Tout est autoguérison !

Posté par othoharmonie le 25 septembre 2011

Il n’y a pas de guérison en tant que telle, tout est autoguérison !
 

Voici un rappel dont chacun de nous peut bénéficier encore et encore.

Tout est autoguérison ! dans Auto-Guérison confiance-en-soi-150x150Les médecins et leurs médicaments, les thérapeutes et leurs techniques, les suppléments alimentaires et vitaminiques, tout cela a pour véritable effet de stimuler nos propres mécanismes de survie, ceux qui sont intérieurs à chaque cellule et qui font partie du patrimoine organique de l’être. La chimie, le repos, la psychothérapie, la fantaisie, la beauté, l’amitié, l’amour, la nature et l’expression servent tous à animer et à stimuler ces mécanismes si précieux. Ces éléments agissent comme autant d’environnements bénéfiques vis-à-vis d’une guérison qui vient de l’intérieur. 

 

Voilà pourquoi il ne saurait y avoir de formule magique émanant de l’extérieur. Une fois que l’on a mis en place le cadre guérisseur qui nous convient, il faut par la suite compter sur ses propres ressources, cultiver ses états intimes, activer le plus de joie possible et faire confiance à la vie.

Nous cherchons à l’extérieur le coup de baguette magique. Mais il vient de l’intérieur.
La maladie sert justement à éveiller le magicien de la vie dont les ressources dorment, négligées.   

Je ne sais pas pourquoi il est si difficile de se convaincre d’une telle chose.

Sans cesse, je dois me le rappeler à moi-même. Sans cesse. Le mécanisme consistant à chercher de l’aide  à l’extérieur est si fort que l’on oublie avec la plus grande facilité du monde que les sensations d’amour, de paix et de liberté intérieure constituent les agents de guérison les plus puissants.
 

Barre de séparation

Extrait de l’excellent livre Revivre ! de Guy Corneau-  issu du site annonceur : www.terre-de-lumiere.com

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Auto-guéris-toi !

Posté par othoharmonie le 3 septembre 2011

 

gifs coeurTrès belle découverte de capsules vidéo offertes gratuitement par http://www.terre-de-lumiere.com/.

Je vous les recommande vivement ! Tout cela en un clic :
          

La Joie qui guérit Guy Corneau

Les quatre accords toltèques : Jacques Languirand

La crise nous ressemble : Guy Corneau

Cancer, quête de soi et guérison : Ghislain Devroede

Médecine: pour une approche globale de la santé : Christine Angelard

 

 

gifs coeurEt puis je souhaite aussi vous faire partager ce témoignage en vidéo : http://www.toslog.com/guycorneau/59/video/bloc

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Le Tao Universel

Posté par othoharmonie le 13 juillet 2011

Le Tao Universel dans Auto-Guérison 2040166546-149x149-0-0_Energie_Vitale_Et_Autoguerision Le Tao Universel est un système opérationnel visant au développement personnel et spirituel. Maître Mantak Chia créa le système du Tao Universel, afin de partager les nombreuses pratiques méditatives et énergétiques de la Chine ancestrale, pratiques qu’il a lui-même reçues de nombreux maîtres à travers l’Asie. Son vœu le plus sincère est de partager cette opportunité offerte à chacun, de compléter son évolution corporelle, mentale et spirituelle.  

Grâce à ces pratiques chacun apprend à prendre en charge personnellement sa santé physique, émotionnelle et spirituelle.

 

Apprendre à prendre soin de soi, permet de poser de solides fondations sur lesquelles chacun réalisera son potentiel spirituel. En rétablissant une connexion directe à l’énergie naturelle ambiante, une subtile prise de conscience pour le progrès spirituel émerge spontanément. Finalement, les limites du corps physique sont transcendées par le développement du corps spirituel et de l’âme. L’auto-guérison mène à la naissance du soignant. Une fois ouverts, les canaux énergétiques, ou méridiens, et les énergies des organes internes harmonisées, cette énergie résultante devient disponible pour guérir autrui.

 

Puis, en puissant dans les sources d’énergie ambiante de la Nature et de l’Univers, un pouvoir de guérison immense est accessible pour le bien de chacun.

 

Enseigné par plus de mille Instructeurs et Praticiens Certifiés sur tous les continents, le Tao Universel permet d’accéder à un système moderne intégrant la théorie, les méthodes et les pratiques traditionnelles.

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Centres Tao Universel

États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Danemark, Autriche, Belgique, Chypre, Angleterre, France, Allemagne, Grèce, Irlande, Italie, Les Pays-Bas, Russie, Ecosse, Espagne, Suède, Suisse, Turquie, Pays de Galles, Australie, Nouvelle Zélande, Chine, Israël, Japon, Malaisie, Thaïlande, Philippines, Singapour, Afrique du Sud.

Source : http://www.universal-tao-france.net/content/view/13/27/

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Penser par soi-même

Posté par othoharmonie le 25 avril 2011

 

Penser par soi-même dans Auto-Guérison 18449

Ne laissez personne penser à votre place 

Le rôle de l’individu y est absolument nul. Sa conscience y est tenue pour zéro, exactement comme son libre arbitre. S’il est cent mille ou cent millions, cela représente, en matière de pensée, cent mille ou cent millions de zéros. Qu’un seul penseur s’y agglomère et imprime sa pensée à lui dans ce vide, aussitôt les milliers ou les millions de zéros s’y ajoutent et constituent un nombre à la suite de l’unité. Cela peut avoir lieu dans le mal comme dans le bien. En fait, c’est principalement dans le mal qu’opèrent les conducteurs de pensées. L’histoire ancienne et contemporaine en fournit de nombreux exemples dont certains sont encore sous nos yeux. 

 

Pensée individuelle et pensée collective 

Dans la société moderne, plus qu’à toute autre époque de l’humanité, les cerveaux sont embrigadés au service d’idées collectives. Les hommes de ce temps sont tous des partisans, à un degré quelconque. Or la notion d’appartenance est exclusive de la liberté de penser. Tout parti comporte une petite tête et un grand corps. La tête pense, si elle peut, et le corps obéit à la pensée de la tête. Cela semble si commode à l’homme du commun que tout le monde s’en remet à des conducteurs du soin de penser. 

 

Les rares individus qui échappent à l’esprit de parti n’évitent pas la radio, la télévision et la presse qui leur façonnent, du matin au soir, des idées standardisées et une pensée omnibus. 

 

Trop de gens aujourd’hui, dans l’Ancien comme dans le Nouveau Monde, n’ont d’autre opinion que celle de leur journal. Et cela est d’autant plus niais que les journalistes n’ont pas d’opinion plus arrêtée que leurs lecteurs et se bornent à reproduire des avis qui leur sont dictés et à écrire en vertu d’une consigne. Mais les directions des journaux ne sont pas davantage capables de penser ; elles sont inféodées à un parti, à une coalition d’intérêts commerciaux ou religieux auxquels elles obéissent. Ces collectivités elles-mêmes ne jouissent d’aucun libre arbitre; elles sont dans les mains d’une ou de plusieurs personnalités, elles-mêmes à la merci d’influences qu’on ne connaît pas (publicité entre autres). On le voit, si l’on remonte à l’origine des opinions, bien peu sont le fait d’hommes qui pensent originalement et par conséquent sont capables de gouverner leur vie et d’entraîner des fractions d’humanité. 

 

L’individu le plus humble, dans la condition la plus modeste, peut isoler son libre arbitre et avoir sa pensée à lui. S’il a sa pensée à lui et s’il lui donne une impulsion continue, il peut se rénover lui-même et rénover des foules autour de lui. 

 

Car chaque pensée est un univers avec son comportement et ses lois propres. Si elle est menue ou peu courante, des pensées de même sorte s’agglomèrent autour d’elle et son sillage devient de plus en plus profond. Aussi loin qu’elle voyage – et elle fait en un temps record plusieurs fois le tour du monde des consciences elle demeure étroitement reliée à l’esprit qui l’a conçue en premier. C’est donc l’émetteur de la pensée originale qui bénéficie de toutes les conquêtes de sa pensée, sous quelque forme que celle-ci se présente et que ce soit dans le domaine de la religion, de la philosophie, de la science ou de l’art. 

