Blog de Francesca complet
Posté par othoharmonie le 4 mai 2016
Publié dans A Francesca-otho, Bonjour d'amitiés | 5 Commentaires »
Posté par othoharmonie le 4 mai 2016
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Posté par othoharmonie le 4 mai 2016
N’oubliez pas que lorsque ce blog sera complet, et cela ne saurait tarder…..
Vous pourrez toujours me retrouver sur le Forum de discussion : LA VIE DEVANT SOI …
Voici quelques sujets de discussions pour lesquels vous pourrez nous y rejoindre :
Au plaisir de vous retrouver dans un autre Univers !
Affection à tous, et Merci de m’avoir suivie !
Publié dans A Francesca-otho, Bonjour d'amitiés, En 2012-2013 et après 2016, Entre amis, Penserie | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 17 mars 2016
Si nous sommes déjà largement coupés de nos sentiments, nous le sommes presque tout à fait de nos besoins.
Nous avons parfois l’impression qu’une dalle de béton nous coupe de nos besoins. Nous avons plus appris à tenter de comprendre et de satisfaire les besoins des autres qu’à tenter de nous mettre à l’écouter des nôtres. S’écouter a été longtemps synonyme de péché mortel, en tout cas d’égocentrisme ou de nombrilisme : « Ce n’est pas bien de s’écouter comme cela… Oh ! c’est encore une personne qui s’écoute« … L’idée même que l’on puisse « avoir des besoins » est encore souvent perçue comme infamante.
Il est vrai que le mot besoin est souvent mal compris. Il ne s’agit pas d’une envie du moment, d’une pulsion passagère, d’un désir capricieux. Il s’agit de nos besoins de base, ceux qui sont essentiels à notre maintien en vie, ceux que nous devons satisfaire pour trouver un équilibre satisfaisant, ceux qui touchent à nos valeurs humaines les plus répandues : identité, respect, compréhension, responsabilité, liberté, entraide. En avançant dans ma pratique, je vois de plus en plus combien le fait de mieux comprendre nos besoins nous permet de mieux comprendre nos valeurs.
Pouvons-nous être vraiment et adéquatement à l’écoute des autres sans être vraiment et adéquatement à l’écoute de nous-mêmes ? Pouvons-nous être disponibles et bienveillants vis-à-vis des autres, sans l’être vis-à-vis de nous ? Pouvons-nous aimer l’autre dans ses différences et ses contradictions sans d’abord nous aimer profondément avec les nôtres ?
La coupure par rapport à nos besoins se paye de différentes façons. En voici les conséquences les plus fréquentes.
- nous avons de la peine à faire des choix qui nous engagent personnellement. Dans les affaires, au travail, ça va bien. Mais dans notre vie affective, intime, dans les choix plus personnels, quelle difficulté. Nous dansons d’un pied sur l’autre, ne sachant que choisir, espérant finalement que les événements ou les gens décident pour nous. Ou alors, nous nous imposons un choix impuissants que nous somme s à écouter et à comprendre notre élan profond.
- Nous sommes des accords du regard de l’autre. Incapables d’identifier nos vrais besoins, ceux qui nous appartiennent personnellement, nous allons souvent dépendre de l’avis des autres. Ou pire, nous nous coulons dans le moule de leurs attentes telle s que nous nous les imaginons, sans les vérifier et en nous adaptant et nous sur-adaptant à elles. Nous nous épuisons à cet exercice de dépendance à la reconnaissance des autres et à l’extrême, nous devenons la girouette d’une mode, d’un courant ou d’instructions formelles.
Ainsi, nous sommes épuisés d’essayer de faire valoir nos besoins sans aucun succès. Finalement, nous renonçons. Nous nous écrasons, nous démissionnons de nous-mêmes, on s’enferme ou on s’enfuit. Dans ce cas, nous nous faisons violence à nous-mêmes.
Le seul fait d’identifier notre besoin sans même qu’il soit satisfait apporte déjà un soulagement et un bien-être surprenant. En effet, lorsque nous souffrons, la première des souffrances est de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Si nous pouvons identifier la cause intérieure de notre mal être, nous sortons de la confusion. Ainsi, si vous ne vous sentez pas bien physiquement, si vous avez des douleurs suspectes au ventre, à la tête ou au dos, vous vous affolez… Si vous allez voir votre médecin et qu’il pose un diagnostic sur votre mal-être, vous vous sentez rassurés, rassuré de savoir ce qui se passe, vous sortez de la confusion. Il en va de même du besoin : l’identifier permet de sortir de la confusion qui ajoute au mal être.
En indiquant à l’autre quelle est notre demande concrète, nous rendons le besoin moins menaçant parce que nous «l’incarnons » dans la réalité, dans le quotidien. Ce n’est pas un besoin virtuel, apparemment insatiable et donc menaçant. C’est une demande concrète, bien définie en termes d’espace et de temps, et par rapport à laquelle nous pouvons nous situer, adopter une attitude.
Tant que nous serons obnubilés par l’idée que notre besoin n’est pas reconnu, nous ne serons pas disponibles pour constater qu’il l’est. A force de ressasser l’impression de ne pas être compris(e) ou reconnu(e), de faire l’objet d’injustices ou de rejet, nous nous forgeons une nouvelle identité. Nous nous installons dans cette croyance de telle sorte que le monde autour de nous peut bien nous envoyer des messages d’accueil, de compréhension, d’intégration, nous ne les entendons ni ne les voyons plus.
Un travail sur soi est nécessaire, et une fois notre besoin identifié, nous allons pouvoir formuler une demande concrète et négociable qui va dans le sens de nos satisfactions.
Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/
Publié dans APPRENDS-MOI, Bonjour d'amitiés, Chemin spirituel | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 10 octobre 2015
La fin de l’année est une période excellente pour réfléchir à notre parcours de vie : qu’est-ce qui ressort de cette année et quels sont nos projets pour la Nouvelle Année.
Imaginez-vous en train de préparer une grande fête. Elle est censée célébrer la vie. Pendant vos préparatifs, vous vous réjouissez de plus en plus. Vous avez décidé d’inviter toutes les personnes formidables qui ont compté pour vous d’une manière ou d’une autre pendant cette année. Chaque jour qui passait, quelqu’un vous a marqué. Vous décorez votre maison en vue de cette réunion unique. Des fleurs remplissent les pièces, et des bougies donnent une lumière chaude et accueillante. Vous accueillez chaque convive à la porte d’entrée avec une accolade chaleureuse. Vous vous regardez profondément dans les yeux pour bien vous relier pendant un instant et établir le contact des âmes.
Vous invitez ensuite vos hôtes à passer dans une immense salle à manger où la table a été dressée avec la meilleure porcelaine de chine et des verres de cristal. Le repas le plus élégant et le plus délicieux est sur le point d’être servi. Il est si bon de voir les gens s’amuser et être heureux. Vous souhaitiez que cette réunion soit parfaite pour vos précieux hôtes, et elle l’est. En prenant place en tête de table, vous regardez encore chacun pendant un instant. Vous regardez votre mère, votre père, vos enfants, vos amis. Il y en a que vous ne voyez que de temps à autre ou que vous n’avez rencontrés qu’une seule fois, mais ils comptent tous tellement pour vous, à leur manière, unique et magnifique. C’est une réunion de famille de tous les êtres qui comptent dans votre vie. Vous vous sentez bénie d’avoir toutes ces merveilleuses personnes dans votre vie et le comprenant, un sourire se dessine sur vos lèvres. Elles vous ont aidé à découvrir qui vous êtes en étant un miroir qui vous reflète.
