Devenez visionnaire de votre vie !

Posté par othoharmonie le 12 août 2013


(paru dans le magazine L’Initiation)

Devenez visionnaire de votre vie ! dans AUTEURS A CONNAITRE images-14par Yannick LE CAM

Toutes les traditions offrent le monde des images comme outil de connaissance de soi et de reconquête de notre liberté. Comme si l’imaginaire nous offrait, à travers l’art de visualiser, toutes les possibilités de renouer avec le divin. Explorons pourquoi il est essentiel de retrouver la vision. 

 

Voir, prévoir, visualiser

Dans la spiritualité, nous découvrons rapidement que nous sommes tous créateurs de notre réalité. Nous l’appelons communément illusion ou monde des apparences car cette réalité est avant tout un phénomène engendré par notre pensée, elle-même fluctuante et éphémère. Si nous parvenons à la centrer, c’est-à-dire à la relier à notre âme, ce qui en résulte devient source de connaissance et d’expérience libératrice. Mais si notre pensée subit la tyrannie de l’ego, la réalité devient le terrain de nos luttes, de nos errances et de nos souffrances. Si vous vous intéressez particulièrement au domaine de la pensée créatrice – et vous êtes de plus en plus nombreux – vous avez sans doute remarqué que la vision est le plus sollicité de nos cinq sens. Voir, prévoir, visualiser et imaginer sont les maîtres mots utilisés dans tous les courants traditionnels pour nous faire comprendre que nous devons porter notre regard au-delà du monde sensible pour nous libérer des limites qu’il nous impose.

Une vision de survie

Depuis les transes des chamans des premiers temps, en passant par les quêtes de visions amérindiennes, les prophéties, les visions mystiques et même celles des médiums, notre rapport au mystère et au divin passe par les images. Le philosophe Gaston Bachelard disait que le monde des images est plus constitutif de notre être que le monde des idées. Le XXIe siècle ne le démentira pas avec l’explosion du numérique et de l’Internet qui, en plus des médias (télévision, presse, cinéma) démultiplient ce phénomène à l’infini. Pourtant, plus les images abondent et plus leur sens nous échappe. Et plus l’illusion gagne du terrain dans notre esprit car nous devons admettre que nous ne sommes pas visionnaires de grand-chose. Il suffit de constater que beaucoup d’entre nous vivent par défaut, c’est-à-dire selon des schémas de pensée qui réduisent notre vision de l’existence à une survie plus ou moins réussie ! Heureusement, de plus en plus de personnes veulent sortir de cet aveuglement. Cela demande quelques repères et une période d’apprentissage.

La visualisation de l’âme

Dans un  livre de Jean-Claude Genel, nous pouvons lire que « l’incarnation est une visualisation de l’âme ». Recouvrer la vue ou plutôt la vision est essentiel pour réintégrer le programme original de notre âme (le modèle) et nous réapproprier le sens de notre incarnation. Mais l’auteur va plus loin en nous indiquant que toute vision prend sa source au cœur même des valeurs qui structurent le monde de l’âme. Autrement dit, nous devons faire plus qu’ouvrir les yeux ! En effet, les yeux ouverts, nous ne voyons pas le monde tel qu’il est, mais tel que nous le pensons ! Un raciste ne voit pas un être humain mais un noir ou un Arabe ; un anti-secte ne voit chez une personne en quête de sens qu’une future victime d’un manipulateur de cerveau ! Notre manière de penser agit donc comme un modèle à partir duquel nous élaborons notre réalité. Un peu comme l’image sur la boîte de puzzle détermine la façon dont nous allons assembler les pièces. Dès lors, notre réalité intérieure repose sur un enchaînement logique d’attitudes, de comportements et d’habitudes qui engendrent des résultats souvent bien éloignés de ce que nous dit notre petite voix. Le monde extérieur n’est que le miroir de cet engrenage. Il s’agit donc de rééduquer non pas notre sens de la vue, mais notre manière de penser.

Reprendre le contrôle

Le monde dans lequel nous évoluons est depuis longtemps passé sous le contrôle de ceux qui fabriquent les images. Peu à peu, celles-ci sont devenues notre vision du monde. Par le phénomène de répétition, pour ne pas dire du matraquage, nous avons adopté une réalité à l’exclusion de tout autre. Nous avons laissé notre esprit à l’abandon et les pièces du puzzle de la pensée unique se sont assemblées dans notre tête sans effort. Pouvons-nous reprendre le contrôle et nous débarrasser de la matrice qui nous maintient dans l’illusion ? Le parcours de Néo, le héros de la trilogie Matrix, démontre que c’est possible, mais que ce n’est pas facile. La première prise de contrôle que nous pouvons exercer est celle qui passe par la visualisation. Les disciplines spirituelles l’utilisent car elle engage celui qui la pratique. Même si l’exercice est guidé, chacun voit selon ses propres repères. Il s’agit bien d’une création en soi, donc d’une action et nous savons tous qu’il est indispensable d’agir pour reprendre en main notre existence et ne plus vivre par défaut.

Le sésame de l’imaginaire

Pour cesser cette errance, il faut redevenir un(e) visionnaire. Les sessions « Coacher sa vie par le pouvoir des valeurs » (et d’autres thèmes) de l’Ecole, animées par les motivateurs de vie, permettent d’entrer en apprentissage d’une visualisation créatrice de sa vie basée sur les valeurs. Elles ont un formidable levier car elle nous font saisir tout l’art de capter les désirs de notre âme. Elles créent déjà en soi un constat et les exercices nous amènent peu à peu vers une acceptation qui nous conduira à l’action. Sans vision, c’est-à-dire sans direction, nous ne nous mettons pas en marche et les moyens nous manquent. Le ressenti des valeurs crée un pont entre deux mondes, celui de l’âme et celui de l’incarnation. Il est la connexion indispensable images-15 dans AUTEURS A CONNAITREqui fait passer les données rêvées (spirituelles) vers le domaine sensible (matériel). Les valeurs sont le sésame qui nous ouvre l’imaginaire. C’est une manière d’embarquer à bord de soi-même avec, pour toute destination, Soi.

Notre désir en images

La visualisation est un scénario d’accomplissement avec, pour seul héros, nous-mêmes. C’est une manière de se réapproprier notre histoire et d’y prendre notre place. Avec une vision claire ce que nous désirons créer et donc être, nous nous sentons motivés et nous partons en quête de notre propre réalisation. Nous décidons et les moyens nous sont offerts car nous appliquons le principe du « Aide-toi, le ciel t’aidera ». L’âme avec qui nous rétablissons le dialogue – puisque nous redevenons visionnaires comme elle – nous fait voir les moyens nécessaires sous la forme de synchronicités. Mais la visualisation est encore plus que cela. C’est une manière de mettre notre désir en images et par là même de reprendre le pouvoir. C’est la raison pour laquelle la spiritualité fait si peur car elle propose un certain nombre d’outils, comme la visualisation, sur lesquels la police de la pensée unique n’a aucun pouvoir ! En visualisant, on reprend donc le pouvoir sur soi, à partir de soi. C’est faire une expérience de vie imminente ! Et enfin, visualiser est un formidable moyen de concentrer notre énergie pour le nouveau monde, énergie qui devient ainsi de moins en moins disponible pour lutter contre l’ancien. La visualisation est une étape indispensable dans la conquête de soi.

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Le journal de mes nuits

Posté par othoharmonie le 5 août 2013

Interprétation des rêves

Extrait de : Le journal de mes nuits
Dr Jean-Michel Crabbé

Le journal de mes nuits dans AUTEURS A CONNAITRE images-22

Le but de l’ouvrage « Le journal de mes nuits » est de nous montrer par l’exemple – celui de l’auteur – comment les rêves contribuent sur une longue période au déroulement du processus d’individuation que Jung a décrit.

Plus de 300 rêves
Jean-Michel Crabbé nous livre et nous commente une sélection de ses propres rêves, basée sur les milliers de rêves qu’il a noté au cours d’une période qui s’étend de 1984 à 2005.

Par essence le processus d’individuation est unique, aussi l’exercice auquel se livre l’auteur est difficile. Il nous dévoile ses rêves et met chacun d’eux en relation avec sa situation du moment, ses interrogations, sa vie passée et à venir. Au fil des pages, se dessine une lente évolution, le travail autour des rêves prend tout son sens. 

Le rêveur et le rêve
L’auteur précise « Parler objectivement des rêves m’oblige à parler de moi et de mes propres rêves, le plus honnêtement possible, et sur le long terme. Parler de mes rêves m’oblige à donner mes propres associations, à dévoiler les idées et les réflexions qui me viennent peu à peu à l’esprit à propos de tel ou tel rêve, et à parler un peu de la vie que je mène ». Il ajoute « En dernière analyse, seul le rêveur lui-même peut commenter ses rêves et en donner une interprétation valable ». Aussi le présent ouvrage servira d’exemple pour tous ceux qui s’engagent dans cette voie de prise en compte et de reconnaissance des messages véhiculés par les rêves.

Chaque rêve me bouscule
L’auteur souligne que « L’initiation et l’épreuve sont bien réelles. Mon travail intérieur est un véritable parcours initiatique. Chaque rêve me bouscule, un peu ou beaucoup, me montre quelque chose de nouveau et je deviens un autre homme ». Il ajoute : « Mes rêves ont une cohérence et une logique interne indiscutables, avec des lignes directrices stables pendant des années, des rappels de rêves très anciens, de rêves emboîtés, des réponses à des problèmes tout à fait concrets, des critiques, des avertissements et des encouragements, une complémentarité entre des rêves séparés par de longs intervalles de temps. Mes rêves reprennent les mêmes thèmes sous différents aspects. Ils me répètent les mêmes conseils pendant des mois ou des années jusqu’à ce que je comprenne et que j’en tienne compte ».

L’individuation
L’auteur définit le processus d’individuation tel qu’il le vit : « L’individuation est une sorte de jeu de piste intérieur, avec des directions, des messages énigmatiques, des voies sans issue, des périodes de progrès et de régression. Le rêve transforme peu à peu la façon de penser et la vie de celui qui s’y consacre. Le rêve nous révèle notre nature profonde et il nous différencie de nos conditionnements familiaux et sociaux ». Ce processus balaye tout le spectre de la vie psychique, des fonctions instinctives aux fonctions les plus élevées, intellectuelles et spirituelles. Il confirme l’importance de la notion jungienne d’inconscient collectif.

Le rêve surprend, répare et guide
Il ajoute : « Le langage du rêve est une sorte de langue maternelle universelle que l’homme a oubliée au fil des siècles. Comme un événement imprévu, le rêve surprend, provoque un arrêt et un retour sur soi, une réflexion. Le rêve nous corrige et nous répare, il est en permanence adapté à tout ce que nous sommes. Le rêve est le germe d’une pensée nouvelle que la conscience doit saisir et développer. Le rêve est la source et l’avenir de la pensée, il nous guide vers notre propre totalité et notre accomplissement ».

Jung ne s’étudie pas, il doit se vivre
Voici comment interviennent C.G. Jung et M.L. von Franz dans la vie de Jean-Michel Crabbé : « Dans mes rêves, Jung et ses livres sont toujours très importants. Je préfère ses livres les plus vivants comme Ma Vie, C.G. Jung parle, l’Âme et l’a vie, Un mythe moderne ou son Essai d’exploration de l’inconscient. [...] Avec Jung, le principal danger est de passer sa vie à l’étudier sans jamais faire soi-même l’expérience de l’inconscient et sans faire le premier pas vers sa propre individuation. Jung ne s’étudie pas, il doit se vivre. Avant ce travail, je n’avais pas remarqué la place de Marie-Louise von Franz dans mes rêves. Cette plus proche collaboratrice de Jung y intervient d’une façon très positive comme une inspiratrice, une muse, une guide images-21 dans Rêvespour mon travail. »

L’interprétation jungienne des rêves
Jean-Michel Crabbé rappelle que « L’interprétation jungienne considère le rêve comme un témoin de la situation intérieure du rêveur, un instantané de sa vie psychique, une fonction d’équilibrage et de croissance psychique, une fonction créatrice. Presque chaque rêve concerne la vie intérieure du rêveur et doit être interprété sur le plan du sujet. Dans sa fonction compensatrice, le rêve corrige le point de vue de la conscience par celui de l’inconscient. L’inconscient élargit le champ de la conscience à ce qu’elle ne perçoit pas ». D’où un enrichissement, une évolution qui s’enclenche.

Éditions Robert Laffont, collection Réponses, 304 pages

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Le Viol d’Europe ou le féminin bafoué

Posté par othoharmonie le 8 juillet 2013

 

Aux fondements de la culture européenne : un déséquilibre masculin/féminin.

par Françoise Gange

Le Viol d’Europe ou le féminin bafoué dans AUTEURS A CONNAITRE livre1Le mythe d’Europe est, comme tous les grands mythes fondateurs, constitué par la superposition de deux strates reflétant les deux cultures qui se sont universellement succédées : l’antique culture de la Grande Mère et de son consort symbolisé sous les traits du grand Taureau fécondant, puis celle du Dieu Père qui est venue la supplanter par les armes (premières guerres de l’histoire) en se présentant comme le Commencement. Ce mythe d’Europe n’a été lu jusqu’ici que dans sa dernière strate, la plus récente, qui exprime la perspective grecque patriarcale ; la première strate ou strate originelle, concernant la culture de la Déesse, ayant été effacée.

C’est ainsi que le cœur du mythe, à savoir les tribulations d’Europe enlevée sur le rivage de Tyr et violée par Zeus en Crète où il l’a emmenée, s’avère mettre en scène, originellement, non pas la plaisante « histoire d’amour » que l’on a présentée traditionnellement, mais la grande révolution historique qu’a connue l’humanité aux âges du Bronze : d’une culture du féminin sacralisé dans la « première Histoire », l’humanité est passée à la culture du féminin déchu et livré à l’homme, devenu le guerrier conquérant de cette « deuxième histoire » qui est encore la nôtre.

Le « dépoussiérage » de ce mythe permet de saisir les causes de la violence contemporaine, issue de la désacralisation conjointe du féminin de l’humain et de la Nature, intervenue voici plus ou moins 5000 ans, c’est-à-dire hier au regard d’une aventure humaine vieille peu ou prou de 2 millions d’années. Si, abandonnant l’optique patriarcale univoque, on perçoit le viol d’Europe comme l’équivalent de la chute de l’Ame, et le triomphe de Zeus comme le triomphe de la Matière et de la force brute, on est alors à même de comprendre l’essence des sociétés modernes où l’équilibre féminin/masculin a été détruit et où la violence est allée de pair avec un matérialisme porteur de mort. Une trilogie d’exploration de la culture universelle

« Jésus et les Femmes » « Avant les Dieux, la Mère Universelle » « Le Viol d’Europe ou le féminin bafoué » forment une œuvre de redécouverte de la culture néolithique qui a précédé l’émergence de l’ordre patriarcal. Cette trilogie qui commence en Mésopotamie, sur le territoire de Sumer (correspondant en gros à l’Irak contemporain) d’où sont originaires les mythes les plus anciens déchiffrés à ce jour, pour se poursuivre en Grèce, en Egypte, au Moyen Orient, en Inde, sans oublier l’Europe. On y découvre que la culture patriarcale conquérante, c’est-à-dire guerrière, étayée sur les valeurs matérielles d’extension des territoires, d’accumulation des biens et de compétitivité, n’a pas toujours existé mais qu’elle est au contraire récente au regard de la longue culture qui l’a universellement précédée, organisée autour de la notion de divin féminin, et qu’elle a fini par submerger après une suite de revers.