 

Quand vous écoutez la Sixième Symphonie de Beethoven, votre âme s’élève à des hauteurs insoupçonnées et toute votre pensée prie avec celle du musicien génial. Mais, en même temps que vous, des milliers d’autres âmes à l’écoute vibrent dans un splendide unisson. 

 

Et l’univers spirituel au milieu duquel votre intelligence se meut n’est-il composé que des seules pensées des hommes organiques ? 

 

Certes non, car le monde invisible pense beaucoup plus intensément que le monde dont nos sens sont témoins. Ceux que nous appelons les morts et qui sont, en réalité, les vivants d’une autre vie, retrouvent une faculté de penser accrue lorsqu’ils n’ont plus leur cerveau de chair. Ce plexus cervical que les hommes positifs considèrent comme l’unique instrument à penser mis à la disposition de l’homme n’est vraiment, qu’un limitatif de la Haute Pensée destinée uniquement à la compréhension des trois plus basses dimensions. 

 

Fort utile pour expliquer celles-ci, non seulement il est impuissant à pénétrer les  dimensions supérieures, mais encore il constitue l’obstacle organique à la compréhension des plans élevés. 

  

 

extrait de : Comment on soulève les montagnes ! Georges BARBARIN 

 

 

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citation : (Rudolf Steiner) 

« Le premier pas à faire sur le chemin qui mène à la connaissance suprasensible consiste à passer de la pensée purement passive à une pensée animée et active… Introduire la volonté dans la pensée, voici précisément ce qui ne se réalise aucunement au cours de l’observation quotidienne… Cette nouvelle pensée ne se déroule plus en une suite d’images passivement acceptées ; elle crée activement, et l’on a conscience de posséder une force dont on se sert tout à fait librement, force analogue à celle qu’on emploie pour lever le bras par exemple, et dessiner… En activant sa pensée, on en fait un organisme de toucher psychique, un tact spirituel, on commence à se sentir plongé au sein des réalités de la pensée, on pense comme on marcherait, comme on saisirait les objets, comme on les toucherait… La pensée se transforme alors à un tel point que l’on peut avoir le sentiment d’être entièrement devenu un être pensant ; on est soi-même la force qui pense… »

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Guérison

Posté par othoharmonie le 3 décembre 2010

    Guérison dans Auto-Guérison 2064515980_small_1   Georges Barbarin

Supposons une médecine qui ne tiendrait pas compte de l’intérieur du corps humain et qui se contenterait, en présence d’un abcès ou de coliques violentes, d’appliquer des emplâtres sur la peau. 

Une telle médication nous semblerait impuissante à provoquer un drainage des tissus profonds ou à corriger une défectuosité des organes internes. Et cependant, la thérapeutique moderne, qui n’hésite pas à intervenir dans les replis les plus secrets de l’organisme humain, ne fait elle-même rien de plus que le barbier de jadis, distributeur de saignées, de purges et de cataplasmes. 

Car sous le squelette d’os, l’homme de chair comporte un squelette psychique, lui-même doublé d’un squelette spirituel. 

Tant qu’on n’a pas agi sur le squelette spirituel, on n’a pas agi valablement sur le psychique, ni durablement sur le physique. 

C’est la raison pour laquelle tant d’affections corporelles chassées d’un endroit du corps par la médecine ou la chirurgie reparaissent à un autre endroit, sous une autre forme pour la plus grande angoisse du malade et le plus grand souci du médecin. 

C’est la raison aussi pour laquelle le thaumaturge ne se préoccupe pas de l’anatomie du malade, mais impose les mains sur son organisme spirituel. 

Dès qu’il a agi sur l’esprit, la guérison corporelle survient d’une manière foudroyante. Dans ce cas, tous les processus habituels de la matière sont mis de côté. Le vice de l’apparence et la défectuosité de la forme se réparent instantanément. 

Quel est l’agent du miracle ? 

Rien d’autre que la pensée. Celle-ci est intervenue dans son propre domaine, qui est celui de la cause d’où découle l’effet. L’opération a porté sur le territoire réel au lieu de porter sur le territoire imaginaire, car il faut bien nous persuader que, dans la vie, c’est ce qui nous semble réel qui est imaginaire et ce qui vous semble imaginaire qui est réel

extrait du livre : Comment on soulève les montagnes ; Georges BARBARIN 

 

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Accepter sa guérison

Posté par othoharmonie le 20 août 2010

Accepter sa guérison dans Auto-Guérison guerison_th  Lorsque l’on a bien intégré la méthode d’auto-guérison de Jacques Martel comme je l’ai fait moi-même (ou une autre à votre convenance), rien ne nous empêche également de se parfaire avec les méthodes que j’ai également utilisées et comme je les suggère,  à la fois :

 ici : http://othoharmonie.unblog.fr/tag/zones-erronees/

et ici : http://othoharmonie.unblog.fr/tag/chemin-spirituel/votre-esprit-peut-vous-guerir/

Car comprendre la dimension plurielle et multidimensionnelle de l’être humain nous permet d’avancer plus rapidement sur la voie spirituelle ; ainsi, plus jamais la maladie ne fera partie de notre vie…. 

Tout Message à ce propos est intemporel dans son essence, dans sa spiritualité !

Pour comprendre quelque chose il faut le restituer dans son contexte historique, social, économique et politique. Ceci permet une compréhension globale et surtout évite des interprétations fausses ou bien loin de la vérité. Ce qui était d’actualité il y a des siècles ne l’est plus, ce qui était une réforme apparait comme naturel aujourd’hui. Dans la religion encore plus, la contextualisation apparait comme essentielle car elle nous permet de comprendre Le Message dans son essence et dans la période où il a été révélé et expérimenté. 

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Etant moi-même sortie de mon expérience personnelle rédigée ci-dessous, je m’en viens vous reporter, ici à l’appui, le témoignage vivant de l’expérience de Lucie Bernier – Psychothérapeute : 

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« Prendre conscience de qui je suis et de ce que je suis en train de devenir est toujours très excitant. Quand ce que je découvre de moi-même et face aux autres est beau et positif. 

Qu’en est-il lorsque les découvertes qui résultent d’un cheminement personnel, quel qu’il soit, m’amènent à voir des facette cachées de ma personne, impliquant la nécessité que je devienne consciente des malaises et des maladies qui m’ont touchée ou qui auraient probablement pris place à l’intérieur de mon corps ? 

Et bien, c’est ce qui s’est passé tout au long de ces dernières années lorsque j’ai réalisé que les maladies s’étaient subtilement installées à cause d’émotions mal gérées et, qu’en apprenant à ré-harmoniser ce tourbillon d’émotions de toutes sortes qui m’habitaient, je pouvais avoir le pouvoir de guérison sur n’importe quel malaise ou n’importe quelle maladie que j’avais laissé s’installer en roi et maître dans mon Temple de Chair

Bien sûr, la responsabilité que j’ai acceptée de reprendre, face à ma santé, a été un long processus d’introspection et de remise en question de mes valeurs et surtout, m’a apporté la certitude que j’ai le pouvoir de me guérir

Pour ce fait, j’ai eu le privilège, de connaître Jacques, et de pouvoir acquérir des connaissances lors des multiples conférences et ateliers qu’il a animés. Par sa facilité à rendre simple et accessible un sujet qui, pour certains peut sembler très complexe, par son amour inconditionnel et son désir d’aider les gens à atteindre un plus grand bien-être tant physique, émotionnel que spirituel, il a été, et est toujours un pilier, un guide qui sait aider à faire fuir la culpabilité, pour la remplacer par une prise en charge de sa vie, afin que je me sente de plus en plus libre, bien dans ma peau, et maître de ma vie. Jacques m’a aidée à accepter la maladie, quelle qu’elle soit, comme une expérience positive, car elle est pour moi une occasion de m’arrêter, de m’interroger sur ce qui se passe dans ma vie. 

haba-activite-d-eveil-petites-fleursPour bien des gens comme moi, la maladie m’a donné l’occasion de demander de l’aide, choses que je veux bien souvent éviter. Je dois me souvenir que tomber, c’est humain ; mais se relever, c’est divin et que, pour amorcer un processus de guérison, il est essentiel de s’ouvrir aux autres, de s’ouvrir à soi-même et, en tout premier lieu, de s’ouvrir à l’ Amour, car tout malaise ou toute maladie peut guérir si je suis prête à accepter de laisser  tomber mes œillères et à jeter un regard nouveau et positif sur toute situation que je vis, aussi difficile soit-elle, car je sais que, lorsque j’aurai compris, dans mon cœur, la venue de cette expérience dans ma vie, elle pourra continuer sa route et je recouvrerai une santé parfaite. 

