Un rayonnement de Lumière, de pouvoir et d’Amour (Invocation)

Posté par othoharmonie le 22 août 2015

La Grande Invocation

La Grande Invocation

 

Les thèmes de la lumière, de l’amour et du pouvoir fleurissent dans les écrits mystiques d’Orient et d’Occident. La capacité de transformer un simple être humain en une conscience supra-humaine est l’un des pivots de tout enseignement véritable. Il est dit que lorsque le Bouddha accéda à l’éveil sous l’arbre de la bodhi, son aura s’épanouit en un geste spontané de bénédiction et de compassion pour la terre et chaque être vivant, par la lumière de sa connaissance. A cet instant, il devint la lumière du monde.

Dans la Bible, nous lisons que lorsque Jésus subit l’initiation de la Transfiguration, son rayonnement de lumière était tel que Pierre, Jacques et Jean, qui symbolisent les corps mental, astral et physique (le soi inférieur), ne pouvaient le contempler. Il les conduisit à la montage…

Le royaume de Lumière est le lieu de la parfaite Grandeur, et pour pénétrer cette frontière de haute énergie, nous devons être capables de vibrer en synchronicité avec sa fréquence. Nos corps mental, émotionnel et physique doivent être livres, débarrassés de la peur, de l’anxiété, des préjugés, de la colère, de l’orgueil et de l’envie, car ces éléments agissent comme des points de friction lorsque les énergies de haute fréquence de l’esprit les rencontrent.

Il est dit qu’aux yeux des grands esprits qui observent l’humanité depuis les plus hauts royaumes de la conscience, chaque être humain apparaît comme une minuscule unité de lumière. Ces lumières, parfois brillantes, parfois vacillantes, sont répandues sur toute la planète. Dans certaines zones, elles se forment en amas et leur effet est d’éclaircir les brouillards et les miasmes de l’illusion et de la peur qui entourent l’aura subtile de la Terre.

S’il en est ainsi, alors c’est rendre service à l’humanité que de commencer quotidiennement à emplir notre aura de lumière, à la faire rayonner doucement sur le monde dans une bénédiction silencieuse – ne cherchant rien en retour et recevant tout chose.

LA GRANDE INVOCATION

A partir du point de Lumière au sein d e l’Esprit de Dieu

Que la lumière jaillisse dans l’esprit des hommes

Que la Lumière descende sur Terre.

 

A partir du point d’Amour au sein du Cœur de Dieu

Que l’amour jaillisse dans le cœur des hommes

Puisse le Christ revenir sur Terre.

 

A partir du centre où se manifeste la Volonté de Dieu

Que la quête guide la faible volonté des hommes

La quête que les maîtres servent et connaissent

 

A partir du centre que nous appelons la race des hommes

Que le Plan d’Amour et de Lumière s’accomplisse

Et puisse-t-il sceller la porte du mal.

 

Que la Lumière, le Pouvoir et l’Amour restaurent

Le Plan divin sur Terre

 

Source : Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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LA belle histoire du lingam qui donnait des ailes…

Posté par othoharmonie le 13 octobre 2013


LA belle histoire du lingam qui donnait des ailes... dans A et B images-11Sacrée Planète (n°53)… a consacré un article à propos des lingams Ci-dessous, vous pourrez lire le témoignage de Daniel Meurois, à qui Swami Premananda a confié un lingam !

Le témoignage dont j’aimerais vous faire part ici commence au début des années 90… Avec quelques proches, je m’étais rendu en Inde du sud auprès de Swami Premananda, ainsi que j’avais la chance de pouvoir le faire une ou deux fois par an.

Lors d’une conversation privée avec lui, la notion d’accompagnement des mourants a été abordée. Note petit groupe nourrissait en effet le projet de créer une structure d’accueil afin d’aider des personnes en fi n de vie. Le projet était peu avancé mais l’idéal était là, bien présent.

J’avais personnellement l’habitude d’essayer – hors corps – de faciliter le passage de ceux qui allaient “naître au Ciel” et que la vie mettait sur ma route, mais participer à la création d’une structure dans la matière me paraissait important. Swami Premananda s’est aussitôt montré très intéressé et a déclaré sans attendre son intention de nous soutenir par le don d’un ou deux lingams spécifiques.

Sans qu’il se soit expliqué davantage, nous l’avons immédiatement vu bouger légèrement l’extrémité de ses doigts dans l’espace qui se trouvait devant lui et faire jaillir de l’Invisible, un puis deux petits œufs de pierre couleur de chair sous nos yeux émerveillés… et même sous l’objectif d’une caméra.

Swami Premananda nous alors expliqué qu’il venait de matérialiser ceux-ci en leur donnant pour fonction d’aider au détachement de l’âme à l’approche de la mort. Leur utilisation était très simple, leur capacité prenant sa pleine mesure avec le niveau de compassion manifesté par celui qui les utiliserait. L’un de ces deux lingams me fut remis en main propre. Je m’en suis donc retrouvé en quelque sorte le « gardien ».

Bien des années ont passé depuis ce jour béni… Bien des évènements se sont aussi produits. Le projet de créer une Maison d’accueil pour les personnes en fi n de vie n’a pas pu aboutir mais le lingam dont j’avais la responsabilité n’en a pas moins été extrêmement utile. À de nombreuses reprises, il a pu jouer son rôle protecteur et lumineux auprès d’hommes, de femmes et même d’enfants qui s’apprêtaient à quitter ce monde.

Au fi l des années, il n’a jamais cessé d’offrir sa paix, cette si importante décrispation de l’âme et du corps dont nous avons tant besoin lorsque nous arrivons au bout de notre chemin.

Le petit rituel par lequel je sollicitais son aide était toujours le même, très simple, très discret mais d’une portée évidente. Le lingam de Swami Premananda était un vrai don du Ciel… Et puis… le jour est venu qui m’a amené au chevet de ma propre sœur. Elle se nommait Martine et était atteinte d’un cancer généralisé en phase terminale. Elle avait souhaité finir sa vie à son domicile. Chacun avait respecté sa volonté même si cela diminuait inévitablement la qualité des soins médicaux qui pouvaient lui être prodigués. L’instant ultime approchait. Mon épouse Marie Johanne et moi-même, en relais avec quelques amis, passions d’interminables heures à son chevet, attentifs aux moindres fluctuations de sa respiration.

Qu’elles étaient longues et souffrantes ces heures et comme nous aurions voulu voir Martine être libérée au plus vite et sans douleur puisqu’il n’y avait manifestement plus de retour possible ! Mais son âme paraissait être incroyablement chevillée à son corps ; elle ne parvenait pas à entrer dans le lâcher-prise.

J’utilisais le lingam de Swami Premananda cependant, même si je ne pouvais douter de son action subtile, j’aspirais à en voir les effets concrets.

Le visage tourné vers le mur de sa chambre, Martine demeurait fermée, crispée à l’extrême et comme nourrissant dans sa demi-conscience une secrète colère. Il ne fallait surtout pas qu’elle parte ainsi… Mais que faire de plus pour que l’acceptation s’installe en elle et lui permette de déployer ses ailes sans trop attendre ?

À un moment donné, je me suis retrouvé seul avec elle. L’avant de son corps toujours tourné vers le mur – c’était la position qu’elle réclamait – je ne la voyais que de dos, décharnée au point d’en être devenue presque transparente.

Encore une fois, que faire de plus ? La prière, bien sûr… le dialogue intérieur avec son âme aussi, évidemment Soudain, une idée telle une étincelle de lumière a surgi en moi : Et pourquoi ne pas essayer de placer le lingam de Swami Premananda au niveau du cœur de Martine, sous la paume de ma main et directement en contact avec son dos ?

Je l’ai fait sans réfléchir davantage mais tout en continuant à prier sans rien demander d’autre que ce qui devait être. C’est alors qu’au bout de quelques minutes, avec la rapidité de l’éclair, j’ai senti le lingam se faire littéralement absorber par Martine au point précis où je l’avais appliqué sur elle. Ne comprenant pas ce qui se passait, J’ai aussitôt voulu regarder entre la paume de ma main et son dos. Il n’y avait plus rien ; le lingam avait disparu…

Mon premier réflexe a bien sûr été de le chercher dans les draps. Il avait dû glisser quelque part… Ma recherche fut totalement vaine. Le lingam de Swami Premananda s’était comme volatilisé, me laissant avec l’incroyable certitude qu’il avait été ¨avalé¨ par le corps de Martine au niveau de son cœur. Il fallait donc que je me rende à l’évidence… Si le besoin d’aide et d’amour de ma sœur avait fait en sorte que le lingam soit ainsi aspiré par elle, c’était nécessairement juste. C’était aussi l’ultime destin du petit œuf de pierre rose.

Rien pourtant ne changea chez Martine ce jour-là. Il fallut attendre le lendemain matin : Elle avait réussi à se placer d’elle – même sur le dos, une détente s’était délicatement installée sur son visage et son être tout entier semblait enfin connaître l’état de décrispation tant espéré.

Vingt-quatre heures plus tard, Martine prenait son envol…

L’histoire que j’avais à vous conter pourrait s’arrêter là, mettant déjà en évidence l’intelligente douceur et la force du lingam de Swami Premananda… Cependant, il n’en est rien… Quelques heures après le départ de Martine, cette histoire a en effet connu un rebondissement tout à fait inattendu.

Marie Johanne et moi étions alors seuls dans la chambre où nous logions, à quelques centaines de mètres de la maison où tout s’était accompli le matin-même. J’entends encore la réflexion de mon épouse : «Ne sens-tu pas cette odeur ? C’est celle de Martine. Son âme doit être ici…» J’y ai prêté attention et j’ai effectivement perçu cette odeur si caractéristique que la maladie donne souvent à ceux qu’elle emporte. Cela n’a pas duré longtemps mais la perception a été tellement nette qu’il fut impossible d’en douter.

Épuisés par tant de choses, nous sommes ensuite sortis de la pièce pour nous restaurer succinctement… jusqu’au moment où j’ai éprouvé le besoin d’y retourner sans attendre. Je ne sais pas ce qui m’a alors poussé à chercher sur la commode de notre chambre la petite boîte de nacre dans laquelle j’avais pour habitude de ranger le lingam d’accompagnement.

Elle y était, bien à sa place. Je l’ai saisie sans savoir pourquoi et, ce faisant, j’ai immédiatement senti “quelque chose” rouler en elle. Je l’ai ouverte… Le lingam était là. Il était revenu…

Était-ce l’âme de Martine qui avait réussi à le restituer en laissant derrière elle l’odeur de son passage ? Était-ce le lingam lui-même qui, manifestant sa puissance divine, avait su franchir le seuil des mondes afin de retrouver sa place et pouvoir ainsi continuer à servir ? Je l’ignore aujourd’hui encore. Cela ne me questionne cependant pas car, en réalité, ce n’est pas très important. Ce qui l’est, à mes yeux, c’est l’enseignement de tout cela, c’est l’extraordinaire confirmation du caractère divin du cadeau de Swami Premananda.