Il est traditionnel de présenter cette culture patriarcale, dernière en date, comme la seule digne d’attention car elle représenterait le « progrès » accompli sur des temps antérieurs de « chaos ». Ce que révèlent ces trois livres, c’est que bien au contraire, l’émergence de l’ordre patriarcal conquérant, venu s’installer militairement (premières guerres de l’histoire) par-dessus la culture structurée autour de la Grande Déesse, Mère divine universelle, s’est accompagnée, dans toutes les zones géographiques confondues, de temps de chaos guerrier, véritable régression culturelle à différents niveaux. Les mythes de Sumer témoignent du fait que cette « première culture », aux temps du divin féminin, loin de limiter les actions et comportements humains à la seule matérialité, évoluait dans un monde symbolique qui prenait en compte la dimension spirituelle de l’humain et du monde. On découvre que l’amour, envisagé comme l’union entre les deux grands principes féminin et masculin, était sacralisé comme l’étaient aussi les arts -chants, danses, musique, représentations symboliques dessinées ou sculptées…- qui tenaient une place d’importance dans la vie sociale. On y apprend pourquoi et comment la culture guerrière postérieure, qui est toujours la nôtre et qui a démonisé le féminin et chassé le spirituel (l’être et l’âme) de ses préoccupations, pour se consacrer au monde matériel de l’avoir, a progressivement réussi, presque partout, à effacer cette « première culture » ou culture du féminin divin, en se faisant alors passer pour le Commencement.

Cette trilogie met en lumière le fait révolutionnaire que tous les grands mythes fondateurs universels, premiers écrits organisés que nous a laissés l’humanité, loin de n’être que des œuvres de pure imagination comme on l’a cru trop souvent, représentent en réalité la voie royale vers la totalité de notre Histoire, totalité de notre mémoire, car ils restituent dans leurs strates originelles non aperçues jusqu’ici, l’histoire des temps anciens enfouis, c’est à dire cette culture de la Déesse, dont l’histoire « officielle » désireuse de promouvoir la culture patriarcale conquérante, a effacé la trace. On découvre ainsi que le mythe n’est pas synonyme de « fable », mais qu’il se révèle au contraire comme l’ultime gardien de notre première histoire enfouie, histoire à laquelle la culture patriarcale s’avère avoir fait tant d’emprunts… elle qui se présentait comme seul vecteur de « civilisation ».

Dernière découverte d’importance : ces trois livres mettent en lumière le fait que l’œuvre de démonisation et d’occultation du rôle historique du « Grand féminin » <-féminin divinisé qui constituait le pivot de la culture au néolithique- entreprise par les premières religions patriarcales, a été reprise et parachevée par la religion du Dieu biblique, premier Dieu sans parèdre féminine de toute l’histoire ; puis par le judéo-christianisme qui a fait dégénérer le message du Jésus de la gnose, message dont le cœur était la réhabilitation du féminin démonisé, dans un but de réconciliation de l’humain avec ses deux moitiés, féminine masculine.

Françoise Gange, philosophe et ethno-sociologue, se consacre depuis un quart de siècle à l’exploration des mythes, faisant ressortir leur rapport étroit avec l’histoire vécue par l’humanité. Elle a publié autour de ce thème divers essais et romans, et participé à des œuvres collectives. Par ce nouveau livre intitulé Le Viol d’Europe ou le féminin bafoué, elle poursuit l’œuvre de découverte ou plus exactement de désoccultation, de notre première mémoire, première culture, des temps où le divin était féminin, commencée avec Avant les Dieux, la mère universelle et Jésus et les Femmes. Aux Editions Alphée.

A lire : le viol d’Europe ou le féminin bafoué. Françoise Gange. Editions Alphée. 

 

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oser l’humanisme aujourd’hui !

Posté par othoharmonie le 29 juin 2013


Dans son dernier ouvrage « Pulsions du temps« , la linguiste et psychanalyste offre une réflexion magistrale sur notre relation au présent.

 oser l'humanisme aujourd'hui ! dans AUTEURS A CONNAITRE humain

L’auteur Julia Kristeva, linguiste et psychanalyste, docteur honoris causa de nombreuses universités, est un nom qui compte au sein de l’intelligentsia française et internationale. Ses prestigieuses récompenses en témoignent : prix Holberg (2004) pour les sciences humaines ; prix Hannah Arendt (2006) pour la pensée politique ; prix Vaclav Havel (2008) pour la culture européenne. Preuve en est, également, son dernier livre, Pulsions du temps * : une réflexion magistrale, d’une brûlante actualité, sur notre relation au présent !

Daniel Salvatore Schiffer : Vous vous penchez, dans votre dernier essai intitulé Pulsions du temps, sur la question du temps. Qu’est-ce à dire ?

Julia Kristeva : Nous vivons aujourd’hui, à travers l’hyperconnexion planétaire, qu’elle soit due à Internet, aux réseaux sociaux ou aux médias, dans un monde de plus en plus globalisé. Ce fait a pour conséquences principalement deux choses, qui s’avèrent à la fois – le paradoxe n’est qu’apparent – contradictoires et complémentaires. D’une part, le temps ne nous est jamais apparu aussi uniforme, compact, fermé, répétitif, comme replié sur lui-même, sans réelles perspectives. D’autre part, jamais il ne s’est révélé aussi ouvert, multiple, diversifié, inconnu, changeant, riche de potentialités les plus variées. Le temps, aujourd’hui, ne s’est pas seulement accéléré. Il engendre également, et peut-être surtout, une invraisemblable quantité d’événements, mais dont le sens réel et profond, cependant, se révèle souvent difficile, dans l’immédiat, à comprendre, à interpréter à sa juste valeur. D’où, ainsi que mon livre nous y engage, la nécessité de pouvoir le décrypter.

Un ouvrage à l’usage de vos contemporains, en somme !

C’est là, en tout cas, son ambition. Ce livre questionne notre relation au présent et, donc, au monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. C’est la teneur de ce rapport, précisément, que j’interroge. Telle est la raison pour laquelle je parle, dans ces Pulsions du temps, de « reliance » : concept censé expliquer le lien existant entre la formation de la conscience, qu’elle soit individuelle ou collective, et le temps.

N’est-ce pas là une manière de reprendre, en l’actualisant, ce que Montaigne nomme dans ses Essais la « contexture » de notre relation au temps et, de manière plus spécifique, à notre présent justement ?

Absolument ! Mais, plus concrètement encore, je pense, pour ma part, que le présent, fort des leçons qu’il peut lucidement tirer de son passé, y compris dans ce qu’il a eu de plus tragique, peut aider les jeunes générations d’aujourd’hui, et même celles à venir, à sortir de ce délitement social et individuel dans lequel elles sont actuellement enferrées, ainsi qu’en témoigne, par exemple, la violence de certaines banlieues, dites pudiquement « sensibles ».

Lorsque vous évoquez les tragédies du passé, auxquelles faites-vous plus précisément allusion ?

livre dans Librairie / vidéothèqueJe me réfère là, bien évidemment, à ces deux immenses tragédies que furent, au XXe siècle, le stalinisme, avec le goulag et ses millions de morts, et le nazisme, avec ses camps de concentration et son génocide à l’encontre des juifs, ou d’autres minorités, tels les tziganes ou les homosexuels. L’enseignement qu’en a tiré la grande philosophe Hannah Arendt dans son étude sur les origines du totalitarisme, avec notamment cette notion qu’elle appelle la « banalisation du mal », est, de ce point de vue-là, très précieux, par-delà son aspect certes dramatique, lequel n’a par ailleurs pas manqué de susciter un vif débat au sein des élites intellectuelles. Ce qu’il faut retrouver impérativement, à l’instar de cet « impératif catégorique » dont parlait, quoique en un autre contexte, Emmanuel Kant, c’est le sens de l’humain, sans lequel il n’est point, c’est une évidence, d’humanité qui vaille ni ne tienne.

La cinquième section de votre livre, lequel se subdivise en sept parties, a pour très emblématique titre, précisément, « Humanisme » !

Oui. Si on considère l’histoire de la civilisation occidentale, on constate que notre modernité se caractérise par un prodigieux désir de savoir, lequel s’avère certes extrêmement positif, mais peut engendrer également de nombreux effets pervers. Ce que je m’efforce donc de comprendre, dans cette partie de mon livre, c’est la continuité pouvant exister entre le progrès scientifique et technologique de nos sociétés contemporaines et le projet intellectuel des grands humanistes du passé, depuis un penseur tel qu’Érasme de Rotterdam, par exemple, jusqu’aux Lumières, Jean-Jacques Rousseau en particulier, en passant, bien sûr, par la Renaissance. En d’autres termes, j’essaie de mettre au jour, sur le plan historique, les motivations, conscientes ou inconscientes, de ce désir de savoir.

Vous y considérez la découverte de l’inconscient et donc, à travers le travail de Freud lui-même, l’émergence de la psychanalyse comme un nouvel humanisme. C’est d’ailleurs là le sujet de la deuxième partie, intitulée « Psychanalyse », de vos Pulsions du temps !

Exactement ! Je crois la modernité analytique essentielle pour comprendre, en profondeur, les grandes mutations culturelles de notre monde, ses bouleversements politiques, dont l’évolution du concept de démocratie, fondamental pour le progrès de l’humanité. Je suis convaincue que l’expérience analytique peut être une réponse, à condition que, comme le soulignait Freud, elle se réinvente continuellement. C’est là ce que je soutiens dans le chapitre ayant pour titre « Freud : le fond du débat ».

Cette importance que vous accordez, à juste titre, à la psychanalyse, dans ce très complet et pertinent diagnostic critique, au sens noble du terme, que vous posez sur le monde contemporain, se base elle-même sur les acquis, tout aussi fondamentaux, de la linguistique moderne, depuis Ferdinand de Saussure. C’était d’ailleurs Lacan lui-même, pour s’en référer à l’un des maîtres de la psychanalyse contemporaine, qui affirmait – c’est là l’une des formules les plus célèbres au sein de ce courant philosophique que l’on appelait le « structuralisme » – que « l’inconscient est structuré comme un langage » !

Oui. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard, pour la femme d’origine bulgare que je suis, si mon livre s’ouvre, précisément, sur un chapitre intitulé « Mon alphabet, ou comment je suis une lettre ». Mais, afin d’élargir davantage encore cet important débat, et de l’asseoir sur un socle plus ferme encore, il est évident que c’est cette intime relation entre la psychanalyse et la linguistique qui permet de penser aujourd’hui, en grande partie, les apports réciproques entre plusieurs continents, dont ceux existant, par exemple, entre l’Europe et la Chine, ou l’Europe et l’Islam. Ainsi, en ce qui concerne l’Europe, je crois que la France, pays où je vis principalement, peut jouer un rôle capital, grâce à sa diversité culturelle, dans ce dialogue interculturel. Mais à une condition, toutefois : il faut que la France retrouve le sens de cet humanisme qui l’a portée pendant des siècles.

Mais ne pensez-vous pas que, au-delà même d’une nation comme la France, ce soit une entité telle que l’Union européenne, dont la France est un des six pays fondateurs, qui porte, aujourd’hui, ce projet humaniste ?

Certainement ! Je pense cependant que le projet européen, malgré ses bonnes intentions de départ, s’avère aujourd’hui encore très imparfait, malheureusement. Je vois donc à ce projet humaniste une autre alternative : celle de la francophonie, injustement négligée et pourtant véritablement porteuse, quant à elle, de cette magnifique ambition culturelle.

Cet ouvrage, Pulsions du temps, se présente donc comme une synthèse magistrale, tout en restant accessible à un large public, de votre oeuvre. La première partie de ce livre s’intitule « Singulières libertés ». Qu’entendez-vous par là ?

L’universel, l’un des principaux idéaux de tout humaniste digne de ce nom se conjugue toujours et nécessairement, afin d’éviter l’écueil du totalitarisme idéologique, au singulier. Le paradoxe, là aussi, n’est qu’apparent ! Dans ces « singulières libertés », je parle donc, avant tout, de l’expérience individuelle en tant que centre d’un réseau de relations, notamment à travers la langue, à l’autre, au sens où un philosophe tel que Levinas l’entendait. Mais pas seulement, car il y a différents types de langage : parlé et écrit, bien sûr, mais aussi pictural, sculptural, poétique, musical… bref, artistique. Ainsi verra-t-on apparaître successivement, en cette partie de mon livre, des écrivains et théoriciens du langage tels Philippe Sollers, Roland Barthes ou Émile Benveniste, mais aussi des artistes plasticiens tels Jackson Pollock et Louise Bourgeois, des critiques littéraires ou des universitaires, tels Marcelin Pleynet et Jacqueline Risset.

Vous consacrez également une importante partie aux femmes. Ainsi, d’Antigone à Colette, en passant par des personnages aussi différents que sainte Thérèse d’Avila ou Simone de Beauvoir, est-ce sur la révolution anthropologique à laquelle leur libération sexuelle a donné lieu que vous mettez l’accent ?

Oui ! L’expérience maternelle, et même ce que j’appelle l’ »érotisme maternel », demeure « la » construction culturelle par excellence. Elle nous situe à l’aube de l’ »hominisation » dans la mesure où la biologie, là, « bascule en émergence du premier autre, l’enfant », comme je l’écris dans le chapitre intitulé « Le deuxième sexe, soixante ans après ». Ainsi les femmes se révèlent-elles au centre des dilemmes éthiques les plus fondamentaux pour notre civilisation. En ce sens-là, le féminisme s’avère, aussi, un humanisme. C’est dire si la construction du lien affectif comme du corps social s’opère bien avant l’émergence des phénomènes religieux.

C’est là précisément l’intitulé, « Religions », de la quatrième section de votre ouvrage !

J’y effectue, à travers l’analyse d’expériences mystiques et de la notion de « sacré » en particulier, un examen critique des religions. J’y interroge également le catholicisme et, surtout, la sécularisation dans la mesure où elle seule permet, moyennant cette nécessaire distance qu’elle introduit au sein des croyances comme de la foi, de penser la tradition. J’en appelle donc à un renouveau éthique athée, bien plus encore qu’areligieux.

Après « l’ère du soupçon », qu’incarnèrent, à la charnière des XIXe et XXe siècles, Marx, Nietzsche et Freud, quant à leur conception de la raison, voici venir donc, au XXIe siècle, « l’ère du pari », quant à cette nouvelle définition de l’humanisme, selon Julia Kristeva ? C’est d’ailleurs là ce que donne à penser le discours, intitulé « Dix principes pour l’humanisme du XXIe siècle », que vous avez prononcé à l’université de Rome III, le 26 octobre 2011, puis, le lendemain, en présence du pape Benoît XVI, à la cathédrale d’Assise !

J’aimerais, en tout cas, le penser ! L’ère du soupçon ne suffit plus. L’homme ne fait peut-être pas l’Histoire, mais il n’empêche que l’Histoire c’est l’homme. Davantage : c’est nous ! Voici donc venu en effet, face à la grave crise que nous vivons actuellement, à tous les niveaux (spirituel, matériel, culturel, philosophique, moral, religieux, économique, financier, social, politique…), l’ère du pari : parier sur le renouvellement continu des capacités des hommes et des femmes à croire ou, mieux, à savoir ensemble. Tel est ce nouvel humanisme – qui n’est pas une utopie, mais bien un processus de refondation permanente – que j’appelle de mes voeux : lui seul pourra sauver l’humanité de ses vieux et nouveaux démons !

Comment toutefois définir, de manière plus précise et concrète, plus pragmatique et moins théorique, l’humanisme ?

L’humanisme est, comme j’ai l’habitude de le dire, un grand point d’interrogation à l’endroit du plus grand sérieux. C’est au sein de la tradition européenne en ce qu’elle a de plus élevé – extraordinaire synthèse des civilisations grecque, juive et chrétienne – qu’il convient de le rechercher. Cet essai, Pulsions du temps, se veut donc aussi, et peut-être surtout, un pari sur le temps de ce que je nomme le corpus mysticum. J’ose parier là, en effet, sur la culture européenne, la seule apte, peut-être, à refonder, tout en lui redonnant ses lettres de noblesse, l’humanisme, présent et à venir !

(*) Publié chez Fayard (Paris).

N.B. : Le titre de cet entretien, Oser l’humanisme aujourd’hui !, est aussi celui de la conférence que Julia Kristeva prononcera, le 17 septembre 2013, à 19 heures, lors de la remise, à l’Académie royale des Beaux-Arts de Liège (Belgique), du « prix littéraire Paris-Liège », récompensant, chaque année, un essai, écrit en français, en sciences humaines.