L’un après l’autre, vous ôtez vos lunettes pour vous porter un toast de remerciement individuel. Les gens racontent comment ils apprécient leur vie et puis ils se tournent vers vous pour vous dire ce que vous représentez pour eux. Le cercle d’énergie d’amour croît en passant de l’un à l’autre, et s’amplifie au fur et à mesure que chaque personne prend la parole. Cette fête, vous la donniez pour montrer à ceux que vous aimez à quel point vous êtes reconnaissant de les avoir dans votre vie. Le cadeau vous a été retourné. C’est cela, le cercle d’énergie d’amour. Ce que vous donnez vous est retourné. C’est maintenant à votre tour de remercier. En prenant une grande respiration, vous vous préparez à parler, mais des larmes de joie inondent votre cœur en réalisant à quel point vous êtes béni d’avoir toutes ces merveilleuses personnes dans votre vie. En levant votre verre pour porter un toast spécial, vous ressentez un tel bonheur de vivre ce jour. Vous reconnaissez la merveille de votre parcours de vie avec toutes les personnes qui vous entourent. Tout ce que vous pouvez dire est merci, car c’est le meilleur moyen d’exprimer votre gratitude et ces simples paroles vous viennent du fond du cœur.
Vous finissez la fête en vous remerciant vous-même. Cette vie, c’est vous qui l’avez créée. Sachez que lorsque vous vous donnez de l’amour à vous-même, vous pouvez en donner davantage à ceux qui vous entourent. L’année passée a été magnifique, pleine d’aventures, certaines positives et d’autres plus difficiles. La Nouvelle année est pleine de merveilleuses possibilités.
Amour et Lumière,
Barbara
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Publié dans Bonjour d'amitiés, Chemin spirituel, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 13 septembre 2015
Avant qu’il n’y est plus de place sur ce blog, je vous rappelle que d’autres sont ouverts à votre intention.
Pour me retrouver sur d’autres blogs de mon cru, je vous mets ici la liste de mon réseau :
Rejoignez-moi là où bon vous semblera !
A BIENTOT !
Publié dans Bonjour d'amitiés, LECTURES Inspirantes | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 26 août 2015
A partir de maintenant, et pour les 21 jours qui viennent, nous vous montrerons qui vous êtes.
Vous verrez votre propre pouvoir vous être directement reflété en quelque chose que vous possédez – une idée, un concept qui se manifeste juste devant vous. Attendez-vous à des miracles pendant ces 21 prochains jours. Vous en créerez beaucoup au cours de votre vie mais il y en aura au moins un, irréfutable, que vous comprendrez absolument – du cœur de votre essence – avoir créé. Nous faisons cela de temps en temps pour vous donner confiance, pour que vous puissiez voir votre nature véritable. Vous avez érigé un voile qui vous empêche de vous souvenir de la Source, qui vous empêche de vous rappeler vos vies passées, qui vous empêche de réaliser vos progrès en tant qu’âme et maintenant ce qui se passe, c’est que vous commencez à totalement dissoudre le voile.
Vous avez placé le voile entre les deux lobes de votre cerveau. C’est la raison pour laquelle vous avez deux hémisphères cérébraux. Considérez que l’hémisphère gauche maintient l’illusion du temps et que dans l’hémisphère droit le temps n’existe pas. Ainsi, l’hémisphère droit représente la Source, le gauche représente la Terre. Ils se mêlent à présent comme ils ne l’ont encore jamais fait. L’esprit évolue et l’être physique évoluera désormais de manière à héberger l’esprit réalisé. C’est ainsi que nombre d’entre vous commencent à parler à l’esprit d’une manière ou d’une autre. Vous commencez tous à découvrir des parties de vous directement reliées à la Source. Si vous le croyez, vous apprendrez à ramener cette énergie en vous pour ancrer votre lumière. Vous ancrerez la lumière, vous lui ouvrirez de nouvelles voies et ferez appel à votre lumière d’une façon très puissante.
Chacun de vous commence à le faire à sa façon. Si nous pouvions vous donner à tous une chose simplement en vous tapotant l’épaule, ce serait la confiance. Ce serait la confiance de l’âme parce que votre âme a voyagé de nombreuses fois sur cette Terre. Beaucoup d’entre vous ont fait un incroyable périple et de grands sacrifices pour que la Terre puisse réaliser ces prochaines étapes… et vous y voilà. Certains d’entre vous se sont réveillés du rêve en disant : « A présent que je suis éveillé, que suis-je censé faire ? ». Cela nous fait beaucoup rire car c’est là l’action du voile. Nous ne sommes pas ici pour vous enseigner quoi que ce soit, nous sommes ici pour vous aider à vous re-souvenir. Nous sommes ici pour vous aider à dévoiler cette part de vous-mêmes de sorte que vous puissiez voir vous-mêmes ce reflet de vous. Il ne s’agit pas de vous montrer quelqu’un d’autre ou de vous prouver vos capacités ou votre magie. Ensuite, vous faites évoluer cela, vous l’équilibrez avec de la responsabilité et de l’harmonie avec les autres dieux qui vous entourent et vous apprenez à infuser le tout avec de la lumière. Cela amplifie naturellement votre lumière. C’est exactement ce vers quoi vous allez et exactement ce que vous commencez à faire à présent.
Publié dans Bonjour d'amitiés, Créativité, En 2012-2013 et après 2016 | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 26 juillet 2015
Supposez que vous soyez un espion dont la mission serait de déceler votre degré de synchronicité par rapport à la vie, autant dans l’ensemble que dans les détails. Contrairement aux méthodes plus cérébrales, l’intuition privilégie une vision à rayons X des questions liées à l’énergie subtile. Qu’il s’agisse de révéler la vérité crue sur une relation amoureuse toxique, de mesurer votre degré d’épuisement ou d’évaluer un emploi sans issue, l’intuition tente sans cesse de communiquer avec vous, même si vous ne l’entendez pas. Elle habite un petit coin tranquille où je compte vous emmener, petit coin voilé par le bla-bla des pensées quotidiennes.
Êtes-vous prêt à sortir vos antennes ?
Jour et nuit, nous recevons des impressions concernant l’énergie, mais peu en ont conscience. Puis un beau jour, vlan ! Un pressentiment, la chair de poule ou un éclair intuitif vous révèle ce qui vous nourrit ou ce qui vous mine. Les intuitions peuvent vous être favorables. Par exemple, en vous penchant sur un nouveau projet, vous sentez bouillonner votre dynamisme, votre lucidité briller ou la tension s’apaiser.
Au contraire, elles peuvent également vous être négatives : vous avez la chair de poule ou vous défaillez à l’idée d’une transaction frauduleuse. Grâce à la méthode pour épanouir l’énergie sacrée, vous prendrez l’habitude de pister intuitivement votre réaction énergétique. (Ma réactivité s’intensifie à l’approche de la pleine lune, en présence de chiots et au cours de journées passées à écrire sans interruption dans la solitude, alors qu’elle s’amoindrit à l’idée de cocktails huppés, de mets trop gras et de personnages volubiles.)
Comme je le fais moi-même et comme je l’enseigne aux patients, vous apprendrez à identifier l’information qui vous dynamise et qui vous paraît juste. Si vous observez les fluctuations de votre énergie, vous percevrez un écart brutal là où il y a des déséquilibres sur le plan interpersonnel, de la santé ou professionnel. Ainsi, vous serez en mesure d’effectuer des changements. L’intuition capte aussi les vibrations. Les gens et les situations diffusent soit de l’énergie positive accueillante qui tonifiera, soit de l’énergie négative qui vous rebutera.
