui se sème en ce mois), avait pris pour enseigne le dieu Mars. En 1793, on lui objecta que Mars était un ci-devant, et qu’un bon patriote ne devait rien conserver de l’Ancien Régime. Il ne pouvait prendre le dieu Ventôse, qui occupait les 21 premiers jours du ci-devant Mars, et qui eût inspiré, sur les effets de sa bière, un affreux calembour. Mais Germinal entrait en fonction le 22 ; c’était assez. Il fit repeindre son enseigne, où l’on put lire le lendemain : Au dieu Germinal, brasserie de Justin Carmus.

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Histoire du mois d’Avril

Posté par othoharmonie le 30 octobre 2012

 

Les Romains donnaient au mois qui succède à Mars le nom d’aprilis, du mot latin aperire, qui veut dire ouvrir, soit « parce que, dans ce mois, les bourgeons commencent à s’ouvrir », soit « parce que la terre semble ouvrir son sein en se couvrant d’une végétation nouvelle ». Du mot latin aprilis nous avons fait avril.

Histoire du mois d'Avril dans Astrologie et Esotérisme 220px-agma_cybele

Le poète Ausone représente le mois d’avril sous les traits d’un jeune homme couronné de myrte et qui semble danser au son des instruments. « Près de lui est une cassolette d’où l’encens s’exhale en fumée et le flambeau qui brûle dans sa main répand des odeurs aromatiques. » Le mois d’avril était consacré à la déesse Cybèle, la mère des dieux, comme l’appelaient les Grecs. C’était à Pessinonte, en Phrygie, que se trouvait le principal temple consacré à Cybèle ; on l’y adorait sous la forme d’une pierre noire, qui était, disait-on, tombée du ciel. Pendant la seconde des guerres que les Romains firent aux Carthaginois, un évènement qui parut extraordinaire, une pluie de pierres, terrifia les esprits.

On consulta les livres sibyllins et l’on trouva une prédiction portant que l’ennemi serait vaincu si l’on apportait à Rome la mère des dieux de Pessinonte. La pierre noire qui représentait Cybèle fut apportée en grande pompe à Rome, et des jeux annuels, les jeux Mégalésiens, furent institués en l’honneur de la déesse pour perpétuer le souvenir de son entrée dans la capitale de l’Italie. Ces jeux commençaient le 4 avril et duraient sept jours ; ils consistaient en représentations dramatiques exécutées sur le mont Palatin devant le temple même de Cybèle. Phidias représente la déesse assise sur un trône entre deux lions, ayant sur la tête une couronne murale de laquelle descend un voile. Quelquefois Cybèle est représentée tenant une clef et paraissant écarter son voile, allégorie qui rappelle l’étymologie d’avril.

Chaque année, le 1er avril, les Grecs se rassemblaient autour du temple de Thésée pour exécuter des danses nationales. Thésée, dont les exploits sont restés légendaires, tua, comme l’on sait, le Minotaure, ce monstre à tête de taureau qui dévorait chaque année six jeunes garçons et six jeunes filles d’Athènes : c’était le tribut imposé par le roi de Crète, Minos, à la suite de l’assassinat de son fils Androgée par les Athéniens. Ariane, fille de Minos, sur les conseils de Dédale, donna à Thésée un fil qui devait le conduire dans la demeure, presque introuvable (le labyrinthe), habitée par le monstre. Thésée fut ingrat envers Ariane, qu’il abandonna dans l’île de Naxos.

Donc, le 1er avril, des jeux et des chants célébraient la victoire de Thésée. Parmi ces chants, quelques choeurs sont remarquables. L’un est considéré comme une reproduction de la danse que Dédale inventa pour Ariane. Le coryphée tient et guide ses compagnons, tantôt au moyen d’un fil, tantôt avec un mouchoir. Ce fil serait celui du labyrinthe ; ce mouchoir, serait destiné à essuyer les larmes d’Ariane. La personne qui tient le mouchoir dit ces paroles : « Navire qui es parti et qui m’enlèves mon bien-aimé, mes yeux, ma lumière, reviens pour me le rendre ou pour m’emmener aussi. » Quand Ariane a chanté, le choeur lui répond sur le même air : « Maître du navire, monseigneur, et vous, rocher, âme de ma vie, revenez pour me la rendre, ou pour m’emmener aussi. »