C’est ce que le livre de Jacques, que je considère comme un outil de transformation exceptionnel, se propose d’être. C’est une fenêtre ouverte sur ce monde encore très méconnu des émotions. C’est un instrument qui donne la possibilité de s’ouvrir à la graine qui a permis à ce microbe, ou à ce virus, ou à cette tumeur ou encore à toute autre affection physique, de germer dans mon cœur et de faire irruption au grand jour. En me permettant de m’aimer et de m’accepter au travers de toutes ces émotions mal ou non vécues, je ferai un pas vers plus d’harmonie, plus de paix, plus d’amour. 

En apprenant à déchiffrer mes émotions, je vais maintenant pouvoir investir sur mon capital santé, étant maintenant capable de prévenir et d’éviter bien des malaises qui me guettaient. 

J’ai été surprise de voir la somme de temps (des milliers d’heures) qu’il a fallu investir, sans compter toute l’énergie et l’ouverture requises pour canaliser toutes ces informations qui étaient mal gérées et qui, bien souvent, touchaient soit une période de ma vie personnelle, soit une situation vécue par une personne que je connaissais. 

Nous avons tous été dans notre vie au moins une fois, « malades » et le fait de « décortiquer » la cause d’un mal qui nous affecte, ou qui affecte une personne proche, nous amène à nous détacher (c’est-à-dire d’appréhender la maladie de façon positive, afin de nous défaire de l’emprise négative que nous lui permettons d’avoir sur nous) pour devenir témoins, et non plus victimes, de tous ces maux. 

C’est ce que je nous souhaite à tous, par l’entremise d’un quelconque outil, celui de votre choix. 

Que chacun d’entre nous devienne de plus en plus capable de reconnaître d’où proviennent les malaises et les maladies qui l’affectent ou pourraient l’affecter. Cette reconnaissance servira de prévention et apportera les changements nécessaires dans notre vie afin de recouvrer la santé. Il s’agit d’un complément extraordinaire qui s’ajoute à la multitude de techniques qui existent déjà, tant au niveau de la médecine traditionnelle que des médecines nouvelles, et qui s’avère essentiel non seulement pour une guérison au niveau physique, mais aussi et surtout au niveau du cœur (de l’amour), là où a lieu la vraie guérison… »

Merci à tous d’avoir bien voulu entendre ce message !

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Témoignage auto-guérison

Posté par othoharmonie le 18 août 2010

 

fleurTémoignage d’auto-guérison de Jacques Martel 

 

 

La santé a toujours été un sujet préoccupant pour moi. En effet, dès mon plus jeune âge, j’ai commencé à éprouver des problèmes de santé sans en connaître exactement la cause. Ma mère également a été confrontée à des situations difficiles qui, durant de nombreuses années, ont occasionné des soins (opérations, traitements) et des années d’hospitalisation.

 

En ce qui me concerne, comme l’on n’arrivait pas à trouver exactement ce dont je souffrais, un doute planait constamment ; je pensais que ces maux pouvaient être d’ordre psychologique. Je me suis dit alors : soit « c’est dans ma tête », soit « il y a une raison à ce qui se passe ». J’ai décidé d’opter pour le deuxième choix et c’est alors que j’ai commencé à rechercher ce qui m’amenait à vivre tous ces inconvénients.

 

En 1978, j’ai commencé à travailler dans le domaine de la santé, celui des compléments alimentaires. Je me suis rendu compte alors, par moi-même, au cours des consultations individuelles que je donnais et par mon observation, qu’il pouvait exister un lien entre les émotions, les pensées et les maladies.

 

J’avais commencé, intuitivement, à découvrir le lien existant entre certaines émotions et certaines maladies. C’est en 1988, lorsque je me suis inscrit à des cours de croissance personnel, que j’ai découvert ce que l’on appelle aujourd’hui l’approche métaphysique des malaises et des maladies. Je nous revois, moi et d’autres personnes, consultant la compilation des malaises et des maladies que Louise Hay avait élaborée dans son livre. J’observais aussi les gens qui commençaient leur investigation sur eux-mêmes, ou sur les autres, afin de vérifier le bien-fondé de ce que Louise avançait, tous passionnés qu’ils étaient de découvrir des pistes de recherches afin de mieux comprendre ce qu’ils vivaient.

 

Dès lors, mon intérêt pour cette approche n’a cessé de croître, d’autant plus que je me réorientais professionnellement dans ce domaine spécifique de la croissance personnelle. Depuis, je n’ai cessé de vérifier, au travers de mes consultations individuelles, des cours ou des ateliers que j’anime, la pertinence de ces données sur les malaises et les maladies. Aujourd’hui encore, il m’arrive, soit à l’épicerie ou lorsque je vais faire des photocopies, de poser des questions aux gens que je rencontre sur ce qu’ils sont en train de vivre, afin de trouver le lien avec leurs malaises ou maladies.

 

Je les vois encore me regarder d’un air étonné et interrogateur, se demandant si je suis un voyant ou un extraterrestre pour être capable de savoir tant de choses sur leur vie personnelle, sans qu’ils ne m’en aient rien dit. En fait, lorsque l’on sait décoder les malaises et maladies et que l’on sait à quelles émotions ou à quelles pensées ils sont reliés, il est facile de comprendre et de dire à la personne ce qu’elle vit. Alors, je dis aux gens que c’est simplement la connaissance du fonctionnement de l’être humain et des liens entre les pensées, les émotions et les maladies qui me permettent de donner ces informations. Dans un sens, je leur explique que l’on pourrait avoir un ordinateur rempli de données, puis demander à quelqu’un de nommer son malaise ou sa maladie, et l’information sur la vie personnelle de la personne s’inscrirait clairement, que celle-ci en soit consciente ou non.

 

Donc, il ne s’agit pas de voyance, il s’agit bien de connaissance.

 

Aujourd’hui, avec l’expérience et les connaissances que j’ai acquises, je puis affirmer qu’il est impossible qu’une personne souffre de diabète sans qu’elle ne ressente dans sa vie, un sentiment de tristesse profonde ou de répugnance face à une situation qu’elle a vécue. Pour moi, il est impossible qu’une personne souffre d’arthrite sans qu’elle soit très critique envers elle-même, quelqu’un d’autre, ou envers des situations de sa vie. Il est impossible qu’une personne souffre de problèmes de foie sans qu’elle ne ressente de la colère, de la frustration envers elle-même ou envers les autres, et ainsi de suite.

 

On m’a parfois fait la réflexion suivante : « Lorsque tu décodes les malaises et les malades, tu t’arranges pour que cela fonctionne. On me dit alors, que « tout le monde vit de la colère, de la frustration, de la peine, du rejet« . A cela, je réponds que tout le monde ne réagit pas de la  même façon. Par exemple, j’ai grandi dans une famille de douze enfants, avec un père alcoolique et une mère dépressive. Mes frères et mes sœurs ont eu les mêmes parents que moi, mais chaque enfant, y compris moi-même, sera ou non affecté, cela d’une façon différente en raison de son interprétation du vécu avec ses parents.

 

Pourquoi ? Parce que nous sommes tous différents et que nous avons des prises de conscience différentes à faire, dans notre cheminement personnel. Ainsi, le phénomène de rejet pourra déclencher une maladie chez l’un et pas chez l’autre. Cela dépend de la façon dont je me suis senti affecté, consciemment ou inconsciemment. Si mon stress psychologique est suffisamment grand, il sera transposé, par le cerveau, dans un stress biologique sous forme de maladie.