Plusieurs expressions populaires témoignent d’ailleurs de ces intuitions. Un patient surnomme son frère, un grand dégingandé d’un mètre quatre-vingt-dix, de « grand verre d’eau » ; un autre dit : « Mon patron lance des poignards avec ses yeux. » Pressentir les vibrations permet d’évaluer instinctivement si vous êtes à l’aise ou pas.
Techniques pour percevoir l’énergie positive et négative
CHANGEZ DÈS MAINTENANT EXPÉRIMENTEZ VOUS-MÊME L’ÉNERGIE GRÂCE AU BALAYAGE SUBTIL DU CORPS
Asseyez-vous près de votre ami, allongé sur le sol ou sur un lit. Ensemble, prenez quelques respirations profondes et apaisantes. Une fois tous deux détendus, observez les yeux, la chevelure et les vêtements de votre ami. Puis regardez au-delà. Imaginez une capsule de lumière entourant son corps, ce que Carlos Castaneda appelle un « œuf lumineux ».
C’est cette énergie que vous allez percevoir intuitivement. Placez d’abord votre main à un ou deux mètres de sa tête, puis approchez-la doucement. Votre paume sera votre détecteur. Servez-vous-en pour sentir les contours subtils d’une chaleur, d’une fraîcheur, d’une pression ou d’une vibration marquant la frontière externe de son champ énergétique. Éloignez la main, puis rapprochez-la de cette lisière pour vous assurer de sa limite. Il s’agit d’abord de percevoir. Vous verrez peut-être aussi des couleurs. Tracez ainsi la carte de l’énergie subtile tout autour du corps de votre ami, sans jamais toucher la peau. Une fois terminé, ce sera au tour de votre partenaire de faire cet exercice. Comparez ensuite vos impressions
CHANGEZ DÈS MAINTENANT PERCEVEZ L’ÉNERGIE DANS LE MONDE GRÂCE AU BALAYAGE CORPOREL
L’on peut s’exercer à capter l’énergie positive ou négative n’importe où. Amusez-vous. Voyez ce que vous pouvez découvrir. Le secret consiste à se tenir à moins de soixante centimètres d’une personne, qu’il s’agisse d’un collègue ou d’un passant au centre commercial. Branchez-vous sur ce que cette personne ressent.
Interrogez-vous : « Suis-je attiré ou révulsé ? Perturbé ou à l’aise ? » Procédez à une évaluation honnête : « Suis-je tonifié ou épuisé ? » Instaurez une mesure de base pour chaque personne. Rapidement, vous saurez qui vous épanouit. Si un être cher vit une période difficile, montrez-vous tolérant. Repérez tout de même les personnes qui vous abattent. Subséquemment, pourvu d’une vision plus réaliste, vous serez mieux en mesure de vous occuper de vous.
EXTRAIT du livre : ACCEDER A SON ENERGIE SACREE de Judith Orloff aux éditions Ariane http://editions-ariane.com/
Publié dans Bonjour d'amitiés, L'Esprit Guérisseur, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 31 mai 2015
Aux positivistes je dirai que l’âme est immortelle, que nos morts sont vivants et tout près de nous. Car il y a d’autres espaces dans l’Univers que l’espace terrestre et d’autres modes d’agrégation des molécules matérielles que ceux de notre physique.
Je leur dirai que Dieu existe comme entité individuelle; qu’Il Se préoccupe non seulement de la direction générale des mondes, mais aussi de notre direction particulière, à chacun; qu’Il peut intervenir dans nos petits malheurs; que le miracle existe; et que si Renan déclare le contraire, c’est qu’il n’a pas voulu se mettre dans les conditions propres à observer ce phénomène.
Je dirai aux catholiques que Dieu ne S’irrite jamais, ne punit jamais, ne condamne jamais définitivement. Quand les hommes s’obstinent dans le mal, Il laisse aller les choses et ce sont les chocs en retour que nous appelons faussement la colère divine.
Je dirai aux catholiques qu’il y a en effet dans la création un enfer et un paradis, comme il y a un nadir et un zénith; l’un et l’autre sont perpétuels; les êtres passent de l’un à l’autre, selon leurs travaux et leurs besoins, mais ils n’y restent jamais perpétuellement. Partout où l’on travaille, où l’on souffre, c’est une forme de l’enfer; partout où l’on se repose, c’est une forme du paradis.
Je leur dirai que ce catholicisme est la plus belle, la plus haute, la plus complète des religions; qu’il les mène certainement à ce Dieu qu’ils adorent, le seul vrai Dieu, le plus trahi de tous les dieux. Je leur demanderai de relire la Passion de Notre Jésus, du Jésus de toute l’humanité; qu’ils regardent où se trouvent aujourd’hui et Ponce-Pilate et Caïphe; et qu’ayant vu, ils se retournent vers le Christ, toujours crucifié, avec une foi plus ardente et un dévouement total.
Je dirai aux rationalistes de l’Église protestante, aux spiritualistes de toute école que ce Jésus est plus qu’un homme, et-plus qu’un dieu; qu’Il Se manifeste sans prendre aucun intermédiaire à quiconque veut bien aller vers Lui par l’accomplissement de Ses préceptes; que leur science ne sera jamais qu’une bribe; que le surnaturel existe, en dehors de tout ce qui reste d’inconnu dans le naturel.
Et à tous je dis ces choses, simplement pour qu’ils les entendent au moins une fois. Car je sais que toute activité est utile, et que tout homme suit en définitive la voie qu’il est capable de suivre, pour le moment. Toutes les voies mènent à la voie étroite de l’Évangile, où marche l’Amour.
Nos travaux, nos fatigues, nos passions, nos désirs, nos haines, nos indifférences sont des écoles de l’Amour. Nous devons apprendre l’Amour : à nous d’abord, à tout ce que nous croyons être notre moi, à tous les êtres autour de nous, au-dessous, au-dessus de nous; c’est le seul but de la vie, c’est le seul pourquoi de la création.
Mais cette attitude mystique doit jaillir spontanément du profond de nous-mêmes; les livres des sages, les exemples des saints ne le font éclore que si nous avons déjà travaillé profondément le sol de notre esprit. C’est une initiation, une régénération, une naissance nouvelle, annonciatrice de cette troisième et définitive naissance, par laquelle on devient enfant de Dieu et l’on possède le Ciel, même au fond de l’Enfer, je veux dire au fond de la douleur.
Or, toute naissance suppose une mort. Notre être, étant composé de bien d’autres choses que d’un corps de matière, peut subir bien d’autres morts que la mort physique. Mais ce ne sont jamais que des douleurs transformatrices et toute agonie appelle une joie et un progrès.
Un changement intellectuel, une crise sentimentale, une vue neuve, cela veut dire la mort de quelque chose dans le psychisme et la naissance de quelque autre chose, jusqu’alors endormie.
Extrait de « Le Chemin vers Dieu » par Sédir
Publié dans APPRENDS-MOI, Bonjour d'amitiés | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 18 mai 2015
Salutations d’Âme à Âme, chers amis de Lumière!
Avez-vous remarqué que le temps s’accélère et l’énergie s’intensifie de plus en plus depuis le début de l’année 2015? Pour ceux et celles qui ont accepté de lâcher-prise et d’accueillir le moment présent à chaque seconde, la Magie et de merveilleuses Surprises surviennent au jour le jour… Tandis que pour d’autres (voire même vos proches ou certains d’entre vous) qui s’accrochent à vouloir contrôler et/ou planifier à long terme, il semble que tout part à la dérive dans tous les sens!
