Les sept lois spirituelles

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2011

 

gifs coccinellesPourquoi avons-nous besoin de tels principes ? 

Pourquoi ne pas enseigner simplement à nos enfants d’aimer et d’être bons ? 

 

La réponse est qu’à travers les Sept Lois spirituelles une personne entre en contact avec les mécanismes de la nature. 

 

Lorsque vous alignez consciemment votre vie sur une loi spirituelle, vous en appelez à l’univers, qui vous soutient par le succès et l’abondance. Là se trouve la clé qui vous permettra de prendre conscience de votre Être propre et d’exploiter sa puissance infinie. Plus vite on apprend à vivre sans effort, de la manière la plus harmonieuse et la plus créative qui soit, plus on a de chances de rencontrer le succès à chaque étape de la vie. C’est ce que nous devons transmettre à nos enfants, et, si nous pouvons le faire, rien ne nous procure autant de joie et de fierté. 

 

Toutes les traditions spirituelles renferment quelque version de ces sept lois, mais c’est de l’ancienne tradition védique – qui les a formulées voici plus de cinq mille ans en Inde – qu’elles émergent dans leur forme la plus pure. Les Sept Lois spirituelles obéissent à une seule et même conception, que voici : Tout être humain possède un corps, un intellect et un esprit. De ces trois entités, c’est l’esprit qui prédomine, car il nous relie à la source de toute chose, au champ éternel de la conscience. Plus le lien est fort, plus nous jouirons de l’abondance de l’univers, qui a été organisé pour combler nos envies et nos désirs. Nous ne souffrons et ne luttons que lorsque le lien est défait. L’intention divine est que chaque être humain connaisse un succès sans limite. Le succès est donc suprêmement naturel. 

 

PREMIÈRE LOI : 

La Loi de la Pure Potentialité. 

La source de toute création est conscience pure… pure potentialité qui cherche à s’exprimer du non-manifesté dans le manifesté. 

DEUXIÈME LOI

La Loi du Don. 

Par la volonté de donner ce que nous recherchons, nous faisons circuler dans nos vies l’abondance de l’univers. 

TROISIÈME LOI

La Loi du Karma. 

Lorsque nous accomplissons des actes qui apportent le bonheur et le succès aux autres, le fruit de notre karma est le bonheur et le succès.

 

 QUATRIÈME LOI

La Loi du Moindre Effort. 

L’intelligence de la nature fonctionne sans effort… dans l’insouciance, l’harmonie et l’amour. Quand nous tirons parti de ces forces, nous créons le succès avec la même facilité. 

CINQUIÈME LOI

La Loi de l’Intention et du Désir. 

Chaque intention, chaque désir, renferme en soi le mécanisme de sa réalisation… dans le champ de la pure potentialité, l’intention et le désir ont un pouvoir d’organisation infini. 

SIXIÈME LOI

La Loi du Détachement. 

Dans notre désir de pénétrer dans l’inconnu, dans le champ de tous les possibles, nous nous abandonnons à l’esprit créatif, au chorégraphe de la danse de l’univers. 

SEPTIÈME LOI

La Loi du Dharma. 

Lorsque que nous mettons au service des autres ce talent unique qui est le nôtre, nous connaissons l’extase et l’exultation de notre propre esprit, le but ultime de tous les buts. 

 

Peu importe que l’on parle ici de « lois » ou de « principes ». Ce sont des lois, dans la mesure où elles gouvernent le déploiement de l’esprit qui passe du monde invisible de l’âme au monde visible de la matière. Ce sont des principes, dans la mesure où nous pouvons les adopter et les appliquer comme nous appliquerions le principe de dire la vérité ou d’être loyal. 

 

Source: www.lespasseurs.com

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REALISATION DE SOI

Posté par othoharmonie le 13 septembre 2011

PILGRIM sagesse antique pour se réaliser : http://www.realisation-de-soi.fr/2.cfm?p=199-realisation-soi 

QUELQUES DEFINITIONS

 Nous devons en préambule nous accorder sur le sens que nous donnerons à quelques mots. Chacun de nous a en effet, selon ses auteurs de référence (Freud, Jung, Guénon…) son propre registre et ses propres définitions pour des mots tels que « moi », « soi », « personnalité »… il s’agit de s’accorder sur le sens que nous donnerons à ces mots. 

Le mot « PILGRIM » signifie « pèlerin » en anglais. Ici, il signifie surtout : « Processus Illustré dans les LéGendes, les RItes et les Mythes ». 

REALISATION DE SOI  dans Chemin spirituel 21118817_1Parmi ces termes, le mot « processus » peut surprendre ou choquer. J’ai souvent essuyé le refus de la simple idée que la réalisation de soi puisse passer par une « recette ». Que l’on n’aille pas une seule seconde déduire du mot « processus » qu’il pourrait s’agir d’une recette, d’un chemin obligatoire et unique. D’une part vous verrez dans ce site que la succession de huit symboles trouvée dans les mythes de tous les continents peut s’exprimer de mille manières. D’autre part, vous constaterez que l’un de ces symboles contient précisément l’idée de voyage, de quête de soi, de libération et même la possibilité d’égarement. Vous conviendrez dès lors qu’un « processus » qui incite à faire son propre chemin, à être soi-même au risque de s’égarer, n’a pas une nature contraignante mais plutôt libératoire. Suivre ce processus ne peut se concevoir que par une démarche résolument personnelle. 

Puisqu’il s’agit d’un processus de réalisation, évoquons maintenant le terme « réalisation ». Le terme « réalisation » provient de la racine de l’ancien français « real », qui signifie « réel », venue elle-même du latin res, la chose. Francisé au XIV° siècle en « roial », il n’a pas pu se maintenir face au terme équivoque « royal ». Ce dernier provient de rex, regis : le roi, lui-même lié à regimen : le gouvernement, la direction. La similarité des deux racines de « réel » et « royal » atteint un tel point que dans certaines langues latines ils sont désignés par le même mot : « real ». Nous adopterons volontairement cette ambiguïté, qui n’est peut-être pas si innocente : elle fait partie des clins d’œil convenus de certaines philosophies et du vocabulaire usuel en la matière, selon l’usage que l’on appelle « la langue des oiseaux ». Se réaliser, c’est être le roi de son propre territoire –de sa « réalité » ou de son « royaume ». Autrement dit, chacun de nous vit dans un monde que les autres ne peuvent pas connaître et qui est SA réalité. Dans cette réalité, chacun, pour se « réaliser », doit « régner » (c’est-à-dire en être le roi). Qu’entendons-nous par « régner » ? Cela signifie, tout simplement, mettre le Soi (j’entends pas là : le noyau de l’être) sur le trône du pouvoir. Cela implique éventuellement de chasser de ce trône des usurpateurs, des imposteurs qui auraient pris le pouvoir. 