 

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Dans l’un de mes ateliers sur l’approche métaphysique des malaises et maladies, à l’occasion d’un salon sur la santé naturelle, les malaises et maladies dont on me faisait part ont été décodés assez rapidement et avec justesse, à mon grand plaisir. Quelque temps plus tard, une amie qui était dans l’assistance lors de cet atelier me dit : « Jacques, tu devrais faire attention quand tu réponds aux gens et que tu donnes la réponse directement et rapidement. Les personnes qui étaient à mes côtés ont eu l’impression que l’atelier était arrangé, à l’avance, pour que ça fonctionne« . Il n’en était rien, bien entendu. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est que :

 

·         Premièrement, la personne concernée par le malaise ou par la maladie sait que ce qui est énoncé est vrai pour elle, mais ce n’est peut-être pas aussi évident pour les autres qui ne sont pas concernés, personnellement.

 

·         Deuxièmement, ce qui est nouveau et dévoilé à notre conscience peut nous sembler irréel. Nier cette réalité peut aussi être une façon de se protéger pour ne pas se sentir responsable de ce qui nous arrive.

 

Voici une anecdote illustrant ce constat.

 

Le célèbre inventeur Thomas Edison rencontra les membres du Congrès américain pour leur présenter sa nouvelle invention, le phonographe, une machine parlante. Il est rapporté que lorsqu’il fit fonctionner son invention, certains membres du Congrès le traitèrent d’imposteur, disant qu’il devait y avoir une manigance quelconque puisque, pour eux, il était impossible que la voie humaine puisse sortir d’une boîte.

 

Les temps ont bien changé. C’est pourquoi il est important de rester ouvert aux nouvelles idées qui pourraient nous apporter des réponses innovatrices à bien des problèmes. Bien des personnes aux Etats-Unis et en Europe ont développé cette approche du lien existant entre les conflits, les émotions, les pensées et la maladie, cela fait connaître tout ce champ d’investigation non seulement au Québec, mais aussi ailleurs dans le monde.

 

Je dis souvent au cours de mes conférences, que j’ai un mental très fort, mais aussi une intuition très forte et que le plus grand défi de ma vie a été, et est encore aujourd’hui,  de concilier les deux. Ma formation d’ingénieur électricien m’a amené à concrétiser l’aspect logique et rationnel des choses. La physique m’a enseigné qu’à une cause est lié un effet bien réel.

 

C’est cette loi de cause à effet que, plus tard, j’ai pu appliquer au domaine des émotions et des pensées, quoiqu’il soit moins tangible que la physique. Mais est-ce bien vrai ? Même dans un domaine qui relève de la physique comme l’électricité, on travaille avec quelque chose que l’être humain n’a jamais vu : l’électricité. Car, en fait, on travaille avec les effets comme la lumière, la chaleur, l’induction électromagnétique, etc…

 

De la même façon, les pensées et les émotions ne sont pas nécessairement physiques au sens propre du terme, mais peuvent avoir des répercussions physiques sous formes de malaises et de maladies. C’es pourquoi l’un des buts est de montrer qu’à quelque chose de non visible telles que les pensées et les émotions, répond une réaction physique et mesurable, très souvent, sous forme de malaises ou de maladies. Puis-je mesurer la colère que je ressens ? Non ! Mais je peux mesurer ma température lorsque j’ai de la fièvre.

 

Puis-je mesurer le fait que j’aie souvent l’impression d’avoir à me battre dans la vie pour obtenir ce que je veux ? Non ! Mais je peux mesurer la diminution de mes globules rouges lorsque je souffre d’anémie. Puis-je mesurer le fait que la joie ne circule pas suffisamment dans ma vie ? Non ! Mais je peux mesurer mon taux de cholestérol et voir qu’il est trop élevé, et ainsi de suite. Alors, si je prends conscience des pensées et des émotions qui ont amené le malaise ou la maladie à se développer, se peut-il qu’en changeant mes pensées ou mes émotions, je puisse recouvrer la santé ?

 

J’affirme que OUI !

 

Cependant, cela peut être plus complexe ou plus profond que ce que je ressens consciemment. C’est pourquoi je peux avoir besoin de faire appel à des personnes travaillant dans le domaine médical ou à d’autres personnes utilisant d’autres approches professionnelles pour m’aider à effectuer des changements dans ma vie. Si je dois me faire opérer et que je comprends ce qui m’a amené à vivre une telle situation, il est probable que je m’en remette beaucoup plus rapidement qu’une autre personne qui n’a pas voulu savoir ce qui se passait dans sa vie ou qui l’ignorait tout simplement.

 

De plus, si je n’ai pas compris le message de ma maladie, l’opération ou le traitement semblera faire disparaître cette maladie, mais cette dernière pourra se répercuter sur un autre aspect de mon corps, sous une autre forme, plus tard.

 

Il est à espérer qu’il y aura de plus en plus d’entreprises qui deviendront conscientes du bien-fondé d’aider leurs employés dans leur cheminement personne, sur le plan émotionnel. Cela permettra de diminuer davantage les accidents dans l’entreprise et le taux d’absentéisme, et augmentera l’efficacité individuelle. Si ma vie personnelle, familiale ou professionnelle fait que je ne me sens pas bien vis-à-vis de moi-même, j’aurai plus de chance de « m’attirer », même inconsciemment, une maladie ou un accident pour pouvoir partir en congé ou pour que l’on s’occupe de moi.

 

C’est en 1990 que m’est venue l’idée de rédiger un dictionnaire traitant des causes métaphysiques des malaises et des maladies, et en 1991, je me suis mis à la tâche. Alors, je ne me doutais pas de la somme de travail qui m’attendait, heureusement, car si je l’avais su, je crois que je n’aurais jamais mis en branle ce projet. Mais je m’étais dis « Une chose à la fois ! Je vais y arriver ; je vais travailler jusqu’à ce que je sois suffisamment satisfait du résultat pour publier cet ouvrage« .

 

Je mentionne ceci, car cela demande beaucoup de travail, d’énergie et de volonté de faire des changements sur soi. Un auteur américain a écrit un jour ; « Seuls les courageux et les aventureux auront l’expérience personnelle de Dieu. » Ce que je comprend de ce passage, c’est que ma détermination à relever les défis et le courage d’expérimenter des avenues nouvelles pour moi, me procureront un certain état de réalisation et de bien-être. Cet état de bien-être correspond à sa santé physique, mentale et émotionnelle.

 

Auteur : Jacques Martel 

 

 

 

 

 

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Médecines douces

Posté par othoharmonie le 18 août 2010

cadeau de faby  Médecines douces et auto-guérison 

   

  

Ecrit par Jacques Martel 

 

De 1978 à 1988, j’ai travaillé dans le domaine des compléments alimentaires que l’on nomme l’approche orthomoléculaire, cela signifie « fournir à l’organisme les nutriments nécessaires, comme les vitamines, les minéraux et autres nutriments, sous forme de nourriture ou de compléments alimentaires, pour aider à rétablir ou à maintenir une santé optimale« . Je me basais alors sur les travaux de psychiatres et autres médecins, biochimistes et divers chercheurs canadiens et américains (surtout) qui, par leur expérimentation, ont démontré qu’en donnant les nutriments nécessaires, on pouvait améliorer, voire guérir dans certains cas la santé physique, mentale et émotionnelle. En fait, il existe plusieurs approches afin d’obtenir une santé optimale qui toutes ont leur importance, chacune d’elle agissant d’une façon ou d’une autre sur tous les aspect de notre être.

 

En 1996, j’ai vu un reportage à la télévision sur le Columbia-Presbyterian Hospital dans la ville de New York, où il était question d’un patient, monsieur Joseph Randasso, qui allait être opéré par trois pontages coronariens. Ce patient a bénéficié de séances de visualisation, de traitements énergétiques, de réflexologie avant son opération.