Les défis actuels demeurent cependant les mêmes pour tous : allons-nous demeurer centré, s’autoriser à s’accorder du temps au quotidien pour respirer, se déposer et revenir à l’essentiel en soi-même… ou allons-nous succomber à la tentation de s’inquiéter, d’éparpiller nos énergies ou de vouloir « sauver » notre entourage des catastrophes qui ne cessent de leur « tomber dessus »?
Il y a un dicton universel qui dit que « Tant que nous ne réalisons pas que nous sommes DES ASTRES, nous continuerons de nous attirer des DÉSASTRES dans notre vie »… Et si les défis de notre existence n’existaient que pour nous inciter à mettre en action notre Lumière intérieure, notre potentiel insoupçonné… afin de reconnaître pleinement l’Être Divin et Illimité que nous sommes en réalité?
Notre Âme nous invite à plonger dans le Mystère de notre propre Présence Divine… de gré ou de force! Certains le feront en se recueillant ou en allant marcher en nature pour le plaisir… alors que d’autres expérimenteront des difficultés de plus en plus grandes… pour les « obliger » à cesser de focaliser leur attention exclusivement sur ce qui se passe « à l’extérieur »!
L’extérieur, c’est la pseudo-réalité 3D qui nous entoure. Celle-ci ne convenant plus aux élévations vibratoires planétaires que nous connaissons, c’est le fait de résister à la vague de changement déferlant sur notre monde qui fait que nous, les humains, avons l’impression de « subir » des catastrophes existentielles ou des cataclysmes d’envergure… qui ne sont en réalité que le miroir de nos propres bouleversements intérieurs.
Oui, il est vrai que de nombreuses personnes autour de nous, comme à l’autre bout de la planète, quittent ce plan de manière brusque et imprévisible. Peut-être ont-elles besoin d’aller se ressourcer sous des cieux plus cléments? Ou peut-être ont-elles accepté de partir en éclaireur vers d’autres dimensions pour aménager notre route ou préparer notre avenir prochain? Assurément, elles nous incitent à remettre en perspective nos priorités et à mettre de l’ordre dans notre vie… en se demandant « Si je devais partir demain, que ferais-je de cette journée-ci? ».
Si nous pouvions, à chaque matin au lever, nous demander de quelle manière nous pouvons savourer et apprécier chaque instant… Si nous choisissions d’être dans la gratitude pour tous les petits miracles que la vie nous offre au quotidien; ne serait-ce que le fait d’être encore vivant, d’avoir un toit sur notre tête, une qualité de vie exceptionnelle et riche en événements de toutes sortes… N’est-ce pas cela l’état de Grâce, l’Illumination ultime que de célébrer pleinement le Moment Présent? L’élévation de notre conscience nous donne accès à de nouvelles perspectives de vie, de nouvelles vibrations multidimensionnelles… et une réalité bien différente que ce que la 3D nous montre tous les jours autour de nous!
À nous de faire le choix de VIBRER, RAYONNER et ÉCLAIRER nos proches… en demeurant ou non de ce côté-ci du voile!
Au-delà des prières, méditations et énergies de paix que nous transmettons à l’humanité, notre ACTION la plus efficace demeure la puissance de l’EXEMPLE que l’on donne en étant totalement soi-même. SOYONS la Paix, la Lumière, la Guérison et la Joie dont le monde a besoin! Accueillons le changement et les profondes transmutations planétaires en les contemplant à travers les yeux de notre Essence Divine, immuable, éternelle et infiniment sereine…
C’est du moins ce que je « nous » souhaite, ici et maintenant… et pour les siècles à venir!
Et pour ceux et celles qui aurait envie de se réunir afin que nous puissions tous ensemble expérimenter les meilleurs outils disponibles pour nous recentrer et élever nos vibrations lumineuses, je vous invite à consulter mon calendrier d’activités printemps-été 2015. Une foule de stages et ateliers interactifs et dynamiques (décrits sur l’affiche en pièce jointe) vous sont proposés dans les prochaines semaines, tant au Québec, qu’en Belgique, en France et en Suisse … Ce serait un bonheur de vous y rencontrer!
Aussi, un voyage fantastique à Hawaï se prépare en douceur pour le printemps 2016, afin d’ouvrir notre cœur et notre conscience à la Sagesse Hawaïenne dans toute sa splendeur… tout en explorant des lieux sacrés chargés de puissantes énergies régénératrices. Si vous vous sentez appelés par la libération de vos mémoires lémuriennes ancestrales, vous pouvez d’ores et déjà manifester votre intérêt en cliquant ici.
Souhaitons-nous de la douceur au sein de ces incontournables transmutations individuelles ET collectives !
Votre petite sœur cosmique, Diane
Source : Diane LeBlanc / Bianca Gaïa info@biancagaia.com
Publié dans Bonjour d'amitiés, Nouvelle TERRE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 10 mai 2015
Comme c’est l’amour lui-même qui constitue notre potentiel essentiel, nous ne sommes ni limités ni soumis à des conditions ou à des lois. Notre communication avec les autres se fait de l’amour à l’amour et non pas en partant de nos expériences pour aller vers celles des autres. Il n’y a pas deux expériences semblables et la communication qui repose sur des jugements est intrinsèquement conflictuelle. En revanche, lorsque la communication est fondée sur l’amour, elle apporte une satisfaction profonde et par là-même notre guérison. Même la peur qu’elle puisse être interrompue par la mort finira par s’estomper.
Comme seule l’expérience de l’amour lui donne véritablement son sens, je ne peux vous en donner une définition sinon vous dire que c’est l’absence totale de peur et surtout la confiance et la reconnaissance de notre union complète avec toute vie. En vérité, nous aimons quelqu’un d’autre lorsque nous comprenons que nos intérêts ne sont pas séparés des siens et nous nous unissons donc à cet Autre dans ce qu’il veut vraiment. C’est la partie supérieure de notre l’Etre qui s’unit ainsi et non plus notre ego qui s’allie à un autre ego. Il est totalement impossible de mesurer ou de prouver l’amour selon des méthodes habituelles mais ce n’est pas pour autant qu’il n’en est pas moins réel.
Nous avons tous eu des aperçus de l’amour pur et inconditionnel et une partie de nous connaît son existence, commençant à devenir conscients de l’amour chaque fois que nous choisissons d’accepter les êtres sans les juger et que nous essayons simplement de donner de soi, sans réfléchir à obtenir quelque chose en retour. Cela signifie que l’amour vrai ne consiste pas à donner pour transformer la mauvaise humeur de quelqu’un en bonne humeur ni son ingratitude en reconnaissance, mais c’est une forme de don totalement pur et libre qui s’étend librement et qui est de par lui-même sa propre récompense.
Généralement, nous lui donnons un tout autre sens au quotidien, car beaucoup ont tendance à donner pour mieux obtenir, c’est là un marché, un troc, ont voit cela dans les relations dites « amoureuses » où chaque partenaire donne en s’attendant à recevoir sous la forme particulière qu’il désire ou bien encore lorsqu’on entend dire que dans un couple il faut faire des compromis. Cet amour conditionnel est aussi ce qui passe pour de la gentillesse dans la plupart des relations où l’extension de l’amour dépend d’attitudes et de comportements homologués comme à l’image de parents cherchant la confirmation de leur propre valeur à travers les réussites de leurs enfants. Bien souvent, un enfant n’aime ses parents que s’il obtient ce qu’il croit vouloir, que ce soit une nouvelle possession ou une approbation, un tel amour n’offre aucune sécurité et il ne dure pas, sa nature éphémère est la cause de peurs existentielles d’être abandonné, et cette peur-là nous l’avons tous en nous.