Une telle définition de la « réalisation » amène à distinguer le « soi » de la « personnalité ». Nous entendrons « personnalité » au sens dérivé du mot latin persona, qui désigne le masque porté par les acteurs de tragédie grecque. La personnalité n’est donc pas l’être lui-même mais ce qui le dissimule, ce dont il s’est recouvert du fait du rôle qu’il joue dans le monde extérieur. La personnalité, comprise au sens de masque et de résultante d’influences extérieures, n’existe pas par l’être lui-même mais par son interaction avec ceux qui l’entourent –pourquoi, en effet, revêtir le masque de la tragédie si l’on n’a pas de spectateurs ? 

Cette définition amène donc à une conception de la réalisation centrée sur soi-même. Cela peut venir totalement à l’encontre d’approches modernes telles que la fameuse « Pyramide de Maslow », outil matérialiste s’il en fut, qui situe l’accomplissement personnel au sommet de la hiérarchie des valeurs matérielles, comme si l’on commençait à se soucier de sa réalisation spirituelle une fois sa carrière réussie et le portefeuille garni : demandez aux grands sages s’ils ont éprouvé le besoin de se réaliser une fois seulement leurs crédits remboursés. Que l’on ne se méprenne donc pas sur le propos de cette méthode, la réalisation qu’elle propose n’est pas une réalisation aux yeux des autres. Nous devons au contraire avertir formellement le lecteur : cette réalisation, voulue par lui seul, peut l’amener à aller dans la direction opposée à ce qu’attend de lui son entourage, une option qu’il exercera du fait de sa seule volonté et sous sa responsabilité pleine et entière. Car cet entourage, qui inclut évidemment les individus qui exercent sur lui une autorité acceptée –les parents, le conjoint, l’employeur, les amis- constitue par définition une partie des « usurpateurs » qui exercent le pouvoir, qui occupent le trône de la volonté. Le processus que nous avons identifié dans le plus vieux livre de la Chine et que nous avons retrouvé dans plus d’une vingtaine de mythes, de légendes et de rites sur toute la planète, n’admet pour l’individu aucun autre maître que lui-même –mais encore faut-il que cet individu ait fait le ménage en lui, car les ennemis les plus redoutables sont intérieurs. 

krishnamurti dans Chemin spirituelC’est donc une démarche qui peut secouer et amener un changement profond. Rien d’étonnant à cela, puisqu’elle est issue de la Tradition transmise par les mythes de réalisation. Relisez le Tao Te King, que vous auriez pu, comme la plupart des gens, acheter pour ses illustrations puis ranger soigneusement dans votre bibliothèque sans vraiment l’ouvrir : vous y trouverez un message radical et des incitations que l’on pourrait qualifier d’anarchistes. Que l’on ne s’y trompe pas, l’objet d’un tel ouvrage n’est pas la révolution du monde extérieur, il s’agit de la reconquête du territoire intérieur. 

Les termes choisis pour désigner les récits : « légendes » et « mythes » doivent également être explicités. « Légendes » et « mythes » reçoivent diverses définitions selon les spécialistes. Le « mythe » est souvent associé à une transmission orale –mais pas toujours- alors que la « légende », étymologiquement, est « ce qui doit être lu ». Selon Hélène Clastres, du Centre d’Etudes des Langues Indigènes du CNRS, le mythe « pense la société dans son essence, dans ses fondements » alors que les légendes s’inscrivent « dans les accidents de son histoire, d’une histoire venue du dehors ». Dans tous les cas, malheureusement, le dictionnaire Larousse les présente comme des récits influencés par l’imagination, ce que je regrette car ce mot, à mon sens, ramène le langage symbolique à l’idée de fantaisie dépourvue de sens, alors qu’il nous relie à la réalité intelligible. Il faut entendre « imagination » dans son sens fondamental : la formation d’images. Peu importe, car l’objet principal de ce site n’est pas seulement les mythes et les légendes mais, de manière plus générale, les histoires anciennes, qu’elles procèdent de l’écrit, de l’image ou de l’oral, mais pourquoi pas aussi du geste. Ainsi, le PILGRIM pourrait très bien être trouvé dans une danse traditionnelle, dans une forme d’art martial, dans une pièce de théâtre sacré comme il a pu être trouvé dans des textes, des récits oraux ou un jeu de cartes. Que l’on ne soit pas choqué de me voir classer la Genèse ou l’Evangile de Jean parmi les mythes et les légendes : s’il est évident que l’on ne doive pas prendre ces deux termes au sens réducteur d’ « histoires sorties de l’imaginaire », il faut au contraire leur donner leur pleine dimension d’héritage collectif, de récits dotés de sens, d’éternels présents. 

L’auteur : Jean-Louis Brun, si cela vous intéresse alors rejoignez son site :

http://www.realisation-de-soi.fr/2.cfm?p=199-realisation-soi 

 Voir l’accueil : http://www.realisation-de-soi.fr/6.cfm?p=10-lux-orientalis-initiation-legendes-mythes-accueil

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La Persévérance

Posté par othoharmonie le 13 septembre 2011

 

La Persévérance dans Chemin spirituel def-thumbPersévérance & réalisation de soi

 

 Psychothérapeute, auteure et formatrice, Marie Lise Labonté a vaincu une maladie dite incurable par un processus d’auto-guérison. La persévérance fut sa fidèle compagne sur le chemin qui la mena au plus profond d’elle-même. Analyse… 

 

Intégralité de l’interview par J.C Genel qui se trouve ICI ….. http://www.gproductions.fr/presse_detail.php?id_art=8 

 

  

Quelle serait ta définition de cette valeur ? 

 

La persévérance vient d’un état intérieur que j’appelle le « Je sais ! » Cet état fait que, face à des événements de la vie et à des choix essentiels, on a l’impression qu’il est possible d’accomplir de grandes choses en maintenant toujours une présence à cette sensation du  » Je sais !  » (je sais que c’est ça ma voie, que c’est ça, mon expérience). Trop de gens sont conditionnés par des croyances, des fausses valeurs et des schémas de vie stéréotypés. Ils sont alors dans un volontarisme qu’ils confondent avec la persévérance. Je rencontre beaucoup de ces gens malades qui avaient persévéré dans ce genre de démarche et s’étaient abîmés à la tâche. 

 

Pour toi, la persévérance est donc reliée à la foi. 

 

Oui, elle est reliée à cette foi qui n’est pas alimentée par un système de croyances extérieures. Croire en Dieu est une chose, vivre l’expérience de Dieu en est une autre. Cet état intuitif très profond génère, malgré des expériences difficiles ou en contact avec ses élans très profonds et ses rêves, la certitude que cela va s’accomplir. Il faut simplement se maintenir dans un état de persévérance et non s’acharner à contre courant de sa vie ou de son destin. 

