AIMANTATION ÉNERGÉTIQUE

Posté par othoharmonie le 24 avril 2016

 

 

Nous sommes des aimants, que nous en ayons conscience ou non ! Les énergies d’essence ou d’égo qui sont dans chacune de nos Dimensions de vie, attirent des gens, des situations, des événements qui ont le même taux vibratoire que nous. 

Chaque fois qu’une situation désagréable survient, nous pouvons nous demander quel type de pensées ou d’émotions nous avions au moment où cela s’est produit… 

Parfois, nous sommes inconscients de nos pensées, de nos émotions, et nous les vivons mécaniquement. Nous sommes dans des états de peur, de colère, de frustration… sans le remarquer vraiment, parce que cette situation dure depuis très longtemps ou parce qu’elle est refoulée et cachée derrière nos fuites de toutes sortes, nos courses, nos diversions avec différentes activités. 

aimantation energétique

Si nous changeons nos énergies internes, le monde externe change autour de nous.

En fait, il existe un mécanisme qu’on appelle la projection, qui consiste à voir devant soi ou autour de soi, les parties de notre ombre (de notre égo) que nous sommes encore incapable d’accepter de regarder. Ainsi, nous voyons chez l’autre ce que nous sommes en profondeur. Chaque caractéristique que nous dénigrons chez une personne est une partie de nous-mêmes que nous n’avons pas encore vue et qui est cachée dans notre inconscient. Lorsque nous sommes vraiment conscient de ce qui nous habite, nous avons de la compassion pour les autres, nous les comprenons, car nous comprenons ce qui les a conduit à vivre telle ou telle situation, semblable à ce que nous avons vécu. 

Alors à chaque fois que nous sommes en colère contre quelqu’un, nous pouvons nous demander : Est-ce que j’ai déjà fait ou dit quelque chose de semblable dans ma vie ?  

Et si nous sommes vraiment honnête, nous trouverons une ou plusieurs situations semblables, parfois dans un contexte plus subtil toutefois. Cet événement est donc un signal d’alarme pour nous inviter à changer cette façon de faire… afin de changer les énergies dans notre champ d’énergie (notre aura), l’ensemble de ce que nous sommes dans nos 7 Grandes Dimensions énergétique, et ainsi l’aimant que nous sommes changera et nous attirerons de nouvelles situations de vie. 

L’aimantation énergétique qui est aussi appelée la Loi d’attraction, est difficile à accepter par bien des gens parce qu’elle nous rend profondément responsable de tout ce qui survient dans notre vie. 

Toutefois, il est utile de savoir que chacun ne peut faire que selon sa conscience actuelle en accord avec ce qu’il sait et ne sait pas présentement. La compréhension véritable de l’aimantation fait aussi en sorte que nous évitons les accusations même si nous constatons que nous sommes le créateur de notre bonheur ou de notre malheur, car chaque accusation de soi ou des autres attire le négatif. 

Il est utile également de savoir que la visualisation de notre idéal de vie est bien précieuse pour l’aimanter et pour faire les pas nécessaires pour nous en rapprocher graduellement… Cependant, l’émotion qui nous habite est tout aussi importante que la pensée dans notre pouvoir d’aimanter.

Si nous pensons à une situation x, y ou z, en ressentant des émotions très désagréables pendant une grande partie de notre journée, en lien avec autre chose de notre vie… nous ne pourrons pas aimanter la situation agréable que nous voulons car la vibration que nous dégageons ne correspond pas suffisamment à la situation agréable que nous souhaitons. Nous devons nous mettre dans l’état émotionnel et mental qui correspond à ce que nous souhaitons pour l’aimanter vraiment.  

C’est pour cette raison qu’il a souvent été expliqué aux gens de ne pas seulement visualiser leur idéal, mais de le ressentir, et de ne pas se plaindre de ce qu’ils n’ont pas. Il convient plutôt de sentir tellement fort que la situation idéale est en préparation, qu’elle est sur le point de survenir dans notre vie, que nous pouvons déjà nous réjouir, et faire comme si nous avions déjà cela dans notre vie. 

En ayant ainsi des émotions agréables et des pensées positives, nous sommes dans une vibration qui correspond au taux vibratoire de la situation idéale que nous souhaitons, c’est ce qu’on appelle « un match vibratoire », une même longueur d’ondes, et nous verrons se manifester dans notre vie ce que nous souhaitons si nos émotions et nos pensées restent ainsi alignées avec notre désir profond. 

En ressentant des émotions désagréables, nous attirons des situations désagréables… Il s’agit aussi à ce moment « d’un match vibratoire » mais sous une forme négative. Nos émotions et nos pensées négatives ont aimanté une ou plusieurs situations négatives. 

Par conséquent, nous sommes invités à faire des pivots psychologiques aussi rapidement que possible, chaque fois que nous remarquons que nous ne sommes pas dans notre essence. 

Un pivot est un passage d’une pensée ou d’une émotion de bas taux vibratoire, à une pensée ou une émotion de plus haut taux vibratoire. Une « switch » comme on dit parfois aussi. « Switcher » ou pivoter, d’un état intérieur à un autre. Et éviter autant que possible de parler du négatif dans notre vie. Plus nous faisons rapidement nos « switchs », nos pivots, et plus nous pensons et parlons des choses que nous apprécions, plus notre vie devient agréable parce que nous vivons de plus en plus dans la pensée lumineuse et l’émotion harmonieuse qui attirent de belles et bonnes choses pour notre vie. 

Chaque situation désagréable qui survient est le résultat de pensées et d’émotions du passé qui étaient dans la négativité, la non-estime de soi, le pessimisme… en d’autres mots : nous étions dans de basses vibrations qui nous ont attiré la situation en question. À ce moment, il ne sert à rien de nous apitoyer sur notre sort, de nous mettre en colère, d’accuser l’extérieur, Dieu ou les gens, et de crier notre ressentiment. Tout cela ne ferait qu’attirer vers nous encore plus de situations désagréables ! 

Alors aussitôt qu’une situation désagréable survient, il convient de détourner aussi rapidement que possible notre attention de cette dernière, et plutôt préciser ce que nous voulons vraiment vivre, et nous aligner sur cela dès maintenant, en pensée, en émotions, et en actions. Plus notre vibration s’élèvera rapidement, plus la situation idéale que nous souhaitons se manifestera rapidement. 

Nous pensons parfois que nous sommes malchanceux ou victime ou… mais il n’en est rien. Tout ce qui survient dans notre vie est le résultat de nos énergies du passé. Et lorsque nous changeons nos émotions et nos pensées, notre vie change. Alors plus nous vivons avec Intelligence et Amour, plus nous récoltons des manifestations d’Intelligence et d’Amour des gens autour de nous. 

Pour plus d’informations sur l’Aimantation des énergies, vous pouvez visiter ces 2 sites :

SOURCES : www.everyoneweb.fr/abraham  et www.everyoneweb.fr/byronkatie

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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Le temps et les possibilités

Posté par othoharmonie le 17 avril 2016

 

Pourtant la question demeure: comment tout cela fonctionne-t-il ? Et comment peut-on être davantage conscient des possibilités de sorte que le processus de création soit plus conscient ? 

temps et possibilités

Voici ce qu’Amit Goswami nous confiait à ce sujet: 

On peut prendre comme hypothèse de travail que la conscience est le fondement de l’être. Il y a tout un éventail de possibilités auxquelles elle a accès. Parmi ces possibilités, elle en choisit une qu’elle manifeste et qu’elle observe. En physique quantique, on parle souvent de possibilités, mais, lorsque vous y réfléchissez, combien de fois vous êtes-vous demandé quelles étaient toutes les possibilités ? 

 Vous pouvez vous en tenir à des choses banales, comme la sorte de crème glacée que vous choisirez cette fois-ci, vanille ou chocolat, ce qui repose entièrement sur vos expériences antécédentes. 

Mais vous ratez ainsi la dimension quantique de votre vie. 

Le docteur Goswami compare les possibilités offertes dans la vie d’un individu aux ondes de probabilité d’un électron qui se dispersent. Cela signifie que les options de votre vie sont aussi «réelles» que les ondes prédites par l’équation de Schrodinger. Stuart Hameroff pousse ce concept un peu plus loin: 

Chaque pensée consciente peut être considérée comme un choix, une superposition quantique s’effondrant pour devenir un choix donné. Supposons, par exemple, que vous regardez le menu d’un restaurant en essayant de décider si vous prendrez des crevettes, des pâtes ou bien du thon. Imaginez que vous avez une superposition quantique de toutes ces possibilités coexistant simultanément. 

Vous pouvez même vous projeter en pensée dans l’avenir quelques instants afin de goûter à ces différents mets. Ensuite vous décidez: «Ah! Je vais prendre du spaghetti.» Se projeter ainsi dans l’avenir ne relève pas  autant de la science-fiction qu’on pourrait le croire. Comme le docteur Hameroffle fait remarquer : «Dans la théorie quantique, on peut aussi remonter dans le temps, et des indices nous laissent croire que certains processus du cerveau permettent à la conscience de se projeter dans le passé.» 

Si toutes ces théories s’avèrent correctes, cela veut dire que la conscience d’un individu scrute constamment toutes les possibilités futures, allant peut-être même dans l’avenir afin, par exemple, de «sentir» s’il convient d’épouser ou non telle personne, pour ensuite se focaliser sur la possibilité retenue et l’amener à se manifester dans la réalité présente. La façon dont tout cela se produit est prise en charge par l’univers super-intelligent et immensément  interactif, qui réagit automatiquement à la conscience parce que telle est sa nature fondamentale. L’univers est comme un ordinateur qui supervise tout ce qui se passe; voilà pourquoi il existe. 

Et s’il peut créer des formes de vie douées de conscience et capables de se reproduire elles-mêmes, il est certainement capable de réparer un pneu crevé. 

En quoi cette vision des choses rend-elle la création plus consciente? 

Pour bien des gens, l’avenir paraît se trouver de l’autre côté d’un grand mur qu’il leur est impossible de franchir. Ces possibilités latentes ne sont donc pas décelées et c’est ainsi une surprise totale ou même un choc pour eux lorsqu’elles se manifestent. Mais le fait de prendre conscience que ces possibilités sont bel et bien réelles, et qu’elles peuvent être développées, manipulées et manifestées (effondrées), nous fait progresser au-delà du mur et jusque dans l’avenir, où de nouveaux horizons s’ouvrent alors à nous. 

Créer sa journée 

Votre pool de réalité créée se trouve juste devant vous. S’étalant sur le paysage du temps, ces possibilités attendent un «mouvement de la conscience» pour lui faire vivre un événement réel. Mais supposons que vous faites preuve d’un peu plus d’initiative, et imaginons, par exemple, que vous êtes un paysagiste engagé qui ne veut pas laisser les mauvaises herbes de l’univers s’implanter en lui et qui ensemence plutôt ce paysage de possibilités avec ses créations conscientes. 

Ce qui semble avoir fasciné le plus les gens qui ont vu le film « What the BLEEP Do We Know ? » [Que sait-on vraiment de la réalité ?], c’est le concept de la création de sa journée. Cette technique fut enseignée par Ramtha sur http://francesca1.unblog.fr/category/ramtha-nous-parle/ à ses étudiants pour la première fois en 1992 et elle est l’un des fondements des enseignements de son école, à Yelm, dans l’État de Washington. «Aucun maître digne de ce nom, expliquait Ramtha, ne laisse la journée se dérouler sans l’avoir préalablement visualisée. Les maîtres créent effectivement leur journée.»

 

Extrait de Vivre Sa Légende.  www.dominique-claire-germain.com

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Laisser vivre la vie en soi

Posté par othoharmonie le 23 mars 2016

 

A quel but doit répondre notre vie ? Où se diriger ? Grandir en soi est-il possible et comment aller dans l’épanouissement ? Cette quête n’est-elle qu’un rêve ?

Qui, un jour, ne s’est pas posée la question du véritable sens de sa vie ?

Qui suis-je, où vais-je, sommes-nous seuls dans l’univers ?

Qu’est-ce qui m’attend lorsque mon corps aura terminé son passage sur terre. Y a t-il une vie après la mort ?

Et cette vie, si elle est éternelle, quel sens prend-elle ?

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La plénitude de l’instant

Issus des civilisations, des religions, les maîtres de sagesse ont sondé leur cœur, leur vie, les autres hommes pour apporter la réponse. Le but ultime de la quête n’est ni l’extase, ni la libération. C’est la sagesse de vivre dans l’instant présent. S’affranchissant du va et vient du mental redécouvrir la beauté révélée du moment présent, sa puissance, sa grandeur. La vie est là, j’y suis entier et vrai.

Le chemin du chercheur est long et, dit-on, parsemé d’embuches. Notre voyageur trouvera-t-il un sens à sa vie ? Il n’est plus le commun des mortels qui satisfait les besoins du corps, mange, boit, dort, se reproduit, vieillit et meurt.
L’éternelle quête devient celle qui satisfait l’esprit. Quelle que soit sa voie spirituelle, la vie quotidienne se transforme en un incroyable défi de choisir et de mettre en pratique un ou des enseignements.

Etre, c’est se laisser pénétrer par la vie ; l’accueillir. L’accueil réclame l’humilité puisque réfléchir est déjà choisir. Méditer, c’est vivre l’instant. La force de l’instant devient joie. Observer ou être ? Le méditant vit l’expérience et ne choisit pas… La vie est, tout simplement, dans l’instant.

Pour une bonne pratique, tout méditant sait qu’il lui faudra déjouer certains pièges et trouver l’enseignement authentique dans cette jungle du bizness spirituel.

Il n’y a pas de méditation réussie ou ratée, le processus de l’observation est lui-même la méditation. Emotions, pensées, sensations glissent comme des nuages dans un ciel pur, l’observateur demeure dans la nature véritable de son esprit. Non action ou pensée ? Il ne s’agit plus de choisir mais d’accueillir ce qui est.

Mais notre mental dévie. Par lui, les enseignements sont régulièrement détournés, réinterprétés. Découragement, doutes, questionnements, remises en questions, changements de voie ou de maître, si maître il y eût. La quête demeure quête du sens. Point d’assurance sur le résultat.

Certains deviendront végétariens…c’est bon pour la planète ! D’autres abstinents….c’est bon contre la surpopulation ; d’autres encore établiront une communauté spirituelle, c’est bon contre la crise du logement.

Mais encore !!!

La quête devient parfois poursuite d’effets spéciaux… gadgets du new age, la panoplie est large, le bonheur n’est guère à la clé.

Que devient l’expérience de l’être. La résonance de vérité nous sert à reconnaître ce qui est réel et fait avancer sur la voie choisie.

Parfois, le voyageur s’égare vers un but inatteignable. Et pourtant, n’est-il pas vrai que « Vous n’êtes pas de la Terre, vous venez des étoiles. » La conscience s’étend sur l’infini et interroge le ciel.

Et Dieu dans tout cela ? Il est trop loin, trop abîmé par les religions qui l’ont vidé de son sens. Il semble qu’il faille abandonner l’idée d’un Dieu à visage humain et entrer dans l’expérience du divin qui transcende toutes notions.

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Donner naissance à cette réalité

Cette expérience est donnée par la méditation. Elle favorise un véritable éveil à ce qui est .Elle transforme en conscience l’énergie dispersée dans les pensées.
Une méditation authentique permet de découvrir qu’il faut demeurer dans son être, qu’il ne faut aller nulle part ; se réfugier dans les Himalayas ? Notre ombre nous y attend dans la grotte

Vivre ici et maintenant et donc transcender la réalité suffit. Cette réalité filtrée par nos sens et par nos lunettes, qu’elles soient noires, roses ou dorées.

La quête du sens alors peu à peu s’estompe …le voyage devient sans but. Dés l’aube, ai-je trouvé ce qui apporte à ma vie une joie sans cause ?

Pour avoir la tête dans les étoiles, mes pieds doivent être enracinés, mon cœur grand ouvert. Et cela suffit à accueillir cette vie.

Patricia Menetrey

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COMMENT BIEN PRENDRE SOIN

Posté par othoharmonie le 19 mars 2016

 

Prendre soin, c’est aider l’autre à vivre ce qu’il a à vivre, ce n’est pas l’en empêcher, ce n’est pas tenter de lui faire faire l’économie d’une souffrance qui se trouve sur son chemin en la minimisant ou en la prenant soi-même en charge… c’est l’aider à entrer dans sa difficulté, à pénétrer sa souffrance pour pouvoir en sortir, conscient que ce chemin lui appartient et que personne d’autre que lui ne peut le parcourir.

Prendre soin, c’est apporter toute notre attention à la faculté de guérir de sa souffrance ou de résoudre sa difficulté qui est en l’autre plutôt qu’apporter un remède. C’est avoir confiance que l’autre dispose souvent de toutes les ressources nécessaires pour s’en sortir, s’il parvient à s’écouter ou à être écouté au bon endroit. Cela suppose que nous ayons acquis cette confiance et cette estime pour nous-mêmes. Comment pourrions-nous avoir confiance dans la capacité d’être de l’Autre si nous n’avons pas acquis confiance dans la nôtre ?

Apprendre-a-faire-confiance

Le risque, en prenant l’autre en charge, est de ne pas avoir conscience que ce n’est pas de lui dont nous prenons soin mais de nous, de notre image de bon saint Bernard, de sauveur et souvent de notre besoin de reconnaissance, de notre bonne conscience. S’il y a risque, c’est que comme nous nous occupons de nous-mêmes alors que nous croyons nous occuper de l’autre, notre attitude ne soit pas appropriée, pas adéquate, et qu’elle entretienne les deux dans la frustration, la confusion ou la dépendance.

Si nous avons appris à correspondre aux attentes des autres, à nous mettre sous tension pour eux, nous attendons presque immanquablement que l’autre corresponde à nos attentes et se mette sous tension pour nous. Ainsi, nous n’apprenons pas à aimer les autres comme ils sont mais comme nous voudrions qu’ils soient.