« C’est aux alternatives de réveil et de sommeil de la végétation, dit Maury, que se rapportent les deux genres de fêtes, les unes gaies, les autres tristes, que l’on célébrait en l’honneur de l’héroïne crétoise (Ariane) et qui firent croire aux mythologues des temps passés à l’existence de deux Arianes. »

Pour nous, le 1er avril, à défaut du culte de Thésée, nous pratiquons la coutume du poisson d’avril. Nous nous égayons aux dépens de nos amis en leur annonçant des nouvelles absolument inexactes et en leur imposant des démarches absolument inutiles. S’ils se fâchent, il nous suffira d’un mot pour calmer leur colère : « Poisson d’avril ! » Quelle est l’origine de cette plaisanterie vraiment absurde ? On raconte que le roi Louis XIII faisait garder à vue, dans le château de Nancy, un prince de Lorraine. « Le prisonnier trouva moyen de se sauver, le 1er avril, en traversant la Meuse à la nage, ce qui fit dire aux Lorrains que c’était un poisson qu’on avait donné à garder aux Français. »

220px-Kylix_Theseus_Aison_MNA_Inv11365_n1 dans Astrologie et EsotérismeMais voici d’autres origines : Poisson d’avril, dit-on, dérive par corruption de Passion d’avril. Le vendredi saint tombe souvent dans ce mois et la manière dérisoire dont le Christ fut renvoyé d’Anne à Caïphe, de Caïphe à Pilate, de Pilate à Mérode, d’Hérode à Pilate, semble une mystification pareille à celle que nous appelons poisson d’avril. Une autre version est la suivante : Le mois d’avril est le mois où le maquereau est le plus abondant. La pêche commence dans les premiers jours ; or, il est d’usage dans certaines localités maritimes, lorsque les pêcheurs reviennent après une maigre pêche, qu’on leur envoie en manière de plaisanterie des poissons en bois et en carton. On nargue ainsi ceux qui s’étaient vantés de revenir avec des cargaisons beaucoup plus considérables que leurs voisins. Souvent les pêcheurs, pour ne pas avouer leur pêche infructueuse, prétendaient que leurs bateaux avaient coulé au retour. On les accueillait alors en criant : « Ah ! ah ! c’est du poisson d’avril. »

Enfin, une dernière étymologie, qui, à vrai dire, nous paraît la meilleure, bien qu’elle ne nous apprenne pas l’origine des mystifications du 1er avril : En avril, le soleil vient d’entrer dans la constellation zodiacale qu’on appelle les Poissons. Disons à ce propos que la constellation des Poissons était, en Égypte, consacrée à la déesse Nephtis, puissance malfaisante qui symbolise la stérilité de la terre. Elle était la femme de Typhon, dieu du mal, des ténèbres, de la stérilité. Détail assez curieux : dans les temples consacrés à Typhon, on immolait à ce dieu des hommes roux !

Parmi les fêtes romaines qu’on célébrait en avril, signalons : le 4, les jeux Mégalésiens ; le 7, les fêtes de la naissance d’Apollon et de Diane ; le 15, les Fordicales, des deux mots forda, vache pleine, et coedo, je tue, en l’honneur du dieu Tellus, (la Terre) ; chaque écurie immolait une vache pleine. Le 21 avril, jour anniversaire de la fondation de Rome, on célébrait les Parilies, fête instituée par l’empereur Adrien et pendant laquelle on ne faisait aucun sacrifice sanglant. Le même jour avaient lieu les fêtes Paliliennes, en l’honneur de la déesse Palès, divinité tutélaire des bergers et des troupeaux. Le 25, on célèbre les Robigales, en l’honneur de la déesse qui préserve les blés de la rouille. Le 30, ont lieu les Larentales, en l’honneur d’Acca-Larentia, nourrice de Romulus et de Rémus, et qu’on avait surnommée la Louve ; ce qui a fait croire que Romulus avait été allaité par la femelle d’un loup. Quant aux Céréalies, elles étaient célébrées en avril et en août.