Cette seule constatation devrait alors suffire à ce que nous nous posions tous la question suivante : Qui est en vérité cet homme pour pouvoir nous faire de tels présents ? Lorsque la subtile Lumière des mondes de l’Esprit accepte de se densifier pour nous rappeler son existence, il n’y a rien de plus beau pour nous faire grandir en Amour.

Et puis… Comment ne pas être émerveillés par l’Intelligence sacrée qui vit et agi au sein d’un petit œuf de pierre ? Il faut que nous repensions notre “ordre du monde” sans tarder…

Daniel Meurois

Article paru au magazine sacrée planète   oct/nov. 2010

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Guide de Relaxation

Posté par othoharmonie le 5 mars 2011

 

Titre 

 

Guide de relaxation pour ceux qui n’ont pas le  temps  

 

Auteur

 

 

Henri BRUNEL  

 

Guide de relaxation pour ceux qui n’ont pas le  temps  

 

 

Guide de relaxation pour ceux qui n'ont pas le temps

 

De l’insomnie aux problèmes de dos, de la fatigue à l’hypertension en passant par la migraine et les maux d’estomac, des recettes de relaxation pour soulager les maux du quotidien, à pratiquer dans n’importe quel lieu : en voiture, en promenade, au bureau, chez le dentiste, en attendant le bus ou le métro… 

 

Nul besoin de matériel spécifique, de posture compliquée ou de longue mise en condition.
Les relaxations d’Henri Brunel se pratiquent où l’on veut, quand on veut : en voiture au bureau en attendant le bus ou le métro en promenade, chez le dentiste en faisant ses courses… De l’insomnie aux problèmes de dos, de la fatigue aux douleurs d’estomac en passant par la migraine et l’hypertension, ces relaxations soulagent les maux du quotidien. 

 

 

L’auteur en quelques motsGuide de Relaxation dans A et B 21525

HENRI BRUNEL est professeur de yoga depuis 35 ans.


Il a été proviseur de lycée, et a publié au Seuil La méthode du chat. 

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Aller-retour dans l’au-delà

Posté par othoharmonie le 5 mars 2011

 Titre 

Aller – retour dans l’au-delà    
 Auteur

 Sylvia  BROWNE  

 

Aller – retour dans l’au-delà    

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de quoi ça parle :

 Sylvia Browne nous révèle comment fonctionne l’énergie spirituelle dans notre monde, comment elle affecte notre vie de tous les jours et comment quiconque peut exploiter ses pouvoirs. Ce livre est à la fois un périple révélateur dans les mondes parallèles et un guide indispensable pour notre survie spirituelle au cours du prochain millénaire.

 

«Francine, le guide spirituel de Sylvia Browne, nous offre ici un véritable exposé sur la vie, la vie après la mort et la réincarnation. Au fil de ces pages, vous découvrirez un point de vue « gnostique » sur le monde et sur la vie. Comme toujours, nous encourageons le lecteur à « prendre ce qui lui convient et à rejeter le reste ». Aucun ouvrage ne peut faire le tour de cet immense sujet. Nous espérons simplement que ce livre deviendra pour vous un point de repère qui vous aidera à vous orienter dans vos recherches.  

«Notre but – et nous espérons que c’est également le vôtre – est de stimuler votre esprit à rechercher Dieu, comme il vous conviendra. Notre intention n’est pas de bousculer vos croyances. Au contraire, nous espérons seulement élargir vos horizons et vous faire découvrir des régions encore inexplorées. Chaque personne a le droit de découvrir et de comprendre Dieu à sa façon. Ce livre nous offre une voie, parmi des milliards, pour y arriver.» 

L’auteur 

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En 2003, Sylvia Browne annonce en pleine télévision au couple Hornbeck que leur garçon Shawn, disparu depuis quatre mois, n’était plus vivant. Elle localise la zone où on pourra retrouver son corps et décrit succinctement le ravisseur. En janvier 2007, Shawn Hornbeck est retrouvé sain et sauf presque quatre ans après sa disparition. 

Cette erreur grossière a été largement soulignée dans les médias américains, notamment à CNN où les reporters se sont montrés très critiques quant aux pouvoirs allégués de cette voyante. Pas très bon pour le business de Mme Browne, qui est d’ailleurs étroitement surveillée par les groupes sceptiques depuis de nombreuses années. 

En vidéo, cet extrait de l’émission d’Anderson Cooper sur CNN résume les faits et contient un bref entretien avec le célèbre sceptique James Randi (qui ne se lasse pas de répéter que Sylvia Browne ne s’est toujours pas présentée à l’épreuve du défi sceptique, contrairement à ce qu’elle avait promis il y a cinq ans). Sylvia Browne a refusé l’invitation de CNN; c’est la gérante de son entreprise (eh oui!) qui la représentait. Vers la fin de cette autre vidéo, on peut voir un échange musclé entre James Randi et la gérante de la voyante à propos du défi sceptique et de sa pertinence. 

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Martiens, go home

Posté par othoharmonie le 5 mars 2011

 

Titre 

 

  MARTIENS, GO HOME 

 

Auteur

 

 

Frédric    Brown  

 

MARTIENS, GO HOME 

 

Martiens go home

 

De quoi ça parle :

 

 Martiens, go home ! raconte l’histoire de Luke Devereaux, un écrivain de science-fiction en mal d’inspiration, et sa rencontre le 26 mars 1964 avec la plus envahissante créature que l’Univers ait connu : un martien. Ou plutôt l’un des martiens parmi le milliard de ceux qui ont décidé, sans que l’on sache pourquoi, de débarquer en masse sur la planète Terre. Luke Devereaux et ses infortunés compatriotes ne mettront pas longtemps à découvrir l’incroyable pouvoir de nuisance des petits hommes verts. A peine arrivé, les humanoïdes couleur pomme vont effectivement semer très rapidement une zizanie incroyable dans les activités humaines. 

Avec Martiens go home !, Fredric Brown nous offre un roman rafraîchissant et réjouissant. Ecrit il y a 50 ans, le texte n’a rien perdu de sa force, et les situations dans lesquelles les terriens sont plongés sont toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Bourré d’humour, Martiens go home ! est d’abord et avant tout un excellent divertissement, un long éclat de rire de 200 pages. 

Les plus sérieux y trouveront cependant aussi leur compte, car le roman offre une belle matière à réflexion. Derrière son apparente légèreté, Martiens go home ! illustre à merveille le pouvoir délétère d’une ingérence façon Big Brother dans les affaires d’autrui. En voyant la facilité avec laquelle la vermine martienne parvient à perturber les activités humaines en hurlant partout la vérité (d’autant plus que les martiens semblent affubler d’une incapacité congénitale à mentir, ce qui signifie que leur vérité est la Vérité), on finit également par s’interroger sur l’importance des cachotteries et des mensonges dans la marche de nos sociétés. Dans sa dernière partie, le roman perd même un peu son côté léger et joyeux pour aborder un thème cher à la science-fiction, à savoir la nature, réelle ou illusoire, de la réalité. 

 

L’auteur :       Martiens, go home dans A et B brown2 

Fredric Brown (29 octobre 1906 Cincinnati, Ohio – 11 mars 1972 Tucson, Arizona) est un écrivain américain de science-fiction célèbre pour ses nouvelles au parfum humoristique. Il a également publié des romans et nouvelles policières ou burlesques comme Martiens, Go Home!

 

Il commence à travailler à l’âge de 16 ans, exerçant divers métiers, après avoir perdu sa mère et son père, respectivement un et deux ans plus tôt.

 

Brown a été édité toute sa vie dans des « pulps », ces magazines populaires et bon marché qui regroupent des histoires policières ou de science-fiction. Sa première fiction, The Moon for a Nickel a été publiée dans la revue Detective Story en mars 1938. Dans les années 1960, il fut publié dans Playboy et d’autres magazines pour hommes, où ses histoires très courtes et souvent drôles avec une chute inattendue faisaient merveille. Il est même considéré comme le maître de la micronouvelle (short short-story) et de la nouvelle brève, dont le recueil en français, Fantômes et Farfafouilles (traduit de l’américain par Jean Sendy : Denoël, « Présence du futur » n° 65) donne un saisissant aperçu. Il est d’ailleurs principalement connu en France pour ses nouvelles de science fiction, alors qu’il a surtout offert beaucoup à la littérature policière, par ses innombrables nouvelles ou ses romans, où, de son style percutant et épuré, il propose des intrigues à la fois simples et originales, dans un décor reflétant les réflexes, les modes et les angoisses de l’Amérique des années 1960.

 

L’humour est très présent chez Fredric Brown, au point parfois d’être le point de départ, sinon la raison, de ses textes. L’univers en folie (What Mad Universe) écrit en 1949 joue avec les clichés du genre, racontant l’histoire d’un éditeur de magazine envoyé dans un monde parallèle et reprenant une vision enfantine des récits publiées dans la revue. Martiens, Go Home! (écrit en 1954) décrit une invasion martienne vue à travers les yeux d’un auteur de science-fiction, par d’insupportables petits hommes verts caricaturaux, sans gêne, malicieux et tourmenteurs d’une humanité qui va peut-être se ressouder contre eux.

 

L’une de ses nouvelles les plus connues, Arena, a servi pour un épisode de la série Star Trek.

Il meurt en 1972, alors que, alcoolique et atteint d’emphysème pulmonaire, il avait arrêté d’écrire depuis neuf ans.

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Anges et Démons

Posté par othoharmonie le 3 mars 2011

 

 

Titre 

 

Anges et démons 

 

Auteur

 

 

Dan Brown 

 

Anges et Démons

 

 

 

 

Les faits
Le plus grand pôle de recherche scientifique au monde, le CERN (Centre européen pour la recherche nucléaire), a récemment réussi à produire les premiers atomes d’antimatière.

L’antimatière est identique à la matière, si ce n’est qu’elle se compose de particules aux charges électriques inversées. L’antimatière est la plus puissante source énergétique connue. Contrairement à la production d’énergie nucléaire par fission, dont l’efficience se borne à 1,5 %, elle transforme intégralement sa masse en énergie. En outre, elle ne dégage ni pollution ni radiations. Il y a cependant un problème :

L’antimatière est extrêmement instable. Elle s’annihile en énergie pure au contact de tout ce qui est… même l’air. Un seul gramme d’antimatière recèle autant d’énergie qu’une bombe nucléaire de 20 kilotonnes, la puissance de celle qui frappa Hiroshima.

Jusqu’à ces dernières années, on n’avait réussi à produire que quelques infimes quantités d’antimatière (quelques atomes à la fois). Mais le « décélérateur d’antiprotons » récemment mis au point par le CERN ouvre de formidables perspectives : sa capacité de production d’antimatière est considérablement renforcée.

Se pose désormais une angoissante question : cette substance hautement volatile sauvera-t-elle le monde, ou sera-t-elle utilisée pour créer l’arme la plus destructrice de l’histoire ?

 

 

Note de l’auteur
Tous les tombeaux, sites souterrains, édifices architecturaux et oeuvres d’art romains auxquels se réfère cet ouvrage existent bel et bien. On peut encore les admirer aujourd’hui. Quant à la Confrérie des Illuminati, elle a aussi existé.