Rencontrer, c’est d’abord Etre. Cela n’empêche pas que nous ayons aussi le goût d’évoluer, de croître et particulièrement de croître ensemble. Grandir ensemble, en couple, en famille, entre amis, au sein d’une équipe de travail, est certainement la source d’une des satisfactions les plus profondément nourrissantes. Aimer l’autre comme il est, veut aussi dire que nous nous intéressons à lui et que nous accueillons ce qu’il devient ou pourrait devenir. C’est aimer l’autre avec tout son potentiel de croissance, d’ouverture, de diversification. Je vois des couples ou des familles dans lesquels chacun et chacune s’est mutuellement enfermé dans des rôles, en  arrêtant ou en limitant ainsi fortement tout processus d’évolution personnel et interpersonnel. L’anesthésie s’y installe vite…

Ainsi, si l’un se met à changer, à évoluer, à revoir sa façon d’être, l’autre ou les autres s’affolent. La différence est toujours vécue comme menaçante.

Nous avons peur de constater notre différence. Nous l’évitons ou la refoulons. Ce faisant, nous nous entraînons peu à accueillir la différence des autres. Face à la différence de l’autre, que faisons nous ? Nous l’évitons ou la rejetons. Nous tolérons l’autre dans la mesure où il est « même » et où « il m’aime ». Pour ce faire, nous rencontrons alors davantage les gens qui pensent comme nous, parlent comme nous, s’habillent comme nous, croient ou prient comme nous, font les mêmes choses que nous… C’est rassurant !  Nous vivons souvent la différence de l’autre comme un risque, une menace. Cette insécurité intérieure peut être telle, qu’elle s’extériorise en racisme, en intégrisme, en antisémitisme ou en homophobie, mais elle se manifeste plus couramment par le jugement, la critique, le reproche, la suspicion. La différence n’éveille pas la curiosité bienveillante, mais le doute et la méfiance.

Nous avons peur de prendre notre place, d’exister vraiment, d’affirmer notre identité parce que nous ne sommes pas assurés d’être aimés et accueillis comme nous sommes et, en retour, nous avons peur que l’autre prenne sa place, existe vraiment, affirme son identité parce que nous ne sommes pas assurés de pouvoir, nous, continuer d’exister devant lui. L’autre, même aussi proche qu’un conjoint, est toujours plus ou moins perçu come un empêcheur, je n’ose pas dire un ennemi, encore que … quelqu’un qui nous empêche d’être nous-mêmes.

Eh bien non, ce n’est pas « tout çà » qui nous empêche d’être nous-mêmes. Ce qui nous en empêche, c’est notre façon à nous de voir « tout ça », de vivre ces relations. Ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, c’est que nos besoins de sécurité intérieure et de confiance n’ont pas encore reçu l’attention nécessaire pour se développer et nous permettre de vivre « tout ça » avec davantage d’aisance.  Je ne pense pas que nous puissions éradiquer tout à fait la peur. Elle fait partie de notre vie avec la confiance, et comme la peine et la joie. Ce qui libère, c’est de ne plus avoir peur d’avoir peur.

Si nous portons un masque et que l’autre porte un masque, ce n’est pas une relation, c’est un bal maqué. Alors, si c’est drôle et qu’on s’amuse des masques et des jeux, je ne vois que l’occasion de s’en réjouir. Malheureusement, l’expérience montre que ces bals masqués sont tristes et désolants. Ils ne rassemblent pas, ils isolent ; ils ne font pas rêver, ils empêchent de dormir ; ils ne se terminent pas en feu d’artifice, ils rétrécissent en peau de chagrin. Derrière ce masque sec de gentillesse complaisante, nous risquons de nous habituer à vivre des rapports anémiés, aseptisés, que nous pouvons très bien prendre pour de vrais rapports humains. Ainsi, si nous n’avons jamais bu que du coca-cola, nous pouvons passer notre vie sans imaginer que cela vaille la peine de goûter du vin.

Ma confiance dans la nature humaine ne va pas jusqu’à prétendre que toute vérité est bonne à dire tout le temps et à n’importe qui, certes non. Sans doute y a-t-il des circonstances où ne rien dire répondra à un besoin de patience, de prendre le temps, un besoin d‘attendre le moment opportun, un besoin de réflexion, de bienveillance ou de vérification…. Chacun de nous a ce choix et ce pouvoir dans sa vie quotidienne, tous les jours : contribuer ou non à la clarté, à la transparence, à la paix.

Je pense que chacun de nous reçoit, avec sa dignité, sa part dans cette responsabilité. Je souhaite que de plus en plus d’hommes et de femmes en prennent conscience et reconnaissent joyeusement cette responsabilité et l’assument dans leur vie quotidienne, heureux de contribuer ainsi, là où ils sont, avec les moyens qu’ions ont, au bien-être de l’humanité. Je crois en effet qu’il n’y aura pas de paix dans le monde tant que chacun d’entre nous ne prendra pas soin de sa paix intérieure, comme un jardinier prend soin de ses fleurs – chaque jour. Elle se propagera ensuite par rayonnement : la paix, c’est contagieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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A LA DECOUVERTE DE LA CORDE D’ARGENT

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

 

La Bible y fait référence : « Mais souviens-toi de ton Créateur aux jours de ta jeunesse, avant que viennent les jours mauvais et que paraissent les années dont tu diras : « Je n’y ai point de plaisir »… Car l’homme s’achemine vers sa demeure éternelle et les pleureurs parcourent les rues ; avant que se rompe le codon d’argent, que se brise la lampe d’or … Avant que la poussière retourne à la terre pour redevenir ce qu’elle était, et que le souffle de vie retourne à Dieu qui l’a donnée (L’Ecclésiaste, XII,6)

corde d'argent

La corde d’argent prend sa source dans le corps humain, la plupart du temps au niveau des omoplates. Aux abords du corps physique, sa couleur est presque blanche, brillante come le ventre d’un poisson. En s’éloignant, elle prend une teinte plus foncée, un peu dorée. Elle a la consistance de la buée ou du corps astral, presque sans masse, et a l’apparence d’un fil de nylon. Sa forme évoque le cordon ombilical et va en s’aplatissant. Elle semble avoir la capacité de s’étirer à l’infini pour se transformer en une matière purement astrale, dans ces aspects de la réalité que nous ne connaissons pas.

La corde d’argent est l’assurance que le dédoublement ne comporte aucun danger définitif ; elle ne peut se rompre et ramène toujours le corps spirituel dans le corps physique. En cas de nécessité, vous la sentirez tressauter et vous réintégrerez votre corps en un instant. Si vous vous endormez, vous passerez par le rêve, puis l’éveil. La corde d’argent relie la maison provisoire (le corps) et la maison éternelle, le royaume des âmes.

Pour les Grecs, par exemple, trois sœurs, les Moires (les Parques des Romains), régnaient sur la vie, l’une filant, l’autre tissant, la troisième coupant. L’expression : « Sa vie ne tenait plus qu’à un fil » indique que la corde d’argent ne se brise qu’à la mort. Ensuite, l’âme est libérée et continue son exploration dans des zones astrales.

Votre corps éthérique et votre corps physique ont bien des sensations en commun, mais il est parfois difficile de les différencier. Comme je le dis : « Il m’a fallu un certain temps pour me rendre compte que je me trouvais hors de mon corps. Pendant une période qui me parut assez longue, je me suis promenée, puis j’ai réalisé que j’étais en train de rêver. Peu après, j’ai compris qu’il s’agissait d’un rêve très particulier plutôt inhabituel. Et lorsque je me suis réveillée, curieusement, j’étais toujours en train de rêver. J’étais encore dans un état de conscience modifiée et j’ai constaté que je n’étais pas chez moi. Je n’étais pas dans un rêve, mais dans un état inconnu. J’étais perchée au-dessus d’un toit, sans savoir où aller. Après quelques secondes de panique, je me suis ressaisie et me suis dirigée vers ma maison. Ce qui m’a surpris, c’est l’aspect familier de cette expérience. Une fois mon corps physique réintégré, j’ai réalisé que j’avais déjà connu pareille expérience à plusieurs reprises dans ma vie, comme si je me surprenais alors que j’étais encore à l’extérieur de mon corps. Ce qui m’avait ramené dans mon cors, c’était le besoin d‘uriner. Je me sentais étrangement bine ; j’avais l’impression d’avoir accédé à une très grande compréhension du monde extérieur.

« Plus étonnant, tout mon être était devenu un être communiquant avec le monde extérieur. Ma main, mes pieds, mes épaules, chaque partie de mon corps pensait – et je dis bien pensait, et pas seulement ressentait – , réfléchissait. Ce point est important parce que, pour la première fois, je compris que j’étais un être complet, que chacune de mes cellules communiquait avec le monde extérieur. Mon corps éthérique était un champ d’énergie, et ce champ d’énergie m’avait attiré pour me faire rentrer ; ce corps éthérique était doté des mêmes sens, des mêmes capacités de perception que mon corps physique. C’est probablement à la suite de ces expériences que les humains ont établie une relation entre la sortie du corps et le voyage de l’âme après la mort, qu’ils en ont déduit que cela perdurait au-delà du temps. On continue à voir, à entendre et à ressentir. Cependant, même si j’avais une masse identique à déplacer, ma force tétait plus grande dans ma tête que dans mon corps. Ces mots semblent absurdes, car en réalité il n’y avait pas de différence entre la pensée et le physique, fusionnés.

Mais si moi, je me sentais dans mon état quasi normal, il en allait autrement pour l’environnement. Les murs, les meubles, les objets semblaient animés…. J’étais modelé dans la même matière. « Un autre jour, e présence d’une jeune femme, je ne fis plus de différence entre elle et moi. J’étais devenu elle. Je captais ses pensées et ses émotions. Comme si j’étais son jumeau. Une substance vert argenté coulait de moi vers elle. Pourtant j’avais la certitude de ne pas la connaître, il s’agissait d’une amie de rêve ou astrale. En me déplaçant, des ondulations argentées me guidèrent. Le vent coulait sur moi, l’air coulait autour de moi, comme de l’eau. Je m’enfonçais dans cette matière vivante. Deux mètres nous séparaient, pourtant cela parut assez long.

Les sensations n’étaient pas vraiment identiques. Le poids de mon corps ne pouvait se comparer à la sensation d‘un pied nu sur la moquette. Une sorte de balancement évoquait l’oiseau qui joue dans un courant d’air, monte et descend. J’avais l’impression de marcher dans l’eau en m’enfonçant légèrement, comme sur un nuage… Ce n’était pas des hallucinations, le contact était bien réel ; il n’y avait, dans la pièce, aucun objet supplémentaire : les meubles, les livres, la télévision se trouvaient exactement à leur place. Mon corps physique et mon corps éthérique étaient reliés par une sorte de corde jaillissant de mon plexus. Elle s’étendait à l’infini, elle protégeait mon corps, le nourrissait comme un cordon ombilical. Elle ne me causait aucune gêne ; d’ailleurs, la plupart du temps je ne remarquais pas sa présence. Peut-être était-ce dû à un certain éclairage ». Propos rapportés par Bernard RAQUIN

Cette corde traverse les objets. Elle sert de courroie de transmission entre le corps physique et le corps spirituel. Grâce à elle, on revient instantanément dans son corps physique. Il se produit parfois un bruit métallique, un claquement quelque peu désagréable, mais sans gravité, lors du dédoublement ou de la réintégration. Si vous êtes en milieu hostile, ou si vous êtes épuisé, pensez à votre corde d’argent pour rentrer à la maison. La réalité est réversible, et  en permanence, vous communiquez avec votre corps spirituel par la corde d’argent. Vous pouvez la ressentir pendant l’exercice du miroir. Quand vous planez au-dessus de votre corps physique, quand vous regardez en face de vous ou dans un miroir, (ou si vous faites un exercice à deux) concentrez-vous sur le plexus. Elle se trouve parfois dans la poitrine ou dans le troisième œil.

C’est peut-être par elle que se transmet l’énergie entre le magnétiseur et son patient, et que les amoureux communiquent en osmose, lorsqu’ils forment une seule personne, sensations et pensées unies. Elle vous protège, en captant les informations lorsque votre conscience voyage. Si le corps astral et le corps physique sont trop proches, ils risquent de fusionner. Elle devient souvent perceptible lorsqu’ils sont au moins à un ou deux mètres. 

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Le Vrai visage de la Vie ne se dévoile qu’à ceux qui le cherchent

Posté par othoharmonie le 29 février 2016

 

Oui, je sais… une incroyable quantité d’ouvrages divers nous disent tous cette même chose ; votre esprit peu tout ! oui… et malgré cette affirmation répétée, vous ne savez toujours pas comment vous y prendre pour développer en vous cette énergie formidable de vos forces créatrices. Je vais donc être extrêmement précise et vous donner ici une méthode très claire en 5 points qui va vous permettre d’épanouir en vous-même votre force intérieure.

ESPACE

Faites votre ménage intérieur

La première chose à bien comprendre, c’est que nous partageons avec tous les autres êtres humains les soucis et les problèmes de ce monde. Quoi qu’il puisse vous arriver en ce moment, la même chose est déjà arrivée à d’autres gens, en d’autres lieux, à d’autres époques. Vous n’êtes pas seul(e) avec vos problèmes. Lorsque vous aurez bien compris et surtout bien assimilé cette pensée, elle vous permettra de relativiser ce qui peut vous arriver de désagréable.

Faites votre « ménage intérieur » car vous seul(e) pouvez le faire ! acceptez dès maintenant l’idée que ce qui vous arrive n’a rien de particulier et que bien d’autres personnes que vous, ont vécu la même choses. Cette simple attitude mentale va vous permettre d’ouvrir devant vous les chemins de la liberté. Votre être intérieur, votre personnalité réelle va peu à peu s’éveiller et bientôt, vous serez celui ou celle qui sait puiser le bonheur à sa source.

Votre bonne attitude envers la vie

L’armée des mécontents de la vie est immense. Et ces éternels « mécontents de tout » ne s’aperçoivent même pas que c’est leur attitude négative devant la vie qui fait leur malheur dans un enchaînement constant de causes à effets. En fait, ils sont très nombreux ceux qui croient vivre alors qu’ils ne font médiocrement que s’empêcher de mourir. Mais vous, si vous comprenez bien l’effort sur vous-même qu’il convient de faire, vous n’appartiendrez pas ou plus à cette cohorte de défaitistes qui hélas sont de plus en plus nombreux. Commencez ce travail sur vous-même (après avoir bien fait votre ménage intérieur) en ayant une attitude positive devant la vie. Le but est pour vous de transformer les circonstances extérieures grâce à votre fois constante en vous-même. Vous devez arriver à n’avoir QUE des pensées positives.

Si vous entreprenez une affaire nouvelle, n’ayez aucun doute sur son succès. Si un obstacle survient, pensez « j’y parviendrai quand même ». Ayez toute confiance en vous en sachant que votre nouvelle façon de regarder la vie va attirer, « aimanter » le succès que vous attendez.

Votre nouvelle vie

Le vrai visage de la vie ne se dévoile qu’à ceux qui font l’effort nécessaire de le chercher en affirmant sans cesse sa beauté. Allez-y ! n’ayez pas peur. Chassez le doute ou les vaines angoisses. Lorsque votre transformation intérieure sera faite, la transformation des circonstances extérieures suivra d’elle-même. Affirmez que la vie est belle. Affirmez que vous êtes heureux (se) même si ce n’est pas encore le cas aujourd’hui. Affirmez le bien, toujours et partout. Vous verrez ainsi votre horizon d’élargir en même temps que les circonstances extérieures vous deviendront favorables.

L’esprit léger

Souvenez-vous d’un moment particulièrement heureux de votre vie ; comme vous vous sentiez léger(re) pendant ces instants là ! eh bien, qui vous empêche de retrouver cette sensation aujourd’hui même ? Quels sont les filets qui vous retiennent ? Qui vous empêche d’avoir la légèreté de l’esprit ? Qui sinon la seule personne capable de vous brimer réellement, c’est à dire vous-même. Rendez votre lumineuse par votre légèreté d’esprit et cette attitude mentale sera suffisante pour « aimanter » le bonheur.

Votre meilleure amie : LA VIE

L’esprit est tout : « Ce que tu penses, tu le deviens » disait déjà Bouddha et c’est tellement vrai. L’idée crée la réalité. Ce que vous pensez devient partie intégrante de vous-même et de votre vie. Alors, vous le savez maintenant, TOUT dépend de vous et seulement de VOUS. Vos succès à venir sont entre vos mains car ils dépendent en tout premier lieu de votre manière de penser.

Et à ceux qui penseraient lire ici des paroles en l’air…. Je répondrai : C’est mon expérience ! Car oser vivre spirituellement, c’est oser le vrai bonheur !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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CHAQUE EXCES EST SIGNE DE MANQUE

Posté par othoharmonie le 22 février 2016

 

Qu’est-ce que la jalousie ? Voici donc quelqu’un qui possède quelque chose que je ne possède pas. Voici donc quelqu’un qui sait faire quelque chose que je ne sais pas faire. Voici donc quelqu’un qui ose effectivement quelque chose que je n’ose pas.

Posséder, savoir faire, oser. C’est ainsi que l’on fabrique des dieux. C’est ainsi que nous donnons du pouvoir aux autres. C’est ainsi que nous nous rendons esclaves ou pour le formuler en termes modernes, c’est ainsi que nous critiquons. Or, cette critique diffère-t-elle d’une tristesse déguisée ou d’un adieu à nos capacités personnelles, aux moyens qui nous sont donnés personnellement ?

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Lorsque nous critiquons certaines caractéristique sou un certain comportement ; ne nous rendons-nous donc pas compte que nous souhaitons en fait nous comporter exactement de la même manière que l’autre, ou que nous venons de sortir de cette phase il n’y a pas encore longtemps ? Est-ce que nous ne trouvons pas que l’autre a ceci ou cela de trop, pour la simple raison que ceci ou cela nous manque ?