 

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Les Œuvres de vie selon Maître Eckhart et Abhinavagupta

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

  • de Colette Poggi


  • Les Œuvres de vie selon Maître Eckhart et Abhinavagupta  dans APPRENDS-MOI oeuvres-de-vie

  • Extrait du titre

    S’il est une raison essentielle qui justifie un rapprochement entre Maître Eckhart (XIVe siècle) et Abhinavagupta (Xe-XIe siècles), tous deux penseurs médiévaux, l’un occidental chrétien, l’autre cachemirien shivaïte, c’est qu’ils placèrent d’emblée, au centre de leur existence comme de leur œuvre, l’accès immédiat à la Réalité d’ordinaire voilée, grâce à une catharsis de la conscience. Pleinement engagés dans la vie spirituelle, riches d’une vaste érudition rassemblant tous les savoirs alors accessibles, ils s’attachèrent à la transmission de cette connaissance souvent indicible certes, mais passée au tamis de leur propre expérience, en approfondissant avec originalité le champ philosophique de leurs doctrines respectives. 
    Un autre trait original de leur métaphysique réunit Maître Eckhart et Abhinavagupta : il n’y a pas, selon eux, de place pour l’inertie ; le principe suprême lui-même est un pur dynamisme, acte créateur, vie surabondante qui, dans la langue imagée d’Eckhart, “ verdoie et fleurit ”, jaillit comme une fontaine, fulgure et scintille ; pour Abhinavagupta, vibration, élan, danse cosmique, émerveillement de sa propre essence. Par delà leur mode respectif d’expression ces deux mystiques de traditions différentes traitent avec une profondeur et une vigueur communes, et souvent étonnantes, de l’Art divin : génération du Verbe ou acte de conscience du point de vue de l’Absolu, création cosmique pour ce qui est de la manifestation.

    Comme leurs témoignages le font explicitement savoir, leurs œuvres sont issues d’une nécessité intérieure d’écrire afin d’alléger l’humanité du fardeau de l’ignorance car “ nombreux sont les êtres ordinaires qui n’ont pas conscience de leur essence innée ! ” constate Abhinavagupta dans le traité de la Reconnaissance1. 
    Avant de donner un bref aperçu sur l’ensemble de cette étude, précisons que son thème essentiel porte sur l’Art — voie sans voie, par delà toute pratique extérieure —, tel que le conçoivent Maître Eckhart et Abhinavagupta, c’est-à-dire la “ connaissance de Dieu ” ou la “ Conscience suprême ”, ainsi que les modes variés (arts) de réalisation.


    Après une présentation des deux maîtres (première partie), de leur vie, leurs œuvres et du contexte dans lequel ils évoluèrent, une approche de leur doctrine (deuxième partie) montrera à quel point elles participent du même dynamisme. Le principe ultime est “ Acte de conscience ”, “ Parole suprême ” ou “ Verbe divin ” qui est par nature conscience de soi et expression ; il est évoqué par Eckhart comme un débordement, un bouillonnement de plénitude et, par Abhinavagupta, sous forme d’une vibration cosmique (spanda) qui donne vie à tout ce qui est.


    Au cours de la troisième partie nous aborderons le “ Jeu divin ”, charnière entre l’Absolu et la manifestation (issue du désir divin d’être connu), source de la temporalité et de la dualité. Quant à l’être humain, il éprouve en sa conscience cette diversification engendrée par la Måyå (illusion cosmique2). Il est néanmoins en son pouvoir de refluer vers la source : instant d’éternité, hors du temps.

    Toujours dans cette troisième partie nous verrons comment ce reflux est rendu possible, quelle est la nature du lien qui limite la conscience et ce qui peut le délier, enseignement ou grâce. Dans cette perspective “ les voies de retour ” correspondent aux énergies fondamentales de l’homme : élan du désir-volonté, connaissance, activité. Les recoupements entre les pensées d’Eckhart et d’Abhinavagupta ne manquent pas ici non plus : il existe d’autre part une quatrième voie, ou plutôt une non-voie, chère aux deux mystiques, supérieure aux autres car elle se passe de moyens. Il s’agit de la voie de la Reconnaissance, selon la lignée d’Abhinavagupta et de ses maîtres Somånanda et Utpaladeva : nous nous appuierons sur la traduction de son œuvre philosophique maîtresse l’¡ßvarapratyabhijñåvimarßinî (IPV), qui fait d’Abhina- vagupta l’un des plus grands philosophes indiens. Bien que ce texte soit ardu dans la forme et le fond, ce fut un vrai bonheur d’entrer ainsi en contact directement, par delà les siècles, avec un écrit d’Abhinavagupta, car la pensée la plus rigoureuse s’y trouve animée de ferveur.

    Après avoir exposé les bases métaphysiques communes au maître du Cachemire et à celui de Thuringe, nous amorcerons la quatrième partie traitant de l’Art en tant que voie intérieure.
    Celle-ci est plus vaste que les autres car elle englobe des thèmes que l’on ne peut scinder ; trois thèmes essentiels la constituent :


    — le premier tente de cerner d’une part le concept d’“ Art de Dieu ” : Genèse, Cosmogonie donnant lieu à la manifestation, puis au retour en la source ; d’autre part celui de Dieu en tant qu’artifex : artiste ou artisan suprême du microcosme et du macrocosme. Liberté, beauté, imagination, création et félicité le caractérisent.


    — le deuxième thème de cette partie consacrée à l’Art s’intitule “ Rite et Art ” car il envisage l’art en tant que voie ; en effet, selon les traditions anciennes, tout acte créateur est en quelque sorte réitération de l’Acte divin de la création. Les aspects particuliers que constituent le rite (forme d’art sacré), le symbole (essence de l’art), et par ailleurs les métaphores du Miroir et de l’Image, permettent de suggérer l’unité foncière de la manifestation, ainsi que son lien au Principe universel qui, telle la lumière unique, fait apparaître en elle-même tout phénomène.


    Abhinavagupta composa un ouvrage particulièrement intéressant sur l’expérience esthétique, l’Abhinavabhåratî, où il développa les notions de rasa (saveur), dhvani (suggestion, résonance intérieure de la beauté perçue), et de mokßa (délivrance) désignant la vocation essentielle de l’expérience esthétique. Celles-ci seront évoquées tour à tour au cours de la présentation de quelques formes d’art (architecture, sculpture, peinture, danse, poésie, musique) grâce auxquelles l’homme depuis toujours a cherché à s’unir au Tout.


    De même dans cette étude traitant du Rite et de l’Art, après avoir évoqué ces aspects particuliers, il reste à envisager le cœur du problème si l’on peut dire : la vie du quotidien, trop souvent morcelée, privée de poésie, car dénuée de sa capacité d’élan, d’émerveillement ! Eckhart comme Abhinavagupta ont nettement insisté sur ce point : plénitude et conscience parfaite ne sont pas réservées à des moments ou à des activités privilégiées de l’existence. C’est pourquoi l’un et l’autre préconisent de “ trouver Dieu ” en chaque instant, selon l’expression d’Eckhart. Le Shivaïsme du Cachemire non-dualiste propose divers chemins pour y parvenir, parmi lesquels cinq “ moyens ” envisagés comme autant d’accès vers le Centre. La vie apparaît ainsi comme l’art le plus complet car il ne laisse de côté aucune sphère de l’existence.
    — Le dernier thème de la partie sur l’Art abordera les ressorts profonds communs à l’expérience esthétique et à l’expérience mystique : ce sont la contemplation, l’intuition illuminatrice, l’état de spontanéité et l’apaisement. Vécus en pleine conscience ces quatre aspects imprègnent peu à peu la vie quotidienne, reliant l’être à son principe, le Soi.

    La cinquième et dernière partie concerne les “ Œuvres de Vie ” proprement dites, émises spontanément d’un cœur unifié ; elle s’articule autour de trois enquêtes : la première, relative à l’attitude d’égalisation entre extériorité et intériorité (kramamudrå), montre comment il est possible de transfigurer le quotidien par cette pratique qui met en œuvre les ressorts subtils de la conscience, aussi souvent que l’élan et l’attention permettent de s’y raccorder.


    Dans la suivante, les rapports entre action et contemplation sont approfondis. Eckhart et Abhinavagupta, nous le verrons, accordent tous deux la prééminence à la vie active illuminée par une vision pénétrante de la Réalité et la paix intérieure. Ainsi peu à peu les deux aspects action-contemplation s’unifient et culminent dans l’attitude dite d’harmonie parfaite : la kramasamatå.


    La dernière partie du chapitre est consacré aux “ œuvres de vie ” ; dans le creuset de la kramasamatå, dans le fond de l’âme divinisée jaillissent spontanément les œuvres vraiment vivantes ; telle était la préoccupation fondamentale de Maître Eckhart qui aimait à se dire non seulement un Lesemeister (maître de lecture, d’érudition), mais surtout un Lebemeister (maître de vie). Renouvellement incessant, félicité, liberté et amour universel rayonnent du jîvan-mukta, le libéré-vivant, tel que le décrit Abhinavagupta. Il est certes aussi difficile de parler de l’Absolu que du saint qui s’y est identifié, en raison de l’infinie subtilité de cet état qui n’est “ ni ceci ni cela ” ; c’est pourquoi de tous temps plus d’une tradition ancienne eut recours aux symboles de l’Arbre de Vie, du Cœur, et de la Roue tournoyante autour de son moyeu immuable.


    “ Ayant acquis une parfaite conscience du Soi, de ses énergies de connaissance et d’action, les ayant reconnues identiques à son propre soi, ainsi cet être jouit des puissances d’action et de connaissance à son gré ”, déclare Abhinavagupta dans sa glose aux versets sur la Reconnaissance du Seigneur (IPV IV 15). Il œuvre au cœur d’un épanouissement de toutes ses énergies, réalisant à la fois plénitude de l’existence et vacuité des phénomènes dans une vision spontanée, sachant bien que :
    “ La rivière de la vie, impétueuse et profonde
    Les deux rives glissantes, et le milieu insondable…  

    Tout s’harmonise alors dans la simplicité et le merveilleux, comme l’exprime si simplement ce poème Tch’an :


    “ Puisez de l’eau et la lune

    Est entre vos mains
    Saisissez des fleurs et votre 
    Vêtement en sera parfumé ”4.

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« Moi, Moi, Moi. » L’araignée dans sa toile

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

 La loi de la correspondance et la loi de la projection

par : Gabriele Würzburg  

 

En cette époque où les valeurs de l’ego dominent, ce livre est plus actuel que jamais. Il décrit sous un angle totalement inédit les processus spirituels à l’oeuvre dans le cadre des relations humaines quand celles-ci ont uniquement pour but la satisfaction de l’ego.

Quand c’est le cas, l’homme vit exclusivement dans la loi des semailles et des récoltes, ce qui est extrêmement dangereux pour lui-même, mais également et surtout, pour ses semblables. Tant que l’homme pense, parle et agit de manière négative, il évolue dans une toile tissée d’égoïsme, de jalousie, de cruauté, de dureté de coeur et de bien d’autres comportements erronés. C’est ainsi que ce livre dévoile comment les hommes s’influencent et se manipulent mutuellement, montrant dans leur réalité crue ce que sont les rapports humains : un vaste commerce d’énergie négative où presque tous les coups sont permis. Dans cet ouvrage, Gabriele, que Dieu appelle sa prophétesse et messagère pour notre époque, puise à la source de sa conscience ouverte pour décrire ces phénomènes avec une profondeur inouïe, mais aussi et surtout pour nous indiquer comment nous en libérer, à la lumière des enseignements du Christ. 

  Voici quelques-uns des thèmes abordés dans ce livre : 
Influencer et manipuler son prochain • Le caractère, le comportement et la forme du corps physique résultent des sentiments, sensations, pensées, paroles et actes de l’homme • Tout est loi : Loi divine ou loi de l’ego • Sous l’effet du péché s’est développée l’auto-perception : l’homme ne voit et n’entend que lui-même • Dieu est-Il juste ? • Il n’y a pas de hasard • L’infini dans son entier est vie et évolution • Les événements spirituels à l’origine du « Big-bang » • … 

  Extrait de la préface : 
L’existence terrestre dans la loi de cause à effet est étrange et dangereuse pour l’âme et pour l’homme. La toile des causes et des effets est un labyrinthe dont on ne trouve que difficilement la sortie. 

Les personnes engagées sur le chemin de la vérité font chaque jour davantage l’expérience que le seul fait d’avoir des connaissances spirituelles ne suffit pas pour traverser la jungle de l’ego humain et encore moins pour défricher cette jungle en totalité. Pour éclairer tous les recoins tellement dispolarisés de notre humain, pour y apporter de la lumière et y créer de l’ordre, il faut s’efforcer sans cesse d’appliquer le contenu de ces connaissances spirituelles. 

C’est pourquoi il est bon d’éclairer et d’observer les choses à partir de différents points de vue. En effet, notre existence terrestre consiste dans le monde des programmes entrelacés qui sont les nôtres, dans le réseau de communications des erreurs, des déceptions et des liens, dans lequel chacun de nous s’est laissé prendre en de multiples occasions. Aujourd’hui c’est tel aspect qui nous aide à nous reconnaître, demain ce sera tel autre. _ Aujourd’hui, par exemple, quelque chose devient soudainement clair pour nous à la lecture d’un passage sur le « caractère », sur le fait de toujours vouloir « mieux savoir » que les autres ou sur le « plasma ». Demain, par contre, notre conscience sera touchée par une explication en rapport avec l’effet des pensées vagabondes et c’est ainsi que les processus de la connaissance de soi-même se mettent en mouvement, ce qui nous donne la possibilité de déposer parties après parties des aspects de ce qui nous charge. 

L’Esprit de Dieu qui se révèle dans la Vie Universelle apporte sans cesse, et avec une patience infinie, les Lois de l’amour de Dieu et du prochain, pour que nous puissions nous libérer de l’étroitesse et des liens, de tout ce qui nous oppresse et nous asservit…

Auteur : Gabriele Würzburg (

  Informations : www.la-parole.com 
  Contact : info@la-parole.com

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Les oeuvres de vie

Posté par othoharmonie le 9 mai 2013

Les Œuvres de vie selon Maître Eckhart et Abhinavagupta
de Colette Poggi

C’est par l’étude comparée des œuvres philosophiques et religieuses de deux auteurs médiévaux majeurs, Maître Eckhart, théologien rhénan (XIIIe-XIVe) et Abhinavagupta, philosophe shivaïte du Cachemire (Xe-XIe), que Colette Poggi aborde le thème central de cet ouvrage : Les œuvres de vie. Celles-ci désignent l’expression spontanée, au sein de la vie quotidienne comme dans la pratique artistique, de la plus haute réalisation qu’est l’art de l’intériorité conjuguant action et contemplation. Cette vision du sens de l’existence repose tant pour Eckhart que pour Abhinavagupta sur un aspect original de leur doctrine : à leurs yeux le principe suprême est Lumière animée par un dynamisme vivant, Conscience absolue s’exprimant dans le déploiement cosmique.

Cette recherche accorde également une large place à la conception médiévale de l’Art comme voie de réalisation.

N° ISBN : 2-86681-086-4Les oeuvres de vie dans AUTEURS A CONNAITRE livre-213x300
Année de parution : 2000
Prix: 29.41 €
Poids : 340 Grs
Nb pages : 256

Extrait :

S’il est une raison essentielle qui justifie un rapprochement entre Maître Eckhart (XIVe siècle) et Abhinavagupta (Xe-XIe siècles), tous deux penseurs médiévaux, l’un occidental chrétien, l’autre cachemirien shivaïte, c’est qu’ils placèrent d’emblée, au centre de leur existence comme de leur œuvre, l’accès immédiat à la Réalité d’ordinaire voilée, grâce à une catharsis de la conscience. Pleinement engagés dans la vie spirituelle, riches d’une vaste érudition rassemblant tous les savoirs alors accessibles, ils s’attachèrent à la transmission de cette connaissance souvent indicible certes, mais passée au tamis de leur propre expérience, en approfondissant avec originalité le champ philosophique de leurs doctrines respectives. 

