L’immuable sagesse du corps

Posté par othoharmonie le 24 août 2013

L’immuable sagesse du corps dans Auto-Guérison images-141

Le parasympathique, les effets du bien-être Jour et Nuit, Sympathique et Parasympathique Imaginez que le jour s’étende 24 h sur 24, sans plus de nuits… 


À l’image des cycles planétaires, notre corps fonctionne sur ces polarités : jour/nuit, action/repos, régies notamment par le système nerveux autonome ou neuro végétatif (SNV).

Un monde sans sa face nocturne, cette sagesse secrète, se consumerait certainement, emporté dans une course effrénée vers l’assèchement des ressources … De même, si les deux facettes du SNV, sympathique et parasympathique se déséquilibrent c’est invivable ! Si le premier domine le second, plus de repos, ni de récupération…  
Ces deux branches doivent être en équilibre, agir en chœur, en alternance, dans une écoute parfaite. Elles se doivent soutien mutuel. 

Situations de paix 
Le système nerveux, chargé de la régulation des fonctions vitales de l’organisme, est très subtil et lui porter notre attention favorise sa santé. C’est un attrait récent pour une société qui prône les qualités sympathiques : effort, action, productivité. Le revers de ce parti : bloqué en sympathique, le corps ne se régénère plus, les nerfs s’épuisent, le stress persiste (insomnies, burn out, états dépressifs). Le niveau du parasympathique dévalorisé (paresse, oisiveté, siestes) est devenu celui de l’ombre, de l’inconscient : télévision, drogues, maladies soupapes, écarts incontrôlés. Il a besoin d’être reconnu et vécu en conscience.  
Prendre soin de cette balance, c’est retrouver la dynamique naturelle, l’un correspond à la dépense d’énergie, l’action : la partie sympathique et l’autre à la phase de récupération : le « parasympathique » qui renouvelle l’énergie et le tonus, et ainsi de suite…. _ N’est-ce pas fabuleux ? 

« Quand je me repose, je me reconstitue » 
Le parasympathique gère l’inné en nous : respiration, vue, ouie, et autres capacités naturelles… Pour protéger cette mécanique, conscientisons le temps dédié à une détente de qualité : un espace plaisant, un soin porté au corps, au souffle, au calme mental. Cette vertu du corps et de l’être qu’est l’autorégulation parasympathique, assimile alors nos expériences de vie et nous prépare à une action future, actualisée selon nos potentiels. Le ‘psychopéristaltisme’ (gargouillis du ventre), fonction élargie des intestins, signale cet état d’intégration, nettoie les toxines et les résidus chimiques liés aux stress. 

Connexion parasympathique 
Les pratiques qui influencent la respiration : relaxation, yogas, méditation, etc. La sécurité et le temps sont aussi des aspects majeurs pour un repos constructeur. Les massages privilégient cet accès au bien-être : cadre apaisant, présence, écoute, travail sur les rythmes respiratoires. Dans ces voyages intérieurs, on découvre l’Eden du bien-être : activation du parasympathique, stimulation du cerveau droit et des ondes alpha, hausse des sécrétions d’endorphines, ouverture du psychopéristaltisme. Et « être dans le moment présent », c’est une voie royale pour restaurer les systèmes physiologiques, énergétiques, psychologiques et spirituels.

  Renato Pappalardo et Lola Dousse Ortolan sont thérapeutes psychocorporels biodynamiques, et créateurs des formations massage biopulse, 
– Renseignements : - email : formationbiopulse@gmail.com 
www.massagebiopulse.com - Ecole agréée par la fédération française de massage bien-être.

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un pied dans l’avenir

Posté par othoharmonie le 24 août 2013

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La réflexologie vise à mobiliser les processus d’auto guérison du corps. Elle se pratique en exerçant une pression soutenue, avec le bout des doigts, sur des zones ou des points réflexes situés sur les pieds, les mains, les oreilles et le visage, qui correspondent à des organes ou des fonctions organiques.

La réflexologie ne prétend pas guérir des maux spécifiques. Elle cherche plutôt à apporter un certain soulagement à un grand nombre d’affections : des maux de tête ou de dos au syndrome prémenstruel en passant par le stress, les troubles respiratoires, la sclérose en plaques ou les effets indésirables de la chimiothérapie. 
Des illustrations et des textes anciens permettent de penser que les Chinois et les Égyptiens ont utilisé une forme de réflexologie des pieds durant l’Antiquité. 
La réflexologie moderne remonte aux travaux d’un médecin américain, le Dr William Fitzgerald. Sa théorie, élaborée en 1913, repose sur un modèle anatomique qui divise le corps en dix zones énergétiques, allant de la tête aux pieds, chacune étant liée à des endroits précis du corps : les zones réflexes. 

C’est Eunice Ingham (1889-1974), une physiothérapeute américaine, assistante du Dr Fitzgerald, qui a mis au point au début des années 1930 – à partir des découvertes de ce médecin – la réflexologie telle qu’on la connaît aujourd’hui. Elle est l’auteure du premier traité de réflexologie moderne. 
Eunice au long de sa vie a eu pour objectif « d’aider l’humanité autant que nous le pouvons, chaque fois que possible et où que nous soyons. »

Pas de statut officiel en france

La réflexologie est de plus en plus utilisée comme approche alternative, que ce soit par des professionnels ou dans un simple cadre familial ou personnel. Elle a reçu la reconnaissance officielle de nombreux pays. Le Danemark, la Chine et le Royaume-Uni l’ont intégrée dans leur système de soins de santé.

Applications thérapeutiques

La littérature scientifique concernant les effets thérapeutiques de la réflexologie en est encore à ses premiers pas. Certains résultats d’essais cliniques sont toutefois encourageants : Améliorer la qualité de vie des personnes cancéreuses Les études de cas révèlent que beaucoup d’entre eux perçoivent une amélioration de leur qualité de vie, une diminution de leurs symptômes émotionnels et physiques, de leur état d’anxiété, un sentiment de relaxation et une amélioration de leur état de santé général et de leur bien-être. Contribuer à traiter certains troubles mentaux Une étude auprès de patients souffrant de troubles mentaux indique que la réflexologie a été bénéfique pour les aider à gérer leur anxiété et pour leur donner confiance en leur pouvoir de guérison. Réduire les symptômes du syndrome prémenstruel Soulager les douleurs chroniques du bas du dos Améliorer la qualité de vie des patients en soins palliatifs Soulager les problèmes intestinaux

Pratique familiale et professionnelle

Le titre de réflexologue n’est pas protégé et la pratique n’est pas régie par des ordres professionnels. Il est donc plus prudent de s’assurer que son réflexologue fait partie d’une association reconnue. On peut utiliser la réflexologie pour soi-même ou ses proches après avoir suivi un cours de base. 

  Plus d’infos : Guy Largier, masseur-kinésitherapeute. 
Antoine Van-Waeyenberghe : podo-réflexologue certifié membre de le Fédération Française des Réflexologues. http://www.soleil-levant.org

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Intuition sur les origines du toucher

Posté par othoharmonie le 24 août 2013


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 « L’homme implore la santé auprès des dieux, sans toutefois penser que le pouvoir de la conserver est entre ses mains » Démocrite.

Un incontournable du bien être

Dans notre société pressée et stressée, le massage est devenu un incontournable du bien-être. Il est proposé pour ses multiples bienfaits : relaxation, minceur, forme, recherche de traitements et de lutte contre la maladie, développement personnel… Le toucher s’intègre dans les psychothérapies, aidant à guérir les mémoires émotionnelles, améliorer sa posture et sa respiration. Cet essor correspond aux valeurs actuelles : le bio, l’écologie, le développement durable… La prise de conscience de l’importance du corps et de la terre. Le massage sensibilise, ramène à la réalité objective, sort de l’envoûtement mental et virtuel du quotidien (télévision, ressassement du passé, fantasmes). Après des années de négation du corps, où le contact était banni des relations et de la médecine, on découvre et étudie le puissant impact positif du toucher dans plusieurs domaines. On le redécouvre en réalité, car c’est un des plus anciens arts de soigner. Partout dans le monde on trouve des traces d’imposition des mains : sur les fresques des pyramides, dans la bible, dans la Grèce d’Hippocrate, en orient où a perduré et crû un substantiel et précieux savoir…

Relier l’être au cosmos et à sa voie

La science d’imposer et de mouvoir les mains fut soufflée comme un cadeau aux hommes et aux femmes élus par les entités alliées d’un clan : ancêtres, guides, bons esprits, etc. L’aspect sacré faisait partie intégrante de ces pratiques qui liaient l’humain, la nature et le divin. Dans de nombreuses traditions le toucher est un outil initiatique accompagnant des niveaux d’évolution : 

  pour aider à s’incarner, par exemple en Afrique et en Inde le massage rituel des bébés ; 
  pour éveiller l’âme, masser permet de relier l’être au cosmos et à sa voie ; 
  pour purifier le corps et l’esprit, lors de l’ancestrale coutume des bains ; 
  pour libérer les nœuds corporels et modifier sa structure ; 

  pour transformer le présent, travailler sur le passé via un état de conscience modifiée. Les chamans de Sibérie opèrent une transmutation des données dans la mémoire cellulaire dont le corps est la porte d’accès. Pour canaliser, certains guérisseurs oeuvrent avec le monde invisible source d’une pharmacie céleste. Prêter ses mains aux forces de guérison nécessite pureté et maîtrise. Les longues années vouées à l’apprentissage et à la connaissance de soi sont communes aux formations originelles de thérapeutes. Certains étaient vus comme des prophètes tant leurs connaissances étaient vastes.

Aujourd’hui le massage est sous les regards, la science s’intéresse à ses effets, aux perspectives de guérison et de prévention qu’il présente face aux maux de notre époque. Au milieu de cet engouement, il faut considérer le travail accompli par le thérapeute sur son propre soma, sa psyché, son énergie, sa conscience pour acquérir l’humilité et la vigilance essentielles au respect de la liberté du patient, loin des pièges égotiques. Par cette qualité on peut retrouver aussi le caractère sacré des origines…

Renato Pappalardo est psychothérapeute et formateur en massage. Avec Lola Dousse Ortolan il propose la Formation bio-pulse® : Stages résidentiels et formation continue. Renseignements : biopulse@hotmail.fr

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Guérir autrui ou pas

Posté par othoharmonie le 14 juin 2013

 

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Personne n’a le droit de guérir qui que ce soit sans permission, même s’il en a le pouvoir par un simple attouchement. C’est illégal.

Nous vivions tous dans ce genre d’école où l’expérience de chacun est précieuse ; votre expérience personnelle ne peut être remplacée par celle de quelqu’un d’autre, et chacun de nous a besoin de faire la sienne. Du point de vue spirituel, tenter de guérir quelqu’un simplement parce que vous le désirez, ou parce que vous pensez qu’il doit en être ainsi, ou que telle ou telle personne le mérite, n’est pas une chose à faire. Vous devez d’abord obtenir la permission. 

Et pourquoi me direz-vous ? Parce que dans cette troisième dimension, nous ne pouvons pas très bien voir les choses telles qu’elles sont. Nous ne bénéficiions d’aucune vue d’ensemble et ne savons pas exactement ce que nos actes pourraient provoquer. Il se peut que nous pension pouvoir faire un grand bien à la personne, mais il se peut aussi que nous lui causions un grand tort. Nous vivons tous dans l’école universelle de la matière et du temps ; il se peut très bien qu’une personne soit venue sur terre simplement pour passer par l’expérience d’une maladie, d’un handicap ou d’une difformité. C’est grâce à cette condition qu’elle pourra apprendre ce qu’est la compassion, et vous lui volez cette opportunité en la guérissant. Efforcez-vous donc de maintenir votre ego à l’écart ; de la sorte, vous effectuerez toujours le bon choix. Qui, quand et comment guérir vous viendront alors naturellement. 

Le Soi supérieur de la personne sait exactement ce qui ne va pas, et ceci, jusque dans les moindres détails. Par conséquent, si vous continuez à vous entretenir avec celui-ci une fois qu’il vous a donné la permission de guérir la personne en question, vous accumulerez une grande connaissance au sujet de la maladie. J’ai découvert que le Soi supérieur de la personne, si je le lui demande, me dira exactement comment agir pour la guérir. Dans certains cas, il s’agira de recourir à l’usage de la médecine traditionnelle, mais dans d’autres cas, ce qu’il n’est conseillé de faire n’a, à première vue, absolument aucun sens. Par exemple, (symboliquement) le Soi supérieur de la personne pourra vous demander de peindre une étoile rouge sur votre front pendant tout le temps que vous travaillez avec cette personne. Sur le plan intellectuel, vous ne comprenez pas pourquoi vous devez vous plier à ce rituel, mais quand la personne aperçoit l’étoile rouge, quelque chose se déclenche en elle et une guérison spontanée a lieu. Par conséquent, acquiescez aux requêtes de l’identité supérieure de votre sujet, car elle connaît tout. 

Mon Dieu, mon Dieu, ayez foi en vous-mêmes, croyez en vous-mêmes. Dieu est avec vous, absolument ! Vous pouvez guérir n’importe quoi. Avec de l’amour, vous pouvez maintenir votre corps en bonne santé et votre monde en équilibre parfait. La vie s’écoule naturellement, telle qu’une belle rivière, et tout devient aisé, à l’opposé du manque d’harmonie si caractéristique dans la vie de tant de gens. 

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Les Origines de la maladie

Posté par othoharmonie le 28 mai 2013

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Par Sylvain Bélanger

Selon certaines approches thérapeutiques, la maladie proviendrait d’un désordre énergétique. Selon d’autres, elle proviendrait plutôt d’une perturbation psychique. Et si tout était juste ?

Les approches énergétiques 
Les approches énergétiques reconnaissent l’existence d’une structure qui permet à l’énergie vitale de circuler dans l’organisme afin de préserver la santé. Lorsque l’énergie circule librement dans cette structure, la santé existe et est optimale. Lorsque ce flux est interrompu ou congestionné à quelque endroit que ce soit dans le corps, la communication cellulaire est perturbée et il peut en résulter un problème de santé. Les tenants de ces approches affirment qu’il suffit de rétablir la circulation de l’énergie pour recouvrer la santé. Malheureusement, cet équilibre énergétique ne sera que temporaire si une cause psychique lui est sous-jacente, ce qui est souvent le cas. 

Les approches psychiques 
Quant aux approches psychiques, elles soutiennent que la psyché est à l’origine de la maladie. Un déséquilibre survient lorsque l’information psychique n’est pas bien accueillie par le cerveau. Ce déséquilibre ne favorise ni la santé, ni l’expression des capacités d’un individu. Le déséquilibre demeurera présent tant et aussi longtemps qu’il y aura un conflit entre le cerveau et les demandes du corps. Selon ces approches, le rétablissement passe par une prise de conscience des chocs émotionnels à l’origine du problème de santé. La faiblesse de ces approches est que souvent elles ne tiennent pas compte de la réalité énergétique et corporelle. Ainsi un individu affaibli énergétiquement ne pourra s’adapter à une nouvelle situation entraînée par une résolution de conflit. 