Toute critique d’un excès chez autrui nous indique nos seuils de vulnérabilité, d’inachèvement. Acceptez donc tout simplement ce que réalise ou possède l’autre : pour quelles raisons en a-t-il besoin. En supposant que vous soyez dans la même situation ou dans une situation comparable, vous en auriez également besoin. Mais demandez-vous surtout si vous en auriez véritablement besoin.

Si vous trouvez excessif que quelqu’un d’autre conduise une voiture de luxe, demandez-vous si vous avez suffisamment conscience de vous-même ; et si vous n’avez pas en fait le même besoin que l’autre.

Si vous trouvez excessif que quelqu’un parte cinq fois par an en vacances, demandez-vous ce que représente pour vous, votre intérieur ; et pour l’autre, le sien.

Ensuite regardez de près ce dont l’autre n’a pas assez. Chaque excès chez une personne est le signe d’un manque ; d’un trop peu ; cela se reconnaît toujours à son contraire. Trop d’affairement – trop peu de temps livre. Trop de sexe – trop peu d’amour. Trop de fête – trop peu de calme et de repos.

Vu sous cet angle, ne pensez-vous pas que vous pouvez vous estimer satisfait avec le soi-disant peu que vous avez ?

Chacun de nous a certainement joué un jour à ce jeu de devinette quelque peu éprouvant qui consiste à trouver ce que telle situation signifie pour moi.

Il n’est pas difficile de pousser la question jusqu’au fatalisme, de voir dans chaque mirage un message personnel de l’univers, sans remarquer que notre propre vis à vis « a quelque chose à nous dire » (qu’il le veuille ou non).

Nous nous entourons tous de personnes qui d’une manière ou d’une autre nous communiquent des messages. « Le comportement de l’autre est toujours une expérience pour moi. Mon comportement est une expérience pour lui. Je te vois et tu me vois. Je fais l’expérience de toi et tu fais l’expérience de moi. Je vois ton comportement et tu vois mon comportement. Mais je ne vois pas quelle expérience tu fais de moi ; de même que tu ne vois pas l’expérience que je fais de toi », L’expérience que nous faisons en général et que l’autre, notre miroir, nous confirme, est la suivante :

Ce que j’aime chez l’autre, c’est moi-même ; ce que je rejette chez l’autre, c’est moi-même.

Il est étonnant de voir avec quelle rapidité nous pouvons nous défaire de certains de nos « défauts » du seul fait que nous les reconnaissions chez l’autre. Bien sûr, nous pouvons de la même manière apprendre à aimer des faiblesses en nous parce qu’elles nous rendent si semblables à l’autre. Citons Laing : « Mais je ne vois pas l’expérience que tu fais de moi, et de même, tu ne vois pas l’expérience que je fais de toi ».

Lorsque cela est nécessaire pour l’exploration de nous-mêmes, le reflet de notre miroir change ; nous changeons d’ami, de travail, d’appartement et, après vingt ans de vacances au même endroit, peut-être aussi de lieu de villégiature. Chaque changement nous conduit un peu plus loin, nous rapproche un peu plus de nous-mêmes. Les miroirs ne deviennent aveugles que lorsqu’ils sont vieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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TENIR UN JOURNAL DE NOS REVES

Posté par othoharmonie le 11 février 2016

 

RËVEQuelles que soient les méthodes utilisées pour vous souvenir de vos rêves, il est fondamental que vous tentiez un journal. Placez un cahier et un stylo sur votre table de chevet, et consignez vos rêves dès votre réveil. Veillez à faire un minimum de mouvements qui pourraient vous distraire. Le simple fait de vous retourner dans votre lit peut volatiliser vos souvenirs. Ecrivez sans attendre ; les rêves les plus vivants s’évanouissent rapidement ou leurs détails se transforment en quelques instants.

Il y a bien des façons de tenir un journal des rêves. Certains préfèrent classer événements, personnages, couleurs et émotions dans des colonnes distinctes. Cependant, établir des catégories alors même que vous faites un effort de mémoire peut contribuer à vous les faire oublier. La meilleure méthode consiste à écrire le rêve, puis à prendre votre temps pour l’analyser et le classer. Ecrivez  sur la page de gauche du cahier et réservez la page de droite à l’interprétation, aux commentaires et aux schémas, ainsi qu’à l’analyse ultérieure.

Datez chaque récit et notez un maximum de détails, au stade de  l’interprétation, les aspects les plus insignifiants se révèlent souvent les plus importants.

Ecrivez toujours au présent ; essayez de re-vivre le rêve en le consignant et notez soigneusement toutes vos émotions. Ce qui suit est tout à fait caractéristique de celle d’un journal des rêves :

« Je suis dans un magasin de jouets, une sorte de musée du jouet victorien. Je décide d’acheter une boîte de grands soldats de bois, vêtus d’un uniforme rouge, mais lorsque je m’approche de la caisse, le vendeur me dit qu’elle n’est pas à vendre. Son visage est dans l’ombre, mais je remarque ses vêtements de couleur sombre et le col cassé de sa chemise. A la place des soldats, il me demande de choisir un livre dans le grand rayonnage que je n’avais mêmes pas remarqué.

Déçu, je prends un livre au hasard, et je le feuillette. Il compte de nombreuses illustrations, et soudainement, je me retrouve enfant, assis devant la table de cuisine verte de notre ancienne maison, à regarder un livre d’image. L’une d’entre elle représente la vitrine d’un magasin de jouets au centre de laquelle est présentée une boîte de soldats en bois. Le vendeur, raide et en bois, dans ses vêtements noirs et avec sa chemise au col cassé, trône au milieu de la boîte. Je suis fâché, comme s’il avait essayé de me jouer un tour, et je me dis ; il ne s’est mêmes pas donné la peine de mettre son uniforme »….

EXTRAIT DU LIVRE :

APPRENEZ A MIEUX REVER ET A TIRER PARTI DE VOS REVES

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LA RESPONSABILITÉ DE TOUS est INTERIEURE

Posté par othoharmonie le 29 janvier 2016

 

Je sentis de la colère envers mon ami. Je lui dis ma rage, et celle-ci disparut.
Je sentis de la colère envers mon ennemi . Je lui tus ma rage, et celle-ci crût.

William Blake

La véritable responsabilité intérieure tourne autour de la disposition de chacun à exprimer tout ce qui peut émerger en lui dans le cadre d’une relation. Ceci est important aussi bien pour vous que pour la personne avec qui vous êtes en relation. À défaut d’être présent, il n’y a rien à quoi réagir. Et l’amour ne peut devenir réel dans le monde que par notre capacité à réagir. Amener sa propre vérité dans une relation donne aux autres l’occasion de dépasser leurs limites par l’amour. Cela leur donne aussi l’occasion de se montrer.

Pensée limitée

Si vous restez muet, je peux alors inconsciemment continuer à vivre toute iniquité ou déséquilibre existant entre nous. Mais quand vous me montrez votre blessure, votre frustration, votre confusion ou votre questionnement, j’ai alors la chance d’arrêter de participer inconsciemment au scénario particulier dont notre relation est faite. La clé faisant en sorte que je réagirai ou pas à vous a souvent à voir avec l’amour, la seule chose qui puisse rompre l’inertie propre aux vieilles habitudes.

Il se peut que nous roulions sur l’infinie autoroute de l’été et que nous soyons pris dans un scénario devenu suffocant pour vous. Mais, à moins que vous ne soyez mû par un vent soudain qui révèle le tronc du saule pleureur pendant que nous roulons à toute vitesse, à moins que vous ne soyez touché au point de dire: « Je ne peux plus continuer comme ça! », je ne peux quant à moi avoir l’occasion de répondre: « Moi non plus, je ne veux plus continuer comme ça! » Si vous ne rompez pas le silence, je n’aurai pas l’occasion de vous demander : « Que pouvons-nous faire pour changer les choses? »

Souvent, nous passons un temps incroyable à attendre que l’autre se réveille et constate notre souffrance. Entre-temps, nous devenons chacun de plus en plus frustré et blessé. Mais tout ceci exprime une limitation: notre incapacité à reconnaître l’évidence.

Ainsi, pendant que nous craignons d’exprimer nos peurs et nos blessures les uns aux autres, l’amour ne peut s’exprimer parce qu’il n’a rien de vrai vers quoi se refléter.

  • Centrez-vous et remémorez-vous une peur ou une blessure que vous portez en silence et qui concerne une relation significative pour vous.
  • Respirez pleinement et, en sécurité dans votre espace intérieur, exprimez sans paroles ce que vous ressentez.
  • Laissez l’émotion monter librement jusqu’à votre esprit et votre cœur.
  • Continuez à respirer profondément et sentez-vous devenir de plus en plus à l’aise devant la vérité propre à cette émotion.
  • Ce sera tout pour aujourd’hui. Ayez confiance que vous saurez si, quand et comment vous devez exprimer cette vérité à la personne dans votre vie qui a besoin de l’entendre.

Par MARK NEPO – Extraits de son livre LE LIVRE DE L’ÉVEIL, p. 88-89 – sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/  aux Éditions Ariane , 2006

 

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POUR APPRECIER LES CONTOURS

Posté par othoharmonie le 18 janvier 2016

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Les variantes offertes par les comportements humains sont illimitées. On peut même se demander s’il ne serait pas prématuré de tirer des «conclusions précises» de la seule connaissance des motivations psychologiques d’un geste, d’une réaction.

Même si le détail le plus insignifiant permet à quelqu’un qui connaît les Hommes de saisir la particularité de tout l’individu, il suffit d’un bref regard pour deviner l’ensemble du caractère. Comment est-ce possible ? Comment comprendre que l’homme se révèle totalement dans le moindre de ses mouvements ?

Ceci est dû au fait que l’organisme n’est pas un assemblage mécanique de particules, mais un ensemble biologique issu d’une cellule initiale dont les différentes parties restent, tout au long de leur évolution, étroitement associées les unes aux autres.  C’est un sujet inépuisable, qui provoque chaque jour de nouvelles controverses, un sujet au centre duquel se trouve l’être le plus intéressant qui puisse exister entre le ciel et la terre : L’HOMME.

Son caractère, chacun de nous l’étale… à son insu. Parce qu’il ne lui vient pas un instant à l’esprit que tout le trahit ; ses gestes, sa démarche, son comportement et mille autres petite choses. Mais pour un observateur avisé, des signes infaillibles permettent de cerner, d’analyser la personnalité, les trait particuliers de n’importe qui.

Certes, il est digne d’éloges d’être confiant. Seulement on paie parfois cette confiance souvent très cher ; Et voir son amitié trahie par la  personne chez qui nous avions placé de grands espoirs – apparemment justifiés – nous procure un sentiment de déception cruelle.

Alors, il serait plus intelligent, à coup sûr, de nous épargner ces échecs en découvrant, à temps, les défauts et les faiblesses de notre prochain. Ce qui nous permettrait de nous comporter à son égard en conséquence.

Tous, sans exception, sommes capables de parvenir à cette clairvoyance si précise. Il suffit de posséder la clé et cette clé est en nous, car si nous nous étudions nous-mêmes, nous aurons tout compris.

Dans la vie, rien n’est plus passionnant que l’exploration de l’homme, que de partir à la découverte de sa personnalité, de son caractère, de son comportement.  Au demeurant, et dans quelque catégorie que nous rangions caractérologie ou moderne typologie, une règle demeure pour chacun de nous, en tant qu’individu, une règle très claire ; il s’agit de bien commencer et de bien terminer sa vie, de la rendre agréable et supportable pour nous et ceux qui nous entourent. Sur le chemin de notre existence, certaines données ont été placées. Les utiliser est notre affaire.

La connaissance de soi éclaire tout homme sur ce qu’il est et ce qu’il peut ; elle le sauve des illusions souvent funestes qu’il se fait sur lui-même. Les hommes ne sont jamais plus heureux que lorsqu’ils se connaissent eux-mêmes En effet, ceux qui se connaissent sont instruits de ce qui leur convient et distinguent les choses dont ils sont capables ou non. Ils se bornent à parler de ce qu’ils savent, cherchent a acquérir ce qui leur manque et s’abstiennent complètement de ce qui est au-dessus de leurs capacités ; ils évitent ainsi les erreurs et les fautes. Ceux qui ne se connaissent pas et se trompent sur eux-mêmes sont dans la même ignorance par rapport aux autres hommes et aux choses humaines en général. La connaissance de soi est la science première. « Connais-toi toi-même » veut dire : renonce à chercher hors de toi, à apprendre par des moyens extérieurs ce que tu es réellement et ce qu’il te convient de faire ; reviens à toi, non pas certes pour te complaire en tes opinions, mais pour découvrir en toi ce qu’il y a de constant et qui appartient a la nature humaine en général, Conception d’une extrême importance car elle proclame qu’en tout esprit humain existe la science, qui intéresse I’Homme et qui n’a besoin que d’être extraite.

Ainsi m’entretenant seulement moi-même et considérant mon intérieur, je chercherai de me rendre peu a peu plus connue et plus familière à moi-même. Dans le « Je pense donc je suis », il y a deux choses. La première est que l’homme a le droit de penser par lui-même sans être influencé ; la seconde est que l’homme « est » parce qu’il pense.

C’est ainsi que l’Homme, grâce à la connaissance de lui-même devient son propre médecin…

Conseil de Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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La Relaxation est une stratégie du bonheur

Posté par othoharmonie le 13 janvier 2016

 

ZENLa relaxation peut bouleverser nos vies ; elle ouvre en nous des chemins ignorés, pénètre au cœur de la citadelle, elle est une passerelle vers le Bonheur. Comment écrire à son sujet sans tourner sept fois la plume dans l’encrier ? Comment prévenir les risques de manipulation, les dérives, les excès ? Comment créer par le biais d’un écrit cette relation privilégiée et confiante, qui doit se nouer entre celui qui apprend et celui qui sait un peu de vérité ? Comment ne rien dire qui nuise, et rien qui ne serve ? être sérieuse sans être grave, informer, guider, sans jamais blesser la liberté d’autrui ?

Les personnes tendues se brûlent. Elles gaspillent follement leur énergie vitale, jetant dans le brasier leur adénosine triphosphorique (ATP). Elles préparent une terre accueillante, de sympathiques autoroutes aux maladies psychosomatiques : hypertension, asthme, ulcères de l’estomac et du duodénum, colites, dermatoses, troubles cardio-vasculaires, migraines, insomnies, etc. Elles tendent, si j’ose dire, un cou docile au lacet des névroses. Elles perdent la maîtrise de leur mental, et n’assurent plus le sage gouvernement de leur corps. Bref, elles gèrent absolument leur vie. Je propose une solution : la Relaxation.

JE M’ADRESSE A :

-          Ceux qui voudraient bien entrer, mais n’osent pas en raison d e leur âge, d e leur pauvreté, de leur handicap physique, culturel ou social…

-          Ceux qui ont la peau de l’âme fragile que la vie blesse à l’excès, stressés pour un mot, un geste, une vétille, et qui n’imaginent pas qu’une solution existe… à leur portée.

-          Ceux qui ont déjà « essayé » un peu de yoga, un peu d’eutonie, un peu de cela un peu de ceci, à la cueillette du hasard, n’ont jamais rien choisi, perdus avant d’avoir commencé.

-          Ceux qui compensent en activités frénétiques leurs pulsions d’angoisse, cycliste maudits qui ne peuvent une seule seconde cesser de rouler sous peine de s’effondrer.

-          Ceux qui n’ont réellement pas le temps. Je pense aux mamans accablées d’enfants, qui font deux journée en une, et qui ne peuvent jamais « voler » une heure de solitude, de silence, de paix.

-          Ceux qui se moquent ouvertement de ces « méthodes de relaxation », les tiennent pour coquecigrues ; mais qui ont peur le soir, en secret.

-          Et ceux que j’oublie….

-          Je m’adresse : aux angoissés chroniques, aux stressés d’occasion..

A tous ceux-là, clos sur une vie absurde, verrouillés dans le malheur au quotidien, je leur dis : il existe des solutions : DES SEANCES DE RELAXATION

Essayer. Il faut essayer… Sauter le pas, car nul ne peut se relaxer à votre place

Persévérer. Il faut tenir, il faut vous obstiner. Tout dépend de votre qualité d’anxiété, de la cohérence entre votre choix et votre personnalité etc..

Vous aimer. Enfin, il faudra vous aimer, vous regarder avec bienveillance, humour et lucidité. L’amour équitable de soi est la pierre d’angle de toute relaxation.

La relaxation est une stratégie du bonheur. Je ne plaide pas pour l’insouciance et la frivolité, mais pour une juste appréciation des choses, que vous prenez pour des montagnes, et des petits ennuis que vous nommez tragédies.

Il existe plusieurs sortes de relaxations EXPRESS ou ESCARGOTES ou ALEATOIRES : LOCALES – GENERALES – MENTALES

LOCALES : Ces relaxations visent un organe précis, ou une contraction bien déterminée. Exemple : la relaxation de la langue. Elles sont subdivisées en relaxations  dites « Express », et « Aléatoires » . Elles s’apprennent rapidement et détendent en quelques minutes. Elles ne réclament aucune posture singulière, elles peuvent être exécutées discrètement dans la rue, au bureau, n’importe où. Leur effet est généralement limité.

GENERALES : Ces relaxations s’adressent à l’ensemble du corps. Exemple : la station debout. Elles se subdivisent en relations « express » et « escargotes ». Elles postulent une oasis de calme. Elles ouvrent éventuellement sur d’autres niveaux de conscience.