Un autre trait original de leur métaphysique réunit Maître Eckhart et Abhinavagupta : il n’y a pas, selon eux, de place pour l’inertie ; le principe suprême lui-même est un pur dynamisme, acte créateur, vie surabondante qui, dans la langue imagée d’Eckhart, “ verdoie et fleurit ”, jaillit comme une fontaine, fulgure et scintille ; pour Abhinavagupta, vibration, élan, danse cosmique, émerveillement de sa propre essence. Par delà leur mode respectif d’expression ces deux mystiques de traditions différentes traitent avec une profondeur et une vigueur communes, et souvent étonnantes, de l’Art divin : génération du Verbe ou acte de conscience du point de vue de l’Absolu, création cosmique pour ce qui est de la manifestation.

Comme leurs témoignages le font explicitement savoir, leurs œuvres sont issues d’une nécessité intérieure d’écrire afin d’alléger l’humanité du fardeau de l’ignorance car “ nombreux sont les êtres ordinaires qui n’ont pas conscience de leur essence innée ! ” constate Abhinavagupta dans le traité de la Reconnaissance1. 

Avant de donner un bref aperçu sur l’ensemble de cette étude, précisons que son thème essentiel porte sur l’Art — voie sans voie, par delà toute pratique extérieure —, tel que le conçoivent Maître Eckhart et Abhinavagupta, c’est-à-dire la “ connaissance de Dieu ” ou la “ Conscience suprême ”, ainsi que les modes variés (arts) de réalisation.

Après une présentation des deux maîtres (première partie), de leur vie, leurs œuvres et du contexte dans lequel ils évoluèrent, une approche de leur doctrine (deuxième partie) montrera à quel point elles participent du même dynamisme. Le principe ultime est “ Acte de conscience ”, “ Parole suprême ” ou “ Verbe divin ” qui est par nature conscience de soi et expression ; il est évoqué par Eckhart comme un débordement, un bouillonnement de plénitude et, par Abhinavagupta, sous forme d’une vibration cosmique (spanda) qui donne vie à tout ce qui est.

Au cours de la troisième partie nous aborderons le “ Jeu divin ”, charnière entre l’Absolu et la manifestation (issue du désir divin d’être connu), source de la temporalité et de la dualité. Quant à l’être humain, il éprouve en sa conscience cette diversification engendrée par la Måyå (illusion cosmique2). Il est néanmoins en son pouvoir de refluer vers la source : instant d’éternité, hors du temps.

Sur l’auteur : 

poggi dans AUTEURS A CONNAITREColette Poggi mène des recherches sur le Shivaïsme du Cachemire et les philosophies de l’Inde depuis le début de ses études universitaires à Aix -en-Provence en 1977; elle aborde alors deux cursus : Littérature et Civilisation germanique d’une part, Etudes indiennes et Sanscrit d’autre part. Dans le cadre de son Doctorat, en 1986 , elle met en évidence les correspondances entre le plus grand philosophe du Cachemire médiéval, Abhinavagupta, et l’un des plus éminents mystiques et théologiens d’Occident, Maître Eckhart. Afin d’approfondir sa connaissance et de rencontrer d’autres chercheurs, Colette Poggi poursuit alors des recherches à Paris dans le cadre d’une équipe CNRS, à Oxford, et à la Sorbonne en Philosophie comparée avec M. Hulin. Elle présente en 1994 pour un doctorat de Philosophie en Sorbonne la traduction intégrale de l’ÎshvaraPratyabhijñâVimarshinî, texte fondamental d’Abhinavagupta qui porte sur l’expérience de la Re-connanissance intérieure comme voie immédiate de Délivrance. Actuellement, Colette Poggi enseigne le sanscrit et la pensée indienne dans divers centres universitaires, tout en poursuivant ses recherches et ses traductions sur le Shivaïsme du Cachemire.

Colette Poggi donne une série de conférences au Musée Guimet dont le thème est  » Regards sur l’expérience esthétique en Inde ancienne ».

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Médecine énergétique au service de la femme

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

Médecine énergétique au service de la femme dans AUTEURS A CONNAITRE medecin

Cet ouvrage est une ressource indispensable pour la santé énergétique des femmes. De la ménopause au syndrome prémenstruel à la dépression, médecine énergétique au service des femmes offre des solutions que la médecine traditionnelle n’arrive pas toujours à faire.

L’archétype féminin n’est pas qu’un ensemble d’idées et de valeurs flottant quelque part dans l’air. Il est encodé, certes, dans vos énergies, mais aussi dans vos gènes, vos hormones, et dans les gestes qu’ils vous amènent à poser. En vous rapprochant des assises énergétiques du corps et de l’âme de la femme, ce livre devrait vous inciter à effectuer de meilleurs choix santé et à renforcer le lien entre la précieuse sagesse du féminin et votre quotidien.

Médecine énergétique au service de la femme vous permettra de comprendre que votre sagesse corporelle n’est pas tant contenue dans les neurones de votre cerveau que dans des champs d’énergie qui mobilisent vos cellules, coordonnent les stratégies de vos organes pour vous maintenir en santé et vous baignent dans une atmosphère de paix et de joie lorsque les choses vont bien ou dans le stress et l’inquiétude lorsqu’elles vont mal.

Apprendre à rétablir la santé et l’équilibre de votre corps par la médecine énergétique, c’est favoriser le rayonnement de votre véritable nature. C’est mettre en place un terrain d’essai en vue de devenir une force de transformation des énergies environnantes et de bonifier le monde. Et c’est une façon de défendre efficacement l’amour, la coopération et la paix, qui représentent ce que vous avez naturellement à offrir au monde.

AUTRE LIVRE DE CET AUTEUR

Médecine Énergétique

 

dona dans AUTEURS A CONNAITREDonna Eden

Donna Eden, pionnière de la guérison holistique, compte parmi les représentants les plus recherchés, les plus joyeux et les plus crédibles de la médecine énergétique. Elle a enseigné à plus de cinquante mille personnes les bases du système énergétique corporel. Son best-seller, Médecine énergétique – Éveiller le guérisseur en vous (Ariane, 2005), traduit en dix langues, est devenu un classique.

http://editions-ariane.com/ 

 

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Invictus de J.Carlin

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

Invictus de J.Carlin dans AUTEURS A CONNAITRE invictus 

En 1985, Nelson Mandela, alors incarcéré depuis vingt-trois ans, entreprit de vaincre les partisans les plus impitoyables de l’apartheid, de ses geôliers jusqu’aux chefs de l’armée sud-africaine. Il gagna d’abord sa libération, puis remporta la présidence du pays lors de sa première élection libre en 1994. Mais il savait que l’Afrique du Sud était encore dangereusement divisée par cinquante ans d’apartheid. S’il ne pouvait l’unir rapidement, d’une façon viscérale et émotionnelle, son pays allait s’effondrer dans le chaos. Il choisit une cause ayant, a priori, peu de chances de succès : l’appui au Springboks, l’équipe nationale de rugby, lors du tournoi de la Coupe du monde 1995 tenu en Afrique du Sud.

Contre les géants du sport, les perspectives de victoire des Springboks étaient faibles, et leurs chances de s’emparer des cœurs de la plupart des Sud-Africains semblaient encore plus inaccessibles, car ils avaient longtemps incarné le règne des Blancs. Durant l’apartheid, les Springboks et leurs partisans, tous des Blancs, avaient entonné des chants de ralliement racistes, et les Noirs venaient aux matchs des Springboks pour appuyer l’équipe adverse. Mais Mandela estimait que le sport, justement, avait le potentiel nécessaire pour rallier les Sud-Africains de toutes races.  Découvrez ici l’art politique et la sagesse de ce grand homme d’État.

* : Ce livre vous est offert à moitié prix à condition que vous en commandiez au moins un autre à prix cadeau (aussi à moitié prix!). Voir les détails.

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John Carlin

carlin dans AUTEURS A CONNAITREJohn Carlin, ancien chef du bureau sud-africain de l’Independent, de Londres, offre un portrait singulier, en pleine action, du plus grand homme d’État de notre époque, concoctant jusqu’à l’ivresse le volatil cocktail de la race, du sport et de la politique. Il a puisé dans de longues entrevues avec Mandela, Desmond Tutu et des dizaines d’autres Sud-Africains engagés dans la décisive campagne de Mandela et l’improbable triomphe des Springboks. En un langage émouvant, il explique comment leur championnat a transcendé la griserie de la victoire pour effacer les haines anciennes et unifier un pays.

http://editions-ariane.com/ 

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Le comte de St Germain et les maîtres de l’Aggartha

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Le comte de St Germain et les maîtres de l'Aggartha dans AUTEURS A CONNAITRE iris-violet-300x300

dans l’oeuvre de François Brousse : Saint-Germain 

J’apparais personnellement à travers les âges comme une comète éternelle et vagabonde. On m’a vu dans l’antique continent atlante, tel un sage aux pouvoirs mystérieux. J’ai surgi à la base des grandes civilisations, comme une providence vivante, sous les masques d’Imouthès, le dieu constructeur de pyramide, d’Amourrou, celui qui sait les chemins de la Montagne, de Zerovanus, le contemplateur des deux Principes invincibles. [...] 

Au XVIIIe siècle, alchimiste immortel, je fabriquais de l’or, faisais grossir des perles, purifiais des diamants, guérissais des maladies, dévoilais l’avenir du monde. 

Au XIXe siècle, j’ai fondé, avec Koot- Houmi et Morya, cet édifice de granit, la Société théosophique où furent étudiés les mystères essentiels de l’univers. Sa fondatrice officielle, l’étonnante Helena Petrovna Blavatsky, sortait des sanctuaires initiateurs de l’Asie. Elle fut sur la Terre notre disciple bien aimée, notre messagère fulgurante. [...] 
Aujourd’hui, c’est à vous [François Brousse] que je me présente, apportant révélations métaphysiques, scientifiques, prophétiques et méthodologiques. 
(Propos de F. Brousse, 4e de couverture) 

François Brousse 
Le Voyageur des siècles, Saint- Germain, représente la Haute Magie, dominatrice de la Mort, maîtresse des couleurs et en relation avec le Grand Soleil central de la galaxie. 
Alchimiste suréminent, il fabriquait de l’or, purifiait les diamants, grossissait les perles, chassait les entités du bas-astral, guérissait les malades et révélait les sombres lueurs de l’avenir. (p. 13) 

[En 1743], le maréchal de Belle-Isle revenait d’Allemagne. Il venait d’abandonner, sous la pression des armées impériales, la merveilleuse ville de Prague. [...]. Il ramenait dans ses bagages [...] un étrange personnage : c’était le comte de Saint-Germain. [...] Ce Comte était petit, brun, le visage basané, le regard d’une étonnante profondeur. Il y avait en lui la majesté du mage et, en même temps, la douceur et peut-être, un peu, l’égarement du prophète. Il était vêtu d’une étrange façon, toujours avec des habits admirablement bien taillés, mais ce qui le différenciait de tous les autres courtisans de l’époque, de tous les autres grands seigneurs, c’était le faste, la somptuosité, l’éclat des bijoux. Ses bijoux [...] étaient en train de défrayer les chroniques d’un peuple léger, superficiel, amant néanmoins de la beauté et amant de l’intelligence. [...] Il devint très rapidement l’ami de la marquise de Pompadour et, par la marquise de Pompadour, il pénétra facilement dans l’intimité du roi Louis XV. Le roi Louis XV avait, pour le comte de Saint-Germain, une véritable admiration. (p. 179-180) 

Zoroastre, Hammourabi, Moïse ont rencontré leur Dieu sur la montagne, et nous avons rencontré le Maître sur les flancs des Pyrénées, dont l’étymologie rappelle le Feu créateur. 
C’est aux environs de la ville de Vernet-les-Bains [Pyrénées-Orientales], paradis du Midi, que cette rencontre insolite marqua notre mémoire d’un sceau ineffaçable. J’étais ce jour-là [le 14 avril 1966] en promenade non loin de cette station si douce et si harmonieuse, sur la route qui se dirige vers Casteil, tandis qu’un ciel rayonnant répandait sur la campagne aux arbres frémissants un manteau de gloire azuréenne. 

Je venais d’effectuer un virage majestueux aux environs de l’hôtel Alexandra [...] et voici que je rencontre un personnage d’une taille moyenne, avec un front très large, des yeux au regard insoutenable et un peu malicieux, portant des vêtements clairs et une coupe moderne. Son caractère particulier consistait en un étincellement de bijoux. Une bague à la main droite, avec un rubis flamboyant. Une bague à la main gauche, avec un saphir ensorceleur. Autour de son cou, pendait un vaste collier terminé par une croix gravée de trois roses. C’était la rose-croix, mais sous un style original. 

J’ai pensé tout de suite : « Est-ce un fou, un illuminé, un imposteur ou un homme de génie ? » C’était un joli éventail de possibilités. Pendant que je songeais, l’illuminé-imposteurhomme de génie s’avance vers moi et me dit ex abrupto : -Vous avez raison d’annoncer la chute du général de Gaulle pour 1969*. Je reprends mon souffle et rétorque : -Je suis ravi que la renommée de mes oeuvres soit parvenue jusqu’à vos oreilles ; puis-je me permettre de vous demander à qui j’ai affaire ? Il me répond superbement : 
Au comte de Saint-Phénix. Phénix ou Saint-Phénix, c’était, je le savais, l’un des pseudonymes de l’illustre Saint-Germain. (p. 274-275) 

* Cf. BROUSSE F., Les Clés de Nostradamus, dans Revue Sources Vives, Perpignan, N°32, printemps 1965 

 notesmusique-bougent-137x150 dans AUTEURS A CONNAITRE

Après l’effondrement de l’Atlantide, ce puissant génie a découvert le mouvement perpétuel, la quadrature du cercle et le moyen de transmuter les métaux profanes en métaux précieux. [...] Le Frère immortel poursuit sur la Terre le but d’Élias Artista en trois points fondamentaux : l’unité de toutes les religions, la production d’une richesse intarissable, la perfection de la science et de la morale, de sorte que les humains retrouveraient le paradis primitif. Il laisse entrevoir la rencontre future des fils d’Adam avec une civilisation extraterrestre. [...] Tel est le comte de Saint Germain, un des grands sages de l’Himalaya. (p. 280-281) 

L’humanité évolue, elle est en quelque sorte la dernière fleur de l’arbre animal ; nous avons été successivement à travers les siècles des plantes, des poissons, des reptiles, des amphibiens, des oiseaux, des quadrupèdes, enfin des hommes, des humains, et notre sort est de devenir des surhumains, autrement dit, des dieux. (p. 52) 

Saint-Germain 
Nous sommes, nous, les Frères Aînés, Koot-Houmi, Morya, Saint-Germain, les résultats d’une évolution prodigieuse. Nos êtres, plus anciens que les vôtres, plongent dans une antiquité inconcevable. Ils ont acquis la réalisation définitive. 
Notre suprématie se met au service de l’ascension humaine. Par nos pensées, torrent perpétuel d’amour, de puissance, de sagesse, de beauté, de joie, nous baignons d’un flux vivifiant les multitudes et les penseurs. Parfois, nous nous manifestons directement à quelques privilégiés. 
(Propos de F. Brousse, p. 51) 

François Brousse (4e de couverture) 
Il faut savoir que le but de l’évolution est de fabriquer des humains immortels, non dans leur corps physique (utopie contradictoire), mais dans leur corps éthérique. Ils peuvent alors, par la concentration de leur volonté, condenser des corps tangibles. La nuance est de taille ! 

Ainsi le comte de Saint-Germain et Melchisédech apparaissent-ils d’âge en âge, avec de longues périodes d’occultation. Donc, l’explication éthérico-créatrice illumine les mystères de l’Aggartha. 