 

 Présentation de l’éditeur 

ILLUMINATI… Robert Langdon n’en croit pas ses yeux. Pourtant l’inscription s’étalait bien devant lui, marquée au fer rouge sur le cadavre de Leonardo Vetra, éminent chercheur du Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire en Suisse. Pour le célèbre symbologue, ce crime est signé : la société secrète tant redoutée est de retour après quatre siècles de silence. Son but ? Anéantir l’Église Catholique et son symbole, le Vatican… –Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

 

L’auteur          Anges et Démons dans A et B dan_brown 

 

 

Dan Brown est un auteur américain de romans policiers et ésotériques né le 22 juin 1964 à Exeter dans le New Hampshire qui a vendu près de deux cents millions d’exemplaires. Il a suscité une grande polémique avec la publication de sa trilogie Robert Langdon : Anges et démons, le Da Vinci Code et Le Symbole perdu

 

Il est l’ainé d’une famille de trois enfants.

 

Sa mère, Constance (Connie) était musicienne professionnelle et jouait de l’orgue à l’église. Son père, Richard était un grand professeur de mathématiques ainsi que l’auteur de manuels. Il enseigna à la Phillips Exeter Academy de 1968 jusqu’à sa retraite en 1997.

 

Phillips Exeter Academy est un pensionnat élitiste qui oblige les nouveaux professeurs à vivre sur le campus pendant quelques années. Pour cette raison, les Brown ont grandi dans cette école. L’environnement social d’Exeter était principalement épiscopalien. Dan Brown chantait dans la chorale de l’église, assistait au catéchisme et passait les étés dans un camp religieux. Son parcours scolaire a commencé dans une école publique de la ville d’Exeter jusqu’en troisième. C’est à cette période qu’il intégra l’école Phillips Exeter comme le firent plus tard sa sœur et son frère.

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La Mousson

Posté par othoharmonie le 3 mars 2011

 

 

Titre 

 

LA MOUSSON 

 

Auteur

 

 

Louis BROMFIELD  

 

La mousson

 

 

 

Publié pour la première fois en 1937, «La Mousson» – qui porte en anglais le titre, infiniment plus poétique, de «The Rain Came» – est probablement, avec «Mrs Parkington», le roman le plus connu et aussi le plus lu de Louis Bromfield. Il a d’ailleurs donné lieu à une adaptation cinématographique mémorable avec la sculpturale Lana Turner dans le rôle de lady Esketh, Tom Ewell – le voisin de Marilyn dans « Sept Ans de Réflexion » – dans celui de Tom Ransome et un Richard Burton somme toute assez convainquant dans celui du Major Safti.
   
   L’argument de base est le suivant : dans une petite principauté indienne, l’Etat de Ranchipur, que gouvernent de façon éclairée le Vieux Maharadjah et son épouse, l’impressionnante Maharani, la saison Sèche touche à sa fin et tout le monde attend désespérément le début de la saison des Pluies. Lorsque celles-ci arrivent, elles sont si violentes qu’elles provoquent la crue du fleuve et la rupture d’un barrage édifié par un escroc. La ville se retrouve alors inondée et le choléra se déclare. A la fin de ce roman-fleuve – six-cent quatre-vingt-quinze pages en édition de Poche – tout rentrera dans l’ordre non sans que certains des personnages campés par Bromfield n’aient trouvé dans la catastrophe une mort navrante ou héroïque.
   
« La Mousson », c’est aussi un roman sur la renaissance morale d’individus qui, jusque là, s’étaient comportés soit en parfait égoïstes, soit en fripouilles absolues. Certes, les personnages y sont parfois crayonnés de façon un peu trop manichéenne, voire caricaturale mais, pour une raison ou pour une autre, ils n’en tiennent pas moins bien la route même si l’ensemble a vieilli. On peut regretter également les longueurs inévitables à ce genre de romans. Toutefois, si vous n’avez rien à vous mettre sous la dent et si vous aimez les analyses minutieuses des petites communautés, que celles-ci soient indiennes, américaines, européennes ou martiennes, allez-y de confiance. «La Mousson» n’est pas ce que l’on nomme de «la grande littérature» mais c’est un livre qui a le mérite d’avoir été écrit par quelqu’un de sincère et, tout compte fait, son ingénuité présente quelque chose de rafraîchissant

 

L’auteur :          La Mousson dans A et B 220px-Bromfield.louis 

Né Louis Brumfield à Mansfield, il étudia d’abord l’agronomie à l’université Cornell de 1914 à 1916, puis se tourna vers des études de journalisme à l’université Columbia. Il y fut membre de la sodalité Phi Delta Theta, mais avec la Première Guerre mondiale, il ne devait pas s’écouler plus d’une année avant qu’il ne parte en Europe comme brancardier volontaire en France dans le cadre de l’American Field Service. Décoré de la croix de Guerre et de la Légion d’honneur, il rentra en 1919 à New York et trouva un emploi de reporter. Son premier roman, La Colline aux cyprès, publié en 1924, lui valut une célébrité immédiate. En 1927, il remportait le prix Pulitzer du roman pour Précoce Automne. Par la suite, tous ses romans (une trentaine au total) furent des best-sellers, et plusieurs d’entre eux furent même portés à l’écran comme La Mousson et Mrs. Parkington.

Après une décennie passée de nouveau en France, Bromfield retourna dans son Ohio natal en 1938 pour y mettre en application les principes de l’agriculture biologique, avec une alimentation du bétail à base de fourrage naturel, dans sa ferme de Malabar Farm, près de Lucas. D’auteur de romans à succès, Bromfield se fit alors essayiste, mais il trouva un nouveau public grâce à sa réputation d’écrivain du terroir et de défenseur du « retour à la terre ». Encore de nos jours, des milliers d’Américains continuent de visiter Malabar Farm State Park, la ferme du célèbre écrivain, qui continue de promouvoir par l’exemple les valeurs et les méthodes agronomiques de Bromfield. L’une des principales attractions du parc est la forêt Doris Duke, dédiée à la célèbre philanthrope Doris Duke, qui par ses donations permit à la fondation Bromfield de maintenir vivant cet héritage.

Bromfield était proche de plusieurs célébrités de l’entre-deux-guerres, comme l’architecte F. F. Schnitzer ; il prêta sa ferme pour le mariage d’Humphrey Bogart et de Lauren Bacall.

Louis Bromfield avait épousé en 1921 la fille d’un magistrat new-yorkais fort en vue, Mary Appleton Wood († 1952), qui lui donna trois filles : Ann, Hope et Ellen.

Dans les années 1980, Louis Bromfield fut admis à titre posthume à l’Ohio Agricultural Hall of Fame et en décembre 1996, pour le centenaire de sa naissance, le département d’Agriculture de l’Ohio a fait faire un buste du célèbre écrivain pour son nouveau siège social de Reynoldsburg.

Les idées visionnaires de Bromfield en matière d’agriculture continuent de faire école à travers le monde. La fille de l’écrivain américain, Ellen Bromfield-Geld, a inauguré Malabar Brazil, une fondation destinée à propager les idéaux de la culture biologique. La Malabar 2000 Foundation envisage la création d’un centre de formation à Malabar Farm pour prolonger les essais tentés naguère dans le comté de Richland par Louis Bromfield.

 (27 décembre 1896 à Mansfield † 18 mars 1956 à Columbus) est un écrivain américain. Le prix Pulitzer lui a été décerné en 1927 pour son troisième roman, Précoce automne.

 

 

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Psychologie sociale et communication

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

 

Titre 

 

Psychologie sociale et communication 

 

Auteur

 

 

BROMBERG   Marcel 

et TROGNON Alain         

 

 

Psychologie sociale et communication 

 

 

Psychologie sociale et communication

La psychologie sociale de la communication a eu pendant longtemps un statut particulier. Certains auteurs, par exemple, ont soutenu qu’on pouvait aborder ce champ en se détournant purement et simplement du support de la communication. Moins radicalement, on a cru, et on croit souvent encore, que le support de la communication est parfaitement transparent et que donc on atteint les faits psychosociaux presque directement sans devoir se préoccuper de savoir comment ils (se) passent. Néanmoins, dans les années soixante-dix, quelques-uns, dont Rodolphe Ghiglione pour qui cet ouvrage se veut un hommage, ont commencé à soutenir le projet d’une psychologie sociale de la communication qui ne soit pas réductrice mais qui l’aborde comme un phénomène complexe global. Ce projet s’est finalisé au cours des trente dernières années et il est devenu un paradigme solide, complet sur ses plans formel, expérimental et empirique, qui de plus propose maintenant des applications efficaces dans de nombreux domaines de la vie sociale. Le présent ouvrage présente la diversité du champ ainsi constitué ainsi que les connexions multiples et certaines de ses applications. Il offre une image relativement fidèle de la psychologie sociale de la communication et constitue aussi un instrument de travail utile à tous ceux, psychologues, linguistes, formateurs, travailleurs sociaux,  » communiquants « , etc., ayant affaire avec la communication. 

 

L’auteur : Psychologie sociale et communication dans A et B xxxx 

Alain TROGNON, Professeur de psychologie sociale Université Nancy 2. Marcel BROMBERG, Professeur de psychologie sociale Responsable de l’équipe interaction, communication et cognition du Laboratoire de psychologie sociale. Responsable du master psychologie sociale et ressources humaines Université Paris 8-Vincennes – Saint-Denis  

Site à consulter : Master recherche Psychologie des Processus Cognitifs 

 

 

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Thérèse de Lisieux

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

 

Titre 

 

Thérèse de Lisieux, sa famille son Dieu, son message  

 

Auteur

 

 

Bernard Bro  

 

Thérèse de Lisieux, sa famille son Dieu, son message 

 

Thérèse de Lisieux. Sa famille, son dieu, son message

« La plus grande sainte des temps modernes », a dit le pape Pie X dès 1914, en parlant de sainte Thérèse de Lisieux. Pourquoi elle, qui ne fut qu’une petite bourgeoise de la fin du XIXe siècle ? Partout dans le monde, on célèbre le centenaire de sa mort, 1897-1997. 


D’Edith Piaf aux cinq derniers papes, elle a fasciné des millions d’esprits. Elle est sûrement la Française la plus vénérée sur terre. On retrouve son sourire, sa statue et ses roses de Ghardaïa à Nouméa, de Tokyo à Beyrouth, d’Oslo à Aurangabad, de la baie d’Hudson à l’Ile de la Réunion. Contemporaine de Rimbaud, Marx, Van Gogh, Dostoïevski, Freud, Nietzsche et Wagner, elle n’a jamais cessé et elle n’a pas fini de déplacer les foules et de surprendre sous des apparences banales. 


Elle égale ces génies et répond à sa manière aux mêmes questions qu’eux : pourquoi la liberté ? doit-on avoir peur de l’avenir, et si Dieu n’existait pas ? pourquoi souffrir si l’on aime et d’abord comment aimer ? On attend qu’elle soit déclarée « Docteur de l’Eglise ». Encore faut-il être aidé pour surmonter les obstacles qui nous séparent peut-être d’elle. Le père Bernard Bro, familier des écrits et de la prière de Thérèse de Lisieux depuis cinquante ans, initiateur de l’édition critique de son oeuvre depuis trente-cinq ans, fondateur avec Mgr Guy Gaucher et les pères Descouvemont et De Meester du groupe d’études des « thérésiens », propose une synthèse de la vie et du message, des intuitions et des paradoxes de celle qui, avec Pascal, est sans doute le plus grand génie religieux de l’histoire de France. 