MENTALES : Ces relaxations privilégient l’attitude intérieure. Exemple : « La prière », ou « Vivre le Présent ». Elles se subdivisent en relaxations « escargotes » et aléatoires »

 

Voici quelques exemples :

RELAXATION LOCALE DE LA LANGUE (express) – Imaginez le volume de votre cavité buccale, vous la voyez ? Détendez les mâchoires en bas, les dents doivent à peine s’effleurer, explorez avec la langue l’arrière des incisives, le palais rugueux près des dents et le voile si doux. Prenez conscience du volume de la langue, de son attache dans l’arrière-gorge ; Représentez-vous maintenant la masse tout entière de langue de la base à la pointe, laissez-la s’affaisser, s’aplatir au fond de la bouche comme une sole échouée sur le sable du fond de l’eau. Sentez votre langue mole, chaude, indolente, amorphe. Résistez aux envies de l’agiter, maintenez-la avec patience étalée, calme, au repos.

C’est extraordinaire, on peut la pratiquer en faisant ses courses, chez le médecin, en voiture, pas besoin de s’allonger sur un tapis.

RELAXATION GENERALE (express): La marche est déjà une forme de détente. Balancement rythmé, respiration approfondie et régulière, accueil paisible du spectacle de la rue, ou d’un paysage. Le promeneur qui jette sur les gens et les choses un regard innocent réalise un début de relaxation oculaire et mentale.

…………….. (escargote) : Pendant cette même marche, une inspiration sur deux pas, rétention de souffle sur deux pas, inspiration sur deux pas etc. Le nombre de ces inspirations fractionnées est libre et se modèle sur la capacité de chacun (la moyenne est de quatre à six inspirations). Une expiration en continu par le nez de préférence conclut cette partie de l’exercice. Recommencer cinq fois.

RELAXATION MENTALE (express) : S’installer dans un endroit isolé. Prendre une posture de stabilité classique ou assis sur une chaise basse, l’essentiel est de garder le dos bien droit (ce peut être aux toilettes) … Pointez les deux mains en direction de l’abdomen (paumes à l’intérieur). Expirez en essayant de contracter le muscle relevateur de l’anus. Ensuite relâchez doucement le muscle. Inspirez en laissant bomber légèrement le ventre. Les mains s’élèvent en même temps que le souffle. Les doigts sont toujours pointés vers le bas.

…………… (escargote) : ajoutez-y votre souffle qui atteint le plexus… Placez les doigts à l’horizontal, les mains se font face. Ecartez largement l‘accordéon des côtes, les mains montent régulièrement puis redescendent doucement. Votre inspiration est achevée, vous bloquez le souffle et expirez.

………….. (aléatoire) : Le souffle atteint la zone claviculaire… Vous surélevez le thorax. Les mains continuent leur ascension en un mouvement lent, régulier, harmonieux ; elles passent devant la gorge et le visage. Votre inspiration est achevée, vous bloquez le souffle. Les mains s’immobilisent enfin paumes tournées vers le ciel. Le visage renversé, les yeux fermés en direction d’un soleil réel ou imaginaire…. Vous prononcez mentalement le mot « Paix«  !

BULLES

Je souhaite que ces petits exercices vous soient utiles pour bien démarrer votre relaxation quotidienne …

Notre corps est la pierre d’angle de notre âme, la racine du ciel. Il n’est pas une machine à notre service, une « guenille », mais un être vivant, digne de respect. Une certaine tradition nous a peu préparés à adopter une attitude juste, équilibrée vis-à-vis de notre corps. Il fut souvent méprisé au cours des siècles passés. En réaction, aujourd’hui, nous l’idolâtrons. Excès, qui sont les plus sûrs ennemis de notre harmonie, de notre paix. Pourtant les plus hautes cultures, les grandes religions, la science comprise, même nous l’enseignent : il faut tout simplement « habiter » notre corps comme l’on habite un pays. Le corps est notre première patrie.

Je vous souhaite donc de belles découvertes les Amis !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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RETROUVER le chemin de la LUMIERE

Posté par othoharmonie le 17 décembre 2015

 

SF002_signatures-frequentiellesLa « nuit noire de l’âme » est une expérience peu connue, et qui serait pourtant très répandue, en témoignent les nombreux récits sur le sujet. Elle se caractérise par une perte profonde de sens, sur notre vie et nos croyances ; une sorte de « dépression » de l’âme, qui plonge au cœur de nos peurs les plus profondes, et prépare à une véritable transformation intérieure. L’égo se meurt, le « vrai soi » s’éveille…

Ce sentiment de désolation spirituelle a été largement relaté à travers les siècles. Dans les écoles des mystères de l’Égypte antique, on essayait de le créer artificiellement, pour tenter d’atteindre un éveil « en accéléré ». Enfermé dans un sarcophage, l’expérimentateur était confronté à ses peurs intimes: l’obscurité, la solitude, la mort. Après quelques jours, le sarcophage était ouvert. Les survivants avaient réussi l’initiation. Dans la mythologie, on retrouve d’autres récits similaires, parfois appelés « voyage au bout de la nuit » ou encore « descente aux enfers »

Le premier à avoir utilisé l’expression est le mystique Jean de la Croix, au XVIème siècle, dans son livre « La nuit obscure ». Les récits de nuit noire ont de nombreux dénominateurs communs. Elle touche très souvent des personnes qui cheminent, par le biais du développement personnel ou de la spiritualité, et qui pensent avoir trouvé une forme de vérité, de sérénité. Selon Jean de la Croix: « Plus les choses divines sont en soi claires et manifestes, plus elles sont naturellement obscures et cachées à l’âme. Il en est ici comme de la lumière naturelle : plus elle est claire, plus elle éblouit et obscurcit la pupille du hibou ; plus on veut fixer le soleil en face, et plus on éblouit la puissance visuelle et on la prive de lumière (…). De même quand cette divine lumière de la contemplation investit l’âme qui n’est pas encore complètement éclairée, elle produit en elle des ténèbres spirituelles. » 

Ainsi, à l’image des premiers rayons de soleil qui viennent réchauffer la terre et chassent la pénombre, la nuit noire de l’âme crée une dynamique, un mouvement de vie, elle génère un changement en profondeur. Pour Fanny, une consultante en webmarketing âgée de 28 ans, « ça a commencé après un épisode extrêmement fort, ou j’avais le sentiment d’avoir atteint l’éveil, et d’avoir trouvé ma place. Puis ce sentiment s’est évanoui. Et toutes mes peurs sont ressorties. J’ai pensé que je serais comme ça toute ma vie, dans une tristesse, une colère omniprésente. Je me suis désintéressée de mon cheminement spirituel. J’ai eu l’impression que tout ce que j’avais appris était « n’importe quoi ». 

Lors de la nuit noire, les personnes se rendent compte, et ressentent dans leur corps que tout ce qu’elles pensaient savoir, et qui était fabriqué par le mental, est erroné. Sans préambule, tout s’écroule. La paix apparente laisse alors place à une déprime profonde, un sentiment de vide qu’aucune activité ne trompe, qu’aucune lecture ou séance chez le psy ne semblent soulager. Selon Eckhart Tolle, qui raconte son expérience de nuit noire sur son site, ce sentiment a un sens précis, le retour « à un état d’ignorance où les choses perdent la signification que vous leur aviez donnée et qui était seulement conditionnelle, culturelle, etc. Vous pouvez alors regarder le monde sans imposer un cadre de signification fabriqué par le mental (…). C’est pourquoi c’est si angoissant quand cela vous arrive effectivement plutôt que de l’adopter vraiment consciemment. »

Thierry Pasquier, un docteur en pharmacie, a vécu cette traversée durant 23 ans. Dans sa 33ème année, alors patron d’un restaurant végétarien, créateur d’un éco village et professeur de Kundalini Yoga, son monde s’effondre. Sa voiture rend l’âme, ses deux chats meurent, sa femme le quitte avec l’un de ses enfants, sa maison est réduite en cendres par un incendie. Il comprend un peu plus tard qu’il traverse une nuit sombre de l’âme. Selon lui, elle serait le résultat « d’une déchirure que nous faisons entre nos vieilles habitudes cellulaires et un autre état d’âme lumineux dont nous n’acceptons pas encore l’intensité ».

Dans le cas de la nuit noire, l’obscurité peut se révéler de l’intérieur, sans forcément de cause extérieure connue, comme dans le cas de Thierry. Nous sommes confrontés brutalement aux racines de nos vieux fardeaux émotionnels, à nos peurs les plus profondes, dont certaines que nous n’avions même pas identifiés. Tant que nous n’avons pas vu nos peurs en face, le mental tourne en rond, l’égo est renforcé, un concept intellectuel en chasse un autre, mais aucun n’est réellement intégré par l’expérience du corps. 

Les peurs auxquelles nous sommes confrontées, très intimes, sont souvent bien supérieures à tout ce que nous avions connu, à la limite du soutenable. Tant que nous nous identifions à elles, le jeu de l’égo est entretenu, et elles sont alimentées. Thierry Pasquier raconte comment il a déjoué ce cercle pernicieux : « la meilleure chose à faire pour moi était de lâcher-prise sur la souffrance, sur ce qui était là. Juste observer la souffrance, sans mettre un couvercle dessus, ni la faire bouillir en mettant sous la marmite le feu du mental: « comme je suis nul, je tourne en rond, je n’arriverai à rien, j’ai gâché ma vie, je ne change pas malgré mes efforts, etc. » Simplement laisser pleurer le corps, le temps que ça dure, une heure, une journée, une semaine. » Ainsi, on se désidentifie de notre souffrance, on voit émerger notre « vrai » nous, notre « âme ». On reprendre le pouvoir que l’on a donné à notre peur. Tout comme dans le processus de deuil- celui de notre égo négatif -, le déni puis la dépression laissent place à l’acceptation. 

Heureusement, cette période initiatique ne dure qu’un temps. Fanny raconte : « J’ai commencé à m’en sortir le jour ou j’ai touché le fond. C’était de mon anniversaire, j’ai passé la journée sur le canapé, les yeux dans le vide. Après plus de deux années dans cet état, je n’en pouvais plus. J’ai compris qu’il fallait que je m’abandonne, que je ne pouvais rien faire d’autre. Et le lendemain j’allais beaucoup mieux. »

D’après les récits, la manière dont une nuit obscure de l’âme se termine est souvent la même. On vit dans sa chair ce qui est souvent relaté dans les enseignements spirituels, ou les récits d’éveil : lorsque nous lâchons prise, nous nous rendons compte de l’impermanence des pensées et des émotions. Eckart Tolle explique: « (les personnes) s’éveillent à quelque chose de plus profond qui n’est plus basé sur des concepts dans leur tête : un sentiment plus profond de but ou de connexion avec une vie plus grande qui ne dépend plus des explications, ni de rien de conceptuel. » 

Alors que des peurs profondes s’évanouissent et que les jeux du mental s’apaisent, on éprouve une énorme gratitude, un sentiment de libération très puissant. 

Par la suite, même si des pans entiers de croyances sont tombés, l’apprentissage n’est pas terminé. Mais notre regard sur les jeux de l’égo a changé, et les leçons de vie semblent plus directes, plus rapides à intégrer. On se laisse moins happer par les vagues. Un espace de sérénité s’est ouvert et l’on peut continuer de le nourrir en soi.

source INREES 

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ETRE A L’ECOUTE DE CE QUE NOUS SOMMES

Posté par othoharmonie le 17 décembre 2015

Écouter pour découvrir a un tout autre sens qu’écouter simplement pour avoir confirmation de ce que l’on pense déjà. Si vous êtes ici simplement en quête de confirmation, d’encouragement à suivre votre ligne de pensée, votre écoute n’a guère de valeur. Mais si vous écoutez pour aller à la découverte, alors votre esprit est libre, sans obligation ; il est très vif, acéré, vivant, curieux, interrogatif, donc capable de découverte. Il est donc capital d’examiner pourquoi vous  écoutez, et ce que vous écoutez, ne croyez-vous pas? 

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   Vous est-il déjà arrivé de rester assis en silence, sans fixer votre attention sur quoi que ce soit, sans faire d’efforts pour vous concentrer, mais en ayant l’esprit très calme, vraiment silencieux? Alors rien ne vous échappe, vous entendez les bruits lointains comme les plus rapprochés, et ceux qui sont tout près, les sons les plus immédiats – ce qui signifie en fait que vous écoutez tout. Votre esprit n’est pas confiné à un petit canal étroit. Si vous êtes capables d’écouter de la sorte, avec facilité, sans effort, vous vous apercevrez qu’un changement extraordinaire s’opère en vous, un changement qui survient sans volonté délibérée, sans avoir rien demandé, et dans ce changement il y a une immense beauté, une grande profondeur de vision. 

    Faites-en l’expérience à l’occasion, maintenant par exemple. Tandis que vous m’écoutez, n’écoutez pas que moi, mais soyez attentifs à tout ce qui vous entoure. 

Écoutez tinter toutes ces cloches, celles des vaches et celles des temples, écoutez le bruit du train au loin et les charrettes sur la route ; et si vous vous rapprochez encore et m’écoutez aussi, vous découvrirez une qualité d’écoute beaucoup plus profonde. Mais pour ce faire, votre esprit doit être très calme et silencieux. Si vous avez vraiment envie d’écouter, votre esprit fait spontanément silence, n’est-ce pas? Vous n’êtes pas distraits par ce qui se passe à côté de vous, votre esprit est silencieux parce que vous écoutez toute chose intensément. Si vous êtes à même d’écouter de cette manière-là, sans effort, avec une certaine félicité, vous vous apercevrez qu’une transformation stupéfiante s’opère dans votre cœur, dans votre esprit, une transformation à laquelle vous ne vous attendiez pas, et que vous n’avez suscitée en aucune manière. 

    La pensée est chose très étrange, n’est-ce pas? Savez-vous ce qu’est la pensée?

Pour la plupart des gens, la pensée, ou l’acte de penser, est une élaboration de l’esprit, et ils se battent à propos de leurs pensées. Mais si vous êtes capables d’écouter vraiment tout – le clapotis de l’eau au bord d’une rivière, le chant des oiseaux, les pleurs d’un enfant, les remontrances de votre mère, les taquineries d’un ami, les récriminations de votre femme ou de votre mari –, vous découvrirez alors que vous passez au-delà de la simple expression verbale, au-delà des mots qui déchirent tant notre être. 

Et il est très important d’aller au-delà de la simple expression verbale, car que cherchons-nous en définitive? Que nous soyons jeunes ou vieux, inexpérimentés ou avancés en âge, nous voulons tous être heureux, n’est-il pas vrai? En tant qu’élèves, nous voulons être heureux à travers le sport, l’étude, et toutes les petites activités qui nous sont chères. En prenant de l’âge, nous cherchons le bonheur dans la possession de biens, d’argent, d’une belle maison, d’un mari ou d’une femme compréhensifs, d’un bon travail. Lorsque tout cela ne nous satisfait plus, nous optons pour autre chose. 

Nous disons: « Je dois me détacher, et je serai heureux. » Nous commençons donc à pratiquer le détachement. Nous quittons notre famille, nous renonçons à nos biens et nous nous retirons du monde. Ou nous rejoignons une organisation religieuse, pensant être heureux en nous rassemblant, en parlant de fraternité, en suivant un gourou, un Maître, un idéal, en croyant à ce qui n’est essentiellement qu’une illusion, une chimère, une superstition.  

   Comprenez-vous de quoi je parle?

    Lorsque vous vous coiffez, que vous enfilez des vêtements propres, et que vous soignez votre apparence, tout cela participe de votre désir d’être heureux, n’est-ce pas? Quand vous réussissez vos examens et que vous ajoutez quelques titres universitaires à la suite de votre nom, quand vous décrochez un emploi, que vous achetez une maison ou d’autres biens, quand vous vous mariez, que vous avez des enfants, quand vous rejoignez une organisation religieuse dont les chefs disent recevoir des messages émanant de Maîtres invisibles – derrière tout cela se cache ce formidable besoin, cette irrésistible envie de trouver le bonheur. 

   Mais en fait, le bonheur ne vient pas si facilement, car il n’est rien de tout cela. Vous pouvez certes éprouver du plaisir, trouver une nouvelle forme de satisfaction, mais tôt ou tard on s’en lasse, car il n’existe pas de bonheur durable dans les choses que nous connaissons. Les larmes font suite au baiser, le rire fait place à la souffrance et à la désolation. Tout fane, tout se délite. Vous devez donc, tant que vous êtes jeunes, commencer à découvrir ce qu’est cette chose étrange qu’on appelle le bonheur. C’est un des aspects essentiels de l’éducation. 

    Le bonheur ne vient pas lorsqu’on le cherche – là est le plus grand secret – mais c’est facile à dire… Je peux expliquer les choses en quelques mots très simples, mais vous contenter de m’écouter et de répéter ce que vous avez entendu ne va pas vous rendre heureux. Le bonheur est étrange, il vient sans qu’on le cherche. Lorsque vous ne faites pas d’efforts pour être heureux, alors, mystérieusement, sans qu’on s’y attende, le bonheur est là, né de la pureté, de la beauté qu’il y a dans le simple fait d’être. Mais cela exige énormément de compréhension – c’est autre chose que de faire partie d’une organisation ou de vouloir devenir quelqu’un. La vérité naît lorsque votre esprit et votre cœur sont exempts de toute sensation d’effort et que vous n’essayez plus de devenir quelqu’un ; la vérité est là lorsque l’esprit est très silencieux, qu’il écoute à l’infini tout ce qui se passe. Vous pouvez écouter les mots prononcés ici, mais pour que le bonheur soit, vous devez découvrir comment libérer l’esprit de toute peur. 

Extrait du livre LE SENS DU BONHEUR -  KRISHNAMURTI  à retrouver ICI : http://bibliothequecder.unblog.fr/2014/12/04/le-sens-du-bonheur-de-krishnamurti/

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MEDITER REND-IL HEUREUX

Posté par othoharmonie le 13 décembre 2015

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Plusieurs éléments nous conduisent à penser que c’est le cas. L’un des plus anciens sourires de l’histoire de l’art – et de l’Histoire tout court – n’est-il pas celui d’un méditant notoire, Bouddha ?