 

Conclusion de Jean-Claude Genel 

 

La persévérance est essentielle dans toute démarche d’accomplissement. Elle permet la consolidation du but poursuivi et nous entraîne vers la réalisation de ce que nous nous sommes fixés. La motivation nous met en mouvement, l’honnêteté détermine la qualité de notre action, le courage nous propulse et la persévérance nous permet de perpétuer l’intention et de garder le cap. Elle est active tant que nous restons centrés sur nos ressources. Elle s’évanouit si nous donnons la préférence à l’entêtement de l’ego ou au fanatisme intolérant. Elle est le lien subtil entre l’énergie du commencement et le but à atteindre. C’est ainsi que notre parcours, même semé d’obstacles, reste éclairé, la persévérance agissant comme une lumière dans la nuit. Cette valeur, septième facette du joyau de l’amour inconditionnel, nous fait progresser en  » terrain connu « . En effet, elle nous maintient connectés au « guide intérieur » ou à la « petite voix  » qui nous montre les solutions à mesure qu’en nous-mêmes, nous les acceptons 

 

 Issu du site : http://www.gproductions.fr 

 

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L’autoguérison

Posté par othoharmonie le 4 août 2011

 

L’autoguérison  dans Chemin spirituel image_033Les gens demandent souvent s’il est possible d’employer nos énergies pour se guérir soi-même. Bien sûr! 

 

L’autoguérison est très simple. Presque trop. Tout comme la guérison à distance, plus vous essayez de la compliquer, moins elle est efficace. 

 

Vous savez désormais ce qu’est la sensation de l’énergie qui parcourt votre corps. Trouvez-vous un endroit confortable, peut-être un lit ou une chaise à dossier réglable. Soyez conscient du fait que votre intention est d’accéder à l’énergie pour des raisons d’autoguérison. 

 

Ouvrez-vous à l’énergie et attendez de la ressentir dans vos mains. L’énergie apparaît en effet lorsque vous lui accordez votre attention et augmente en intensité si vous maintenez votre attention sur elle. Remarquez donc comment elle s’intensifie, sans essayer de la forcer. Contentez-vous de l’observer. Plus elle s’intensifie, plus vous la remarquez. Et plus vous la remarquez, plus elle s’intensifie. 

 

Prenez aussi conscience du fait que, en s’amplifiant, la sensation prend de l’expansion. Observez d’autres zones de votre corps, comme vos bras, et attendez que la sensation s’y rende, ce qu’elle ne tardera pas à faire. Puis, reportez votre attention dans vos pieds et observez la sensation s’y activer. Vous la sentirez ensuite monter dans vos jambes. Lorsque l’énergie s’est répandue dans tout votre corps, vous commencez à vibrer à une fréquence plus élevée. L’énergie devient par la suite si forte qu’elle se met à freiner les sons et les pensées distrayantes. En fait, elle prend totalement possession de vous et de plus en plus d’expansion. Observez tout cela. 

 

Permettez-vous ici de glisser entre vos pensées. Vous n’êtes plus dans le monde de la pensée consciente. Cela étant, si vousimage004 dans Travail sur soi ! êtes en train de vous répéter: « Je suis en train de guérir. Je suis en train de guérir. Je suis en train de guérir », je vais vous décevoir en vous disant que vous ne l’êtes pas. Laissez aller vos pensées. 

 

Soudainement, vous ne remarquez plus rien, parce que vous êtes dans un vide interstitiel. Il se peut que vous ne vous en rendiez compte qu’une fois que vous en sortirez, soit cinq minutes, vingt minutes ou une heure et demie plus tard. Ou bien, si vous décidez de pratiquer l’autoguérison tard le soir, il se peut que vous n’en sortiez que le lendemain matin. Lorsque le moment sera venu pour vous de sortir de ce vide, vous réaliserez alors où vous étiez. C’est tout et c’est aussi simple que ça. 

 

Une fois sorti de ce vide, laissez aller, sachez que la guérison voulue s’est effectuée et n’essayez pas d’y revenir. Pourquoi? Parce que, le cas échéant, vous renforcez chez vous la croyance que vous n’en avez pas eu assez la première fois. Par conséquent, laissez aller et n’y revenez pas. Il y a ainsi confirmation dans votre essence que la guérison est complète. Votre intention était la prière. L’énergie était le messager. Votre lâcher-prise à ne pas vouloir y revenir était votre façon de dire merci et d’accepter. 

 

 

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Source : http://www.eveildelaconscience.ca/pearl125243.htm 

extrait du livre d'Eric Pearl sur la Reconnexion

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Association

Posté par othoharmonie le 31 juillet 2011

Association « Eric, la voie intérieure » 

 

 

Association dans Chemin spirituel 024-couv2_prdLa vocation de l’association Eric « la voie intérieure«  c’est d’aider les familles en deuil, par une partie des revenus des stages divers qu’elle propose.  

 Elle permet à la fois, la mise en place des stages, mais aussi et surtout,  elle récupère quelques fonds qui seront autant de dons pour des œuvres d’entraide.

Donc, vous l’avez bien compris. Adhérer à l’association, c’est vous permettre d’avoir accès à des stages à des prix très accessibles.

L’Association programme ces stages, surtout dans le Var, à Hyères, ou à Saint Maximim. Elle aide donc, les parents endeuillés dans leur demande, ainsi que d’autres organisations dans le même but.

Entre l’association et les stages, un bulletin trimestriel fait le lien. Il y est mentionné des rubriques, des poèmes, des témoignages, et cela, afin de susciter l’espérance, la foi, l’éveil de notre conscience. Le lien, sera lu dans ce site partagé.

3D1 dans Entre amis     DES CONTACTS : 

Association Eric « la voie intérieure »
chez Mme Ghislaine CORRAZE
128 Traverse des Figuiers
83260 LA CRAU
 

Mail : ass.eric.lavoieinterieure@wanadoo.fr 

Association C.D.A.E. 
chez Mr Thierry Ventre 
8 bis rue du docteur Ayasse
Le Piolit entrée 3
05000 GAP

Mail : Thierry.ventre@neuf.fr 

 

POUR vous procurer le LIVRE de mon amie Ghislaine, c’est ici : http://ericlavoieinterieure.monsite-orange.fr/ 

eric-la-voie-interieur13 dans Guérir en douceur

 

Drag and drop me

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Vers les droits de l’âme

Posté par othoharmonie le 22 juillet 2011

VERS LES DROITS DE L’AME 

 (paru dans L’Initiation – janv./fév. 2006) 

par Jean-Claude Genel


Vers les droits de l’âme dans Chemin spirituel voyage-spirituel-etes-alle-australie_22254L’époque que nous traversons donne l’impression d’une perte grandissante des repères. L’indice le plus évident est la violence qui crée un fort sentiment d’insécurité et d’impuissance. N’est-ce pas l’occasion d’opérer un retour vers les valeurs de l’âme ? 