L’Aggartha est composée de ces hommes surhumains qui sont devenus des dieux. Ils ont atteint l’immortalité parfaite en ce sens qu’ils ont un corps éthérique indestructible, grâce auquel ils peuvent refaire à leur gré des corps physiques. 

L’Aggartha comprend vingt-deux grands maîtres, ceux qui ont atteint la conscience cosmique et l’illumination permanente. [...] Ces vingt-deux grands sages sont les points de convergence de l’humanité tout entière. En l’Aggartha, il y a la puissance, l’amour, la sagesse et la création de la beauté, ce qui fait que l’homme devient semblable à Dieu, Dieu qui est à la fois le grand poète, le grand géomètre et le grand amoureux éternel. [...] Ces maîtres ont atteint l’immortalité du corps éthérique. [...]. En voici les noms… (Cf. p. 38-39)


ALMA 
Je suis venu sur Terre 
Pour sauver les humains 
Du lucre et de la guerre 
Qui troublent leurs chemins. 
Comte de Saint Germain, 
Tu m’ouvres la barrière 
Des divins lendemains 
Avec Hugo pour père. 
Les galaxies sans nombre 
Contiennent les géants 
Hors du rêve et de l’ombre 
Qui brisent le néant. 
Les abîmes gnostiques 
Donnent l’âme cosmique. 

Les Miroitements de l’infini 
François Brousse 

  Textes de François Brousse édités par www.licorne-ailee.com 

- A lire : Le comte de Saint-Germain et les maîtres de l’Aggartha

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Bryron Katie : aimer ce qui est

Posté par othoharmonie le 2 mars 2013

Bryron Katie : aimer ce qui est dans AUTEURS A CONNAITRE bEn 1986, Byron Katie a vécu ce qu’elle appelle « un réveil à la réalité » et, depuis, elle a initié au Travail des centaines de milliers de gens de par le monde. Outre ses présentations publiques, elle a diffusé sa méthode dans le milieu des affaires, les universités, les écoles, les églises, les prisons et les hôpitaux. Kathleen Reid Byron, femme d’affaires et mère de famille vivant dans le désert du Sud de la Californie, devint sévèrement déprimée au cours de la trentaine. Durant une période de dix ans, sa dépression s’agrava et Katie fut alitée pendant presque deux ans sans jamais être capable de sortir de son lit tant elle était obsédée par le suicide. Puis, un bon matin, des profondeurs du désespoir, elle eut une prise de conscience qui changea sa vie.

Katie vit que lorsqu’elle croyait que quelque chose devait être différent de ce qui était (« Mon mari devrait m’aimer plus », « Mes enfants devraient m’apprécier ») elle souffrait et lorsqu’elle n’adhérait pas à ces pensées, elle était en paix. Elle réalisa que ce qui causait sa dépression n’était pas le monde autour d’elle, mais les croyances qu’elle avait à propos du monde autour d’elle. Katie réalisa soudainement que notre tentative de trouver le bonheur était arrièré. Au lieu d’essayer désespérément de changer le monde pour qu’il corresponde à ce que nous pensons qu’il devrait être, nous pouvons remettre en question ces pensées et, en faisant face à la réalité telle qu’elle est, vivre une liberté et une joie inimaginables. Ainsi, pour réaliser sa transformation, Katie développa une méthode d’investigation simple mais très puissante appelée « Le Travail ».

Depuis 1986, Katie a présenté « Le Travail » à des centaines de milliers de gens dans plus de 30 pays à travers le monde. Elle a aussi présenté sa méthode dans les entreprises, les universités, les écoles, les églises, les prisons et les hôpitaux. Depuis 1998, Katie dirige l’École pour « Le Travail », elle offre aussi des week-ends intensifs dans plusieurs grandes villes.

En mars 2002, Crown Harmony publia le premier livre de Katie, Loving What Is : Four Questions That Can Change Your Life (Aimer ce qui est), écrit en collaboration avec Stephen Mitchell, auteur-traducteur de renommée. Loving What Is a été traduit en 16 langues et a atteint la 21e place sur Amazon. Récemment, elle a été approchée par plusieurs producteurs de télévision dans l’espoir de rendre ce processus de transformation accessible à des millions de gens. Katie se penche présentement sur l’écriture de son deuxième livre centré sur l’amour et les relations.

un LIVRE : 

Aimer ce qui est

aimer dans AUTEURS A CONNAITREAimer ce qui est développe une méthode révolutionnaire qui se résume à quatre simples questions qui, lorsq’on les applique à un problème spécifique, vous permettent de voir ce qui vous fait souffrir sous un angle complètement nouveau. L’auteure dit à ce propos : « Ce n’est pas une situation difficile en soi qui cause notre souffrance, mais bien notre pensée face à cette situation. »

Contrairement à la croyance populaire, nous ne pouvons nous libérer d’une pensée qui nous fait souffrir. Nous devons plutôt faire en sorte que la pensée se libère de nous. À partir de ce moment-là, il sera possible d’aimer ce qui est.

Eckhart Tolle, auteur du magnifique livre Le pouvoir du moment présent, raconte à propos de Aimer ce qui est :

«Le travail de Byron Katie est une bénédiction pour l’humanité. La source première de notre souffrance est l’identification que l’on a avec nos pensées, ces « scénarios » qui accaparent sans cesse notre mental.»« La méthode de Byron Katie agit tel un sabre coupant au coeur même de cette illusion et vous permet de connaître l’éternel essence de votre être et, ainsi, de retrouver la joie, la paix et l’amour. Avec Aimer ce qui est, vous avez la clé. Maintenant, vous n’avez qu’à l’utiliser. »

En 1986, Byron Katie a vécu ce qu’elle appelle « un réveil à la réalité » et, depuis, elle a initié au Travail des centaines de milliers de gens de par le monde. Outre ses présentations publiques, elle a diffusé sa méthode dans le milieu des affaires, les universités, les écoles, les églises, les prisons et les hôpitaux.

Téléchargez un extrait pdf   : issu du site des EDITIONS ARIANE.

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Histoire Sacrée de J.Clouâtre et P.Lessard

Posté par othoharmonie le 2 mars 2013

 

Histoire Sacrée de J.Clouâtre et P.Lessard dans AUTEURS A CONNAITRE myliamJosée Clouâtre, guide, enseignante, animatrice et thérapeute, favorise l’intégration des enseignements du Maître Saint-Germain à la vie quotidienne. Elle concentre son oeuvre autour du rapprochement de l’être avec sa dimension universelle au moyen d’une démarche et des outils applicables dans la vie concrète. Sous la guidance du Maître Saint-Germain, elle crée l’accompagnement psycho-spirituel du Rayon Violet ainsi qu’une formation en intégration spirituelle qu’elle offre à un individu ou à un groupe. Elle enseigne l’approche aux psychothérapeutes et psychologues. Elle participe à l’élaboration et la diffusion de tous les ateliers, formations et voyages initiatiques.

Intervenante et formatrice en travail énergétique depuis 1986, Josée Clouâtre a développé depuis quelques années une approche d’accompagnement psycho-spirituel où elle intègre les divers éléments de l’intervention psychothérapeutique à un accompagnement spirituel, aux soins énergétiques et à la reprogrammation cellulaire, favorisant ainsi l’éveil de la voie d’expression créatrice de manière concrète et intégrée au quotidien.

Josée Clouâtre rencontre Pierre Lessard au milieu des années 80, où elle l’accompagne dans le développement de sa médiumnité. Peu à peu, l’enseignement du Maître Saint-Germain transforme sa vie, et leur collaboration se précise. Sur l’invitation du Maître Saint-Germain, Pierre Lessard et elle sont inspirés à élaborer pas à pas, sur une période d’une dizaine d’années, l’approche de la «Danse des Énergies» ainsi que divers autres ateliers offerts au grand public, qu’ils diffusent depuis 1996. En outre, depuis 1998, elle guide avec Pierre Lessard des voyages initiatiques et spirituels dans différents pays du monde.

Josée Clouâtre est depuis toujours éveillée à la dimension moins tangible de la réalité quotidienne. Bachelière en psychosociologie de la communication, son travail d’intervenante l’a d’abord menée auprès des aînés et des personnes atteintes du sida, puis, pendant huit ans, de personnes victimes d’agression sexuelle, individuellement et en groupe. Parallèlement à sa formation universitaire, elle s’oriente rapidement, dès l’âge de 20 ans, vers des approches moins conventionnelles. Intervenante en dimension énergétique depuis 1986, elle pratique tour à tour la polarité et le toucher thérapeutique pendant 10 ans, qu’elle enseigne d’ailleurs pendant quelques années. Son éveil à la spiritualité se manifeste déjà vers l’âge de 17 ans, où elle développe un intérêt pour la méditation et le chanting (chants spirituels en sanskrit). Cette passion l’amène à effectuer des stages intensifs en Inde, dans l’Himalaya, en 1990 et en 1997, où elle parfait ses connaissances des diverses approches pré méditatives et expérimente plus profondément l’état méditatif. Depuis ce temps, elle a su faire profiter ses connaissances en mettant sur pied différents ateliers de méditation qu’elle anime depuis 1992 dans des milieux aussi diversifiés que des groupes privés, le secteur hospitalier et l’environnement carcéral. De plus, les chants mantriques sont devenus pour elle un outil de développement et de création d’ambiances au quotidien.

histoire-sacree-tome-ii dans AUTEURS A CONNAITREJosée reçoit l’inspiration vibratoire du Maître Myriam (Marie-Madeleine) dans sa guidance et ses accompagnements individuels ou en groupe. Avec amour et beaucoup de profondeur, elle stimule l’émergence et le déploiement du Féminin Sacré en chaque être. Ses ateliers, s’adressant pour l’instant aux femmes, guident chacune à utiliser sa Shakti, cette puissante énergie créatrice qui unit l’incarnation à l’universel.

Guide accompagnante du parcours d’élévation à l’école initiatique spirituelle Prismayam, Josée reçoit chaque jour des enseignements du Maître et est en union avec le vortex énergétique des lieux.

Depuis son enfance, Josée voit les dévas de la nature et les petits êtres invisibles. Sa proximité avec la forêt favorise le déploiement et de sa communication avec eux. Phare spirituel des mondes subtils, elle accompagne aussi l’Esprit des personnes décédées à retrouver leur voie d’élévation dans la lumière.

UN LIVRE : HISTOIRE SACREE

LIRE un extrait sur le site référence des Editions Arianehttp://editions-ariane.com/wp-content/uploads/2012/10/HistSacre%CC%81eT2_extrait.pdf

La grande marche des humanités

Dans ce deuxième tome de notre série de quatre volumes sur des voyages initiatiques au Pérou, en Égypte, dans le désert de Gobi et à l’île de Pâques/Patagonie :

  • Découvrez toute la sagesse de Maître Saint-Germain sur les héritages visibles et multidimensionnels de l’Égypte.
  • Accompagnez un groupe de voyageurs qui vivent des prises de conscience importantes reliées aux enseignements reçus, en particulier dans le ressenti de leur mandat d’incarnation.
  • Recevez des révélations sur la vie d’Akhenaton, sur sa volonté de préparer son peuple à l’incarnation du Christ, et sur l’émergence de l’humanité de cristal.

«Chères Âmes, maîtres et disciples de vous-mêmes, vous êtes les bienvenus en terre d’Égypte, vous qui y fûtes si souvent présents dans un passé plus lointain même que vous ne pouvez l’imaginer. Nous y fûmes aussi présents. Nous vous avons conviés à une retrouvaille de vous-mêmes, des énergies de la terre d’Égypte ainsi que de ses trésors, dont les plus merveilleux sont invisibles pour les yeux. La terre d’Égypte est une offrande à l’humanité. Vous suivrez un parcours initiatique dans le but de retrouver totalement la sensation de votre présence Je Suis, l’expression universelle cosmique et infinie de chacun de vous. Par notre guidance, nous vous aiderons à rétablir la paix relationnelle avec tous ceux que vous côtoyez sur votre chemin d’évolution. Vous retrouverez l’essence de l’Être vrai en vous. Votre mandat d’incarnation se révèlera à vous dans toute sa beauté. Ainsi, vous réaliserez que vous êtes tous des artisans de lumière dans ce moment de passage de l’humanité vers l’expression de sa multidimensionnalité.»

Les quatre volumes sur l’Histoire sacrée de l’humanité sont accompagnés des trois tomes Manifester ses pouvoirs spirituels, dont le but est d’apporter des enseignements essentiels sur la compréhension et la mise en pratique de nos pouvoirs spirituels – révélant ainsi notre nature multidimensionnelle –, le tout afin de nous amener à faire face à l’intense période de transition planétaire que nous vivons à l’heure actuelle.

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Le Passeur d’âme de Gabriel Beaulieu

Posté par othoharmonie le 2 mars 2013

 

Je désire souhaiter la bienvenue à tous ceux et celles qui cherchent à en savoir davantage sur les esprits, les âmes errantes et sur la mort en général. Dans ce livre, Le Passeur d’âmes, je raconte mon cheminement de 2004 à 2007. Je sais que c’est une très courte période de temps lorsqu’on parle de cheminement spirituel, mais le travail que j’ai réalisé sur moi-même m’a permis de devenir passeur d’âmes très rapidement et vous comprendrez pourquoi à la lecture de ce livre.

Le Passeur d'âme de Gabriel Beaulieu dans AUTEURS A CONNAITRE passeur-damesJe raconte dans ce premier livre, car d’autres suivront, mes expériences avec les âmes que certains décrivent sous les appellations d’esprits, d’entités ou de fantômes. Ces âmes sont comme nous, la seule différence étant qu’elles sont dépourvues de corps physiques. Dans cet ouvrage, je décris en détail ma façon de procéder et ceux qui connaissent les énergies pourront utiliser la même méthode afin, eux aussi, d’emmener des âmes dans la Lumière. Je raconte comment j’ai pu aider des personnes qui étaient hantées par des parents ou des amis morts. Les lecteurs pourront également prendre connaissance de certaines informations que j’ai recueillies au fil de mes lectures et que je trouvais utile de partager.

 Si vous êtes déjà dans le domaine de la spiritualité ou si vous avez lu et vous êtes documenté sur le sujet, alors vous savez sans doute que la Terre et l’humanité sont en processus d’«ascensionnement». Pour aider la Terre et toute l’humanité dans cette tentative d’accéder à une dimension plus élevée, plus légère, il faut guérir les vieilles blessures de nos vies actuelles et de nos vies passées. Il faut également travailler conjointement avec les Êtres de Lumière et avec notre planète, la Terre, qui est gravement malade et qui crie au secours. En effet, la Terre a bien besoin de nous pour guérir ses blessures, elle aussi. Ce sont pour la plupart des blessures dont nous sommes tous responsables, car nous avons fait certains abus de consommation, nous l’avons polluée de toutes les manières imaginables. Nous n’avons qu’à penser aux produits chimiques et industriels, aux essais nucléaires, aux déchets toxiques déversés dans les mers. Pensons également à toutes les guerres que nous nous sommes livrées et qui ont grandement affecté son corps émotionnel.

La Terre est également victime d’une forme de pollution qui passe totalement inaperçue. En effet, les âmes errantes qui n’ont pu trouver la Lumière doivent, pour subsister, utiliser l’énergie de la planète ou encore l’énergie des personnes qui y vivent. En plus des âmes errantes qu’il y a sur la surface de la Terre, il y a celles qui sont dans le bas astral, pour certaines depuis des milliers d’années, et qui utilisent l’énergie de la Terre pour subsister.

Dans mon deuxième livre vous pourrez prendre connaissance de tous les travaux que j’ai réalisés avec l’assistance de mes amis. Certains d’entre eux furent les initiateurs de quelques-uns de ces travaux. En effet, une bonne douzaine de personnes ont accepté de participer à ces travaux de guérison pour notre mère la Terre. Vous apprendrez comment nous avons œuvré avec les Anges, les Archanges, les Maîtres ascensionnés et avec tous les Êtres de Lumière intra et extra-terrestres pour purifier la Terre. Bien sûr, nous ne sommes pas les seuls sur la planète qui œuvrent pour la Lumière. Un très grand nombre de personnes autour du monde œuvrent à leur façon et c’est très bien. Mais si vous voulez avoir un aperçu de ce que nous avons accompli ces deux dernières années, je vous conseille de revenir sur ce site afin de connaître la date de parution de mon prochain livre et, bien sûr, de vous le procurer après avoir lu Le Passeur d’âmes.