Il fut façonné dans le marbre et le grès dès le IIIè siècle avant Jésus-Christ. Qu’il soit assis en lotus ou allongé sur le côté avant son dernier sommeil, que ses yeux soient ouverts ou mi-clos dans l’illumination béate du nirvana, son visage s’éclaire du sourire de la sérénité intérieure.

La légende prétend d’ailleurs que le Bouddha était d’un naturel calme et souriant, et qu’il utilisait aussi le sourire pour enseigner la voie vers l’illumination. Alors qu’il séjournait sur le pic Gridhratuka dans le nord de l’Inde, on raconte qu’il s’assit pour prêcher devant un groupe de moines venus l’écouter. Soudain, il devint silencieux. Il cueillit une fleur et la contempla, guettant en même temps l’attention de ses disciples. L’assemblée des moines resta ébahie et désemparée devant son geste, attendant la suite. Pourtant, l’un d ‘entre eux, Kasyapa, sourit à ce geste, comme pour y répondre.

Le Bouddha vit dans le sourire de Kasyapa qu’il avait saisi le message : le vrai regard sur le monde est intérieur. Il se situe au-delà des mots ; il consiste à percevoir le fond des choses, sans rien exclure, avec un œil joyeux.

D’autres témoignages renforcent l’idée que les traditions méditatives permettent non seulement de se départir de la détresse, amis nous offrent aussi de cultiver le bonheur, de le faire pousser. Bien sûr, le bonheur semble découler naturellement de l’absence de malheur… mais pas seulement.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pour trouver le lieu secret

Posté par othoharmonie le 20 novembre 2015

Comment le chercher? Où le trouver? Comment y habiter? ce sont là des questions que l’on se pose de nos jours plus qu’à aucune autre époque, car nous avons besoin d’abord de spiritualité.

Le lieu secretLorsque nous prononçons les paroles de vérité, essayant de manifester la lumière que nous possédons déjà, nous progressons et nous nous rapprochons du jour où nous aurons consciemment l’entendement parfait du Christ; avec tout ce que cet entendement implique, c’est-à-dire l’amour, la beauté, la santé, et la puissance.

Attendons cette pleine manifestation sans inquiétude et sans hâte. Ne perdons jamais de vue le fait que notre désir, si grand soit-il n’est que le désir de Dieu, en nous. « Nul ne peut venir à moi si le père qui m’a envoyé ne l’attire ». Le Père en nous, désire nous révéler le secret de sa présence; sans cela nous ne serions pas affamés de vérité.

Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis et je vous ai établis, afin que vous alliez et que vous portiez du fruit ».

Vous qui lisez ces lignes, quelle que soit la place que vous occupiez en ce monde, soit que vous prêchiez l’évangile, soit que vous habitiez une humble maison, lorsque vous cherchez la vérité afin de la manifester par une vie plus douce, plus forte, une vie moins égoïste, ce n’est pas vous qui cherchez Dieu, mais c’est Dieu qui vous cherche.

Ce que vous sentez, ce que vous désirez, c’est l’Énergie Éternelle, qui fait mouvoir les mondes dans leur orbite, cette Énergie se faisant jour à travers vous afin d’être manifestée. Ne vous tourmentez pas, ne vous inquiétez pas. Ne faites pas d’efforts et laissez faire. Apprenez à laisser faire.

Après avoir battu tous les chemins, cherchant de ci, de là, le désir de notre coeur, il nous faut aller droit à celui qui est l’accomplissement de tous les désirs; à celui qui attend, afin de se manifester davantage à nous et à travers nous. Si vous désiriez mon affection ou quelqu’autre qualité qui forme ce que je suis (et non ce que je possède), vous n’iriez pas trouver Jean, Pierre ou Paul; mais vous viendriez directement à moi, afin de recevoir ce que seul je puis vous donner.

Après avoir tant cherché la lumière et la vérité, il faut que chacun de nous apprenne à compter sur Dieu pour recevoir cette révélation intérieure, pour sentir cette union avec le Seigneur.

La lumière que nous désirons n’est pas quelque chose que Dieu puisse nous donner. C’est Dieu lui-même. Dieu ne nous donne pas la vie et l’amour comme s’il s’agissait d’objets. Dieu est la Vie, la Lumière et l’Amour. Ce dont nous avons besoin, c’est d’avoir plus de lui-même, quel que soit le nom que nous lui donnions.

Je dois être revêtu de la puissance « d’en haut », c’est-à-dire une région plus élevée que celle où se trouve actuellement mon entendement conscient. C’est une descente du Saint Esprit (entier, total) au centre de l’être dans l’entendement conscient. L’illumination que nous désirons ne peut jamais venir autrement, non plus que le pouvoir de manifester le bien.

« Demeurer dans le silence ». Pour beaucoup, cela ne signifie pas grand chose, car ils n’ont pas encore appris à « compter sur Dieu », et ils n’entendent que les voix du dehors. Le bruit appartient au monde extérieur, et non à Dieu. Dieu travaille dans le silence, et nous pouvons compter sur le Père en notre être afin de devenir conscients du travail intérieur, conscients de l’accomplissement de nos désirs. « Rien ne manque à ceux qui le craignent ». Ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leurs forces ».

Dans un de ses contes, Edward Everett Hale parle d’une petite fille qui jouait à la campagne avec les oiseaux et les papillons; elle quittait souvent ses jeux pour aller prier dans une chapelle qui se trouvait non loin de là, et après avoir prié, elle restait parfaitement tranquille, « attendant, disait-elle, de voir si Dieu avait quelque chose à lui dire ». Les enfants sont toujours plus près que nous du royaume céleste.

Quand vous commencerez l’exercice du silence, ne croyez pas que cela soit nécessaire de vous trouver en compagnie d’autres personnes. La présence d’une autre personnalité est apte à distraire l’esprit. Apprenez à communier seul avec le Créateur de l’univers, qui est votre vrai compagnon. Et lorsque vous serez capable de vous abstraire de ce qui vous entoure, vous pourrez vous réunir à plusieurs, et cela sera profitable pour vous.

C’est attendre la voix de Dieu. Choisissez un moment où vous ne serez pas dérangé, et où vous pourrez laisser de côté tout souci. Élevez votre coeur en vous adressant au Père. Ne craignez pas d’être trop « orthodoxe ». Vous ne suppliez pas un Dieu qui vous a déjà donné « tout ce que vous demandez ». Vous savez qu’il vous l’a déjà envoyé.

Vous ne lui adressez pas une prière incrédule, plaidant votre cause et le suppliant. Vous parlez directement au Père et votre Esprit se concentre sur l’Éternel. Beaucoup de personnes ont essayé sincèrement de demeurer silencieuses, attendant que Dieu leur parle, mais dès qu’elle fermait les yeux, leur esprit se trouvait rempli de toutes sortes de vaines imaginations. Les sujets les plus ordinaires et les plus futiles se succédaient avec rapidité dans leur cerveau, et au bout d’une heure, elles n’avaient obtenu aucun résultat, ce dont elles étaient découragées.

de « H. Emilie Cady  » tiré du livre « La leçon de Vérités » sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Le bonheur est un choix

Posté par othoharmonie le 2 novembre 2015

 

La plupart des gens l’ignorent et c’est ce qui les empêche de faire ce choix. Malheureusement pour nous tous, le malheur est également un choix. Je n’ai pas dit que ce choix est conscient, mais que le malheur et le bonheur sont des choix. Je dois cependant ajouter une nuance : la seule façon de réellement vivre le choix que je vous propose ici consiste à vraiment faire les exercices qui le permettent. Y penser ne fera pas le travail.

 Bougainvillier

Le bonheur est un choix. La plupart des gens l’ignorent et c’est ce qui les empêche de faire ce choix. Malheureusement pour nous tous, le malheur est également un choix. Je n’ai pas dit que ce choix est conscient, mais que le malheur et le bonheur sont des choix. Je dois cependant ajouter une nuance : la seule façon de réellement vivre le choix que je vous propose ici consiste à vraiment faire les exercices qui le permettent. Y penser ne fera pas le travail. Je sais que c’est l’évidence même, mais je préfère le répéter, car il y a encore trop de gens qui ont la pensée magique dans le domaine du développement personnel. Ils croient que leur vie changera simplement en lisant un livre. Eh bien non ! Il y a un certain travail à réaliser pour être heureux. La bonne nouvelle, c’est que le travail devient de plus en plus facile jusqu’à ce que le choix du bonheur soit « intégré » en vous. À ce moment-là, ce choix ne nécessitera presque plus de travail pour être maintenu dans votre vie.

J’ai suivi des formations en développement personnel pendant douze ans. Durant toutes ces années, j’ai remarqué un phénomène vraiment intéressant. Pendant que certains participants vivent des transformations extraordinaires à partir de certaines techniques, d’autres ne font absolument pas de progrès, peu importe les méthodes et les experts avec qui ils travaillent. Pour rendre la chose intéressante, j’étais une des personnes pour qui rien ne fonctionnait, peu importe ce que je faisais.

 

LA DÉMENTALISATION

Pendant huit ans, la plupart des méthodes que j’avais apprises dans ces formations ne fonctionnaient pas pour moi, sauf quand une personne vraiment compétente faisait le travail avec moi. Je devais être vraiment désespéré pour continuer d’investir autant d’argent, de temps et d’énergie malgré une absence apparente de résultat, et c’est ce que la plupart de mes proches pensaient. Toutefois, après ces huit ans d’absence de résultat, mon Suédois favori avait réussi à me faire réintégrer mon corps. J’avais été «démentalisé». À partir de ce moment, la programmation neurolinguistique, l’hypnose, le chamanisme et les autres méthodes se sont mis à fonctionner vraiment bien pour moi, comme si de rien n’était. Dire que j’ai cru pendant toutes ces années que toutes ces histoires de développement personnel étaient de la foutaise. Eh bien non ! Je n’étais juste pas dans mon corps pour en ressentir les effets. C’est à la suite de cette expérience que j’ai su qu’il y avait une solution pour chaque « mental récalcitrant » qui vivait la même chose que moi. Depuis cette expérience, j’ai développé et raffi né un processus qui permet à la plupart des gens de ressentir leur corps de façon de plus en plus complète à mesure qu’ils le pratiquent.

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Exercice HABITER SON CORPS

1. Imaginez que deux tiges (connexions) partent de votre cerveau et descendent jusqu’au milieu de la plante de chacun de vos pieds. Comment l’expérience de votre corps change-t-elle quand vous imaginez cela ?

2. Maintenant, imaginez que cinq connexions de plus partent de votre cerveau et descendent jusqu’au bout de votre pied droit et que cinq autres connexions partent de votre cerveau et descendent jusqu’à votre pied gauche. Comment l’expérience que vous vivez dans votre corps change-t-elle quand vous imaginez cela ?

3. Imaginez maintenant que chacune de ces tiges verticales produit des branches horizontales à l’intérieur de votre corps à chaque centimètre, incluant vos bras et vos mains. Cela change-t-il ce que vous ressentez dans votre corps ?

4. Multipliez toutes les branches dans toutes les directions comme si elles remplissaient entièrement votre corps. Remarquez ce que vous vivez quand votre corps est rempli de neurones.

5. Maintenant, posez-vous la question suivante et remarquez ce que cette question fait à votre expérience. Notez que vous n’avez pas nécessairement besoin de répondre à cette question. La voici : « Qu’est-ce qui change en moi lorsqu’il n’y a plus de séparation entre “moi” et “mon corps” ? » À force de faire cet exercice, il vous sera de plus en plus facile d’habiter votre corps et de sentir que c’est normal de vivre ainsi. Si, toutefois, vous vous sentez « débranché », vous pouvez simplement vous poser la question écrite à la cinquième étape pour vous « ramener » rapidement dans votre corps. Si un aspect ou un autre de cet exercice vous échappe, vous pouvez regarder une présentation vidéo sur mon site Internet qui vous guide à travers cet exercice. 

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SE RECONNECTER À SON ESSENCE

Depuis très longtemps, je sentais que chaque personne était venue sur la terre pour une raison. Je ne pouvais pas l’expliquer et je ne savais pas pourquoi, mais je cherchais ardemment dans cette direction. Après un certain temps, j’ai fi ni par ressentir mon essence. Je trouvais ça merveilleux et je savais que ce que je vivais était ce que j’avais cherché toute ma vie. À ce moment-là, ma vie s’est mise à changer de façon accélérée. C’était comme si j’avais trouvé mon chemin et qu’il m’emmenait où je devais aller. Les coïncidences se multipliaient et j’avais l’impression de toujours vivre les choses parfaites pour moi au moment où je les vivais. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point ça fait du bien après une vie de lutte et de combat internes ! C’était comme partir d’une prison pour aller vivre dans un chalet à la campagne, sur le bord d’un lac. Je me sentais tellement léger que j’avais l’impression de flotter dans les airs. Tout ce que je faisais me semblait sans effort, ou presque. Je me suis rendu compte que la vie était beaucoup plus intéressante que je ne le croyais…

 

Par Alexandre Nadeau – Allez simplement au www.alexandrenadeau.com

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Évolution spontanée – y assistons-nous

Posté par othoharmonie le 19 octobre 2015

 

 

Si au vu des nouvelles souvent alarmantes rapportées par les médias, vous vous demandez quel avenir nous attend, voici une constatation qui pourrait bien vous étonner : du point de vue de l’évolution, nous serions exactement là où nous sommes censés être. Selon l’éminent biologiste Bruce Lipton [Biologie des croyances] et le commentateur politique et culturel Steve Bhaerman, tout ce qui arrive aujourd’hui concourt à démontrer que notre espèce s’apprête à faire un incroyable bond évolutif.

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Dans Évolution spontanée, nous sommes invités à découvrir une vision de la science et de l’histoire qui permet de mieux comprendre la prochaine étape « holistique » dans l’évolution de notre civilisation. À l’initiative de ces deux pionniers, nous pouvons ainsi explorer :

•  les trois questions éternelles auxquelles tout système de croyance doit pouvoir répondre, et pourquoi ces réponses ont changé au fil des siècles ;

•  les quatre « mythe-perceptions de l’Apocalypse » – les idées fondatrices de la pensée moderne – et pour quelles raisons ces mythes sont sur le point de s’effondrer ;

•  pourquoi le modèle pour un avenir durable et viable se trouve littéralement à l’intérieur de vous, encodé dans chacune de vos 50 000 milliards de cellules ;

•  ce que vous pouvez faire pour contribuer au plus grand changement de culture depuis la révolution copernicienne.

Bon nombre des idées et des institutions définissant la culture contemporaine s’apprêtent à disparaître, et c’est une bonne chose selon Lipton et Bhaerman. Cela fait partie du processus naturel d’élimination de ce qui ne nous sert plus, afin de laisser place à une nouvelle façon d’être qui nous mènera vers l’âge d’or qui s’amorce. Évolution spontanée offre une aperçu perspicace, par moment humoristique, mais surtout encourageant sur l’avenir qui nous attend, et montre comment nous pouvons jouer un rôle actif comme cocréateurs de notre destinée commune.

Voici comment les deux auteurs de ce livre phare décrivaient dans une récente entrevue ce qui les a poussés à l’écrire, ainsi que la vision qui les animait.

Steve Bhaerman : « Voilà plus de 25 ans que je m’intéresse de près à la psychologie, au mouvement de croissance personnelle et à diverses formes de méditation et de spiritualité. Depuis environ 7 ans, j’ai de plus en plus envie d’intégrer tout cela, et il me semblait que le moment était venu de le faire. J’ai d’abord eu l’idée d’écrire un livre qui s’intitulerait Guérir le corps politique. Ensuite, je me suis demandé avec qui j’aimerais réaliser un tel projet, en me disant que ce pourrait être, par exemple, un médecin holistique. Puis, environ 9 mois après avoir fait la connaissance de Bruce, je me suis dit : ‘Tiens… je parie que Bruce serait la personne idéale avec qui travailler sur ce projet’. Et, de fait, l’idée lui a immédiatement plu. Le premier titre auquel nous avions songé pour ce livre était L’évolution américaine, parce que Bruce et moi partageons une grande admiration et un profond respect pour les idées que les pères fondateurs de notre pays ont intégrées, il y a plus de 230 ans, dans la Constitution des États-Unis. Toutefois, comme Bruce enseigne souvent à l’étranger, nous avons bientôt réalisé que le thème de la révolution américaine nous limiterait peut-être et qu’il nous fallait donc donner à notre sujet à une portée plus universelle. »

Bruce Lipton : « Ce que l’on peut retenir de la révolution américaine est très important parce que les idées mises de l’avant par les pères fondateurs de la nation américaine ne concernaient pas uniquement les États-Unis. De leur propre aveu, les idées qu’ils offraient s’adressaient au monde entier. Comme tu l’as mentionné Steve, si nous avions adopté l’évolution américaine comme titre, cela aurait limité notre propos alors qu’il s’agit d’un sujet touchant l’ensemble de la planète. Nous avons donc finalement décidé que ce n’était pas la voie à suivre. Cependant, du point de vue de la biologie, et compte tenu de la situation désastreuse dans laquelle notre monde se trouve, il est clair que la civilisation humaine traverse une phase critique et que notre survie est vraiment menacée.

Cela me rappelle une chose que j’ai souvent observée dans le monde médical, soit lorsqu’un patient est déclaré en phase terminale et qu’aussitôt tout le monde autour de lui considère sa mort comme inévitable. Et puis soudain, quelque chose d’inattendu se produit. Un changement fondamental s’opère dans les croyances de cet individu, et ce changement dans ses convictions profondes se traduit par ce que l’on appelle une rémission spontanée. On a donc un patient en phase terminale, et puis, l’instant d’après, toute trace de maladie est disparue, ce qui constitue un choc pour le personnel médical. Ce phénomène a été fréquemment rapporté et on sait aujourd’hui qu’il existe bel et bien. Nous avons donc jonglé avec l’idée d’inclure dans le titre du livre ce concept de rémission spontanée, car selon nous, les nouvelles informations que nous y offrons donnent aux gens la possibilité de changer leurs croyances sur ce qu’est la vie, ce qui pourrait avoir un effet similaire à ce qui se passe dans le cas d’un patient qui guérit spontanément après avoir adopté de nouvelles croyances. Il nous apparaît en effet que les pensées des gens forment un système vivant, tout comme les cellules du corps humain ou celles de tout autre système vivant. Dans les deux cas, une rémission spontanée peut donc théoriquement survenir.