 

L’auteur en quelques mots Thérèse de Lisieux dans A et B photobio-bernard-bro_178038_M

  

Bernard Bro, dominicain, docteur en philosophie, a été professeur aux Facultés pontificales du Saulchoir, prédicateur à Notre-Dame de Paris, responsable des émissions religieuses à France-Culture et couronné par l’Académie française pour l’ensemble de son oeuvre.

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L’interprétation des singes

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

Titre 

 

L’interprétation des singes 

 

Auteur

 

 

Michel Braudeau  

 

 

L’interprétation des singes 

 

L'interprétation des singes

Dans ce roman, Braudeau a voulu tout mettre et les critiques n’ont pas manqué de le lui reprocher : à vouloir trop faire, on fait moins bien, ou on fait carrément mal, selon certains. Evidemment, dit comme ça, il n’y a pas moyen d’argumenter sauf que les grands livres sont souvent ceux où il y a à boire et à manger. Et on a trop souvent appelé de nos vœux un roman qui traiterait de tout à la fois pour faire la fine bouche. Avec ce déluge de thématiques aussi passionnantes les unes que les autres, Braudeau tire une intrigue qui est claire comme de l’eau de roche. Le roman s’ouvre sur une scène de chasse à l’homme dans un parc de Meudon. L’homme est un arabe pris en chasse par une bande de motards qui très vite sont soupçonnés d’entretenir des rapports avec un chirurgien esthétique de la ville, le professeur Sarastre : alimentation en chair fraîche pour l’industrie de la beauté. Un journaliste mène l’enquête et lève un trafic de corps humains, en même temps qu’il s’immisce dans un drame familial qui va vite dépasser en complexité et en perversité ce qu’on pouvait imaginer. 

« L’interprétation des singes » est un livre fleuve et un livre monstre, jailli de courants influents de la littérature XIXème, de Verne et de Villiers, de Barbey et de Stevenson, dans lequel l’auteur développe avec une ambition démesurée des thèmes aussi modernes et variés que la manipulation génétique, la barbarie de classes, l’économisme, les sectes, la sexualité sous toutes ses formes, l’âge adolescent, le tourisme sexuel, la critique du journalisme, le vieillissement, les vertiges de la science, la métaphysique ou encore la soif des grands espaces. 

L’auteur :   L'interprétation des singes dans A et B 

Michel Braudeau, né le 12 mai 1946 à Niort (Deux-Sèvres), est un romancier et critique littéraire. Il est depuis 1999 rédacteur en chef de La Nouvelle Revue française 

Sous l’influence de son grand-père, il découvre très tôt Proust, Montaigne, Stendhal, Gide et Rimbaud et avec eux « le bonheur de lire allongé sur un lit » quand les enfants de son âge soccupent de la « vraie vie »

 

Mai 68, Michel Braudeau est à Paris, il vit toute l’effervescence de l’insurrection et du vent nouveau qui se lève, mais se garde bien, par méfiance, d’adhérer à quelque parti que ce soit. Il sort diplômé de Sciences Politique et titulaire d’une maîtrise de linguistique générale. ll traduit le premier ouvrage de Noam Chomsky en France, Structures Syntaxiques (Seuil, 1969) ce qui lui permet d’entrer comme assistant aux Editions du Seuil. Il croise alors Lacan, Barthes ou Sollers et se lie d’amitié avec le génial peintre Robert Malaval. Il écoute Mozart ou Bartok et découvre le rock qui rempli son espace sonore encore disponible. David Bowie, les Rolling Stones ou Pink Floyd le marquent durablement : « ils sont tous mes frères d’armes, mes compagnons de larmes, mes saints protecteurs, tous au Paradis ». Le suicide, en 1980, de Robert Malaval marque pour lui la fin de cette « décénie de paillettes inoubliable »


Trois ans auparavant Michel Braudeau a publié son premier roman : Vaulascar (Seuil, 1977 ; 1991) et est entré comme journaliste à l’Express. En 1980, il publie son second roman, Passage de la main d’or (Seuil, 1980). 

 

En 1985, Michel Braudeau rejoint Le Monde, d’abord au service culture puis en tant que grand reporter ce qui abreuve sa soif de voyages : « cela reste à mes yeux le métier idéal, le plus vivant de tous ». Cette même année il publie Naissance d’une Passion (Seuil, 1985 ; 1995 – Prix Médicis). Il rejoint le comité de lecture de Gallimard en 1994, et en 1999 prend la direction de la NRF, la revue littéraire à laquelle il envoyait, adolescent, ses poèmes. La boucle est bouclée. 

 

 

 

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Les vérités interdites

Posté par othoharmonie le 21 février 2011

 Titre 

 

Les vérités interdites 
 Auteur

 

 Daniel Braibant  

 

LES VERITES INTERDITES 

 

 

Les vérités interdites dans A et B f57ecd79fe58488f7b606d82cebf5dee-300x300

 

pas d’image à vous soumettre désolée !

 

de quoi ça parle :

 

 

Un livre très rare qui aurait pu s’intituler: Cours complet de santé et de longévité.
Le contenu de  » Toutes les vérités interdites  » vous révèle ce que l’on vous a caché depuis si longtemps sur votre vie, votre santé et les moyens sûrs et sans danger de les préserver. Scientifiquement prouvées, les révélations que contient ce livre vont mener le lecteur de façon la plus naturelle qui soit sur le chemin du bien-être et d’une longévité que l’auteur n’hésite pas à considérer d’exceptionnelle. 


Il ne s’agit pas là de vagues promesses, car tout ici est immédiatement utile et efficace et peut être mis en oeuvre dès la lecture des premières pages. Se sentir en pleine forme à un âge avancé ou très avancé grâce aux informations capitales et gardées jusqu’ici secrètes, tel est le leitmotiv de cet ouvrage inédit. Destiné à tous ceux et toutes celles qui considèrent leur vie et leur santé comme un bien précieux et irremplaçable. 

 

Il s’agit d’un livre complet, qui vous apporte chez vous, toutes les révélations que des générations de chercheurs ont mises au point. C’est à votre tour d’en profiter. 

DES PREUVES ? Voyez ce que disent des lecteurs enthousiastes ! 

 

Elle à testé certaines des techniques et secrets révélés dans le livre.
Voici ce quelle en dit :

 

« Mes problèmes de santé ont été vite résolus grâce à vos secrets taoïstes et à leur grande efficacité. Merci mille fois. J’aime particulièrement la technique de la purification du corps que vous expliquez si clairement » Sandrine T.  (Levallois Perret) 

 

« J’ai appris tellement de choses nouvelles que j’en suis ébahi. » Hervé C. (Limoges) 

 

Profitez à votre tour de tous ces secrets merveilleusement pratiques et efficaces, pour prolonger votre vie et garder la forme pendant très longtemps. 

 

Dans ce livre étonnant, il n’y a rien d’inutile, tout est conçu, écrit et présenté, pour que vous en tiriez des bénéfices et des avantages immédiats. 

 

Vous savez maintenant que les résultats sont garantis. Vous ne prenez aucun risque, tous les risques sont pour moi. 

 

Vous devez bien comprendre que mon seul objectif est que VOUS profitiez totalement des enseignements et révélations faites dans ce livre. Voici ce qu’en dit le Docteur Jean Philippe Santourian (docteur en médecine) : « Cet ouvrage est véritablement exceptionnel. Je le recommande chaleureusement. » Docteur JPh. Santourian. 

 

 

L’auteur :               daniel-braibant dans A et B 

Auteur de très nombreux ouvrages …. A découvrir : http://blog.idph-europe.com/tag/daniel-braibant/ 

 

 

 

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Très sage Héloïse

Posté par othoharmonie le 21 février 2011

 

Titre 

 

Très sage Héloïse 

 

Auteur

 

 

Jeanne  Bourdin  

 

TRES SAGE HELOISE 

 

Très sage Héloïse

De quoi ça parle : 

 

 

 » Héloïse ! Une des créatures les plus extraordinaires de tous les temps !é On a pu l’appeler  » la femme qui inventa l’amour  » car elle se dresse comme une torche au seuil du siècle qui sut transmuer le sentiment amoureux en passion. Née avec lui (1100 ou 1101), la belle étudiante du cloître Notre-Dame vécut totalement, dans sa chair, dans son âme, les enivrements et les déchirements d’une découverte superbe mais sulfureuse. 


Elle allait bouleverser l’ordre de l’amour humain. Emportée dans la même étourdissante spirale, Abélard et Héloïse demeurent les témoins exemplaires de la prodigieuse révolution de moeurs qui s’est produite à l’aube de ce XIIe siècle qui fut, en réalité, notre véritable Renaissance. Autour d’Héloïse revit une époque minutieusement reconstituée et observée à partir des détails les plus familiers, les plus authentiques aussi. « Jeanne Bourin Très sage Héloïse, un livre brûlant, par l’auteur de La Chambre des dames ne nous raconte pas la passion d’Héloïse pour Abélard mais nous la fait réellement vivre avec une intensité prodigieuse. «  

 


Ou est la limite entre fiction et réalité?

Héloïse, religieuse âgée, va mourir, et elle le sait. Elle revient sur sa vie et son histoire d’amour avec Abélard. Une histoire d’amour sans limites, une passion démesurée, qui résiste à tous les malheurs. 


Ces personnages ont réellement existé, et on bien vécu une histoire ensemble. Cependant, on ne sait pas trop où commence la fiction et où fini la réalité. Un roman court, un peu sous la forme d’un journal intime, entrecoupé de chapitres où l’on voit la scène du point de vue de ceux qui assistent à son agonie. Une histoire d’amour, un peu étrange à mon avis, surtout du côté d’Abélard, agréable à lire. Mais l’on n’apprend pas grand chose sur le Moyen Age, ce qui limite quelque peu l’intérêt du roman. 

L’auteure :              Très sage Héloïse dans A et B 

Née à Paris, Jeanne Bourin a suivie ses études au lycée Victor-Duruy, puis elle a préparé une licence de lettres et une licence d’histoire à la Sorbonne. Elle est mariée à André Bourin, journaliste, critique littéraire, producteur de radio et de télévision. Elle est mère de trois enfants. 

 

Elle est décédée mercredi à l’âge de 81 ans de mort naturelle : Lire l’article 

 

Romancière et historienne, elle s’est exclusivement consacrée au Moyen-Age. En 1963, elle publie son premier livre, le Bonheur est une femme, où elle évoque les amours de Pierre de Ronsard et d’Agrippa d’Aubigné. Elle publiera Très sage Héloïse en 1966 réédité en 1980 où elle fait revivre celle qui fut aimée d’Abélard et demeure une des plus grandes figures féminines de tous les temps ; l’ouvrage, plusieurs fois traduit, a été couronné par l’Académie Française. 

