La victimisation : un remède à la réalité présente

Posté par othoharmonie le 16 avril 2016

 

 

Se percevoir comme une victime, c’est peut-être la pire forme de refus de l’idée que nous  créons notre propre réalité. Et cela arrive constamment. Ainsi, la victime dira: «Cette situation-là m’est tombée dessus. C’est injuste et injustifié.» Comme corollaires, elle ajoutera : «Pauvre de moi. L’univers est injuste. Le karma s’applique de façon arbitraire et aléatoire.» 

L’avantage de cette attitude, c’est que l’on obtient la sympathie des autres et que l’on peut ainsi se sentir mieux parce que l’on ne se croit pas responsable de la situation. On peut donc jeter l’expérience aux oubliettes sans voir le rôle qu’on y a joué. 

Le désavantage, c’est que l’on souscrit alors à l’idée que nous ne créons pas notre réalité (nous renonçons donc à ce pouvoir), et la leçon nous sera répétée à maintes et maintes reprises. Cela entraîne aussi une fragmentation de la réalité, puisque nous éliminons alors de la création le créateur. 

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Pour constater à quel point le sentiment de victimisation est répandu, on n’a qu’à en observer le reflet dans l’ensemble de la société. 

Les nouvelles télévisées s’intéressent grandement aux victimes. Aux États-Unis, la mentalité de victime a atteint des proportions épiques. S’il arrive quoi que ce soit de fâcheux à quelqu’un, sa première réaction est de chercher un coupable à qui intenter un procès. Comme le dit Don Juan à Carlos Castaneda dans Le Voyage à Ixtlan : 

«Tu t’es plaint durant toute ta vie parce que tu n’assumes pas la responsabilité de tes décisions. En ce qui me concerne, je n’ai aucun doute ni remords là-dessus. Tout ce que je fais est le fruit de ma décision et j’en assume la pleine responsabilité.» 

Le grand revirement 

Tout comme le sentiment de victimisation constitue la pire forme de rejet de la prémisse de ce chapitre, le fait de dire «J’accepte ma responsabilité» en exprime la plus inconditionnelle acceptation. C’est là un revirement majeur dans la manière d’aborder le monde et les expériences que l’on y vit. Chaque situation peut susciter en nous une foule de questions: «Où suis-je dans cette situation? 

Quel aspect du moi est en cause? Qu’est-ce qui m’est ainsi reflété? De quel niveau de mon être cela provient-il?» 

Au lieu de demander à l’univers de vous prouver que c’est bien vous qui créez la réalité, afin de pouvoir rester assis entre deux chaises et d’accepter ou de rejeter ce qui se passe, vous considérez comme allant de soi que vous créez vous-même votre vie et ses événements, et vous cherchez à comprendre ce qu’ils vous réflètent. Voilà en quoi consiste le revirement. Il ne s’agit pas de chercher à comprendre le sens philosophique ou cosmique de tel ou tel événement, mais plutôt de chercher à saisir ce qu’il révèle sur vous-même, sur votre création ou sur ce que vous niez dans votre vie. Désirez-vous changer des choses dans votre existence? 

 Effectuez ce revirement et observez bien toutes les transformations qui se produiront. 

«Les gens attribuent toujours aux circonstances de leur vie ce qu’ils sont devenus, affirme le dramaturge britannique George Bernard Shaw. Je ne crois pas qu’elles soient en cause. Les gens qui réussissent tout en ce monde sont ceux qui recherchent les circonstances qu’ils désirent et qui les créent eux-mêmes s’ils n’ont pu les trouver.» 

Comment peut-on créer les circonstances? 

Comment fait-on apparaître les coïncidences qui auront un effet déterminant sur la direction que prendra notre existence ? 

Il semble invraisemblable que quelqu’un puisse créer une série de coïncidences comme celles-ci: «J’avais oublié le formulaire chez moi et j’ai donc dû retourner le chercher en quatrième vitesse, mais j’ai eu une crevaison en chemin. Je me suis arrêté pour la réparer, et quand je me suis penché pour examiner le pneu, mon pantalon s’est déchiré. Je me suis mis une couverture autour de la taille et voilà qu’une personne passant par là en voiture a reconnu cette couverture qu’elle avait conçue. Elle s’est donc arrêtée, et, au bout de quelque temps, nous nous sommes mariés.» 

Il ne s’agissait là que d’une série de coïncidences, mais ce que nous voulons démontrer par cet exemple, c’est qu’il s’agissait de co-incidences. Cet heureux époux avait-il créé la crevaison ? Ou bien avait-il imaginé qu’il se marierait et l’univers a mis au point les détails ? 

(C’est le genre de questions qui sont soulevées lorsqu’on admet l’idée que nous créons notre propre réalité.) Lors des expériences visant à provoquer un changement de pH de l’eau, William Tiller fit observer ceci: «On me demande parfois s’il est préférable de formuler en détail ses intentions ou bien de les énoncer sommairement en laissant l’univers trouver un moyen de les réaliser. 

En général, la seconde méthode est la meilleure.» Autrement dit, au lieu de dicter toutes les étapes du changement de pH de l’eau, comme le réarrangement des liens chimiques, l’échange de ions et ainsi de suite, les méditateurs impliqués dans les expériences du docteur Tiller se sont focalisés sur le résultat souhaité et ont laissé toute la latitude à l’univers en ce qui concerne les détails. 

Extrait de Vivre Sa Légende.  www.dominique-claire-germain.com 

 

 

 

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Le quotidien comme voie spirituelle

Posté par othoharmonie le 1 avril 2016

 

 

Je partage avec vous le fruit d’une observation constante qui m’incite à mettre en place des stages et des ateliers qui offrent un cadre à une voie spirituelle appelée communément : LE QUOTIDIEN ! Cela peut vous paraître banal, peu exotique, peu sacré, peu… peu… peu… mais cela sera toujours représentatif des élucubrations de notre mental qui veut toujours plus… plus… plus…

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Nous sommes tous touchés, d’une manière ou d’une autre, par des changements vibratoires qui nous poussent dans nos derniers retranchements afin que nous nous ajustions à une nouvelle conscience. Cela crée un surplus de stress, de remises en questions, de difficultés, de résistances… Cela a été très prégnant tout au long de l’année 2012. Super ! Considérons cela comme une opportunité de s’éveiller, de regarder en soi. Personnellement j’ai utilisé cela pour aller voir encore plus loin en moi et offrir des activités qui nous permettent de nous ouvrir avec joie et plaisir plutôt que sous la contrainte d’une discipline qui ne trouve pas sa place… au quotidien !

Tout le monde est concerné par le quotidien, mais c’est dans le travail avec les couples que j’ai pu le mieux en observer les conséquences. La difficulté majeure qu’ils rencontrent vient d’abord et avant tout de la manière d’aborder le quotidien. Le quotidien contient tout : la relation à soi et aux autres, la gestion du temps, les activités versus la capacité d’être etc… Il me semble donc prioritaire d’agir ICI car IL N’Y A RIEN D’AUTRE QUE LE QUOTIDIEN !

Le quotidien est une représentation de la Vie, un cadre dans lequel elle s’écoule. Il prend sa source au sein de la conscience collective, et cette conscience collective colore notre conscience individuelle et vis-versa. Nous nous nourrissons mutuellement. Cependant le quotidien nous maintient dans une lourdeur dont il est difficile de s’extraire. Si nous ne sommes pas vigilants, il peut nous happer, nous écraser, nous enfermer dans la routine, le stress, la frustration, le mécontentement, l’insécurité car l’ESSENTIEL peine à trouver sa place.

Ce que nous cherchons tous ne vient pas de l’extérieur, malheureusement, le quotidien nous pousse sans arrêt à l’extérieur de nous. Ce n’est pourtant qu’une facette de notre existence qui a été sur-développée, petit à petit et de manière constante et régulière, en nous faisant croire que le bonheur, la sérénité, le plaisir, le sacré, le divin, Dieu, appelons le comme cela vous parle, est à l’extérieur de nous. Or, nous avons la capacité de changer la mécanique de notre propre quotidien personnel, en revenant à l’intérieur de nous , en développant notre capacité d’écoute, de réceptivité, d’ouverture. Tout comme nous, à notre image, LE QUOTIDIEN a 2 polarités, la polarité masculine, axée sur l’extériorité, l’action, et une polarité féminine basée sur l’être, la réceptivité, l’amour…

J’ai toujours eu de la difficulté à suivre une voie spirituelle précise car je me sens assez vite enfermée dans des dogmes toujours présents malgré tout, même s’ils sont « pour mon bien », pour mon « élévation » etc….. J’ai également de la difficulté à gérer certaines contraintes que ces voies spirituelles impliquent car sous la contrainte, mon cœur ne s’y soumet pas. Par contre, en écoutant mon rythme, mon corps, mon coeur, je me suis mise à pratiquer régulièrement la méditation sous plusieurs formes, le yoga, la pleine conscience et cette quête a ouvert des espaces intérieurs qui me permettent d’appréhender le monde différemment. En écoutant mon rythme, les contraintes se sont transformées en plaisir de pratiquer et le plaisir me permet de pousser plus loin mes limites et d’observer ce qui se passe plus sereinement. Cela m’a demandé de la persévérence et de créer de la disponibilité… quotidiennement !

 

Je constate que dans la vie de tout un chacun, il y a peu, voire pas de place pour une discipline spirituelle. Il y a peu de place pour la disponibilité à soi-même. Pourtant il me semble tellement urgent et nécessaire de cultiver notre capacité d’amour, si nous ne voulons pas foncer dans le mur tête baissée.

Les outils que j’utilise m’ont aidée à être enseignée de l’intérieur, à faire preuve d’humilité, à installer un environnement propice à l’ouverture du cœur et à ECOUTER… Ecouter… écouter… encore et en cœur la voix intérieure afin de trouver plus de justesse dans mon quotidien. Il m’a fallut passer par des moments de fort découragement pour constater qu’il n’y a rien d’autre que le quotidien mais que je peux l’appréhender avec plus de sérénité et de confiance, en continuant à cultiver l’écoute et l’ouverture de conscience comme une forme d’hygiène de vie, au même titre que me nourrir ou me laver, dormir…. De ce fait, mon quotidien n’est plus un mal à combattre, mais une partie de moi à prendre soin avec compassion.

Le quotidien est le yoga, il est le tantra, il est la voie. Tout est là, prêt à être appréhendé, passé au crible de la conscience pour être transformé en amour, en acte sacré, en conscience, même dans les plus petites choses, même dans ce que nous pouvons considérer comme banal ou dérisoire. Je ne peux parfois pas changer mon quotidien, tout comme je ne peux pas changer l’autre, par contre je peux changer ma manière d’être en relation en déployant ma capacité d’ouverture. Bien sûr lorsque le cœur s’ouvre nous devenons vulnérables et sensibles car la vie peut enfin nous traverser. Nous devenons perméables à ses mouvements qui seront plus ou moins agréables, mais ce n’est qu’à ce prix que nous pourrons cultiver une manière d’être plus adéquate. Le fait d’être heurté nous pousse au réajustement. Plus nous cultivons la lumière, plus l’ombre est sombre et dérangeante mais ces 2 polarités créent une puissance magnétique énorme à notre service, si nous savons l’employer correctement, à partir de l’espace du coeur.

Au sein du quotidien, nous trouvons un autre laboratoire d’exploration consciente : la relation de couple. Le fait d’être différents nous oblige à nous frotter aux limites de l’autres et, de ce fait, à muscler notre capacité à aimer. L’amour soutient tout, même si ensuite il a tendance à se transformer en lutte de pouvoir ! Cependant, derrière la lutte de pouvoir, il y a toujours de l’amour mais un amour qui ne trouve pas son chemin.

C’est dans ce macrocosme que le pouvoir de l’amour peut être mis à l’épreuve car il nous fait toucher à notre intimité profonde. L’intimité représente pour moi les fondations sur lesquelles je me suis construite. L’autre étant différent de moi, mes fondations seront remises en question pour évoluer, être remises à jour, me libérer de certaines croyances, conditionnements, peurs, et aquérir une plus grande liberté d’être. C’est au quotidien que cela est exacerbé non pas pour nous empêcher de vivre mais pour nous obliger à grandir grâce à l’autre, grâce au miroir qu’il nous renvoie et qui nous évite de nous endormir.

Lorsque nous avons les outils nécessaires pour utiliser au mieux le quotidien comme voie spirituelle, il devient riche, intense, magnifiquement orchestré pour notre bien et notre évolution. Malgré tout, nous ne pouvons pas faire l’économie de certains apprentissages nécessaires à notre évolution. Les outils que je propose aux couples comme aux célibataires dans mes stages et ateliers sont là pour que la vie quotidienne prenne du sens et soit source de satisfaction. Chacun peut alors créer son quotidien et y trouver le sens du sacré. Le quotidien a tendance à nous enfermer dans notre individualisme et entretient parfois la croyance que nous pouvons nous débrouiller seuls. Pourtant je constate combien il est ressourçant de se retrouver en groupe pour des stages et ateliers, combien il est nécessaire de trouver du soutien dans une collectivité qui vibre tout comme moi et dans laquelle je me reconnais. J’insiste toujours auprès de mes stagiaires au début du stage, sur le fait que nous le co-créons tous ensembles. Il n’y a pas de place pour « les consommateurs », chacun donne de soi-même. C’est un partage qui ensuite sême ses graines dans le quotidien.

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Plus d’infos sur les stages et ateliers :
www.espacetantrayoga.com

Catherine Delorme


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QUE RESTE-T-IL QUAND TOUT S’EST ÉCROULÉ ?

Posté par othoharmonie le 31 mars 2016

 

Tous les jours nous entendons parler de crise dans les médias : crise économique, politique, financière et diplomatique. Plus près de nous, nous entendons aussi parler de crise dans les entreprises, chez les couples et les individus. Ceux-ci sont confrontés à des situations difficiles telles que la maladie, décès, perte d’emploi, violence, incompréhension, insatisfaction, etc.

Les crises sont des moments charnières où l’on se rend compte que ce qui était satisfaisant jusque-là ne l’est plus. Les crises sont des occasions de passer à un niveau de conscience supérieur. À chaque crise nous perdons, puis retrouvons nos repères et nous réalisons des apprentissages.

La première grande crise que nous avons vécue fût le passage de l’utérus chaud et douillet à un monde froid et, peut-être hostile. Puis il y eut le passage de la maison à la garderie, à l’école, au travail, puis à la retraite. À chaque fois, il a fallu lâcher quelque chose pour accéder à d’autres expériences et à d’autres niveaux de conscience.

Il y a une crise qui est différente de toutes les autres. Lorsque vous passez au travers, elle vous transforme complètement. C’est radical. Cette crise ne concerne pas quelque chose d’extérieur à vous, mais quelque chose de très intime. Je parle de l’effondrement complet de votre système de croyances, de l’anéantissement de qui vous croyez être.

tout s'écroule

Que reste-t-il lorsque tout s’est écroulé ?

Vous contactez un champ de forces si puissant et si aimant que vous en êtes subjugué. Vous basculez dans un niveau de conscience absolue. Vous retrouvez votre visage originel, sans forme et sans limite. Quand tout s’est écroulé, il ne reste rien. Non pas un rien qui soit en opposition avec quelque chose, mais un Rien qui contient tout. C’est l’Unité. Il n’y a plus moi et le reste, il y a Cela qui est et Cela est ma nature véritable.

Vous êtes invité à lâcher prise complètement pour vous libérer de vos chaînes et retrouver votre liberté d’être ?

Abandonnez-vous à la Vie qui vous attend depuis toujours. Lâchez prise à l’idée que vous avez de vous-même et découvrez qui vous êtes vraiment, une conscience radieuse et immaculée.

ÊTRE UNE PRÉSENCE AIMANTE

Comme beaucoup de gens vous voulez sans doute trouver la paix intérieure et, être habité en permanence par cette paix. Vous voulez être dans le moment présent et ressentir de l’amour pour vous et les autres.

Vous savez que ces possibilités existent parce que vous en avez l’intuition ou parce que vous en avez déjà fait l’expérience, ne serait-ce que quelques instants.

L’être humain aspire à expérimenter autre chose que les limitations et la souffrance dans laquelle il est plongé quotidiennement. Être constamment à la merci des émotions que peuvent déclencher une situation, parfois banale, n’est pas acceptable. Si vous vous sentez souvent menacé ou en danger, c’est que quelque chose ne va pas chez vous.

Il est inconcevable que l’être humain souffre autant et qu’il passe sa vie à chercher des distractions pour occulter sa souffrance.

Vous avez entendu des gens dire qu’ils vivent dans la plénitude. Ils parlent de joie et de sérénité. Avez-vous rencontré quelqu’un qui vit sans désir, dans l’accueil de ce qui est ? Si oui, vous avez remarqué que cette personne est détendue, accueillante et aimante ? Elle ne réagit pas à ses peurs, elle est habitée par une douceur de vivre. C’est une présence aimante.
Comment vivre en tant que présence aimante ?