C’est en réfléchissant à tout cela que le titre Évolution spontanée s’est naturellement imposé à nous. Il met en effet en valeur le fait que l’évolution récente de la théorie de l’évolution, notamment en raison d’une meilleure connaissance des mécanismes épigénétiques, a complètement transformé la vision darwinienne que nous en avions. En effet, selon la théorie darwinienne, l’évolution est un processus de changement très lent et graduel, s’échelonnant sur des millions et des millions d’années, au bout duquel un organisme finit par se transformer en un autre organisme. Toutefois, grâce à ce qu’ont révélé les travaux de Steven Jay Gould et de Niles Eldridge, nous comprenons mieux aujourd’hui la nature de l’évolution. Je fais ici référence à leur théorie des équilibres ponctués. Ce que leurs recherches ont mis en lumière, c’est que l’évolution est faite de longues périodes d’équilibre, ponctuées de brèves périodes de changements soudains et spectaculaires, suivis de l’apparition subite de nouvelles formes de vie. C’est donc ce genre de phénomène que nous anticipons pour notre monde.

Nous ne pouvons tout simplement nous permettre le luxe d’attendre que les choses évoluent lentement et progressivement. Nous soumettons donc l’idée qu’à l’instar de l’évolution des espèces, notre civilisation puisse connaître subitement, au moment où la conscience des gens s’éveille partout très rapidement, ce que l’on pourrait appeler une évolution spontanée. Et ce ne serait pas selon nous une affaire de quelques millénaires avant que de profonds changements s’opèrent partout dans le monde, mais bien l’affaire de quelques années. »

Comment parviendrons-nous à déclencher une telle évolution spontanée ?

Là est toute la question. Ainsi que les auteurs l’écrivent dans le dernier chapitre de leur livre, « Comment passer d’un mode de vie reposant sur un paradigme désuet à un autre basé sur des vérités plus proches de la réalité ? Comment participer consciemment à l’évolution du superorganisme qu’est l’humanité ? (…) Ce qui importe avant tout, c’est d’activer l’éveil de toutes les âmes, créant ainsi un puissant champ d’amour, de sorte que les dirigeants au pouvoir puissent entendre la voix collective et équilibrée du superorganisme que l’humanité devient. Par conséquent, le véritable défi pour chacun de nous consiste à s’atteler à la roue de l’évolution, à apprendre les leçons du passé afin de ne plus avoir à les répéter, et à se rappeler que c’est de l’intérieur et non de l’extérieur que les cellules éveillées du corps de l’humanité vont changer le monde. Nous jetons désormais les bases d’un avenir lumineux, nous vivons chaque instant avec un pied au paradis et nous construisons un pont que l’humanité tout entière pourra bientôt traverser. Telle est notre histoire d’amour – une histoire d’amour universelle célébrant notre unité avec l’univers tout entier : vous, moi, tout le monde, et tous les êtres vivants unis par la grâce de l’évolution spontanée. » 

Résumé préparé par Jean Hudon, traducteur de Évolution spontanée paru aux Éditions Ariane en 2011

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L’actualité ne doit pas être notre nourriture

Posté par othoharmonie le 18 octobre 2015

Hilarion-MastersTous les événements qui se passent en ce moment et nourrissent l’actualité, ne doivent pas vous nourrir, car ce ne sont que les soubresauts de la Terre qui se secoue pour se nettoyer avant de parachever son ascension.

Au lieu de laisser les autres vous insuffler la peur afin de mieux vous dominer, écoutez simplement l’Être de Lumière en vous, et ce qu’il vous dit. Pour l’entendre correctement, fermez-vous à l’extérieur et ouvrez votre cœur pour mieux écouter votre Soi intérieur.

Considérez l’extérieur comme la moitié vide du Calice de la Vie, que vous tenez entre vos mains, et l’intérieur, l’Être de Lumière qui est dans votre cœur, comme la moitié pleine dudit calice. Comme vous le voyez, deux façons de considérer le Calice de la Vie, de votre vie, que vous tenez entre vos mains et dont vous avez la responsabilité. Car bien entendu, la responsabilité de votre vie, de la conduite de celle-ci vous incombe totalement. A vous de voir si vous voulez nager, évoluer, dans le vide, ou dans la partie consistante, prête à vous soutenir, du Calice de la Vie.

Bien entendu les peurs sont là, toujours là, ces peurs distillées sciemment par vos médias officiels, ceux qui souvent prennent beaucoup trop de place dans votre vie. Aussi, fermez-vous totalement aux dés-informations extérieures, à la nourriture du vide, et concentrez-vous sur vous, sur l’Être de Lumière à l’intérieur de vous… En un mot, à la vie contenue dans le Calice de la Vie, de votre vie… aussi, prenez-en soin et considérez-le.

N’oubliez-pas : votre vie vous appartient… personne ne doit pouvoir vous ôter le Calice de la Vie de vos mains. Vous seuls devez choisir votre destinée, et vous le pouvez, puisque vous avez le Calice de la Vie, de votre vie, entre vos mains. Soyez bien conscients de cela et ne laissez personne d’autre s’en approcher pour se l’approprier.

Les réponses sont en vous

Je vous entends déjà : « mais que faire si je suis agressé ? », alors, posez-vous la question :
• que fais-je ici, là et maintenant ? ou
• pourquoi suis-je ici, là et maintenant ? ou
• que suis-je venu faire, apprendre, comprendre, dans cette vie-là ?

Si vous cherchez les réponses dans la moitié vide du Calice de la Vie… vous n’en aurez point ! Par contre, si vous interrogez la moitié pleine, celle qui se trouve au plus profond de votre cœur, là où réside l’Être de Lumière en vous, et où votre mental n’a pas accès, alors vous aurez votre réponse.

Bien sûr, ce n’est pas simple… vous entendez tellement de choses à l’extérieur, que votre mental n’écoute que cela et fausse votre jugement sur la manière de conduire votre vie. Dans cette bataille qui fait rage actuellement autour de vous, deux entités s’affrontent et se concurrencent pour le pouvoir de diriger votre vie, de s’approprier le Calice de votre Vie : ceux qui souhaitent vous enfermer dans un rôle d’esclave, à leur service, à leur merci… et qui vous le font savoir au travers de tous leurs médias, et votre mental qui lui, pour garder son pouvoir est souvent prêt à toutes les compromissions avec les premiers.

Aussi, encore une fois, fermez-vous à l’extérieur et ne laissez que l’Être de Lumière en vous s’exprimer. La solution pour la conduite de votre vie n’est pas à l’extérieur, elle est à en vous… uniquement en vous.

C’est vous qui tenez le Calice de votre Vie entre vos mains. Alors, assez cette responsabilité que vous avez choisie et acceptée avant de vous réincarner de nouveau. Dites-vous bien que tout ce qui vous semble désagréable dans cette vie, se situe dans la moitié vide du Calice de la Vie, et que les réponses à vos questionnements se situent dans la moitié pleine.

Vous avez le choix de consommer, d’user de la moitié vide ou de la moitié pleine… C’est là où se situe votre responsabilité. Ensuite, à vous d’assumer ce choix, car quel qu’il soit vous en retirerez un enseignement après en avoir pris conscience. La seule aide que vous pouvez obtenir quand à ce choix, se situe à l’intérieur de vous-même, où réside l’Être de Lumière en vous. Il ne demande qu’à être écouté, considéré… Alors, qu’attendez-vous ?

Il est évident que si vous évoluez dans la moitié vide du Calice de la Vie, vous laissez vos peurs, celles que l’extérieur vous a inculquées, prendre le pouvoir sur votre destinée et abdiquant totalement dans la conduite de votre vie, vous remettez à d’autres ce précieux calice encore présent entre vos mains.

Est-ce cela que vous désirez, mes chers Enfants de la Terre, qui lisez ces lignes ? Non, bien entendu !

Alors, « fermez totalement vos fenêtres » de l’extérieur, mais pas seulement pour les trois jours de noirceur comme le disent les enseignements, mais jusqu’à ce que l’Être de Lumière en vous soit totalement libéré et puisse réellement et totalement s’exprimer

 

Message du Maître Hilarion, reçu le 7 octobre 2015 par Jean-Paul Thouny

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Les pratiques d’enracinement (ancrage)

Posté par othoharmonie le 4 octobre 2015

arbreAncrage, enracinement… bien des théories, des exercices, des pratiques circulent sur le concept de l’ancrage. Afin d’installer, de renforcer ou de parfaire notre ancrage, il suffirait pour certains de marcher pieds nus dans l’herbe, pour d’autres de visualiser des sortes de racines partant de dessous nos pieds et plongeant dans le sol et, pour quelques autres encore, de pratiquer le jardinage ou bien la pêche en rivière. En clair, toute une liste d’activités certainement très agréables, apaisantes, réjouissantes mais indéniablement temporelles, provisoires, ponctuelles et surtout fondamentalement extérieures.

L’ancrage n’est pas un exercice, une attitude ou une posture. L’ancrage est un état. Et il ne se décrète ni ne s’improvise. L’ancrage est intimement lié à l’incarnation, c’est à dire, littéralement, au fait de descendre dans la chair, dans le corps. Et que doit-on y descendre, dans ce corps ? Tout simplement notre conscience ou notre esprit, pour employer un terme plus vaste. Evidemment ! s’exclameront peut-être certains, persuadés de ne rien apprendre de neuf dans ces propos. Certes, sauf que cette descente complète est le processus spirituel le plus difficile, exigeant, confrontant et inconfortable que je connaisse. Sans une acceptation pleine, entière, inconditionnelle de notre incarnation, dans tous ses aspects (géniteurs, sexe, apparence physique, attributs psychiques, contextes familial, social, culturel, éducatif, géographique etc…) il n’y a point d’ancrage véritable. Sans une exploration courageuse (dans le sens étymologique du « cœur qui agit ») de nos sombres cavernes intérieures, il ne peut y avoir d’ancrage.

L’ancrage n’a que peu à voir avec le fait d’être « terre à terre », cartésien, organisé, pragmatique ou capable d’affronter sans faillir les aléas apparents de l’existence. L’ancrage n’est pas l’apanage des hommes ni de celles et ceux qui se définissent comme « réalistes » et ayant les « pieds sur terre ». L’ancrage n’est certainement pas la caractéristique de ceux qui occupent leur corps et uniquement leur corps. Ceux-là sont simplement enfermés dans la paisible illusion conférée par leurs cinq sens. Cela ne suffit pas non plus d’aimer la nature, les animaux ou se sentir en communion avec les Devas de la forêt pour asseoir son ancrage à la Terre.

Il est à concevoir que la Terre porte dans les cinquante premiers kilomètres de sa croute de bien lourds stigmates qui correspondent à tout le sang versé par l’humanité depuis ses origines, au travers de toutes les guerres, tous les massacres, sacrifices, meurtres, abattages et outrages qui n’ont cessé de se perpétrer depuis des milliers et des milliers d’années. Ne nous leurrons pas davantage. Ce sang, véhicule de l’esprit dans le corps, qui a imprégné le sol en des quantités dont chacun peut sans difficulté imaginer l’importance, ne s’est pas transformé miraculeusement en une belle eau cristalline en entrant au contact de la Terre. Ce sang est, de fait, resté porteur d’une information vibratoire très lourde, sorte d’empreinte émotionnelle de fréquence remarquablement basse qui demeure en quelque sorte prisonnière de cette épaisse couche sous nos pieds, tant que le niveau de conscience présent en « surface » ne permet pas une spiritualisation effective de la matière (toujours dans le sens de faire descendre l’esprit dans la densité). Cette spiritualisation de la matière doit s’harmoniser avec l’œuvre alchimique accomplie en permanence par le collectif des arbres-maîtres (que bon nombre d’humains s’emploient d’ailleurs savamment à abattre, en toute inconscience). En outre, à ce réseau souterrain d’épais ruisseaux émotionnels s’ajoute l’infinité des corps meurtris, porteurs de toutes ces mémoires traumatiques et qui ont été enterrés dans cette même couche.

Et ce redoutable magma énergétique se traverserait, se franchirait par la simple intention ou en s’aidant de quelques visualisations et autres méditations guidées ? Non. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur. En clair, il ne faut espérer s’ancrer durablement au cœur de la Terre si un travail intensément déterminé d’illumination de nos grottes intérieures n’a pas été produit, un travail d’éclairage, d’accueil, d’Amour de nos propres ombres et « monstres » enfouis, un travail réalisé sans jugement, avec le plus haut degré de compassion vis-à-vis de nous-mêmes. De la même manière, nos « promenades » dans les plans subtils ne peuvent nous mener ailleurs que dans les méandres du bas astral si nous n’avons pas épuré certaines fréquences de notre personnalité et clarifié sans équivoque nos intentions.

En effet, lorsque nous tentons de nous ancrer sans passer par ce travail préalable de mise en lumière, nos racines entrent, lors de leur déploiement vers le cœur de la Terre, en résonance avec les fréquences lourdes contenues dans le sol (tant au niveau physique que vibratoire) et font gronder nos propres « monstres » intérieurs. Et cela, personne ne le supporte bien longtemps.

De quoi la Terre a-t-elle besoin en ces temps d’Ascension ? Précisément de piliers d’ancrage de la lumière, c’est à dire d’hommes et de femmes conscients de leur essence, de leur rôle dans le processus d’implantation de la nouvelle grille magnétique de la planète, des êtres qui conscientisent le fait que leur puissance de rayonnement et de manifestation de l’Amour inconditionnel dépend de leur capacité à s’incarner pleinement dans leur corps.

L’ancrage est l’attribut des maîtres, c’est à dire de ceux qui ont atteint l’équilibre entre le haut et le bas, entre le vertical et l’horizontal, qui sont expression juste de cette fameuse « croix » de l’incarnation. De ceux qui, par leur conscience fusionnée, honorent avec un amour identique leurs corps, leur âme et leur esprit.

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Source : http://www.lasymphoniedesames.com

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La transmutation de nos ombres

Posté par othoharmonie le 25 septembre 2015

 

ombre-et-lumiereAvec l’amplification de la qualité d’énergie transmise par la Source (énergie neutre par essence) , beaucoup d’êtres en Réalisation observent actuellement en eux une double mise en exergue : à la fois celle de leur partie « lumière solaire » qui les conduit à s’élever, s’éveiller, se révéler et celle de leur partie « lumière sombre » qui correspond à ce que l’on appelle communément « les ombres ». Il est bien sûr à considérer qu’il  n’y a nulle frontière entre ces deux parties qui ne sont que des teintes ou nuances différentes du spectre de la lumière en nous.

La plupart des humains ignorent leurs ombres. Le plus souvent, ils les projettent dans des troubles somatiques, des obsessions, des fantasmes plus ou moins vastes, ou sur l’entourage. Elles sont « les autres », auxquels on prête la bêtise, la méchanceté, l’égoïsme, l’inefficacité qu’il serait tragique de reconnaître en soi. Elles sont ces aspects portés par les autres qui déclenchent jalousie, aversion, peur ou colère en soi. Peu ont la capacité d’envisager qu’une vie intérieure se déroule en eux-mêmes, et quand bien même ils sont ouverts à cette réalité, la nature même de ce qu’est l’ombre – pour résumer, la projection de leurs « défauts » sur les autres – est difficilement accessible. Nos « défauts » comme nos erreurs ne sont effectivement pas faciles à accepter.

L’ombre se protège derrière le mécanisme de la projection : la personnalité (le petit « moi ») pour refouler l’existence de l’ombre, dérangeante pour elle-même va projeter, c’est à dire relier les divers aspects de son ombre à des formes psychiques extérieures (souvent des personnes parfois des circonstances). L’Autre, parce qu’il est différent (par des opinions, son apparence, son attitude, son positionnement général face à la vie, etc…) devient ainsi le réceptacle de nos ombres. C’est l’éternelle histoire de la paille et de la poutre dans l’œil.

En nous, toute ombre qui n’a pas pu être mise en lumière remonte tôt u tard en surface. Il s’agit d’une loi immuable à laquelle personne ne peut se soustraire. Tout comme nous ne pouvons nous éloigner de notre ombre projetée sur le sol lorsque le soleil envoie sur nous ses rayons. Il est question de contempler l’ombre telle qu’elle est, en plongeant dans sa vibration. Ce faisant, nous ne sommes plus l’ombre, amis la lumière de la Conscience qui contemple l’ombre, et par cet éclairage de l’esprit, l’ego, le petit « moi » limité et limitant, cesse de s’agiter dans tous les sens. Il devient transparent, s’efface, laissant passer la lumière du soleil qui peut ainsi éclairer l’ombre, et lui permettre de redevenir elle-même pleine lumière car l’ombre n’est, en vérité, que de la lumière en gestation. Nous réalisons alors qu’au-delà des illusions auxquelles nous nous accrochions, par ignorance, nous n’avons jamais été rien d’autre que la lumière… nous réalisons que nous sommes lumière et que nous avons la capacité, à chaque instant, de projeter notre lumière sur toute « chose » afin d’y apporter paix, harmonie, guérison, etc.

Si le processus d’accueil des ombres est relativement simple, il est cependant moins aisé d’enrayer nos automatismes égotiques qui nous font réagir mécaniquement depuis si longtemps. Et là, encore une fois, nul miracle venant de l’extérieur, il s’agit de faire l’effort du lâcher-prise sur ces automatismes en revenant au ressenti, sans rien faire d’autre. Certes, les émotions qui se manifestent en nous ne sont pas toujours de notre goût. Parfois à l’inverse, nos ombres semblent nous satisfaire, nous aimons parfois même nous y complaire. Faut-il les réprimer, de peur de ne plus être aimé, ou bien leur céder, en les laissant nous définir ? La clé est d’abord d’accueillir ce qui est là, sans poser de jugement, mais sans se laisser emporter non plus.