Lorsque nous offrons un amour réel, nous ne sommes concernés ni par notre propre comportement, ni par celui des autres. Nous nous sentons parfaitement naturels. Nous n’avons pas le sentiment d’être limités dans nos actes, nous ne doutons pas non plus de tout le bien qui peut arriver ni du temps qui n’est pas un souci pour nous. Nous avons simplement conscience de l’instant présent et de tout ce qu’il contient. Lorsque nous étendons cet amour, nous sommes libres et en paix avec tout ce qui EST, et nous nous rendons compte qu’il est extensible à outrance.
Nous pensons parfois que nous obtiendrons satisfaction en nous vengeant, que nous aurons raison en prouvant que quelqu’un d’autre a tort ou que nous aurons un peu de paix et de tranquillité après avoir humilié quelqu’un qui nous aura blessé. Il nous paraît logique d’être sévères avec nos enfants pour leur apprendre la douceur et nous pensons qu’il y a des gens qui méritent de perdre quelque chose à cause de ce que nous pensons être justice.
Mais croyez-moi si vous le voulez, l’expérience dont nous avons tous le plus grand besoin en vérité, c’est celle de l’AMOUR.
Pour véritablement aimer il nous faut comprendre ce qu’il y a de semblable chez nous et dans tout ce qui vit car l’amour qui vit en nous peut s’unir à l’amour qui vit en l’autre, alors que deux corps ne peuvent absolument pas devenir un. Toute émotion focalisée sur le corps en excluant les autres est une émotion négative où nous nous nions nous-mêmes. Il nous faut nous interroger honnêtement et avec tendresse sur nos préoccupations concernant l’apparence des corps, à savoir si notre corps reçoit sa part de reconnaissance, de remerciements, d’influence et de popularité pour ce qu’il a fait. En effet, c’est dans la mesure de l’importance que prend notre identification à notre corps que nous minimisons ou ignorons totalement notre essence …. l’amour. Cette interrogation ne demande qu’un honnête regard sur nous-mêmes pour noter les choses simplement dans le calme et tout spécialement celles qui sont à l’intérieur : une reconnaissance de notre vraie valeur.
Nous sommes malheureusement dans une société où l’image règne en maître, nous ne voulons pas vraiment que les gens soient attirés vers nous à cause de notre corps, mais à cause de ce qu’il y a en lui et qui ne change pas. Nous voulons que les gens nous comprennent et nous aiment justement parce qu’ils nous comprennent. Ils ne peuvent le faire tant qu’ils sont reliés à nous uniquement par l’image en tant que corps. Nous voulons avoir conscience et nous voulons que les autres aient conscience de notre état lumineux intérieur et non seulement du brillant des apparences extérieures, et cela ne tient qu’à nous seuls, selon ce à quoi nous nous identifions, de ce que nous mettons en avant de nous-mêmes mentalement et émotionnellement.
Nous ne pouvons avoir deux attitudes car l’une est simplement amour alors que l’autre est apparence et que cette apparence engendre la peur.
Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/
Publié dans Bonjour d'amitiés, Chemin spirituel, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 22 avril 2015
Comprendre, se comprendre et s’accepter avec tendresse pour retrouver l’être « parfait » en soi
Initialement, vous êtes « parfaits », c’est-à-dire connectés à votre source intérieure, en harmonie avec la Vie, avec l’Univers…
Alors, pourquoi les maladies, le stress ? Pourquoi les problèmes financiers et le reste ?
Vous vous êtes éloignés de votre source : vous bloquez le processus de la vie en vous, vous bloquez, souvent sans le savoir, cette énergie lumineuse par vos peurs, vos doutes, votre manque d’amour envers vous-mêmes.
La vie est là, qui vous porte, vous protège, vous soutient, vous amène votre bien-être, votre bonheur d’être. Si vous ne le réalisez pas, si vous êtes malheureux et stressé, le processus de vie ne peut circuler librement en vous.
Toutes les possibilités sont en vous, et autour de vous, pour vous aider à l’accomplir, à Vous accomplir. Ainsi, la clé est de se reconnecter à soi, de s’aligner sur qui vous êtes vraiment en toute confiance et avec joie pour être au diapason de l’a Vie, de l’Univers. En vous focalisant sur les ennuis, les dettes, les difficultés… vous ne ferez que les précipitez encore et encore dans votre vie car vous y mettez toute votre énergie. Et, l’énergie est créatrice, vos pensées sont créatrices.
Ouvrez-vous. Ouvrez-vous au possible et croyez-y. Mettez, là, toute votre énergie ; créez l’abondance à tous les niveaux ! Si la moindre pensée de doute refait surface, remerciez-la. Elle est issue de votre mental dont la fonction est de vous sauvegarder et de vous aider par vos expériences passées, seulement il a gardé les anciens « programmes » (souvent enclenchés par vos traumatismes) et il est nécessaire de les réactualiser.
Aujourd’hui, il est temps d’installer de nouvelles pensées, celles qui vous correspondent au mieux. Vos anciennes pensées ont créées votre présent, s’il ne vous plaît pas, alors, laissez-les et remplacez-les. Vous le pouvez, chacun le peut.
Sans luttez, sans combattre votre mental car vous avez besoin de toutes les parties de votre être et qu’elles aillent ,unifiées, dans la même direction, avec douceur et tendresse, en remerciant votre mental et en l’informant que vous choisissez de penser autrement, en l’affirmant quotidiennement.
Vous avez tous en vous cette possibilité de vous adapter et les énergies nouvelles vous y encouragent. Vous avez tous en vous, cette puissance de vous transformer pour devenir qui vous êtes vraiment. Ceci est une des clés de votre reconnexion à vous-mêmes pour retrouver votre souveraineté intérieure.
La première clé est la Joie, la joie innée et profonde que chacun porte déjà en soi. Il existe ainsi, plusieurs clés, neuf clés qui s’appuient sur les Lois de l’Univers… et vous les avez déjà toutes en vous, il suffit de vous reconnecter à votre source..
En toute tranquillité et sûreté, vous pouvez les retrouver en vous et ouvrir les portes, l’une après l’autre..ou toutes en même temps ( !)
La Joie est en vous.
La Sagesse est en vous.
Votre Puissance est là.
Dites oui à la Vie pour qu’elle vous élève et se manifeste en vous en toute Beauté. Levez les voiles, ouvrez les portes et accueillez votre Lumière pour la rayonner. Tout est là pour Vous réaliser avec Joie et Amour.
Les Messagers de la Source 8/11/08 http://www.coeurdelumiere.com
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Posté par othoharmonie le 4 janvier 2015
Eh oui, une page se tourne, j’ai beaucoup appris en compagnie de tous ces livres mais maintenant, le temps est venu de faire un peu de place sur mes étagères et de les faire partager à d’autres…..
BRADERIE DE LIVRES
Si cela vous intéresse, veuillez retrouver ma bibliothèque ici : http://bibliothequecder.unblog.fr/
merci de votre confiance !
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Posté par othoharmonie le 2 janvier 2015
« Vous avez traversé beaucoup de turbulences, et Maintenant Vous Vous réalisez dans votre Beauté Intérieure. Vous avez compris que Vous Êtes Divin et que Tout est en Vous !