Du commencement à la fin d’avril, les jours augmentent de 1h40, à savoir : de 57 minutes le matin et de 43 minutes le soir. En avril, la température moyenne continue à s’élever ; elle atteint 10°, et cependant nous devons nous attendre encore à des séries de mauvais jours : les pluies, le froid, la neige même parfois, ne nous ont point irrévocablement quittés, et les gelées peuvent compromettre le succès des récoltes qui seraient trop hâtives. Vous connaissez le dicton : « Il n’est si gentil mois d’avril qui n’ait son chapeau de grésil. » Il y a d’ailleurs, dans ce mois, une échéance qui terrifie un grand nombre de nos paysans et qui suscite chez eux les croyances les plus superstitieuses : nous voulons parler de la lune rousse.

Écoutons ce qu’en disent les agriculteurs :

Lune rousse
Vide bourse.

et encore :

Récolte point n’est arrivée
Que la lune rousse ne soit passée.

Le roi Louis XVIII, recevant un jour une députation d’astronomes, leur dit : « Je suis charmé, messieurs, de vous voir réunis autour de moi, car vous m’expliquerez nettement ce que c’est que la lune rousse et quel est son mode d’action sur les récoltes. » Arago, qui rapporte cet incident, ajoute que le grand astronome Laplace, à qui s’adressaient plus particulièrement ces paroles, resta comme atterré ; lui qui avait tant écrit sur la lune n’avait en effet jamais songé à la lune rousse. Laplace consultait tous ses voisins du regard, mais ne voyant personne disposé à prendre la parole : « Sire, dit-il, la lune rousse n’occupe aucune place dans les théories astronomiques ; nous ne sommes donc pas en mesure de satisfaire la curiosité de Votre Majesté. » Le soir, le roi s’égaya beaucoup de l’embarras dans lequel il avait mis ses astronomes.

Les agriculteurs appellent lune rousse la lune qui, commençant en avril, devient pleine soit à la fin d’avril, soit au commencement de mai. Ils assurent avoir observé que la nuit, quand le ciel est serein, les feuilles, les bourgeons, exposés à la lumière de la lune, roussissent, c’est-à-dire gèlent lors même que la température de l’air se maintient à quelques degrés au-dessus de zéro. Ils ajoutent que si le ciel est couvert, les rayons de la lune n’arrivant pas jusqu’aux plantes, la gelée n’a pas lieu.

Est-il vrai, tout d’abord, que ces effets de gelée se produisent en avril et en mai ? Oui, bien certainement ; les récoltes, trop souvent compromises par ces gelées tardives, n’attestent que trop vivement la réalité de l’observation. Est-il vrai que les gelées se produisent quand le ciel est serein, quand la lune brille, et qu’elles n’ont pas lieu quand le ciel est couvert ? Oui encore. En voici l’explication : les objets terrestres, échauffés pendant le jour par les rayons du soleil, perdent de leur chaleur pendant la nuit en renvoyant dans l’espace la chaleur qu’ils ont reçue ; le refroidissement peut être tel, que ces objets soient gelés alors même que la température de l’air est au-dessus de zéro. Cette perte de chaleur de la terre est favorisée par un ciel pur ; aussi dans les nuits d’avril et de mai, quand la température de l’air ne dépasse pas 4 à 5 degrés et que le ciel est serein, les plantes gèlent.

200px-GeorgeF.Watts-MinotaurosIl est bien vrai, par conséquent, que durant ces nuits, si la lune brille, la gelée se produit ; mais la lune ne brille que parce que le ciel est pur et c’est la pureté du ciel qui détermine la congélation des plantes. « Dans ces gelées, disait spirituellement Babinet, notre lune n’est pas complice, mais simplement témoin du délit et du dégât ». Et cela est si vrai que, dans les mêmes conditions de sérénité du ciel, s’il n’y a pas de lune, la gelée se produit de la même façon.

Babinet raconte qu’à l’occasion de la lune rousse, il avait souvent reçu des lettres de correspondants agriculteurs lui demandant « de s’entendre avec ses confrères pour mettre cette fatale lune rousse en d’autres mois qu’avril et mai » Ceci rappelle une pétition adressée au pape Sixte-Quint par les habitants de son pays natal : « O Très Saint Père, accordez-nous de faire deux récoltes par an ! – Volontiers ! mes enfants, répondit Sixte Quint, et de plus j’y joins une seconde faveur, c’est que vos années auront désormais vingt-quatre mois ! »

Rappelons enfin que le mois républicain de germinal, qui commence le 21 mars, se termine au 20 avril et qu’à cette date nous entrons dans le mois de floréal, c’est-à-dire dans le mois des fleurs. En avril, l’agriculteur souhaite la pluie pendant la première partie du mois, une chaleur trop hâtive étant considérée comme nuisible. Cependant si la pluie cesse vers la fin d’avril, et surtout s’il n’y a pas de gelées, l’année promet une bonne récolte.