 

Les 12 valeurs de l’âme

Les valeurs sont pour moi les fondements de notre existence. Elles structurent notre mission de vie et nous épanouissent pleinement quand nous les exprimons à travers notre raison d’être. Elles échappent à tout phénomène de mode et répondent à ce désir d’amorcer une authentique réconciliation avec notre nature profonde. Parmi les centaines de valeurs auxquelles nous pouvons faire appel, il m’est apparu intéressant d’en définir douze principales. Je distingue les valeurs de l’approche du cœur : courage, honnêteté, tolérance, justice, tempérance, obéissance et persévérance. Elles ont une évidente correspondance avec les sept principaux chakras. Elles participent à la dynamique de la connaissance de soi et de notre place dans la création. Puis nous trouvons les valeurs du coeur mystique : humilité, simplicité, patience, confiance et compassion. Elles nous ancrent dans la puissance de notre âme. 

 

Drag and drop meReprendre la maîtrise de sa vie

Voici quelques années, quand je présentais les valeurs comme des forces dynamiques de recentrage, les gens faisaient de la résistance, quand ils ne s’opposaient pas catégoriquement. Quand je parlais valeurs, ils entendaient vertus avec leurs schémas religieux deux fois millénaires. De plus, dans le contexte d’un retour d’une conscience plus mystique, les valeurs n’étaient pas assez new-age ! Aujourd’hui, c’est au prix d’un effort de raisonnement pour ne pas succomber aux engrammes du catholicisme qu’ils peuvent comprendre et adhérer. Les religions en sont devenues les seules gardiennes et avec leur lente agonie, il devient urgent de sauver ce trésor qu’elles ont confisqué. Comme les braises sous la cendre, les valeurs attendent le moindre souffle de conscience pour embraser l’être tout entier. Et même si notre aliénation a encore de beaux jours devant elle, une nouvelle exigence naît dans le coeur des hommes qui les décide à vouloir reprendre la maîtrise de leur vie. Celle-ci passe par une nouvelle façon de penser et non par un nouveau modèle de pensée. En nous orientant naturellement vers l’intérieur de nous-mêmes, nous pouvons construire notre vie autrement et la simplifier. Nous donner une direction capable de réveiller nos énergies endormies et de les réaliser, là est le véritable sens des valeurs. 

 

Drag and drop meEn quête de soi-même

Les valeurs, quant à elles, représentent le sommet que nous devons atteindre pour vivre en parfait accord avec nous-mêmes. Elles apportent la lucidité dans tout ce que nous vivons intérieurement et extérieurement. Elles sont le moyen de nous réaliser. Qui que nous soyons, elles nous éveillent à une disposition intérieure, nous confèrent une capacité innée à saisir le «divin» qui nous conduit à une intelligence supérieure. Cette intelligence libérée du poids des sentiments nous motive à nous dépasser en toute circonstance. Elle renouvelle l’exigence d’aller toujours plus loin dans la reconnaissance de notre divinité et l’expression de nos talents. De ce point de vue, travailler sur soi de façon régulière sinon permanente, devient une discipline naturelle. L’évolution et la transformation qui en résultent viennent renforcer la nécessité d’une autre considération de soi. La vie ordinaire ne nous attire plus, nous prenons conscience du vide et de l’absence de direction qu’elle nous a laissé pendant une bonne partie de l’existence. 

 

Drag and drop meLes droits de l’âme

Savez-vous ce que votre âme est venue vivre ici-bas ? Si vous le saviez précisément, comment agiriez-vous dans votre existence ? En développant notre sensibilité aux valeurs de l’âme, il devient plus facile de vivre en accord avec notre vraie nature. A travers des activités spécifiques, comme celles de L’école, je vous offre des pistes de réflexion, des outils pratiques pour répondre au mieux aux appels de votre âme, à votre désir de plénitude au coeur de la vie quotidienne. Observer quelques règles simples dans la conduite de votre incarnation permettra de répondre à ce que votre âme attend de vous. Vous découvrirez comment accueillir et donner force au «souffle divin» en vous pour rejoindre l’expérience spirituelle et vous y épanouir pleinement. Revenir à soi et obéir à ses valeurs profondes, rencontrer son maître intérieur et répondre en conscience aux droits de l’âme, tels sont les objectifs de ce programme 2006 de L’école qui vous permet de les atteindre concrètement pour favoriser l’émergence de la nouvelle conscience. 

 

beaucoup ressentent le besoin d’opérer de nouveaux choix de vie. Cela se traduit depuis une trentaine d’années par un retour du sacré et de la spiritualité. Nous avons tellement besoin de nous connaître ! C’est pourquoi de plus en plus de personnes s’impliquent dans les activités d’éveil, de développement personnel et de mieux-être. Pourtant, malgré la forte croissance de l’offre et sa diversité, beaucoup ressentent une insatisfaction. Il manque une direction et un plan pour se reconnecter à notre vie intérieure, plus secrète, faite de convictions intimes. Notre moi profond véhicule des valeurs qui lui permettent de jouer le rôle d’un architecte d’intérieur. Si nous le laissons agir correctement, il nous offre un vrai confort de vie et comble notre besoin de sécurité. Avec lui et ses valeurs de référence, notre intérieur devient harmonieusement habitable.

voyage-spirituel-etes-alle-australie_22254 dans Chemin spirituel

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L’Humilité

Posté par othoharmonie le 20 juillet 2011

L’Humilité             L'Humilité dans Chemin spirituel le-chemin-spirituel-pour-traverser-le-desert2 

Edith Butler & Jean-Claude Genel
(Editions Les 3 Mondes n°39) 

Dans le cadre d’une série vidéo consacrée aux valeurs Spirituelles et tournée au Québec, J.C Genel interviewe Edith Butler, chanteuse québécoise reconnue et appréciée depuis plus de vingt ans, pour nous parler d’humilité. Une valeur qu’elle associe d’emblée à la vérité et à l’authenticité. 

Lire l’interview sur : http://www.gproductions.fr/presse_detail.php?id_art=127 

 

Peut mieux faire ! 


Au début de l’entretien, Edith Butler nous dit qu’elle n’est pas sûre d’être humble. 

Mais qui affirmerait l’être, ne le serait pas ! Sa réaction montre la difficulté de définir cette valeur. 

On la constate d’abord chez une personne qui, comme elle, cultive le goût de l’authentique et du vrai. En reconnaissant ce qu’on n’est pas, on se garde de tout orgueil. L’humilité demande d’être lucide sur nos faiblesses, disons nos possibilités non encore exploitées. La personne humble  » ne se croit pas « , elle doute et réfléchit sans cesse à ce qu’elle peut améliorer d’elle-même et offrir de mieux aux autres. 