Il s’agit d’observer nos réactions avec une certaine distance, en cessant de les qualifier de « négatives » considérant qu’elles sont simplement le fruit de circonstances, qu’il n’y a pas l’ombre vile d’un côté et la belle lumière de l’autre mais qu’ensemble elles ont le pouvoir de faire de nous des êtres complets. Si nous nions notre peur, nous minimisons notre courage. Si nous nions notre cupidité, nous amputons une part de notre générosité. Si nous nions notre jalousie, nous réduisons d’autant notre amour.

Une fois ces ombres repérées, il devient nécessaire de déterminer leur fonction, c’est à dire les raisons de leur existence. Souvent, ce sont des dispositifs protecteurs mis en place dans l’enfance, en réaction à certaines expériences blessantes ; soumission ou agressivité édifiée pour survivre dans un milieu violent, façade dure pour masque rune hypersensibilité, etc… Certaines trouvent aussi leurs origines dans des existence passées (rejet, trahison, condamnation, culpabilité etc..)

L’ombre est une part de notre identité qui s’est construite dans des moments de difficulté et de forte intensité émotionnelle. Normaux pour un enfant (ou une « jeune » âme), ces dispositifs protecteurs n’ont plus de raison d’être à l’âge adulte (ou  la porte de l’éveil). Il est de notre responsabilité de chercher à les comprendre et de ne plus se cacher derrière eux. En contactant la souffrance de  » l’enfant intérieur » (ou d’une incarnation passée), on donne du sens et de l’empathie à l’attitude qu’elle a engendrée et on peut commencer à la déconstruire. En fermant les yeux, en recherchant en soi un état de détente profonde, favorable à l’ouverture de conscience, il s’agit de poser sereinement l’intention de plonger dans nos ombres pour voir ce qu’elles révèlent. Quelles sont les croyances qui dirigent notre vie ? Comment sont-elles nées, sous l’influence de quelles personnes ou de quelles circonstances ? De quoi nous protégeons-nous (et nous privons-nous) en les perpétuant ? Il s’agit d’essayer d’identifier l’événement originel, afin de le dépasser et d’ouvrir la cage à la partie de nous qui s’y est cristallisée. Si c’est difficile, et cela l’est bien souvent, n’hésitons pas à nous faire accompagner. Quels sont les comportements qui nous agacent ou nous interpellent chez les autres ? Ils sont souvent le miroir de ce que nous refusons encore de voir en nous. Pourquoi nous perturbent-ils ? Contre quoi réagissons-nous ? Dans quelles situations avons-nous adopté une attitude similaire ? Au fur et à mesure, tout un tableau se dessine. Il n’est plus possible dès lors de diviser, d’enfermer, de porter des jugements péremptoires… Embrassons nos peur, acceptons notre vulnérabilité, prenons le risque de nous ouvrir, de nous découvrir. Aussi déstabilisante ou effrayante qu’elle paraisse, cette mise en mouvement – comme la mise en mots de ce que nous ressentons –nous libère de nos carcans.

Reconnectons-nous, régulièrement, à cet état de conscience, car nos parts d’ombre évoluent en permanence s’intégrant en quelque sorte à notre lumière, avec cohérence et conscience. Alors, étant illuminé intérieurement des rayons de lumière émanent de nous et se projettent dans notre environnement, et ce n’est donc plus au travers du filtre perceptuel de l’ego que nous faisons l’expérience de la réalité de l’instant, mais au travers d’une aura lumineuse. Et cette lumière éclaire les objets de notre contemplation, qui peuvent à leur tour nous renvoyer un reflet lumineux. C’est ainsi que l’être qui a réintégré son état primordial fait l’expérience de l’Amour qu’il voit partout où son regard se pose, que cela soit en lui-même ou dans le monde. Ce regard, soutenu et dirigé par la lumière, s’en approprie les vertus et qualités divines d’amour, de compassion, de sagesse.

Par le regard d’un tel être, ceux qui ne se sont pas encore éveillés à leur propre lumière se sentent enrobés de lumière ; ils en perçoivent la chaleur, la force, le rayonnement et cela éveille leur propre lumière. Telle est la nature de la lumière ; se démultiplier en se reflétant dans le monde, par les innombrables facettes que celui-ci lui expose. Tel est le propre de l’amour véritable, qui se multiplie lorsqu’il est offert inconditionnellement.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr

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Une impression de déjà vu

Posté par othoharmonie le 16 septembre 2015

- Séminaire par Sylvie Ouellet

En 2 soirées : jeudi 29 et vendredi 30 octobre 2015 de 19h30 à 22h30 à Lyon France

déjà vu

Et si tout était répétition ?

Le mot répétition emprunté du latin repetiton apparaît dans le vocabulaire vers les années 1300. Il signifie alors renouveler une demande en justice. Puis, son sens s’élargit quelques années plus tard grâce au mot répétition qui le fait d’être exprimé plusieurs fois. Aujourd’hui, quand on l’évoque c’est bien davantage pour parler de réitération d’une action ou d’un fait.

Pourquoi parler d’étymologie dans une chronique à caractère spirituel, me direz-vous ? Eh bien, parce que dans ce domaine, la répétition est souvent perçue comme quelque chose de négatif ou à tout le moins de culpabilisant. On en dit fréquemment qu’elle survient parce que la leçon n’a pas été acquise. On insinue ainsi que quelque chose a été loupé dans la compréhension des événements.

Se pourrait-il en conséquence que les choses se répètent alors pour une raison autre que l’incompréhension ?

Se pourrait-il que la modernité nous ait détourné des sens premiers de ce mot ?

 

Ce que tu fuis te suit… Ce à quoi tu fais face s’efface…

S’il est totalement vrai que ce que l’on fuit nous suit, avec le temps, force est de constater qu’il n’en est pas nécessairement vrai pour le reste de cette affirmation qui exprime que ce à quoi on fait face s’efface. En fait, il faudrait apporter davantage de précisions à cette allégation pour qu’elle conserve toutes ses lettres de noblesse.

Faire face à une situation permet effectivement de prendre conscience d’un mode réactionnel inconscient. Cela ouvre la voie à une transformation qui mettra en place une nouvelle manière d’agir. En ce sens, la réaction inconsciente disparaît pour donner lieu à une action lucide. Il y donc bel et bien quelque chose qui s’efface. Par contre, cette affirmation, telle qu’elle est véhiculée, procure l’illusion qu’en faisant face aux événements du quotidien, ils ne se répéteront plus. Or, c’est méconnaître les règles de l’incarnation qui se déroule par cycle de 7 ans pour amener l’être à s’observer de plus en plus profondément. Chacun de ces cycles apporte de nouveaux éléments malgré des allures de déjà-vu.

 

Une impression de déjà-vu

Comme à l’école, d’année en années, les leçons de français, de mathématiques ou de science se poursuivent non pas parce qu’elles n’ont pas été assimilées, mais pour aller toujours de plus en plus loin dans l’acquisition de nouvelles notions. Il en est de même avec l’incarnation. C’est à travers ce qui se déroule dans chaque cycle que l’être peut explorer pensées et émotions pour libérer de plus en plus son essence profonde.

Ainsi d’un cycle à l’autre, les événements extérieurs peuvent se ressembler étonnamment. Toutefois, cette répétition n’intervient pas systématiquement parce qu’il y a eu fuite ou incompréhension précédemment. Il s’agit bien plus souvent d’une occasion de perfectionner ce qui a déjà été mis en place dans le passé. Alors au lieu d’y voir un raté fort démotivant, il est de loin préférable d’accueillir l’expérience pour ce qu’elle nous apprendra de nouveau sur soi ; comme une nouvelle facette de notre être qui cherche à exprimer quelque chose qui n’a pu antérieurement être mis en lumière. Voilà qui nous ramène au sens du mot répétition : exprimer plusieurs fois quelque chose. 

Sous influence…

Mais à quoi bon me direz-vous ? N’est-ce pas un peu masochiste de retourner le fer dans la plaie ainsi ? En fait, il ne s’agit pas du tout d’une manigance perverse pour causer de la souffrance, mais bien davantage d’une manière de libérer ce qui cause justement de la souffrance inutile. Chaque cycle de 7 ans permet l’exploration d’un angle particulier pour identifier les pensées et les émotions qui limitent l’expansion de l’être. Toute l’énergie qui habite l’être durant cette période l’aide à conscientiser l’impact de cette limitation.

Il s’agit donc d’un système ingénieux pour accroître la connaissance soi. Le problème, c’est que la grande majorité des gens ne connaît pas l’existence ni l’influence de ces cycles. Il devient donc difficile d’en tirer pleinement profit.

Qu’en est-il au juste ? Tout au long de l’incarnation, un corps énergétique vient colorer de manière plus ou moins subtile selon le corps d’influence notre monde intérieur durant 7 années. La manière de percevoir l’extérieur sera donc teintée de cette influence. Le changement d’influence provoquera fréquemment des bouleversements tout à fait normaux. Nous aurions avantage à mieux connaître ce cycle pour comprendre la direction que souhaite notre être profond et ainsi l’accepter et la vivre avec plus de facilité. 

La juste demande
Nous avons vu dans la conférence Bienvenue sur Terre !(disponible en visioconférence), que l’âme qui s’incarne le fait avec des objectifs précis. Elle souhaite ouvrir sa conscience d’elle-même. Ainsi ce qu’on perçoit comme une impression de déjà-vu ennuyeuse devient à juste titre un appel de l’âme qui recherche à approfondir une leçon amorcée dans le passée pour une plus grande ouverture de conscience. La répétition reprend donc ici son sens premier : une demande en toute justice pour retrouver ce qui nous appartient ; renouer avec cette essence d’amour, de joie et de paix qui nous anime.

sylvie Ouellet

Séminaire

Tout cela sera plus longuement abordé dans le séminaire L’âme au service du mieux-être que je présenterai à Lyon les 29 et 30 octobre prochain. En voici une description plus détaillée :

 

Objectifs du séminaire :

• Comprendre le choix d’incarnation de l’âme et la leçon fondamentale qu’elle cherche à explorer ;

• Comprendre l’importance du passage de la naissance à titre d’indices sur nos blocages émotionnels ;

• Comprendre les cycles de 7 ans, leurs influences et ce qu’ils permettent d’explorer ;

• Découvrir des trucs pour dénouer ces blocages émotionnels et intégrer une nouvelle manière de vivre les relations avec l’entourage. 

À qui s’adresse ce séminaire :
À toute personne qui désire trouver un mieux-être et comprendre la source des blocages répétitifs dans sa vie ; qui désire trouver un mieux-être et apprendre à voir la vie avec les yeux de l’âme.

Déroulement des deux soirées :
À la fois théorique et pratique, ces deux soirées visent à vous donner des outils pour trouver un mieux-être au quotidien. Elles seront des moments au cœur de votre histoire d’incarnation pour trouver un fil conducteur aux différents événements qui s’y sont déroulés depuis votre naissance. C’est un temps d’arrêt pour faire le point et pour prendre conscience des répétitions et de comprendre ce que votre âme cherche comme mouvement d’expansion à travers elles..

Le nombre de participants étant limité, il est conseillé de réserver votre place dès que possible.

Sylvie Ouellet : Détentrice d’un baccalauréat en droit, d’un diplôme en droit notarial et d’un certificat en enseignement, elle a pratiqué la profession de notaire durant cinq ans. Elle a été enseignante et formatrice au Collège de Limoilou et à l’ENAP (École Nationale d’Administration publique). Intéressée par la psychologie, la parapsychologie et la spiritualité, elle a suivi de nombreuses formations et elle mène une quête personnelle depuis plusieurs années.

Son cheminement intérieur l’a amenée à écrire six livres, à donner des conférences, des ateliers et des consultations sur l’accompagnement de l’âme au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Europe. Elle a été éditrice adjointe aux éditions Le Dauphin Blanc durant 6 ans. Elle rédige une chronique pour le magazine VIVRE depuis plus de 14 ans. Son travail sur la compréhension des passages de la naissance suscite de l’intérêt chez plusieurs scientifiques car il repose sur des bases concrètes, fouillées et accessibles.

Elle se spécialise dans la compréhension des divers passages de la vie du point de vue de l’âme (naissance, incarnation et mort) pour offrir des outils concrets et holistiques d’accompagnement pour les êtres en transition et trouver un mieux-être durant l’incarnation. Elle a développé ses capacités médiumniques il y a une quinzaine d’années. Ses écrits sont grandement influencés par les communications avec les défunts et avec sa guidance, mais ils proviennent aussi du fruit des recherches effectuées au fil de ces années tant du point de vue scientifique, ésotérique que spirituel. 

Sylvie Ouellet - Auteure, conférencière, formatrice - Courriel : sylvie@sylvieouellet.ca - un site www.sylvieouellet.ca
Inscription au séminaire (2 soirées) Coût :   120,00 € pour les 2 soirées 

Dates : 
  jeudi 29 octobre 2015 de 19h30 à 22h30
  vendredi 30 octobre 2015 de 19h30 à 22h30

Lieu :   Espace Marielle Girault -   2, rue de Thou – 69001 Lyon
  (salle au 1er étage, au-dessus de la porte cochère)       (plan d’accès)
  Métro :  Croix Paquet

Réservation :   40,00 € d’accompte, par Paypal :   Solde sur place, en espèces seulement.

Renseignements :   Jackie et Jean-Paul Thouny -   Tél. : 09 53 31 25 71 ou 06 75 85 68 44
  courriel : formations@energie-sante net

Conférences :   Savez-vous ce que vous êtes venus faire sur Terre ?

  mardi 27 octobre à Grenoble
  mercredi 28 octobre à Lyon
  Informations complémentaires ICI

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Regardez dans l’Autre

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2015

 

l'autreC’est une très belle petite technique de méditation qui peut être pratiquée en couple ou avec un ou une amie pendant 10 ou 15 minutes. Cette méditation utilise le regard, nos yeux qui sont une partie que nous « sur-utilisons » souvent dans notre monde moderne !

La télévision, internet, les smartphones et tablettes font que nous sommes devenus des spectateurs perpétuels en recherche d’information. Et le résultat, c’est qu’on oublie qu’il est possible de regarder aussi sans aucun but, de regarder par simple de joie de regarder.

Les yeux sont directement liés à ce qui se passe en nous. Quand nous sommes stressés par exemple, souvent cela signifie que nos yeux sont stressés (même si nous n’en avons pas conscience).
Quand nous regardons une autre personne, nous la regardons en général directement.

Selon l’enseignant spirituel Osho, cela n’utilise qu’une partie bien précise de l’oeil qui est lié au mental. Il existe une partie moins connue de l’oeil qui est responsable d’’une vision plus périphérique et lié au coeur. Vous regardez moins directement en face de vous mais plus autour et à la périphérie de ce que vous regardez.

Pour pratiquer cette meditation : asseyez-vous confortablement, le dos droit et regardez-vous dans les yeux. (Il est préférable de cligner des yeux le moins possible, avec un regard doux et réceptif.)

Regardez toujours plus profondément, sans penser. Pensez juste à bien expirer et à vous détendre.

Si vous ne pensez pas, si vous regardez simplement dans les yeux, très vite les vagues disparaîtront et l’océan se révélera. Si vous pouvez regarder très profondément dans les yeux, vous sentirez que l’homme ou la femme en face de vous a disparu, que la personne a disparu. Un certain phénomène océanique est caché là derrière et cette personne était simplement une ondulation venue de la profondeur, la vague de quelque chose d’inconnu, de cachée.

Faites-le d’abord avec un être humain parce que vous êtes plus proche de ce type de vague. Passez ensuite aux animaux, un peu plus éloignés. Passez alors aux arbres, des vagues encore plus éloignées, puis passez aux pierres.

 

Deuxième étape :
Réalisez que vous êtes dans un océan de conscience

Très vite vous vous rendrez compte d’un océan autour de vous. Alors vous vous rendrez compte que vous êtes également simplement une vague, votre ego est simplement une vague dans un océan de conscience.

Derrière l’ego, le sans nom, le Un est caché. 

Seules les vagues naissent, l’océan reste constant. La multitude naît, le Un reste le même.

C’est une méditation qui peut être très utile dans des situations de la vie. Par exemple, cela peut vous aider avec le stress, car quand on est stressé, souvent cela signifie que nos yeux sont stressés et cette technique est relaxante.

Autre exemple. Vous avez une dispute par exemple avec une personne, si vous pouvez vous asseoir en face d’elle et lui faire face et la regarder avec regard doux et sans direction précise. Avec un regard périphérique, il est difficile de juger l’autre car l’énergie va directement au coeur. Vous passez du mental au coeur.

Bonne meditation, 
L’équipe de Meditationfrance

 

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En pratique, où sont les Animaux dans les soins ?

Posté par othoharmonie le 3 septembre 2015

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Ils traversent notre quotidien, en nous offrant leurs expériences et leur présence, que ce soient des animaux dits domestiques ou sauvages. Toute rencontre physique animale est porteuse de sens et d’expérience, de manifestation de ce que peut être la vie. Auprès de nous, dans nos vies privées, les Animaux nous éduquent à la Joie de vivre et au lâcher prise mental ; ils sont nos soutiens d’amour à toute épreuve. C’est un soin, leur soin quotidien, celui de nous apaiser, mais aussi de nous ouvrir l’esprit et de nous encourager vers le lien aux vivants, quels qu’ils soient, y compris… nous-mêmes.

Lors de pratiques thérapeutiques formalisées : ce peut-être des échanges très conscients (dans ce plan d’attention ou dans d’autres) et/ou en direct avec l’animal présent physiquement.