Il n’existe pas de baguette magique qui va tout solutionner pour vous. Il existe cependant une voie simple, puissante et libératrice. Cette voie c’est accueillir ce qui est là pour vous, en ce moment; que ce soit du découragement, de la peine ou quelqu’émotion que ce soit. Ouvrez la porte de votre coeur et invitez ce qui est là. Laissez-vous toucher par les émotions qui vous habitent sans vous y attacher. Comme le vent entre par une fenêtre et sort par une autre, ouvrez portes et fenêtres de votre coeur. Lorsque votre coeur est ouvert, prenez conscience de ce qui est là et soyez présent à cette émotion, ressentez-là avec délicatesse et légèreté. Ne cherchez pas à vous débarrasser de quoique ce soit. Soyez présent et laissez-vous toucher. Il n’y a rien à faire. C’est la présente aimante qui accueille tout en son sein, pas vous.

Pour vivre votre spiritualité au quotidien, vous n’avez rien à ajouter à ce que vous êtes déjà. Il s’agit plutôt de vivre à partir de votre présence aimante. Cette présence n’est pas quelque chose que vous avez, c’est ce que vous êtes. Ce que vous êtes se manifeste à travers vous lorsque vous êtes ouvert et disponible.

Si vous n’êtes pas heureux, c’est simplement que vous vous êtes éloigné de vous, la présence aimante. Revenez ici et maintenant, l’éternité vous attend !

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Conférences – Retraites – Satsang
En France, Belgique et au Québec avec Claudette Vidal

« Vous êtes invités à découvrir un joyau d’une inestimable beauté. Ce joyau ne peut être capturé ni possédé. Il est d’une vastitude infinie. Ce trésor n’est rien d’autre que vous, ici et maintenant. Ce « vous » est Source. La plus grande merveille du monde est juste là lisant ce texte. Le réalisez-vous ? » Claudette Vidal

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Laisser vivre la vie en soi

Posté par othoharmonie le 23 mars 2016

 

A quel but doit répondre notre vie ? Où se diriger ? Grandir en soi est-il possible et comment aller dans l’épanouissement ? Cette quête n’est-elle qu’un rêve ?

Qui, un jour, ne s’est pas posée la question du véritable sens de sa vie ?

Qui suis-je, où vais-je, sommes-nous seuls dans l’univers ?

Qu’est-ce qui m’attend lorsque mon corps aura terminé son passage sur terre. Y a t-il une vie après la mort ?

Et cette vie, si elle est éternelle, quel sens prend-elle ?

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La plénitude de l’instant

Issus des civilisations, des religions, les maîtres de sagesse ont sondé leur cœur, leur vie, les autres hommes pour apporter la réponse. Le but ultime de la quête n’est ni l’extase, ni la libération. C’est la sagesse de vivre dans l’instant présent. S’affranchissant du va et vient du mental redécouvrir la beauté révélée du moment présent, sa puissance, sa grandeur. La vie est là, j’y suis entier et vrai.

Le chemin du chercheur est long et, dit-on, parsemé d’embuches. Notre voyageur trouvera-t-il un sens à sa vie ? Il n’est plus le commun des mortels qui satisfait les besoins du corps, mange, boit, dort, se reproduit, vieillit et meurt.
L’éternelle quête devient celle qui satisfait l’esprit. Quelle que soit sa voie spirituelle, la vie quotidienne se transforme en un incroyable défi de choisir et de mettre en pratique un ou des enseignements.

Etre, c’est se laisser pénétrer par la vie ; l’accueillir. L’accueil réclame l’humilité puisque réfléchir est déjà choisir. Méditer, c’est vivre l’instant. La force de l’instant devient joie. Observer ou être ? Le méditant vit l’expérience et ne choisit pas… La vie est, tout simplement, dans l’instant.

Pour une bonne pratique, tout méditant sait qu’il lui faudra déjouer certains pièges et trouver l’enseignement authentique dans cette jungle du bizness spirituel.

Il n’y a pas de méditation réussie ou ratée, le processus de l’observation est lui-même la méditation. Emotions, pensées, sensations glissent comme des nuages dans un ciel pur, l’observateur demeure dans la nature véritable de son esprit. Non action ou pensée ? Il ne s’agit plus de choisir mais d’accueillir ce qui est.

Mais notre mental dévie. Par lui, les enseignements sont régulièrement détournés, réinterprétés. Découragement, doutes, questionnements, remises en questions, changements de voie ou de maître, si maître il y eût. La quête demeure quête du sens. Point d’assurance sur le résultat.

Certains deviendront végétariens…c’est bon pour la planète ! D’autres abstinents….c’est bon contre la surpopulation ; d’autres encore établiront une communauté spirituelle, c’est bon contre la crise du logement.

Mais encore !!!

La quête devient parfois poursuite d’effets spéciaux… gadgets du new age, la panoplie est large, le bonheur n’est guère à la clé.

Que devient l’expérience de l’être. La résonance de vérité nous sert à reconnaître ce qui est réel et fait avancer sur la voie choisie.

Parfois, le voyageur s’égare vers un but inatteignable. Et pourtant, n’est-il pas vrai que « Vous n’êtes pas de la Terre, vous venez des étoiles. » La conscience s’étend sur l’infini et interroge le ciel.

Et Dieu dans tout cela ? Il est trop loin, trop abîmé par les religions qui l’ont vidé de son sens. Il semble qu’il faille abandonner l’idée d’un Dieu à visage humain et entrer dans l’expérience du divin qui transcende toutes notions.

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Donner naissance à cette réalité

Cette expérience est donnée par la méditation. Elle favorise un véritable éveil à ce qui est .Elle transforme en conscience l’énergie dispersée dans les pensées.
Une méditation authentique permet de découvrir qu’il faut demeurer dans son être, qu’il ne faut aller nulle part ; se réfugier dans les Himalayas ? Notre ombre nous y attend dans la grotte

Vivre ici et maintenant et donc transcender la réalité suffit. Cette réalité filtrée par nos sens et par nos lunettes, qu’elles soient noires, roses ou dorées.

La quête du sens alors peu à peu s’estompe …le voyage devient sans but. Dés l’aube, ai-je trouvé ce qui apporte à ma vie une joie sans cause ?

Pour avoir la tête dans les étoiles, mes pieds doivent être enracinés, mon cœur grand ouvert. Et cela suffit à accueillir cette vie.

Patricia Menetrey

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Les guérisseurs spirituels

Posté par othoharmonie le 17 mars 2016

 

Devant la douleur de ceux qui pleurent et grâce aux possibilités infinies que les forces bienfaisantes de la nature et de Dieu accordent à ceux qui veulent se dévouer, il y a une sainte tâche à remplir. Pour cela, il faut une disposition d’esprit, un don de soi, une confiance totale en l’Energie créatrice, en Dieu, et aux esprits parvenus au stade de bonté qui fait les âmes grandes et généreuses. 

En rédigeant ce dossier, nous n’avons pas d’autre but que d’apporter au lecteur les bases qui sont celles en lesquelles le rédacteur croit, là encore il ne s’agit pas de la vérité, mais d’une vérité. 

guérisseur

Le guérisseur spirituel n’a souvent besoin ni de « passes » ni de contacts matériel avec le malade, il peut guérir aussi bien à distance qu’en contact, instantanément ou progressivement, assistés d’esprits bienveillants. La voie dans laquelle le guérisseur s’engage est difficile mais dispensatrice de joies profondes et Vraies. Joies de l’âme et du coeur. La vision de l’état du médium guérisseur, est celle du guérisseur sous l’angle moral et spirituel. Cela implique bien des abandons et des devoirs. Il s’agit, en premier lieu, de vaincre en soi « le vieil homme » et d’accepter le nouveau, celui qui a volonté de se rapprocher toujours plus de la spiritualité de Dieu. 

« Pense à Dieu aussi souvent que tu respires. » Epictète 

Par-là, il voudrait montrer la voie qui mène à la connaissance, à l’atteinte du Divin par la prière, car toute pensée de compassion, de bonté, tout élan de la personne vers Dieu, est une prière et la prière est essentielle à l’action guérissante. La prière quelle que soit sa forme, est seule à déclencher les forces pures au bénéfice de la détresse, de la souffrance humaine. Il est d’ailleurs constaté que chez les grands guérisseurs mystiques, dignes de cette appellation par la droiture et la dignité de leur vie, la force spirituelle qu’ils reçoivent est d’essence supérieure, elle diffère du fluide magnétique végétal, animal ou humain. 

Sans aller jusque là dans notre quotidien, nous pouvons tout de même penser que les qualités morales et spirituelles du guérisseur seront dispensatrices de fluides bienfaisants émanant de son propre fluide, allié à celui des esprits qui lui sont supérieurs. Ainsi plus le guérisseur sera en Dieu, en l’Amour, en la Foi, en l’Humilité, plus il s’élèvera moralement, plus il bénéficiera des fluides de l’autre monde, parfois à son insu, nous pourrions même dire « souvent » à son insu. 

« Si les médecins échouent dans la plupart des maladies, c’est qu’ils traitent le corps sans l’âme, et que, le tout n’étant pas en bon état, il est impossible que la partie se porte bien.« 

-          Platon« 

 La médecine spirituelle transporte son action dans le plan astral en agissant sur la source même de la vie, réparant les fonctions inconscientes, les tissus. Les maladies sont atteintes dans leurs sources mêmes. Le guérisseur est un foyer de force spirituelle et fluidique, il agit directement sur « l’âme » du malade, la partie malade se modifie sous les mouvements de la force, les molécules les plus denses soumises à l’action du courant spirituel changent progressivement la vitesse de leurs vibrations. L’harmonie alors se rétablit. 

Les vibrations lumineuses et régulières qui lui sont envoyées par le guérisseur, qui les reçoit « d’en haut », rétablissent les vibrations irrégulières du malade. « Une condition favorable est que dans la vie privée, la conscience humaine ait la volonté de s’ouvrir au principe Divin, se montre capable de recevoir la vie mise à sa portée par le don de guérisseur » nous explique le Dr Bertholet. 

Ceci voudrait-il dire aussi que le malade doit être partie prenante de sa guérison ?

Nous dirons oui et non, dans le sens où plus le malade est convaincu par la guérison spirituelle, plus celle-ci aura un effet puissant sur lui. 

Que dire alors des animaux ou des bébés, qui guérissent ainsi particulièrement bien (l’action guérissante, est parfois fulgurante sur les animaux), puisqu’ils « n’acceptent pas » ? 

Nous en déduirons que si le malade n’est pas partie prenante des soins spirituels, il ne doit pas la refuser (psychologiquement). Il doit se laisser faire. Qu’il soit dans le doute au départ, n’est pas un obstacle, mais s’il est intimement convaincu que cela ne se peut, alors le guérisseur ne pourra rien pour lui, sauf à lui prodiguer des soins à distance, sur photo ou par la pensée, à son insu bien sur, pour qu’il n’y ait pas blocage. 

La faculté guérissante, véritable bienfait pour celui qui l’ayant méritée, la possède et la pratique avec humilité et désintéressement, est une récompense de tous les instants. 

Intervention de l’esprit : « La médiumnité guérissante est l’apanage des justes, des bons et des mystiques. Seul un coeur altruiste et élevé pourra y accéder. Dieu n’accorde son fluide qu’aux méritants. Elevez-vous mes frères, vous atteindrez Dieu ». 

Toutes les méthodes sont bonnes mais parfois incomplètes selon le malade auquel elle est appliquée. Un guérisseur dira qu’il guérit uniquement par la foi, un autre uniquement par la prière et imposition des mains sur le front du patient, un troisième ne travaillera qu’à distance par la pensée, un autre encore uniquement par des passes magnétiques et l’eau magnétisée. La plupart du temps le guérisseur se fiera à son intuition et travaillera probablement ainsi toute sa

vie et c’est très bien, mais peut-être gagnerait-il parfois, à s’ouvrir aux autres pratiques afin que, par une astucieuse combinaison, il puisse accentuer les facultés que Dieu lui accorde…. 

La plupart des médiums guérisseurs le sont inconsciemment. Ils ne se rendent pas compte de leur faculté. Ils se croient magnétiseurs sans jamais s’apercevoir de l’aide qu’ils reçoivent des esprits. Ils exécutent des gestes sans trop savoir pourquoi ils font tel ou tel geste, ils prient en pensant que telle ou telle formule est plus apte dans ce type de maladie que dans une autre, ou recommandent une formule de prière à leurs malades. On les trouve beaucoup chez les personnes les plus humbles, chez celles qui ont une foi, un amour, un altruisme élevés. Quant à la prière, peu importe les mots, seul l’élan d’amour vers Dieu et vers le malade est important.

 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

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Le Plan divin se garde toujours une marge de manœuvre

Posté par othoharmonie le 30 janvier 2016

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Maintenant que vous le savez, ne tenez plus compte des dates ! Celles-ci n’ont aucune importance. Vous n’avez rien manqué. En termes simples, disons qu’à mesure que chaque nouvelle « bande de fréquence » énergétique s’intégrera aux grilles de la Terre, elle sera disponible pour vous. A vous de décider ensuite à quel rythme vous prendrez de l’expansion pour incorporer chaque niveau. Puisque la cinquième dimension comprend les quatrième et troisième dimensions, chaque personne prendra de l’expansion à son propre rythme et à sa façon.

Aux fins de notre discussion, nous vous demandons de considérer cette période de temps comme équivalant à environ quatre segments de six années. Au cours des six premières années du changement (1987 à 1993), vous avez commencé à recevoir de nouveaux conseils spirituels. Vous avez assimilé ces concepts spirituels, et davantage, au cours des six années qui ont suivi (1994 à 2000) sur le plan mental. De 2000 à 2006, vous étiez à dégager les émotions, y compris le cœur en 2004. De 2007 à 2012, les six dernières années des énergies de changement font en sorte que vos corps se désencombrent sur le plan physique. Les gens ressentent de la pression dans leurs chakras inférieurs; ils ont l’impression d’avoir les jambes lourdes; ils éprouvent une densité dans leur chair; ils sentent que leurs liens énergétiques ne sont pas aussi rapides qu’avant, ni aussi aisément accessibles. Les énergies qui mûrissent présentement sur la planète font en sorte que vos noyaux physiques ressentent le besoin de libérer de la pression. Alors, les gens se sentent mal, fatigués; ils ont de la difficulté à se concentrer ou à réfléchir longtemps, n’est-ce pas? Les maux et les douleurs chroniques éclatent, tout comme les vieilles maladies qu’ils pensaient disparues depuis longtemps. Il n’est pas étonnant qu’ils éprouvent de la confusion sur tous les plans, puisque leur réalité semble devenir plus lourde, plus dense, et non plus légère et plus brillante.

Chers amis, vous êtes maintenant en train d’éliminer les schémas de maladie de vos champs électromagnétiques. Comme nous l’avons déjà demandé, à quoi vous attendiez-vous quand vous avez fini par sentir votre aura? Au lieu de vous montrer le paradis, celle-ci vous donne un résumé de votre « blessurologie », la biographie de votre biologie qui remonte à la surface pour être dégagée. Les gens peuvent porter en eux des blocages éthériques depuis l’enfance et ne pas s’apercevoir que leurs méridiens sont encore bloqués dans des zones qu’ils croyaient guéries depuis longtemps. Par exemple, une blessure au genou à l’adolescence peut encore empêcher les méridiens de cette partie du corps de se dégager vers le bas, par le chakra du pied. Trente ans plus tard, la personne pourra développer une douleur à la hanche, au bas du dos, au milieu ou dans le haut du dos. Elle n’aura alors aucune idée que cette vieille blessure empêche encore toute cette partie de libérer de la pression. Si elle consulte le médecin à cause de ces symptômes, celui-ci dira généralement: « On n’a rien trouvé, mais, de toute évidence, vous avez de la douleur; alors, prenez ces pilules chaque jour et vous irez mieux. » Même si cette vieille blessure au genou est mentionnée au médecin, ce dernier l’ignorera, parce qu’elle est ancienne, guérie et éloignée du site de la douleur.

Un praticien holistique, par un balayage énergétique sur cette personne, trouverait sans doute que le blocage au genou est dense et froid comme de la glace. Dans le travail de table du Cercle de Grâce, on agit d’abord sur ce genou avec des « énergies chaudes », puis lorsque la pression monte, on la tire à l’écart de la table, au-delà de l’aura de la personne, afin de la dégager sans qu’elle soit prise au piège de nouveau sur le plan électromagnétique, dans le champ aurique du client. Lorsqu’il se relève, le client se sent « plus léger », car son système a été ouvert et dégagé d’une façon entièrement nouvelle. Biens des modalités différentes correspondent au Cercle de Grâce, et vous verrez que lorsque quelqu’un peut faire le dégagement pour et par lui-même, cela lui apporte beaucoup plus de confiance en soi, d’énergie, et une qualité de vie meilleure. Quand vos systèmes sont délivrés de blocages majeurs et que les méridiens circulent librement, toutes vos autres modalités fonctionnent avec plus d’efficacité et d’efficience!

Si le praticien analysait une radiographie aurique, il verrait immédiatement où se situe le véritable blocage et jusqu’où la pression a refoulé pour provoquer une douleur dorsale. Constatant quels méridiens sont bloqués, il pourrait ainsi formuler un diagnostic plus complet et plus juste. Ici, nous disons aux scientifiques: « Ne perdez pas de temps à essayer de manipuler l’ADN. » Dans la troisième dimension, vous n’en voyez que quelques couches. L’ADN est multidimensionnel, et vous n’avez aucune idée des répercussions sur les plans supérieurs lorsque vous limitez vos actions dans la tridimensionnalité. Vous devriez vous concentrer sur la création de radiographies auriques ou d’un quelconque moyen technique de voir le champ aurique d’une personne, au lieu de limiter votre recherche sur l’ADN. Cela étant, vous pourrez ensuite comparer les champs sains aux champs malsains, et retracer le développement des maladies d’une toute nouvelle façon!