 

Pendant l’opération, il bénéficiait de traitements énergétiques. Après son opération, ce même patient a participé à nouveau à des séances de visualisation, a reçu des traitements énergétiques et de réflexologie pour lui permettre de récupérer plus rapidement. Ces interventions ont porté car le patient a récupéré beaucoup plus rapidement après cette importante opération que ne l’aurait fait un autre patient dans des conditions habituelles. Le médecin pratiquant, Mehmet Oz, mentionnait qu’il effectuait la même expérience sur 300 de ses patients pour analyser les résultats de l’ajout de ces thérapies alternatives au traitement médical conventionnel.

 

Ainsi, le dictionnaire des malaises et des maladies se veut un complément  à toute approche, qu’elle soit médicale ou en lien avec les médecines douces. Il traite donc à la fois de l’approche allopathique, plus médicale, et de l’approche holistique qui comprend davantage l’aspect physique, mental, émotionnel et spirituel de mon être. Je souhaite ardemment que tous les professionnels de santé, à quelque niveau qu’ils soient, se servent de ce dictionnaire en complément de leur pratique, comme outil de travail et d’investigation, pour aider leurs patients dans leur processus de guérison.

 

Pour ma part, j’ai expérimenté les opérations, la médecine traditionnelle, les médicaments, l’acupuncture, les traitements énergétiques, la radiesthésie, la naturopathie, les massages, la thérapie par les couleurs, la diététique, la vitaminothérapie, les essences florales du Dr Bach, la chiropratique, l’orthothérapie, l’iridologie, la psychothérapie, le Rebirth (respiration consciente), l’homéopathie etc… Je sais que si une technique était valable pour tout le monde, ce serait la seule utilisée. Mais ce n’est pas le cas, car l’être humain est l’animal de cette planète qui a le plus de possibilités, mais aussi la plus grande complexité.

 

C’est la raison pour laquelle je dois essayer de comprendre par moi-même ce que je vis en me faisant aider par d’autres, au besoin, dans le domaine respectif de leurs compétences. Le même auteur que je mentionnais plus haut écrivait un jour : « On DOIT APPRENDRE DE CEUX QUI SAVENT« . C’est ainsi que je dois rechercher le meilleur de ce qui existe dans chacune des professions. Lorsque je me retrouve devant un médecin, je me dis qu’il en sait plus que moi sur la médecine et que je dois être attentif à ce qu’il me dit et à ce qu’il me propose, me laissant le libre choix de décider par la suite de mon orientation. De même, lorsque je me retrouve devant un acupuncteur, je suis attentif à ce qu’il me dit ou au traitement qu’il me propose, parce qu’il connaît mieux que moi le fonctionnement de l’équilibre énergétique de mon corps vis-à-vis de mes méridiens. Il en va de même pour toutes les autres professions.

 

L’autre jour, une dame me disait qu’elle ne croyait pas à toutes ces histoires de pensées et d’émotions par rapport aux maladies. Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire d’y croire. Après qu’on lui ait lu quelques textes qui se rapportaient à des malaises et à des maladies qu’elle avait déjà eus ou qu’elle avait encore, on a pu remarquer que son attitude avait changé et qu’elle était plus réceptive à cette approche. En fait, il y a une partie à l’intérieur de moi qui sait ce qui se passe et qui sait que ce qui est dit à mon sujet correspond à ce que je vis et que cela n’est pas dû au hasard. Il faut ici être prudent ; je ne dois pas me sentir coupable de ce qui m’arrive et croire qu’on me dit que c’est ma faute si je suis malade.

 

Je suis responsable de ce qui m’arrive mais, dans la plupart des cas, ce n’est pas ma faute. C’est la méconnaissance des lois qui régissent les pensées et les émotions sur le corps physique qui m’amène à vivre des situations de malaises ou de maladies. Je dois donc prendre conscience de mon cheminement personnel ou, au sens large du terme, de mon cheminement spirituel. 

 

Là où j’ai découvert qu’il n’y avait pas ou peu d’amour, je dois redécouvrir que l’amour était présent quand même. Par évident, me direz-vous ! Mais c’est comme ça. Si je me jette du haut d’un balcon et que je me casse une jambe, vais-je dire que Dieu m’a puni ? En fait, il existe une loi que l’on appelle la loi de la gravité qui tend à me ramener au sol. Cette loi n’est ni bonne, ni mauvaise, c’est la loi de la gravité. J’aurai beau argumenter et en vouloir à cette loi parce qu’à cause d’elle je me suis cassé une jambe ; cela ne changera rien à la loi car LA LOI, C’EST LA LOI. Ainsi, on explique que toutes les maladies proviennent d’un manque d’amour. On dit que l’amour est le seul guérisseur. Alors, si cela est vrai, ne suffirait-il pas simplement d’y amener de l’amour pour voir la guérison se manifester ?

 

Cela est vrai, dans certains cas. En fait, c’est comme si l’amour devait entrer par certaines portes pour que la guérison se produise, par ces portes qui ont été fermées à l’amour lors de mes blessures antérieures. Voilà tout un champ de découverte et de prise de conscience !

 

Le grand dictionnaire des malaises et maladies ne vise pas directement à apporter des solutions aux malaises et aux maladies, mais plutôt à m’aider à prendre conscience que le malaise ou la maladie que j’éprouve provient de mes pensées et de mes émotions et, qu’à partir de cela, je peux prendre les moyens que je juge à propos pour apporter des changements dans ma vie.

 

Cependant, le seul fait de savoir d’où provient mon malaise ou ma maladie peut suffire à apporter des changements dans mon corps physique. Dans certains cas, le changement positif peut être de 50 % et peut même aller jusqu’à 100 %, soit la guérison complète.

 

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Pour ma part, lorsque j’ai connu les cours de croissance personnelle en 1988 et que j’ai pu prendre conscience des changements qui se déroulaient en moi, j’ai eu le sentiment que je commençais à renaître et j’ai vu poindre à l’horizon, l’espoir de jours meilleurs. J’avais enfin trouvé un moyen de   faire des changements importants dans ma vie et d’en voir les résultats. Il me fallait agir car j’étais en réaction par rapport à l’autorité, je vivais énormément de rejet, d’abandon et d’incompréhension. Je savais tout cela, mais encore fallait-il que je trouve le moyen de changer, de guérir mes blessures intérieures. C’est pourquoi je me suis engagé dans ce domaine d’activité qu’est la croissance personnelle. Mon travail me permettait de travailler sur moi-même tout en travaillant avec les autres à les aider à ouvrir leur conscience. Je crois sincèrement que chacun d’entre nous peut se prendre en main de façon de plus en plus autonome, et que chacun d’entre nous peut accéder à un degré de sagesse, d’amour et de liberté supérieur  - Nous le méritons tous.

 

Ce fameux dictionnaire se veut un outil d’ouverture de conscience et de recherche pour soi-même.

 

Lorsqu’il  m’arrive quelque chose en rapport à ma santé, je vais lire ce qui est écrit dans ce dictionnaire afin d’être encore plus conscient de ce qui se passe. En effet, l’être humain a facilement tendance à occulter, c’est-à-dire à faire disparaître de sa mémoire consciente ce qui le dérange. Ainsi, lorsque je lis le dictionnaire, je le fais avec les yeux de quelqu’un qui veut apprendre et être davantage conscient de ce qui lui arrive. Mon côté mental et intellectuel prend de l’information avec laquelle je vais avoir à travailler.

 

Car le seul vrai pouvoir que j’ai, c’est le pouvoir sur moi-même ; je suis créateur de ma vie. Plus j’en suis conscient, plus je peux faire les changements appropriés.

 

Depuis un siècle, et plus particulièrement depuis les cinquante dernières années, nous avons fait un bond extraordinaire au point de vue technologique, ce qui a permis, dans bien des cas, d’améliorer nos conditions de vie. Malgré tout ce progrès, on ne se rend pas bien compte que la science n’a pas la réponse à tout et qu’il existe, sur cette planète, beaucoup d’hommes et de femmes qui souffrent de maladie. Que l’on vive dans des pays industrialisés ou en voie de développement, on doit prendre soin de soi et faire face aux questions suivantes : Qui sui-je ? Où vais-je ? Quel est mon but dans la vie ? Il est important que je me serve de ce livre comme d’un outil de compréhension, d’investigation et de transformation. 