Face à cet état d’âme qui pourrait frôler l’insatisfaction permanente, où est l’antidote ? 

Sans doute dans la reconnaissance de nos talents, mais aussi dans le fait de savoir donner la même qualité d’attention à celles et ceux qui nous réclament dans les différents domaines de notre vie, même là ou l’on n’excelle pas ! En effet, il faut savoir être présent à tout ce qui tisse l’existence. Rester soi-même quand  » le rideau tombe  » nous rapproche davantage de l’humilité. 

De plus, comme Edith, évitons de croire que l’on se  » fait tout seul  » et reconnaissons que nos talents sont venus avec nous. Seul nous revient le mérite de les avoir mis  » au service  » d’autrui (donner) comme de nous-mêmes (recevoir). 

Faut-il plus d’humilité pour occuper la première ou la dernière place ? 

Cela n’est ni plus ni moins facile puisque tout est question de dignité. Etre soi-même en toute circonstance est une preuve d’humilité. Cela nous permet de comprendre que nos maîtres (d’école) se trompaient lorsqu’ils indiquaient sur nos carnets de notes :  » Peut mieux faire !  » L’humilité en nous traduit :  » Est-ce qu’il peut mieux faire ? «   

papillon3 dans Chemin spirituelL’album « Madame Butlerfly » : Edith Butler nous offre un nouvel album, « Madame Butlerfly » pour dire son amour de la tradition orale sur des arrangements signés Catherine Lara. Avec, entre autres, A la claire fontaine ou Dans les prisons de Nantes, retrouvez des légendes intemporelles dans des versions modernes et entraînantes (Tréma/Sony music). Site Internet : Edith Butler

 

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Le couple

Posté par othoharmonie le 18 avril 2010

Le couple dans Chemin spirituel le-couple-alu    Nous avons tous désiré une relation sublime, parfaite avec un être de sexe opposé. Certains de nous ont réussi du premier coup, d’autres après de multiples échecs, et il y en a encore d’autres qui cherchent.  

Lorsque nous avons pris conscience de ce que représente la personne humaine en tant qu’expérience d’un Etre spirituel, nous dépassons le corps et le visage auxquels nous sommes liés et par lesquels nous entrons en relation habituellement. Nous aimons à nous représenter une image plus complète, plus globale de ce que nous sommes.   Nous entrons en relation avec les autres et nous communiquons dans notre intime vérité et non plus dans les apparences. Notre épanouissement n’est complet que lorsque notre être physique s’ouvre harmonieusement à notre être spirituel. Comme tout chacun, j’ai tenté de réaliser ce couple spirituel par trois tentatives sans y parvenir…. 

Pour illustrer mon propos, voici un tableau comparatif des deux types de couple, conventionnel et spirituel ; ce n’est pas un jugement, c’est une constatation de mon vécu…    

 Tableau que j’ai saisi sur le net à cette adresse :

 http://www.yogaesoteric.net/content.aspx?lang=FR&item=1716  et qui illustre assez précisément ce que j’ai vécu et ai tenté de trouver dans les 3 couples que j’ai essayé de former, sans toutefois y parvenir ! 

  

       Le couple conventionnel          Le couple spirituel 
Processus ferméLes motivations du couple ne sont pas définies. Le couple se modèle le plus souvent d’après un modèle standard établi par les autres et non d’après ses propres standards intérieurs. On préfère la sécurité, la stabilité, on évite la transformation, ainsi l’évolution individuelle est très lente. Chacun se force de correspondre à l’image de l’autre sur lui, sans se manifester librement, sans agir comme il sent.   Processus ouvert. On établit clairement le but spirituel, les objectifs communs qui fondent la relation. La reconnaissance réciproque de la liberté de l’autre. On exprime honnêtement et ouvertement ce que chacun est, ce que chacun veut et à ce que chacun aspire. Les transformations sont acceptées, il n’existe pas de jalousie, ainsi l’évolution individuelle est très rapide. Les deux ressentent de la liberté, du bonheur, qu’ils soient
ou non ensemble. 
Doute. Le processus fermé produit un manque de confiance en soi et dans l’autre. On devient attaché, dépendant. On a besoin de l’autre pour se mettre en valeur  Confiance. 

Un processus ouvert qui produit la conscience de l’indépendance de chacun des deux amoureux. On n’essaie pas de changer l’autre, mais on l’accepte tel qu’il est et on l’aide par sa présence.

Compétition (du genre « ne prends pas ma place »). Il apparaît une lutte de pouvoir (qui commande?) et d’autorité, de conflits de rôles. L’intérêt personnel prime. L’égoïsme est “au pouvoir”.   Entente. Chacun a le même rang, les mêmes responsabilités. On respecte l’espace de l’autre, le besoin d’être ensemble ou seul. Échange de rôles: on est ici pour aider l’autre à évoluer. 
Dépendance rôles fixes. Le protocole des relations extérieures est la source de conflits. Chacun a des points de vue différents qu’il veut imposer à l’autre. On se sent séparé, seul, inaccompli. On a peur d’être quitté.  Autonomie chacun se suffit à soi même, indépendamment de l’autre. L’amour confère de la sécurité. Le couple est ouvert, les relations extérieures sont indépendantes. Il existe donc une meilleure compréhension des “outils” utilisés par chacun pour évoluer (temps passé ensemble: discipline, temps libre, voyages, etc.) ce qui conduit à la spontanéité et à l’harmonie.  
Conditionnements. La dépendance produit des échanges conditionnés. Les rapports sont dirigés d’après des règles, des contrats, des impositions. La relation est basée sur l’idée d’échange: tu donnes si tu as reçu, les attitudes sont préméditées. Manipulation.  Liberté. 

L’autonomie prend naissance dans la tolérance, le détachement, l’abandon. Il ne s’agit pas de posséder. On explore ensemble, spontanément, l’aventure joyeuse de l’évolution de la conscience à deux. Bonheur, confiance réciproque, harmonie.

  

Ennui. On crée des règles parce que les deux ne s’amusent pas ensemble. On entre dans une routine qui endort la créativité et l’invention. Les ressentiments font leur apparition. Chacun commence à croire que l’autre est la cause de son malheur et que pour cela il doit l’éviter.   Créativité Il apparaît spontanément un état de jeu et de bonne disposition entre les deux. Spontanéité, inspiration, amusement. Échange spontané des rôles et de tâches. Ils inventent de nouvelles manières d’aimer. Ils s’amusent ensemble et sont heureux. 
Insécurité Ils ont l’impression que “quelque chose ne va pas”, sans savoir exactement de quoi il s’agit, ils ont des sentiments de peur ; instabilité, culpabilité. Ils veulent fonder une famille dans l’espoir de trouver une solution à l’impasse et obtenir plus de stabilité.  Sentiment de sécurité Les deux ont dépassé la peur en affrontant ce qu’elle cachait. L’amour profond conduit à l’apparition du sentiment de stabilité. Il est possible que le désir de fonder une famille apparaisse, mais parce qu’ils sont arrivés à une stabilité. La fusion spirituelle confère le sentiment supérieur de la sécurité. 