Il faudra peut-être encore cinquante ans, sinon quelques générations, pour que la science et la spiritualité fusionnent vraiment. Mais nous sommes très encouragés en voyant la naissance de ce mouvement à mesure que les travailleurs de la lumière façonnent leurs propres outils et utilisent leurs talents dans un climat social beaucoup plus progressiste que par le passé.

Nous croyons qu’après le passage de 2012 il y aura à l’évidence plus d’ »ajustements » à faire, à mesure que vous ressentirez tous les effets de la ceinture de photons. Il se peut que certaines personnes développent une vision aurique, et d’autres, une intuition aurique, ou d’autres encore, des changements de physiologie qui les « ouvriront » au fait de considérer l’invisible comme une réalité. Puisque le changement est planétaire, il y aura beaucoup de confusion chez les masses non éveillées, y compris dans les domaines médicaux. Pensez-y: Chez qui toutes ces personnes iront-elles quérir de l’aide ? Il y aura beaucoup de progrès scientifiques et spirituels après 2012, et vous devrez utiliser ces deux approches afin de trouver la voie véritable de la guérison.

Beaucoup de travailleurs de la lumière sont affligés de ne pouvoir se  » guérir » eux-mêmes. D’autres sont frustrés devant leur incapacité à manifester leurs buts. D’autres encore courent d’un praticien à l’autre, tentant de faire ranimer, ou améliorer, leur ADN, ou quoi que ce soit d’autre. Cela, en particulier, nous apparaît comme un gaspillage d’argent. La « montée » planétaire est en train de transformer votre ADN pour vous!

Votre tâche consiste à éliminer suffisamment de blocages et de pression interne pour vous élever avec grâce avec le corps que vous avez actuellement, dans l’équilibre approprié. En ce qui a trait aux questions soulevées ci-dessus, nous répondons : « Dégagez! » Débarrassez-vous de votre densité, de votre bagage, des tensions de votre vie. Dans une séance de dégagement, libérez d’abord la couche supérieure du stress courant de la journée ou de la semaine. En dessous se trouve la couche chronique, où votre vieux torticolis peut s’élever, où un genou arthritique, une synovite du coude, toutes ces vieilles douleurs peuvent être extirpées! Sous cette deuxième couche se trouve le plan génétique, celui des vies antérieures, qui affranchit l’ADN des traumatismes passés, des systèmes de croyances défaillants et des schémas de maladie hérités. Votre dégagement doit progresser de l’extérieur vers l’intérieur, sur le plan courant, puis chronique, puis génétique, afin qu’aucun tort ne vous soit causé durant ce processus. Oui, chers enfants, c’est comme peler un oignon!

La bonne nouvelle, c’est qu’avec un dégagement adéquat et tenace, aucun de vos problèmes ne se logera dans votre noyau physique. Encore une fois, une pratique quotidienne permet un entretien préventif. Tant que vous continuerez de désencombrer votre aura et votre corps d’une manière qui fonctionne pour vous, vous ne devriez pas tomber malade! Plus vous le ferez souvent, plus rapidement vous arriverez à cette troisième couche génétique et la dégagerez, elle aussi. Une fois que vous aurez enlevé suffisamment de « débris » de votre corps PÉMS, vous aurez naturellement accès à la sagesse encodée dans votre ADN et à bien d’autres choses encore!

Beaucoup d’entre vous se disent sans doute que tout ça paraît facile, mais qu’ils sont trop malades, ou fatigués, ou éreintés, pour le faire. Nous vous demandons seulement de prendre soin de votre corps, de choisir des aliments et des liquides sains, de faire régulièrement de l’exercice ou de la marche, de dormir autant que nécessaire, de vous accorder une sieste ou de vous reposer à un moment de la journée. Actuellement, le meilleur remède à votre confusion consiste à vous reposer, ou à passer du temps à l’extérieur, pourvu que votre corps puisse s’ajuster aisément aux niveaux d’énergie qui arrivent. Donnez à votre corps le temps nécessaire pour qu’il se « recâble » dans une nouvelle expression électromagnétique. Veuillez également vous rappeler que le temps s’accélère beaucoup plus rapidement à présent. Vous pensez disposer d’une journée de 24 heures, mais il s’agit bien plus de 15 heures. Les gens qui travaillent huit heures par jour semblent n’avoir aucun moment de répit ; ils ont à peine le temps de se reposer, de se détendre, et de passer du temps en famille.

Extraits du livre sur le blog de francesca http://othoharmonie.unblog.fr/– L’année de l’unité, p. 79  aux Éditions Ariane   

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LA NEGATIVITE DES PAROLES ET ATTACHEMENT AUX VALEURS SPIRITUELLES

Posté par othoharmonie le 22 janvier 2016

 

Etre conscient d’un défaut en soi est plus utile que d’être conscient d’un millier de défauts chez un autre. Plutôt que de parler en mal des autres, d’une façon propre à créer la friction et le trouble dans leur existence, nous devrions apprendre à les percevoir purement, et quand nous parlons d’eux, nous ne devrions parler que de leurs bonnes qualités. Si vous vous surprenez à médire sur qui que ce soit, remplissez votre bouche d’excréments. Cela vous débarrassera bien assez vite de cette habitude.

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Eviter ces activités négatives et pratiquer leurs opposés donne naisse à un état d’harmonie mentale qui peut servir de base pour toutes les pratiques plus élevées, telles que la concentration méditative, l’esprit d’éveil et les différents yogas tantriques. Mais si l’on n’ a pas suffisamment de force d’esprit pour persévérer dans des entraînements aussi fondamentaux que d’éviter les actes négatifs, il y a peu d’espoir que l’empli de techniques supérieures se révèle très efficace.

L’efficacité d’une méthode dépend de celle de la personne qui l’utilise. Au lieu de courir dans tous les sens à la rechercher d’un yoga tantrique le plus élevé et le plus secret, nous devrions nous examiner sincèrement et déterminer quel est le niveau de pratique le plus approprié à notre niveau spirituel. Nous devrions commencer par travailler sur les fondations, c’est à dire l’observance des lois à travers la pratique des disciplines.

Autrement, tout ce que nous faisons, c’est tricher avec nous-mêmes. Nous parlons du nombre de textes que nous avons étudiés, du nombre d’heures où nous méditons chaque jour et du nombre de retraites que nous avons faites ; mais nous ferions mieux de calculer combien de fois par jour nous oublions les disciplines. C’est une pratique utile que de s’asseoir chaque soir dans le calme pour passer en revue des activités de la journée, en reconnaissant silencieusement tous ses manquements et en prenant la résolution de surmonter ses difficultés lorsqu’elles se représenteront.

La négativité de la parole est l’emploi de paroles blessantes, de mots qui font de la peine dans le cœur des gens. Même les mots les plus doux sont blessants qu’ils sont dits pour faire mal. Le sarcasme méprisant est une autre forme de parole blessante. Ces types de paroles causent tous de l’inconfort dans les esprits des êtres vivants et doivent donc être évités. Il est mieux de ne rien dire plutôt que de dire quelque chose de cruel. La vie humaine est assez courte ; quelle utilité à mal employer ou à gâcher le peu de souffle que nous avons…

Le bavardage futile est une négativité de la parole. Bien qu’il soit plutôt inoffensif à première vue, il finit toujours, au fur et à mesure que la conversation dérive, par nous amener sur un sujet qui alimente les émotions négatives et nous vide de notre temps et de notre énergie. En soi, ce n’est pas destructif, mais comme cela révèle les graines de la vanité, c’est une contradiction avec l’entreprise spirituelle.

D’autres négativités de l’esprit comme l’attachement, la malveillance et la possession de vues en contradiction avec la réalité, sont les sources de toutes les négativités du corps et de la parole ; leur relation est semblable à celle d’un cheval et d’une charrette. L’attachement est un désir ardent pour les choses qui ne sont pas les nôtres. Il donne cours à des négativités sans nombre du corps et de la parole ; De l’attachement jaillissent la jalousie, la colère et toutes les formes d’émotions conflictuelles.

La malveillance est la plus immédiatement destructrice des afflictions mentale,s résultant dans la violence, la malfaisance et même le crime. Tenir des vues en contradiction avec la réalité, c’est croie qu’il n’y a pas de relation entre nos activités présentes et nos expériences futures, ou qu’il n’y a pas d’éveil ou de chemin y menant. Ce genre de vues nous empêche de mener une vie saine et d’entrer dans la voie spirituelle.

Pour atteindre la Sagesse, il faut employer une méthode puissante. Par la pratique de la méditation sur la vacuité, on génère une réserve de Sagesse ; par les autres pratiques, telles qu’être bénéfique aux autres et méditer sur la compassion, on produit une grande réserve d’énergie créative ; La protection de cette énergie créative repose essentiellement sur la pratique de disciplines d’esprit. En mettant ces disciples en application, nous créons une harmonie dans cette vie qui nous apporte de la paix et du bonheur et qui pourra nous mener à des pratiques spirituelles plus élevées ; et nous posons dans notre esprit des forces qui nous aideront à obtenir les causes d’une renaissance auspicieuse, dotée des qualités favorable au progrès spirituel.

Chaque fois que nous nous apercevons que nous avons contredit l’une des disciplines pour lesquelles nous voulons nous améliorer, nous devons utiliser des méditations purificatrices telles que la visualisation où l’on imagine des lumières purifiant notre courant mental cependant que nous récitons un mantra par exemple ou une lecture saine. Dans ce genre de pratique, on se remémore les négativités, on contemple leur nature, puis on engendre une appréciation de leurs conséquences et l’on se résout à purifier son esprit des traces négatives.

Sur la base de cette résolution, on prend refuge, on développe l’esprit d’éveil et on entreprend la méditation ou toute autre méthodes. On peut aussi faire des exercices tels que les prosternations etc… Cette concentration d’énergie purificatrice détruit la charge des empreintes négatives comme le germe d’une graine d’orge rôtie dans un feu. Il est important de commencer la session de méditation par une méditation contemplative et de la transformer ensuite en une méditation fixe pour une période de temps prolongée.On demeure dans la méditation fixe jusqu’à ce qu’elle commence à perdre de son intensité, puis on revient temporairement à la méditation contemplative afin de revigorer l’esprit, pour retourner à la médiation fixe une fois qu’une atmosphère contemplative a été rétablie.

Notre esprit à l’habitude de concentrer toute son énergie vers des choses qui bénéficient à cette vie seule, des choses dénuées de conséquences spirituelles ; En effectuant ces types de méditations, l’attachement habituel pour les activités futiles de notre vie présente se calme et l’on commence à ressentir un sentiment d’appréciation intérieur pour les valeurs spirituelles.

Quand l’esprit apprécie spontanément les buts spirituels plutôt que mondains, on est devenu un pratiquant actif !

 Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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LA DANSE DES SOURCILS

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2016

SOURCILS

L’expressivité, le jeu ondoyant, la danse des sourcils. Admirez ces virgules de poils situées à la base du front, gardiennes (sourcilleuses, cela va de soi) des cavités orbitales. On croirait de petits serpents prestes et frétillants. Leur tête se niche près du nez, leur queue, ou bien s’étire comme un fil jusqu’aux temps, ou touffues, velue, s’étale, buissonne. Il y a les queues de sourcils confuses, honteuses, rabattues, il y a les ballantes, indifférentes, et les queues de sourcils glorieuses, en crête de coq, en bataille, en panache !

Mais quelles que soient leur tâte, leur queue, leur forme, les sourcils ont une tâche commune : accompagner, nuancer deux émotions particulières, l’étonnement  et l’inquiétude pensive. Quand on est stupéfait, on lève ses sourcils, et sur son front se dessine un réseau de ridules transverses. Quand on réfléchit, se concentre, s’angoisse, on fronce les sourcils, et se creuse entre eux un canal de rides verticales et profondes. Ce qui alerte ce sont les sourcils toujours froncés, qui ne se décoincent jamais. Cette contraction des sourcils, hélas fréquente, induit le vieillissement du visage, bagatelle pour certains sans doute, mais signe aussi à terme les ulcérations de l’estomac, du duodénum, les spasmes douloureux du côlon, et au bout de la chaîne un état de tension généralisée. Défroncez-vous, c’est rendre la vie la vie à vos sourcils, à leur danse pittoresque, à la liberté, et c’est remettre de proche en proche l’organisme tout entier sur le chemin de la santé.

La théorie est simple, il faut et il suffit de laisser s’écarter les sourcils, et qu’ils retrouvent ainsi au repos leur place originelle à distance raisonnable du nez. La pratique est plus difficile. En effet on ne peut détendre que les tensions musculaires dont on a auparavant pris conscience. Il faut repérer la tension qui maintient rapprochés les sourcils, et cela demande exercices et expérience. La tension des muscles est une sensation ni douloureuse ni agréable, une sensation diffuse, légère. Essayez avec un doigt, c’est plus facile.

Quand vous posez la main à plat et que vous levez imperceptiblement l’index, vous distinguez deux sensations, celle d’effort qui maintient le doigt levé et cette sensation douce, acide, délicate, fugitive que vous observez pendant que vous levez le doigt. Oui, ou non ?

Si vous n’y arrivez pas, ou mal, exercez-vous. Ensuite placez-vous devant un miroir. Rapprochez au maximum les sourcils, laissez-les s’écarter. Recommencez, jouez des sourcils, obtenez des froncements de plus en plus léger, infimes, à peine esquissés, devinés. Ne vous découragez pas, ce savoir que vous acquerrez vous servira infiniment dans toutes les formes d’émotions.

Le fabuleux pouvoir du sourire… son premier sourire après des heures, les rides entre les sourcils d’un seul coup s’effacent, visage nettoyé, radieux, rendu à la jeunesse, à la vie. La jeunesse est élastique, et les sourcils aussi.

Mais gare ! la jeunesse envolée, il faut la mériter : la danse heureuse et libre des sourcils, et le front serein de l’enfance… sont à reconquérir !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Nécessairement, le sens du Mal s’évanouira

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2015

 

 

Le sens du Mal disparaitra puisque le Temps n’existera plus et que sera perçue la totalité des choses. Ce n’est pas que nos fautes nous seront remises, ce n’est pas que le pardon nous sera consenti, qu’une amnis­tie générale sera accordée. C’est que, la linéarité du Temps ne jouant plus pour notre conscience, un événe­ment cessera d’en susciter un autre : la causalité ne sera plus ce qui réunit les choses, nous ne jugerons plus en termes de Bien et de Mal, nous ne verrons plus que l’unité, ne vivrons plus que l’intégralité. Nous ne serons plus nous-mêmes au sens où nous le sommes aujourd’hui — séparés du reste et opposés à lui —, nous serons fondus dans le Tout, nous serons tout, et, ayant la conscience de Dieu, nous serons Dieu. Comme lui sans début et sans fin, nous serons comme lui sans cause. Et cela même, qui est la signature de l’Éternité, prouvera notre affranchissement de ce Bien et de ce Mal qui n’existaient pas sur la Terre avant qu’une créature ne s’y avisât du passage du Temps.

Prendre conscience

De cet état de conscience, l’extase des mystiques donne un aperçu sidérant où est d’un seul coup arraché le voile des perceptions habituelles. À quelque pays, quelque siècle, quelque culture qu’ils appartiennent, l’expérience est identique, même si, par la suite, au moment d’être expri­mée, elle se recouvre d’un vocabulaire ethnique parti­culier et semble se référer au canon d’une Église.

L’expérience peut s’emparer d’un laïc autant que d’un religieux, d’un athée autant que d’un croyant, d’un réprouvé autant que d’un homme de bien, d’une victime autant que d’un bourreau, d’un enfant autant que d’un vieillard, car, en vérité, rien ne peut la provoquer. Les macérations, les rites, les systèmes de yoga ne sont d’aucun secours : ils peuvent éclairer la nature extérieure, l’embellir, la sanctifier en termes strictement humains, ils ne sauraient donner l’expérience de Dieu, laquelle se situe dans un plan où ils n’ont pas accès.

D’ailleurs, pour celui qui a vu Dieu, l’impression est toujours la même : il n’y est pour rien — comment la ché­tive force humaine pourrait-elle soulever à elle seule l’insoupçonnable dalle qui nous cache la Réalité de notre être ? Comment effacerions-nous d’un regard l’immensité stellaire ? Comment passerions-nous de la conscience étroite où nous vivons, déchirés par les dualités, à cette conscience sans limites où, soudain, et depuis toujours, et pour toujours, et tout naturellement, nous sommes l’essence de tout ce qui est, a été ou sera ?

Cette conscience dont l’unité manifeste et constitue tout espace et toute durée, comment oserions-nous dire, si nous l’avons touchée et nous y sommes immergés, que c’est grâce à nos efforts ? Nous savons bien, désormais, que la chose est impossible, même s’il nous semble que l’expérience était le fruit d’une inlassable purification.