Rétablir la relation psyché-corps 
Pour soigner cette personne, il sera nécessaire de considérer l’énergétique et le psychique et de comprendre la dynamique entre les deux. L’Écoute Imaginaire est une des rares approches qui travaillent sur ces deux aspects. L’Écoute Imaginaire repose sur l’idée que l’imaginaire est un langage permettant de communiquer avec la sagesse animant les énergies subtiles. 
Un déséquilibre énergétique est perçu en Écoute Imaginaire comme une modification du rayonnement cellulaire du corps. Pour comprendre ce qui se passe, le thérapeute va faire une écoute intuitive des organes où le rayonnement semble anormal et interagir dans l’imaginaire avec ces organes. Cela lui permettra de comprendre la dynamique énergétique perturbatrice. Il pourra ainsi adapter le soin en tenant compte des besoins énergétiques que le corps exprime. 

Un déséquilibre psychique est perçu en Écoute Imaginaire sous la forme de personnages se trouvant dans des scènes représentants un contenu psychique avec lequel la personne aidée n’est pas en harmonie. En interagissant dans l’imaginaire, le thérapeute peut identifier la raison d’être de leur présence dans le champ de l’individu. Lorsque les énergies psychiques sont en harmonie avec la personne, cela signifie que l’information circulent librement vers le cerveau et vice-versa. À l’inverse, lorsqu’une énergie psychique est en conflit avec la personne, cela signifie qu’il y a coupure entre le cerveau et le corps et que la région concernée est dévitalisée. Lors d’un soin, le thérapeute va tenir compte de ces deux aspects afin de rétablir l’équilibre psychique et énergétique. L’accueil des nouvelles informations par la personne aidée favorisera une nouvelle vision du monde plus en harmonie avec elle-même. 

  Pour en connaître davantage : Sylvain Bélanger, créateur de l’Écoute Imaginaire sera de passage en France pour salons, conférences, entrevues radio, enseignement et consultations. Pour communiquer avec lui visitez le site internet : www.ecouteimaginaire.com  

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La maladie, une alliée non désirée ?

Posté par othoharmonie le 28 mai 2013

 

 

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Par F. Lewin et M. Gablier :

« La maladie se manifeste sur notre chemin d’évolution pour nous aider à adopter de nouveaux fonctionnements. »

La maladie, une alliée non désirée ? dans Auto-Guérison llLa santé est un bien précieux souhaité par tous. La maladie inconfortable, source de peine et de douleur, percute notre routine et nous demande de modifier notre organisation. Pourtant derrière ces aspects dérangeants et désagréables, nous avons tendance à négliger son utilité, ses fonctions et ses messages. La maladie peut être là, entre autre, pour nous éviter de trop souffrir psychiquement, et pour nous appeler à mieux écouter notre âme. C’est une alliée encombrante, non désirée, mais qui peut être correctrice et initiatique. 

Le corps peut soulager la souffrance psychique 
Face à une perte trop grave, un conflit insoluble, une souffrance récurrente, le corps inhibe les perceptions liées à ces situations pour soulager l’Être. Le conflit passe alors du niveau psychologique au niveau physiologique. Ce processus va atteindre une fonction corporelle : le système digestif, le rythme cardiaque, la vision… qui va se retrouver perturbée dans son fonctionnement et pourra engendrer une somatisation. Les symptômes physiologiques ou les maladies qui apparaîtront seront le résultat de cet effort du corps pour réduire et résoudre la souffrance psychique. Au cours de notre pratique thérapeutique, cette émergence du sens est fréquente. 

Pour illustrer ceci, voici deux exemples. Un adulte, lors d’une séance de Végétothérapie (technique d’amplification des signaux corporels et émotionnels) retrouve les sensations initiales qui ont amenées la surdité de son oreille droite. Il lui vient à la mémoire cette période où enfant, sa famille était plongée dans un conflit qui générait beaucoup de cris quotidiens. Il prend conscience alors que cette surdité lui permettait de dormir l’oreille saine sur l’oreiller avec l’autre devenue sourde pour ne pas entendre les cris. Un autre cas, une petite fille de 11 ans avait une à deux fois par jour, de soudaines absences. Deux ans plus tôt, elle avait eu une méningite. Il apparaît que le couple parental est constamment en menace de séparation. Notre analyse était que cette situation d’incertitude insupportable pour l’enfant, a tout d’abord créé l’inflammation des méninges par sur-activation du cerveau en quête de solution. Son corps a ensuite trouvé la solution de décrocher de la situation en s’absentant. Le travail a été de mettre en conscience la souffrance face à cette insécurité, et de trouver d’autres issues de secours. A la question « Est-ce qu’il y a un moment où tu es très heureuse en famille ? », la réponse immédiate a été « En vacances en Savoie ». Trois alternatives aux absences ont alors été expérimentées avec l’enfant : penser à la Savoie en respirant les yeux fermés pour ressentir le plaisir de ses vacances, s’isoler pour laisser sortir sa rage en frappant un coussin de toute sa force, ou encore exprimer aux parents  » J’ai mal quand vous vous disputez ». A la séance de contrôle cet enfant n’avait quasiment plus d’absences. A la question « Qu’as-tu utilisé ? », elle répondit « Les vacances en Savoie ». 

La maladie nous indique la nécessité d’un changement 
La maladie se manifeste sur notre chemin d’évolution pour nous aider à adopter de nouveaux fonctionnements, quelquefois en opposition avec nos attitudes habituelles. Nous recevons des patients très actifs qui perdent leur capacité à se dépenser (fatigue, jambe cassée, maladie…). Cet empêchement les invite alors à découvrir un espace plus intériorisé et à apprendre à mieux écouter leurs limites et leur besoin réels. Une dépression qui rend toutes choses sans goût peut laisser la place à une contemplation profonde et un re-alignement sur de nouvelles valeurs. Si l’on regarde la maladie dans ce qu’elle nous invite à, ou nous empêche de faire, elle est alors un aiguillon pour se transformer. Quand quelque chose de nouveau apparaît dans nos fonctionnements, cela peut paraître étrange. C’est souvent vécu comme une anomalie. Ce changement impose un lâcher prise des vieilles habitudes et l’acceptation des nouvelles données. Sachant limiter nos excès, ou au contraire, nous forcer à explorer une réalité par delà nos limitations et notre caractère, la maladie permet souvent de franchir des étapes importantes pour notre évolution. Elle est à la fois un garde-fou et un guide. 

La psychologie Biodynamique, à l’écoute de l’âme dans le corps 
L’émergence du sens des symptômes est une porte pour guérir les marques des souffrances, oubliées et graves dans le corps et pour retrouver le mystère intérieur qui cherche à éclore. La psychologie Biodynamique par son regard intégratif et sa compréhension des liens psyché-soma, cherchera à entendre dans les « maux » un appel de l’Etre et un potentiel pour une transformation. Le thérapeute biodynamique est formé à percevoir l’émotion contenue dans les tissus. Tel une sage femme, il accueille l’émergence des matériaux enfouis, pour permettre au noyau sain de s’épanouir. Les outils tel que les Massages Biodynamiques, la Végétothérapie, les Rêves Eveillés, les mobilisations corporelles, accompagnés de la compréhension Biodynamique des processus du vivant, permettront la clôture de cycles émotionnels restés en suspens et l’apparition d’une profondeur parfois insoupçonnée. Le symptôme, d’obstacle encombrant, se transforme en indicateur aidant et stimulant, jusqu’à sa disparition complète s’il n’a plus lieu d’être. 

  François Lewin -Formateur, superviseur et directeur de l’Ecole Biodynamique Miriam Gablier -Présidente de l’APPB 
  Ecole Biodynamique Paris Montpellier Lyon www.psychologie-biodynamique.com 

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SE MAINTENIR EN BONNE FORME

Posté par othoharmonie le 24 mai 2013

 

par Guy DESARDENNES

 

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SE MAINTENIR EN BONNE FORME dans Auto-Guérison espace-bien-etreFonctionnement du corps humain 
Notre cerveau gère la bonne marche de nos organes. Notre volonté n’a aucune action sur le déroulement de la respiration, la digestion, la circulation sanguine ou les processus d’élimination. 
Le cerveau possède, comme un ordinateur central, nos programmes. Il déclenche les réactions chimiques nécessaires au bon moment et dans le bon ordre, suivant les informations qu’il reçoit des multiples capteurs situés partout dans l’organisme, permettant l’accomplissement de toutes nos fonctions essentielles. 

  Les troubles qui surviennent ont 3 origines. 
Ils peuvent être physique (empoisonnement, pollution), émotionnel (bonne ou mauvaise nouvelle, conflit) ou spirituel (mal-être, absence de but, de justice, souffrance des autres). 
Chacun a pu constater l’effet physique d’une mauvaise nouvelle (perte d’énergie immédiate) ou d’une bonne (l’amoureux déborde d’enthousiasme). 

Il y a donc interaction permanente entre ces trois dimensions. 
On peut d’ailleurs s’étonner que la médecine se concentre exclusivement sur notre dimension physique pour expliquer et tenter de guérir les maladies. La méfiance grandissante des patients et leur engouement pour les médecines et produits naturels traduisent certainement cette aberration. 

Notre pharmacopée part du principe que le corps se dérègle et donc un médicament est calculé de façon à ce que les barrières dressées soient contournées ou éliminées. En somme, on force le corps à rentrer dans le rang. 
Arrivent ensuite les effets secondaires qui généreront la prise d’autres médicaments débouchant sur une dépendance définitive. 

N’est-ce pas un constat d’échec de notre civilisation que de réduire ainsi la fin de vie de nos anciens, autrefois respectés et consultés pour leur sagesse ? 

N’est-il pas temps de réconcilier les diverses formes de thérapies afin de mettre au centre l’intérêt des patients plutôt que celui des laboratoires ? Ceci obligerait notre société à changer de point de vue en faisant confiance à notre organisme et en l’accompagnant vers la guérison plutôt que de prendre le pouvoir sur notre cerveau. 

  Besoins essentiels de l’organisme 
Définissons-les sur les 3 plans. 

Pour le spirituel, chacun essaiera de comprendre le sens de l’évolution de l’être humain. Les réponses obtenues permettront de donner une assise, une sérénité plus grande, diminuant ainsi le stress créé par les évènements de la vie. 
Pour le psycho-émotionnel, il me semble essentiel d’avoir régulièrement recours à des thérapeutes (nous n’en manquons pas) qui nous aideront à vider nos émotions, à accepter et tirer les leçons de nos expériences et donc à repartir de plus belle. Ce conseil est vital pour nos enfants soumis au stress de plus en plus tôt. 
Sur le plan physique, la prise de compléments alimentaires donnera les moyens à notre organisme d’optimiser les réponses aux différents stress que la vie nous impose. 

Personnellement, je prends de la vitamine C (carburant essentiel des cellules) tous les jours. Ensuite, je fais 4 cures/an : 
  Colo Vada, nettoyage complet et simple du tractus digestif sans hydrothérapie du côlon 
  Regulat pour aider à maintenir l’équilibre de notre métabolisme par apport d’enzymes naturels 
  L’Aklamath, algue d’eau douce, aliment le plus riche de la planète (vitamines, acides aminés essentiels et semiessentiels, 115 micronutriments) 
  Sérum de Quinton, contenant tous les éléments chimiques nécessaires à la vie (voir tableau périodique de Mendeleiev) Et je suis en forme tous les matins !

  Guy DESARDENNES est l’auteur du roman « HERITAGE », témoignage simple et vrai, pouvant aider chacun à trouver le chemin de l’autonomie et de la bonne santé physique et spirituelle. 
Editions LOUREX, 206 chemin de Lamour. 82100 CASTELSARRASIN
un site www.lourex.com

 

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Redécouvrir la guérison par voie spirituelle

Posté par othoharmonie le 24 mai 2013

par Bruno Groening :

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A l’époque où nous cherchons à préserver ou recouvrer la santé en utilisant différents recours, il existe aussi un chemin que maintenant beaucoup empruntent en s’approchant de leur vraie nature.

Redécouvrir la guérison par voie spirituelle  dans Auto-Guérison 321Ce chemin est la voie spirituelle tracée à travers l’enseignement de Bruno Gröning. Il permet de redécouvrir la possibilité qui s’offre à chacun d’aller mieux, voire dans de nombreux cas, de guérir de maladies réputées incurables. Pour s’en convaincre, un film documentaire intitulé « Le phénomène Bruno Gröning » est diffusé depuis 6 ans sur tous les continents. De plus en plus de témoignages de guérison affluent pour démontrer que le savoir simple et pourtant fondamental dont il est question, et sa mise en pratique sont accessibles à tous. 

  6 années de film documentaire sur Bruno Gröning 
Pourquoi l’intérêt pour ce film ne faiblit-il pas, malgré les nombreuses projections en Europe et dans beaucoup d’autres continents comme l’Australie et l’Amérique ? 

Plus de 50 témoins d’époque relatent dans ce film leurs expériences hors du commun avec un homme sur qui les médias faisaient leurs gros titres comme : « J’en perds la raison. Bruno Gröning guérit des paralysés, des aveugles, des muets…“(Journal allemand : Süddeutsche Sonntagspost, 25.06.1949) Non seulement les guérisons et les événements extraordinaires qui se sont produits du vivant de Bruno Gröning en font un document exceptionnel de l’histoire contemporaine, mais en plus, des spectateurs relatent maintenant des guérisons vécues en regardant tout simplement ce film. 

  France : Monique K., Lille « Ne pouvant pas me débarrasser d’un eczéma sec couvrant tout mon torse et mon cuir chevelu et provoquant des démangeaisons très douloureuses rendant ma vie pénible depuis 4 ans (perte de cheveux par poignées, plaques irritantes avec saignements…) je suis allée voir le film. Pendant la projection je ne ressentais déjà plus aucune douleur. 4 mois après avoir mis en pratique l’enseignement de Bruno Gröning j’ai obtenu la guérison totale. » 

  Commentaire médical : Au regard de la persistance des symptômes durant 4 ans, sans cause apparente, et en l’absence de traitement allopathique local classique, on observe chez cette femme de 65 ans la disparition de l’eczéma en 4 mois. Cette guérison, associée à un changement de philosophie et à une grande joie de vivre, n’est pas du tout habituel sur le plan médical. Dr G. Blättner 

Autres commentaires de par le monde sont très parlants : 
  Hongrie : « J’avais une raideur permanente de la nuque. Après avoir vu le film tout est rentré dans l’ordre. Je pouvais à nouveau bouger mon cou normalement. [...] Je vous remercie pour ce film ». 

  Australie : « Je me sentais comme entre ciel et terre, toutes les douleurs de mon dos avaient disparu. » Bande-annonce du film sur Internet : www.bruno-groening.org/francais/film 

  Des conférences médicales depuis près de 20 ans 
Les aides et guérisons obtenues par voie spirituelle, grâce à cet enseignement, sont recensées systématiquement par les médecins du Groupe médico- scientifique spécialisé (MWF), vérifiées sur la base de documents médicaux établis par des médecins indépendants. Le Groupe MWF du Cercle des Amis de Bruno Gröning est composé de quelques milliers de médecins et autres représentants des professions thérapeutiques de plus de 70 pays. Grâce à cette connaissance et afin de pouvoir aider les personnes malades et en souffrance dans le monde entier, des médecins et psychologues du Groupe MWF transmettent leurs expériences à des collègues et à toute personne en quête d’aide. 