 

Suit une biographie animée mais composée sur des bases rigoureusement historiques d’Agnès Sorel, La dame de beauté en 1970 réédité en 1982. 

 

Jeanne Bourin consacre ensuite sept années à la documentation et à la rédaction de son premier roman, La Chambre des dames (1979) préfacé par Régine Pernoud et qui met en scène des marchands et des artisans dans leur vie quotidienne à Paris, au temps du roi Saint-Louis. Grand Prix grand prix des lectrices de Elle et prix des Maisons de la Presse. Traduit en sept langues, ce livre a reçu un accueil enthousiaste de la critique et du public. En 1981, elle donne une suite à ce roman avec Le Jeu de la tentation (prix Renaissance, 1982) qui s’impose très vite comme un grand succès de librairie. Ces deux romans ont fait l’objet d’une adaptation télévisée. 

 

Pour répondre aux demandes d’informations qui lui sont alors adressées, Jeanne Bourin publie, en collaboration avec Thomassin, un livre de cuisine médiévale : Les recettes de Mathilde Brunel. 

 

Vient ensuite Le Grand feu, qui obtient le Grand Prix Littéraire de la Société amicale du Loir-et-Cher en 1985 et le Grand prix catholique en 1986. 

 

Mars 1987, Jeanne Bourin publie un roman situé au XVIe siècle, Les Amours blessées, qui traite de l’intrigue amoureuse unissant durant quarante ans le poète Pierre de Ronsard à Cassandre Salviati. 

 

En septembre de cette même année, elle fait paraître un conte pour enfants de 8 à 12 ans, Le Sanglier blanc, qui unit le merveilleux des contes de fées à une évocation très fidèle de la vie quotidienne au Moyen-Age. L’ouvrage est abondamment illustré de dessins en couleur. 

A l’automne 1989 paraissent Les Périgrines. Ce nouveau romand de Jeanne Bourin conduit le lecteur de Chartres à Jérusalem, en passant par Constantinople, dont l’auteur ressuscite les splendeurs, Nicée, Antioche et Tripoli et lui fait partager les terribles épreuves, mais aussi l’ardeur de ceux et celles qui accomplissent à l’extrême fin du XIe siècle la première Croisade, pour délivrer le tombeau du Christ. En février 1992, avec Les Compagnons d’éternité, Jeanne Bourin donne une suite aux Périgrines et, dans ce nouvel ouvrage, évoque la prise de Jérusalem, puis la constitution du royaume franc ; tous ces événements vus et vécus par ses trois héroïnes. 

 

Auparavant, en octobre 1990, elle avait publié un album richement illustré sur l’histoire des jardins au Moyen-Age du VIIe au XVe siècle : La Rose et la Mandragore. Pareil sujet n’avait jamais été traité ainsi dans son ensemble. Jeanne Bourin est également conférencière et a publié divers articles dans des quotidiens, revue et magazines. Elle a participé à de nombreuses émissions de radio et de télévision, tant en France que dans les autres pays francophones. Elle a rédigé des préfaces notamment pour Les plus belles pages de la poésie française livre publié en 1982. Elle fait partie de divers jurys littéraires et a fondé le Grand Prix Littéraire de la Femme. 

 

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L’hymne des démons

Posté par othoharmonie le 21 février 2011

 

Titre 

 

L’hymne des démons  

 

Auteur

 

 

Nicolas Bouchard   

 

L’hymne des démons 

 

 

L'Hymne des démons

De quoi ça parle : 

 

La forêt noire, près de Fribourg en Bresgau, année 1740. De lourdes incertitudes pèsent sur l’Europe, l’équilibre précaire des puissances menace de s’effondrer. Un nouveau roi vient de monter sur le trône de Prusse ; l’électeur de Bavière inquiète la fragile Autriche antérieure, la guerre sourd… Et un tueur mystérieux profite de l’extrême morcellement des principautés germaniques pour accomplir ses crimes en toute impunité. Au point que le peuple croit reconnaître dans ces meurtres abominables la marque du Chasseur Noir, dont les méfaits, inspirés par le diable, ont ensanglanté la forêt voilà de cela des centaines d’années. La troupe de Tullio Boccarosa, compositeur d’opéra itinérant, échoue à Fribourg en pleine psychose collective ; là, on leur proposera un bien étrange contrat : composer un opéra racontant la légende du Chasseur Noir. Mais en montant une telle œuvre, Lisbeth Boccarosa, épouse et égérie de Tullio, se demandera rapidement s’ils ne risquent pas d’y perdre leur âme… ou pire encore. Meurtres rituels, enlèvements, messes noires, vieux donjon au bord du Rhin, opéra sanglant : une vision  sombre du siècle des Lumières assailli par les démons du passé.

Avec L’Hymne des démons, Nicolas Bouchard se lance dans le roman noir historique

 

 

 

L’auteur :                     L'hymne des démons dans A et B bouchard 

 

Nicolas Bouchard né en 1962. Passionné de science-fiction (L’Empire de poussière, Le Réveil d’Ymir), mais aussi d’histoire (La Ville noire, L’Hymne des démons), il a toujours été fasciné par l’antiquité et le monde romain. Auteur de thrillers, il a voulu comprendre ce qui avait pu amener les criminels romains à de telles aberrations et décrire un torrent de passions tumultueuses au cours d’une période archaïque et, somme toute, peu connue de l’histoire de la ville éternelle. 

 

 

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La plus belle histoire de Dieu

Posté par othoharmonie le 13 février 2011

 

Titre 

 

La plus belle histoire de Dieu  

 

Auteur

 

 

Jean Bottéro -  Marc-Alain Ouaknin et Josèph Moingt  

 

La plus belle histoire de Dieu  

 

La Plus Belle Histoire de Dieu

 

La Genèse du monothéisme. Comment cette idée novatrice a surgi au Proche-Orient, il y a près de 3 300 ans, s’y est affirmée, développée, puis ramifiée entre judaïsme et christianisme, tel est le thème de ce triptyque. (L’islam, considéré comme « une autre histoire de Dieu », n’est pas abordé ici.) C’est Jean Bottéro qui commence, avec « le dieu de la Bible ». Spécialiste des langues et civilisations du Proche-Orient, auteur de La naissance de Dieu, il met en balance les mythes bibliques héritiers de leur environnement et l’ »invention » du monothéisme. Marc-Alain Ouaknin (voir Mystères de la Kabbale), rabbin et philosophe, féru de psychanalyse et de linguistique, présente « le dieu des juifs ». « Le dieu des chrétiens » est l’oeuvre de Joseph Moingt, théologien catholique, auteur de L’homme qui venait de Dieu. Amenés sous la forme de réponses aux questions de deux intervieweurs, les exposés sont vifs, clairs et sans pédanterie. Autant que leurs connaissances, ces trois savants laissent parler leurs convictions personnelles. –Colette-Rebecca Estin 

 

Quatrième de couverture 

 

Il y a près de 3 300 ans, au Proche-Orient, est apparue l’idée d’un Dieu unique. Qui est ce Dieu, par rapport aux multiples dieux qui l’environnent ? Quel est le sens des Dix Commandements ? Comment les Juifs voient-ils ce Dieu, que disent-ils de lui ? Quels sont les liens entre la Torah écrite – la Bible – et la Torah orale – le Talmud ? Quel est le sens de la Loi, de l’Exil ? Qui était Jésus pour les premiers chrétiens ? Pourquoi l’ont-ils appelé Christ et Fils de Dieu ? Pourquoi parlent-ils d’un Dieu  » Trinité  » ? Sans jargon, chacun avec sa science et sa conviction, trois spécialistes répondent aux questions d’Hélène Monsacré et de Jean-Louis Schlegel. 

 

 

L’auteur : 

La plus belle histoire de Dieu dans A et B 40_1

 

Jean BOTTERO : Né à Vallauris où son père était potier, Jean Bottéro entre au petit séminaire de Nice avant d’entamer son noviciat au couvent dominicain de Biarritz en 1931. Il prend l’habit en 1932 et vit au prieuré de Saint-Maximin où il s’intéresse à la théologie et à la métaphysique. Il est distingué par le père Marie-Joseph Lagrange, le fondateur de l’École biblique de Jérusalem, qui discerne sa vocation à l’exégèse et à l’archéologie. 

Il enseigne la philosophie grecque, l’hébreu puis l’exégèse biblique à Saint-Maximin mais est suspendu alors qu’il refuse de créditer la Genèse d’un certificat d’historicité. Il s’installe alors dans un couvent dominicain parisien, poursuit ses recherches par l’étude de l’akkadien et traduit avec René Labat le Code d’Hammurabi. Interdit de retour à Saint-Maximin, où sa présence est considérée comme « un danger pour les jeunes », Bottéro intègre le CNRS en 1947 et est contraint à demander sa « réduction à l’état laïque » en 1950. 

Il travaille de 1947 à 1958 en tant que chercheur au CNRS, participe à des fouilles au Moyen Orient avant d’obtenir une chaire d’assyriologie à l’École Pratique des Hautes Études à Paris où il deviendra directeur d’étude. Ses publications scientifiques lui confèrent une renommée internationale de premier plan que viendront appuyer des ouvrages de référence comme Naissance de Dieu. La Bible et l’Historien , Mésopotamie. L’Ecriture, la raison et les dieux ; Lorsque les dieux faisaient l’homme. Mythologie mésopotamienne outre la traduction de l’Épopée de Gilgamesh

 

 

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Maurice Zundel

Posté par othoharmonie le 13 février 2011

 

Titre 

 

Maurice Zundel 

 

Auteur

 

 

Bernard de Boissière  

 

Maurice Zundel 

 

 

 

 

Maurice Zundel

 

 

 Présentation de l’éditeur 

 

Ce livre trace le portrait d’un grand mystique et prophète du XXe siècle. Né en 1897 à Neuchâtel, en Suisse, Maurice Zundel est ordonné prêtre à Fribourg en 1919. Jusqu’en 1975, il mène une vie de prédication, d’accompagnement spirituel, d’étude et d’écriture en Suisse, à Paris, Londres, Le Caire et Beyrouth. Victime d’ostracisme et d’incompréhension ecclésiale, il vit dans une réelle pauvreté, se souciant particulièrement des plus humbles, attentif à tout ce qui tisse la vie humaine. sociale, culturelle, politique, économique et scientifique. D’une curiosité insatiable et d’une culture encyclopédique, il dort trois heures par nuit et étudie sans relâche pour mieux comprendre le monde. En 1972, le pape Paul VI l’appelle à prêcher la retraite de carême au Vatican. La pensée de ce prêtre remarquable connaît aujourd’hui un retentissement de plus en plus grand et se répand bien au-delà du monde chrétien. Elle touche aussi bien des intellectuels que des gens modestes, des chercheurs de sens. À travers sa correspondance, ses conférences, ses souvenirs personnels et les témoignages, pour la plupart inédits, de ceux qui l’ont connu, se fait jour un prêtre sensible à la volonté ferme, à l’intelligence claire, qui voua à l’Homme un amour tenace, empreint d’espérance. Voici enfin la première grande biographie de cet être d’exception qui, transcendant les frontières humaines et religieuses pour rejoindre chacun au plus intime et l’ouvrir à sa vérité profonde,
touche à l’universel. 