 

L’auteur : Gabriel Beaulieu 

gabriel dans AUTEURS A CONNAITREJe suis né le 19 octobre 1950 à Saint-Alexis de Matapédia où j’ai grandi dans la foi. J’ai reçu une éducation chrétienne dans une famille de quinze enfants. Un de mes frères est décédé accidentellement, c’est arrivé bien avant ma naissance. Il était âgé de deux ans et demi environ.

Mes parents exploitaient une ferme familiale, mais les revenus étaient restreints. Donc les moyens financiers de notre famille étaient modestes. De plus, le jour de mon premier anniversaire de naissance la maison familiale brûlait complètement. À cette époque, nous avions un poêle à bois ainsi qu’un système de chauffage également au bois. Une étincelle s’était échappée de la cheminée et avait embrasé le bardeau de bois qui recouvrait la maison. Comme mon père était absent, ma sœur a pris le tracteur de ferme pour aller aviser les voisins, à deux kilomètres de chez mes parents. À leur arrivée, il semble qu’ils ont sorti quelques meubles de la maison et se sont assurés que les animaux n’étaient plus dans la grange car le feu menaçait également ce bâtiment qui était situé à peu de distance. C’est tout ce qu’ils ont pu faire, selon ce qu’on m’a raconté. La situation financière de mon père ne s’est donc pas améliorée. Mais grâce au travail et à la contribution de chacun, nous n’avons jamais manqué de l’essentiel. J’étais le treizième de cette famille et mon enfance s’est bien passée en général et je dirais que j’étais un jeune garçon comme il y en a beaucoup d’autres. Je garde de très bon souvenir de mon enfance. En septembre 1956, ma mère avait réussi à me faire admettre à l’école. Je suppose qu’elle devait commencer à trouver lourd de s’occuper des enfants puisqu’il y en avait deux autres plus jeunes que moi.

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Joe Dispenza et Rompre avec soi-même

Posté par othoharmonie le 2 mars 2013

 

 Joe Dispenza et Rompre avec soi-même dans AUTEURS A CONNAITRE rompreavec

  1. Rompre avec soi-même

Pour se créer à nouveau

Nous ne sommes pas condamnés par nos gènes à vivre une certaine forme d’existence. Une nouvelle science permet à tous les êtres humains de créer la réalité qu’ils souhaitent. Dans Rompre avec soi-même, le docteur Joe Dispenza, auteur, conférencier et chercheur reconnu, unit les domaines de la physique quantique, des neurosciences, de la chimie cérébrale, de la biologie et de la génétique pour nous montrer ce qu’il est vraiment possible de faire.

Vous trouverez dans ce livre non seulement les connaissances nécessaires pour modifier tout aspect de votre personnalité, mais aussi les instruments permettant de les appliquer afin d’effectuer des changements significatifs dans les différents secteurs de votre vie. Le docteur Joe Dispenza démystifie les fausses croyances et comble le fossé existant entre la science et la spiritualité. Grâce à ses brillantes conférences sur le fonctionnement du cerveau et à ses ateliers intensifs, des milliers de personnes, dans plus de vingt pays, ont suivi ces principes pour changer leur vie du tout au tout. Une fois que l’on a réussi à perdre l’habitude de l’ancienne personnalité et que l’on a véritablement modifié son état d’esprit, la vie n’est plus jamais la même !

«Rompre avec soi-même est un excellent mélange de science de pointe et d’applications pratiques qui constitue la formule parfaite à utiliser dans la vie quotidienne.»
– GREGG BRADEN, auteur des best-sellers La Divine Matrice et Vérité essentielle listés par leNew York Times.

 « Le message véhiculé par ce manuel divertissant et extrêmement accessible qui permet de renouveler nos circuits émotionnels et mentaux est très simple : nos pensées présentes déterminent notre vie future. »
– LYNNE McTAGGART, auteure des best-sellersLe Champ de la cohérence universelleLa Science de l’intention et Le Lien quantique.

dispenza dans AUTEURS A CONNAITREL’AUTEUR / Joe Dispenza a étudié la biochimie à l’université Rutgers. Il détient un baccalauréat ès sciences avec une spécialisation en neurosciences de l’université d’État Evergreen d’Olympia, dans l’État de Washington. Il a également reçu un doctorat en chiropratique de l’université Life d’Atlanta, en Géorgie.

Au nombre des scientifiques, des chercheurs et des enseignants apparaissant dans le film primé Que sait-on vraiment de la réalité !? (paru aux éditions Ariane) , le docteur Joe Dispenza a prononcé des conférences dans de nombreux pays pour informer les gens sur les fonctions du cerveau humain.

Son dernier livre : Rompre avec soi-même

 NOMBRE DE PAGES | ISBN

376 | 978-2-89626-122-2

Février 2013

26,95 $

Catalogue - Livres à venir - Série Ariane

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Ch.Sergi, L’Ouverture

Posté par othoharmonie le 15 février 2013

Ch.Sergi, L'Ouverture dans AUTEURS A CONNAITRE christina-sergiL’auteur : Christina Sergi   

Auteure, conférencière, enseignante-animatrice, Christina Sergi est docteure en théologie pratique, spécialisée en spiritualité ainsi que maître en yoga. 

Elle oeuvre depuis près de vingt ans dans le domaine du développement personnel.   Elle offre divers cours, conférences ou ateliers de formation spirituelle et de méditation liés à la thématique du présent ouvrage ainsi que de l’accompagnement individuel.

Pour en savoir plus
sur les cours et formations : www.christinasergi.com

Son cheminement personnel et professionnel est concerné par le développement intégral (corps, âme, esprit) de la personne. Sa quête spirituelle personnelle s’est amorcée il y a plus d’une vingtaine d’années. Elle se manifesta par un besoin de pacification intérieure par la transformation des émotions et des pensées. La pratique des asanas (postures) du yoga lui permit de libérer les tensions physiques et psychiques et d’atteindre davantage cet état de quiétude intérieure recherché. Avec la pratique de la méditation, elle put approfondir la connaissance d’elle-même et découvrir les richesses et potentialités de la psyché.

Tout en se formant en yoga et méditation, elle entreprit au début des années 2000 des recherches universitaires concernées par la croissance spirituelle et le processus du devenir Soi. Ses recherches lui ont permis d’élaborer un programme de cours de spiritualité et d’écrire un ouvrage qui s’inspire d’une partie des écrits de sa thèse (voir L’Ouverture).

Les sessions qu’elle offre aujourd’hui reflètent ce parcours de vie : cours de yoga, de méditation, de spiritualité et ateliers de croissance spirituelle afin d’aider chacun à progresser sur la voie de la réalisation du Soi.

Pour connaître davantage ses travaux de recherche, cliquez-ici.

 

 

L’ouverture, son livre    extrait-du-livre1 dans AUTEURS A CONNAITRE

 

 

 

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Transition Planétaire de M.J Roads

Posté par othoharmonie le 12 février 2013

 Transition Planétaire de M.J Roads dans AUTEURS A CONNAITRE transitionplan-156x234

Michael J . Roads est né en Angleterre, et dès l’enfance il s’est mis à explorer les mystères d’une Nature secrète et silencieuse. Depuis lors, il n’a jamais cessé d’être un homme «de terrain».

Après avoir épousé Treenie, tous deux ont émigré en Australie où, pendant dix ans, ils s’occupèrent d’une ferme. Au cours de cette période, Michael connut de profondes transformations et est peu à peu entré en communion avec l’Esprit de la Terre. Ceci l’amena à abandonner la ferme pour entreprendre une quête du Soi. En dépit des années difficiles qui suivirent, il a persévéré dans cette quête intérieure. Être libre et connaître le Soi étaient pour lui les seules choses qui importaient.

Pendant cette période, Michael et Treenie vécurent en communauté ; puis Michael travailla pendant quelques années comme consultant en agriculture biologique. Chaque jour, il s’employait à renforcer son lien spirituel conscient avec la Nature. Il apprit à franchir la membrane qui sépare le matériel (physique) de l’intangible (supraphysique). Transcrire cette expérience est devenu pour lui l’expression de sa créativité.

road dans AUTEURS A CONNAITREAujourd’hui, la profonde sagesse contenue dans les récits d’illumination spirituelle de Michael Roads constitue la matière de ses ateliers intensifs de cinq jours, de ses séminaires et de ses ouvrages traduits en treize langues. Michael a été invité à effectuer des tournées de conférences en Australie, en Nouvelle-Zélande, à l’île Norfolk, en Afrique du Sud, aux Pays-Bas, en Italie, en France, en Suisse, en Autriche, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni, au Danemark, en Suède, en Norvège, dans les Indes occidentales, aux États-Unis, au Canada et au Japon.

Communicateur extraordinairement doué, Michael Roads transmet l’Amour et la Vérité de cœur à cœur, bien au-delà des mots, créant ainsi l’espace nécessaire pour s’éveiller du rêve, pour allumer l’Amour et la Vérité présents en chacun de nous.

  • LES LIVRES DE CET AUTEUR
  1. Transition planétaire
  2. Retour à l’unité
  3. Avec les yeux de l’amour, tome 2
  4. Avec les yeux de l’amour

Son dernier livre :Transition planétaire

« Pan, le grand Esprit de la Nature, m’invite à me projeter une autre fois hors de mon corps afin de mieux apprécier la dynamique des grands mouvements énergétiques autour de la planète. De ma perspective dans la cinquième dimension, je vois la surface de la planète qui bouillonne d’activité métaphysique. Je perçois aussi le champ d’énergie de la planète d’un point de vue intemporel. Sur ce plan de la réalité, le passé et le futur ne font qu’Un avec l’instant. Je vois aussi pourquoi cette fin de cycle dans l’évolution de l’humanité nous incite tant à un changement profond dans notre relation avec la réalité, car autrement cette relation nous confinerait. La stagnation n’est plus possible. Le Grand Changement de conscience est à nos portes. »       

Pour le commander

Dans son nouveau livre, Michael Roads nous conduit comme jamais auparavant à saisir les forces de transformation en jeu à l’heure actuelle sur notre planète. Sa capacité à percevoir la réalité élargie d’un plan de conscience lié à la cinquième dimension lui permet de cerner l’essence même du processus planétaire d’éveil spirituel – ce qui le stimule en puissance tout en s’opposant à tout ce qui le bloque. Cela va même jusqu’à créer de grandes tensions dans le champ magnétique de la Terre, mais il constate aussi comment les grandes vagues du changement trouvent leur origine dans un cosmos en mutation constante. Un vaste potentiel et des champs d’une conscience nouvelle sont ainsi révélés à ceux qui sont prêts à l’exploration.

Vous pourrez commander ce nouveau livre dès sa parution via notre boutique en ligne. Parution le 15 février 2013.

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Les Messagers de Nick Bunick

Posté par othoharmonie le 12 février 2013

Les Messagers de Nick Bunick dans AUTEURS A CONNAITRE lesmessagers-156x234

 

 

 S’il s’agissait d’une oeuvre de fiction, Les Messagers constitueraient une histoire remarquable à cause de l’inspiration qui anime ce livre, des émotions qu’il suscite, ainsi que de la sagesse et de l’amour contenus dans ses pages. Or, Les Messagers n’est pas un roman, mais une histoire vraie. C’est pour cette raison que ce récit est l’une des chroniques les plus extraordinaires qui aient été écrites au vingtième siècle. Le message véhiculé par Les Messagers nous ouvre la porte du nouveau millénaire.  

Pour le commander

Pourquoi les anges se sont-ils manifestés avec insistance à un éminent homme d’affaires qui ne croyait même pas à leur existence ? Voici l’histoire véridique d’un individu qui, craignant les moqueries et l’incrédulité, n’osait pas révéler qu’il avait connu le maître Jésus dans une vie antérieure. N’acceptant pas son hésitation, les messagers divins que sont les anges, de concert avec quatorze témoins de manifestations angéliques, l’ont persuadé de raconter sa merveilleuse histoire.

Nick Bunick ne s’est jamais considéré comme très religieux, mais il savait au fond de lui-même qu’il avait vécu quelque chose d’exceptionnel au cours d’une existence antérieure. Bien qu’il fût désireux de le révéler, il n’en faisait rien car il était convaincu que la plupart des gens ne le croiraient pas. C’est alors que les anges sont intervenus. Ils ont fini par le persuader de raconter cette histoire qui s’est passée il y a deux mille ans alors qu’il vivait dans l’entourage de Jésus, sous le nom de l’apôtre Paul.

Ce récit captivant, chronique inspirante des manifestations angéliques qui ont finalement conduit l’auteur à livrer ses souvenirs, éclaire aussi la vie de l’apôtre Paul. Imprégné de la sagesse et de l’émerveillement nés de cette incroyable rencontre avec Jésus, ce livre magnifique, qui signale le retour de l’âge des Miracles, changera votre vie à jamais…

Ce livre a reçu plus de 64 commentaires sur Amazon.com dont 47 sont des plus favorables. Vous pourrez commander ce nouveau livre dès sa parution via la boutique en ligne
Parution le 15 février 2013. Visitez son site

            À propos de l’auteur

userid_217_originalavatar_bunick_n-156x179 dans AUTEURS A CONNAITRENick Bunick n’a pas le parcours typique d’un auteur spirituel. Il a grandi dans l’une des villes les plus pauvres des États-Unis, dans la banlieue de Boston, et a fréquenté l’Université de la Floride grâce à une bourse de football. Il a ensuite servi durant trois ans dans l’armée en tant que commandant en second de 1700 hommes dans une unité d’élite appelée Troupes spéciales.

À son retour à la vie civile, il est entré dans le monde des affaires et a eu une très belle carrière. À la fin des années 70, il a eu sa première expérience avec une voyante qui lui a dit que 2000 ans auparavant, il avait vécu aux côtés du Maître Jésus. Il a fini par accepter de faire une régression sous hypnose durant une période de six mois au cours de laquelle il a découvert qu’il se rappelait entièrement de la vie de l’apôtre Paul. Le fait que Nick est la réincarnation de Paul a été confirmé par des médiums et des voyants hautement évolués de partout dans le monde.

En 1997, le livre Les Messagers de Nick Bunick a figuré dans la célèbre liste de best-sellers du New York Times. En plus de ses souvenirs d’il y a 2000 ans et de sa relation avec quelques-uns des esprits les plus avancés de notre planète, il a le don de clairvoyance et peut recevoir des canalisations écrites du monde des esprits, ce qui l’a aidé à écrire Time for Truth (Temps pour la Vérité) and The Committment (L’engagement). Ses livres et ses apparitions à la télévision et à la radio et ses conférences ont touché la vie de millions de personnes partout dans le monde.

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Reconnaître le solitaire du solidaire

Posté par othoharmonie le 5 février 2013

Reconnaître le solitaire et le solidaire en chacun d’entre nous par Yvan Amar

Yvan Amar nous a reçus dans la simplicité du coeur qui lui est propre. Il a bien voulu replacer sa vision de la tradition spirituelle dans le contexte du monde actuel.

  Question : Peux-tu nous parler du parcours spirituel qui est original et différent pour chaque individu ? 

En fait, c’est la source même de la liberté de chacun. Le parcours de chacun est plus qu’original, il est unique et incomparable, et c’est en cela qu’il doit être l’occasion pour chacun de recouvrer sa liberté d’origine. 

Reconnaître le solitaire du solidaire dans AUTEURS A CONNAITRE a-petit-symLe chemin n’est pas un chemin pour aller vers la liberté ; c’est un chemin dont la nature est la liberté, et ce n’est que dans la mesure où, au travers de ce chemin, on peut vivre ce qu’il y a d’unique, d’incomparable, que non seulement on peut témoigner de cette réalité universelle de façon unique, mais aussi entrer en relation vivante avec tous les êtres, tous les témoignages uniques de cette même réalité. 