Depuis 1992, des conférences médicales gratuites sont ainsi organisées à travers le monde et notamment en France. 
Là aussi des guérisons se produisent. 

  Lieu de conférence et dates

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Exercices d’estime de soi

Posté par othoharmonie le 23 mai 2013

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Inapte au bonheur, vous portez votre malaise en bandoulière. D’ailleurs, vous en êtes persuadé, la vie ne vous aime pas. Pour (re)conquérir votre estime, les conseils de Maryse Vaillant, psychologue.

Maryse Vaillant

Exercices d’estime de soi dans APPRENDS-MOI a

On les reconnaît à leur façon de raser les murs, de tout faire pour passer inaperçu, de mettre en avant leurs défauts ou les échecs qui ont jalonné leur vie. Ils s’enlisent même parfois dans d’étranges répétitions qui les font souffrir, et manifestent une incroyable aptitude à se rendre insupportables et à se faire rejeter… Ceux qui manquent d’estime de soi ne s’aiment pas.

Toujours prêts à mettre en cause leurs compétences, ils sont persuadés que s’aimer soi-même est un signe d’orgueil ou d’égoïsme dont ils sont heureusement dépourvus. La lucidité est la seule qualité qu’ils se reconnaissent. Peut-on s’estimer, même si on ne s’aime pas ?

Voici quelques-unes des pistes qui permettent de reconquérir l’estime de soi, sans passer par la case amour.

Je suis nulle

Laure n’a pas mené à bien sa scolarité ; elle en souffre, et n’ose jamais donner son avis ou prendre la parole en public. Pourtant, ses enseignants la trouvaient intelligente et avisée. Mais Laure n’entendait que le verdict d’une mère peu aimante : « Tu es nulle, tu ne feras jamais rien. » Depuis, aucun succès ne parvient à la détromper. Ce qui compte, c’est quand elle échoue.

Tout le monde connaît des virtuoses de l’échec. Lorsque tout semble aller bien, ils prennent peur et abandonnent la partie par crainte d’une réussite qui les plongerait dans l’inconnu. Ils ne semblent rassurés que par le ratage de leurs entreprises.
Derrière les répétitions amères de leurs fiascos, on peut souvent débusquer la quête éperdue d’une autre mission : ils sont enfermés dans une injonction à échouer qui vient du plus loin de leur enfance. Réussir serait rompre un pacte…

==> Se guérir par la création
Pour sortir de l’enfermement dans l’échec, il faut accepter de donner torts à ses parents. On commence par de petites choses, et l’on avance doucement vers une version de soi qu’ils n’avaient pas prévue. Il s’agit de se prouver à soi-même ce dont on est capable. On peint, on dessine, on cuisine, on jardine. Et, surtout, on fait l’effort d’écouter les compliments et remarques de ceux qui apprécient. Rien de tel que de créer du beau, du bon, pour se restaurer intimement. Une condition toutefois : s’efforcer de tenir un journal de bord de toutes ces petites merveilles.

Je suis un vaurien

C’est souvent à l’adolescence que les choses se fixent : une identité négative est venue répondre aux doutes et aux incertitudes. A cet âge difficile, on ne sait plus trop qui l’on est. On se cherche dans tous les miroirs, on se laisse capter par tous les discours. Celui qui, pour avoir raté un examen, commis un délit ou fumé un joint, verra son entourage le considérer comme un raté, un toxicomane ou un délinquant, trouvera dans cet étiquetage un modèle rassurant. Il vaut mieux être reconnu comme un vaurien que se perdre dans l’anonymat, avec la crainte d’y disparaître.

Cela reste vrai plus tard. Celui que tout le monde regarde comme un perdant à répétition ne gagnera jamais rien. Le regard des autres le condamne à l’échec. Leur donner raison devient sa raison de vivre. Telle une étiquette, son identité négative lui sert de carte de visite et lui épargne l’effort de se faire reconnaître.

==>Retrouver la dignité
Plutôt que d’aller en prison, le jeune délinquant peut faire une mesure de réparation chez les pompiers ou dans une association d’entraide. Il fait ainsi quelque chose pour compenser les torts qu’il a causés, et retrouve souvent suffisamment d’estime de soi pour ne pas récidiver. Celui qui a raté un examen peut réussir dans une autre branche. Quant à tous ceux qui ont fumé des joints et l’ont oublié, ils sont légions…

Faites comme eux : si vous pensez ne pas valoir grand-chose, allez aux Restos du cœur ou à la SPA, vous verrez que l’on a besoin de vous. Cela fait du bien au moral. A force de voir que les autres peuvent compter sur vous, vous finirez par en faire autant.

Je ne suis pas aimable

Léa est si crispée qu’elle en devient laide. Chacun connaît des gens comme elle : les chipies et les jamais satisfaits ; les moroses et les anxieux, qui cherchent toujours le côté négatif de la vie ; les victimes et les martyrs, qui gâchent les cadeaux qu’ils reçoivent comme ceux qu’ils font. Ils sont malheureux. La vie ne les aime pas. Leurs moments de paix sont de courte durée. Ils sont persuadés de n’être pas aimables, parce qu’ils n’ont pas été aimés.

Longtemps, on a pensé qu’il fallait avoir reçu de l’amour pour en donner. On a même cru que la répétition du pire était toujours assurée : l’enfant battu battrait ses enfants. Ainsi, persuadé de son inaptitude au bonheur, celui qui a souffert de carences affectives ne pouvait que se faire mal à la vie.

==>Apprendre à recevoir
Les cliniciens et les professionnels de l’enfance commencent pourtant à montrer que l’on peut donner ce que l’on n’a pas reçu, et que l’on peut réussir sa vie malgré l’échec de son enfance. Donner, faire plaisir : chacun sait le faire. Accepter les cadeaux de la vie, c’est l’étape suivante. Faites donc la liste de vos petites joies et des gens qui ont compté pour vous. Vous verrez que, même si vous ne vous aimez pas, la vie vous a souri plusieurs fois. Pensez à ce qu’elle serait devenue si vous n’aviez pas rencontré Untel à un moment crucial. Dites-vous que tous les moments sont importants et que l’on s’enrichit des autres.

 

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Votre corps a une mémoire

Posté par othoharmonie le 23 mai 2013

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Par M. Brousse et F. Chabrier

 Votre corps a une mémoire dans Auto-Guérison corps-memoire

 

Notre concept en mémoire cellulaire est issu des recherches de Mère et Sri Aurobindo. Il repose sur le principe que notre corps, composé de cellules vivantes, a engrammé un continuum d’expériences individuelles et collectives. Ces mémoires s’expriment et s’amplifient tant qu’elles ne sont pas conscientisées. Elles mènent une vie autonome par un dialogue cellulaire permanent avec nos ancêtres. Elles nous conduisent à adopter des comportements aberrants. Ces comportements aberrants nous font souffrir, et sont un obstacle à l’expression de notre être essentiel.

Le principe 
Dès notre conception, s’imprime en nous tout ce que nous vivons, au plus profond de notre être, dans nos cellules qui portent aussi l’histoire de nos parents et de nos lignées, (ne sommes-nous pas nés de la rencontre de deux cellules, elles-mêmes nées de la rencontre de deux cellules…. etc.) Ce vécu personnel et l’héritage familial, imprimés comme une meurtrissure, agissent à notre insu sous forme de mémoires qui s’activent cycliquement ou sous l’effet de stimuli subtils, déclenchant en réponse de notre part des comportements automatisés, inadaptés et sources de souffrances. Alors que nous croyons vivre, nous rejouons, répétons, reproduisons, sans même en être conscients. Les nombreuses recherches comportementales effectuées sur les receveurs de greffe du cœur sont venues étayer nos propres résultats de manière incontestables. Sans en être conscient, les perceptions, les goûts du receveur se trouvent modifiés. Après contrôle sur le donneur, on s’aperçoit que ces hologrammes mémorisés lui appartiennent. Ces mémoires stockées dans les cellules du cœur sont traitées et réinterprétées par le receveur. Certaines s’imposent à lui, alors même qu’il sait qu’elles ne lui appartiennent pas.

Finalité 
Comprendre et transformer ce qui doit l’être dans cette vie. Faire naître l’homme au cœur de l’humain. Que chacun retrouve en lui l’individualité et l’unité, seule voie pour espérer bâtir l’Unité Humaine.

L’objectif 
Déchiffrer ces mémoires qui nous manipulent et les rencontrer sur les différents plans où elles agissent pour les désactiver et retrouver notre élan vital : avancer d’un pas alerte et vrai dans la vie.

La démarche 
La reconquête de ces mémoires inconscientes ne s’opère pas du seul fait de notre volonté. Les outils qu’utilise le praticien en Mémoire Cellulaire (grille des cycles de vie, astrologie, biorésonnance cellulaire, arbre généalogique, pratique de la descente dans le corps, astrologie en mémoire cellulaire etc…) éclairent d’un jour nouveau les évènements de notre vie : ils prennent sens lorsqu’on y repère les comportements aberrants et les schémas répétitifs issus de nos mémoires : voir ces mémoires et les accepter, c’est le début du chemin.

Grille des cycles de vie biologiques mémorisés 
Ils sont issus des recherches de Marc Fréchet et ont fait l’objet d’une thèse de doctorat en psychoclinique. La grille permet à chacun de se réapproprier son histoire, de faire des liens entre des dates et des évènements apparemment indépendants. Elle nous permet de revenir plus facilement et plus rapidement sur les évènements de « première ligne » par l’utilisation de techniques reposant sur la connaissance des rythmes et des cycles vibratoires (quinte, quarte, tierce, etc…)

Biorésonnance cellulaire 
Chacun a de nombreuses croyances sur ce qu’il croit être. Or, celui qui sait de manière sûre et qui mémorise toutes nos expériences, c’est le corps. Interface avec le corps, la biorésonnance cellulaire permet de mettre en évidence les programmations négatives empêchant la réalisation de nos objectifs. Interroger le corps directement permet d’inhiber le mode de traitement de l’information caractéristique de l’hémisphère dominant et verbal. Il constitue un extraordinaire « garde fou » pour éviter les fausses pistes et préciser celles qui doivent l’être. Il ne s’agit pas d’en rester au constat. La thérapie par la parole ne suffit plus.

Le but 
Le but ultime est la désactivation de ces mémoires : il s’agit de les rencontrer en vérité par la descente au plus intime de soi dans le corps, où elles sont inscrites. « Le chemin est dans le corps » disait la Mère.

L’une des spécificités du travail proposé par l’EMC réside dans le thérapeuticum : plusieurs praticiens peuvent intervenir ensemble pour accompagner le consultant, l’aidant à identifier le sens de sa vie et les moments où, sous l’action des ces mémoires personnelles ou trans-générationnelles, se sont joués des « contre-sens ». Ce repérage est indispensable à leur désactivation dans le corps. De la convergence des informations fournies par les outils, de la confrontation du regard des intervenants, naît une synergie : l’énergie mise en oeuvre par chacun est démultipliée au service du consultant. Cette synergie opère de façon particulièrement active durant les séminaires. La relation d’aide proposée par l’EMC s’attache particulièrement à rendre le sujet responsable, à l’accompagner dans une neutralité et une bienveillance totale, en dehors de toute connotation idéologique, politique ou religieuse et dans le respect absolu de ce qu’il est. Le thérapeuticum en est l’une des garanties.<

  L’ECOLE DE MEMOIRE CELLULAIRE vous propose une exploration de vos mémoires pour vous transformer et vivre enfin dans le cadre de : 

• Séances individuelles (sur rendez-vous avec un praticien). 
• Séminaires axés sur différents objectifs (« Renaître », « Se reconcevoir », etc) 
• Ecole de Vie 
• Enseignements et Ateliers : Pratique de la descente dans le corps art sacré, Biorésonnance cellulaire, Cycles Biologiques Mémorisés, Massage sensitif, Décodage biologique, Arbre généalogique , Astrologie en mémoire cellulaire. 
• Formation des Praticiens en Mémoire Cellulaire : à l’issue d’un travail personnel approfondi, certains pourront choisir de devenir à leur tour acteurs de cette relation d’aide. Un diplôme sera délivré après soutenance d’un mémoire. Cette distinction est très importante car les praticiens de l’EMC doivent avoir suivi le chemin pour pouvoir accompagner les autres. Ils ont expérimentés par eux même pendant de longues années la nécessité de la « Reliance » et de la maîtrise des outils pour rester sur la ligne fragile du » réel ,concret et vérifiable ».

  Nous contacter : 
  ECOLE DE MEMOIRE CELLULAIRE 10 rue Pérignon 75007 – PARIS 
  Tél : 01 47 34 09 11 
  www.ecoledememoirecellulaire.com

 

 

 

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une thérapie du deuil

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

EMDR : une thérapie du deuil

Perdre un être cher… La douleur d’une vie pour de nombreuses personnes. Comment apaiser sa peine et revivre normalement ? Et s’il était possible de communiquer avec l’esprit d’un défunt ? La méthode Allan Botkin, basée sur l’EMDR, change notre façon d’envisager la thérapie du deuil.

 

une thérapie du deuil dans Auto-Guérison 32Alors que l’on croyait la possibilité de communiquer avec des défunts uniquement réservée à certains médiums, la méthode américaine Allan Botkin, basée sur l’EMDR, permettrait à des patients ayant des difficultés à faire le deuil d’un proche, ou témoins de morts violentes, d’entrer en contact avec un défunt. Une méthode « révolutionnaire »« aux bénéfices immédiats », selon le Dr Olivier Chambon, médecin, psychiatre et psychothérapeute, et qui change la façon d’envisager la thérapie du deuil.

Psychologue américain, le Dr Allan Botkin s’occupe de vétérans de guerre souffrant de stress post-traumatique. En 1990, il découvre l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing : Désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires), une technique psychothérapeutique utilisée pour le traitement des traumatismes psychiques. Le patient se concentre sur un souvenir douloureux, une émotion telle que la tristesse, la colère, ou encore le sentiment de culpabilité. Il suit ensuite des yeux les doigts du thérapeute sans bouger la tête et réalise ainsi des mouvements oculaires rapides permettant « un retraitement inconscient des données par le cerveau. Les patients adoptent spontanément un point de vue nouveau sur leur traumatisme, beaucoup plus positif. L’EMDR possède la particularité de mettre le patient en état modifié de conscience, afin d’ouvrir les canaux de perception sur d’autres niveaux de réalités » explique le Dr Olivier Chambon, formé par le regretté Dr David Servan-Schreiber qui a popularisé cette méthode américaine en France.