Impression d’échec du couple. L’impuissance de changer le cours des choses. Dévalorisation personnelle et de l’autre. Des ressentiments puissants apparaissent, ils peuvent même conduire à des déséquilibres psychiques. Désespoir. Ils ont le sentiment qu’il n’y a plus rien à faire. Ils n’entrevoient plus de voie pour ramener l’harmonie du couple. 

Amour parfait

 Sentiment de dévotion et de don de soi. La dévotion honore et éveille l’essence divine dans l’autre, le don de soi est le plaisir de cultiver l’état de bien dans l’autre. Ils existent pour et dans l’amour. L’amour devient cosmique, chacun ressent que Dieu l’aime à travers l’être aimé.

Séparation La seule solution qui apparaisse est la séparation, le divorce. Ils vivent le désespoir et le sentiment aigu de la solitude, qui peut être pourtant l’occasion d’une transformation, d’une découverte possible de l’autonomie et de la liberté.  Unité La relation est l’occasion d’établir la liturgie sainte qui élève et spiritualise l’union des deux amoureux. La relation accomplit l’idéal de l’amour, elle devient une occasion pour recevoir la grâce et la “bénédiction divine 

Plus de trente ans après notre première rencontre avec mon ami d’enfance Gérard, chacun de nous se rappelait encore très intensément ce premier contact, ce premier baiser de notre enfance. Cette attirance mutuelle qui se réveillait…. Sauf que… j’avais conscience d’une union spirituelle mais… pas Gérard !  Ce couple que nous avons tenté de former n’a pas été viable à la longue pour toutes les raisons évoquées dans le tableau ci-dessus. 

 Lorsqu’une telle union spirituelle peut s’approfondir, c’est que chaque personnalité s’approfondit, tournée l’une vers l’autre. Le couple grandit dans un esprit d’union, en même temps que grandit la personnalité de chacun et son être spirituel.   J’avais pourtant soif de créer un cadre où l’on va de la solitude personnelle vers des relations d’une profonde intimité dans un esprit joyeux et une disposition à l’accueil de l’autre car c’est ainsi que je conçois la spiritualité conjugale. Afin d’apprendre à se donner tout en grandissant sur son propre itinéraire spirituel et ainsi se tourner vers son conjoint dans un esprit de don, pour aider l’autre à avancer dans son épanouissement réciproquement…   Ce ne fut pas possible…. Et aujourd’hui, je me dis  : était-ce franchement nécessaire ! 

 Dans toute relation amoureuse, les deux partenaires savent intérieurement que le but essentiel de leur relation de couple est d’atteindre  l’état d’androgynie par les deux opposés, au point de vue de la polarité…

Cette relation de couple n’était finalement pas nécessaire pour moi ; lorsque l’on sait faire don de sa personne aux autres, on en arrive au même résultat de découverte, lorsque la prédominance est spirituelle et authentique, on découvre en soi et on réalise pareillement son état d’androgynie ; j’ai éveillé l’homme et la femme intérieurs qui sont en moi ! j’en ai sublimé les énergies dans les étages supérieurs de mon être, canalisé les énergies subtiles et fusionné avec l’Amour dans la sphère spirituelle. 

La suite est racontée dans l’article que j’ai intitulé « je suis androgyne » dans : développement personnel…  Si j’ai réussi à accéder à ce plan c’est également grâce à la méthode de Mantak et Maneewan Chia décrite dans leurs livres « Le  Tao de l’amour retrouvé » dont je vous parle dans mon « coin vidéo et librairie » 

Bonne chance à vous !

bluegod dans Chemin spirituel

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Défaut de langage

Posté par othoharmonie le 14 avril 2010

Pourquoi dit-on que l’on poursuit un chemin spirituel ? 

A un moment donné j’avais eu une conversation avec une de mes collègues autour de nos activités respectives ; et sans  vouloir trop me dévoiler, je lui avais répondu : la plus enrichissante de mes activités, est celle de poursuivre mon chemin spirituel. 

Finalement, ma collègue en avait conclu d’elle-même que suivre un chemin spirituel cela voulait dire alors que je lisais beaucoup de livres, j’assistais à des conférences pour vouloir refaire le monde…, que je m’adonnais à la pratique de la radiesthésie, du magnétisme, que je manipulais donc des pendules et des cartes, elle a même cru que je me rendais à l’église chaque dimanche ! 

J’étais ébahie par tout ce panel dont elle m’avais fait étalage… J’avais trouvé cette conclusion bien triste en rapport au message que j’aurais bien aimé lui faire passer… Enfin bref, force a été de me rendre compte qu’il valait mieux ne rien dire à ce sujet, elle avait déjà son idée… mais pour moi, plutôt vivre ce que l’on Est et  Etre tels que l’on Est, sans en dire plus que ça est la priorité.  Parce que finalement pourquoi dire que l’on poursuit un chemin spirituel ?

On suit notre chemin c’est tout, comme tout chacun le fait : le vrai chemin spirituel est un chemin intérieur, il n’a nul besoin d’être exprimé. On ne rentre pas en spiritualité, comme on entrerait dans les ordres, on la vit au quotidien ! Alors j’ai cessé de parler de chemin spirituel ….. J’ai même pensé à un moment donné à devoir m’écarter de ceux qui ne pensaient ni ne ressentaient pas les choses de la vie comme moi…. Mais je me suis rendue compte qu’il était possible de faire tout autrement et au contraire être encore bien plus proche d’eux. 

La spiritualité est notre nourriture de tous les instants, elle est faite pour s’écouler, se répandre, c’est un don de soi. A partir du moment on l’on a trouvé son équilibre que l’on est en accord avec soi-même, nous sommes notre propre maître ; il n’y a plus lieu d’être en dualité par rapport à notre propre choix. Il s’agit plutôt d’une communication mutuelle d’un ETRE à un autre ETRE ! 

Bien souvent je me suis posé cette question : quelle est réellement la voie ?  

Aucune en particulier et toutes à la fois…. 

nous y sommes tous engagés. Oui, puisque nous avons tous des aspirations à combler et des choses à comprendre, puisque nous avons tous un for intérieur, un Esprit, une âme qui cherchent à se manifester pleinement au monde que nous avons choisi, pour y vivre en pleine conscience. Nous sommes tous plongés dans la spiritualité à un degré ou à un autre, qu’on le veuille ou non. 

Nous sommes tous en mesure de façonner, diriger, contrôler les mouvements de notre vie psychique pour s’améliorer soi-même et ainsi, aider notre entourage si besoin est ; et si nous passons par une voie quelconque, c’est que tous sans exception peuvent le faire… après ce sont des choix…. On ouvre sa conscience, ou alors cela ne nous intéresse pas ! 