Pendant des éons, Vous avez vécu des choses qui ne Vous ont pas permis de Vous reconnaître, et en même temps, cela Vous a permis d’en arriver là où Vous en êtes aujourd’hui. Vous pouvez bénéficier ainsi d’une plus grande facilité à comprendre ce qui se passe en Vous et autour de Vous. Vous avez compris l’Amour qui Vous anime, et Vous avez compris combien il y a en Vous un Amour qui Vous est donné lorsque Vous êtes en phase avec Vous-même et que Vous reconnaissez votre Beauté Intérieure.
Cet Amour est le fruit de votre reconnaissance. Nous sommes avec Vous afin de partager l’Amour que Nous Sommes. De ce fait, Vous permettez que cet Amour soit diffusé au plus grand nombre. Maintenant, comprenez que tout le temps que Vous avez passé à Vous chercher était approprié pour Vous permettre de mettre en place l’IMMENSITÉ de ce que Vous Êtes. Cette IMMENSITÉ peut maintenant se développer et Vous permettre d’être Vous, d’être enfin cet Être Divin que Nous Vous disons être depuis le tout début. Cessez de chercher à l’extérieur ce qu’il y a en Vous. Tout Vous sera révélé dans le Coeur de Votre Être. Vous avez tant d’Amour et cet Amour a besoin d’émerger et de s’expanser pour que tout s’harmonise et poursuive le Plan d’évolution. …
Vous avez eu besoin de Vous reconnaître pour comprendre ce qui Vous anime vraiment et maintenant, Vous pouvez comprendre que c’est en restant Vous-même, en conscience de « Qui Vous Êtes » que Vous créez une réalité bien plus belle que celle que Vous vivez. Vous Êtes des Créateurs, et vous l’avez petit à petit acquis en comprenant qu’il Vous fallait être Vous, libre, autonome. Il ne Vous est plus nécessaire de « suivre » quelqu’un ou quelque chose, suivez votre « Grandiosité » et redonnez les commandes à Votre Présence Divine afin qu’elle laisse circuler à travers Vous l’Energie Divine. Vous permettez ainsi de créer ce dont Vous avez besoin, mais également de créer bien au-delà de ce que Vous Êtes. Vous pouvez créer d’une façon multidimensionnelle et ainsi créer de Nouveaux Mondes. Beaucoup d’entre Vous ont remarqué que lorsqu’ils cessent de chercher à l’extérieur et dès lors qu’ils se tournent en eux-mêmes, des synchronicités se manifestent et celles-ci leur permettent de rencontrer des Êtres qui peuvent les aider à se reconnaître. Et c’est ainsi que cela se présente pour tout un chacun. Nous avons à coeur de Vous dire que les Êtres qui Vous aident le font par notre intermédiaire et qu’ils sont là pour que Nous puissions Vous aider à Vous libérer et à Vous réunifier. …
Pensez toujours à l’Être Divin que Vous Êtes et restez dans Votre Présence JE SUIS, à l’écoute de votre coeur. Même si Vous éprouvez de la difficulté à maintenir ce lien avec votre Divinité, restez dans votre silence, respirez, et Vous allez comprendre ce qui se passe en Vous. C’est à ce moment-là que Nous Pouvons intervenir et vous aider à Vous libérer de ce qui ne Vous sert plus. Sachez que rien n’est laissé au hasard et que tout a sa raison d’être. En acceptant cela, Vous Nous permettez d’agir sur toutes les énergies qui ont besoin d’être libérées.
Puissiez-Vous comprendre que lorsque Vous êtes dans Votre Présence JE SUIS, même si Vous ne sentez rien, même si rien ne se manifeste, Vous êtes dans tous les cas en contact avec Votre Moi Divin et que celui-ci agit au mieux. Petit à petit Vous développerez ce lien au point de rester unifiés en permanence. Vous ressentirez alors un bien être jamais égalé. Pour se faire, ne Vous laissez plus happer par des états d’être qui ne Vous correspondent plus. Pour cela, Vous avez besoin de ne plus Vous référer à ce que Vous étiez en tant qu’humain. Laissez-Vous aller dans Votre Présence, en Toute confiance malgré les sollicitations extérieures.
Cette confiance Vous permet d’imaginer ce que Vous voulez faire, ce que Vous voulez vivre, ce que Vous voulez créer. Vous laissez alors l’Energie Divine oeuvrer. Sachant que parfois, il Vous faudra du temps pour manifester Votre nouvelle Réalité. Cependant, ne Vous référez plus à ce que Vous viviez, à ce que Vous étiez. Quand Vous êtes en confiance, c’est comme si Vous étiez dans une Luminosité où rien ne peut vous affecter. Vous baignez dans l’Amour, la Paix, la Joie sachant que Tout est là, sans ne rien faire d’autre que d’Être là et de vivre en conscience de ce que Vous Êtes. Sachez que Ceux qui contribuent à l’émergence de la Nouvelle Terre, sont considérablement assistés. »
Sananda Par Martine du Magazine Vivre Sa Légende
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Posté par othoharmonie le 16 novembre 2014
Couper des liens, mais pourquoi ?
Lorsqu’une situation inconfortable, voire troublante se présente, on peut par une technique assez simple prendre rapidement du recul. C’est une technique de coupure de liens mise au point par Phillis Krystal et qu’elle appelle « cutting the ties that bind », qu’on pourrait traduire par « couper les liens qui nous tendent ».
Avec un peu de pratique, on peut arriver à des résultats intéressants pour soi-même, en autant qu’on a la présence d’esprit d’utiliser la technique lorsque la situation s’y prête. On peut également trouver un thérapeute qui utilise cette méthode pour nous aider à couper des liens plus subtils, des liens toxiques profonds.
Cette méthode n’est pas la seule à permettre la coupure efficace de liens toxiques, mais elle a fait ses preuves.
Couper des liens, mais pourquoi ?
Pourquoi couper des liens ? Les êtres humains sont depuis toujours dans une interaction entre eux ainsi qu’avec leurs milieux physiques, culturel et social. Tout est donc, en un sens, une question de relation de soi avec le monde extérieur, la somme des liens que nous avons établis et appris à entretenir depuis notre naissance (et même avant) avec les autres et nos différentes sphères d’activités. Ce sont ces liens qui ont mené à nos modèles de comportement, à nos croyances, à nos dépendances si on prend le terme dans son sens le plus large. Ainsi, un travail sur ces liens toxiques, l’observation de ces liens ou même la simple prise de conscience de l’existence de ces liens peut engendrer une évolution importante pour la personne.
Pour améliorer une situation, pour prendre de la distance face à une situation ou encore à une personne, on peut se placer en situation d’observer le type de lien qui nous y unit. Couper des liens toxiques peut nous aider à sortir d’un modèle de comportement, à briser des contrats inconscients passés avec soi-même ou avec d’autres, à nous débarrasser d’un bagage transgénérationnel qui nous nuit, à sortir d’une dépendance et quoi encore. Couper des liens ne nous aidera pas à réparer une jambe cassée, c’est certain. Mais cela peut nous aider à relativiser et à transformer toute relation de soi au monde extérieur.