 

Le sommet du livre est le chapitre consacré à la retraite prêchée au Vatican en 1972. Elle fut presque improvisée puisqu’il a dû l’écrire seulement après, à la demande expresse du pape, en écoutant les enregistrements et aux prix d’un travail harassant qui a épuisé ses dernières forces. La réponse de remerciement du pape est un texte magnifique, à la fois humain, théologique et mystique, reprenant le petit nombre des grands thèmes sans cesse recommencés de Maurice Zundel, en particulier la liberté intérieure reçue au fur et à mesure que le chrétien devient « berceau de Dieu ». Le livre se termine par une série de témoignages qui parlent avec ferveur, à des années de distance, de la parole à la fois douce et brûlante de Maurice Zundel, et qui nous restituent la silhouette lumineuse de l’homme, sa démarche, son regard, son sourire

 

 

 

Biographie de l’auteur  Maurice Zundel dans A et B grenelle81

 

Bernard de Boissière, jésuite, a rencontré Maurice Zundel dans sa jeunesse et ne l’a plus quitté. Il a passé sa vie à le faire connaître, à divulguer livres et témoignages, à réunir tous les documents que nous possédons aujourd’hui. France-Marie Chauvelot prête sa plume avec talent à cette entreprise débutée il y a une trentaine d’années. 

 

 

 

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Le témoin privilégié

Posté par othoharmonie le 13 février 2011

 

Titre 

 

Le témoin privilégié 

 

Auteur

 

 

Gilles Blunt  

 

Le témoin privilégié 

 

 

 

Le témoin privilégié

 

Résumé

 

« Dans la jungle de New York branché sur des artistes, Nick Hood reste un peintre ignoré par les critiques. Ses représentations de la mort – Son inspiration favorite, bien qu’admires du point de vue techniques, manquant de réalisme


Alors qu’il songe au suicide, il fait une étrange rencontre : un homme difforme, d’une laideur fascinante, qui prétend d’être capable de prévoir la mort. Grace a lui, Nick pourrait assister à des meurtres des accidents, des suicides, pour saisir, sur le vif, en témoin privilégié, la couleur qui fait défaut à son œuvre….
 

 

 

 

L’auteur :       Le témoin privilégié dans A et B Gilles%20blunt 

 

Né en 1952 à Windsor (Canada) de parents anglais, Giles Blunt étudie la littérature à l’université de Toronto. Il vit ensuite à New York pendant vingt ans ; il y écrit des scénarios pour plusieurs programmes de télévision, notamment pour la série à succès Law and Order, ainsi que son premier roman, Le témoin privilégié (Albin Michel, 1991). Trois ouvrages vont suivre : Quarante mots pour la neige (2003), récompensé en Angleterre par le prestigieux Silver Dagger Award, et publié dans une douzaine de pays, Sous un ciel de tempête (2005), puis Quand tu liras ces mots (2008), tous parus aux éditions du Masque. Giles Blunt vit actuellement à Toronto.  

 

 

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Le principe de Lucifer 1-2

Posté par othoharmonie le 13 février 2011

 

Titre 

 

Le principe de Lucifer – Tome I 

Le principe de Lucifer – Tome II 

 

Auteur

 

 

Howard Bloom  

 

Le principe de Lucifer – Tome I et  Tome II

 

                                  Le Principe de Lucifer Le Principe de Lucifer, tome 2 : Le Cerveau global

 

De quoi ça parle 

Le principe de Lucifer part du postulat d’un instinct de survie et d’une volonté d’expansion des superorganismes, des entités identitaires existant sur plusieurs niveaux, transcendant celui des individus. Il y analyse comment la violence est intrinsèquement liée à la nature de la société humaine puisque ces superorganismes doivent immanquablement entrer en compétition sur le mode darwinien

 

Présentation de l’éditeur 

 

Ce livre bouleverse toutes les idées reçues que le genre humain se fait de lui-même. Il explore les forces qui gouvernent l’histoire, devenant aussi important que “l’origine des espèces” de Darwin. Un livre fascinant, exceptionnel, unique, d’une culture encyclopédique sans égal, serti d’une logique implacable. Personne ne peut sortir intellectuellement indemne après cette lecture dramatique. Broché 15 x 21 – 450 pages 

 

Quatrième de couverture 

 

Le Principe de Lucifer est un livre qui vous marque le cerveau au fer rouge. Et de ces livres, il en existe, quoi que l’on pense, très peu. 

 

Que dit Howard Bloom ? Que la violence est au coeur de la Nature, au coeur de l’homme, au coeur des forces qui gouvernent l’Histoire. Et ce Principe a trouvé son illustration la plus spectaculaire le 11 septembre 2001. 

 

C’est pour cela que son livre est fascinant, parce que nous avons tous vécu des expériences qui confirment les idées qu’il nous expose, mais sans jamais avoir eu les clés pour les comprendre réellement. Alors la lecture du Principe de Lucifer se transforme en une grille acérée de décryptage du comportement social, exactement comme le génie de Freud a permis de comprendre l’origine des pulsions sexuelles. 

 

Le Principe de Lucifer est une expédition scientifique dans les forces de l’Histoire. C’est l’un des rares livres du genre qui se lit avec la facilité d’un roman policier parce que Bloom nous entraîne de manière progressive dans sa magistrale démonstration empirique. 

 

 

L’auteur     Le principe de Lucifer 1-2 dans A et B HowardBloom_0 

 

Howard Bloom (né en 1943) est un auteur scientifique américain et ancien publicitaire dans l’industrie musicale. 

 

Howard Bloom est connu pour ses ouvrages soulignant les concepts de superorganisme (sociologie), de mème (Mémétique), de cerveau global (intelligence collective) et de sélection de groupe. 

 

Howard Bloom naît en 1943 a Buffalo, New York, États-Unis. A l’âge de dix ans, il s’intéresse déjà à la science. Il lit beaucoup de grands scientifiques qui deviendront des modèles, comme Antonie van Leeuwenhoek, Galileo Galilei et Albert Einstein. Bloom insiste pour que ses parents lui achètent un microscope professionnel d’occasion et tombe ainsi dans la microbiologie. En suivant les traces d’un autre grand exemple, George Gamow (l’un des fondateurs de la théorie du Big Bang et du bruit de fond de l’Univers), Bloom se plonge aussi dans la physique théorique et la cosmologie. 

 

Bloom construit sa première machine utilisant l’Algèbre de Boole (logique) à l’âge de douze ans. La même année, il collabore avec Michael Wolfberg  pour concevoir un outil électronique capable de jouer au jeu de stratégie « TakTix », où le but est de forcer son adversaire à enlever le dernier jeton du plateau de jeu. Cet appareil gagne des concours scientifiques régionaux et devient l’un des concurrents pour le Westinghouse National Science Prize (voir http://en.wikipedia.org/wiki/Intel_Science_Talent_Search, en anglais). L’appareil électronique en question a aussi aidé Wolfberg à entrer au Massachusetts Institute of Technology. 

 

Il est l’un des principaux fondateurs de deux nouveaux champs d’exploration scientifique, le comportement de masse et l’étude des psychologies d’autrefois : la paleopsychologie. Bloom travaille actuellement a l’établissement d’une troisième discipline appelée omnologie, l’étude du Tout. Il est aussi le fondateur de deux groupes scientifiques internationaux multidisciplinaires. Le premier, concentré sur la « psychologie évolutionnaire », « The Group Selection Squad » (1995) basée sur la théorie de la sélection naturelle par groupes. Le second est l’ »International Paleopsychology Project«  

 

 

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Un bâillement du diable

Posté par othoharmonie le 7 février 2011

 

Titre 

 

 

Un bâillement du diable  

 

Auteur

 

 

Pierre  Billon   

 

 

Un bâillement du diable 

 

 

Un Bâillement Du Diable - Roman de Pierre Billon - Livre

 

 De quoi ça parle 

 

Trois femmes aux prises avec l’innommable : Kiersten MacMillan, inspecteur à la gendarmerie royale Canada ; Laurence Descombes, médecin français, chargée de mission à Harmonices Mundi, une organisation humanitaire ; et Lydia Frescobaldi, jeune avocate romaine, attachée à la Casus Belli, une unité d’élite de la police italienne. Leurs destinées se croisent quand est mis au jour un réseau international de production de Snuv – nom de code pour snuff vidéo. Les Snuv sont l » »horreur absolue » : sous l’oeil d’une caméra, des victimes sans défense sont mises à mort. L’enregistrement filmé de leur agonie se vend, en copie unique, à des prix exorbitants. 

 

Une secte, l’Eglise de l’Alliance universelle, serait impliquée dans ce terrifiant trafic. Mais comment en avoir la certitude, dans un monde dont les miroirs reflètent une « réalité » diaboliquement retouchée ? 

 

Sur le rythme d’un véritable thriller où l’humour et la réflexion ont leur place, u roman solidement documenté, des personnages fouillés et attachants aux prises avec les force du mal, et une redoutable intrigue qui saisit le lecteur à la gorge et l’oblige à se demander, de page en page ; « Et si ce n’était pas de la fiction ? » 

 

 

 

 

L’auteur :        Un bâillement du diable dans A et B 75928 

Pierre Billon est né en 1937 à Genève en Suisse. Depuis plusieurs années maintenant, il vit au Québec dans son nouveau pays d’adoption qu’est le Canada. Il s’est consacré au journalisme, à la radio et à la télévision avant de devenir éducateur spécialisé. En 1962 il s’établit au Canada, enseigne à l’Université de Montréal puis dirige des revues pédagogiques chez Fides. Il travaille ensuite au ministère de l’Éducation du Québec avant de se spécialiser dans le secteur des affaires culturelles et des communications à Ottawa. « Le journal de Catherine W. » a été porté à l’écran sous le titre original du roman « L’ogre de Barbarie ». En plus de son travail d’auteur, c’est aussi le traducteur d’une trentaine d’œuvres anglo-saxonnes comme certains romans d’Isaac Asimov.

En 1983, son roman « L’enfant du cinquième nord » reçoit le Grand Prix de l’Imaginaire et le prix Boréal. C’est l’histoire d’un enfant que l’on croit malade et qui sidère le corps médical en altérant les objets de métal. L’enfant intéresse, alors, beaucoup les militaires, toujours à la recherche de l’arme absolue. Dans ce thriller pour âmes sensibles, Billon utilise un style journalistique en agrémentant son roman d’explications médicales et scientifiques hypothétiques mais assez vraisemblables. Une oeuvre réussie, entre le roman d’enquête policière et le roman de science-fiction.

A ses début, la SF québécoise a été totalement ignorés en France, à tel point que Billon et son éditeur français, Le Seuil, refusèrent contre l’évidence et avec la dernière énergie l’étiquette infamante de « SF », au point de ne faire aucune mention de l’attribution du Grand Prix de la SF française. Aujourd’hui, Billon avec Joëlle Wintrebert, Jean-Pierre April, Jean-Louis Trudel et Elisabeth Vonarburg sont les incontournables de la SF Québécoise.