Le Dr Allan Botkin se met donc à pratiquer l’EMDR et constate des résultats spectaculaires. Puis il se l’approprie et, en 1995, lors d’une séance, un de ses patients lui raconte avoir eu un contact avec un défunt. Il affirme l’avoir vu, entendu lui parler, et avoir même senti sa présence physique autour de lui. Des confidences qui le laissent d’abord sceptique. Mais d’autres patients lui font part de récits similaires. Par ailleurs, ces contacts semblent leur apporter beaucoup d’apaisement et de réconfort. Le Dr Allan Botkin poursuit ses expériences pendant plusieurs années et met au point sa méthode, qu’il baptise IADC (Induced After-Death Communication : Communication induite avec les défunts). Il la teste sur plus de 3000 patients. Les résultats sont impressionnants : la très grande majorité d’entre eux disent avoir eu un contact avec un défunt. Il l’enseigne à une trentaine d’internes en milieu hospitalier qui obtiennent le même type de résultats.

La communication induite avec les défunts

Durant ses années d’expérimentations, le Dr Allan Botkin constate que ses patients ressentent généralement trois types d’émotions : la colère, la culpabilité et la honte. Il s’aperçoit que derrière se cache souvent une profonde tristesse et que le travail sur cette émotion en particulier agit également sur les autres. Il demande donc à ses patients de se focaliser principalement sur la tristesse. 

Une fois que celle-ci a diminué, et après le balayage oculaire, le thérapeute demande au patient de garder les yeux fermés. Il a ainsi plus de facilité à se mettre en état de réceptivité sans attente particulière afin d’être ouvert à toute information pouvant provenir du défunt. D’après le Dr Olivier Chambon, le contact s’établit dans environ deux tiers des cas. Le patient reçoit alors des informations « sous forme de contact physique, de voix entendues télépathiquement et de visions qui tout à coup se sont imposées à lui », peut-on lire dans son livre. Pour lui qui a expérimenté cette technique sur lui-même avec l’aide d’un autre thérapeute et l’emploie sur des patients ayant des difficultés à se remettre d’un deuil, il ne s’agit « ni d’hallucination, ni de rêve, ni de mécanisme de défense, ni même de désir inconscient. ». Les messages des défunts peuvent d’ailleurs aller à l’encontre de ce qu’attend le patient. Il peut s’agir d’informations extrêmement précises concernant par exemple une assurance vie, rangée dans tel tiroir dont le vivant ignorait l’existence, ou d’avertissement sur une situation à venir comme un problème de santé. Le Dr Olivier Chambon aime à dire que les défunts sont « de bons psychothérapeutes ». La plupart du temps, « ils précisent qu’ils vont bien, qu’ils sont pleins d’amour pour les vivants, qu’ils leur ont pardonné ceci ou cela ou qu’ils demandent pardon pour certaines choses faites de leur vivant et qu’ils regrettent maintenant. » C’est ce qu’a vécu Priscilla il y a tout juste un an. Agée de 28 ans au moment des faits, elle consulte le Dr Olivier Chambon pour des crises d’angoisse. Au cours d’une séance d’EMDR, elle travaille sur une problématique de sentiment d’abandon. Son angoisse diminue et soudainement, l’image de sa grand-mère maternelle lui apparaît. Priscilla la voit seule, dans sa chambre, couchée dans la position du fœtus. C’est ainsi qu’elle a été découverte 5 ans plus tôt après son décès. Priscilla s’adresse à elle et s’excuse au nom de sa famille de ne pas avoir été plus présents de son vivant, pensant que cela aurait pu changer les choses. A ce moment précis, elle réalise qu’elle porte en elle une culpabilité dont elle ne soupçonnait aucunement l’existence. Elle sent ensuite comme une présence sur sa droite et entend mentalement les propos de sa grand-mère : « Je ne vous en veux pas. Mon heure était arrivée et de toute façon, même si vous aviez été là, cela n’aurait rien changé. »Priscilla voit ensuite l’image de son grand-père, décédé 15 ans plus tôt. Sa grand-mère se tourne vers lui et s’adresse de nouveau à sa petite-fille : « Aujourd’hui je suis avec mon papy (c’est de cette manière qu’elle appelait son mari) là où je suis. Même si j’en avais la possibilité, pour rien au monde je ne voudrais revenir. Dis à tes frères et à ta mère que je les aime et que je ne leur en veux pas. » Priscilla a du mal à réaliser ce qu’il vient de se produire. Pourtant, au plus profond d’elle-même, elle sait qu’il ne s’agit pas d’un rêve. Et même si ce contact est plutôt furtif, ces paroles réconfortantes lui apportent beaucoup. Elle se sent immédiatement libérée de la culpabilité dont elle n’avait pas conscience. Elle observe par ailleurs que le sentiment d’abandon qu’elle ressentait très fortement dès qu’elle se retrouvait seule la quitte progressivement. « Depuis cette séance, j’ai le sentiment d’avoir grandi, de mieux me connaître » analyse-t-elle.

Une transformation instantanée pour le patient

La technique de l’IADC est une « super thérapie du deuil » estime le Dr Olivier Chambon. Dans son livre, il observe que les spécialistes de la thérapie du deuil reconnaissent que les anciennes recommandations consistant à oublier le défunt, ne pas conserver d’objets lui appartenant, et à ne pas entretenir de conversations intérieures « étaient inadaptées et potentiellement dommageables. Au contraire, il faut entretenir la relation qui a finalement changé de niveau : cette relation est devenue plus subtile, mais les liens d’amour peuvent être cultivés plus profondément. » Ainsi, selon lui, la méthode Allan Botkin « accélère incroyablement le processus de deuil ». Les personnes qui vivent cette expérience « en retirent du réconfort, de la compréhension, et une bien meilleure acceptation de la mort. La relation est maintenue, elle n’est pas finie, elle est juste d’une autre nature, elle reste dynamique, interactive, et les gens s’aperçoivent que leurs défunts n’ont pas souffert. » Leur rapport à la mort change: « guand ils ont un contact avec un défunt, les patients savent qu’ils le retrouveront. Ils ont moins peur de la mort et de leur propre mort » confie le Dr Olivier Chambon.

Une expérience « transpersonnelle » bouleversante pour les patients comme pour les thérapeutes. La méthode Allan Botkin permet d’ajouter de nouveaux témoignages de contacts avec des défunts aux milliers d’autres déjà recueillis à travers le monde lors d’autres phénomènes péri-mortels tels que les EMI (Expériences de mort imminente). La vie après la vie, une hypothèse pour certains, une réalité pour de plus en plus de thérapeutes et de personnes.

Issu du MAGAZINE INREES

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La Santé par soi-même

Posté par othoharmonie le 14 avril 2013

 

Découvrir le Self Health grâce à Hulda Clark

La Santé par soi-même dans Auto-Guérison guerison“Notre Santé est chose bien trop importante pour la confier aux seuls médecins.” – Voltaire

Le « Self Health » ou Santé par soi-même est un fort apport de la Doctoresse Hulda Clark. Le Self Health se fonde, pour chacun, sur le constat : “J’ai un corps et il est à moi”. J’en ai la libre disposition (un droit fondamental) et j’en suis responsable. C’est d’abord à moi – et non à des tiers, fussent-ils bardés de diplômes – d’en prendre soin. La législation interdit à des non-médecins de venir en aide à des malades, mais, heureusement, rien n’interdit aux patients de se prendre eux-mêmes en charge ! 

Hulda Clark a développé la “Self-Health” (“Auto-Santé”) – comprise comme la mise en oeuvre de tous les moyens terrestres permettant à un être humain de conserver ou de recouvrer sa santé. Cela développe l’Autonomie, qui est aussi Liberté. Ainsi l’Auto-Santé implique le Droit de Savoir, la Liberté de Choisir, la Responsabilité personnelle pour sa propre Santé. 

  Dans “La Guérison est possible”, Hulda dit : 
« L’objectif de ce livre est de vous rendre capable de poser des diagnostics et de vous traiter vous-même, quelle que soit la maladie. 3 nouvelles approches feront de ces voeux une réalité : le fait que seuls les parasites et les polluants vous rendent malades ; le circuit de diagnostic vous permettant de savoir lesquels ; les dispositifs ou recettes de plantes qui tuent les parasites. Pouvez-vous, pour vous guérir, faire vous-même le diagnostic ? Et le réussir ? Pourquoi pas ? Apprendre à bien se porter est un nouveau savoir. 

Depuis des temps immémoriaux le malade a été pris en otage pour son argent. Aujourd’hui, l’industrie médicale prend une part importante du salaire des travailleurs. Ne serait-ce pas beau si médecins et malades pouvaient se remettre au jardinage ? 

Bonne nouvelle, notre corps peut recouvrir sa souveraineté en éliminant parasites et toxiques. Nous devons l’aider en éliminant les polluants. Heureusement, nous n’avons pas à faire tout le travail, nous devons juste l’aider. En réduisant les maladies chroniques à 2 problèmes cela devient maniable et plus facile à gérer. La santé revient et vous récompense. Les tragédies peuvent être évitées. Changer la maladie en bien-être devrait être l’excitante aventure de votre vie. Devenez simples. La santé est primitive. Vous êtes nés primitifs, en bonne santé. Même si vous ne l’êtes pas, vous pouvez réparer beaucoup de dommages “congénitaux”. Vous n’avez pas besoin d’ordonnance de médicaments coûteux et dangereux pour vous débarrasser de votre maladie. Une fois que vous savez ce contre quoi vous luttez, vous pouvez choisir vos méthodes. » 

« Il est immoral de retenir les malades en otage. Il faut mettre un terme à cette pratique fondamentalement contraire à l’éthique. »

« Avec ce livre, j’espère livrer le plus de secrets possible sur l’origine et la guérison de toutes les maladies, en faisant passer la vérité avant les préoccupations professionnelles. Le genre humain ne peut plus se permettre de faire de la maladie une source de profit, une affaire lucrative. Le concept étroit d’une santé réservée à un corps professionnel limité est dépassé. Pour moi, ce livre est un cadeau que je fais à l’humanité. Je m’engage devant le public à ne pas supprimer cette information mais à la répandre. Mon seul critère est que cet ouvrage satisfasse votre exigence en matière de vérité. » 

De même que nous avons la liberté de choisir les solutions religieuses qui nous paraissent les mieux adaptées à notre bien-être spirituel, nous devons être absolument LIBRES de faire de même pour notre bien-être physique. 

« La seule raison qui me pousse à publier ce livre c’est que je souhaite promouvoir l’Autogestion de la Santé signifiant la Liberté en matière de santé, la liberté de choisir. » 

  Découvrez le Self Health dans le livre « La Guérison et possible » et les autres livres de Hulda Clark. Prenez vous-même soin de vous ! Personne ne le fera mieux que vous !

Le livre à découvrir pour se soigner soi-même : 
« La Guérison est possible » 
par Dr Hulda Clark 
Prix spécial découverte jusqu’au 30/11/2012 
A commander sur le site :www.vivrenaturel.com/achat/categori… 

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Images pour Guérir !

Posté par othoharmonie le 17 mars 2013

Quelles sont les images à visionner pour guérir ?

 

Images pour Guérir ! dans APPRENDS-MOI libellule-gif2 Il est connu, depuis longtemps, que les images, les photos, les dessins, les films ainsi que toutes les représentations imagées de notre esprit forment des empreintes que notre inconscient tend à réaliser.

 L’équipe du docteur Simonton a fait une série d’observations extrêmement précieuses sur l’imagerie mentale des malades atteints du cancer. Il leur a demandé comment ils voyaient leur traitement et leur système immunitaire.

 Les malades représentent généralement leur mal comme tout puissant par rapport aux médicaments et aux globules blancs. Certains voient leur maladie sous la forme d’un crabe, d’un homard ou d’un gros rat qui les mordent.

 Le traitement que le docteur leur applique est généralement perçu sous la forme de petites pilules que les rats dégustent sans en être affectés.

 D’autres voient le cancer sous la forme d’un grand rocher, et les médicaments comme des petites brosses qui viennent balayer le roc sans l’endommager.

Cette imagerie permet de se rendre compte de l’état d’esprit des malades vis-à-vis de leur mal, et permet d’apprécier de quelle manière il évolue.

 Un malade allant vers la guérison avait développé une image puissante de ses globules. Il les voyait sous la forme d’une armée de cavaliers blancs chargeant les cellules cancéreuses représentées par des mollusques rampant lentement sur le sol. Ce malade rechuta. Mais juste avant cet incident, il s’était aperçu que des cavaliers noirs, qu’il percevait comme des ennemis, s’étaient glissés dans les rangs de son armée. Et puis les lances de ses cavaliers s’étaient tordues et ramollies. Certaines étaient devenues ternes alors qu’auparavant elles étaient rigides et étincelantes sous les rayons du soleil. Il vit aussi ses chevaux diminuer de taille et devenir lourds et maladroits comme des tortues.

 Des recherches ont été réalisées sur la corrélation pouvant exister entre l’imagerie mentale et l’état des malades. Les chercheurs ont découvert que le fait de représenter le cancer sous forme de fourmis, de crabes, de homard ou autres bestioles tenaces qui piquent ou mordent est une symbolique négative.

 Avant de s’engager dans un traitement, les thérapeutes demandent aux malades de choisir des images dont la signification émotionnelle leur parait la mieux correspondre à leur sensibilité. Il leur est suggéré d’imaginer leurs cellules cancéreuses plutôt comme quelque chose de mou et d’inerte, par exemple de la purée, des oeufs de poissons ou de la viande hachée en fines miettes que l’on peut facilement écraser. Il est préférable de voir cela de couleur grise : le rouge ou le noir ayant une charge émotionnelle trop forte.

 Les globules doivent être blancs et représentés par des êtres intelligents, puissants, solides, nombreux, agressifs et actifs. Il est tout à fait indiqué de voir des bancs de poissons carnivores ou des bataillons de cavaliers qui submergent et écrasent ou avalent l’insignifiante purée représentant le mal. Les patients doivent visualiser nettement la scène dans leur esprit.

 Il est également indiqué qu’ils s’imaginent être l’un des poissons ou des cavaliers entraînant les autres dans la bataille. S’ils sont poissons, ils ressentiront qu’ils dévorent et détruisent le mal. Ils entendront le bruit de leurs mâchoires et ressentiront la situation

 Il leur est également demandé de voir leur corps, et de former dans leur esprit une image d’eux-mêmes en parfaite santé dans un corps sain et plein d’énergie.

Ce type d’exercice est réalisé trois fois par jour, à raison d’un quart d’heure par séance.

 Il a été constaté que les malades qui se rétablissaient le plus vite étaient ceux qui développaient l’imagerie correspondant le mieux aux concepts qui leurs étaient proposés.

 Ces expériences démontrent que les images, associées aux représentations mentales, et aux émotions que vous maintenez dans votre esprit, peuvent avoir une influence bénéfique ou maléfique sur votre santé. En définitive, les images convenables peuvent vous permettre de guérir de la pire maladie alors que celles ayant une symbolique négative peuvent vous conduire à la mort.

 Ces exercices de visualisation peuvent être utilisés pour résoudre une multitude d’autres problèmes. Sachant que les globules blancs sont incapables de lutter contre certaines affections il convient, dans cette circonstance, d’indiquer non pas que ce sont vos globules qui luttent contre le mal mais toutes les autres défenses immunitaires de votre organisme, y compris les médicaments. D’autre part, si vous visualisez l’image d’une personne saine et heureuse, et imaginez être cette personne, et si vous ressentez le bien-être que peut évoquer cette vision, il y a des chances que votre action agisse efficacement pour vous maintenir en bonne santé.