Exemple
Voici une anecdote qui illustre de façon très spectaculaire l’effet d’une coupure de liens toxiques effectuée en hypnothérapie avec un client lors d’une séance faisant partie d’un processus de guérison d’une fatigue chronique. Le samedi matin, nous avons coupé et transformé des liens malsains qui unissaient un jeune homme et son père pour le libérer d’un fort sentiment de dévalorisation. Le jeune homme est reparti chez lui sans parler à son père de ce que nous avions fait. Le lendemain matin, le père, qui n’appelait jamais son fils et n’avait pas rendu visite à celui-ci depuis des années, s’est annoncé pour une visite. Il a bien regardé tout ce que son fils (artiste et artisan) avait réalisé depuis un certain temps en visitant pour la première fois son atelier. Il l’a félicité et l’a encouragé à continuer. Cette coupure de liens a eu un impact non seulement sur le jeune homme mais aussi sur la difficile relation qui l’unissait à son père. Elle a même transformé l’attitude du père. Au plan subtil, non seulement la personne qui coupe les liens bénéficie de la transformation des liens mais les relations familiales ou autres gagnent beaucoup à ces coupures de liens toxiques. On a vu, dans le même ordre d’idée, certaines coupures de liens entre mères et filles annuler une bonne partie de la tension entre les deux. La coupure de liens peut aussi servir à terminer une situation laissée en plan par la mort ou le départ d’une personne ou encore la fin d’une relation amoureuse, d’une relation d’affaires ou de toute autre relation. On peut, en coupant les liens toxiques avec le passé, réduire de beaucoup les charges émotionnelles entourant ces situations.
La méthode Krystal
La coupure de liens profonds fait partie d’un processus thérapeutique. Parfois la douleur et d’autres résistances peuvent empêcher la coupure d’avoir effectivement lieu et le tout, si on ne poursuit pas un processus de guérison, demeurera au niveau de la visualisation. On ne peut pas attendre des résultats en profondeur de la mise en pratique sommaire de la méthode de Phillis Krystal comme elle est présentée ici mais on peut aisément s’en servir pour prendre le recul nécessaire à toute recherche de solution positive.
La méthode Krystal s’applique pendant que le patient est en état de relaxation et est constituée de visualisations guidées.
Le symbole du 8, proposé par Madame Phyllis Krystal, pour nous aider à couper les liens toxiques.
Le premier symbole proposé est un cercle que l’on trace dans l’imaginaire autour de soi auquel on donne la couleur jaune. Ce cercle symbolise son espace personnel, l’espace qu’on s’alloue dans la vie.
Ensuite, on trace devant son propre cercle un autre cercle jaune qui s’appuie au sien à un point de sa circonférence. Les deux cercles forment ainsi une figure de 8.
Ces deux cercles symbolisent les deux espaces qui se font face dans la situation donnée. On place donc dans l’autre cercle la personne impliquée dans notre situation problématique ou encore une douleur ou une émotion envahissante.
Puis, on imagine une ligne d’énergie bleue qui voyage d’un cercle à l’autre en passant par le lieu où les deux cercles se rejoignent. Cette lumière d’énergie bleue circule dans le sens des aiguilles d’une montre autour du cercle qui est devant le sien.
Elle le pénètre en entrant par le lieu de rencontre et y circule de la gauche vers la droite, traçant à son tour une forme de 8 qui se superpose au 8 jaune.
On peut s’imaginer que le mouvement de circulation de cette énergie bleue est continuel. C’est ce qui entretient entre les deux cercles une relation, une interaction.
Cette première étape de la visualisation peut déjà permettre de défaire l’identification de soi à un problème de santé ou à un conflit relationnel.
Des aides
La personne peut ensuite imaginer que dans son cercle, pour l’aider et la soutenir, il y a derrière elle un bon gros arbre bien enraciné et bien déployé et qu’elle peut s’asseoir et s’appuyer sur le tronc de cette force de la nature.
Cet arbre symbolise cet aspect de soi qui est immunisé contre la tentation de réagir à ce qui se trouve dans l’autre cercle. Pendant qu’on s’appuie à cet arbre, on respire profondément et on se replace au présent, dans « l’ici et maintenant » afin de relativiser ce qui se trouve dans l’autre cercle.
On peut aussi inviter dans son cercle ses parents cosmiques, imaginer un être féminin et un être masculin en plaçant la figure maternelle à gauche et la figure paternelle à droite. Il ne s’agit pas de ses parents biologiques mais bien d’un idéal cosmique de parentalité équilibrée qu’on peut imaginer nous enlaçant pour nous entourer de leur protection et de leur amour inconditionnel. Le cercle devient alors un véritable foyer, rassurant et chaleureux, un lieu où l’on peut se réfugier et se ressaisir en toute sécurité.
La conscience supérieure
L’étape suivante peut consister à imaginer qu’une boule de conscience supérieure, une belle boule de lumière dorée, est suspendue dans le ciel au-dessus du point d’intersection entre les deux cercles. Cette belle boule de conscience supérieure (cet aspect de soi qui sait ce qui est juste, qui est bien au-delà de l’ego, sa conscience divine, son grand Soi, etc.) est en réalité ce qui peut unir dans l’harmonie les deux cercles. Alors on peut imaginer que de cette belle boule de lumière dorée descendent deux rayons de lumière dorée qui investissent le contenu de chacun des cercles et qui unissent aussi les cercles par leurs bases, formant ainsi un triangle de lumière dorée dont la pointe se situe dans la boule de lumière et dont la base est constituée par le rayon qui circule entre les sujets des deux cercles.
Ce lien de lumière peut être associé à l’amour inconditionnel qui est possible entre les deux protagonistes des cercles.
C’est en imaginant ce lien de conscience supérieure qu’on peut se dégager temporairement d’une situation embêtante et prendre le recul nécessaire pour trouver une solution juste et harmonieuse pour les deux cercles. Si, par exemple, on a placé dans le cercle en face de soi une situation qui provoque une anxiété qui nous empêche de dormir, on peut, déjà en se distanciant de la cause anxiogène reprendre le contrôle de sa respiration et se détendre en reléguant à la conscience supérieure le soin de s’occuper de la situation anxiogène et de l’harmoniser. Le sommeil viendra sous peu.
Pour conclure
C’est un outil qui peut être beaucoup plus élaboré et rejoindre la personne plus en profondeur. Claudette Gosselin, une psychothérapeute de la région de l’Estrie, utilise régulièrement cette méthode pour couper des « liens avec le passé » en thérapie avec ses clients. Elle a aussi commencé à enseigner la méthode aux thérapeutes intéressés.
Les deux volumes et le cahier d’exercices de Phyllis Krystal (en anglais) intitulés « Cutting the Ties That Bind » de même que leur traduction en français sont disponibles en bibliothèque seulement. Merci à Claudette Gosselin pour m’avoir fait vivre l’expérience et avoir répondu à mes questions pour cet article. Claudette Gosselin a étudié avec Phyllis Krystal et peut être jointe au : 819-620-6206.
Louise Gauthier -Naturothérapeute
Laurentides, Montréal, Estrie (Québec) Canada
SOURCE : http://www.energie-sante.net/fr/c8/C8L011_couper-les-liens-toxiques.php
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Posté par othoharmonie le 28 juillet 2014
Entretien entre Jean-François Vézina et Jean-Claude Genel
Le célèbre adage de Socrate »Connais-toi toi-même » nous oriente sur une valeur que nous avons régulièrement à côtoyer sur le chemin de la vie : l’honnêteté. J’ai demandé au psychologue Jean-François Vézina son point de vue.
Jean-François, comment perçois-tu l’honnêteté ?
l’honnêteté est la base sur laquelle doit se construire notre quête, de la plus petite réflexion à la plus grande remise en question. L’honnêteté nous invite à rentrer en nous-mêmes pour aller explorer l’univers qui nous habite, apprendre à être bien avec soi, quelles que soient nos imperfections.