L’idéal tout de même est d’effectuer le choix de manière pleinement consciente car il n’y a rien à subir, il y a tout à apprendre de soi-même. Nous sommes nos meilleurs maîtres. 

Prendre conscience qu’il y a un trésor à l’intérieur de soi, des vertus qui appartiennent vraiment à leur  propriétaire, se sentir complet, entier, se suffire à soi-même… que parfois je me dis que même en prison, dans un cachot absolument sombre, avec presque aucune nourriture pour me nourrir , côtoyant la solitude….. rien ne me manquerait ! 

Pourquoi ? vous allez me dire et bien tout simplement parce que je possède la joie, je possède l’amour, la solitude, la tristesse, le chant, la musique, la vie, le bonheur, le souvenir, le rire, les pleurs etc…  oui, je possède intérieurement une si grande sensibilité, une si grande appréciation des choses de la Vie que rien qu’à s’en souvenir, ceci est si doux et resterait en moi durant tout mon séjour. 

Toutes ces possessions m‘ apportent le calme et la paix intérieure, la douceur et même… de sublimes instants. Nous sommes tous apte à  travailler sur Soi, il n’existe pas d’élu, ce sont des fadaises, nous avons absolument tous la capacité à développer notre sensibilité, notre intelligence, notre sentiment de la droiture et cela, jamais personne ne pourrait nous l’enlever.  Ceci s’appelle la maîtrise de soi, pour être en mesure de faire face aux situations difficiles et, n’importe où que ce soit, tout simplement parce que l’on est intérieurement beaucoup plus libres que bien des hommes vivant dans n’importe quel luxe. Cependant, ne croyez pas que toutes ces pensées lumineuses  que nous puissions émettre de par notre travail restent là seulement en soi-même, non, nos pensées voyagent … Nos pensées peuvent même rendre visite à d’autres êtres, à des personnes au cerveau bien disposer à les accueillir. Car ce rayonnement de belles pensées est contagieux. Toutes  personnes émettant ce genre de pensées rayonnantes peut aussi aider des gens, aussi bien de son entourage ou même encore de parfaits inconnus. 

Oui, nous travaillons sur nous-mêmes dans le secret de notre Etre, mais les autres en bénéficient ouvertement. Tout simplement parce que nous faisons circuler les énergies positives et neutralisons les énergies négatives. Tout cela est bien naturel, nulle magie là-dedans, c’est tout simplement prendre conscience que ces impulsions que nous avons reçues un jour auprès de la Source Vivante, celle de LA VIE, nous la véhiculons aujourd’hui autour de nous de la même manière. Et cela, en toute simplicité. La Source de Vie est là pour s’épandre….. 

Chacun, par un travail intérieur est en mesure de faire émaner de soi quelque chose d’harmonieux, pour cela, il suffit d’être soi-même dans un état d’harmonie. Ce n’est certes pas un rôle que l’on se donne, c’est un résultat, bien réel. Cette particularité fait que là où d’autres se cognent la tête ou se plaignent de leurs maux, celui qui suit sa voie spirituelle va de l’avant et évolue ! 

Si nous ne faisions rien pour nous améliorer, et bien croyez moi, personne ne pourrait le faire à notre place, c’est une certitude. Ce n’est pas pour autant que nous en délaissons le côté matériel comme beaucoup aimeraient à nous le faire dire…  non, mais nous sommes juste conscients d’avoir des nécessités pour vivre sur terre, mais nous n’en faisons pas des montagnes, car nous savons que nous repartirons un jour, tels que comme nous sommes venus…. 

L’engagement sur le chemin spirituel est donc une tâche qui nous demande simplement de faire face à nos difficultés, nos lacunes. Il nous permet du même coup, d’apprendre à utiliser ces lacunes pour progresser, et non plus à simplement les subir ! Voilà une optique très réjouissante non ? 

Il ne sert à rien de discuter seulement intellectuellement et extérieurement de spiritualité, il faut le vivre et mettre en application pour mieux comprendre … Non, nous ne faisons pas autant d’efforts que cela peut y paraître mais nous avons seulement envie de nous sentir chez nous partout et surtout ICI ……

Défaut de langage dans Chemin spirituel papillon6xv8j31nav3

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Mon illumination va un peu plus loin

Posté par othoharmonie le 6 avril 2010

Découvrir la Vérité, enfin… Ma Vérité en 2010

le 1er Avril 2010 

La conscience de soi est uniquement intuition d’elle-même, et non pas comme d’un soi distinct des autres, mais plutôt du SOI universel, qui est EN lui-même.

La conscience de soi n’est réelle QUE pour elle-même, car elle est mienne, sans se refléter dans d’autres consciences de soi (les autres). Cette conscience de soi est le fondement de toutes les vertus, de l’honneur, de l’amitié, du courage, de tout sacrifice, de toute gloire, etc.

Ce que l’on nomme le TOUT ne se réduit pas à un objet,  il contient aussi le JE, celui qui sait, et la relation réciproque entre moi et l’objet c’est ce qui forme la conscience.

De l’inconscience à la pleine conscience, de l’enfance à l’adolescence, de l’âge adulte et à la sagesse, les progrès humains cheminent de buts particuliers vers les buts généraux, jusqu’au but ultime.

 L’homme parfait est la parfaite image de dieu et contient en soi toutes les choses.  Il réunit en lui la forme de dieu et la forme de l’univers. Lui seul révèle l’essence divine avec tous ses noms et attributs. Il est le miroir par lequel dieu est révélé à lui-même et, par là, la cause finale de la création. Autrement dit, tous les progrès techniques, sociaux et intellectuels développés par l’humanité, sont destinés à améliorer la qualité du ressenti psychique humain.

Ainsi, quand tous ces progrès « matériels » auront atteint leur perfection, je crois sincèrement que notre espèce aura également atteint sa perfection sensitive : autrement dit l’extase … c’est-à-dire la jouissance du présent qui me fait dire : Je vis et non pas j’existe…

Ah, le beau scénario que je me suis fabriqué, afin d’apprendre que nous sommes  le TOUT et que nous cherchons si longtemps quelque chose que nous sommes déjà, pour découvrir que finalement… nous nous suffisons à nous-mêmes ! 

 Mon illumination va un peu plus loin dans Chemin spirituel 00020442 

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Le chemin est long

Posté par othoharmonie le 6 avril 2010

Approcher de la connaissance et de la vérité :

en 2005

La véritable liberté est donc la liberté intérieure, celle que l’on acquiert progressivement dans la foi d’un travail sur soi, dans la progression de la connaissance de soi, permettant d’écouter la voix de notre conscience inspirée, l’Esprit sain.