 Si vous voulez devenir une star ou un homme ou une femme d’affaires important, découpez la photo de celui ou de celle auquel vous voulez ressembler et visionnez-là régulièrement. Imaginez-vous dans l’exercice de l’activité désirée, et ressentez le bien-être que vous éprouvez comme si vous étiez dans cette situation. Faites régulièrement cet exercice, et agissez pour parvenir à ce but. À cet effet, habillez-vous et comportez-vous comme ce modèle. Faites les études, les exercices et les démarches nécessaires pour parvenir à cette situation et vous tendrez à la réalisation de votre objectif.

 Cette manière de faire peut être utilisée pour atteindre n’importe quel autre objectif.

Extrait du livre : Le Pouvoir Suprême de Joseph Marcoulet

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Votre esprit peut vous guérir !

Posté par othoharmonie le 17 mars 2013

Par Frederick Bailes - qui fut un guérisseur métaphysique accompli, s’étant guéri lui-même d’une maladie supposément incurable, en utilisant la même technique qu’il enseignait durant ses leçons. Il dit: « La philosophie de la Science du Mental ne consiste pas en une poignée de trucs psychologiques; c’est une vie à vivre. »

 Votre esprit peut vous guérir ! dans Auto-Guérison frederick-bailes

Voici quelques extraits de son livre: « Votre Esprit Peut Vous Guérir »:

L’humain vit dans un monde des sens. Il est lié par ses conceptions erronées de l’espace et du temps. Il applique des termes quantitatifs à des choses spirituelles, ne réalisant pas que Dieu remplit l’univers entier, et cependant le tout de Dieu est dans chaque cellule séparée du corps, dans chaque minuscule organisme, dans chaque brin d’herbe.

Cependant, il n’y a pas de séparation en morceaux; Dieu étant indivisible, est en chaque endroit, à n’importe quel moment, avec le tout de Lui-même. Il n’est pas taillé en des trillions de pièces minuscules afin de résider dans les différents organismes. Il nous faut nous débarrasser de cette notion matérielle qui est le résultat d’un raisonnement matériel.

Il y a davantage en ce qui précède que nous ne voyons d’abord. C’est un principe fondamental que nous devrions saisir, car lorsque pour la première fois nous nous éveillons à sa signification, nous sommes frappés par une conception qui bouleverse l’imagination. 

La première fois qu’un être atteint à la conscience intérieure du fait qu’il est habité par la toute puissance et la présence de Dieu, et non seulement par un tout petit fragment de celles-ci, il se sent réveiller en soi un sentiment de sécurité qu’il n’avait jamais cru possible auparavant.

Lorsqu’il entrevoit l’immensité de cette vérité que toute la Puissance Universelle coule à travers son corps, il est capable de demeurer en une calme assurance, avec une absence totale de peur. L’humain n’a pas besoin d’accepter une soi-disant révélation pour connaître Dieu. 

Incontestablement, les écritures sacrées nous ont révélé beaucoup de choses sur le plan divin; mais il n’est pas nécessaire que nous acceptions leurs conclusions quand celles-ci violent notre raison, ou quand celles-ci sont en contradiction avec ce que nous mêmes sommes capables d’observer. 

Après tout, les écritures sacrées ne sont pas tant une révélation de Dieu à l’homme, que plutôt les résultats des tâtonnements de l’humain cherchant Dieu.

Il est vrai que des humains à la vision élevée et à l’intuition spirituelle les ont rédigées, et les considérant comme telles, nous devrions être reconnaissants de la pensée qu’elles expriment. Mais ce n’est pas une obligation pour nous de les accepter « in toto » comme définitives. 

Nous aussi possédons raison, jugement et faculté d’observation; la connaissance que nous atteignons à ce savoir par notre propre développement mental est une révélation aussi valable que celle transmise par tout humain ayant vécu dans le passé.

L’humain peut observer pour lui-même le travail de l’Intelligence dans l’Univers, et édifier ainsi sa propre foi en cette Puissance et Intelligence Universelles. Il construit ainsi sur des fondations posées par lui-même plutôt que sur celles posées par un autre.

Considérez l’univers comme une démonstration du travail de l’Intelligence. Nous savons que la planète sur laquelle nous vivons est une masse lourde, se mouvant autour du soleil en un orbe bien défini. 

De même, huit autres planètes de dimensions diverses se meuvent autour du soleil en un horaire exact, constituant ainsi notre système solaire. Plus loin, dans l’espace, d’autres corps célestes se meuvent, en réalité notre système solaire entier tourne lui-même autour d’une autre étoile.

L’agence invisible qui dirige est l’Intelligence Universelle. Elle manifeste un ordre élevé d’intelligence: l’Intelligence Infinie. Elle démontre un pouvoir sans limites. 

Une énergie formidable doit être déployée pour mettre en mouvement à travers l’espace ces corps massifs, et cependant cela se fait silencieusement, sûrement, infailliblement, par cette Intelligence Infinie qui doit être aussi Puissance Infinie.

C’est là la Puissance Intelligente à laquelle l’humain a accès, parce-qu’il est « un » avec cette Intelligence Universelle. Exactement aussi longtemps qu’il continue à rester aveugle devant ce fait, il continue à vivre la vie d’un esclave. Cette Puissance extraordinaire est à sa portée, mais elle ne veut pas servir l’humain à moins qu’il ne l’appelle lui-même.

Par Frederick Bailes

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Se libérer du Joug des médecines

Posté par othoharmonie le 27 février 2013

 

 

La médecine chimique, technologique, exerce sur nos sociétés une dictature féroce, aveugle, et mortifère. Elle est le premier prédateur de l’espèce humaine. Elle règne en maître sur nos esprits, conditionnés à attendre toujours des solutions toutes faites à tous nos maux et problèmes, solutions que l’on nous vend chèrement…

Se libérer du Joug des médecines dans Auto-Guérison image-158-300x188  Que ce soit la sécu qui paye, ou le citoyen, le profit revient toujours aux labos. 
La plupart des lecteurs de ce magazine ont certainement intégré l’idée que la médecine allopathique moderne ne peut offrir de réponse à la souffrance et à la maladie. Elle donne l’illusion de guérir alors qu’elle se contente de faire disparaître des symptômes aigus sans s’attaquer à la racine du mal. Et tôt ou tard, la répétition de cette violation des lois de la santé transforme les « petites » maladies aigües en maladies chroniques, beaucoup plus handicapantes et souvent terminales.

 
Mais ce dont tous nos lecteurs ne se rendent pas compte, c’est que beaucoup ont avec les naturopathes et autres thérapeutes alternatifs la même attitude qu’avec la médecine officielle ! Toujours ce conditionnement qui nous maintient dans la dépendance à celui qui est censé posséder le savoir libérateur, les clefs de la guérison. On ne va plus voir le vilain médecin mais on attend la même solution miracle du gentil thérapeute. Et on paye beaucoup plus cher car ce n’est pas remboursé par la sécu ! 

Qu’il est difficile de prendre sa vie en mains, n’est-ce pas ? Qu’il est difficile d’apprendre à penser par soi-même, pour devenir responsable de sa vie et gérer son capital santé de façon autonome ! On préfère aller consulter, ça évite de réfléchir

Bien sûr, les bonnes écoles de naturopathie enseignent d’abord l’art d’accompagner le malade dans son propre processus de guérison. Le bon naturopathe sait que c’est d’abord la nature qui guérit, pas lui. 

Mais cette compréhension n’est pas souvent celle du client. Il faut alors faire un travail d’éducation long et ingrat. 

Mais comment faire cette éducation alors que de nombreux naturopathes ne se sont pas encore eux-mêmes libérés du credo pasteurien ? Voilà la prochaine grande étape incontournable : la libération de l’illusion de la pathogénicité des virus, bacilles, microbes et autres germes, contre lesquels il faut se battre… Toujours la même logique d’opposition, de lutte contre un agresseur… 

Grâce aux magnifiques travaux de Béchamp, on sait que tous ces microorganismes sont nos amis et ont tout autant le droit de vivre que nos chats ou nos chiens. Soit dit en passant, que l’on ait besoin de Béchamp pour le comprendre montre à quel point nous sommes déconnectés des lois de la vie… ! Peu de gens comprennent la portée considérable de la phrase de Claude Bernard, pourtant maintenant bien connue : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout. » 

La culture du terrain requiert bien davantage que la consommation de certains produits ou aliments, ou la consultation de thérapeutes, à moins que ceux-ci ne soient d’abord des éducateurs et des guides spirituels. Mais là, c’est beaucoup demander… 

Il ne peut y avoir de guérison durable, véritable, sans travail sur la conscience. Sans mise à plat générale de nos blessures émotionnelles, de nos dépendances affectives, physiques, intellectuelles, de nos ressentiments, de nos haines, de nos aversions… 

Tant que l’amour n’aura pas pénétré et purifié toutes les couches de notre être, la maladie devra revenir pour nous aiguillonner et nous pousser vers la transformation personnelle. Tant que ce travail intérieur n’est pas fait, il ne sert à rien de chercher des produits, des thérapeutes, des solutions extérieures. 

La seule voie est l’apprentissage des lois de la vie, l’expression de l’Amour par le service désintéressé, la pratique de l’innocuité, et des 3 règles de la réalisation du Soi que sont la sincérité du cœur, l’honnêteté du mental et le détachement. Seul cet effort, que l’on peut qualifier de spirituel -mais tout est spirituel, l’esprit est en tout ! -, peut conduire l’être humain vers les hautes sphères de l’évolution et la libération de la souffrance. 

Bernard CLAVIÈRE 
Auteur du livre « Et si on s’arrêtait un peu de manger… de temps en temps »
  Association Nature & Partage 4 rue Chantilly, 33190 Gironde s/Drot 
www.croisadepourlasante.org 
contact@croisadepourlasante.org

 

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Notre corps, temple de l’âme

Posté par othoharmonie le 27 février 2013

… Notre corps, temple de notre âme et de notre esprit …

Notre corps, le corps physique, est la base de notre présente vie. C’est grâce à lui que nous pouvons bouger, nous exprimer, sentir, parler, entendre… en un mot VIVRE. Il est le temple de notre âme et de notre esprit. Nous avons tendance à l’oublier et à le traiter comme une machine, mais il est vivant et rempli d’intelligence, effectuant chaque jour une quantité impressionnante d’activités coordonnées et régulées avec précision. De plus, notre corps est à l’écoute de notre conscience et il réagit à notre intention.

Notre corps, temple de l'âme dans Auto-Guérison image-114-300x213Afin de conduire notre évolution vers une vie plus joyeuse et agréable, nous sommes invités à aimer notre corps sans condition. Car choisir la voie de l’amour commence par aimer notre vêtement de chair. Voilà l’invitation du moment : aimer son corps, l’honorer, lui donner les soins et le reposqu’il requiert, une nourriture saine, le respecter du mieux possible, un jour à la fois.

Mais avant de goûter à cet amour, il nous faudra peut-être commencer par nous réconcilier avec ce corps dans lequel nous habitons, apprendre à poser sur lui un regard différent, à ne plus le juger et à l’aimer tel qu’il est dans le moment présent. Un problème de santé est d’ailleurs souvent le déclencheur d’une telle démarche.

Pour être bien dans notre vie, il faut être bien dans notre corps, c’est une évidence. En l’aimant, nous installons la paix en lui, et donc en nous. Oui, nous portons encore des imperfections. Cela justifie-il de ne pas s’aimer ? Non ! La perfection n’est pas requise pour l’instant. S’aimer avec ce que nous appelons nos imperfections, voilà notre première responsabilité d’humain. 

Sachez aussi que lorsque nous faisons un pas dans cette direction, la Vie en fait dix. 

Le regard d’amour que nous saurons déposer sur notre corps sera le plus grand réconfort que nous pourrons lui offrir et la plus belle énergie pour le propulser vers la santé. Aimer notre corps et notre vie constitue bien la base de l’amélioration de notre condition de vie. Ainsi, nous pourrons nous ajuster à l’élévation de fréquences en cours et traverser avec plus de facilité la transition de la 3ème à la 4ème dimension. 

La transition vibratoire en cours représente un grand travail d’adaptation pour notre corps, même si nous n’en sommes pas conscients. Il est utile de le savoir, de sorte que lorsqu’il requiert un peu plus de repos, de soins ou d’attention, nous puissions les lui donner. Il est possible aussi que nos goûts alimentaires changent. Tout cela est normal. En l’écoutant, nous pourrons nous ajuster facilement à ses besoins et conserver notre équilibre et notre santé.

Les potentialités de notre corps, comme l’auto-guérison et la régénération, sont énormes. 

Elles ont été en veilleuse pendant longtemps, mais dans le nouveau monde, elles se manifesteront à nouveau. Et les moteurs pour les activer ne sont autres que l’amour et la compassion. Aucun coup de baguette magique ne sera aussi puissant que l’amour que vous vous donnerez.

Michel A.

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Protocole pour se désintoxiquer

Posté par othoharmonie le 27 février 2013

 

Aborder le changement de saison qui arrive dans de bonnes conditions. Pour cela on peut être amené dans un premier temps à favoriser les processus d’éliminations des déchets accumulés dans l’organisme. Puis faire suivre cette étape d’une période de revitalisation par les graines germées ou les jus d’herbes d’orges par exemple.

Se désintoxiquer, cela consistera tout simplement à passer la journée avec une boisson d’environ deux litres ou plus en période chaude. 

Préparation d’une boisson à base de tisane pour un litre à boire pendant 1 mois entre les repas 
Choisir de préférence des plantes d’origine biologique vendue en magasin de diététique. 

Protocole pour se désintoxiquer dans Auto-Guérison images3Mélanger dans un litre d’eau 3 à 4 cuillères à soupe de plante. Porter à ébullition et faire macérer toute la nuit. Boire ensuite entre les repas : 1⁄2 heure minimum avant repas et 2 heures minimum après repas pour ne pas troubler la digestion en cours. Par exemple : vigne rouge, cassis, menthe poivrée, romarin, thym, tilleul, ortie, chiendent, pissenlit, etc. Il est conseillé de choisir quelques plantes de ci-dessus et de les associer ensemble. 

En plus : 1 fois par mois faire une journée uniquement de jus de légumes et de tisane : 

Alternance de tisane et de jus de légumes. 
Exemple de jus pendant cette journée de diète avec des légumes d’origine biologique de préférence ; légumes à passer dans une centrifugeuse ou un appareil à extraire les jus comme le « Champion » ou le « Green Power  », dont la technologie respecte les fruits et légumes sans en oxyder les composants : 
– 1⁄2 concombre. 
– 1 branche de céleri. 
– 1⁄2 fenouil ou une poignée de jeunes pousses de fenouil. 
– 1 poignée de pissenlit. 
– 1 morceau de gingembre frais. 
– 1 ou 2 branches de menthe fraîche. Spécial antioxydant 
  1⁄2 concombre. 
  1 courgette. 
  1 carotte. 
  1 poivron rouge. 
  1 poignée de jeunes pousses de brocolis. 
  1 morceau de curcuma frais. 
  1 branche de thym. 