Quand je reconnais ma propre façon unique, incomparable, de témoigner de la réalité universelle, je peux d’autant mieux accueillir – et entrer en relation avec – tous les autres témoignages uniques existants.

 
La beauté de cette prise de conscience, c’est qu’à la fois elle m’oblige dans la liberté à l’impeccabilité, l’excellence, et la rigueur de ce dont je dois témoigner moi-même, mais elle m’oblige aussi à reconnaître cette même pensée qui anime tous les êtres autour de moi dans leur originalité et leur liberté. 

La conscience du caractère unique de chacun engendre à la fois le respect, la tolérance, et aussi le sentiment de la nécessité de se relier à tous les êtres : qu’on ne peut grandir que tous ensemble. On a quelque chose à assumer en propre, on ne peut l’assumer que seul, mais on ne peut grandir qu’ensemble. Reconnaître le solitaire et le solidaire en chacun de nous voilà le grand paradoxe 

Les faire se rencontrer relève d’un exercice d’équilibre très particulier. Nous connaissons l’équilibre facile ; comment tenir sur un espace restreint. 

Mais celui-là est d’une autre nature ; il est le plus délicat d’entre tous : comment tenir en équilibre sur un non espace ! Il est l’équilibre du Fils de l’Homme. 

Seul le coeur connaît cet équilibre-là. Voilà la leçon importante de toutes les époques : l’égoïsme ne peut jamais être le chemin, qu’il soit individuel ou collectif, scientifique ou religieux. 

La seule façon de témoigner, c’est d’être libre de toutes les croyances illusoires, de toutes les appropriations illusoires, et nous sommes dans une telle confusion spirituelle aujourd’hui. 

Ce n’est déjà pas facile de se sortir du fatras du quotidien égoïste, mais quand on nous propose, pour en sortir, un nouveau fatras spirituel, celui-là, nous passons de Charibde en Scylla, nous passons d’un bazar relativement connu à quelque chose de quasiment pire ! 

Si, à notre époque, il y a un rappel de la dénonciation traditionnelle de l’égoïsme, ce doit être un rappel dans la modernité. La tradition s’actualise toujours en fonction du temps et du lieu où elle s’exprime. La vérité d’un enseignement, fût-il éternel, n’a de valeur que si elle est formulée selon le temps et le lieu où l’on se trouve. 

Seulement il faut faire la distinction entre une modernité traditionnelle et le “Big Bazar” du “New Age” (nouvel âge). Le New Age est trop souvent un fatras d’approches plus ou moins sauvages, sans organisalion ni principe de cohérence, alors que la spiritualité moderne, la tradition dans la modernité, est un langage moderne imprégné d’une rigueur. 

Il y a une vérité éternelle qui est la tradition, et pour que la spiritualité ait un sens aujourd’hui, il faut qu’avec les éléments du monde moderne, il y ait constamment la présence d’une intelligence, d’une cohérence, d’une rigueur qui relèvent de l’expérience de cette dimension éternelle. Seule cette qualité-là peut constamment ramener à une exigence, à une intégrité, à une qualité jamais corrompue, jamais corruptible. Ce qu’elle énonce en priorité, c’est ce qui est au-delà de la corruption, qui est incorruptible. Quand Jésus bazarde les marchands du Temple, il rappelle un nettoyage que l’on doit faire à l’intérieur de nous-mêmes. Ce principe premier “JE SUIS” doit “bazarder” tout ce qui, en nous, peut corrompre cette qualité d’origine. Le temple que nous sommes doit être complètement débarrassé de tout ce qui peut corrompre cette dimension d’origine. 
Il est important dans le cheminement de faire la part de ce qui relève en nous de la concession à la mécanique corruptrice, car on est très complice de cette corruption-là. On est ravi de se laisser corrompre par les peurs, les habitudes, les acquis de toutes sortes. 

Il n’y a qu’une seule façon de pouvoir dénoncer cette corruption, c’est d’être en contact intime, soit avec cette intelligence en nous, soit avec cette intelligence vivante dans un homme qui, lui, peut nous obliger à la voir en nous. Cet homme-là ne nous permet pas de la voir, il nous oblige à la voir. Et c’est dans la mesure où l’on veut bien coopérer, où l’on veut bien faire face, dans cette vision, à ce qui en nous est la corruption d’origine, qu’un travail authentique peut s’accomplir. 

Dans le grand supermarché de la spiritualité New Age, si ce principe n’est pas là, nous sommes à nouveau avec les marchands du temple ; toutes les corruptions, toutes les déformations sont possibles. 

Dès lors, on prête le flanc à toutes les critiques du monde que l’on prétend transformer. On prête le flanc à toutes les accusations, parce que nous-mêmes ne nous comportons pas de la façon digne et impeccable dont ce principe doit témoigner dans le monde. Cela est important et doit être dit, surtout dans le cadre d’un journal d’annonces où tant est proposé. Et il est important qu’il y ait là, plus que n’importe où, une immense rigueur. 

Nous sommes sur un chemin de transformation, tout notre itinéraire, c’est la transmutation du plomb en or. Il y a une chose que la pierre philosophale nous fait découvrir, dès qu’on entre en contact avec elle : c’est que le plomb, c’est de l’or. devenir de l’or ; le plomb révèle l’or qu’il est déjà. L’or, c’est le plomb qui a grandi. Ce n’est pas du plomb qui a changé de nature. C’est du plomb qui a déployé sa nature d’origine. Le plomb est un moment du grandir de l’or. Le plomb c’est de l’or “premier âge’’, et en fait, quand on rencontre la pierre philosophale, elle nous fait reconnaître que l’on est de l’or, même si, apparemment, on en témoigne qu’au niveau du plomb. C’est là que commence ce que j’évoquais précédemment  : la nature même du chemin est liberté. 

Quand on reconnaît, grâce à la pierre philosophale, qu’on est déjà de l’or, cette reconnaissance-là apporte une très grande liberté. Mais y sont associées aussitôt deux choses : la première, une responsabilité. Suis-je prêt à assumer cette vision : je suis de l’or qui doit grandir ? Vais-je faire ce qu’il faut pour faire grandir cet or-là, et non pas simplement dire : « le plomb c’est déjà de l’or », et vivre au niveau du plomb que je suis. 
Et la seconde, c’est que la pierre philosophale est en même temps élixir de vie. De même le sage, par la vision de sagesse, nous dit ce que l’on est, et par la vision de compassion s’adresse à notre souffrance ; il ne fait pas que parler de réalité ultime, il vient souffrir avec nous. 

La pierre philosophale, la “poudre de projection” est jetée dans le feu, dans le creuset, en même temps que le plomb. Le maître de compassion vient avec nous dans la souffrance. Il vient souffrir avec nous pour pouvoir nous réconcilier avec l’état du grandir que l’on est ; la souffrance dans laquelle on se trouve, parce que cette souffrance-là, seule, est notre porte d’accès à la réalité. Notre plomb est notre seule porte d’accès à l’or. 

Cela est le deuxième aspect de renseignement : c’est d’être réconcilié avec sa propre souffrance, d’être réconcilié avec son propre mensonge, parce que le chemin de la vérité passe par notre mensonge conscient. C’est donc de travailler sur ce que l’on est, mais avec le principe de cohérence et la rigueur issus du témoignage ultime. 

Voilà à quoi nous oblige une démarche, voilà à quoi nous oblige la rencontre avec le réel.

Fondateur des Editions du Relié 
www.editions-du-relie.com 

Yvan AMAR (1950-1999) est un philosophe novateur considéré comme un des sages qui ont éclairé la fin du XXème siècle. 

  Il a publié au Relié : 

“Les béatitudes” 
“Les nourritures silencieuses” 
“La pensée comme voie d’éveil” 
“L’Obligation de conscience” 
“La conscience corporelle” 
“L’Alchimie de l’homme”. 

  Chez Albin Michel : 
“L’effort et la grâce” 
“Les dix commandements intérieurs” 
“Le maître des béatitudes”. 

Marie de Hennezel lui a consacré un livre entier : “Mourir les yeux ouverts” réédité chez Pocket.

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Drunvalo Melchizédek

Posté par othoharmonie le 2 novembre 2012

Drunvalo Melchizédek

Drunvalo Melchizédek dans AUTEURS A CONNAITRE drunvalo1-300x197drunvalo et Marie Allizon

Marie Allizon (elle-même télépathe et astrologue) a interviewé le célèbre visionnaire américain Drunvalo Melchizedek à Washington à la fin d’un séminaire de yoga qu’il animait en janvier 2007. Voici la traduction de ce surprenant et terrible entretien au cours duquel on apprend, entre autres, que Yogananda n’est pas mort et qu’une bonne partie de notre planète est menacée à très court terme d’ensevelissement sous la glace… Interview que vous pouvez lire ici…… 

Drunvalo et ses facilitateurs enseignent la voie vers la santé parfaite, le bien-être et la transformation spirituelle grâce à l’activation du Merkaba et au programme Fleur de vie.

La vie de Drunvalo Melchizédek se déroule comme une série de percées dans l’expérience humaine. Il a d’abord étudié la physique et l’art à l’Université de la Californie à Berkeley, mais c’est après cette période que, selon lui, il a acquis la plus grande partie de son savoir personnel. Au cours des 25 dernières années, il a poursuivi sa démarche sous la direction de plus de 70 enseignants dans tous les systèmes de croyance et de compréhensions spirituelles, ce qui lui a procuré un large éventail de connaissances et beaucoup de compassion et d’acceptation.

Selon lui, sa principale tâche est de nous rappeler l’existence de notre Merkaba, ces puissants champs éthériques qui entourent chacun de nos corps et qui sont en sommeil depuis la chute de l’Atlantide, il y a quelques 13 000 ans. Drunvalo et ses facilitateurs enseignent la voie vers la santé parfaite, le bien-être et la transformation spirituelle grâce à l’activation du Merkaba et au programme Fleur de vie. Ces enseignements pratiques permettent un contact plus profond avec le Moi supérieur et offrent une protection sans égale pour traverser les changements subis par la Terre, en plus de renforcer tous les aspects de la vie personnelle. Le Merkaba est activé par une ancienne façon de respirer et par la méditation enseignée à l’origine par l’école des Mystères égyptiens.

LIVRE [S] DE CET AUTEUR

  1. Serpent de lumière, Le
  2. Vivre dans le coeur
  3. Ancien secret de la Fleur de vie, L’, tome 2
  4. Ancien secret de la Fleur de vie, L’, tome 1

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Lectures pour Ouvrir son coeur

Posté par othoharmonie le 28 septembre 2012

Une spiritualité vivante, vécue de l’intérieur, rayonne. Elle nous engage profondément dans la vie. Toute quête spirituelle authentique n’a véritablement de sens que si elle nous relie aux autres par le cœur. Sinon, elle n’est qu’un outil de plus pour courir derrière un bonheur égoïste.

Flavia Mazelin-Salvi

Lectures pour Ouvrir son coeur dans AUTEURS A CONNAITRE amour-coeur-00055

La communication non violente

Le terme sanscrit ahimsa, que l’on peut traduire par « le fait de ne causer de dommage à personne », est au coeur de l’hindouisme et du bouddhisme. Gandhi est le premier à l’avoir mis en pratique, au début du XXe siècle, dans le domaine de la politique en pratiquant la résistance non violente, suivi par Martin Luther King avec son Mouvement pour les droits civiques. Dans les années 1970, c’est Marshall B.Rosenberg, élève du psychologue américain Carl Ransom Rogers, qui s’empare à son tour de ce concept et le théorise dans le domaine de la communication. Il met au point la non violent communication, la « communication non violente » (CNV), qu’il articule autour de trois piliers : comprendre ce qui se passe en soi, s’exprimer d’une manière qui favorise le dialogue et la coopération, accueillir la parole de l’autre. Cette méthode a été reprise en Europe par le psychothérapeute Thomas d’Ansembourg ou le psychiatre David Servan-Schreiber. Mais Marshall B.Rosenberg se distingue de ses homologues sur un point majeur : pour lui, la spiritualité est à la base de la CNV. Elle est une façon de se mettre en lien avec « l’énergie divine ». Ainsi, lorsque nous établissons la communication avec l’autre, ce serait aussi avec le divin que nous communiquons. Une conception qui ne va pas sans rappeler le célèbre verset de l’Évangile : « Oui je vous le dis, chaque fois que vous l’avez fait à l’un des moindres de mes enfants, vous l’avez fait à moi. » (Matthieu, XXV, 40) Communiquer dans le respect de soi et de l’autre, œuvrer à la meilleure façon d’avancer ensemble dans le respect des différences pour « contribuer à la vie avec l’élan du cœur », tel est le message que Marshall B.Rosenberg confie avoir reçu des enseignements du bouddhisme, de l’islam, du christianisme et du judaïsme.

A lire : Le Développement de la personne de Carl Ransom Rogers (InterÉditions, 2005) / Cessez d’être gentil, soyez vrai! de Thomas d’Ansembourg (Les Éditions de l’Homme, 2001).

                                                         coeur-gif-300x43 dans SPIRITUALITE c'est quoi ?

La danse du coeur

Dans le soufisme – branche mystique de l’islam, hautement poétique -, le cœur désigne le centre de l’âme, le centre de la conscience. Comparée à un jardin, l’âme humaine abrite la « fontaine de vie », incarnée par le cœur. Et la vie ne prend son sens que lorsqu’elle est irriguée par l’amour. Pour communier avec l’univers et se fondre dans l’amour absolu, le mystique soufi médite, prie, écrit de la poésie, fait de la musique, danse… « Pour le soufisme, l’amour est en vérité l’âme de l’univers inscrite dans la tradition soufie, écrit Eva de Vitray-Meyerovitch, spécialiste de l’islam. C’est grâce à lui que l’homme tend à retourner à la source de son être. La musique et la danse, la giration des étoiles et le mouvement des atomes… Tout est dû à l’amour qui est l’astrolabe par lequel se révèlent les mystères. »

A lire : Rûmî et le soufisme d’Eva de Vitray-Meyerovitch (Le Seuil, 2005) / Qu’est-ce que le soufisme ? de Martin Lings (Le Seuil, 1977).

                                                                               bisous dans Travail sur soi !

La compassion

Quatre qualités sont au cœur de la pratique du bouddhisme : l’amour, la compassion, la joie et l’équanimité. « Je ne peux être heureux tant que mes frères humains ne sont pas libérés de la souffrance », telle pourrait être la phrase qui résume le message de cette philosophie, une intention exprimée dans les quatre grands vœux récités quotidiennement par les bouddhistes : « Puissé-je libérer tous les êtres de leurs difficultés; puissé-je éradiquer toutes les passions; puissé-je maîtriser tous les dharmas; puissé-je conduire tous les êtres à la bouddhéité. » De même, dans la pratique tibétaine, les exercices de boddhicitta sont conçus pour ouvrir le cœur et renforcer le sentiment de l’interdépendance parmi les vivants. Dans la transmission de son enseignement et dans ses livres, la moniale Pema Chödrön met particulièrement l’accent sur la dimension altruiste de la spiritualité.

A lire : La voie commence là où vous êtes de Pema Chödrön (Pocket, 2004).

 

A découvrir sur psychologies.com

Apprenez à communiquer en toute sérénité avec l’exercice de Marshall B.Rosenberg !

Apprenez à recevoir et à donner avecl’exercice de Pema Chödrön !

Faites une pause spirituelle avec l’exercice d’Abûl’-Hasan Kharaqânî !