Et nous sourions de notre ancienne naïveté qui nous insufflait la ferveur au moyen de laquelle nous nous imagi­nions pouvoir déplacer les montagnes sans savoir au juste ce qu’étaient ces montagnes — nous croyions qu’elles appartenaient à notre monde, qu’elles étaient faites d’une même matière, et maintenant que nous sommes passés de l’autre côté, nous savons bien que non, car nous avons vécu ce qu’aucune langue ne peut laisser soupçonner, avons été possédés de ce dont nul ne peut se douter, dépris de nous-mêmes, de notre corps, de nos sentiments, de nos pensées, de notre foi, même — des mille images brisées qui composent notre univers. Nous avons été effacés et, alors, non pas anéantis, mais rendus infinis, éternels, omni­scients d’une omniscience silencieuse et absolue qui, après coup, nous a peut-être donné à comprendre qu’il n’y a rien à savoir.

Du moins n’y a-t-il rien que la pensée puisse savoir, ana­lyser, comprendre et mettre en application. Rien que l’esprit humain puisse ensuite prétendre posséder en propre. À supposer qu’il le veuille, il ne le pourrait pas. Mais il ne le veut pas. Il est comblé par son annulation. Il abdique en faveur d’une autre forme d’intelligence. La seule chose qu’il puisse affirmer dorénavant, c’est que « cela » existe, et incomparablement plus que n’importe quoi au monde. Il insiste pour le dire d’une manière ou d’une autre, et tout, autour de lui, mystérieusement, se fait l’écho de l’oracle qui, en lui, déchiffre la vérité : « Cela est, et il n’y a que cela, je suis cela, tu es cela, je suis toi, tu es moi, depuis toujours et à jamais. Les myriades d’existences qui, à travers l’univers, naissent et meurent à chaque instant ne sont en réalité que cela. Atomes ou galaxies, elles ne sont que l’existence unique que je suis moi-même dans l’Éternité. »

Or, c’est à l’homme qu’est procurée l’expérience : elle fait partie du champ de nos possibilités. Elle nous définit autant que le don de composer de la musique, d’écrire de la poésie, ou de recenser les nébuleuses spirales. Elle ne nous est pas étrangère. Même si elle n’est accordée qu’à certains, elle ne peut être rejetée par les autres sous pré­texte que son contenu est invérifiable : en shlôkas, en sou­rates, en soutras, en versets, ce contenu nous est transmis de par le monde au fil des siècles, comme nous sont communiqués d’autres savoirs en formules scientifiques dont la valeur ne nous apparaît vraiment que si nous les mettons nous-mêmes à l’épreuve.

Ce dont témoigne le voyant, c’est que quelque chose a été à jamais détruit en lui, au cours de l’expérience, qu’il a atteint un point de non-retour, qu’il lui est, à l’avenir, impossible de penser comme il pensait, de croire ce qu’il croyait, quoi que cela ait pu être, si vertigineuse qu’ait pu être sa pensée, si profonde sa foi. Cela même qui le dis­tingue à présent du reste des hommes indique ce que l’humanité — dont il continue de partager les coutumes — a la puissance de réaliser demain.

C’est un homme comme les milliards d’autres hommes qui a vu s’effondrer le mur inexpugnable de la Nuit pour alors devenir la Lumière. C’est un représentant de l’espèce humaine et non un être appartenant à une race différente, que mouvraient d’autres lois, c’est une cellule de la grande masse des hommes qui a vu, qui a vécu, qui a connu et qui, par là, a montré que toutes les autres cellules sans exception peuvent, à son exemple, voir, connaître et vivre ce que cache l’illusion cosmique.

D’ailleurs, il ne revient au monde que pour révéler cette identité, cette ressemblance, cette fraternité. Il ne se réclame pas de cette vision pour s’emparer du pouvoir. Il ne demande pas qu’on l’adore. Même si une poignée de disciples ou des foules entières se prosternent devant lui, il ne peut rechercher les marques de l’adoration. Devant lui, il n’y a que lui-même. À ses pieds, il n’y a que des êtres qui, essentiellement, sont lui et qui, un jour, seront, comme lui, libérés de la conscience humaine pour laquelle l’écoulement temporel est tout, avec son sens de la causa­lité, du Bien, du Mal, de la Mort et de Dieu.

Et lui que l’on voudrait parfois vénérer comme un Dieu, il sait qu’un jour il n’y aura plus de Dieu. Ou qu’il n’y aura plus que Dieu, ce qui revient au même, car cela veut dire qu’il n’y aura plus de différence entre Créateur et création. Et ce jour-là, la Mort aura été vaincue, le Temps dépassé, nul Bien n’aura plus à compenser nul Mal, tout sera au-delà de ce qu’aujourd’hui nous vivons. Les contraires disparaîtront. Il y aura autre chose. Il n’y aura plus qu’une chose.

(Extrait de Le Dieu de Dieu de Alexandre Kalda aux éditions Flammarion 1989)

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La méditation est psychothérapique à elle seule

Posté par othoharmonie le 29 octobre 2015

 

arbre MEDITATIOND’après la spiritualité bouddhiste, toutes les souffrances humaines puisent leur origine dans notre ignorance. Avoir conscience des limitations que celle-ci nous impose est un soin, puisque c’est tendre à se libérer de la souffrance et se diriger vers le chemin de l’illumination.

L’in des moyens pour acquérir un tel savoir sur soi, c’est l’étude du mental par la contemplation. Plus il est observé avec finesse, e t mieux on en comprend les tournures, en particulier celles qui nous font souffrir. C’est à ce titre que les techniques de méditation sont un excellent outil pour développer la connaissance de soi, en tant que préalable indispensable aux changements. On peut comparer le méditant à un photographe en train de régler son appareil pour prendre un paysage : Il dirige son objectif sur un paysage intérieur, et non sur le monde qui l’environne : il s’auto-observe. Ce n’est jamais facile car ce n’est pas une attitude spontanée.

Il se met en format « grand angle » : il élargit le champ de sa vision intérieure à tous les phénomènes qui s’y déroulent (pensée, images mentales, souvenirs, sensations, émotions…). Il effectue une mise au point de l’image la plus nette possible. Quand le brouillard du mental se dissipe, il discerne avec plus de netteté la réalité des objets qui composent le paysage….

Du coup, méditer développe les capacités de discerner avec lucidité nos habitudes nocives ; et même de les déraciner pour certains auteurs. Comment cela est-ce possible ? Ces habitudes qui nous maintiennent sous leur emprise sont désignées d’un même terme par le bouddhisme et les thérapies cognitives : ce sont des conditionnements.

Ils sont comme un tourbillon marin qui happe le sujet dans son mouvement circulaire. Plus il s’en éloigne, plus il se donne les chances de l’observer globalement et de se soustraire à son influence. Pour faire le parallèle avec les psychothérapies, l’observation du mental est une qualité que les thérapeutes cherchent à développer chez leurs patients. Cet atout, l’insight (compréhension – discernement) permet d’affiner la connaissance de notre moi et de ses tourments. S’observer, c’est commencer d’aller mieux.

Ensuite, tout comme en médiation, mieux s’observer permet de cerner nos faiblesses, dans l’intention d’apprendre de nouvelles façons d’agir ou de penser, plus épanouissantes pour l’individu.

Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles : méditer garantit de trouver ce qui ne va pas et de le déraciner pour être mieux. Mais en affinant simplement la définition « d’être mieux », bien des auteurs sont en désaccord, en particulier ceux qui sont à la fois psychologues et enseignants en médiation bouddhiste. Sans manière, l’un d’entre eux soutient dans un article au titre parlant « Même les meilleurs méditants ont de vieilles plaies à penser » – qu’en dépit des nombreux potentiels de la méditation, elle est moins efficace, voire sans effet dans plusieurs troubles du bien-être où les thérapies classiques s’avèrent indiquées : phobies, troubles sexuels, deuil, affirmation de soi, développement des habiletés et communiquer, épanouissement professionnel, etc. Dans la même veine, une autre enquête a recherché chez des méditants zen de longue date les causes de résistances à leur avancée spirituelle. C’est la colère qui fut évoquée en premier lieu.

Cette idée n’est peut-être pas en accord avec certaines pratiques spirituelles dont le but est justement de prendre conscience que le « moi » n’est qu’une illusion. Cette prise de conscience perturbante est d’ailleurs l’une des raisons des montées d’angoisse des débutants, quelle que soit la solidité de leur moi d’origine.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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L’actualité ne doit pas être notre nourriture

Posté par othoharmonie le 18 octobre 2015

Hilarion-MastersTous les événements qui se passent en ce moment et nourrissent l’actualité, ne doivent pas vous nourrir, car ce ne sont que les soubresauts de la Terre qui se secoue pour se nettoyer avant de parachever son ascension.

Au lieu de laisser les autres vous insuffler la peur afin de mieux vous dominer, écoutez simplement l’Être de Lumière en vous, et ce qu’il vous dit. Pour l’entendre correctement, fermez-vous à l’extérieur et ouvrez votre cœur pour mieux écouter votre Soi intérieur.

Considérez l’extérieur comme la moitié vide du Calice de la Vie, que vous tenez entre vos mains, et l’intérieur, l’Être de Lumière qui est dans votre cœur, comme la moitié pleine dudit calice. Comme vous le voyez, deux façons de considérer le Calice de la Vie, de votre vie, que vous tenez entre vos mains et dont vous avez la responsabilité. Car bien entendu, la responsabilité de votre vie, de la conduite de celle-ci vous incombe totalement. A vous de voir si vous voulez nager, évoluer, dans le vide, ou dans la partie consistante, prête à vous soutenir, du Calice de la Vie.

Bien entendu les peurs sont là, toujours là, ces peurs distillées sciemment par vos médias officiels, ceux qui souvent prennent beaucoup trop de place dans votre vie. Aussi, fermez-vous totalement aux dés-informations extérieures, à la nourriture du vide, et concentrez-vous sur vous, sur l’Être de Lumière à l’intérieur de vous… En un mot, à la vie contenue dans le Calice de la Vie, de votre vie… aussi, prenez-en soin et considérez-le.

N’oubliez-pas : votre vie vous appartient… personne ne doit pouvoir vous ôter le Calice de la Vie de vos mains. Vous seuls devez choisir votre destinée, et vous le pouvez, puisque vous avez le Calice de la Vie, de votre vie, entre vos mains. Soyez bien conscients de cela et ne laissez personne d’autre s’en approcher pour se l’approprier.

Les réponses sont en vous

Je vous entends déjà : « mais que faire si je suis agressé ? », alors, posez-vous la question :
• que fais-je ici, là et maintenant ? ou
• pourquoi suis-je ici, là et maintenant ? ou
• que suis-je venu faire, apprendre, comprendre, dans cette vie-là ?

Si vous cherchez les réponses dans la moitié vide du Calice de la Vie… vous n’en aurez point ! Par contre, si vous interrogez la moitié pleine, celle qui se trouve au plus profond de votre cœur, là où réside l’Être de Lumière en vous, et où votre mental n’a pas accès, alors vous aurez votre réponse.

Bien sûr, ce n’est pas simple… vous entendez tellement de choses à l’extérieur, que votre mental n’écoute que cela et fausse votre jugement sur la manière de conduire votre vie. Dans cette bataille qui fait rage actuellement autour de vous, deux entités s’affrontent et se concurrencent pour le pouvoir de diriger votre vie, de s’approprier le Calice de votre Vie : ceux qui souhaitent vous enfermer dans un rôle d’esclave, à leur service, à leur merci… et qui vous le font savoir au travers de tous leurs médias, et votre mental qui lui, pour garder son pouvoir est souvent prêt à toutes les compromissions avec les premiers.

Aussi, encore une fois, fermez-vous à l’extérieur et ne laissez que l’Être de Lumière en vous s’exprimer. La solution pour la conduite de votre vie n’est pas à l’extérieur, elle est à en vous… uniquement en vous.

C’est vous qui tenez le Calice de votre Vie entre vos mains. Alors, assez cette responsabilité que vous avez choisie et acceptée avant de vous réincarner de nouveau. Dites-vous bien que tout ce qui vous semble désagréable dans cette vie, se situe dans la moitié vide du Calice de la Vie, et que les réponses à vos questionnements se situent dans la moitié pleine.

Vous avez le choix de consommer, d’user de la moitié vide ou de la moitié pleine… C’est là où se situe votre responsabilité. Ensuite, à vous d’assumer ce choix, car quel qu’il soit vous en retirerez un enseignement après en avoir pris conscience. La seule aide que vous pouvez obtenir quand à ce choix, se situe à l’intérieur de vous-même, où réside l’Être de Lumière en vous. Il ne demande qu’à être écouté, considéré… Alors, qu’attendez-vous ?

Il est évident que si vous évoluez dans la moitié vide du Calice de la Vie, vous laissez vos peurs, celles que l’extérieur vous a inculquées, prendre le pouvoir sur votre destinée et abdiquant totalement dans la conduite de votre vie, vous remettez à d’autres ce précieux calice encore présent entre vos mains.

Est-ce cela que vous désirez, mes chers Enfants de la Terre, qui lisez ces lignes ? Non, bien entendu !

Alors, « fermez totalement vos fenêtres » de l’extérieur, mais pas seulement pour les trois jours de noirceur comme le disent les enseignements, mais jusqu’à ce que l’Être de Lumière en vous soit totalement libéré et puisse réellement et totalement s’exprimer

 

Message du Maître Hilarion, reçu le 7 octobre 2015 par Jean-Paul Thouny

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Les cristaux de la glande pinéale

Posté par othoharmonie le 8 octobre 2015

 

corps subtil 1Pendant qu’a lieu le re-câblage du corps physique, il se passe des choses, notamment dans le cerveau. Le corps physique évolue et l’un de ces changements a lieu dans la glande pinéale, bien qu’il ne se limite pas à cet endroit. Des cristaux se forment dans la glande pinéale; ce sont des structures cristallines qu’on appelle des cristaux de calcite qui se forment dans le cerveau de tous les êtres humains. Ces cristaux peuvent être réglés pour recevoir des fréquences électromagnétiques. Vous communiquez les uns avec les autres grâce à des fréquences électromagnétiques (des ondes hertziennes) qui traversent votre corps. De nombreuses fréquences électromagnétiques traversent votre corps physique en ce moment même, sans vous gêner, et cependant vous n’en êtes pas conscients. Cela va changer . Au début, vous pourrez en devenir hyper-conscients, ce qui peut s’avérer problématique. L’idée est d’amener cela dans votre zone de confort pour que cela vous active. Il ne s’agit pas d’une course, très chers. Prenez s’il vous plaît votre temps et ne surmenez pas trop votre corps qui doit prendre son temps. Cependant, vous le ferez et le ferez bien.

Les cristaux qui se sont formés dans votre cerveau y sont depuis un certain temps. En réalité, vous avez commencé votre seconde vague de réalisation il y a environ 60 ans, et c’est à cette époque que les cristaux ont commencé à se former. Ces cristaux sont restés à l’état latent dans votre corps, attendant d’être activés. La science médicale commence maintenant à les observer et on peut vraiment voir des images de ces cristaux qui se forment dans la glande pinéale. Selon la science, ils sont problématiques parce qu’ils causent des problèmes dans la structure physiologique humaine. On croit avoir fait quelque chose de faux.

Nous vous le disons, cela fait naturellement partie de votre évolution et c’est même passionnant, parce qu’on peut maintenant le voir. Vous parlez de communication interne et de télépathie, vous la pratiquez même. Bien que la plupart des gens sachent qu’elle est réelle, elle était toujours un peu hors de portée pour la plupart d’entre nous, mais plus maintenant. Comment peut-on activer les cristaux et les utiliser de la meilleure façon ? Et, plus important encore, comment les régler pour ne capter qu’une station à la fois ?

C’est le problème qu’auront beaucoup d’entre vous en activant ces cristaux. Les cristaux sont vivants; la Terre est vivante. C’est un être sensible, très conscient. Et si les cristaux sont le niveau vibratoire le plus élevé du règne minéral, on peut aisément dire que les cristaux sont la matière cervicale de la Terre. En fait, les cristaux constituent la glande pinéale de la planète Terre.

Les cristaux qui vous sont le plus familiers sont des niveaux vibratoires les plus élevés du règne minéral. C’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre vous parlent aux cristaux, en reçoivent des messages ou conservent des souvenirs dans des cristaux. Vous possédez la gamme vibratoire la plus élevée du règne animal et de même, les cristaux possèdent la plus haute du règne minéral.

LE GROUP sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Retour à la Source : Unifier l’humain et le divin en soi-même

Posté par othoharmonie le 27 septembre 2015

 

Et si vous vous offriez une pause, hors de la frénésie du quotidien, pour réharmoniser toutes les dimensions présentes en vous-même et réactiver vos mémoires de royauté… universelle??

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Retourner à la Source, c’est prendre de temps de s’arrêter pour revenir à l’essentiel, considérer ses réels besoins et redéfinir ses priorités à travers les yeux de l’âme plutôt que la personnalité… Pour ce faire, il est bon, idéalement, de séjourner en nature, près d’une Source d’eau vive, afin de reconnecter avec la Vie dans son Essence la plus pure, en s’oxygénant le corps, l’âme et l’esprit. C’est aussi éveiller notre potentiel cocréateur et libérer nos mémoires ancestrales ou intracellulaires sur des lieux énergétiques enchanteurs et/ou chargés d’Histoire… Et enfin, idéalement, explorer les meilleures ressources disponibles au quotidien pour retrouver la paix du cœur, la santé globale et l’harmonie dans toutes les dimensions de notre Être… dans le but avoué d’accéder à notre nature profonde et de communier avec la Source de toute Vie : notre Quintessence Divine, éternelle et illimitée.