 

S’il me vient des idées nouvelles en lisant les textes, je peux tout à fait les compléter avec mes propres mots. Cet outil doit devenir un instrument vivant auquel chacun d’entre nous peut apporter sa contribution. C’est ainsi que certains passages du livre ont été rédigés à la demande  de certaines personnes.

 

Je vous dis donc : « bonne lecture » !

 

 

 

Jacques Martel.

 

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Technique d’intégration

Posté par othoharmonie le 29 juillet 2010

AFIN d’obtenir de meilleurs résultats d’AUTO-GUERISON ! 

 

divers

Le Grand Dictionnaire de Jacques Martel (ma bible) se veut un outil d’ouverture de conscience et de recherche pour soi-même, pour sa famille ou pour ceux qui nous entourent, ainsi qu’un complément à toute approche, qu’elle soit médicale ou en lien avec les médecines douces. Ce livre peut servir d’outil de compréhension, d’investigation et de transformation pour aider chacun dans sa démarche globale de guérison… 

 

Afin d’exploiter au mieux les données contenues dans ce livre précieux pour moi, il existe bien évidemment une technique d’intégration…. Et plus particulièrement une méthode de prononciation rythmée et séquentielle afin de bien intégrer le but à atteindre ! 

 

Et plus précisément, j’emploierais les mots de Lucie Bernier, Psychothérapeute, coordonnatrice des travaux de Monsieur Martel : 

 

Je peux me servir des informations contenues dans ce livre pour effectuer des changements au niveau de mes émotions. En procédant à l’exercice qui suit, je peux activer ma mémoire émotive et permettre que, de ma tête vers mon cœur, une partie des émotions soit guérie dans l’amour. 

 

Je dois prendre le texte d’un malaise ou d’une maladie et je le lis, syllabe par syllabe, en prenant au moins une seconde par syllabe. Par exemple, prenons la maladie suivantes : l’arthrite et le texte qui suit : 

 

ARTHRITE (en général) 

L’arthrite est définie comme étant inflammation d’une articulation. Elle peut affecter chacune des parties du système locomoteur humain : que ce soient les os, les ligaments, les tendons ou les muscles. Elle se caractérise par de l’inflammation, de la raideur musculaire et de la douleur qui correspondent sur le plan métaphysique à de la fermeture, de la critique, du chagrin, de la tristesse ou de la colère.

 

  

Ceci devient donc en prononciation monosyllabique

 

AR-THRI-TE (en-gé-né-ral) 

L’ar-thri-te-est-dé-fi-nie-com-me-é-tant-in-flam-ma-tion-d’u-ne-ar-ti-cu-la-tion. –Elle-peut-af-fec-ter-cha-cu-ne-des-par-ties-du-sys-tè-me-lo-co-mo-teur-hu-main : que-ce-soient-les-os,-les-li-ga-ments,-les-ten-dons-ou-les-mus-cles.-Elle-se-ca-rac-té-ri-se-par-de-l’in-flam-ma-tion,-de-la-rai-deur-mus-cu-laire-et-de-la-dou-leur-qui-co-rres-pon-dent-sur-le-plan-mé-ta-phy-si-que-à-de-la-fer-me-tu-re,-de-la-cri-ti-que,-du-cha-grin,-de-la-tris-tes-se-ou-de-la-colère. 

 

Et je continue la lecture avec le texte au complet que je lis dans le livre…. 

 

Il est très important d’aller très lentement, au plus, une syllabe par seconde ou plus lentement encore. Peu importe que je me demande si mon intellect comprend ou non les mots ou les phrases que je prononce. Il se peut que des émotions liées à de la peine ou de la tristesse se manifestent durant l’exercice ; il s’agit de mettre, avant tout, de l’amour dans la situation. 

 

Je peux prendre le texte d’une maladie que j’ai présentement ou d’une maladie que j’ai déjà eue ou d’une maladie que je pourrais avoir peur de contracter. 

 

Si je vis des émotions pendant l’exercice, je peux le reprendre plus tard dans la journée ou une autre journée, jusqu’à ce que je ne vive plus d’émotions et que je me sente à l’aise avec le texte. 

 

Je peux faire cet exercice, si je le désire, après une méditation ou après l’écoute d’une musique de détente ou d’une détente dirigée. 

 

Je peux faire l’exercice, aussi, en prenant le texte de la préface ou le texte d’introduction. 

 

Les informations qui suivent visent à donner davantage d’explications sur l’utilisation de cette technique. D’abord précisons que pour moi, le terme « intégration » réfère au fait de devenir conscient dans son être ; cela veut aussi dire, dans une certaine mesure « guérison » au sens que le malaise ou la maladie ne sont qu’un message que le corps m’envoie pour me permettre de faire une prise de conscience sur ce que je vis présentement. 

 

J’ai d’abord utilisé cette technique dans les ateliers « Retrouver l’Enfant en Soi« … elle est utilisée dans le cas où l’adulte écrit une lettre à son enfant intérieur et lorsque l’enfant intérieur répond à l’adulte. 

 

Que se passe-t-il lors de l’application de cette technique qui consiste à lire syllabe par syllabe le texte en prenant au moins une seconde pour chaque syllabe. Ce qu’il faut comprendre d’abord, c’est que plus vite je lis et plus ma lecture se situe au niveau de mon mental, dans ma tête. Plus je lis lentement, plus la lecture est en contact avec le centre d’énergie du cœur aussi appelé chakra du cœur

 

Tous les malaises et les malades sont des interprétations, consciences ou inconscientes, que j’ai faites par rapport à une situation ou une personne lors d’un manque d’amour. 

 

Alors, c’est comme si ce message, ou même cette blessure, pourrions-nous dire, a été enregistrée au niveau de l’amour qui correspond pour l’être humain au centre d’énergie du cœur. 

 

Mes blessures par rapport à un manque d’amour sont enregistrées dans mon cœur sous forme de rejet, d’abandon, de colère, d’incompréhension, de tristesse, de déception, etc… 

 

Pour pouvoir faire le changement de ce message enregistré à l’intérieur de moi-même je dois activer l’information au point de départ, c’est-à-dire, je dois être en contact avec la mémoire de cette blessure qui s’active lorsqu’une situation semblable se produit dans ma vie. C’est comme si la situation permettait d’activer l’émotion, car elle est mise en résonnance avec l’événement. 

 

Ainsi lorsque j’active dans mon cœur le souvenir de ce qui m’a causé de la peine, de la tristesse, de la colère, etc… j’ouvre ainsi le centre d’énergie du cœur pour laisser l’énergie d’amour entrer et apporter la guérison, par le fait même de la prise de conscience accompagnatrice. 

 

Afin que l’exercice de prononciation soit plus efficace, j’imagine que ma bouche se trouve au niveau de mon cœur et que des paroles en sortent. Je puis ressentir durant l’exercice, soit des picotements dans différentes parties de mon corps ou des courants de chaleur, de la peine, de la tristesse ou tout autres sortes d’émotions qui peuvent monter. 

 

En cas d’émotions fortes de peine ou de tristesse, il suffit de rester calme, car tout est sous contrôle et le corps sait ce qu’il est capable de gérer

 

Si pour une raison ou une autre j’avais des craintes de vivre trop d’émotion, je peux faire l’exercice en ayant une personne qui peut me soutenir dans ce que je vis, une personne responsable ou un thérapeute. 

 

 

                =========== 

 

 

Pour exemple, ce qui m’arrive parfois, ce sont des moments de stress qui s’emparent de moi sans aucune raison apparente…. Cela, même à mon réveil, sans encore avoir posé un pied parterre ! 

 

Je prends donc le livre de J.Martel, afin d’intégrer la démarche d’introspection concernant ce malaise et j’étudie mono-syllabiquement le contenu : 

 

 Le stress est une réponse d’adaptation face à un événement, une situation, un danger, réel ou imaginaire. La capacité de s’adapter dépend de différents facteurs : toute situation qui crée une demande plus grande à mon organisme m’amène à vivre du stress, qui se change en détresse si je la vis de façon extrêmement forte. 

 

Le stress peut être psychologique (la pression de l’entourage), physique (une forte demande pour mon corps liée au travail, au sport, à la chaleur, au froid etc…), chimique ou biochimique (médicaments ou changement hormonal). 