 Ainsi parcourir ce chemin de tolérance, c’est accomplir une libération intérieure, sortir des sentiers de l’esclavage de mon histoire personnelle, abolir progressivement l’ignorance en me retournant sur moi passionnément et amoureusement, en cherchant et touchant la vérité au cœur de ma conscience.

Marcher sur le chemin c’est donc aller vers soi-même à sa propre rencontre dans la présence, à l’intérieur, et devenir libre. Alors le chemin sauve et c’est ça le but. La connaissance de soi en vérité permet à l’individu d’accéder à une véritable liberté intérieure, sans que cela devienne une fin en soi. Cette liberté doit permettre à chacun d’agir de manière juste et bonne, rassemblée dans une éthique, une conduite de vie et la manière complexe de vivre avec les autres en société, de prendre soin de la terre qui nous a enfanté et qui nous supporte.

Je crois aussi que l’essentiel à mettre en pratique, comme le couronnement d’une vie morale et spirituelle, est l’Amour, celui qui est désintéressé ! et une vie réussie est une vie qui a mis la vérité en pratique – j’aimerai bien accéder à cet état d’être – « aimez vous les uns les autres. Il me semble bien que l’on ne peut connaître, aimer et respecter l’autre autant que l’on se connaît et s’aime soi même…à travers sa propre imperfection reconnue et aimée sur le chemin de nos découvertes intérieures. Face à la diversité humaine sans véritable égalité, il y a un endroit où nous sommes pourtant tous égaux : Tout le monde est imparfait sur terre et cela ne changera pas puisque c’est notre conscience qui juge. Nous pouvons le vivre bien ou pas bien, ce choix sera notre libre arbitre. Le vivre bien passera nécessairement par un engagement dans une voie, un chemin spirituel, où chercher le sens et La Vérité sur notre mal-être nous apportera au travers un dépassement de nous-mêmes, la liberté, l’indépendance à notre histoire, la connaissance et la paix en soi.

Nous sommes tous égaux face au grand mystère de la vie et de la mort, face aux difficultés d’entreprendre de se connaître et de mettre en pratique un travail sur soi. Mais c’est sérieux, il s’agit de notre propre sauvegarde dans l’avènement d’un monde meilleur. L’amour en regard de chaque chose est tout simplement le désir de retrouver notre unité originelle égarée, celle qui nous a mis au monde, de restaurer notre pleine et entière nature, de combler notre manque intrinsèque.

Mais cet amour cette promesse d’amour sans laquelle nous ne pourrions pas vivre, est une force aveugle qui demande maîtrise et ordre pour devenir une vertu et atteindre son but.

Et cela s’apprend…..

   Le chemin est long dans Chemin spirituel 0002011D 

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Se mettre en chemin

Posté par othoharmonie le 6 avril 2010

Le plus important je pense que c’est déjà de…  

       Se mettre en chemin : c’est ce que j’ai fait en 1998

Se mettre en chemin dans Chemin spirituel 450px-Fagus_sylvatica_JPG2a Que l’on sache ou pas au départ de quel but il s’agisse vraiment, marcher, se mettre en chemin amène immanquablement à en découvrir et à en préciser petit à petit la géographie autant à l’intérieur de soi, c’est-à-dire à travers celui qui vit l’expérience, qu’à l’extérieur par les repères et jalons posés, les transformations opérées dans le concret de nos vies.

Ainsi donc le chemin lui-même, d’instant en instant, prend toute son importance et le fait de mettre un pied devant l’autre pour avancer prend alors toute sa signification, puisque ce sont bien nos mouvements, nos pas sur ce chemin qui nous conduisent vers le but. Celui que nous voulons attendre…. 

Nos vies, vues de l’extérieur reflètent sans aucun doute ce que nous sommes à l’intérieur, par la manière dont nous savons arpenter et profiter de ce chemin dans les choix qu’il ne manque pas de nous offrir.

Cueillir le meilleur ! Est ce que la vie à travers les choix que nous faisons, nous offre une bonne vie ? 

À quels endroits je n’ai pas une vie agréable ? 

Si je ne suis pas dans une vie en paix avec moi-même c’est donc que je suis bloquée à un niveau et limitée pour aller plus loin. Une bonne vie, en équilibre dans tous les secteurs que je côtoie (repos, loisirs, plaisirs, famille, travail, lecture, nature…) est la base de toute vie spirituelle possible. Il est naturel d’aller vers une vie qui nous fait du bien, mais elle n’est pas automatique, loin sans faut.

Toute ma vie spirituelle est d’abord sous-tendue par l’attention que je me porte à moi-même, dans mon désir de vivre bien. Car comment concilier ou permettre un espace spirituel fécond développant mon existence si je ne suis que préoccupée par des difficultés de survivance ? Avant d’en être à l’heure d’adopter une voie intérieure, d’arpenter un chemin de développement intérieur, la plupart du temps on ne se pose pas trop de question sur soi et sur la vie, on fonctionne comme en automate, avisés ou pas, à travers l’éducation que l’on a reçu…  nous formatant et nous confrontant à la fois, à l’image de notre propre culture.

C’est pour une bonne part normal et nécessaire à la construction de notre identité on nous dit et un épanouissement personnel, mais c’est aussi une étape que nous sommes libres de dépasser ou non. 

Un jour, après l’expérience d’épreuves quelque peu maladroites à conséquences lourdes, nous nous réveillons, on a plus envie de subir,  moins envie de se battre, ni envie de mettre un pansement sur nos blessures profondes. Alors, on s’arrête pour regarder sa vie comme elle est et on ressent l’impérieuse nécessité de se mettre à chercher le sens de notre déconvenue et le moyen d’installer un mieux pour soi même. 

C’est peut être là, à ce moment, qu’en réponse on ressent un nouveau possible, comme un but à atteindre, une énergie idéale, en mouvement et en accord avec l’énergie de la vie toute entière, et non plus faussement subir ou entretenir inconsciemment le mensonge d’une routine fataliste nous figeant sur place.

 00020542 dans Chemin spirituel 

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En chemin vers la Spiritualité

Posté par othoharmonie le 6 avril 2010

   Apprendre sur soi : travail que j’ai engagé en 1996 

 …pour accéder à une liberté intérieure 

Quand on emprunte un chemin, en fait, c’est pour nous amener quelque part, vers un but à atteindre.  Nous prenons une direction et cheminons, mais peut-on savoir à l’avance ce que va être ce but, puisqu’il n’est pas encore atteint, et sommes nous sûr de l’atteindre jamais ? 

Est-il définissable en pensée une fois pour toute ou bien participe t’il d’une énergie insaisissable productrice d’une lumière cherchant seulement à guider notre vie ?

                                                    En chemin vers la Spiritualité dans Chemin spirituel 000203C4 

chemin_de_lumiere_2 dans Chemin spirituel

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