Retour à la Source, c’est tout ça et plus encore!

En complicité joyeuse avec des intervenants qui « enseignent par l’exemple », vous êtes invités à venir bénéficier de multiples enseignements, échanges, exercices et expérimentations visant à équilibrer les 5 dimensions présentes en vous-même (physique, émotionnelle, mentale, spirituelle et énergétique)… et à vibrer en communion avec les mondes visibles et invisibles qui vous entourent (la nature, les animaux, les éléments, le cosmos, les Êtres de Lumière, votre Famille d’Âmes, etc.).

Lors de ce stage résidentiel d’une durée de 5 jours, venez explorer en toute simplicité une foule d’outils pluridimensionnels favorisant la plénitude des sens et l’élévation de conscience… tout en écoutant vos besoins, votre rythme intérieur et votre intuition.

Quai

Au programme

  • Réhabilitez votre « conscience souveraine » en savourant la vie de châtelain/e
  • Éveillez votre puissance de transmutation alchimique en communiquant avec ceux qui ont conçu le labyrinthe de Chartres et/ou d’autres personnalités ancestrales ayant marqué l’histoire de France
  • Laissez-vous charmer par la musique et les sons harmoniques qui élèvent l’âme et bercent le cœur
  • Réactivez votre potentiel d’autoguérison et l’énergie christique présente en vous-même en communion avec votre Famille d’âmes, tant céleste que terrestre
  • Et fusionnez avec la Source de toute Vie en vibrant de tout votre Être avec la nature luxuriante entourant le château de Bois Rabot… où vous serez agréablement logés pour cette semaine de ressourcement inoubliable!

Durée: 5½ jours, du samedi à compter de 16h au jeudi 17h

Coût du stage (incluant l’animation, les enseignements, les canalisations et l’accompagnement personnalisé) : 350€ par personne (tarif au pair pour les Canadiens)

Hébergement en pension complète (incluant le petit-déjeuner, un panier-repas le midi et dîner 3 services le soir) : 350€ par personne en occupation double ou triple (supplément de 100€ en occ. simple/tarif au pair pour les Canadiens)

Date et lieu: 

Pierrefitte sur Sauldre, France

Du samedi 24 octobre 16h au jeudi 29 octobre 17h

Participation demandée: 350€ par personne (tarif au pair pour les Canadiens)
Durée : 5½ jours 

Animation:
Diane LeBlanc, Formateur et Coach Quintessence

 Pour info et/ou inscription:

Gloria – 06 26 51 11 09

gloria.martins12@gmail.com

Serge – (418) 849-4149 ou 001.418.849.4149

sbelair@biancagaia.com - www.sergebelair.com

 

 

 

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Une impression de déjà vu

Posté par othoharmonie le 16 septembre 2015

- Séminaire par Sylvie Ouellet

En 2 soirées : jeudi 29 et vendredi 30 octobre 2015 de 19h30 à 22h30 à Lyon France

déjà vu

Et si tout était répétition ?

Le mot répétition emprunté du latin repetiton apparaît dans le vocabulaire vers les années 1300. Il signifie alors renouveler une demande en justice. Puis, son sens s’élargit quelques années plus tard grâce au mot répétition qui le fait d’être exprimé plusieurs fois. Aujourd’hui, quand on l’évoque c’est bien davantage pour parler de réitération d’une action ou d’un fait.

Pourquoi parler d’étymologie dans une chronique à caractère spirituel, me direz-vous ? Eh bien, parce que dans ce domaine, la répétition est souvent perçue comme quelque chose de négatif ou à tout le moins de culpabilisant. On en dit fréquemment qu’elle survient parce que la leçon n’a pas été acquise. On insinue ainsi que quelque chose a été loupé dans la compréhension des événements.

Se pourrait-il en conséquence que les choses se répètent alors pour une raison autre que l’incompréhension ?

Se pourrait-il que la modernité nous ait détourné des sens premiers de ce mot ?

 

Ce que tu fuis te suit… Ce à quoi tu fais face s’efface…

S’il est totalement vrai que ce que l’on fuit nous suit, avec le temps, force est de constater qu’il n’en est pas nécessairement vrai pour le reste de cette affirmation qui exprime que ce à quoi on fait face s’efface. En fait, il faudrait apporter davantage de précisions à cette allégation pour qu’elle conserve toutes ses lettres de noblesse.

Faire face à une situation permet effectivement de prendre conscience d’un mode réactionnel inconscient. Cela ouvre la voie à une transformation qui mettra en place une nouvelle manière d’agir. En ce sens, la réaction inconsciente disparaît pour donner lieu à une action lucide. Il y donc bel et bien quelque chose qui s’efface. Par contre, cette affirmation, telle qu’elle est véhiculée, procure l’illusion qu’en faisant face aux événements du quotidien, ils ne se répéteront plus. Or, c’est méconnaître les règles de l’incarnation qui se déroule par cycle de 7 ans pour amener l’être à s’observer de plus en plus profondément. Chacun de ces cycles apporte de nouveaux éléments malgré des allures de déjà-vu.

 

Une impression de déjà-vu

Comme à l’école, d’année en années, les leçons de français, de mathématiques ou de science se poursuivent non pas parce qu’elles n’ont pas été assimilées, mais pour aller toujours de plus en plus loin dans l’acquisition de nouvelles notions. Il en est de même avec l’incarnation. C’est à travers ce qui se déroule dans chaque cycle que l’être peut explorer pensées et émotions pour libérer de plus en plus son essence profonde.

Ainsi d’un cycle à l’autre, les événements extérieurs peuvent se ressembler étonnamment. Toutefois, cette répétition n’intervient pas systématiquement parce qu’il y a eu fuite ou incompréhension précédemment. Il s’agit bien plus souvent d’une occasion de perfectionner ce qui a déjà été mis en place dans le passé. Alors au lieu d’y voir un raté fort démotivant, il est de loin préférable d’accueillir l’expérience pour ce qu’elle nous apprendra de nouveau sur soi ; comme une nouvelle facette de notre être qui cherche à exprimer quelque chose qui n’a pu antérieurement être mis en lumière. Voilà qui nous ramène au sens du mot répétition : exprimer plusieurs fois quelque chose. 

Sous influence…

Mais à quoi bon me direz-vous ? N’est-ce pas un peu masochiste de retourner le fer dans la plaie ainsi ? En fait, il ne s’agit pas du tout d’une manigance perverse pour causer de la souffrance, mais bien davantage d’une manière de libérer ce qui cause justement de la souffrance inutile. Chaque cycle de 7 ans permet l’exploration d’un angle particulier pour identifier les pensées et les émotions qui limitent l’expansion de l’être. Toute l’énergie qui habite l’être durant cette période l’aide à conscientiser l’impact de cette limitation.

Il s’agit donc d’un système ingénieux pour accroître la connaissance soi. Le problème, c’est que la grande majorité des gens ne connaît pas l’existence ni l’influence de ces cycles. Il devient donc difficile d’en tirer pleinement profit.

Qu’en est-il au juste ? Tout au long de l’incarnation, un corps énergétique vient colorer de manière plus ou moins subtile selon le corps d’influence notre monde intérieur durant 7 années. La manière de percevoir l’extérieur sera donc teintée de cette influence. Le changement d’influence provoquera fréquemment des bouleversements tout à fait normaux. Nous aurions avantage à mieux connaître ce cycle pour comprendre la direction que souhaite notre être profond et ainsi l’accepter et la vivre avec plus de facilité. 

La juste demande
Nous avons vu dans la conférence Bienvenue sur Terre !(disponible en visioconférence), que l’âme qui s’incarne le fait avec des objectifs précis. Elle souhaite ouvrir sa conscience d’elle-même. Ainsi ce qu’on perçoit comme une impression de déjà-vu ennuyeuse devient à juste titre un appel de l’âme qui recherche à approfondir une leçon amorcée dans le passée pour une plus grande ouverture de conscience. La répétition reprend donc ici son sens premier : une demande en toute justice pour retrouver ce qui nous appartient ; renouer avec cette essence d’amour, de joie et de paix qui nous anime.

sylvie Ouellet

Séminaire

Tout cela sera plus longuement abordé dans le séminaire L’âme au service du mieux-être que je présenterai à Lyon les 29 et 30 octobre prochain. En voici une description plus détaillée :

 

Objectifs du séminaire :

• Comprendre le choix d’incarnation de l’âme et la leçon fondamentale qu’elle cherche à explorer ;

• Comprendre l’importance du passage de la naissance à titre d’indices sur nos blocages émotionnels ;

• Comprendre les cycles de 7 ans, leurs influences et ce qu’ils permettent d’explorer ;

• Découvrir des trucs pour dénouer ces blocages émotionnels et intégrer une nouvelle manière de vivre les relations avec l’entourage. 

À qui s’adresse ce séminaire :
À toute personne qui désire trouver un mieux-être et comprendre la source des blocages répétitifs dans sa vie ; qui désire trouver un mieux-être et apprendre à voir la vie avec les yeux de l’âme.

Déroulement des deux soirées :
À la fois théorique et pratique, ces deux soirées visent à vous donner des outils pour trouver un mieux-être au quotidien. Elles seront des moments au cœur de votre histoire d’incarnation pour trouver un fil conducteur aux différents événements qui s’y sont déroulés depuis votre naissance. C’est un temps d’arrêt pour faire le point et pour prendre conscience des répétitions et de comprendre ce que votre âme cherche comme mouvement d’expansion à travers elles..

Le nombre de participants étant limité, il est conseillé de réserver votre place dès que possible.

Sylvie Ouellet : Détentrice d’un baccalauréat en droit, d’un diplôme en droit notarial et d’un certificat en enseignement, elle a pratiqué la profession de notaire durant cinq ans. Elle a été enseignante et formatrice au Collège de Limoilou et à l’ENAP (École Nationale d’Administration publique). Intéressée par la psychologie, la parapsychologie et la spiritualité, elle a suivi de nombreuses formations et elle mène une quête personnelle depuis plusieurs années.

Son cheminement intérieur l’a amenée à écrire six livres, à donner des conférences, des ateliers et des consultations sur l’accompagnement de l’âme au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Europe. Elle a été éditrice adjointe aux éditions Le Dauphin Blanc durant 6 ans. Elle rédige une chronique pour le magazine VIVRE depuis plus de 14 ans. Son travail sur la compréhension des passages de la naissance suscite de l’intérêt chez plusieurs scientifiques car il repose sur des bases concrètes, fouillées et accessibles.

Elle se spécialise dans la compréhension des divers passages de la vie du point de vue de l’âme (naissance, incarnation et mort) pour offrir des outils concrets et holistiques d’accompagnement pour les êtres en transition et trouver un mieux-être durant l’incarnation. Elle a développé ses capacités médiumniques il y a une quinzaine d’années. Ses écrits sont grandement influencés par les communications avec les défunts et avec sa guidance, mais ils proviennent aussi du fruit des recherches effectuées au fil de ces années tant du point de vue scientifique, ésotérique que spirituel. 

Sylvie Ouellet - Auteure, conférencière, formatrice - Courriel : sylvie@sylvieouellet.ca - un site www.sylvieouellet.ca
Inscription au séminaire (2 soirées) Coût :   120,00 € pour les 2 soirées 

Dates : 
  jeudi 29 octobre 2015 de 19h30 à 22h30
  vendredi 30 octobre 2015 de 19h30 à 22h30

Lieu :   Espace Marielle Girault -   2, rue de Thou – 69001 Lyon
  (salle au 1er étage, au-dessus de la porte cochère)       (plan d’accès)
  Métro :  Croix Paquet

Réservation :   40,00 € d’accompte, par Paypal :   Solde sur place, en espèces seulement.

Renseignements :   Jackie et Jean-Paul Thouny -   Tél. : 09 53 31 25 71 ou 06 75 85 68 44
  courriel : formations@energie-sante net

Conférences :   Savez-vous ce que vous êtes venus faire sur Terre ?

  mardi 27 octobre à Grenoble
  mercredi 28 octobre à Lyon
  Informations complémentaires ICI

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Les vibrations qui nous guérissent

Posté par othoharmonie le 23 août 2015

 Young-Woman-in-Sun-Salutation

Que se passe-t-il Guy Corneau ? 

Je trouve un élément de réponse lorsque je repère en moi les contours de la carapace que j’ai créée pour avancer dans la vie. Il s’agit d’une sorte de personnalité qui se construit en nous pour répondre aux heurts et aux blessures de l’existence. Si vous vous sentez rejeté dans votre famille, vous pouvez, pour être accepté, devenir celui ou celle qui écoute tout le monde. Vous trouvez un rôle qui vous permet d’avoir de la reconnaissance. 

Enfant, le fait d’être reconnu apaise nos angoisses profondes comme la peur de ne pas exister. Nous nous mettons de côté pour nous adapter aux demandes et aux besoins des autres et de nos parents. Dans cet acte, il y a une division d’avec soi-même. C’est un drame qui arrive à la plupart des enfants. 

Coupé de mon énergie vitale 

Au début, la carapace est molle. Cette personnalité permet de parer les coups, mais elle est centrée sur la crainte d’une répétition d’expériences désagréables comme le rejet ou l’abandon. Dès qu’une situation rappelle le passé, la peur entre en jeu, une sonnette d’alarme résonne, qui dit : « Ne dépasse pas les limites de ta personnalité car au-delà, tu n’es plus en sécurité. » 

Cette personnalité contrainte engendre des états intérieurs ternes, tristes. Cette tristesse parle de la joie de l’enfant qui a été laissée de côté pour survivre. Dans cet écart entre ce que vous êtes profondément et cette personnalité s’installe la possibilité d’une maladie ou d’accidents – des tentatives de la nature pour défaire  la structure qui s’est sclérosée et ne permet plus le mouvement de la vie. Car elle vous coupe du cœur du réacteur : votre force créatrice. Ces problèmes sont d’abord affectifs, puis deviennent nerveux – se traduisant par de grandes fatigues, comme cela a été mon cas – et enfin physiques. 

En ce qui me concerne, mes passions étaient l’art, le théâtre, la danse. Mes parents ont découragé cette vocation. Je ne leur en impute pas la faute. Ce qui m’intéresse, c’est le constat : se couper de ses sources créatrices génère de graves problèmes. A l’époque où ma maladie s’est exprimée, je menais trois existences en une, avec beaucoup de contraintes, et pas assez de temps pour me ressourcer. Surtout, ma créativité se bornait à un cadre trop sérieux par rapport à ce que je suis réellement – une nature poétique, contemplative, artistique, introvertie, qui a besoin de solitude et de s’exprimer dans l’art. Ce qui souffrait, c’était la part vraiment subjective de moi-même, celle qui veut créer, explorer, se tromper, s’amuser. Bref, mon masque social, ma persona , pour reprendre la terminologie de Jung, était en train de bloquer mon énergie vitale. 

Le pouvoir de l’imagination 

Bien sûr, il y a plusieurs facteurs qui construisent un cancer : des mutations cellulaires, des fragilités génétiques, votre environnement, votre mode de vie…Mais ce dont vous pouvez vous occuper par vous-même, c’est de votre état intérieur. Comment peut-on par exemple faciliter un chemin de guérison en agissant pleinement sur son taux d’énergie, sa vitalité ? Répondre à cette question est l’objet de mon dernier livre, Revivre ! , dans lequel je relate l’expérience du cancer – la Les vibrations qui nous guérissent dans Guérir en douceur GuyCorneauBonus21mienne, et celle d’une personne qui m’était chère, Yanna, à qui elle fut fatale. 

Dans ce parcours, les techniques énergétiques ont joué un grand rôle, à côté des traitements conventionnels et d’autres outils comme la psychothérapie, le contact avec la nature, une alimentation saine, l’acuponcture… 

Guy Corneau extrait du Magazine Inexploré N°15 – JUILLET – AOUT – septembre 2012

 

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MAIS QU’EST-CE QUI VOUS MANQUE

Posté par othoharmonie le 18 juillet 2015

 

LE MANQUEToute manifestation est provoquée par notre pensée et elle fait partie de notre divinité. Parmi tout désir, toute provocation causée par l’action, il nous est possible de tout manifester dans notre existence.

Qu’est-ce que le manque ? Le manque, dans notre existence, est une chose que chacun de nous désire combler. Très souvent, combler le manque fait partie de nos désirs les plus grands. Comment manifester tout désir afin de combler ce manque ? Chaque manifestation provient d’une pensée qui fait partie de l’univers. A partir de cette pensée qui se manifeste, tout peut devenir réalité.

Dans cette réalité, très souvent ce manque se traduit en monnaie. Notre désir est d’obtenir toute chose matérielle, ce qui veut dire, manifester des billets de banques.

Si simplement votre désir est d’obtenir une chaise, votre désir est donc de posséder cette chaise et non point de posséder de l’argent et ensuite posséder une chaise. Mais l’homme diffuse cette énergie en pensant à la fois à l’argent et à la chaise. Votre divinité fait alors fausse route. Elle entre dans un labyrinthe et ne peut trouver cette manifestation. Ce désir est donc diffusé parce qu’il demande la manifestation de l’argent et de la chaise.