Tous les jus frais doivent être consommés dès leur extraction en raison de leur oxydation rapide. Il vaut mieux les consommer dans un estomac vide, 30 minutes au moins avant d’avaler des aliments solides. Ne pas oublier de bien « mastiquer » ces boissons afin de bien les assimiler. On peut alterner ces jus de légumes avec la tisane. Par exemple un jus de légumes (ci-dessus) matin, midi, et soir. Et entre ces repas de jus de légumes, boire les tisanes proposées (ci-dessus). 

Cette journée à base de tisanes et de jus, bien que participant à augmenter les “autolyses”, va contribuer à drainer et à favoriser les processus de désintoxication de l’organisme.Les jus de légumes participent à combler les subcarences éventuelles du corps. Les vitamines, minéraux, oligo-éléments, enzymes, etc., sont sollicités pour assurer les différents processus nécessaires à l’élimination des kilos superflus et des toxiques divers de l’organisme. 

Par exemple différents minéraux dont le magnésium, contribuent à activer les cellules hépatiques (cytochrome P 450), favorisant l’évacuation des toxines. 

Certaines enzymes (lipases par exemple) sont nécessaires pour l’hydrolyse ou l’élimination des graisses. Pendant ce protocole, l’organisme rejette dans le sang une quantité importante de cholestérol, mais aussi de toxiques divers accumulés dans les graisses. 

Il est donc important de favoriser les processus de désintoxication de l’organisme. Le foie, les reins, les intestins, les poumons et la peau peuvent être particulièrement sollicités. 

Exemples de menus équilibrés à adopter en parallèle Germination des graines : mode d’emploi Choix du matériel 

images-11 dans Auto-GuérisonOn utilise 
• soit des germoirs prêts à l’emploi vendus dans le commerce (à 2 niveaux et plus) ; 
• soit un bocal de verre blanc (pot de récupération de conserve ou de confiture, par exemple). Il faudra en plus : 
• du tissu de moustiquaire et un élastique par flacon, qui serviront de couvercle à travers lequel l’air pourra pénétrer ; 
• des graines d’origine biologique récentes et en bon état ; 
• de l’eau potable filtrée de préférence une eau de bonne qualité biologique. 

Le froid ralentissant la germination, il faut choisir en hiver une pièce suffisamment chaude (comme la cuisine). On peut trouver dans le commerce des germoirs électriques pour conserver une température constante idéale. Pour les débutants, il est conseillé de commencer par de toutes petites quantités : 1 à 2 cuillères à soupe, par exemple. 

Les différentes étapes de la germination à respecter 

• Versez dans le bocal la quantité de graines nécessaire et faites tremper dans l’eau pendant environ 12 heures (utilisez de préférence une eau filtrée ou de source). Les graines doivent être largement immergées dans un bon volume d’eau. 
Si elles ne sont pas très propres, on peut les laver à grande eau avant de les tremper. Pour les petites graines (comme la luzerne, le sésame, le tournesol décortiqué), la durée de trempage peut être ramenée entre 1 à 5 heures. 
• Pendant la première phase de trempage, le bocal sera debout. 
• Après cette période de trempage, rincez abondamment les graines, 1 à 2 fois par jour, avec de l’eau filtrée froide en été et de l’eau tiède en hiver. 
• Pour la deuxième phase, le bocal sera placé horizontalement ou légèrement penché en oblique à environ à 30° pour que les graines puissent « respirer » et ne pas être entassées les unes sur les autres ; 
• Ne mettez pas une trop grande quantité de graines, afin de favoriser une bonne oxygénation. 
• L’endroit choisi pour réaliser vos cultures doit être aéré, mais sans exposition trop forte à la lumière solaire. 
• Après quelques jours de germination, les graines seront prêtes à la consommation. 
• Pour le blé et les céréales, le germe peut avoir entre 1 à 3 mm de longueur. 
• Les petites graines (radis, choux, etc.) peuvent être consommées jusqu’à ce que le germe ait 2 ou 3 cm. 
• Pour le tournesol, la luzerne et le soja, les germes peuvent avoir de 6 à 7 cm. Ne consommez jamais la graine de soja elle-même, seulement la pousse. 
• Ne faites pas germer les graines de solanées (comme la pomme de terre, l’aubergine, la tomate, le poivron). Consommation des graines germées Les graines germées se consomment : 
• soit seules (de 1 à 3 cuillerées à soupe le matin ou le midi de préférence)  ; 
• soit en association avec des crudités ; 
• soit en association avec des fruits oléagineux (mais pas avec des fruits aqueux) ; 
• soit en les incorporant à un potage ; 
• soit en association avec des céréales (légumineuses germées et pâtes ou riz, par exemple) ; 
• soit avec des galettes de céréales ; 
• soit sous forme de graines germées pulvérisées et incorporées à des biscuits ; etc. 

conseils d’Eric DARCHE Naturopathe Spécialisé en Nutrition Auteur de 7 livres 
www.ericdarche.com 

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A quelle énergie êtes-vous reliés ?

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2013

Jusqu’à maintenant, nous avons compris que pour nous transformer et faire partie de la nouvelle réalité, nous devons d’abord élever notre fréquence vibratoire et apprendre comment nous maintenir dans le courant d’énergie universelle en tout temps.

A quelle énergie êtes-vous reliés ? dans Auto-Guérison fractale-19-300x200Il est important d’apprendre à reconnaitre la fréquence de la Source universelle afin d’être capable de l’invoquer clairement.   L’énergie de la Source universelle est très spécifique.  C’est la fréquence la plus élevée qui soit dans notre univers et elle origine de son centre.  Bien que toutes choses aient été créées avec et par cette énergie, toutes choses n’ont pas nécessairement la même fréquence que celle de la Source originelle, particulièrement sur la Terre ou notre réalité a été manipulée et déformée.  Lorsque nous sommes dans la nature, par exemple, nous ne baignons pas nécessairement dans les fréquences universelles élevées de la Source.  Les plantes et les animaux font partie du système terrestre et ont une fréquence planétaire.  Et quoique ce contact avec la nature puisse être très agréable, énergisant et bénéfique à notre être physique, la force vitale des plantes et de la nature n’a tout simplement pas la même fréquence que celle de la Source universelle.  Ainsi on ne peut se connecter à la nature en croyant être relié à la Source de toutes choses.

Nous devons être précis lorsque nous demandons à nous relier à quelque chose.  Il y a des énergies et des consciences ayant une fréquence planétaire, galactique ou universelle.  On pourrait dire qu’il y a des centres énergétiques partout.  Par exemple, il y a une Source d’énergie au centre de notre galaxie comme au centre de toutes les autres galaxies, comme il y a une source d’énergie au centre de la Terre.  Nous devons être parfaitement conscients de ce que nous faisons et des forces que nous invoquons.  Si nous demandons à une lumière ou à une énergie d’être présente, sans plus de précision, comment pouvons-nous savoir d’où elle vient et à quoi nous nous relions?

Notre intention commande à notre espace – nous sommes en charge de notre sphère énergétique, de ce que nous y accueillons ainsi que de notre fréquence vibratoire.  Lorsque notre intention n’est pas précise, il est possible que nous laissions des énergies non-identifiées venir vers nous.  Ces énergies ne sont pas nécessairement mauvaises, mais elles ne sont peut-être pas non plus celles que vous attendez.  Nous devons en tout temps avoir la maitrise de notre espace énergétique car c’est ce qui détermine notre état d’être et notre fréquence vibratoire.  Si notre intention est de nous relier aux fréquences universelles les plus élevées qui soient, alors nous devons demander à nous relier à la Source universelle ou encore aux fréquences de notre Créateur divin (puisque celui-ci est sans contredit à la Source de notre existence).

Exercez-vous à reconnaitre ces différentes fréquences.  Allez dans la nature, fermez les yeux, prenez conscience de votre propre champ énergétique puis concentrez-vous sur la conscience de votre cœur.  Demandez à augmenter votre fréquence vibratoire en invoquant les fréquences universelles de votre Créateur divin et de la Source originelle, prenez le temps de prendre conscience de votre champ énergétique dont la limite se situe à environ 2 à 3 mètres de votre corps physique.  Demandez ensuite à vous fusionner avec le corps énergétique ou l’énergie-conscience d’une plante ou d’un arbre, puis demandez à en ressentir les vibrations ou l’énergie.  Prenez conscience des différences que vous ressentez.  Il peut être difficile au début de ressentir clairement, car nous avons oublié comment nous servir de ces outils et notre cerveau a besoin de s’adapter à ces nouvelles fréquences.  C’est pourquoi, il est nécessaire de se pratiquer le plus souvent possible, avec patience et confiance et surtout dans la joie de découvrir de nouveaux outils qui nous permettent d’exprimer ce que nous sommes vraiment.

Vous pouvez faire cet exercice guidé pour apprendre à ressentir les différences de fréquence de votre propre champ énergétique.   Le principe est le même pour apprendre à ressentir les fréquences qui nous entourent.

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L’acceptation

Posté par othoharmonie le 12 septembre 2012

J’apprends à accepter les choses telles qu’elles sont 

L'acceptation dans Auto-Guérison aulne« J’ai deux ados que j’adore et qui me rendent régulièrement hystérique; un amoureux, leur père,  dont je me demande cycliquement si c’est bien l’homme de ma vie; une famille nombreuse; des amies  précieuses; un boulot unique; le tennis; et la Grimbergen, mon péché mignon. Je ne suis ni mystique, ni  végétarienne, ni zen, ni chauve, ni sage. Ce à quoi je rattachais jusque-là toute forme de méditation. 

Mais depuis quelque temps, ça cloche. Je suis en permanence dans le « j’aurais dû faire » et l’appréhension de ne pas réussir à faire. Je cours mais ne parcours aucune distance, je ressasse, je m’obstine à vouloir  les choses différentes de ce qu’elles sont, je m’épuise, je pleure. Je ne vais pas bien. 

La dernière fois que j’ai franchi la porte de son cabinet, Yasmine m’a dit : « Vous voulez faire une tarte aux fraises, mais vous n’avez que du chocolat. Alors, faites un bon gâteau au chocolat et goûtez-le pleinement. » Je me suis inscrite à son séminaire de pleine conscience. Deux heures par semaine pendant huit semaines. 

J’ai appris « ici » et « maintenant ». C’est simple et complexe. C’est prendre mon petit-déjeuner en me concentrant sur ce que je bois et mange : la couleur, la texture, le goût… Ramener avec bienveillance mon esprit qui part ailleurs. Consacrer dix minutes par jour au moment présent, assise sur une chaise ou en tailleur, droite, fière, et me réserver cet instant unique. 

Le stage est terminé, je suis débutante et pas encore assidue. J’utilise les exercices de méditation guidés par la voix. Le plus dur est de trouver dix minutes. Ce devrait être rien et c’est énorme. Pourtant j’aime  ces instants. J’apprends à accepter les choses telles qu’elles sont. C’est un gros progrès. »

Source : L’histoire de Manon dans la Revue Clés

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Guérir soi-même

Posté par othoharmonie le 27 avril 2012

 

 Pour se guérir soi-même, il faut en premier se voir comme un Dieu.  Nous sommes tous Divin et sommes la conscience d’un vaste univers qui est notre corps glorieux.  Ce corps se divise en différents niveaux allant de la matière en passant par les émotions, les pensées les sentiments etc.

Ce corps est aussi complexe que peut l’être une galaxie entière et de ce fait, il faut le voir comme tel. 

Guérir soi-même dans Auto-Guérison auraexempleVous êtes l’être suprême, la conscience qui contrôle l’équilibre de ce vaste ensemble.  Vous détenez toute la puissance et tous les pouvoirs pour maintenir l’harmonie dans votre univers car vous êtes l’essence qui unit toutes ses individualités en un tout cohérent.  Vous êtes responsable de multiples

vies pour ce qui a trait à leur bonheur ou à leur malheur.  Pour eux, vous êtes le Dieu, l’énergie première qui les anime et les entoure.   Alors, décidez maintenant d’être un Dieu d’amour et de bonté plutôt qu’un Dieu de haine et de vengeance.  Ne soyez plus ni un tyran ni un Dieu qui néglige sa création.  N’oubliez pas que toutes vos émanations vous reviennent un jour ou l’autre.  Donc ce que vous émettez envers les autres, c’est aussi envers vous-même que vous le faites.  C’est pour cela que l’on dit souvent que les déséquilibres qui nous dérangent chez les autres peuvent nous servir à mesurer nos propres déséquilibres intérieurs.

 Votre corps physique est votre corps de base le plus stable, le plus  abouti, donc le moins enclin aux dissonances.  Ce qui fait que les perturbations, les maladies, les difformités qui l’affectent ne peuvent venir que des autres corps encore instables, en plein développement.  Ce sont les émotions, les pensées et les sentiments encore immatures, confus, voire perturbés, qui affectent l’état de votre corps physique.

 Donc, vous devez faire en sorte que l’énergie circule dans tous vos corps d’une façon qu’elle soit répartie également.  Car la maladie est un déséquilibre énergétique provoqué par un déséquilibre de vos émotions, vos pensées ou vos sentiments, etc.  Ce déséquilibre prolongé exagérément amène une cristallisation de la matière donc un appauvrissement de l’énergie dans une zone précise du corps correspondant.  Sa densification en matière va descendre automatiquement le fil des corps si la cause perdure jusqu’au plus dense, dans votre cas, le corps physique.  A cette étape, il est indispensable de refaire à rebours le chemin pour remonter à la source et ainsi faire cesser la cristallisation.  Normalement, si le blocage, la situation figée est réanimée, l’énergie à nouveau vibrera et circulera librement.  Toute émotion, pensée, sentiment même les plus pénibles, s’ils sont vécus pleinement, sont cause d’un déséquilibre temporaire mais non de maladie à long terme.  C’est leur blocage, le refus de les vivre en totalité, leur cristallisation en nous qui provoquent des déséquilibres plus graves, voire permanents.  Faire circuler l’énergie dans tous ces corps, c’est d’accepter de faire circuler librement toutes les sensations qui nous parviennent de l’extérieur.  De les assumer toutes comme étant le reflet de nos propres émanations donc nécessaires à l’évolution de notre conscience. 

Ne soyez plus comme un Dieu qui répand discorde, désunion et souffrance en lui.  Donnez à votre univers ce que vous attendez de votre propre être suprême à qui vous appartenez.  Répandez des vagues d’amour, de bonté, de beauté, de vérité à travers vos différents mondes intérieurs et recevez, en retour, leurs vagues de reconnaissance. 

 N’attendez pas plus des mondes extérieurs que ce que vos mondes intérieurs reçoivent de vous. 

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

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Dire Merci !

Posté par othoharmonie le 20 avril 2012

Dire merci rend heureux et en santé

Dire Merci ! dans Auto-Guérison merci-300x233Gratitude et bonheur : des preuves scientifiques
C’est désormais prouvé par de nombreuses études scientifiques rigoureuses : exprimer sa reconnaissance ou sa gratitude contribue directement au bien-être! Il a même été démontré que faire une liste quotidienne de 3 à 5 choses pour lesquelles on est reconnaissant a un impact mesurable sur la santé. Par exemple, d’importants bénéfices sur le sommeil, le stress, l’estime de soi, la qualité des relations interpersonnelles, le bien-être en général et même certaines maladies neuromusculaires et la dépression ont été constatés.