 

 

 

 

 

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La plantation

Posté par othoharmonie le 7 février 2011

 Titre   La plantation 
 Auteur  Calixthe   Beyala  

 

 

 

La plantation 

La Plantation

De quoi ça parle : 

Présentation de l’éditeur 

Le Zimbabwe était leur terre, leur domaine, leur paradis… Jusqu’au jour où le  » Président élu démocratiquement à vie  » décide d’exproprier ces fermiers blancs qui se croyaient les rois du monde, les réduisant à la lutte ou à l’exil. Blues a dix-huit ans. Ses cheveux d’or et son caractère farouche enflamment tous les désirs. Fille d’un grand propriétaire terrien, sûre de sa supériorité et de son éducation, elle a vécu sur un nuage de privilèges, aimée, choyée, courtisée. Mais sous sa peau blanche bat le cœur d’une femme née de cette terre d’Afrique qu’elle aime tant, et pour laquelle elle est prête à se battre et à mourir… Pour la première fois, un grand écrivain noir se met dans la peau des Blancs, des colonisateurs. Avec cette fresque tumultueuse et passionnée, Calixthe Beyala a réussi un véritable Autant en emporte le vent africain, peuplé d’êtres violents et chimériques, rusés et naïfs, Noirs et Blancs qui peinent à inventer ensemble une vie nouvelle

Voir le site de Calixthe :  http://calixthe.beyala.free.fr/ 

Biographie de l’auteur    La plantation dans A et B calixthe-beyala

 » Calixthe Beyala est un écrivain né dans une terre de misère riche d’imaginaire, féconde de forces créatives et de rires qui chassent le chagrin.  » Christine Arnothy.  » Calixthe Beyala a le rythme africain dans les mots et un courage à dire inouï, le tout poivré d’un humour qui lui permet d’aller bien au-delà de ce que les conventions habituellement nous autorisent.  » Françoise Xenakis 

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L’amour ne suffit pas

Posté par othoharmonie le 28 janvier 2011

 

Titre 

 

 

L’amour ne suffit pas   

 

Auteur

 

 

Bruno  Bettelheim   

 

                                                              L’Amour ne suffit pas 

 

                        Le traitement des troubles affectifs chez l’enfant 

 

 

L'Amour ne suffit pas

 

 De quoi ça parle :  

Voici l’ouvrage fondamental du grand psychiatre américain, mondialement connu pour ses méthodes audacieuses et novatrices dans le traitement des troubles psychiques chez l’enfant, en particulier l’autisme. Affirmant que la guérison des enfants atteints dans leur développement affectif passe par une approche compréhensive de la totalité de leur vie quotidienne, tenant compte de leurs perturbations les plus précoces, il nous fait découvrir le lent processus de la guérison à travers de multiples observations concrètes et vivantes. Educateurs, psychologues, travailleurs sociaux, parents trouveront ici un exposé clair des recherches qui ont bouleversé le mouvement thérapeutique contemporain. 

 

Présentation du livre 

 

Afin de comprendre le L’auteur expose les méthodes qui l’ont fait connaître et apprécier de dizaines de milliers de parents et de spécialistes du monde entier. Ces méthodes pourront étonner par leur audace. Elles s’adressent à des enfants profondément atteints dans leur personnalité psychique. Affirmant que de tels enfants ne sauraient être pris en charge, rééduqués et guéris, que par une approche compréhensive de la totalité de leur vie quotidienne, l’auteur fait découvrir de lent processus de la guérison. 

 

Modèle pédagogique proposé par Bruno Bettelheim, nous avons étudié deux de ses oeuvres : L’Amour ne suffit pas 1950, et Un lieu où renaître, 1974. Dans ces deux ouvrages, il nous détaille ses principes et méthodes pédagogiques et nous fait découvrir le lent processus de guérison à travers de multiples observations concrètes


Nous nous sommes référés également à
La folie des autres, écrit par une journaliste et écrivain française Geneviève Jurgensen. Initialement jeune orthophoniste diplômée en France, elle travaille ensuite (1970-72) à l’Université de Chicago, en tant qu’éducatrice à l’École Orthogénique dirigée par le psychanalyste Bruno Bettelheim. Dans ce livre, elle relate son expérience auprès du psychanalyste (…) 

 

L’auteur :

 

L'amour ne suffit pas dans A et B BettelheimBrunoThm

Bruno Bettelheim (28 août 1903 à Vienne – 13 mars 1990 à Silver Spring, Maryland) était un psychanalyste, et pédagogue américain d’origine autrichienne. Il s’est rendu célèbre par la publication de livres de vulgarisation où il explique les théories pédagogiques et psychothérapiques, nouvelles à l’époque, mises en œuvre à l’École d’orthogénie de l’Université de Chicago qu’il a dirigée pendant trente ans. 

 

Bettelheim fut l’un des derniers juifs à passer un doctorat à l’université de Vienne (en esthétique, une des branches de la philosophie) avant l’Anschluss de mars 1938. Arrêté par les nazis en mai, il fut déporté dans les camps de concentration de Dachau puis, après les accords de Munich, de Buchenwald. Libéré en mai 1939, il émigra aux États-Unis. Son expérience des camps de concentration sera une des clés de ses théories psychanalytiques, il écrira sur les phénomènes psychologiques à l’œuvre, selon lui, au sein des camps de détention, entre les prisonniers et leurs tortionnaires et publie en 1943 Comportement individuel et comportement de masse dans les situations extrêmes. Cette étude fut complétée plus tard pour en faire un de ses livres les plus importants et les plus accessibles : Le Cœur Conscient

 

Il enseigna à l’Université de Chicago, dirigea une école consacrée aux enfants émotionnellement perturbés dont certains étaient psychotiques ou autistes

 

Bettelheim fut aux Etats-Unis l’un des plus éminents et ardents défenseurs du livre Eichmann à Jérusalem de la philosophe Hannah Arendt

 

Ayant perdu sa femme et redoutant la dégradation de sa santé, il se suicida le 13 mars 1990 à l’âge de 86 ans. 

 

Peu après, une polémique se développa sur sa réelle compétence de psychanalyste. Il reste toutefois le fondateur de deux concepts majeurs, auxquels il est couramment fait référence : celui de «forteresse vide» pour désigner ces remparts que dressent autour d’eux les jeunes autistes pour se protéger de leur sentiment de néant, et le concept de « situation extrême », pour désigner la sensation de mort imminente qui déclenche chez l’individu des comportements de défense à la mesure de l’angoisse ressentie. 

 

 

 

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Chaman

Posté par othoharmonie le 25 janvier 2011

 

Titre 

 

 

Chaman   

 

Auteur

 

 

Jean Bertolino  

 

Chaman 

 

 

Chaman

De quoi ça parle :  

Du Laos à Bornéo, dans les années 1970, la quête spirituelle peu ordinaire de Judik Kervanec, jeune missionnaire dont le destin sera bouleversé par le chamanisme. Un voyage initiatique au plus profond des mystères de l’homme et de la nature. 

 

Présentation du livre 

Dans les années 1970, Judik Kervanec, jeune missionnaire breton, est envoyé au Laos afin d’évangéliser les Boloven, une peuplade isolée du monde. Reconnu par Tamil le Grand Chaman et Alta le devin pour ses dons spirituels exceptionnels, Judik est initié au Grand secret. Il peut maintenant communiquer avec la terre, les esprits, les arbres anciens et s’élever dans une totale plénitude au sein d’une vallée cachée, cernée par le chaos. Sur fond de guerre de Vietnam et de guerre froide, il connaît une deuxième naissance, participe aux efforts de survie de ce peuple qui l’a adopté, puis devient chaman itinérant. Sa mission : sensibiliser les hommes aux croyances qui sont désormais les siennes. Deborah, une journaliste américaine intrépide et séduisante, décide de suivre l’aventurier solitaire. Sans nouvelles de son amie Claire Dulac, une amie, brillante anthropologue, portée disparue à Bornéo, Judik, se lance sur ses traces, s’enfonce dans les profondeurs d’une forêt vierge où aucun Occidental n’a jamais pénétré et s’engage aux côtés des Penan en voie d’extinction. Accusé d’être un dangereux fauteur de troubles, Judik est activement recherché par les services secrets de puissances mondiales… 

 

 

L’auteur : Chaman dans A et B bertolino_catalis

 

Jean Bertolino, ancien élève de l’École supérieure de journalisme de Paris (promotion 1959-1961), grand reporter, correspondant de guerre, il travaille pour La Croix, Le Monde, Le Figaro et plusieurs quotidiens de province.

Il devient en 1987 responsable du service des grands reportages à TF1, alors chaîne publique avec laquelle il collabore depuis 1983. A partir de 1988, il est producteur de l’Unité de Programmes de grands reportages 52 sur la Une, magazine dont le dernier numéro sera présenté en juin 2001.

Il est également l’auteur de nombreux  romans.

 

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A la recherche de Bridey Murphy

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2011

 

Titre 

 

 

A la recherche de Bridey Murphy  

 

Auteur

 

 

Morey Bernstein  

 

A la recherche de Bridey Murphy  

 

 

A La Recherche De Bridey Murphy de Bernstein Morey - Livre

De quoi ça parle :  

Ce livre n’est pas un roman, mais une histoire vraie. Le témoignage déroutant d’un homme d’affaires, Morey Bernstein, qui, après avoir assisté à un spectacle d’hypnose, décide de s’initier à son tour à ce mystérieux domaine. On y apprend donc ses expériences, de son scepticisme initial à sa première séance avec sa femme, puis à celle, plus étonnante, avec Virginia Tighe (appelée Ruth Simmons, par soucis d’anonymat dans le texte, mais on connait depuis son véritable nom). 

 

Au cours d’une séance d’hypnotisme, l’auteur parvient à faire entrer la jeune femme dans une transe profonde et s’adonne à la classique régression d’âge – qui consiste à suggérer au sujet un recul dans le temps – et parvient à lui faire se remémorer des souvenirs de sa petite enfance. Voulant tester les limites de l’hypnose, Morey Bernstein amène son sujet à l’âge de cinq ans, puis trois, puis deux, puis un an… Puis il tente de remonter le temps encore plus loin. Là, Virginia se met à parler avec un fort accent irlandais et prétend s’appeler Bridey Murphy, née en 1898 à Cork, en Irlande… 

 

L’auteur retranscrit alors les six séances auxquelles il a participé, en compagnie de la jeune femme, soigneusement enregistrées sur bandes. Se pose alors une foule de questions. Virginia Tighe est-elle la réincarnation de Bridey Murphy, comme elle le prétend, ou est-elle un imposteur ? 

 

D’un côté, des recherches en Irlande tendent à prouver que les éléments – assez vagues cependant – décrits par « Bridey » ont effectivement existé à cette époque, mais d’un autre côté, le journal Chicago american a découvert une Bridie Murphey Corkell qui avait habité en face de la maison où Virginia Tighe avait grandi. Alors réincarnation ou imagination ? Chacun se fera son opinion. 