Le manque, dans votre réalité, a été créé par l’homme. Et quand l’homme fait cette reconnaissance, il embrasse et étreint ce manque. Il possède alors le manque et est non point possédé par ce manque. Comprenez bien ceci. Si votre manque se traduit en argent, demandez-vous si l’argent vous possède ou si vous possédez l’argent. Quand l’argent possède l’homme, il connaît alors le manque. L’être divin en vous désire l’abondance dans son intérieur. Ainsi, cette abondance se traduira par la suite vers l’extérieur. L’argent est une grande chose mais cette chose est devenue, sur ce plan, le plus grand patron. Lorsque l’homme deviendra le patron, le Maître de son existence, il connaître alors l’abondance en tout.

Le fait d’obtenir toutes choses dans notre existence est divin. Plusieurs ont déjà dit et disent encore : « Pour être spirituel, il faut se détacher du matériel ». Ceci est faux. Toute chose matérielle provient d’une conscience spirituelle et doit être manifestée, dans cette réalité, à partir de l’invisible pour arriver au visible. L’argent est une substance divine et spirituelle ; C’est une source d’énergie, une matière d’échange ; Lorsque l’homme comprend l’argent, il comprend sa propre personnalité.

L’homme a besoin de toucher, d’entendre, de goûter, de voir et d’utiliser tous ses sens. Ces sens sont l’héritable de l’homme et font partie de sa réalité afin qu’il puisse s’identifier, se connaître. Lorsqu’il comprend qu’il doit étreindre, embrasser toutes émotions, toutes irritation telles, le malheur, la morosité, la tristesse, ces irritabilité deviennent alors la perle. Cette perle est la connaissance acquise et quand l’homme connaît, il peut entreprendre un grand chemin. Il peut manifester toutes choses sans obstacle.

En vérité, tous vos problèmes quels qu’ils soient, sont un état d’être comme le sont la joie, le bonheur, le rire. Quand l’homme embrasse ses émotions, ses limitations, il peut grandir et voir d’autres horizons.

Il n’y a pas de pensées positives ou négatives. Il n’y a que la pensée. Il n’y a pas de riches ou de pauvres, il n’y a que des individus. Mais l’humanité a conçu des niveaux, des étapes, dans cette grande conscience sociale. L’homme est emprisonné dans cette conscience et a créé ces niveaux de pauvreté et de richesse. L’argent provient du matériel, de la matière, de la terre. Ce principe existe pour que l’homme puisse vivre de toutes les vibrations provenant de cet argent. L’argent émet des fréquences vibratoires ; c’est pourquoi l’homme y est tant attiré.

Reconnaissons que le manque est souvent une question monétaire. De ce fait l’homme s’empêche de faire ce qu’il désire. Lorsqu’il comprendra cette réalité, il pourra manifester l’abondance dans son existence. Faut-il de l’argent pour manifester l’abondance ? Non. Cette énergie, cette force en nous est gratuite. Elle est infinie et se manifeste dans notre réalité. Notre réalité, notre manque, notre pauvreté, notre richesse, nous l’obtenons en la qualité de notre esprit.

Pour réaliser cette abondance, il faut connaître. Mais connaître ne se constitue pas de niveaux d’importance car cette connaissance serait limitée. Il en va de même pour l’abondance. L’important, pour connaître l’abondance n’est pas simplement de manifester l’abondance, l’argent, mais de manifester l’abondance dans notre connaissance. Car la connaissance fait connaître l’abondance dans notre réalité et l’importance de l’argent devient secondairement importante car elle  est substance divine.

L’abondance désirée peut être l’amour, le bonheur, la joie de vivre, les richesses. Nous pouvons manifester toute chose. Si vous désirez une voiture et que vous la désirez bleue, rouge, verte ou jaune, votre désir est alors diffusé, anéanti dans votre propre diffusion parce que votre choisi de couleur n’st point arrêté. L’homme change d’avis, donc la partie divine est diffusée, brûlée. Le divin en nous, l’être que nous sommes attend les ordres, les ordres divins. Ce divin se manifestera dans l’ordre, dans la totalité. Cette totalité ne représente pas cette diffusion, ce balancement, cet esprit binaire. Notre totalité, notre unité se manifeste toujours dans l’ordre ; mais l’ordre, quel ordre ? L’ordre non pas limité, maos l’ordre divin, infini.

Toutes manifestations désirées se réaliseront dans notre totalité, dans notre moment présent qui fait partie d e cette totalité. Puisque nous sommes l’Unité Divine, ainsi se manifestera notre pensée dans le moment présent. Chaque pensée ne se manifeste pas dans le futur, mais bien dans le moment présent. Pour manifester notre désir, il faut être divin, total, unifié, ne faire qu’un avec notre pensée. Quand l’homme diffuse, l’énergie est diffusée, rompue. Il ne se produit rien. Rien ne peut se manifester dans cette diffusion. Le manque, le malheur, la tristesse, de drôles d’expériences, tout ceci est manifesté par nous, pour nous connaître. Quand l’homme devient génie, il manifeste tout et il change sa réalité. L’homme devient abondant dans tous les sens du terme quand il reconnaît cette grande vérité en lui.

Francesca du forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

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Qu’est-ce que la force vitale et/ou Prâna

Posté par othoharmonie le 8 juillet 2015

 

pranaA vrai dire, selon les cultures et les idéologies, les noms donnés à cette force varient, mais ses qualités et ses caractéristiques font l’objet malgré tout d’un consensus. Elle est partout définie comme une énergie cosmique universellement présente, imprégnant tout l’espace et pénétrant chaque forme. Elle apporte la vie, la force et la cohérence. Appelée Prâna dans les Veda, elle est intimement liée au soleil en tant que donneur de vie.

Yogis, prêtres, sages ou chamanes, les adeptes apprennent à contrôler la force de vie par la méditation et les exercices spirituels. On dit que le yogi qui maîtrise le Prâna est capable de déplacer à volonté un atome ou une planète, tant son pouvoir est immense. La faculté de marcher sur l’eau, le don d’ubiquité ou d’invisibilité, la traversée d’objets solides dérivent du contrôle des aspects spécifiques  de la force de vie. Les chamanes tibétains possèdent le pouvoir de la « marche à grande vitesse », planant au-dessus du sol à des vitesses qui les rendent capables de distancer un cheval au galop.

La maîtrise de la force de vie permet de marcher à travers le feu et d’accomplir des exploits qui nous semblent miraculeux. Les aborigènes appellent la force de vie Kuranita, et pensent que toutes les formes en sont les réceptacles, suivant différentes quantités. Les hommes adultes, disent-ils, possèdent une plus grande quantité de cette essence que les femmes ou les enfants. On la trouve également dans les rochers, les cours d’eau, les arbres, les animaux, les étoiles et les planètes, là où elle fut déposée par les hommes et les femmes mythiques du « Temps de Rêve » connus sous le nom de tjukurita. Il est certains lieux où le kuranita est extrêmement concentré ; là sont conduites les cérémonies spéciales destinées à manipuler la force de vie afin d’accroître le volume de la flore et de la faune locales, qui servent de nourriture dans cet environnement incroyablement dur. Comme dans toutes les sociétés tribales, le sang est considéré comme le véhicule principal de la force de vie et, comme partout ailleurs, il joue un rôle important dans leurs cérémonies.

Comme les aborigènes, les Polynésiens connaissent la force de vie. Ils l’appelaient mana, ce qui semble très proche du manna de la Bible. Les Polynésiens et notamment les prêtres Kuhuna de Hawaii, étaient réputés pour leur pratique de la force vitale. Les Chinois n’ont cessé d’explorer les secrets de la force vitale ; le Ki. Cette énergie joue un rôle majeur dans le traitement de la maladie en chine et, en fait, dans le monde entier.

Comme nous le disions plus haut, les Sages divisent le prâna en diverses catégories qui lorsqu’elles sont consciemment contrôlées, confère des pouvoirs occultes ou siddhis. On repère, cependant trois divisions principales. Premièrement, le Prâna solaire, décrit comme une force vitale magnétique qui rayonne du soleil et passe dans le corps éthérique humain par le truchement de certains vortex d’énergie, les Chakras. En sanscrit, « chakra » signifie roue ou cercle. Ces vortex ont une apparence circulaire, tournoyante, lorsqu’ils distribuent les diverses forces et énergies au sien du corps. Le Prâna est absorbé puis disséminé à travers le corps éthérique par l’intermédiaire de la rate, afin de vitaliser la forme physique et de la maintenir dans un état de santé.

Deuxièmement, le Prâna planétaire, énergie vitale émanant de la Terre même. En réalité, il s’agit du Prâna solaire répandu dans le corps éthérique de la Terre, énergie qui circule et irradie sa surface, véhiculant ses qualités spécifiques vers l’extérieur afin de former une partie de l’aura terrestre. Ce Prâna est souvent défini comme étant le magnétisme de la Terre Mère ; enfin, le Prâna des formes, lequel est constitué par les Prânas solaire et planétaire utilisés par les végétaux, les animaux, les minéraux et les humains, puis transmis par les radiations de la surface.

Même l’homme moderne, en dépit de l’atrophie de sa sensibilité, sait par expérience que certains lieux lui sont plus favorables que d’autres. La plage, par exemple, est un lieu chargé d’énergie ; le sable, semble-t-il peut stocker de grandes quantités de Prâna et l’océan lui-même véhicule de hauts niveaux d’énergie.

Lorsque nous sommes à cran ou complètement stressés, est-il meilleur remède pour retrouver son équilibre qu’une bonne journée de repos sur une plage ensoleillée et isolée. Les forêts sont aussi des réservoirs de force vitale, et les pins comme les eucalyptus ont la réputation d’accroître la vitalité de ceux qui restent à leur proximité. les hautes montagnes véhiculent également d’importantes quantités de Prâna, lequel donne cette qualité claire et étincelante à l’atmosphère. Pour cette raison, les sanatoriums sont souvent situés près des forêts, sur les pentes des montagnes, car les patients recouvrent plus rapidement la santé dans ces conditions.

Le Prâna des formes nous parvient directement par l’intermédiaire de la nourriture, notamment sous la forme des fruits, des légumes frais, des noix et du miel. L’absorption du Prâna s’effectue d’abord par la bouche, d’où l’importance d’une bonne mastication. Il est naturellement préférable de consommer des produits de culture biologique, afin d ‘éviter les résidus d’insecticides et herbicides, et de dis poser d’une nourriture gorgée de Prâna.

Lors que nous respirons, nous prenons le Prâna, qui est absorbé derrière les narines dans le corps éthérique ; Ceux qui respirent continuellement par la bouche présentent souvent des signes de déséquilibre, d’où l’importance d’une respiration appropriée. Les yogis de l’Inde ont depuis longtemps perfectionné l’art de la respiration et développé un système d’exercices complet connu sous le nom de prânayanma. Ces exercices peuvent être pratiqués, avec les précautions nécessaires, afin d‘augmenter la vitalité du corps éthérique et d’améliorer la santé.

Il est clair que les sages, les voyants et les chamanes qui étaient les maîtres de la force de vie l’acceptaient comme une réalité démontrable. Au regard des efforts des anciens, notre exploration de la force de vie paraît insignifiante. Il faut avouer que ce type de recherche n’a guère été encouragé. Le caractère limité de notre connaissance est, en conséquence, une bénédiction et en dépit du fait que nous avons perdu notre capacité à manipuler la force de vie avec l’adresse d’un chamane, nous pouvons encore utiliser notre savoir. Comment ?

Tout d’abord, en reconnaissant l’existence de cette énergie, en prenant conscience de sa nature et en faisant tout pour que notre façon de vivre mettre ses qualités en valeur. Cela peut être mené à bien simplement en mangeant une nourriture fraîche et vitale, en pratiquant des exercices sains à l’air libre et au soleil. Cela, en retour, favorisera la purification de l’aura, base l’harmonie physique et intérieure.

par Francesca sur le blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Divination et acte symbolique

Posté par othoharmonie le 11 juin 2015

 

mabon110Notre société moderne considère intuition, imagination et émotion comme secondaires au regard de l’intellect et de la raison ; en conséquence, le concept de magie et de rite est tourné en dérision par la communauté scientifique et intellectuelle. Les arts divinatoires font appel à l’intuition et à l’imagination pour découvrir des « grilles » permettant de « lire » la trame et la chaîne invisibles de la vie. Le processus divinatoire nous fournit un cadre formel dans lequel l’esprit peut les reconnaître. En employant une méthode de prédiction, vous vous servez de vos énergies créatrices pour pénétrer le cours des choses et interpréter la signification. Pour apprendre une méthode prédictionnelle, vous devez inventer un moyen de communication entre votre psychisme conscient et votre moi intérieur Cette passerelle peut être constituée par les images figurant sur les cartes d’un jeu de tarot, les formes des runes, des symboles magiques ou des motifs suggérés par des feuilles de thé. L’apprentissage de leurs significations respectives va au-delà du mécanisme purement intellectuel ; c’est pourquoi beaucoup de méthodes divinatoires font nécessairement appel à la méditation, la visualisation et au conte, ce qui permet à chaque lectrice de découvrir le sens des images ou symboles adaptés à son cas personnel.

Une fois que vous avez établi cette passerelle, vous devez, pour lire lames de tarot et symboles, développer votre aptitude à calmer le flot des pensées quotidiennes qui vous assaillent afin d’être réceptive à l’expression de votre moi intérieur. Ainsi votre lecture des images et symboles peut s’effectuer d’abord sur un plan très intellectuel impliquant des « règles » fixes destinées à faire coïncider significations et positions ou combinaisons. Mais avec l’entraînement, ce mécanisme devient plus intuitif, vous permettant alors d’interpréter ses différents sens en fonction de vos sentiments et de vos images intérieurs. Si vous n’avez aucune expérience antérieure des arts divinatoires, vous pouvez avoir recours aux nombreux livres, jeux de cartes et méthodes complètes disponibles, vendues avec manuels d’apprentissage pour débutants. Certaines personnes sont effrayées par la divination, généralement en raison d’un malentendu ou de l’ignorance. Or, la prédiction est un art, l’expression naturelle des énergies créatrices et elle représente en particulier pour vous, un trait d’union entre la conscience de l’univers intérieur et celle du monde ordinaire.

Si vous apprenez et pratiquez une méthode divinatoire, indiquez sur vos Cadrans lunaires les moments où vous êtes tentée d’interpréter la manière dont trame et chaîne tissent l’étoffe de la vie. On peut considérer l’art de la magie comme une interaction entre les univers matériel et invisible qui éveille les énergies créatrices par le canal de l’imagination et les libère par l’expression concrète obéissant à la pensée et à la visualisation. Autrefois, de son amour et de sa protection la femme cousait la cape ou le fourreau d’épée qu’elle destinait à son mari, tissait et nouait des sorts pour en faire des cordes et des fils, rédigeait une formule maléfique destinée à un ennemi ou une rivale ou encore se servait de ses compétences pour fabriquer des charmes et des talismans.

Par le pétrissage, elle communiquait bonne santé et bien-être au pain qu’elle fabriquait pour sa famille, de même elle concentrait son énergie sur sa fécondité et celle du pays à l’époque des danses marquant la pleine lune. L’acte symbolique s’exprime par une expérience intérieure de la vie qui se manifeste par le désir d’orienter l’énergie pour produire un effet précis ou sous la forme d’un éveil à la conscience des choses et à la connaissance profonde. Le fait d’allumer une chandelle peut favoriser la concentration des énergies créatrices dans une prière, ou exprimer la conscience du divin chez la personne qui l’allume. Ces actes symboliques peuvent être empreints de la même simplicité que l’exercice de « purification » proposé page 64 ou présenter un caractère beaucoup plus solennel et complexe selon les préférences et les besoins personnels. Le port des différents coloris et vêtements correspondant aux phases de votre cycle est un acte symbolique exprimant votre vécu intérieur. Par ailleurs, le fait de porter un symbole d’écoulement sanguin au moment de vos règles laisse entendre que vous assumez les facultés que confère la menstruation.

Mais il se peut que vous souhaitiez orienter vos énergies créatrices à dessein, d’une part, en les libérant émettez-les vers autrui dans un but de guérison, d’autre part, en préparant le dîner, concentrez-vous sur ce travail pour qu’il apporte santé et bien-être. Si vous vous servez de votre voix, projetez votre amour, votre compassion et si vous avez des rapports sexuels, que vos énergies créatrices soient les fibres dont est tissée votre relation ou la vie qui en est issue. Vous pouvez aussi éprouver le désir d’introduire dans votre existence personnelle un certain type d’acte symbolique destiné à la reconnaissance de votre cycle menstruel, celui de votre vie, de la terre et de la lune. La création et le maintien en service de votre Cadran lunaire peut se muer en acte symbolique, par exemple en utilisant deux coupes et quelques pierres, perles ou baies. Il vous faudra autant de pierres que votre cycle compte de jours, plus quelques-unes s’il est irrégulier. Décorez les pierres ou choisissez des perles colorées pour en présenter chaque phase et placez-les toutes dans la même coupe.

Chaque jour, ôtez la pierre adéquate et mettez-la dans l’autre. La traduction de votre cycle et celui des saisons peut s’accomplir au milieu du paysage environnant situé à l’extérieur mais secret, comme votre jardin, sur la plage ou en forêt, tracez un cercle en utilisant pierres, feuilles, coquillages, branches et baguette ou bâton de craie pour tracer les contours. Ce cercle représente votre corps et votre cycle menstruel, les phases lunaires, les saisons, vos composantes énergétiques, votre sexualité, votre créativité et votre spiritualité, ou bien il devient un lieu réservé à la danse, au chant ou aux rapports sexuels. Par ces actes, le cercle devient sacré, reconnaissance des énergies divines et des rythmes de la vie présents en vous et dans la nature. Le tracer est un acte symbolique et tout acte accompli dans l’espace qu’il délimite participe lui-même du symbole.