En se connectant à l’Âme du Monde et aux Esprits Animaux, on se relie à nos propres libertés et potentialités d’expression de la puissance de Vie en nous. C’est un chemin de guérison et d’apprentissage de différentes réalités et une voie vers la réunification de qui l’on est à travers nos espaces morcelés. Les flots de vie ainsi perçus sont plus forts que les limites imposées par les peurs et les compréhensions uniquement vues d’un point de vue trop intellectuel.

En pratique directe, lors de rencontres à l’animal qui se livre physiquement à nous, nous bénéficions d’un réel accompagnant dans le soin, qui nous ouvre au langage intuitif, non verbal, au-delà de nos blocages émotionnels, physiques ou de compréhension plus vaste d’une certaine forme de réalité. C’est le cas lors de séances médiées auprès d’un animal (ou groupe d’animaux) avec un humain, ou entre plusieurs humains. Cette rencontre offre un lieu d’accueil de toutes nos parties, mêmes inconscientes mais qui nous gênaient, qui expriment le deuil là où la vie nous propose joie et santé.

C’est aussi le cas lorsque nous séjournons dans un lieu de vie où vivent des animaux. Le lieu est empreint d’une certaine sérénité et sagesse, proposition d’ouverture à la vie dans toutes ses saveurs, sans qu’aucune suggestion mentale ne vienne interférer, juste la bonté des animaux qui parle à travers tout le lieu, dans l’atmosphère emplie de sérénité et de partage. Dans un tel lieu, l’âme reconnecte son innocence, le corps sa force et sa puissance, le cœur sa simplicité et sa lucidité, juste parce que des Animaux habitent là…

Les Animaux éduquent l’Homme qui cherche à apporter soin à ses semblables, à tout vivant. Ils l’encouragent à simplifier et accueillir sa vision du monde pour qu’elle soit plus une vivance qu’une idée de ce qui peut être vécu sur Terre ! Ne pas vivre de question mais ouvrir la porte de la confiance, cette capacité de ne pas chercher à savoir, juste saisir l’instant (l’Un qui se tend, en mouvement…) pour le laisser filer, l’offrir à la Vie elle-même. Ce qui est Neuf, c’est de voir le potentiel infini que l’on a de créer l’Amour, ou plutôt, de laisser l’Amour se créer à travers nous, sans rien en attendre, en laissant la Vie suivre son cours, sans s’accrocher à une mémoire de souffrance ou de limite, quelle qu’elle soit.

En chaque parcelle de Terre, en chaque particule de Vie, la Grande Âme a caché son savoir et son amour guérisseur. Cotôyer les Animaux, c’est toucher un peu de cette universalité, y compris dans les approches du soin en thérapie. Pas de technique…si ce n’est reconnaître toutes les techniques possibles dans un geste, dans une écoute, un accueil qui se tend vers le Vivant… qui, lui, sait proposer du mieux vivre et remodeler vers la Vie. Les Animaux nous parlent de l’Âme du Monde, la nôtre donc également.

Extrait de Florence Emmeline Lombardini

Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante

Facebook : Florence Lombardini

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

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25 AFFIRMATIONS POSITIVES SUR DIVERS THÈMES

Posté par othoharmonie le 29 août 2015

 

DIMENSION PHYSIQUE (5)
DIMENSION ÉTHÉRIQUE (5)
DIMENSION ASTRALE (5)
DIMENSION MENTALE (5)
DIMENSION CAUSALE (5)

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DIMENSION PHYSIQUE :

1) Chaque partie de mon corps reçoit l’énergie lumineuse de mon être et se régénère. Mes pieds, mes chevilles, mes jambes, mes genoux, mes cuisses, mes hanches, mon sexe, mes fesses, mon dos, mon ventre, mon estomac, mes poumons, mon cœur, mes bras, mes coudes, mes poignets, mes mains, mon cou, mon visage, ma boîte crânienne et mes cheveux reçoivent cette belle énergie qui habite au fond de moi et qui les énergise de plus en plus.

2) Je respire profondément, je laisse mon sang se purifier, se remplir de lumière blanche et dorée. Je le laisse voyager partout dans mon corps, pour irriguer chaque partie du corps et donner à chaque cellule la nourriture dont elle a besoin pour vivre en santé.

3) Mon Esprit d’Intelligence Amoureuse infinie vient énergiser ma vie et me donner la force, la vigueur, la vitalité dont j’ai besoin pour travailler joyeusement, faire des exercices régulièrement, prendre des marches de santé et sentir mon corps devenir de plus en plus fort !

4) Je remercie chaque partie de mon corps pour tous les services qu’elle me rend chaque jour de ma vie en me permettant de me déplacer, d’agir, de parler, de travailler, de m’amuser avec les gens que j’aime. Je prends soin de ce corps si précieux qui m’accompagne à chaque instant. Je le traite comme un ami merveilleux qui m’accompagne partout où je vais.

5) Je me vois avec un corps parfaitement en santé, ayant un poids idéal, une flexibilité qui me permet de bouger librement comme j’en ressens l’élan, une force et une vitalité qui rendent chacune de mes actions simple et aisée. Je me laisse guider par la Source de Vie pour découvrir les chemins de santé les plus simples et les plus puissants qui soient pour moi et qui m’aideront à vivre toujours plus dans la Joie. www.everyoneweb.fr/lasanteillimitee

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DIMENSION ÉTHÉRIQUE :

6) Je suis de plus en plus doux ou de plus en plus douce avec moi et avec les autres, j’apprends à m’aimer profondément, à me respecter et à aimer et respecter les autres, en étant de plus en plus doux ou douce avec eux également.

7) Avec cette personne que j’aime, je développe des rapports de tendresse, de complicité, de partage vrai, de transparence et d’honnêteté. J’offre le meilleur de ce que je suis et j’apprécie immensément que cette personne m’offre aussi le meilleur d’elle-même.

8) J’embellis et j’enrichis constamment ma sexualité. J’apprends à maîtriser mon Feu sexuel, mon Feu sacré, et à prolonger les moments de sensualité. Je découvre de plus en plus ce qu’est l’Amour tantrique et la grande vitalité qui découle de la circulation interne de mon énergie sexuelle si puissante. www.everyoneweb.fr/sexualitetantrique

9) Je nourris mon corps d’aliments vivants, de fruits et légumes débordant de saveur, d’oxygène et de vitalité. Je ressens les bienfaits de donner à mon corps de bons ingrédients pour l’aider à bien fonctionner à chaque jour de ma vie.

10) Je vais marcher au grand air, dans un parc, dans un bel endroit de verdure, où l’air est vraiment sain et m’apporte une énergie nouvelle. Je contemple toute cette belle Nature remplie de vie… Je remercie de pouvoir voir tant de beautés et d’avoir le temps de contempler ces lieux apaisant, ressourçant, énergisant !

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DIMENSION ASTRALE :

11) J’écoute de belles musiques et je regarde de belles prestations artistiques afin de sentir mon âme s’élever de plus en plus haut…

12) J’inspire les gens par mes talents artistiques en partageant mes dons, mes créations, mes innovations… qui peuvent faire du bien aux personnes qui les côtoient.

13) Je me laisse porter par mes plus beaux rêves, mes plus belles visions intérieures et je m’ouvre chaque jour un peu plus afin de découvrir les nouvelles opportunités qui m’aideront à les matérialiser dans ma vie présente.

14) J’observe mes émotions… j’apprends à les aimer comme des enfants sages ou turbulents, et j’identifie les pensées qui les nourrissent. Je donne de moins en moins de force aux pensées qui provoquent en moi des émotions dysharmonieuses et souffrantes. J’invite et j’accueille librement les pensées qui provoquent en moi des émotions agréables et joyeuses. www.everyoneweb.fr/vivredanssonessence

15) Je m’ouvre à la possibilité de faire des voyages intérieurs merveilleux pour aller rencontrer dans d’autres dimensions des gens intéressants, de nouveaux enseignants, des guides, des parents disparus, dans des lieux magnifiques où je me sens vraiment bien.

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DIMENSION MENTALE :

16) Je vais me chercher à la bibliothèque ou en librairie de bons livres qui me permettent d’élargir mes horizons et d’apprendre de nouvelles choses inspirantes.

17) Je cherche sur Internet des informations qui me font du bien, qui m’apaisent, qui m’aident à solutionner divers aspects de ma vie ou encore qui me font rire, qui m’amusent, qui m’apportent un ressourcement précieux. www.everyoneweb.fr/ecolevirtuelle

18) Je réfléchis aux sujets qui me questionnent… j’en parle avec de bons amis, j’approfondis ma connaissance des thèmes qui peuvent améliorer ma qualité de vie. Je dis aux gens que j’aime que je les aime et qu’ils sont précieux dans ma vie ou je leur écris un petit message gentil, que je dépose quelque part où ils pourront le trouver et sourire en le lisant !

19) Je prends quelques minutes pour écrire ce que j’aime de ma vie, ce que je ne comprends pas, ce que je souhaite réaliser dans les mois ou les années à venir… Je laisse venir les inspirations créatrices, j’écris tout ce qui me passe par la tête et qu’il me fait du bien d’exprimer ainsi librement.

20) Je me donne des moments de repos pour mon mental, des moments où je pense le moins possible et où je contemple la nature, j’écoute ou je joue de la musique, je donne ou je reçois un bon massage, je prends un bon bain, ou je savoure un bon repas dans la tranquillité.

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DIMENSION CAUSALE :

21) Je visualise que partout sur Terre : au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest, les gens sont de plus en plus épanouis, de plus en plus heureux, de plus en plus créatifs, en santé, amoureux et joyeux !

22) Je m’ouvre pour découvrir de nouvelles avenues de collaboration et d’entraide avec les gens que je rencontre sur ma route. Je découvre comment nous devenons tous plus forts et plus heureux en partageant nos talents, nos ressources, nos dons de toutes sortes.

23) Chaque jour, je prends quelques minutes pour relaxer, méditer, écouter en moi les inspirations nouvelles qui me viennent, qui me sont données, et les solutions qui apparaissent tout à coup dans ma tête quand je suis calme et en paix. www.everyoneweb.fr/centredemeditation

24) Je visualise que les gens de tous les pays sur notre si belle planète se transforment, s’embellissent, deviennent plus lumineux, plus créatifs, plus disposés à laisser jaillir le meilleur de ce qui vit dans leur cœur :

Les grands-parents, les parents et les enfants, les enseignants et les étudiants, les médecins, les infirmières, les secrétaires, les préposés, le personnel de soutien, les mécaniciens, les informaticiens, les techniciens, les politiciens, les responsables d’équipe, les comptables, les administrateurs, les directeurs, les entrepreneurs, les illustrateurs, les chanteurs, les danseurs, les comédiens, les musiciens, les acrobates, les éclairagistes, les chorégraphes, les compositeurs, les sonorisateurs, les balayeurs, les nettoyeurs, les cuisiniers, les ouvriers, les bijoutiers, les menuisiers, les plombiers, les électriciens, les constructeurs, les rénovateurs, les décorateurs, les transporteurs, les camionneurs, les restaurateurs, les aubergistes, les hôteliers, les épiciers, les caissiers, les vendeurs, les empaqueteurs, les jardiniers, les maraîchers, les cultivateurs, les producteurs, les cinéastes, les réalisateurs, les scripteurs, les scénaristes, les écrivains, les conférenciers, les photographes, les vidéastes, les animateurs, les dessinateurs, les inventeurs, les humoristes, les coiffeurs, les maquilleurs, les esthéticiennes, les designers, les concepteurs, les cascadeurs, les entraîneurs, les athlètes, les journalistes, les graphistes, les dentistes, les peintres, les sculpteurs, les soudeurs, les chômeurs, les testeurs, les chroniqueurs, les superviseurs, les sauveteurs, les agents et assistants, les guides, les gardiens, les architectes, les archéologues, les ethnologues, les sociologues, les psychologues, les coachs, les thérapeutes, les consultants, les fabricants, les policiers, les pompiers, les juges, les avocats, les notaires, les actuaires, les recherchistes, les chimistes, les biologistes, les physiciens, les astrophysiciens, les livreurs, les facteurs, et tous les autres qui n’ont pas été nommés dans cette liste !

25) J’apprends à aimer sans juger les gens de tous les milieux, de tous les horizons, de tout âge et toute condition, et tout particulièrement : les bébés, les personnes âgées, les malades, les handicapés, les gens emprisonnés, les criminels, les êtres inconscients, les immigrants, les individus turbulents ou méchants… Je découvre comment ils sont souvent le miroir de parties cachés de mon être que je ne suis pas capable de voir et d’accepter à divers moments de ma vie. Je cherche à les comprendre et à me comprendre, à observer les ressemblances et les différences, et à voir que derrière toute limitation, toute difficulté majeure et toute méchanceté, se cache souvent l’inexpérience, la souffrance, la peur et surtout : le manque d’Amour de soi et de la Source d’où nous venons toutes et tous.

MERCI DE FAIRE VOYAGER CES INFORMATIONS LIBREMENT…

Julie MORIN sur http://juliemorin.ca/

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LES 10 MECANISMES DE DEFENSE

Posté par othoharmonie le 22 août 2015

 

304346_ALE REFOULEMENT : Le refoulement, mécanisme de défense du Moi, est inconscient, c’est-à-dire que les sensations, les souvenirs, le vécu pénible et culpabilisant, les pulsions réprouvées par le Surmoi n’émergent pas dans le champ de la conscience. Ils en sont bannis, car en désaccord avec la personnalité morale et les lois sociales admises, avec les convictions religieuses et idéologiques.

LA SUBLIMATION : C’est la transposition d’une énergie instinctuelle vers un but social, artistique etc ; élevé. Ainsi, les conflits peuvent être résolus par la poursuite d’idéations accaparant l’activité cérébrale ou physique. La sublimation est une d’adaptation au milieu susceptible de résoudre des situations conflictuelles et, même d’utiliser leur potentiel dynamique dans la structuration du Moi.

LE DEPLACEMENT : C’est un mécanisme inconscient différent de la sublimation. Il n’est pas exhaustif comme la sublimation. Selon Freud, il s’agit d’un processus primaire du subconscient ; Le bébé privé du sein materne suce son pouce ; l’instinct ne pouvant se satisfaire a déplacé son objet. Le déplacement permet donc de se libérer des tensions provoquées par la censure (Surmoi) et le Moi, par rapport aux forces instinctuelles (le Ça).

LA REGRESSION : C’est un phénomène de fuite par la régression à un stade de la vie de moindre maturation. L’aliénation de la personne apparaît à la suite de la frustration par un refuge à un stade antérieur de la structuration du Moi. Par exemple, l’enfant ayant grandi, soudain confié à des mains étrangers, se sentant affectivement frustré, peut régresser au stade sadique-anal, devenir énurésique.

LA PROJECTION : Le psychisme se libère de tendances obsédantes génératrices de conflits par la projection sur autrui de pulsions censurées. C’est ainsi que pervers refoulé prête ses tendances à l’inversion à une foule de personnages en vue qui ne le sont aucunement. La projection revêt un autre aspect quand une image émanant de soi est projetée idéalement sur un être qui semble incarner des éléments inhibés de la personnalité.

L’IDENTIFICATION : Pour aimer, l’enfant doit admirer. Il a besoin d’un modèle dont il subisse le rayonnement, dont il reconnaisse la supériorité. Par une sorte de mimétisme, il s’approprie le rôle, la puissance d’un être proche, le père le plus souvent ; Le mécanisme d’identification joue aux divers stades de la structuration psychologique. Il arrive que l’adolescent veuille ressembler à telle ou telle vedette ; Cela peut influer sur son comportement, voire susciter une vocation dans un sens bénéfique ou défavorable, selon que son identification va dans le sens des possibilités réalisatrices ou n’y correspond aucunement.

LA COMPENSATION : La compensation peut être inconsciente, ais alors elle s’assimile aux états névrotique s, elle est un mécanisme de fuite. C’est le comportement de l’homme qui, ayant essuyé des échecs dans sa vie professionnelle, trouve la compensation dans une fantasmagorie où il tient le rôle gratifiant d’un conquérant ou d’un personnage aux exploits légendaires. Mais la compensation reste un phénomène normal chez l’être équilibré ; elle lui permet d’échapper à la sanction morale de l’échec, celui-ci étant inhérent à l’entreprise humaine, comme le succès.

LA SUBSTITUTION : C’est un mécanisme qui entre en jeu pour libérer l’individu de ses tensions quand il y a frustration. Ainsi, le garçon déçu qui ne peut satisfaire son désir sexuel avec la femme qu’il convoite et qui substitue aux rapports hétérosexuels, l’auto-érotisme masturbatoire. C’est ersatz ne lui apporte pas la même satisfaction, mais libère une tension devenue insupportable.

LA FANTAISIE : Ce mécanisme de défense participe de l’imagination ; c’est une sorte de rêve éveillé qui consiste en la résolution des tensions que font naît les états conflictuels. La pulsion, au lieu de trouver son exutoire dans l’action, le trouve dans l’imagerie mentale incontrôlée. La fantaisie nourrit les rêveries et parfois les délires ; c’est aussi une fuite devant les difficultés de la vie. A un degré moindre, la fantaisie permet d’échapper aux états névrotiques qui peuvent se développer à la suite d’échecs et de frustrations.

LA DISSOCIATION : Il s’agit d’un mécanisme de défense qui s’apparente aux phénomènes de fuite et de régression, mais caractérisé par des ambivalences multiples qui donnent un comportement étrange et flottant, insaisissable pour l’entourage. Le laisser-aller, la démission des adultes ont donné naissance à une génération de schizophrènes qui se complait dans le refus de se colleter avec la vie, dans la paresse. L’individu, une fois que le pli est pris, devient irrécupérable et accroît les charges de la société.

Issu du livre LA MAITRISE DE VOTRE SUBCONSCIENT de Marcel Rouet en vente ici sur mon blog : http://bibliothequecder.unblog.fr/2014/11/30/la-maitrise-de-votre-subconscient/

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