 

Le stress lui-même est en somme moins important que ma réaction face à celui-ci. 

 

Il peut être tout aussi positif, stimulant et créatif que menaçant pour mon corps. 

 

Selon ma réaction face aux situations et aux émotions sous-jacentes, l’effet stressant sera bénéfique ou nocif pour moi. Il est important de constater que même un événement heureux peut m’amener à vivre un stress important. Ainsi, je peux gagner un million de dollars à la loterie, ce qui peut avoir comme conséquence de me faire vivre une dépression parce que j’ai l’impression d’avoir tellement de choses à changer dans ma vie que j’ai peur de ne pas pouvoir y arriver : 

 

Vais-je garder mon emploi avec les gens que j’estime ? Mes amis resteront-ils les mêmes avec moi ? Vais-je devoir déménager ? Serai-je capable de m’adapter à tous ces changements ? 

 

 

 Je médite donc intensément sur ceci

 

« J’accepte de regarder à l’intérieur de moi et de questionner mes réactions, mes motifs et mes attitudes plutôt que de jeter le blâme sur les situations extérieures. J’apprends à relaxer et à considérer les bienfaits du stress. » 

 

 

            Ah ! l’ouverture de conscience soulage réellement les maux ! 

 

 

divers

 

  

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L’auto-guérison

Posté par othoharmonie le 26 juillet 2010

Gifs...Papillons                  La guérison intégrale  

                              

Qu’elle soit symptomatique de manque d’amour ou consécutive à un désir spirituel de sanctification, la maladie nous exhorte toujours à trouver la voie de l’harmonie intérieure. 


Malheureusement, notre vision dualiste d’un divin uniquement extérieur à nous et nos préjugés à l’égard de ceux qui disent avoir “réalisé Dieu”, nous font appréhender cette notion de conversion spirituelle avec parfois un peu trop d’ironie… 

 

Je me  suis longtemps questionnée

 

Mais Jésus-Christ sur la croix ne nous a-t-il pas montré que l’ultime chemin de paix passait par l’abandon total au “Père qui est aux cieux” autrement dit, à cette flamme divine et salvatrice logée au plus profond de notre âme ? 

Et nous-mêmes, lorsqu’une épreuve nous exhorte au dépassement, ne cherchons-nous pas instinctivement à imposer silence à notre mental pour laisser parler en nous une Energie supérieure ?

 Ayant pour modèle Jésus, bien des déductions me sont apparues

En réalité, le miraculé n’est pas un élu touché par une grâce divine agissant indépendamment de son libre arbitre, mais un être qui a su s’ouvrir pleinement à l’harmonie intérieure qui l’habite. De même, l’état d’extase spirituelle tant évoqué par les mystiques n’est pas une récompense du ciel mais le fruit de la dilatation totale de l’ego à l’identité profonde de l’être

Mais s’il est vrai que l’idée d’une ouverture spirituelle subite nous paraît quelque peu utopique, nous pouvons tout au moins apprendre chaque jour à faire taire notre mental conditionné pour laisser parler notre cœur : notre divine conscience. C’est ainsi que nous ressentirons peu à peu l’envie et la force de nous construire en faisant le choix de la santé spirituelle. Et bientôt, nous serons tout surpris de voir guérir, à leur tour, les parties les plus denses de notre être… Car il est vain de soigner son corps physique sans chercher à répondre aux messages spirituels contenus dans toute souffrance, dans toute maladie. 

«Lorsqu’une âme vient vers toi pour te demander des soins, ne perds jamais de vue que c’est l’élévation vers la spiritualité qu’elle désire au plus profond d’elle-même… Tout ce qu’elle essaie de te dire à travers le langage de la maladie et de la souffrance, c’est : aidez-moi à retrouver le chemin qui mène au Saint des Saints… » 

Une telle démarche implique de toute évidence, une attention soutenue à Soi

A défaut de compter sur la réunion de toutes les bonnes volontés, considérons au moins l’intégralité de notre être surtout si nous avons “choisi” la douloureuse épreuve de la maladie. Abandonnons-nous le plus possible au Divin qui demeure en nous à travers cet Etre lumineux que nous sommes par essence, cet autre nous-mêmes. Essayons quotidiennement de redevenir cet Etre tout amour et manifestons-le dans des démarches positives tant pour notre santé physique que spirituelle. Ouvrons-nous aussi à ceux qui savent être des canaux de Vie. Nous sommes aimés et sauvés d’avance ; la “suite” est une question de libre arbitre… 

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Parmi mes lectures professionnelles 

Carl JUNG a observé que l’homme oublie trop facilement la tâche qui consiste à s’auto-réaliser. Il est souvent bien commode d’éviter ce qui comporte le plus de sens pour nous en tant qu’être humain et de prendre le chemin de la moindre résistance. Le chemin qui mène au sens et à la réalisation de soi, Jung l’a appelé le « processus » d’individuation« . 

  Ce processus comporte deux phases

·          la première est en relation avec le développement de la « personna » qui est un masque ou une série de masques que nous portons dans la vie. Cette première phase passe à travers tous les défis rencontrés entre la puberté et l’âge de quarante ans. Cette période regorge de choix de vie opposés : la liberté ou l’engagement, le besoin de solitude ou l’intimité, pour n’en nommer que quelques uns. Cette phase alterne entre introversion et extraversion. 

·         la seconde phase, qui généralement commence vers quarante ans, apporte l’occasion de découvrir un sens plus profond et plus personnel à sa vie Cette phase comporte à elle seule, deux démarches

- devenir de plus en plus conscients de ces aspects de nous-mêmes que nous avions laissés de côté : quelle que soit la crainte que nous inspire cette entreprise, nos aspects cachés ont un cadeau magnifique à nous offrir. 

- la quête de l’intégralité. Ayant reconnu nos parties cachées, nous devons les accueillir et les intégrer. Elles nous enrichissent et nous font découvrir que le sens de la vie vient de la réalisation de l’unicité et de l’individualité. 

Il s’avère aujourd’hui d’une importance capitale, je pense, à être davantage conscient de nous-mêmes, c’est-à-dire faire l’expérience consciente de ce qui se passe en nous aux niveaux : physique, émotionnel, mental et spirituel.

Comme je vous l’ai déjà raconté sur ce blog dans « Expériences » qui se trouve ici : http://othoharmonie.unblog.fr/2010/04/09/maladie-et-auto-guerison/ 

le plus gros soucis de santé qui me soit donné à comprendre et à décortiquer, ce fut un problème de glande Thyroïde pour lequel j’étais alors sensée être prisonnière, « à vie », de la prise de médicaments, jusqu’à la possible opération dans les années qui auraient suivi. 

Or, mon choix s’est plutôt tourné vers la compréhension de ce que mon corps souhaitait me faire comprendre. Et je vous donne ici la méthode que j’ai utilisée pour entrer en communication consciente avec mon corps m’appelant « au secours » ! ….

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 Et la révélation de mon état m’est apparue effectivement avec l’aide de ce livre :   

LE GRAND DICTIONNAIRE DES MALAISES ET DES MALADIES de Jacques MARTEL 

comprendre : Vidéo 1  - 8 min – 28 janv. 2008

Image de prévisualisation YouTube    

 

Ce dictionnaire se veut un outil d’ouverture de conscience et de recherche pour soi-même, pour sa famille ou pour ceux qui nous entourent, ainsi qu’un complément à toute approche, qu’elle soit médicale ou en lien avec les médecines douces. Ce livre peut servir d’outil de compréhension, d’investigation et de transformation pour aider chacun dans sa démarche globale de guérison, tout comme il m’a aidé moi-même. 

On peut ainsi recouvrer santé, bien-être et joie de vivre. 

Le lecteur peut utiliser la technique d’intégration expliquée dans ce livre pour lire les paragraphes concernés, afin de permettre un changement salutaire d’attitudes, de comportements ou de pensées, dans le but de désactiver la source du conflit qui est à l’origine du mal-être, conscient ou inconscient, amorçant ainsi le processus de guérison.