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L’exercice d’Anselm Grün

« En chacun de nous se trouve un espace de silence à l’abri du vacarme du monde extérieur, à l’abri des préoccupations et des problèmes quotidiens… écrit Anselm Grün*. Faire l’expérience de l’espace sacré d’une église permet de retrouver en nous-même le sanctuaire intérieur. Toujours et partout il est possible de s’y retirer pour y trouver santé et intégrité… »

Choisissez un lieu de culte qui corresponde à votre culture ou bien à votre sensibilité et passez-y un moment seul. Imprégnez-vous des vibrations du lieu, sollicitez vos sens, savourez la qualité du silence. « L’espace de l’église élargit notre coeur. Nous respirons plus librement… Nous nous sentons entouré de puissances bénéfiques. Nous pressentons un mystère », poursuit Anselm Grün.

Laissez éclore en vous la prière si vous en ressentez le besoin, vous pouvez également penser et essayer de ressentir la présence de toutes les prières et de la foi qui emplissent ce lieu et nourrissent son énergie.

*Anselm Grün : Moine à l’abbaye bénédictine de Münster-schwarzach, en Allemagne, ce penseur chrétien né en 1945 en Bavière a suivi des études de philosophie, de théologie et d’économie. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels Découvre le sacré en toi (Médiaspaul, 2007).

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Carolle Crispo

Posté par othoharmonie le 17 août 2012

Carolle Crispo  née à l’Ancienne-Lorette dans la région de Québec en 1954, plus précisément dans la paroisse de cette municipalité qui aujourd’hui porte le nom de quartier Laurentien à Ste-Foy. Le  père de Carolle Crispo était agriculteur et producteur de vaches laitières. Bien que mon nom de famille soit d’origine espagnole, je suis québécoise. Cette origine remonte à quelques générations avant mon père.

Depuis un certain temps, des êtres décédés accompagnés d’être de lumière cherchent à communiquer avec elle, et en raison de la lumière présente dans leur désir de communiquer avec elle, Carolle Crispo a décidé de leur offrir cette opportunité et de leur ouvrir son canal afin de recevoir d’eux un message divin et non mental à communiquer à l’un de leurs proches.

Mais lisez vous-même son histoire …. Un site : http://carollecrispo.com/

1 – Messages des archanges – L’arc-en-ciel des corps énergétiques

Carolle Crispo dans AUTEURS A CONNAITRE message-des-archanges

Par l’entremise de la médium Carolle Crispo, la hiérarchie des Archanges s’adresse à l’humanité pour transmettre des informations importantes concernant les corps énergétiques et la santé de l’être humain. À la fois réconfortants et stimulants, ces précieux enseignements nous invitent à prendre conscience des centres énergétiques et à mieux comprendre leur rôle non seulement dans le maintien d’une bonne santé, mais aussi dans la poursuite de l’élévation de l’âme.

Tour à tour, les Archanges Uriel, Gabriel, Michaël, Raphaël Sandalphon, Melchisédech et Métatron nous entretiennent sur un centre énergétique, nous invitant ainsi à une rencontre avec ses énergies à l’intérieur même de notre temple : notre corps. Les enseignements reçus, à la fois intenses et simples, apportent un éclairage renouvelé sur le rôle des centres énergétiques dans le développement du potentiel humain.

Carolle Crispo a développé son don de médiumnité au fil des années. Après une carrière administrative, elle s’est lancée corps et âme dans l’exercice de son don et dans la réception des messages des êtres de lumière, notamment les Archanges. Très active, son rayonnement s’étend de plus en plus. Plus de 600 personnes ont déjà fait appel à ses services de médiumnité. Elle participe régulièrement à différents salons ou événements. Elle a écrit, il y a plusieurs années, le livre « Danser avec l’Univers »

(2011) Édition Le Dauphin Blanc – Disponible en librairie

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2 – Danser avec l’univers – Communications avec Melchisédech

danser-avec-univers dans AUTEURS A CONNAITREVoici un premier ouvrage relatant les communications avec le maître Melchisédech. Présentés sous la forme de textes courts et inspirants, les enseignements de Melchisédech ne cherchent pas à rejoindre l’intellect du lecteur. Ils sont destinés avant tout au coeur de chacun de nous. ils favorisent la délivrance de la souffrance par une intériorisation progressive. Le dénouement des blocages qui conduit inévitablement à la guérison. Dans un élan d’amour, Melchisédech invite le cour et l’âme à un magnifique pas de danse avec l’univers entier, sur une musique de joie et d’harmonie retrouvées.

(1999)  Disponible chez l’auteure seulement. Commandez ici

 

LIVRES DE CET AUTEUR :

Messages des archanges – L’arc-en-ciel des corps énergétiques

Danser avec l’univers – Communications avec Melchisédech

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Hélène Turnel

Posté par othoharmonie le 17 août 2012

Madame Hélène Turmel en écrivant ce livre, a répondu à la demande de ses clientes et clients l’incitant à regrouper en un seul livre les éléments nécessaires pour vivre heureux et surtout pour connaître les effets thérapeutiques et bénéfiques de vivre consciemment son moment présent.

En tant que chef d’entreprise de deux compagnies soit Réponse-à-Tout et Solli-tel, et au travers toutes ses activités, elle réalise qu’être constamment consciente de chaque moment, lui permet de lui faciliter, de beaucoup, la gestion de ses deux entreprises. C’est ainsi qu’elle décide de faire profiter de ce constat à son entourage en proposant des conférences et coaching sur trois thèmes différents, soit : Le moment présent, la Loi de la Manifestation et Comment attirer le grand amour.

 

Ses formations peuvent être privées ou en groupe. Un site : http://www.365joursdevacances.com/

 

Extraits du livre :

           Hélène Turnel dans AUTEURS A CONNAITRE 10024-110x150 « Et si vous étiez en Vacances 365 jours par année? »

Page 35 Mes recherches pour être toujours au rendez-vous avec le moment présent

Pour être toujours en vacances, me suis-je dit, il me faut trouver une technique facile me permettant de vivre chaque instant dans toute sa beauté ou sa difficulté.  Bien souvent, je sentais du désarroi et de la lassitude.  Je n’étais donc plus en vacances…..J’en ai déduit qu’il me fallait tout au long de la journée être libre de mes actions, gestes, paroles et en être le maître.

 

Page 153 La loi de la création

Qu’est-ce que la loi de la création ?  Comment peut-elle nous aider à être en vacances 365 jours par année et réussir une telle façon de vivre.   Tout simplement en créant cette possibilité dans notre esprit et notre coeur, et en l’expérimentant par l’utilisation des outils mentionnés précédemment.   La loi de la création ne crée que ce en quoi vous croyez.  Ce qui signifie que la loi de la création travaille pour vous en tenant compte de vos croyances.  Jamais la loi de la création ne créera quelque chose en dehors de vos croyances.

LIVRES DE CET AUTEUR :

      Et si vous étiez ZEN 365 jours par année?

     Et si vous étiez comblé d’Amour 365 jours par année?

     Et si vous étiez en Vacances 365 jours par année?

 

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Christiama Nimosus

Posté par othoharmonie le 5 août 2012

alias  Christian Sastre 

 

Méditations numériquesAprès avoir publié, sous mon pseudonyme Christiama Nimosus, plusieurs ouvrages, (1) auxquels Mes carnets de recherche renvoient, de multiples questions se sont présentées à mes méditations. Elles m’ont amené à approfondir la connaissance qui s’est ainsi dévoilée en moi, réflexions que j’ai préféré transcrire sous forme d’articles regroupés sous ce titre Mes carnets de recherche .

La raison pour laquelle j’ai rédigé Mes carnets est facile à comprendre. Ils comportent de nombreuses idées qui m’ont réellement été profitables pour m’élever dans le vaste domaine de la connaissance mystique. Je ne pense pas utile de préciser l’ordre dans lequel je les ai écrits. Mon parcours et mon progrès ne me sont-ils pas personnels ? Impossible, par conséquent, que mon cheminement mystique s’accorde parfaitement avec l’évolution de quelqu’un d’autre.

Le chemin que j’ai suivi a certes été long et n’a pas toujours été facile. Parfois sinueux, comme si j’évitais des zones de sables mouvants, parfois il semblait abrupt, semblant longer un précipice. Ou bien, j’avançais sur une route droite au bout de laquelle je distinguais mon but.

Comment qualifier mon but ? En quelques mots, mon but est Vie, Lumière, Amour. Et même lorsqu’il se voile parfois, qu’il semble s’éloigner au-delà de ma conscience objective, mon sens spirituel le ressent tout près, puisque tout est en moi.

C’est vrai que, ainsi que Mes carnets de recherche pourraient le laisser entendre, certains articles paraissent plutôt des synthèses intellectuelles qu’un éclairage plus spirituel sur un thème particulier. Néanmoins, que l’on ne s’y trompe pas ; ces écrits ont fortifié en moi des relations, voire des notions auparavant bien trop floues à mon entendement. Ils forment ainsi une assise solide pour une connaissance sûre et stable. Telle a été ma démarche vers plus de lumière.

Je dois ajouter que, à cause peut-être de mon imagination, il m’est également arrivé d’avoir des inspirations qui débordaient trop au-delà de la réalité. Elles font l’objet de Nouvelles dans quatre de Mes carnets. (2) Je me suis aussi fait plaisir en incluant deux Carnets sur une note plus poétique. (3)

Grâce à cette confiance acquise au cours de mes réflexions, et de mes expériences également, dont quelques-unes sont rapportées dans Mes carnets de recherche, je me propulse aisément plus haut, plus loin, plus profondément dans mon âme.

Je souhaite de tout cœur qu’il en soit de même pour vous !

En toute sérénité sur le chemin de la lumière.

                                                                                Christian Sastre

 


Ouvrages de Christiama Nimosus : alias Christian Sastre

 

Éditions de la Maisnie, Guy Trédaniel Éditeur, 75005 Paris

- Étude sur des nombres occultes  

- Les Mystères des pyramides  

- Méditations numériques  

- Pierres et traditions 

- La Terre creuse est l’Agartha 

- Le Monde secret des croix 

- La Croix, message du Christ 

- Saint Paul, être de lumière 

- Anthologie des nombres occultes 

Éditions Ediru, 91540 Mennecy

- L’Ascension vers la lumière

- Ieschoua, la descente de Dieu

Éditions Brédys, 91000 Evry

- Paris, du haut de ses montagnes

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« MES CARNETS DE RECHERCHE »

90 articles ésotériques pour, mieux que vivre, EXISTER

 Des écrits sur mes recherches principalement axées
sur la spiritualité et le mysticisme

                                                                           Christian Sastre

 

le lien « https://sites.google.com/site/mescarnetsderecherche/ ». « Mes carnets de recherche » en « livre numérique » chez http://www.numilog.com/

 

 

 

Christiama Nimosus dans AUTEURS A CONNAITRE rubon6-135x150vous pouvez également rencontrer notre auteur sur le forumhttp://devantsoi.forumgratuit.org/

 

 

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Edna G.Frankel

Posté par othoharmonie le 31 juillet 2012

 

Edna G.Frankel dans AUTEURS A CONNAITRE frankel-edna-gEdna G. Frankel est née en 1954, au Caire, en Égypte, dans une famille francophone d’origine roumaine, grecque et turque. Expulsés au cours de la crise de Suez, en 1956, ses parents immigrèrent aux États-Unis en 1960. Elle grandit à New York et fréquenta la United Nations International School, à Manhattan, puis la Washington University à St. Louis, Missouri. En plus de détenir des baccalauréats en psychologie et en français, elle est également rédactrice à la pige.

Edna et sa famille habitent dans la banlieue de Philadelphie, en Pennsylvanie. Sa fille Lisa est à la School of Divinity de Harvard, poursuivant des études de maîtrise en théologie. Son fils Robbie étudie l’art et la photographie à l’Alfred University. Ses trois chats siamois sont tous harmonisés par reiki et dorment chaudement empilés.

Channel métaphysique à temps plein, auteure et enseignante, Edna G. Frankel a commencé à étudier le reiki Usui en 1985, est devenue maître professeur en 1994, et a étudié également le reiki Lightarian, le reiki Tummo, le reiki Sekhem-Seichem, le Master Angelic Alignment et le Reconnective Healing™. Dans ses séminaires et sa pratique privée, elle utilise conjointement de nombreuses approches et outils énergétiques. Elle donne des séminaires sur le processus de dégagement du Cercle de Grâce à des groupes holistiques, ainsi que des conférences métaphysiques aux États-Unis et à l’étranger.

Depuis mai 2001, ses séances de channeling avec la Fraternité de Lumière et les Maîtres ascensionnés ont été publiées dans le magazine mensuel international Sedona Journal of Emergence. Des transcriptions de ses channelings ont également paru dans le Predictions Book 2003 et 2004, chez Light Technology Publishing. Son premier livre en anglais, The Circle of Grace, a été publié en 2003 par The Brotherhood Press.

Pour en savoir plus :

Edna G. Frankel,

P.O. Box 62, Blue Bell,

PA 19422, USA.

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LIVRE [S] DE CET AUTEUR

  1. 2008 – Au-delà du voile des illusions et de la confusion
  2. Cercle de Grâce

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Anne Givaudan

Posté par othoharmonie le 31 juillet 2012

Auteure, Formatrice, Conférencière
info@soinsesseniens.com

Présentation

Anne Givaudan dans AUTEURS A CONNAITRE anne-givaudanVoilà déjà plus de 21 ans que Anne Givaudan écrit des ouvrages traduits et vendus dans de nombreuses langues… ouvrages novateurs puisqu’à l’époque des tous premiers livres, les mots de  » voyage astral « , de  » sortie hors du corps  » et de  » mondes d’après Vie  » n’étaient que murmurés secrètement dans des écoles  » esothériques  » réservées à quelques uns.
Ces ouvrages ont vulgarisé sans toutefois les banaliser, des mondes que chacun jusqu’alors, pressentait sans trop oser y croire.

Anne Givaudan n’est pas le personnage type d’ écrivaine ou de philosophe. Non qu’elle refuse ce rôle qui fait aussi partie de son histoire mais elle lui préfère celui de thérapeute des âmes et des corps et de reporter des mondes subtils.
En effet, elle est comme un funambule entre deux mondes et passe en se jouant de l’un à l’autre sans difficulté et sans même donner l’impression qu’il s’agit là d’un phénomène rare, voire extraordinaire.

Elle parle des mondes subtils, de l’au-delà ou de la Vie sur d’autres planètes comme d’une évidence. . Une bouffée d’air frais et d’espoir nous transporte à la lecture de ses ouvrages. Non pas un espoir qui anihile tout désir d’action mais au contraire qui nous pousse à vivre la Vie d’ici avec la magie de nos rêves d’enfants.
 » Tous nos rêves se réaliseront  » dit elle car la Vie elle-même est un grand rêve qui parfois tourne au cauchemard mais dont on se réveille toujours.

Les Livres écrits ou coécrits par Anne Givaudan ont ces qualités essentielles : faire découvrir au lecteur des univers qu’au fond de lui il appréhende déjà et lui donner la Force de vivre et de sourire au delà des hauts et des bas de la Vie.

Nul jugement, aucune volonté d’inculquer un savoir n’inspirent ces ouvrages dont le fil directeur est d’être inspiré par ce qu’il y a de plus beau et de plus haut en nous.

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LIVRE [S] DE CET AUTEUR

Rencontre avec les êtres de la nature
Ils voulaient un garçon
Nos Mémoires: des prisons ou des ailes
LA RUPTURE DE CONTRAT
FORMES PENSÉES Tome 2
LE VOYAGE A SHAMBHALLA
FORMES-PENSEES Tome 1
UN PAS VERS SOIS
WALK IN
LECTURES D’AURAS ET SOINS ESSÉNIENS
LES DOSSIERS SUR LE GOUVERNEMENT MONDIAL
LE PEUPLE ANIMAL
CELUI QUI VIENT
ALLIANCE
PAR L’ESPRIT DU SOLEIL
LES NEUF MARCHES
SOIS (Livret)
CHRONIQUE D’UN DÉPART
WÉSAK
CHEMINS DE CE TEMPS-LÀ
DE MÉMOIRE D’ESSÉNIEN
RÉCITS D’UN VOYAGEUR DE L’ASTRAL
TERRE D’ÉMERAUDE

Dernier titre paru :

Rencontre avec les êtres de la nature

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