Certains chercheurs croient même que tenir un journal de gratitude pourrait être une des interventions de la psychothérapie positive les plus efficaces actuellement disponibles. Ils font de plus remarquer que la majorité des gens aiment beaucoup faire ce type d’exercice et qu’une fois qu’ils l’ont commencé, ils y demeurent généralement très fidèles.

Passez à l’action!
Vous pouvez commencer dès maintenant à exprimer vos mercis. Inscrivez-les simplement dans les Commentaires au bas de la page. En plus, vous en ferez profiter les autres internautes! (Il y aura un petit délai d’approbation avant que votre premier commentaire soit publié. Par la suite, ils le seront instantanément.)

La gratitude envers qui ou quoi?
L’expression de toute gratitude, petite ou grande, contribuerait à rendre plus heureux et en santé. Quand on fait sa liste, idéalement quotidienne, on peut par exemple dire merci à une personne qui nous a aidé, consciemment ou non; merci au temps qu’il fait; merci à la chance d’être en santé; merci d’avoir bien dormi; merci à une épreuve qui nous fait grandir; merci d’avoir bien mangé; merci à notre vélo ou à ceux qui l’ont fabriqué; merci à la vie…

Et enfin, quand on a l’impression que tout va mal et qu’on ne va rien trouver, ça vaut vraiment la peine de faire l’effort de faire une liste d’encore plus de gratitudes qu’à l’habitude, même si elles paraissent miniatures… Si vous essayez, vous serez étonnés des résultats!

Mieux que la course à l’argent
Pour terminer, voici la conclusion de l’exhaustive synthèse des recherches sur le sujet qui a été publiée en 2010 dans le très sérieux Clinical Psychology Review.

« Depuis quelques années, beaucoup d’études ont clairement démontré les liens qui existent entre la gratitude et de nombreuses formes de bien-être. Ces études contrastent avec celles qui démontrent qu’une fois les besoins de base comblés, il faut de très substantielles augmentations des revenus monétaires pour obtenir des gains même modestes au niveau du bien-être. Plutôt que de passer leur vie à essayer d’accumuler toujours plus de biens matériels, les gens auraient peut-être avantage à apprécier davantage ce qu’ils possèdent déjà. »

Merci d’avoir pris le temps de lire ce texte…

http://editions-ariane.com/dire-merci-rend-heureux/#comment-64

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Thérapie du 3è millénaire

Posté par othoharmonie le 7 janvier 2012

La thérapie quantique

ou la thérapie du troisième millénaire

 Gif voyanteLe mot quantique interpelle aujourd’hui de nombreuses personnes : tout le monde en a plus ou moins entendu parler, mais personne ne sait réellement ce que c’est.

Le quantique est devenu un fourre-tout dans lequel se déversent des termes un peu ésotériques comme : énergétique, invisible, ondes, fréquences, holistique, mémoire, information, électrons, photons, vibrations, rayonnements, magnétisme, mais aussi télépathie, transmissions de pensées, champs morphogénétiques, auto guérison, rémission, intuition, loi d’attraction, pensées positives, croyances, Foi… Tous parlent de la même chose en des termes différents.

 Comprendre la thérapie quantique

Pour comprendre ce qu’est la thérapie quantique, il faut changer de vision.

A cause de Descartes, l’esprit a été dissocié du corps et pendant plusieurs siècles la culture occidentale ne considérait l’Univers que comme une gigantesque machine composée d’éléments matériels inanimés. Grâce à cette vision la médecine a pu progresser à pas de géants : la chirurgie a atteint des sommets d’efficacité, on peut transplanter de nombreux organes vitaux, on peut remodeler des chairs, on peut même raccorder des membres manquants et les articuler avec le cerveau ! Mais on ne sait toujours pas soigner un rhume ou une maladie chronique. La médecine actuelle sait réparer, relancer un cœur, déboucher des artères, éliminer la douleur, endormir mais elle ne comprend pas pourquoi certaines personnes meurent de leur cancer alors que d’autres, à traitement égal guérissent, pourquoi certains sont touchés par les maladies neurologiques (Parkinson, Elsheimer, dépression) et d’autres non…

« Le monde sensible que nous voyons, que nous touchons, où nous vivons, est-il réel ? » s’interrogeait Jean Jaurès lors d’une thèse qu’il présenta à la faculté de Lettres de Paris en 1891 ! Si vous touchez cette table en bois, c’est qu’elle existe ! Oui, à un certain niveau elle est bien réelle. Mais si vous changez de plan et que vous prenez un microscope à balayage, vous vous apercevez que cette table n’est en fait que du vide, car il y a un espace immense entre chaque atome, tout comme il existe un espace infini entre chaque étoile !

« E=MC2, la matière n’est qu’une forme condensée d’énergie », nous disait Albert Einstein qui reprit les travaux de NikGif pompom girlsola Tesla sur les ondes scalaires.

Les dernières découvertes scientifiques nous obligent à changer de paradigme : la matière est immatérielle, l’Univers ne peut être né du hasard, et la conscience n’est pas enfermée dans notre boîte crânienne ! Nos cinq sens ne peuvent appréhender qu’une part restreinte de la réalité ! La physique quantique a mis en exergue des lois régissant l’énergie vibratoire des particules qui elles-mêmes répondent à des lois qui dépassent notre entendement. La vitesse de la lumière n’a plus aucune influence sur un électron qui, même séparé de 5000 kilomètres de son électron jumeau, réagira instantanément de la même manière à une même information ! Jean Charron, Physicien et Philosophe, a tenté d’expliquer que notre « Esprit » était contenu à l’intérieur de certaines particules de notre corps et tel un hologramme, chaque « électron pensant ou éon » st contenu dans le tout de notre corps. Un peu comme l’auriculothérapie, qui, si vous touchez un point dans votre oreille, celui-ci active à distance l’organe en correspondance avec ce point. Ces électrons « pensants » enferment un espace–temps différent mais complémentaire de ceux que nous connaissons : ils possèdent des qualités spirituelles, mémorisent et ordonnent les événements passés et à venir. Ces particules de vie seraient éternelles.

Les dernières recherches réalisées démontrent que notre code génétique (notre ADN ou notre patrimoine héréditaire), est porteur de l’information génétique sous forme d’une structure quantique organisée en hologramme, à savoir que chacune des parties contient l’information de la totalité. On comprend alors que la cellule porte en elle l’information de la totalité de l’organisme vivant. De plus elle a la capacité de transmettre, de traiter et de réaliser un programme mémorisé en le déroulant selon un enchaînement programmé dans un espace-temps défini. Quand vous observez un grain de blé : celui-ci contient tout le code génétique de ce qui deviendra un bel épi de blé ! De même, si vous examinez un pépin de pomme, vous avez du mal à imaginer qu’il deviendra un magnifique pommier, productif de centaines de pommes pendant un temps défini !

On sait aujourd’hui que nos chromosomes utilisent des ultra-hautes fréquences et des hyperfréquences, des champs lumineux (type laser) et des champs acoustiques pour la transmission et la gestion des données biologiques. La thérapie quantique associe les dernières connaissances sur la structure profonde du vivant avec l’expérience millénaire de la médecine chinoise (les méridiens d’acupuncture découverts il y a 6000 ans ont été validés par la médecine officielle il y a seulement une vingtaine d’années). Cette thérapie est basée sur l’utilisation de petites doses de radiations électromagnétiques, appelées quantas d’énergie, destinée autant au diagnostic, qu’à la prévention et au rétablissement des personnes.

Gif pompom girlsL’action énergétique utilisée en thérapie quantique est proche des rayonnements électromagnétiques de la nature et est destinée à influencer de façon cohérente les fonctions de la cellule, des tissus et des organes de l’individu tout entier. Les différentes techniques quantiques visent à corriger les anomalies fonctionnelles ayant entraîné une pathologie, en envoyant une information correctrice visant à retrouver un état d’équilibre, qu’on appelle, état de santé. L’organisme a sa propre capacité d’auto guérison : l’action quantique stimule cette aptitude tant au niveau de la cellule que du système vivant dans son ensemble, en mobilisant les mécanismes de défense de l’organisme et en augmentant rapidement l’immunité. « La santé consiste dans l’harmonie des relations énergétiques d’information entre l’individu et la Nature ; cette harmonie s’exprime par l’homéostasie de l’organisme sur le plan physique, mental, et spirituel » nous définit le Docteur russe Youri Khefeits, praticien en thérapies quantiques. L’homéostasie étant la régulation optimum des mécanismes de défense, d’équilibrage et de guérison des individus, impliquant la globalité de la personne.

                                                                                               Gif audio

Extrait du livre de Marion Kaplan et Valérie Lamour, aux éditions Robert Laffont : « Rajeunir ? Agir contre le vieillissement cellulaire «   2ème Congrès International de Thérapies Quantiques

Présenté par Marion Kaplan et Jean-Yves Bilien, au Palais des Congrès de Lyon, les 19 et 20 novembre 2011.
Renseignements ICI

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Guérir de la peur de la maladie

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011



Guérir de la peur de la maladie dans Auto-Guérison 19La maladie aigüe est un processus vital qui mène naturellement vers la guérison. L’humain a peur des symptômes et s’est cru intelligent d’inventer des médicaments pour les stopper.

Quand le nez coule, quand on tousse, quand le corps excrète du mucus, quand il élève sa température, quand des organes comme les amygdales sont hypertrophiées nous avons affaire à des phénomènes de défense engagés par le corps. Combattre ces symptômes par la prise des médicaments affaiblis l’organisme, l’encrasse d’avantage et mène vers les maladies chroniques.

 

Un organisme ayant  suffisamment de vitalité fera des rechutes. Si l’on continue à faire les mêmes bêtises, la situation s’aggravera. Toutes ces inflammations en « ite » comme la bronchite, otite, laryngite, amygdalite, etc… commencent tôt chez le bébé nourri au lait artificiel, excès de farineux, de sucre ou autres aliments dénaturés. 


 
On accuse les microbes et les virus alors que ces derniers ne prolifèrent que là où des déchets sont à éliminer. Les combattre correspond à supprimer les éboueurs sans se soucier des déchets qui encombrent les rues.  La fièvre est le meilleur remède, un indice de bonne vitalité.

 

Et les convulsions ? Elles font paniquer les parents qui se précipitent à l’hôpital, appellent le médecin en urgence, le SAMU, les pompiers, etc… Quand les secours arrivent, les symptômes ont la plupart du temps déjà cessé.   

Les convulsions sont des processus de guérison accélérés qu’il est dangereux de stopper. Dans toutes les formes de maladies aigües, la meilleure des thérapies est de cesser de s’alimenter, boire selon soif (le corps ne réclame pas de nourriture durant cette phase) et de mettre le malade dans la situation la plus confortable possible selon l’enseignement d’Hippocrate considéré comme le père de la médecine.

 

 

BARSEPA - st valentin coeurs 2

La médecine créée ses propres clients …  Les médecins font le serment d’Hippocrate alors que la médecine d’Hippocrate n’est plus enseignée. Devenue hypocrite du fait qu’elle sert avant tout les intérêts de la toute puissante industrie pharmaceutique, elle ne s’occupe que de la maladie, négligeant les voies qui mènent vers la santé en pourchassant les médecins qui enseignent et pratiquent les méthodes naturelles de santé… la suite sur : www.bickel.fr 

BARSEPA - st valentin grenouilles

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La guérison vient toujours de l’intérieur

Posté par othoharmonie le 29 octobre 2011

Nous avons reçu le texte d’une conférence donnée par Christine Angelard (diplômée d’un doctorat en médecine en France, diplômée post-universitaire en homéopathie et en médecine traditionnelle chinoise en France, elle a étudié la symbolique du corps humain et travaillé en France pendant plus de seize ans en santé globale. Elle possède également un diplôme en naturopathie obtenu au Québec). Celui-ci contient de précieuses informations qui intéresseront toute personne qui traverse une maladie, ainsi que toute personne accompagnante (famille, aidants et thérapeutes). Estimant qu’il mérite d’être plus largement diffusé, nous vous offrons l’intégrale de la conférence sur le site Terre de Lumière. Voici ci-dessous un extrait. Pour accéder à au texte intégral, cliquez sur le lien tout en bas de ce message. Un très grand merci à elle !

 

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La médecine sous toutes ses facettes, même si elle est  indispensable ne pourra jamais guérir complètement la blessure de l’âme…

Mes patientes m’ont appris à les accompagner sur un chemin insoupçonné et à retrouver ma juste place  face à elles nous ne dirigeons rien, nous accompagnons avec le maximum de nos compétences.

J’ai l’habitude de dire à mes patientes:« le médecin chef, c’est vous ». C’est reconnaître à l’autre, sa capacité à se relier à son « médecin chef ». C’est l’amener à une reliance avec son Être. Reliance qu’il a perdue à un moment donné, et qu’on va essayer de retrouver.
Nous ne sommes que des accompagnateurs, des aidants.

Sur le plan spirituel, la maladie, signifie être coupé de sa source intérieure, de sa lumière. Il y a rupture dans la circulation du QI.

Le Soi spirituel, est coupé, désaccordé du corps physique. Tant que la Source de Vie circule à travers nos corps, nous allons plus ou moins bien. Lorsqu’il y a court circuit, entre le Sacré, et les autres plans plus denses, arrive la maladie. Parfois même, c’est «grâce» à la maladie, que l’on prend conscience de cette dimension en nous…!

Le vrai travail d’un  thérapeute, c’est d’essayer de reconnecter le patient à son Soi: lui monter « qu’il y a plus grand que lui en lui » (comme dit J.Y Leloup).

Lui faire toucher autre chose que ce qu’il vit au quotidien dans sa maladie, même, et surtout si on s’occupe de sa matière, parfois trop douloureuse. Un peu comme, éclairer la matière dont on s’occupe.  C’est ainsi qu’il pourra aller puiser des forces inexplorées, inconnues, parfois phénoménales que lui seul peut ramener, de son Etre.

La guérison vient de l’intérieur, par un recentrage de tous les plans de l’individu; elle vient d’en haut, des plans les plus élevés, vers les plus denses. Et ce n’est certainement pas nous qui faisons cela. Cela ne nous appartient pas.

C’est en montant notre propre niveau de conscience qu’il se passe cette alchimie avec la personne qui est en face de nous. Ce n’est certainement pas mon petit moi, qui orchestre tout ça. Dans une bonne consultation, j’ai l’habitude de dire que nous sommes 3: le patient, le thérapeute, et la RELATION… C’est comme pour les atomes, le plus important c’est ce qu’il y a entre, ce qui ne se voit pas.

De la qualité vibratoire de la relation dépendra la qualité de la consultation. Cette relation ne saura bien s’établir, que  si la confiance, le respect et la reconnaissance de l’autre sont présents.

La médecine du 21ème siècle est une médecine qui doit devenir une médecine plus consciente c est à dire : reconnaître dans l’Autre, tous ses corps, physiques, psychologiques, spirituels et essayer de les accorder au mieux:

Nous ne sommes pas trop de médecins allopathiques et thérapeutes en médecines complémentaires pour accompagner nos patientes.  Juste accompagner….et remercier de participer à ce voyage… car quelque soit l’issue, on y vit de très grands moments.