Pluie d’avril
Remplit grange et fenil.(Vienne)

Quand il pleut à la Saint-George,

Il n’y a ni prune ni orge.(Aube)

Mars hâleux,
Avril pluvieux Font mai joyeux.(Somme, Vaucluse)

Quand il tonne en avril,

Vendangeurs, préparez vos barils.(Drôme, Meuse, Vosges)

La Saint-Georges, qui ne doit plus avoir d’eau, tombe le 23 avril.

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Histoire du mois de mai

Posté par othoharmonie le 30 octobre 2012

 

L’origine du mot mai n’est pas bien nettement établie. Quelques auteurs soutiennent que chez les Romains ce mois était consacré à la déesse Maïa, fille d’Atlas et mère de Mercure. D’autres savants pensent que ce même mois était consacré aux anciens, aux sénateurs, et que le mot mai dérive du terme latin majores, qui veut dire hommes âgés ; cette dernière explication se trouverait justifiée par le nom du mois suivant, juin, qui paraît avoir été consacré aux jeunes gens, en latin juniores. Ce mois était représenté « sous la figure d’un homme entre deux âges, vêtu d’une robe large, à grandes manches et tenant une corbeille de fleurs. Un paon était à ses pieds ».

Histoire du mois de mai dans Astrologie et Esotérisme 220px-sandro_botticelli_042Le mois de mai était célébré chez les païens par des cérémonies dont on retrouve des vestiges au Moyen Age. « Le 1er mai, dit l’historien Chéruel, était dans beaucoup de contrées un jour férié. Les paysans étaient dans l’usage de planter un arbre qu’on appelait le mai. Beaucoup de redevances se payaient à cette époque et on les appelait, dans la basse latinité, maiagium. Le 1er mai, le maître des forêts recevait sur la table du roi, au bord de la forêt de Fontainebleau, les redevances, qui consistaient en gâteaux, jambons, vins, etc. »

La coutume de planter un mai dans les villes subsistait encore au XVIIe siècle. La corporation des orfèvres de Paris était dans l’usage de faire un présent, tous les ans, à l’église de Notre-Dame, le premier jour de mai. Ce présent, qui fut d’abord un arbre, puis une oeuvre d’architecture, fut converti au XVIIe siècle en un tableau, qu’on appela le tableau de mai. Ce tableau, dont le sujet était tiré des Actes des Apôtres, restait exposé devant le portail de l’église les premiers jours du mois et, pendant le reste de mai, il était suspendu dans la chapelle de la Vierge.

C’est en mai que se tenaient sous les Carlovingiens les assemblées politiques. Les Francs avaient coutume de réunir tous les ans en mars leurs guerriers, dans un lieu consacré qu’on appelait Champ de Mars. A l’imitation des Germains, auxquels ils avaient emprunté ces principes d’indépendance politique, les guerriers francs délibéraient sous la présidence de leur chef. La liberté était complète. Si les paroles du chef leur plaisaient, ils y applaudissaient en frappant leurs boucliers de leurs framées ; sinon, ils étouffaient sa voix par leurs murmures.

Sous Charlemagne, la date de l’assemblée fut reculée jusqu’en mai : les évêques qui, sous Clovis avaient été admis à ces assemblées, prirent bientôt avec les comtes et les seigneurs un rôle prépondérant, et l’élément guerrier s’effaça peu à peu. Ces assemblées générales disparurent après la ruine de l’empire carolingien ; les champs de mai furent remplacés par les états généraux, dont la première convocation eut lieu en 1302, sous Philippe le Bel, et dont la dernière eut lieu en 1789, à la veille de la Révolution.

Le mois de mai correspond à floréal dans le calendrier républicain ; c’est le mois des fleurs. Les Romains célébraient chaque année, à la fin d’avril et au commencement de mai, la fête de Flore. La déesse des fleurs, adorée en Grèce sous le nom de Chloris, avait des autels à Rome. Tous les ans avaient lieu lesFlorales, fêtes qui se célébraient durant cinq nuits et qui consistaient en chasses et en représentations mimiques et dramatiques. Les chasses avaient lieu dans un cirque spécial, appelé cirque de Flore, situé hors de la ville, dans une petite vallée formée par le mont Viminal et la colline des Jardins.