EXTRAIT DE LA FEMME LUNAIRE de Miranda Gray -Editions Jouvence

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Les Acouphènes : bourdonnements d’oreilles

Posté par othoharmonie le 9 juin 2015

 

 

bruit-dans-oreilleLes bourdonnements d’oreilles peuvent avoir plusieurs causes, l’une d’elles est la simple détérioration neurologique du tympan et du conduit auditif.  

Une deuxième cause réside dans le processus des centres auditifs du cerveau. Votre science distingue maintenant entre deux types d’acouphène : celui qui résulte d’une dégénérescence nerveuse et celui qui est causé par des changements dans le cerveau.  

Ill existe une troisième cause aux bourdonnements d’oreilles, et elle est liée au champ énergétique du corps.  

Alors que les individus évoluent spirituellement, leur champ, l’aura des Anciens, subit plusieurs changements. Il existe dans le champ énergétique plusieurs petits vortex d’énergie en pulsation. On peut imaginer le champ aurique sous la forme d’un gros oeuf luminescent entourant complètement la forme physique. A l’intérieur de cet œuf lumineux se trouvent une variété de formations de lumière géométriques. Quand l’une d’elles est activée pour une raison d’évolution intergalactique, planétaire ou personnelle, cette zone change de taux vibratoire et provoque parfois dans le cerveau une réaction perçue comme un son extérieur. Il s’agit souvent d’une simple note oud ‘une petite suite de notes récurrentes.  

Pour composer avec ce phénomène des bourdonnements, la méthode consiste à y concentrer votre attention. S’ils sont causés par des changements dans le cerveau ou dans le champ énergétique, ils cesseront ; s’ils ont pour origine une dégénérescence nerveuse, ils persisteront. Il s’agit simplement de les écouter. Au bout de quelques minutes, ils changeront ou disparaîtront. Idéalement, si vous concentriez toute votre attention sur eux pendant quelques minutes, vous percevriez l’émergence d’une autre série de sons, plus subtils. Et si vous les écoutiez, vous percevriez une troisième série de sons encore plus subtils. Autrement dit, vous pouvez chevaucher » ces sons pour atteindre des niveaux de conscience de plus en plus subtils.  

Cette méthode vous permet en réalité de suivre le chemin du son subtil jusqu’à une tranquillité absolue. Une ancienne technique de yoga fait usage de cette connaissance ; en Inde, on l’appelle le nada yoga. De notre point de vue, ce savoir est lié de près au dogme et à la filiation. En séparant le dogme du savoir, nous aimerions vous dire ceci. Tous les êtres –humains, animaux, plantes et autres – possèdent un champ énergétique vibratoire car ils sont des champs d’énergie vibratoire. Les plus petites particules subatomiques vibrent et oscillent, et si vous possédiez la technologie nécessaire, vous pourriez rendre ces sons, ces vibrations, perceptibles à l’oreille humaine. Vous les appelleriez des mélodies, bien que très inhabituelles ; vos scientifiques estiment que le corps humain contient approximativement un billion de cellules constituées d’un nombre encore plus grand d’atomes et de molécules. Chaque unité de matière possède sa propre mélodie vibratoire. Vous êtes donc très réellement une symphonie ambulante, quoique certains parmi vous soient plus harmonieux que d’autres.  

Au cours du processus d’évolution spirituelle, le mental et les attributs sensoriels s’affinent. Lequel de vos aspects s’affinent, cela dépend de plusieurs facteurs, dont votre propre constitution et votre nature spirituelle, la culture dans laquelle vous baignez et les tabous religieux qu’elle comporte. Chez certains individus, c’est la perception de la lumière spirituelle qui augmente. Autrement dit, ces derniers voient des couleurs qui ne sont pas présentes physiquement. Chez d’autres, c’est le sens de l’ouïe qui s’affine. Ceux-là entendent facilement davantage de sons extérieurs.  

Nous recommandons à ceux qui entendent des sons extérieurs de considérer ceux-ci comme des manifestations de leur propre champ énergétique. Vous êtes témoins d’une expression vibratoire de votre propre énergie, de votre propre être physique. De notre point de vue, c’est le premier signe de la clairaudience, la faculté de percevoir des impressions auditives psychiques. 

De la même façon que l’on peut évoluer sur le plan de la clairvoyance, c’est-à-dire en jouissant d’une vision spirituelle accrue, on peut aussi évoluer sur le plan de la clairaudience, c’est à dire la faculté spirituelle d’entendre, ou de la clairsensitivité, c’est-à-dire la faculté de sentir physiquement des réalités de nature spirituelle. Pour les individus clairsensitifs, cette époque comporte des difficultés particulières. Un clairsensitif est aussi un réactif émotionnel, un empathique, qui ressent les sentiments des gens de son entourage ; Cela fait partie de son aptitude clairsensitive.

Alors que ce monde passe par le portail de la transformation radicale, plusieurs individus en sont angoissés, bouleversés. C’est que le monde tel qu’ils le perçoivent subit des changements qui échappent à leur contrôle. Comme cela crée de l’angoisse chez la plupart des humains, les empathiques perçoivent celle de plusieurs individus. De fait, pour les empathiques qui évoluent rapidement, cela peut s’avérer encore plus difficile, car il est possible de devenir un empathique planétaire, c’est à dire quelqu’un qui ressent les vagues émotionnelles de toute la planète. Cet individu est alors envahi par les émotions et les sentiments collectifs de l’humanité, et aussi du règne animal puisque les animaux peuplant notre terre connaissent également une grande transition. Certains empathiques et clairsensitifs peuvent aussi recevoir de l’information de Gaïa elle-même, déesse énergétique vivante matérialisée en tant que Terre. Pour ces individus, cette époque est assurément difficile.

 Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

Message des Hathors et Tom Kenyon - Issu du livre : La Grande Transformation – série Kryeon canalisé par Lee Carroll – page 109 

 

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Cet Instant est le seul temps réel

Posté par othoharmonie le 9 mai 2015

 

Univers-science-fiction-sy-fy-SFLa croyance selon laquelle le passé établit la réalité es lois de la vie pénètre notre esprit d’une manière bien plus subtile qu’à travers notre effort pour contrôler directement les événements. Nous pensons constamment au futur et nous nous attendons à ce qu’il soit comme le passé. Nos fantasmes et nos pensées tentent de projeter dans le futur ce que nous nous rappelons avoir aimé dans le passé et de supprimer ce qui a été difficile et pénible.

« Hier était épouvantable, aujourd’hui est terrible et demain sera encore pire ». C’est ainsi que ma famille considérait la vie lorsque j’étais enfant. Je soupçonne qu’il y a dû y avoir  un peu de cette attitude autour de vous lorsque vous avez grandi. De génération en génération, nous avons tous baigné dans la croyance que le passé prédit le futur et qu’une personne mûre, douée d’un jugement sain, tient soigneusement compte des leçons du passé lorsqu’elle fait des projets.

Lorsque nous pensons de cette manière, nous ne regardons pas vers l’avenir de façon pratique et raisonnable, nous ne faisons que nous fabriquer un état mental constitué presque uniquement de peur. Nous croyons que nous ne devons pas avoir confiance dans la tournure générale des événements de notre vie et nous considérons donc tout et chacun comme un ennemi ou, du moins comme un danger potentiel. A son tour, cette attitude fait que nous ne nous sentons pas dignes d’amour. Cela nous procure un sentiment de culpabilité et nous rend impuissants et incertains par rapport à tout. Nous essayons donc de contrôler la réalité et ce faisant, nous développons uniquement des talents de manipulation. Bien sûr, c’est là l’erreur que nous faisons tous.

Lorsque nous nous sentons mal aimés ou indignes d’être aimés, nous faisons généralement l’erreur d’essayer de reprendre le contrôle des circonstances extérieures, car nous croyons que c’est la cause de notre tristesse. Comme nous avons besoin du futur pour atteindre notre but, nous dévaluons le moment présent. Même un avenir morne sur lequel nous avons un certain contrôle nous semble préférable au présent. Le bonheur, qui nécessite que nous portions toute notre attention sur le présent, devient effrayant.  Cependant, avec cette attitude nous ne pouvons que nous méfier de tout degré de bonheur qui nous vient. La peur stimule le désir inconscient d’être malheureux afin de pouvoir nous concentrer sur le futur pour le contrôler. Toutes les fois que nous avons peur, nous   pensons qu’il est bon d’exclure du présent tout amour et tout bien-être.

A présent, je suis convaincue que chacun de nous décide des croyances par lesquelles il vit. Nous pensons qu’il nous faut nous identifier à notre passé, mais il n’en est rien. Nous avons le choix. Ce n’est pas en nous angoissant sur notre monde que nous en maintiendrons la cohérence. Nous pouvons mener une vie libre de toute peur.

Lorsque nous sommes uniquement occupés à donner, nous n’avons pas d’angoisse….

Pour la plupart des médecins, il est évident que l’attitude peut avoir une influence sur les maladies organiques. Ils savent que la volonté de vivre ou de mourir peut changer le cours d’une maladie. Ils le savent bien qu’une telle attitude ne puisse être observée sous un microscope, ni mesurée, ni pesée ou reproduite. Les vérités relatives à l’esprit défient les critères scientifiques habituels. On peut voir les situations et les atmosphères générales produits par nos attitudes reflétées non seulement dans les cas extrêmes de maladie mortelle, mais également dans tous les aspects de notre vie.

L’expérience de l’amour et de la paix est la seule chose importante que l’on communique. C’est l’attitude du cœur et non ce qui se dit entre deux personnes qui fait le travail de guérison mutuelle. Une accumulation de connaissance verbale chez l’un ou l’autre n’a que peu d’utilité pour une guérison intérieure profonde.

Bien plus que nous le croyons, nous ne voyons finalement que le passé chez ceux que nous rencontrons. Et en fait, c’est notre passé et non le leur que nous voyons comme faisant partie d’eux. Nous n’agissons donc pas en fonction d’eux, mais en fonction de tous nos préjugés. Le désir bienveillant de voir les autres tels qu’ils sont dans l’instant présent peut purifier grandement nos attitudes. Nous aurions peu de choses à rejeter chez les autres si nous nous abstenions de leur apporter tous nos jugements et nos reproches mesquins.

Nos expériences passées ne peuvent nous parler de l’amour de l’instant présent. Se rappeler et voir ne sont pas la même chose, et c’est pourquoi les souvenirs nous sont peu utiles pour nouer des relations de sincère Amour.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/  

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Les vertus du rire

Posté par othoharmonie le 10 avril 2015

 

 

enfant-qui-ritLa réforme de l’assurance-maladie est l’un des chantiers prioritaires de l’année qui débute, au moment où va s’engager le grand débat sur son financement, les périodiques s’interrogent sur l’avenir de notre système de santé : 60 millions de consommateurs (n° 376, octobre 2003, p. 34-43) publie les résultats d’un sondage exclusif sur ce que savent les Français de leur système de santé. On découvre que 94% de nos concitoyens ignorent ou sous-estiment le montant de leurs dépenses de santé. L’enquête a été menée par téléphone auprès de mille dix personnes de plus de dix huit ans, représentatives de la population française, interrogées selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession et catégorie socioprofessionnelle, type de commune et région), entre le 10 et le 19 juillet.

Quoi qu’on dise, la réforme est en route. Le transfert d’une partie des dépenses (vers les mutuelles, les assurances et les usagers) est inévitable. La brèche est ouverte. Il faut freiner les coûts. Le remboursement de certains médicaments est sur la sellette, faut-il s’en étonner ?

Santé magazine, dans son n° 33, octobre 1003, p. 96-97, fait état des doutes portant sur l’efficacité des traitements homéopathiques fréquemment utilisés pour la prévention des petits maux de l’hiver (rhinopharyngite, infection ORL) ; pour le soin des maladies infantiles (oreillons, rougeole, rubéole, varicelle, troubles du sommeil) ou pour faire face aux problèmes de peau (urticaire, verrues, réactions pubertaires, etc.). Administrées sous forme de sirop, de gélules-fondant-sous-la-langue, ces médications en minidose s’avèrent coûteuses et d’une efficacité souvent douteuse.

Il y a un médicament dont on ne parle guère, c’est le rire. Oui, le rire est bon pour la santé ! Celui qui rit introduit de la joie dans sa vie. Rire, c’est de faire du bien au niveau corporel comme au niveau moral. « Une minute de rire équivaudrait à quarante-cinq minutes de relaxation. »

Si l’on se reporte aux dires de Santé magazine, médecins et psychothérapeutes seraient de plus en plus nombreux à croire aux vertus de la « rirothérapie ». Ils concèdent toutefois que le rire ne modifie pas directement l’état morphologique, ni la physiologie des gens, mais il changerait le regard qu’on jette sur soi-même et il introduirait une distance entre le moi et le ressenti. Bref, le rire agirait comme un antidote ou un agent anti-stress réduisant le négatif qui vous perturbe et accentue votre sentiment de souffrance.

Outre qu’il détourne l’attention portée à la douleur, il vous transforme intérieurement dans un sens positif, en multipliant les échanges respiratoires, en renforçant les défenses immunitaires, en favorisant notamment la production d’immunoglobuline A dans les glandes salivaires et en vous apaisant par l’augmentation de la production d’endomorphine, facteur antidouleur, générateur d’un sentiment de bien-être.

Déjà, en août 1988 (n° 152, p. 60-64), Santé magazine s’était intéressé au rire, mais plutôt sous son aspect psychosocial. « Le rire, lisait-on, c’est contagieux. Quand quelqu’un commence à avoir le fou-rire, c’est la vague déferlante : tout le monde suit. » Cette contagion est excellente sous tous les rapports : « Riez ! Faites rire ! Vous ferez une bonne action », concluait le Dr H. Rubenstein, consultant médical (p. 60).

Le mécanisme du rire est complexe. Il met tout le corps en action. La zone du rire dans le cerveau se situerait dans l’hémisphère droit, c’est-à-dire là où siège le contrôle de la personnalité. En se prolongeant, le rire donne une impression de bien-être et l’on se sent sur-le-champ totalement relaxé.

Pour conserver une bonne santé, le rire semble donc indispensable (surtout pour les personnes sédentaires, étrangères aux activités physiques).

Le rire, en conclusion, stimule et régularise les fonctions respiratoires et cardio-vasculaires.

Le Dr Henri Rubenstein va jusqu’à y voir un authentique facteur de longévité.

Ce qui est certain, en tout cas, c’est qu’il est entré aujourd’hui dans la panoplie des médecins hospitalières et pas seulement en pédiatrie.

Dans les publications (comme, par exemple, Croix magazine Nord-Pas-de-Calais, n° 1107, 10-26 janvier 1990), on a pu lire des reportages sur l’utilisation thérapeutique du rire dans des cliniques et des établissements médicaux des plus sérieux. Le rire, en ces temps de morosité, est devenu une denrée rare, mais sachez qu’il y a des rires qui sauvent, qui font briller les yeux, éclairent des visages et restaurent, chez des gens qui souffrent ou qui doutent, la confiance et l’équilibre.

Mais restons vigilants : tous les rires sont-ils de cette nature ? Le Pr Carlston Nimitz, de l’université de Berlin, a disséqué méthodiquement le rire à l’aide d’une caméra-vidéo et d’un ordinateur (voir L’Express, 14-16 novembre 1986, p. 74 s.). Quatre-vingts personnes ont avec lui jugé le rire de dix-huit individus filmés par surprise. Ainsi fut mise en évidence l’importance relationnelle du rire.

En fermant les yeux, en changeant la direction du regard, le rieur rentre en lui-même, il exclut l’autre ou s’exclut lui-même, c’est un « retour à la source ».

Naturellement, le discernement s’impose. Il y a rire et rire : il y a des rires qui déconnectent, mais il y a aussi des rires qui soudent, des rires partagés, qui ouvrent à l’autre. Il y a des rires qui blessent, qui sont des armes, qu’on redoute, et il y a des rires qui désarment, qui délivrent, qui rassurent, des « rires fusionnels ».

Georges Minois a écrit Histoire du rire et de la dérision (Paris, Éd. Fayard, 2000). On y découvre l’extrême diversité des rires (dont Aristote faisait le propre de l’homme et dont Freud, en distinguant le rire de la peur et le rire du plaisir faisait la « manifestation du défi », dont le but latent serait de limiter une excessive dépense de ses affects.

Quoi qu’il en soit, riez ! le rire fait vivre, le rire est décapant ! Il régénère ! Comme l’écrivait Catherine Dolto, éminente psychanalyste, n’oubliez jamais qu’un clown sommeille en chaque être humain ! L’expérience démontre qu’il peut être astucieux de l’interpeller.