 

Quoi qu’il en soit, ce documentaire papier ne laisse pas indifférent, ne serait-ce qu’à propos de l’hypnose et du mystère encore entier de l’esprit humain, de son conscient et de son subconscient, de la mémoire, des souvenirs, et certains diront, de l’âme… 

 

  

L’auteur :      

Bridey Murphy est le nom d’une femme que des États-Unis ménagère Virginia Tighe (27 avril 1923 – Juillet 12, 1995) ont affirmé avoir été dans sa vie précédente

 

Les «faits» liés par Bridey n’ont pas été pleinement vérifiée avant la publication du livre de Bernstein La recherche de Bridey Murphy . Cependant, une fois que le livre est devenu un best-seller, presque tous les détails ont été minutieusement contrôlés par des journalistes qui ont été envoyés à l’Irlande pour retrouver le fond de la femme insaisissable.  C’est alors que les premiers doutes sur sa «réincarnation» ont commencé à apparaître.  Bridey a donné sa date de naissance comme 20 Décembre 1798, à Cork, et l’année de sa mort en 1864.  Il n’y avait aucune trace de tous les cas. Il n’y avait pas de documents d’une maison en bois, appelé The Meadows, dans lequel elle a dit qu’elle a vécu, tout d’un lieu de ce nom au bord de Cork.En effet, la plupart des maisons en Irlande ont été faites de brique ou de pierre. Elle prononça le nom de son mari comme «Voir-un », mais Sean est généralement prononcé «Shawn» en Irlande. Brian, qui est ce Bridey a préféré appeler son mari, était aussi le prénom de l’homme à qui Virginia Tighe était mariée

 

 

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La sociologie des organisations

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2011

 

Titre 

 

 

La sociologie des organisations 

 

Auteur

 

 

Philippe BERNOUX 

 

La sociologie des organisations   

 

La Sociologie des organisations

De quoi ça parle :  

 La sociologie des organisations connaît un succès grandissant. Le dynamisme d’une entreprise ou d’une administration dépend en grande partie des principes d’organisation mis en oeuvre. Ce qui explique la prospérité des cabinets-conseils qui analysent les dysfonctionnements dans la communication et la gestion des rapports d’autorité entre les salariés. 

Dans cette initiation aux théories de l’organisation, Philippe Bernoux retient l’approche stratégique comme étant la plus féconde pour son objet d’études. « Les comportements sociaux sont le fait d’acteurs agissant intentionnellement en vue de fins choisies par eux en appliquant des stratégies pour les atteindre. » Ainsi, chacun cherchera à accroître sa marge d’autonomie en profitant des zones d’incertitudes, car aucune organisation ne peut définir exactement les fonctions que doivent exercer ses membres. 

L’intérêt du livre réside également dans les études de cas concrets que l’auteur a soumis à des étudiants mais aussi à des cadres et des syndicalistes. Ils permettent au lecteur d’appliquer les concepts théoriques et de se familiariser avec une branche de la sociologie parfois hermétique. –Gery Dumoulin 

 

Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie :

 

  • Un regroupement d’humains qui coordonnent leurs activités pour atteindre certains buts. L’organisation est alors envisagée comme une réponse au problème de l’action collective, de sa coordination et de sa stabilisation.

  • Les diverses façons par lesquelles ces groupements structurent les moyens dont ils disposent pour parvenir à leurs fins.

  • L’action d’organiser, ou encore le processus qui engendre les groupements ou les structures organisationnelles.

 

  

L’auteur :    La sociologie des organisations dans A et B

 

Philippe Bernoux est sociologue, Docteur d’État, Directeur Honoraire de Recherches au CNRS

 

Enseignant-chercheur en sociologie, il a mené de nombreuses recherches dans les entreprises, sur leur création, leur organisation, leur fonctionnement et l’effet des nouvelles technologies. Il est le fondateur du GLYSI (Groupe lyonnais de sociologie industrielle, CNRS-université de Lyon II devenu aujourd’hui le MODYS) qu’il a dirigé pendant douze ans. Il a enseigné dans une école d’ingénieurs (INSA de Lyon), à l’université, dans des centres de formation continue (CNAM-IESTO) et dans de nombreuses entreprises. 

Il travaille actuellement sur le changement dans les entreprises et en particulier sur les fusions acquisitions. 

 

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Comprendre le Bouddhisme

Posté par othoharmonie le 15 janvier 2011

Titre

POUR COMPRENDRE LE BOUDDHISME – UNE INITIATION A TRAVERS LES TEXTES ESSENTIELS 

Auteur

Bercholz et 

Kohn Chödzin  

Sherab Samuel 

 

 

                         POUR COMPRENDRE LE BOUDDHISME 

 

             UNE INITIATION A TRAVERS LES TEXTES ESSENTIELS 

 

Pour comprendre le bouddhisme

Traduit par Michèle Garène, Basile Lagides, Bernard Seytre 

Préface de Bernardo Bertolucci 

 

 

Il y a deux mille cinq cents ans, un prince renonce au monde, il découvre le secret de la fin de toutes les souffrances et devient le Bouddha. 

 

Depuis, des millions d’hommes ont suivi son enseignement, et pourtant, que savons-nous vraiment du fondateur du bouddhisme, un des grands guides de l’humanité, et de la foi qu’il a inspirée ? 

 

Ce livre rappelle l’étonnante aventure du Bouddha et l’histoire du bouddhisme ; il en illustre les grandes idées par des textes souvent bouleversants, explique les mots clefs, fournit les références indispensables. 

 

Pour comprendre le bouddhisme, sans la moindre exclusive, donne la parole à toutes les tendances ; Petit Véhicule, Grand Véhicule, Tantrisme tibétain, Zen… on trouvera ici aussi bien les paroles du Bouddha que les textes de maîtres contemporains. 

 

Ce livre d’initiation est né d’un souhait de Bernardo Bertolucci, à l’occasion de la sortie mondiale de Little Buddha. Le cinéaste voulait offrir au grand public une voie d’accès au sens profond de son film, et expliquer tout ce qu’il avoue n’avoir pu dire par les seules images. Ainsi, dans ce livre, chacun pourra découvrir le message bouddhique, dans toute sa grandeur et sa simplicité. 

 

 

Le film :  LITTLE BOUDDHA sorti en 1993 de Bernardo Bertolucci

Photo : Comprendre le Bouddhisme dans A et B Bernardo-Bertolucci

Synopsis

Jesse Conrad, neuf ans, vit à Seattle avec un père ingénieur, Dean, et une mère enseignante, Lisa. Un jour, ils reçoivent la visite surprise d’une délégation de moines bouddhistes venue du royaume himalayen du Bhoutan sous la conduite du lama Norbu et de son adjoint Champa. Les moines sont persuadés que Jesse pourrait être la réincarnation d’un de leurs plus éminents chefs spirituels. Ils lui offrent alors un livre narrant la vie de Siddhartha, et ce, en attendant sa visite dans l’Himalaya.

 

Commentaire

On peut partager le film en deux. D’un coté l’histoire de Jesse, un petit américain supposé être la réincarnation d’un grand lama et de l’autre, l’histoire du prince Siddhartha qui deviendra le futur bouddha.

 

VIDEO de Little Bouddha :  Image de prévisualisation YouTube

 

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L’atlantide

Posté par othoharmonie le 15 janvier 2011

Titre

L’ATLANTIDE 

Auteur

Pierre  BENOIT 

 

                                                    L’ATLANTIDE 

L'Atlantide

De quoi ça parle

Deux officiers français, le lieutenant de Saint-Avit et le capitaine Morhange, se retrouvent captifs d’un royaume inconnu au cœur du Sahara algérien, dirigé par la mystérieuse reine Antinéa, qui serait la descendante de Neptune. Le roman oscille entre la légende et la réalité.

 

Pierre Benoit ménage une surprise de taille à son lecteur : alors que la première apparition d’Antinéa la présente comme un personnage surhumain (au point de connaître par cœur des horaires de chemin de fer en France), celui-ci va découvrir peu à peu qu’elle n’est pas fille d’une princesse atlante, mais d’une demi-mondaine parisienne, puis un peu plus tard que son père n’est autre qu’un prince russe en exil, le mariage de celle-ci avec le roi atlante ayant eu lieu alors qu’elle était déjà enceinte. Ces informations découvertes peu à peu par le lieutenant de Saint-Avit ne diminueront en rien sa passion violente pour la jeune femme, qui ira jusqu’au meurtre.

 

Saint-Avit, soupçonné d’être le meurtrier du capitaine Morhange vient d’être nommé commandant du poste de Hassi-Inifel où il rencontre un ancien camarade de promotion : le lieutenant Ferrières.  


Jour après jour, celui-ci se verra dévoiler par André de Saint-Avit le récit de l’incroyable exploration au cours de laquelle le camarade du commandant du poste a trouvé la mort. Il écoutera la merveilleuse histoire de la descendante des rois de l’Atlantide, perdue au milieu du Hoggar (partie terrifiante du désert du Sahara), dans un lugubre palais, entouré d’une oasis. Cette princesse des temps anciens, l’incroyable Antinéa, attire les hommes au sein de son royaume et leur donne, de manière indirecte, la mort, afin de venger toutes les femmes humiliées.  


Mort et passion se trouvent comme toujours intimement liées, dans un récit plein de péripéties, de savoirs, et de philosophie.  

 

 

Le plus

 

L’écrivain catholique Louis Chaigne analysera en 1936 les raisons de l’engouement du public pour ce roman colonial par la conjoncture historique dans laquelle il a paru :

 

« L’Atlantide est le livre que beaucoup attendaient pour sortir du cauchemar des terribles années vécues dans la boue et sous les obus et pour s’appuyer avec douceur sur des jours plus sereins. »

Soutenu activement par Maurice Barrès, le livre de Pierre Benoit reçoit le Grand Prix du roman de l’Académie française pour 1919.

 

 

 

L’auteur :    L'atlantide dans A et B arton10812

Pierre Benoit est né en 1886 à Albi. Fils d’officier, il vit en Tunisie et en Algérie de 1892 à 1907. Il décroche en 1910 un diplôme de droit et de lettre et, la même année, obtient un emploi de rédacteur au ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts. Il se tourne vers la poésie avant de publier Koenigsmark (1918), son premier roman, avec beaucoup de succès. Puis il écrit l’Atlantide en 1919, qui reçoit le Grand Prix du Roman de l’Académie Française. Ce roman est immédiatement encensé par le public, les critiques, et les autres auteurs. Cette réussite est trop brutale selon certains, qui l’accusent de plagia sur She de Henry Rider. Mais Pierre Benoit prouva la médisance de ces rumeurs par un article, comment j’ai écrit l’Atlantide en 1920 dans « l’Echo de Paris« .  


La passion des voyages que l’on retrouve dans l’Atlantide le pousse à accepter un poste de journaliste (pour « Le Journal », « L’Intransigeant », et « France-soir ») dont les reportages le mènent dans divers pays du monde entier. On peut noter ceux qui l’inspireront au point d’y consacrer des romans : l’Orient (en général), les Nouvelles-Hébrides, les Antilles, l’Inde, l’Afrique ou le Japon. Il est élu en 1931 à l’Académie Française. La mort survint en 1962 à Ciboure.  

 

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