Flore, dit-on, fut l’épouse de Zéphire, ce qui veut évidemment dire que le vent caresse les fleurs ; on croit que le culte de Flore fut introduit à Rome par le roi sabin Tatius. Pendant quelques années les Florales furent suspendues, mais, en l’an 581 de Rome, les bourgeons ayant beaucoup souffert de l’intempérie de la saison, l’édile Servilius, sur l’ordre du sénat, rétablit la fête.

Flore est représentée sous la figure d’une jeune nymphe couronnée de fleurs et les mains chargées de fleurs. Son mari, Zéphire, fils de l’Aurore, est représenté sous la figure d’un jeune homme ayant des ailes de papillon et une couronne de fleurs. « Il souffle sur la terre avec tant de douceur, et cependant avec tant de puissance, que son souffle rend la vie aux plantes, colore les fleurs et les fruits. » Son nom vient de deux mots grecs zoé,fero, qui veulent dire : je porte la vie.

En France, en 1323, le roi Charles le Bel sanctionna la fondation, à Toulouse, de la célèbre Académie des jeux Floraux, qui s’appelait alors Collège du gaisçavoir. Cette institution, restaurée par Clémence Isaure vers 1490, fut érigée en académie par Louis XIV, en 1694. Tous les ans, le 3 mai, ont lieu des concours de poésie : l’ode la meilleure est récompensée d’une amarante d’or ; la violette d’argent, l’églantine d’argent, le souci d’argent, récompensent la pièce de vers alexandrins, le morceau en prose, l’idylle qui ont été couronnés.

En Grèce, on célébrait tous les ans, le 6 et le 7 du mois de Thargélion, c’est-à-dire au commencement de mai, les Thargélies, fêtes consacrées soit à Apollon et à Diane, soit au Soleil et aux Heures. Ces fêtes étaient assez singulières : « Le premier jour on sacrifiait des victimes humaines ; c’étaient des individus condamnés à mort. Ils étaient conduits au son des flûtes hors de la ville sur le bord de la mer, leur cou était entouré de guirlandes de figues, et ils portaient également des figues dans les mains. Pendant cette marche, on frappait les victimes avec des branches de figuier sauvage. Arrivées au lieu du supplice, on les faisait monter sur un bûcher de bois de figuier auquel on mettait le feu ; enfin on jetait leurs cendres dans la mer et aux quatre vents. » Comme on le voit, il s’agissait d’une cérémonie de purification.

Le 9 mai, on célébrait à Rome les Lémuries, pour apaiser les mânes des morts. On prétend que ces fêtes s’appelaient à l’origine Rémuries et qu’elles avaient été instituées par Romulus pour se délivrer du fantôme de son frère Rémus qu’il avait tué. L’objet principal de toutes les cérémonies de cette fête était d’exorciser les lémures (les âmes des morts), de prévenir leurs apparitions, et d’empêcher qu’ils ne troublassent les vivants… Le sacrificateur, nu-pieds, faisait avec la main, dont les doigts étaient joints au pouce, un signe pour chasser les lémures. Il mettait des fèves noires dans sa bouche et les jetait derrière lui en disant : « Par ces fèves, je me délivre moi et les miens. » Cette conjuration se faisait au bruit d’un charivari de poêles et de vases d’airain.

Le 15 mai, avait lieu la fête de Mercure. C’est ce jour-là qu’un temple avait été consacré, dans le grand cirque, au fils de Jupiter et de Maïa. Le dieu qui avait dans ses attributions l’éloquence, le commerce, les voyages et les vols (!) est représenté « avec des ailes aux pieds, aux épaules, à sa coiffure, et à la baguette nommée caducée qu’il tient entre ses mains. » Ces ailes permettent au messager des dieux d’exécuter avec rapidité les ordres de Jupiter. A ses multiples occupations, Mercure Mercure joignait encore la conduite des âmes aux enfers.

Le 3 mai, l’Église catholique célèbre la fête de l’Invention de la Croix. On sait que sainte Hélène, mère de l’empereur Constantin, retrouva la croix de Jésus-Christ enfoncée dans la terre sous le Calvaire, en l’an 328.