Esprit et Vie n°98 – janvier 2004 – 2e quinzaine, p. 36-37.
P. Louis Debarge

 

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Affirmer son bonheur au présent

Posté par othoharmonie le 8 avril 2015

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Sophie MERLE qui oeuvre avec Amour pour faire connaître les bienfaits de diverses méthodes psycho-énergétiques telles que EFT, a crée la méthode “JEcommande …”

« Le procédé “JEcommande …” est né de ma longue pratique des techniques énergétiques. M’appuyant sur une connaissance approfondie de la plupart d’entre-elles, joint au savoir acquis par l’étude des découvertes scientifiques fascinantes qui se font dans le domaine de l’épigénétique, j’en suis venue à bien comprendre l’idée fondamentale du “JE” dans son aspect le plus grandiose. Ce “JE”, à la fois esprit et conscience, qui repose au delà de tout ce qui existe dans notre vie et qui ne demande qu’à être reconnu pour exercer sa puissance d’une manière totalement satisfaisante. » nous explique la conceptrice de ce procédé quantique.

Sophie MERLE, nous offre un audio en cadeau. En ce 11-11-11, où des personnes se réunissent aux quatre coins de la planète pour prendre part à la co-création consciente de notre nouvelle Terre, j’ai enVie de partager ce cadeau avec vous.

Réaligner toutes les parties de notre être, les connecter à notre Présence Je Suis, s’harmoniser avec notre Être Divin, poser clairement nos intentions de se libérer de toutes ces vieilles mémoires émotionnelles  qui entravent notre sérénité afin de vivre en harmonie avec notre fréquence, c’est être le changement que nous voulons voir dans ce monde. Dépasser les projections égotiques qui nourrissent la dualité, se laisser guider par la petite voix intérieure de notre conscience supérieure, pour être tout simplement soi-même au plus près de son essence, de son Soi EssenCiel, c’est faire réellement sa part pour changer les choses ici et maintenant.

Voici le texte de cet audio cadeau, qui nous offre un moyen simple et efficace de reprendre en mains notre pouvoir personnel en employant consciemment la Force créatrice du Verbe. Vous pouvez utiliser ce protocole en effectuant les tapotements EFT, ou bien en le lisant comme vous le faites habituellement pour vos affirmations constructives, ou encore en vous laissant bercer par la voix de Sophie MERLE, sur son site Divine Commande. Mais aussi vous en inspirer pour créer vos propres affirmations.

« Je m’adresse ici et maintenant à toutes les différentes parties de moi-même qui se sentent en danger de n’importe quelle façon qui soit en raison du bonheur qui imprègne ma vie actuellement. Mon contentement est fait pour durer. Bâti dans la grâce et l’aisance, il repose sur des bases solides, indestructibles. Et je me délivre à présent, ici et maintenant de tout ce qui s’interpose de n’importe quelle façon qui soit à la continuité de la profonde satisfaction que j’éprouve en ce moment. J’y ai droit. 

C’est mon droit le plus absolu que de vivre une vie pleinement satisfaisante. Et je me désengage à présent, ici et maintenant, intégralement et totalement de tout vœu, toute promesse, toutes formes d’engagements contraires à ce droit que je me m’accorde à présent pleinement et totalement dans la grâce et l’aisance. 

Je suis en parfait alignement à tous les niveaux de mon être et en toutes dimensions de mon existence avec tout ce qui constitue les bases de mon bonheur actuel et à venir. Et j’interromps à présent, ici et maintenant, intégralement, totalement et à tout jamais toute situation en gestation à n’importe quel niveau de mon être ou dimensions de mon existence pouvant affecter de n’importe quelle façon qui soit mon bonheur présent et à venir. 

Je sais que je possède en moi le pouvoir de vivre au quotidien une vie pleinement satisfaisante. Et je supprime à présent, ici et maintenant, intégralement, totalement et à tout jamais l’ensemble des programmes conscients et inconscients qui me dirigent dans mes idées, pensées et comportements ou qui contrôlent les événements et les circonstances de ma vie de manière pouvant s’avérer nuisible de n’importe quelle façon qui soit à la pérennité de mon bonheur actuel et à venir. 

Une partie de ma conscience est intimement liée à la force créatrice de l’univers. C’est la partie divine de mon être, suprêmement puissante et intelligente. Dotée d’une sagesse infinie, toujours à l’écoute de mon bien-être, je lui confie ma vie et mon bonheur. Et j’intègre à présent, ici et maintenant, à tous les niveaux de mon être et en toutes dimensions de mon existence l’ensemble des données nécessaires à mon esprit divin pour diriger ma vie au quotidien et m’aider à vivre jusqu’à mon dernier souffle dans la grâce et l’aisance, la paix, l’amour et la lumière. 

Et j’intègre dans toutes les différentes parties de moi-même les capacités de vivre dès aujourd’hui, ici, à présent et à tout jamais dans la paix, l’amour et la lumière. Je suis paix, amour et lumière. Ma vie est emplie de paix, d’amour et de lumière. Je suis paix, amour et lumière à tous les niveaux de mon être et en toutes dimensions de mon existence et j’en prends conscience tous les jours davantage. Je suis un être magnifique qui répand la paix, l’amour et la lumière. Je suis paix, amour et lumière. Ma vie est magnifique. Merci la vie!”

Oui, merci la Vie, et merci aussi à Sophie MERLE pour ce beau présent.

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LES HATHORS : le chant de la Terre Nouvelle par Tom Kenyon

Posté par othoharmonie le 4 avril 2015

Terre nouvelle

Un des guérisseurs sonores les plus respectés dans le monde d’aujourd’hui

Tom : études de la vie et de nombreuses vies de souvenirs, avec les connaissances et l’expérience de fond afin de lui permettre de se déplacer avec une égale facilité entre le bouddhisme tibétain, égyptienne haut Alchemy, le taoïsme et l’hindouisme et les sciences relatives à chacun. 

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Tom Kenyon, je crois utile d’expliquer un peu comment il travaille et comment ses « paroles » se sont révélées à lui. Le travail de Tom avec les Hathors consiste principalement en codes sonores. Appartenant à un autre univers, ces maîtres du son et de l’amour ont été invités ici par Sanat Kumara, en raison de leur nature équilibrée et du besoin d’équilibre de la Terre. Ces codes sonores sont livrés par le truchement de la voix phénoménale de tom, qui couvre presque quatre octaves, spécialement pour les participants de chaque atelier et pour le pays où cet atelier a lieu. Toutes les séances sont très différentes les unes des autres. Il n’y a jamais eu deux méditations sonores semblables.

Par exemple, j’écris ceci à Istanbul, qui chevauche l’Asie, l’Europe et le Moyen-Orient. Le Bosphore, aussi appelé détroit d’Istanbul, forme la frontière entre l’Europe et l’Asie, occupant ainsi une position cruciale pour le monde entier. Nous sommes venus y livrer des « codes sonores » s’adressant spécifiquement à cet auditoire et aussi à la Terre.

Il y a une quinzaine d’années, les Hathors ont demandé à Tom de chanter « Le Chant de la Terre Nouvelle », lui expliquant qu’il devrait alors aller l’exécuter partout dans le monde. Nous avons déjà fait le tour du monde six fois nous dit Judi Sion, déposant des codes sonores en Russie, en Ukraine, au Tibet, en Birmanie, en Autriche, en Allemagne, en France, en Egypte et dans plusieurs autres pays. Ces codes sonores pénètrent dans la terre, où ils se répandent dans toutes les directions. De plus, nous avons construit, sous la direction des Hathors, des « temples de son » au Nouveau-Mexique, au Népal et au Costa Rica. En triangulation, ces temples répercutent ces codes partout dans le monde.

Tom n’a pas l’habitude de canaliser des mots. Il canalise des sons. Il ne canalise jamais des mots en public. Quand vous lisez ses paroles, comprenez que ce processus a eu lieu en privé tandis que je transcrivais exactement ce qu’il me dictait.

Tom est un canalisateur conscient. Il est donc conscient de ce qui est dit, mais ce n’est pas lui qui parle. Ce n’est pas sa voix qui livre l’information. Avec le temps, j’en suis venue à reconnaître la voix et l’énergie de plusieurs des êtres avec lesquels nous travaillons. Par exemple, je sais reconnaître Enom, le porte-parole de HATHORS, et je reconnais toujours Marie Madeleine  . (Sanat Kumara possède une voix facilement reconnaissable ; Il faut dire qu’il est âgé de plsuierus millions d’années terrestres).

Les Hathors me font toujours relire leurs messages afin de s’assurer que tous les mots sont conformes à leurs intentions. C’est un travail très exigeant ; Un jour en Allemagne, une femme est venue me voir à l’heure du lunch, après que Tom eut produit des sons durant tout l’avant-midi. Elle me demanda à quelle heure tom ferait une canalisation. Elle ne comprenait pas que c’étaient les sons qui constituaient la canalisation. Elle s’attendait à ce qu’il s’assoie et qu’il lui fasse entendre la voix d’un esprit.

Le son pur, c’est-à-dire le son sans paroles, active l’hémisphère droit du cerveau, permettant d’énormes transformations. C’est donc là la nature du travail sonore que Tom effectue, principalement avec les Hathors et d’autres déités de diverses lignées.

Puisque ce sont les Arcturiens qui ont invité les Hathors dans cet univers, il semblait tout à fait approprié que nous aidons à rassembler les pièces du puzzle de ces deux civilisations, et le livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN   constitue le début du processus.

Ces êtres nous livrent des messages planétaires depuis 2003. Leurs Messages constituent une mise à jour de l’état de la Terre et de ses habitants. Ils comportent aussi des suggestions pour composer avec les changements qui ont lieu à l’heure actuelle. La survie est une chose. Se développer en est une autre. Les HATHORS nous disent que leur émotion la plus basse est la béatitude. Nous n’avons aucun mot pour exprimer un état perpétuel qui dépasserait la béatitude.

Leur civilisation a ascensionné collectivement, ce que je ne peux pas imaginer pour la Terre étant donné nos divisons de toutes sortes. Ils affirment toutefois que c’est possible. Ils disent également qu’un destin positif est possible pour notre planète et ses habitants, même jusqu’à la toute dernière seconde.

Propos de Judi SION dans le livre du Grand Potentiel Humain

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Apportez l’amour à vos organes vitaux

Posté par othoharmonie le 17 mars 2015

 

pensee-positiveNos problèmes sont dans l’ensemble très complexes, au point que nous nous laissons submerger par eux. La plupart d’entre nous sont pris de découragement ; nous baissons les bras et n’essayons même plus de comprendre le tableau intégral de la vie.

Nos têtes chancellent tant elles sont pleines d’informations venant de toutes parts (télévision, radio, journaux, ordinateurs). Il nous faut arriver à les assimiler, ce qui n’est pas facile, d’autant que nous vivons dans la dissociation corps/esprit. Un corps sain n’est pas atteint par le stress de la vie moderne ; celle-ci lui fournit même l’occasion de créations nouvelles. Seulement, nombre de gens ne connaissent pas les mécanismes qui leur assureraient un équilibre naturel corps/esprit. Ils essaient d’assimiler le monde mentalement, par l’accumulation de concepts, de pensées, de désirs. Ils oublient que leur corps est contraint de transporter vingt-quatre heures sur vingt-quatre tout l’excédent de bagage mental et que celui-ci l’épuisera à la longue. L’épuisement corporel se traduira par une crise cardiaque, de l’arthritisme ou des disfonctionnements hépatiques. Lorsque nous craquons, nous accusons notre “ pauvre corps ”, à tort car le véritable coupable est notre mental surstressé.

La plupart d’entre nous ignorent jusqu’à la localisation de leurs organes physiques ; et ne parlons pas de leur taille, de leur forme et de leurs fonctions, ce qui est une preuve de notre ignorance des rapports existant entre le corps et le mental. En admettant même que nous ayons une connaissance intellectuelle de nos organes physiques, celle-ci ne nous en donne pas une expérience tangible, car nous ne percevons pas les messages subtils qu’ils nous lancent sans cesse. Par exemple, nous croyons être contents lorsque notre mental l’est. Même si nos intestins se rebellent contre la suralimentation, si nos poumons sont chargés de nicotine, nos reins épuisés par l’abus de café, le mental, de son côté, continuera d’apprécier la cuisine gastronomique, la cigarette et le café. Nous sommes sourds aux messages que nous lancent nos organes et empêchons ainsi que s’actualise en nous l’expérience d’un profond bien- être physique.

Nous sommes comparables à cet automobiliste inconscient qui passe son temps à laver et briquer son véhicule puis à rouler sur des chemins poussiéreux, pleins de bosses et à qui il ne viendrait à l’idée ni de changer les bougies ni de faire une vidange. Lorsque sa voiture refuse de rouler, il pousse des jurons, se plaignant de ne pas être mécanicien et accusant le garagiste qui, pourtant, l’avait averti que la voiture avait besoin d’une révision complète. Nous avons exactement le même comportement. Nous dé pensons notre énergie (et notre argent) pour notre apparence physique, mais nous nous maltraitons intérieurement. Nous avons un régime alimentaire déséquilibré, buvons de l’alcool, fumons. Et pire encore : nous nous privons d’amour.

Or, s’il vient un jour où le souffle nous manquera, où nos reins seront bloqués, où un cancer se déclarera, nous en serons bouleversés. D’aucuns arrivent à se convaincre de façon étonnante qu’ils ne sont pour rien dans leurs maladies. Ils s’empressent de porter le blâme de leur mauvaise santé sur les gênes, le vieillissement, la chance, etc. Trop de gens sont inconscients de ce qu’une maladie est directement imputable à des années entières de stress, d’abus corporels apparemment mineurs, notamment pour ce qui est des organes vitaux. Les organes vitaux sont intimement liés au cerveau. Le corps est le filtre de nos perceptions, de nos sentiments, de nos pensées ; il est notre magasin de souvenirs, le sens même de notre identité. Peu de gens réalisent que l’arrêt temporaire du fonctionnement psychique, l’absence temporaire de pensées ou de sensations, n’empêchent pas nos organes de continuer à fonctionner. Par contre, lorsque la rate éclate, que le coeur s’arrête de battre ou que le foie ne remplit plus ses fonctions, notre vie est vraiment en danger.

 Le cerveau commande, mais ce sont les organes qui font le travail. Imaginez que vos organes travaillent dans une usine. Si le patron n’est jamais là ou s’il fait fi des doléances de ses employés (conditions de travail, horaires trop chargés, salaires trop maigres), ceux -ci vont finir par se décourager, se mettre en grève ou donner leur démission. L’usine ne tourne plus, la fabrication est arrêtée ; à ce moment-là le patron se voit contraint d’ouvrir les négociations. Un peu tard car, si les ouvriers ont quitté leur travail, son autorité a baissé ; peut-être l’usine ne rouvrira-t-elle jamais et le patron perdra-t-il son gagne-pain (n’oubliez pas que le problème ne date pas d’hier!).

Extrait du Livre : ENERGIE VITALE ET AUTOGUERISON de Mantak Chia aux Editions Dangles

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UN GRAND ALLIÉ DU SYSTÈME RESPIRATOIRE

Posté par othoharmonie le 16 mars 2015

 

 

800px-Honeycombs-rayons-de-miel-1Comme on l’a vu au chapitre précédent, on se sert du miel comme remède depuis l’Antiquité, notamment pour traiter les infections de la gorge, une application toujours d’actualité. Une équipe de pédiatres de l’Université de la Pennsylvanie, aux États Unis, a en effet démontré en 2007 que le miel serait le plus efficace des traitements pour soigner la toux des enfants. Les jeunes qui ont participé à l’étude, et chez qui on avait diagnostiqué une infection des voies respiratoires supérieures, ont pris soit une cuillère de miel de sarrasin avant d’aller se coucher, soit de la dextrométhorphane parfumée au miel (un sirop contre la toux), soit rien du tout. D’après les résultats, les enfants ayant pris du miel sont ceux qui ont le moins toussé la nuit, et donc le mieux dormi. Le sirop au dextrométhorphane a permis de diminuer la toux, mais s’est montré à peine plus efficace que l’absence de traitement en ce qui concerne l’évolution générale du patient. La présence de composants phénoliques dans les miels foncés, associés aux propriétés antioxydantes du miel, expliquent la nature des effets enregistrés, selon les chercheurs américains. Le miel contient une petite quantité d’acide formique et d’inhibines, des antibiotiques naturels qui empêchent le développement des bactéries, contribuant à soulager les gorges irritées et les bronches. Le miel entraîne, lors de l’ingestion, une augmentation de salive et de mucus, ce qui adoucit la gorge. C’est également un antioxydant et un antimicrobien. Cet effet antiseptique provient d’une enzyme appelée « glucose oxydase », qui permet de transformer de petites quantités de sucre en peroxyde d’hydrogène, plus connu sous le nom d’« eau oxygénée ». C’est ce qui explique son efficacité pour soulager les maux de gorge et la toux.

LE MIEL, UN RÉGÉNÉRATEUR DE L’ÉPIDERME

Les propriétés qui ont fait du miel un traitement antiseptique et un baume pour la guérison des infections et la cicatrisation des tissus en font aussi un régénérateur naturel des couches superficielles de l’épiderme. Pas étonnant que les laboratoires de cosmétologie l’utilisent dans la préparation de plusieurs produits de beauté ! Les fabricants attribuent de nombreux bienfaits au miel, qu’ils ajoutent dans nombre de leurs produits : savons, gels, crèmes hydratantes, masques, exfoliants, bains moussants, etc. Bien que les recherches qui accréditent les dires des fabricants soient rares et semblent confi nées aux laboratoires de cosmétiques, certains petits trucs beauté connus s’avèrent tout à fait efficaces.

Un Facicule à se procurer ici : http://www.edhomme.com/medias/2/2/ext_9782761938761.pdf

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