Je le répète ici encore : L’ultime but de la vie est de nous permettre de découvrir qui nous sommes vraiment. Vous avez pris une forme physique pour réaliser cet objectif, pour découvrir par vous-même que vous êtes….  un être spirituel

Vous découvrez au fur et à mesure de démarches introspectives qu’en réalité, tout est spirituel et que les étiquettes que vous attribuez aux différentes maladies et aux conflits psychologiques ne sont que des termes différents qui parlent tous du seul processus en cours : celui de l’éveil de la conscience

Dorénavant persuadée que la maladie est une forme de malaise localisé qui a été engendré à un moment de l’existence par la dénégation, la culpabilité, le jugement, la honte, l’autocritique et le manque d’amour. Rien n’empêche également de constater qu’elle est aussi liée à un réflexe biologique de survie qui est à mettre en relation avec la conscience primale de la vie, tant végétale, qu’animale ou humaine. 

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Je viens donc vous reporter ici le support issu du livre de Jacques Martel avec lequel j’ai pu travailler d’arrache pied durant plusieurs mois pour mon cas personnel afin de venir à bout de ce problème de Thyroïde : voici ce que j’ai dû étudier, introspecter, méditer, comprendre… en un mot : TRAVAILLER

Vous allez vite comprendre, vous aussi, comment on peut changer lorsque l’on est fort à l’écoute de Soi

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LE LANGAGE DE LA GLANDE THYROIDE

La GLANDE THYROIDE se trouve à la base du cou, sous le larynx. Elle est reliée directement à la gorge. Elle est en relation avec le système respiratoire, la gorge, la nuque, les mâchoires, les oreilles, la voix, la trachée, les bronches, le haut des poumons et les bras.

La THYROIDE est le centre de la parole, de l’expression verbale et de la créativité. Elle a également une action sur le système neuromusculaire. Cette glande est reliée à l’expression de soi, à la communication. Par ce centre d’énergie, j’exprime mes larmes, mes joies, mes angoisses et mes sentiments. Essentiellement productrice d’énergie, le rôle de cette Glande est de sécréter deux hormones très importantes, la thyroxine et la trio-thyronine qui ont comme particularité de contenir de l’iode, reconnu pour être un antiseptique puissant et nécessaire au bon fonctionnement du corps tout entier. Ces dernières activent le métabolisme cellulaire, la croissance et les fonctions cellulaires. Sans elles, je ne pourrais vivre. Puisque la thyroïde règle la température du corps, elle est aussi comme un thermostat qui fait en sorte que ce qui se passe à l’intérieur s’adapte à l’extérieur. Mon corps peut ainsi exprimer harmonieusement mes émotions et mes pensées.

La THYROIDE symbolise aussi ma capacité à exprimer ma divinité, à extérioriser ma créativité. Elle me montre comment je prends ma place au lieu de me laisser limiter par les autres. Ma thyroïde réagit lorsque j’ai le « souffle coupé ». Je suis impuissante car je ne peux que me taire dans une situation donnée. « Est-ce que je suis en accord avec les règles que je m’impose ? »

En dysharmonie, ce centre d’énergie indique une non-expression de soi. J’ai souvent l’impression d’avoir une boule dans la gorge, je rationalise, je deviens rigide et je me refuse le droit d’exister. Mes paroles seront brusques et ma communication deviendra conflictuelle. Je ne prends pas ma place, j’étouffe et je me sens prisonnier. Je suis comme un papillon dont on a coupé les ailes. Le taux d’hormones normal détermine le contrôle le soi : l’hyperthyroïdie, la chaleur et l’épuisement, et l’hypothyroïdie, le froid et le ralentissement.

Puisque ce centre d’énergie est relié aussi à l’expression de soi, un cas d’hyper ou d’hypo fonctionnement thyroïdien pourra se présenter si j’ai le sentiment de toujours ravaler des injures ou que la vie est injuste avec moi. Me complaisant dans ce rôle, j’en arrive même à provoquer autour de moi des situations problématiques afin d’être de plus en plus une pauvre victime. Je voudrais tout laisser tomber, déguerpir loin de mes problèmes, les expédier à l’autre bout du monde. Je voudrais que ces derniers s’évanouissent. Aussi, lorsque je vis un conflit avec le temps, et que je me sens obligée ou pressée d’aller plus vite ou plus lentement, la thyroïde va réagir. Je peux avoir l’impression de ne pas pouvoir créer, faute de temps, d’avoir eu à grandir trop vite et à devenir un adulte trop tôt, de ne pas être assez rapide pour attraper quelque choses, etc…

Le cou, reliant ma tête à mon corps me permet de faire les signes OUI ou NON et fait de cette région le lien entre le corps et l’esprit. Si mon orgueil est très fort et qu’il ferme mon cœur, je passe à côté de mes vrais besoins. Le centre d’énergie de la gorge représente ma créativité. Je peux me sentir en position de soumission face à une autorité extérieure. Je peux idéaliser les autres, mais cela m’amène à me sentir inférieure. Cette attitude peut amener mon corps à réagir pour une maladie plus grave encore de la thyroïde : les autres deviennent un outil pour combler mon vide intérieur. J’ai peur du pouvoir car je renie le mien, ce qu’il m’amène à vivre dans la passivité.

Lorsque la thyroïde est en harmonie, je me sens ouverte aux autres, à l’écoute. Je suis peu influençable. Je sais dire non si nécessaire. Je reste ouverte d’esprit et je deviens créative. Je suis en mesure de dire la vérité, sans jugement de moi-même ni des autres. Ce centre de créativité (la parole) me permet d’avoir un lien amoureux équilibré en exprimant mon amour. Au lieu de vouloir avoir du pouvoir sur les autres, j’ai avantage à faire confiance à ma voix intérieure.

A l’immédiat, j’accepte de m’exprimer librement et j’utilise tous mes moyens. Je développe mon esprit créateur. J’accepte de vivre dans la Vérité.

J’accepte de développer une attitude plus positive et de me prendre en main afin de pouvoir atteindre mes objectifs. J’accepte que la vie ne soit pas un « sprint » mais un marathon. Je réalise enfin mon pouvoir. Ainsi, je prends mes décisions et je crée mes actions selon mon discernement intérieur. Je suis cocréatrice de ma vie.

J’accepte de rester en contact avec mon corps émotif et physique. Je suis en sécurité et j’ai tout ce qu’il faut pour faire face à mes responsabilités. Je suis créatrice de ma vie. Je communique l’harmonie partout autour de moi. Confiante, je vois la vie avec un nouveau regard. Je me laisse soutenir par la vie tout comme le cerf-volant soutenu par le vent.

J’accepte de reconnaître et accueillir les émotions qui m’habitent. Je choisis de les verbaliser afin de m’en libérer. L’amour et la lumière que je véhicule forment un bouclier qui me protège à chaque instant.

Gifs...Papillons

 

 

Sans toutefois m’être arrêtée à ce stade d’étude de mon « problème »…

mais évidemment, j’ai développé également plus en profondeur l’activité de cette glande qui m’empêchait d’accéder à mon vrai potentiel et retrouver la pleine harmonie de mon intérieur !

c’est ainsi que je me suis vue étudier également :

-          GOITRE EXOLPHTALMIQUE

-          GOITRE

-          HYPERTHYROIDIE

-          HYPOTHYROIDIE

et   THIROIDITE

Tous répertoriés dans le Grand Dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel.

Cependant, je ne vais pas vous détailler toutes les fiches, je pense que vous aurez compris ma démarche de par ce premier exemple !

Gifs...Papillons

Voici donc la méthode la plus importante que j’ai moi-même utilisée pour ma guérison intégrale… celle aussi qui a transformé ma VIE et je souhaite que pour vous aussi, ce récit de mon expérience reste pour tous un MESSAGE D’ESPOIR ! 

J’en viendrai également à vous retranscrire d’autres soins méditatifs, d’autres pistes de réflexions pour d’autres guérisons… d’ailleurs si vous avez des demandes particulières, n’hésitez surtout pas à ma contacter, je me ferai un plaisir de les retranscrire sur ce blog, pour vous !

Merci à vous !

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Publié dans Auto-Guérison | 4 Commentaires »

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