Une superstition qui se perpétue dans quelques provinces, fait considérer comme funestes les mariages contractés en mai. On dit noces de mai, noces mortelles. On attribue l’institution des Rogations à saint Mamert, évêque de Vienne, en Dauphiné. Ces prières publiques se font trois jours avant l’Ascension, pour demander à Dieu de conserver les biens de la terre, et d’éloigner les fléaux et les malheurs. Dans le cours de la dernière moitié du Ve siècle, ce prélat exhorta les fidèles de son diocèse à faire des prières, des processions, des oeuvres de pénitence, pendant trois jours, afin d’obtenir la cessation des tremblements de terre, des incendies et du ravage des bêtes féroces, dont le peuple était affligé. Dans la suite, on continua ces prières pour se préserver de pareilles calamité, et l’usage s’en introduisit successivement dans les églises des Gaules, de l’Espagne, de l’Italie, etc.

220px-MercuriusKoperGravure dans Astrologie et EsotérismeEn mai les jours augmentent de 1h16, la température s’élève d’une manière très sensible, la moyenne s’élevant à 14°2. Cependant certaines journées du mois sont encore froides et les agriculteurs redoutent avec raison l’effet désastreux des gelées tardives. Ces gelées de mai peuvent se produire, soit parce que sous l’influence des vents du nord la température générale de l’air s’abaisse au-dessous de zéro, soit parce que la température du sol s’abaisse par rayonnement au-dessous de zéro, la température de l’air pouvant être d’ailleurs de 3 ou 4° de chaleur. Dans ce dernier cas, on peut parfois éviter l’effet désastreux de la gelée en brûlant, au-dessus du champ qu’on veut préserver, des huiles lourdes qui produisent des nuages artificiels destinés à diminuer le rayonnement du sol.

Ces gelées de mai peuvent arriver à une époque quelconque du mois, mais il a été bien constaté, depuis de longues années, qu’il y a toujours un refroidissement de la température vers les 11, 12 et 13 mai. Cette remarque n’avait pas échappé à l’esprit observateur des agriculteurs, qui donnaient aux saints Mamert, Pancrace et Servais, auxquels sont consacrés ces trois jours de mai, les noms de saints de glace.

On raconte que le grand Frédéric se promenait, le 1er mai 1780, sur les terrasses du palais de Sans-Souci. L’air était tiède, le soleil chaud. Le roi s’étonna que les orangers fussent encore renfermés. Il appela son jardinier, et lui ordonna de faire sortir les arbres. « Mais, sire, lui objecta le jardinier, vous ne craignez donc point les trois saints de glace ? » Le roi philosophe se mit à rire et renouvela son ordre. Jusqu’au 10 mai tout alla bien ; mais le jour de saint Mamert, le froid survint ; le lendemain, jour de saint Pancrace, la température baissa davantage, et il gela fortement dans la nuit qui précéda la fête de saint Gervais. Les orangers furent gravement endommagés.

Le mois de mai est si variable qu’on a dit avec raison qu’il n’est beau que chez les poètes.

C’est un ménage d’enfer.
L’almanach et le thermomètre
Ne peuvent d’accord se mettre :
L’un dit printemps et l’autre hiver.

On dirait que le mois de mai
Est relégué dans quelque idylle,
Ou que, tel qu’un luxe inutile,
Cette année on l’a supprimé.

En mai, les agriculteurs des différents départements sont loin d’être d’accord entre eux. Les uns désirent que les pluies d’avril prennent fin ; les autres ne les redoutent pas. Ces appréciations différentes tiennent évidemment aux différences de climat. Mais une voix unanime déplore les gelées tardives, qui sont cependant fréquentes durant ce mois :

Au mois de mai
Il faudrait qu’il ne plût jamais. (Vaucluse)

Mai pluvieux

Rend le laboureur joyeux. (Hautes-Alpes)

Ces deux proverbes sont, on le voit, absolument opposés.

Mars sec, avril humide, chaud mai,
Temps à souhait. (Aube, Nord, Marne)

Gelée d’avril ou de mai
Misère nous prédit au vrai.(Nièvre)

En mai, les travaux de jardinage deviennent très importants : on récolte les petits pois, les artichauts, les fraises, etc. Le 20 mai finit le mois républicain de floréal et commence prairial. La nature présente à cette époque de l’année sa plus grande activité.

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