Christine Angelard – Thérapeute en santé globale : www.christineangelard.com

Texte intégral : www.terre-de-lumiere.com/publications/Texte_Christine_Angelard.pdf

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Esprit de Guérison

Posté par othoharmonie le 9 octobre 2011

L’Esprit de guérison
Une autre lecture des guérisons du Christ 

Par Jean-Claude Genel dans l’article issu de la source : http://www.gproductions.fr/presse_detail.php?id_art=5         

               

Esprit de Guérison dans Auto-Guérison guerison.gifPour mieux comprendre le processus invisible de toute guérison, mais aussi les notions mystiques de “ centre ” et de manifestation de la foi, une scène de la vie du Christ peut nous aider. Il y est question de la guérison d’une femme et du “ réveil ” d’une enfant de douze ans, fille du chef de la synagogue. En apparence, rien ne semble lier ces deux événements, mais en entrant dans leur valeur symbolique, nous allons nous intéresser à l’action d’une trame invisible, que j’appelle l’esprit de guérison, que nous révélons aux moments critiques de notre vie. 

De quelle foi cette femme – appelée l’hémorroïsse – s’est-elle revêtue en voulant toucher le manteau de Jésus ? A quel centre a-t-elle accédé pour se libérer de douze années d’hémorragies ? Jésus n’étant pas intervenu, il serait donc possible de se guérir seul. Mais quel est le sens de ces paroles : “ Ta foi t’a guérie ” ? Voyons comment la présence christique a mis en scène cette histoire d’âmes. 

Cette femme a cru, elle a mis dans son acte tous ses sentiments, toute son intention, toute sa foi. Elle a déclenché ce mécanisme sans même s’en rendre compte. Mais elle y a pensé… pendant douze ans ! Douze années de galère dirions-nous aujourd’hui pendant lesquelles elle a consulté tous les médecins possibles et elle a “ dépensé tout son avoir ”. Et que lui restait-il en désespoir de cause, sinon de s’abandonner à sa foi ? Or sa foi est récompensée, Jésus arrive dans son village. Elle décide d’aller à sa rencontre malgré son impureté qui le lui empêche (selon la loi juive). Passant au-delà de cette humiliation constante vécue depuis si longtemps, elle ose le tout pour le tout. Peut-être a-t-elle pensé : s’il est vraiment le Christ, le Messie, le Fils de Dieu, il est donc amour et il passera outre à mon impureté. ? 

 

Retrouver sa dignité devant tous 

Tout en elle sait qu’elle va toucher l’amour. Il est saisissant de voir d’un côté la foule inconsciente qui presse Jésus et de l’autre cette femme, seule et consciente qui vient seulement effleurer le bas de sa robe. De plus, dès que Jésus demande qui l’a touché, « tous s’en défendent », à commencer par Pierre. En réalité, le Christ sait qu’un seul être vient de le rencontrer par son âme. Et en demandant avec insistance qui l’a touché, Jésus incite la femme à retrouver sa dignité devant tous. Il l’oblige à venir devant lui, à quitter l’ombre où elle a vécu pendant douze ans pour venir en pleine lumière face à lui. D’impure qu’elle était et connue comme telle, elle redevient pure puisqu’elle s’est guérie. Elle vient témoigner de toute la foi dont un être est capa-ble. En obéissant au Christ en elle et à Jésus devant tous, elle prend place sur le devant de la scène. Comme pour l’épisode de la femme adultère (Jean 8, 1 à 12), au milieu de la foule qui forme un cercle, deux êtres se rencontrent au centre – l’être humain et l’être divin – deux êtres témoignent de l’union des contraires – pureté et impureté. La femme qui vient de toucher son propre centre dans l’invisible est maintenant au centre dans le visible. Elle conte son histoire, se dévoile et par la même dévoile les lois divines. Elle a reçu l’amour, elle a été équilibrée dans ses polarités masculines et féminines, elle a guéri. Jésus la laisse témoigner et, au point culminant, lui dit : « Va, ta foi t’a guérie ! » À partir de ce moment tout est scellé. Elle et Jésus sont un seul être, le point dans le cercle, symbole du soleil, symbole du Christ. Dans la vibration, ils sont un couple, l’alchimie a eu lieu. 

Le subtil mécanisme de guérison 

Entrons maintenant dans le subtil mécanisme de cette guérison. Comment cela s’est-il passé ? Une femme erre pendant douze ans sans jamais trouver le « bon médecin ». N’a-t-elle pas fait ainsi le tour du zodiaque, un cycle complet qui la ramène au point de départ ? Ce point de départ n’est pas la maladie, comme nous pourrions le croire, mais plutôt une incapacité à accéder au véritable âge adulte, c’est-à-dire à passer des lois de Moïse (les dix Commandements) à celles que Jésus vient révéler. Les saignements périodiques font de la femme juive un être impur, ce qui l’éloigne de la communauté. Inconsciemment, l’hémorroïsse prolonge ses saignements tant qu’elle n’a pas trouvé le chemin des lois nouvelles, celles qui guérissent du passé dans lequel les peurs, les dogmes et les interdits nous maintiennent encore aujourd’hui. Au terme du cycle, du retournement complet, elle n’avait plus aucun espoir. « Elle a dépensé tout son avoir. » ! C.G. Jung affirmait qu’on guérit avec ce que l’on est, pas avec ce que l’on a. Mais « avoir » peut aussi se lire en deux mots, « à voir », comme au jeu de cartes où l’on mise son argent pour voir le jeu de l’autre. La femme a donc montré tout ce qu’elle possédait extérieurement, mais le temps est venu pour elle de découvrir ce qu’elle est intérieurement : l’essentiel symbolisé par la venue de Jésus. Elle sait qu’il vient, elle sait qu’il est la seule richesse, la richesse intérieure. Elle attend un miracle, elle le définit, elle l’organise pour qu’il se produise. Elle doit désobéir aux lois anciennes en s’approchant du Christ, mais n’ayant plus rien à perdre, elle saisit l’occasion. 

A la rencontre de soi-même 

81133190bouddhafy0-gif dans Auto-GuérisonElle a mis en place tout un mécanisme de pensée et elle est partie à la rencontre d’elle-même. Aux yeux du Christ – l’être divin en soi – elle ne peut pas être impure, bien au contraire, et c’est emplie de la foi qu’elle part le toucher. Sa foi lui dicte la plus extrême discrétion pour ne pas être repoussée par ceux qui la connaissent et parvenir jusqu’à Jésus. Elle va le toucher discrètement, sans que personne ne la remarque… elle sait qu’elle sera guérie. Elle y met une foi extraordinaire, mais en même temps déclenche un processus irréversible : elle se place en elle-même, dans sa véritable richesse. Quelle est cette richesse, cette foi ? Pour moi, la foi est alimentée par les acquis de vies antérieures, elle grandit donc toujours plus. Même si l’hémorroïsse n’en comprend pas le mécanisme, à travers sa foi elle mobilise tous ses acquis pour toucher son christ intérieur, l’éveiller. C’est parce qu’elle réussit cette rencontre dans l’invisible que Jésus lui demande de l’expliquer à tous. Il révèle ainsi une scène symbolique, une parabole, capable d’être comprise de nos jours à un autre niveau de conscience. 

Renversement de conscience  

Le renversement de conscience inhérent à toute guérison peut aussi s’expliquer de cette manière. Le nombre 12 (douze ans d’hémorragies) correspond à l’arcane 12 du Tarot de Marseille : le Pendu. Il concerne le renversement de conscience que cette femme a su accomplir en trouvant sa vraie richesse. Le nombre 12 est composé du 1, le Bateleur, et du 2, la Papesse. D’après ces la-mes, la femme possède tous les outils pour lire dans son livre de vie. Et  1 + 2 = 3 (les lois divines) elle devient ces lois divines et ne peut plus être malade. 

En utilisant le langage des initiés, ou langue des oiseaux, un mot résume à lui seul cette parabole. Il explique le processus de guérison ; c’est « hémorragie ». Phonétiquement, on peut alors décomposer « hémorragie » ainsi : “ aime–or–agit ”. La femme va vers le Christ, elle va donc vers l’or, vers la lumière et elle le fait par amour, elle aime. Enfin, elle va toucher son vêtement, donc elle agit. 

Accomplir en soi-même le passage 

Cette femme connaît les lois anciennes, celles de Moïse, et pressent les nouvelles incarnées par Jésus. Elle ne renie pas les unes pour les autres, mais s’incline au contraire devant celui qui les a dépassées : elle touche son vêtement, et pas n’importe quelle partie, la frange munie d’un fil violet (appelé également phylactère) rappelant les commandements de Dieu. Elle fait donc le lien, accomplit en elle-même le passage vers les nouvelles lois préfigurées par Jésus le Christ. Elle relie les deux triangles formant l’étoile de David et en occupe le centre, la loi de son âme. En puisant à la source, la foi, elle a su dégager les nouvelles lois des anciennes et peut en rayonner l’esprit. 

Parallèlement à cet événement, une enfant de douze ans meurt. Elle est la fille de Jaïros, le chef de la synagogue. Pourquoi ces deux situations se déroulent-elles ensemble et comment les relier ? 

Les lois qui nous gouvernent 

arbres-gif-054L’âge de l’enfant est symbolique : 12 ans. L’enfant est donc né alors que la femme commençait à saigner. Symboliquement, le passage de l’enfance à l’âge adulte doit s’effectuer. Mais la mort de l’enfant semble venir contrarier ce plan. C’est alors que Jésus la transforme en passage vers la nouvelle vie (l’âme–or). Comme l’hémorroïsse, Jaïros vient vers Jésus, lui aussi se prosterne à ses pieds sachant qu’il est le seul à pouvoir sauver sa fille. Jaïros est le représentant officiel des lois de Moïse, mais il se tourne vers les nouvelles, opérant le renversement de conscience indispensable. Cela peut paraître étonnant de la part d’un rabbin, mais n’oublions pas qu’il est avant tout un père et qu’il s’agit de sa fille unique, symbole de l’âme des lois anciennes. Ses sentiments – les lois qui nous gouvernent – sont touchés. En se présentant devant Jésus, Jaïros libère l’âme de ses sentiments : les vertus. Et celles dont il fait preuve d’emblée sont l’humilité et la simplicité. De plus, son action permet et à sa fille de vivre son propre renversement de cons-cience puisqu’elle meurt et elle revient à la vie. N’est-ce pas ce que nous pourrions appeler une expérience de mort imminente ou N.D.E. ? C’est parce que son père accepte sa propre impuissance et regarde vers l’avenir (Jésus) que sa fille revient à la conscience. Sa fille mourante a allumé en lui la flamme de la foi et il est devenu puissant par son humilité. Il ne transgresse pas les lois mais implore Dieu. Il ose le geste et la prière, il ose la démarche pour grandir intérieurement.
De son côté, la femme aux hémorragies quitte, elle aussi, ces mêmes lois et guérit, c’est donc une naissance. Face à la demande de Jaïros, Jésus redonne naissance à l’enfant, il réveille ce qui est endormi, il donne un nouveau souffle aux lois. Pour cela il n’appelle pas l’enfant par son prénom, mais dit simplement : « Mon enfant ! » Il réveille ainsi la pureté oubliée et rappelle l’âme dans le corps, dans le temple. Il rappelle l’enfant endormi comme certaines épreuves nous rappellent les forces vives endormies en nous-mêmes.
 

En guise de conclusion 

Je dirai qu’avec la maladie, nous ne sommes plus logiques. Nous sommes obligés de faire intervenir autre chose et ces deux guérisons le prouvent. C’est pourquoi la maladie nous élève. Certes, il y a parfois la peur de mourir, souvent la peur de souffrir, mais il y a toujours la possibilité de se transcender. La maladie n’est pas quelque chose de négatif. Cela le devient chaque fois que nous n’osons pas le changement, le mouvement qui nous conduit invariablement au centre de nous-mêmes, là où coule la vraie vie. La maladie est destinée à nous guérir totale-ment, et pas seulement des symptômes. Elle est aussi un chemin qui nous permet de travailler avec le cœur, de faire appel à tout ce que l’on est, à tout ce que l’on connaît et même à ce que l’on ne connaît pas de soi. 

Devant la maladie, nous avons la même réaction qu’une mère dont l’enfant serait en danger. Nous sommes capables d’oublier toutes nos peurs et de dépasser tous nos blocages pour accomplir la seule chose qui compte : être sauvé, à l’exemple de la mère qui transcende sa peur pour sauver son enfant. Mais alors, quel rôle l’enfant joue-t-il ? Celui du « centre » de la mère ; parce qu’elle y met tout son amour, tout ce qu’elle possède en elle de beau et qu’elle ressent pour lui. La maladie est ce  »centre provisoire » qui fait aller à l’essentiel. C’est ce que nous sommes invités à faire chaque jour, au quotidien, pour prouver la vérité de l’esprit qui nous anime et qui fait de nous des êtres spirituels. 

Encadré : Évangile de Luc 8,40-56 

« L’esprit de guérison » 

« A son retour, Jésus fut accueilli par la foule, car ils étaient tous à l’attendre. Et voici qu’arriva un homme du nom de Jaïros ; il était chef de la synagogue. Tombant aux pieds de Jésus, il le suppliait de venir dans sa maison parce qu’il avait une fille unique, d’environ douze ans, qui était mourante. Pendant que Jésus s’y rendait, les gens le serraient à l’étouffer. 

Il y avait là une femme qui souffrait d’hémorragies depuis douze ans ; elle avait dépensé tout son avoir en médecins et aucun n’avait pu la guérir. Elle s’approcha par derrière, toucha la frange de son vêtement et, à l’instant même, son hémorragie s’arrêta. Jésus demanda : « Qui est celui qui m’a touché ? » Comme tous s’en défendaient, Pierre dit : « Maître, ce sont les gens qui te serrent et te pressent ». Mais Jésus dit : « Quelqu’un m’a touché ; j’ai bien senti qu’une force était sortie de moi ». Voyant qu’elle n’avait pu passer inaperçue, la femme vint en tremblant se jeter à ses pieds ; elle raconta devant tout le peuple pour quel motif elle l’avait touché, et comment elle avait été guérie à l’instant même. Alors il lui dit : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix ». 

Il parlait encore quand arrivé de chez le chef de synagogue quelqu’un qui dit : « Ta fille est morte. N’ennuie plus le maître ». Mais Jésus, qui avait entendu, dit à Jaïros : « Sois sans crainte ; crois seulement et elle sera sauvée. » 

A son arrivée à la maison, il ne laissa entrer avec lui que Pierre, Jean et Jacques, avec le père et la mère de l’enfant. Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Jésus dit : « Ne pleurez pas ; elle n’est pas morte, elle dort ». Et ils se moquaient de lui, car ils savaient qu’elle était morte. Mais lui, prenant sa main, l’appela : « Mon enfant, réveille-toi. » Son esprit revint et elle se leva à l’instant même. Et il enjoignit de lui donner à manger. Ses parents furent bouleversés ; et il leur ordonna de ne dire à personne ce qui était arrivé. » 

 

Barre séparation

 

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