Mais devant ce risque « d’être soi », de voir nos imperfections, il est difficile d’être toujours honnête envers soi-même.
Être malhonnête avec soi ne mène nulle part ! Cela nous maintient dans l’illusion de vivre. Il faut au contraire développer une attitude de vigilance qui consiste à nous questionner : « Qu’est-ce que je fais en ce moment pour que ma vie ait un sens, pour qu’elle soit la plus vraie possible ? » L’honnêteté nous permet de développer ce réflexe d’aller voir ce qu’il y a en soi, donc de se faire confiance d’abord et de faire confiance au processus naturel de vie qui cherche à nous trouver.
En effet, la personne qui est honnête avec elle-même est plus ouverte, plus sensible et plus disponible aux phénomènes de synchronicité. Elle sait reconnaître le sens réel d’un événement qui se présente à elle sans être obligée d’en inventer… C’est un peu comme si par lessynchronicités, l’univers cherchait continuellement à faire émerger le vrai en nous.
Une autre des dimensions de l’honnêteté, est de nous inviter à entrer dans le mystère de la vie et de nous dire que nous ne savons pas tout, que nous ne pouvons pas tout connaître. Je crois que se connaître, c’est en partie reconnaître qu’on ne peut pas complètement se connaître (rires !). Sans honnêteté, nous fabriquons des réponses abusives qui nous éloignent des véritables questions.
Dans ce processus du « Connais-toi toi-même », l’honnêteté nous aide-t-elle justement à nous poser les bonnes questions ?
Oui et le travail du thérapeute est aussi d’aider la personne à découvrir quelles sont les vraies questions à se poser dans des situations spécifiques. Il serait facile pour le thérapeute d’imposer une réponse alors que la personne n’est pas prête à la recevoir. Elle pourrait prendre cette réponse comme étant sa réponse, l’éloignant de plus en plus de sa vérité.
Peut-on aussi voir le thérapeute comme un passeur entre le mensonge que l’on se raconte et la vérité que l’on porte ?
Je compare souvent mon travail de thérapeute à celui d’un éditeur : la personne me présente en quelque sorte le manuscrit de sa vie. Je me dois de lui indiquer les incohérences de son récit et de l’accompagner dans les rectifications à opérer. En ce sens, oui le thérapeute est un passeur qui permet à la personne de trouver le véritable sens de sa vie.
Dans son travail, le thérapeute est-il conduit à faire un travail sur lui-même qui implique également l’honnêteté ?
Comment peut-on aider quelqu’un à être honnête dans sa démarche sans l’être soi-même ? Le thérapeute doit accepter de quitter son confort pour aller voir ce qui se passe dans le monde de l’autre. Ce n’est pas toujours évident parce que cela lui demande parfois de changer. Une thérapie est « réussie » quand l’analysant et l’analysé se transforment tous les deux, et cela passe par la « vérité ». En face d’une personne qui souffre, je me dois d’entrer dans le bain avec elle, très honnêtement, sans savoir où cela va nous conduire . Je ne peux pas lui assurer qu’elle va guérir, mais je peux lui garantir que je vais faire ce que je peux pour plonger avec elle dans l’expérience pour l’aider à y voir plus clair.
Peut-on considérer l’honnêteté comme la voie qui mène à la guérison ?
La guérison est un mécanisme complexe qui nous demande d’être le plus vrai possible avec soi et avec les autres. Ce processus n’est jamais complètement terminé. Il y a un paradoxe : on tend à être de plus en plus honnête, mais il faut être honnête pour réaliser qu’on ne peut pas toujours l’être ! (rires)
J’aimerais que l’on revienne à la synchronicité par rapport à l’honnêteté.
La synchronicité arrive souvent en période de grandes transitions, de grandes désorganisations dans nos vies. Elle veut nous ramener au centre de nous-mêmes.
L’honnêteté nous aide à percevoir ce qui nous arrive comme quelque chose d’utile à notre progression. La personne qui fait preuve d’honnêteté enclenche elle-même une adéquation entre ce qui lui arrive et le message que cette expérience transporte. Pour elle, ce qui est à l’extérieur fait écho à ce qui est à l’intérieur. Il faut être honnête pour le reconnaître.
En définitive, à toute personne qui choisit d’emprunter la voie du « Connais-toi toi-même » pour retrouver le sens de sa vie, l’honnêteté est indispensable à la réussite de sa quête. Être vrai avec soi est une valeur sûre, le reste n’est qu’illusion !
Jean-Claude Genel Texte issu du magazine medi@me n°1
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Posté par othoharmonie le 3 mai 2014
« Changer le monde », un café à la fois, fait « tâche d’huile » de par le monde… Le changement est en route !
Pour Julie Gilbert, propriétaire du café montréalais Ô deux sœurs, dans Rosemont, à Montréal, les cafés « suspendus » qu’elle offre depuis quelques mois créent un lien entre ses clients réguliers et ceux qui sont dans le besoin. Depuis mai 2013, ce petit restaurant est devenu le premier établissement Montréalais à prendre part au mouvement des « cafés en attente ».
Un « Café en attente », c’est quoi ?
Le caffè sospeso (en français : « café suspendu, en attente ») est à l’origine une tradition de solidarité, pratiquée dans les bars napolitains.
Elle consiste – pour un Napolitain heureux, quelle qu’en soit la raison – à commander un café et en payer deux, un pour lui et un autre pour un client qui pourrait en avoir besoin plus tard.
Le 10 décembre 2011, la Giornata del Caffè Sospeso (Journée du café suspendu) a été instaurée avec le soutien de plusieurs organisations culturelles et le maire de Naples, Luigi De Magistris. Depuis quelques mois, ce concept pourtant centenaire, connaît un nouvel essor international : partout dans le monde, des communautés locales voient le jour. Bénévoles au sein de la communauté du Québec, nous avons pris l’initiative de créer ce site, avec le désir de promouvoir ce bel élan de solidarité.
Lorsque charité et solidarité se rencontrent
De nouveaux venus ont fait leur apparition en 2013 sur les menus de certains cafés indépendants et petits restaurants du Québec. « Cafés en attente », « sandwichs suspendus » et « bouffe solidaire » sont devenus autant de manières de faire du bien avec peu.
Le tableau noir est tout simple. Au menu : cafés, sandwichs et soupes, tous « en attente ». Loin d’être une nouvelle méthode de torréfaction ou de cuisson, la mise en suspens de produits alimentaires consiste ni plus ni moins qu’à donner au suivant.
« Ce n’est pas compliqué, explique Julie Gilbert, propriétaire du café Ô deux sœurs, situé à deux pas du métro Rosemont. Les gens viennent ici, ils achètent un café, une soupe ou un sandwich pour eux et un pour quelqu’un dans le besoin. » De plus, dit-elle : « Cette version « alimentaire », un peu basée sur le système de « donner au suivant » n’est pas seulement un geste de charité, mais aussi et surtout de solidarité… ».
Ouvert depuis trois ans, ce commerce de quartier a adopté le principe au début de l’été 2013 : il était alors le premier de la métropole. D’abord arrivée au Québec par l’entremise de l’équipe du Tam Tam Café, au cœur du quartier Saint-Roch de Québec, l’idée européenne a rapidement fait des petits de notre côté de l’Atlantique.
Depuis avril dernier — mois au cours duquel ce café indépendant a ajouté à son menu les victuailles solidaires —, une dizaine d’autres se sont joints au mouvement. Alors que la nouvelle année débute, il est maintenant possible de mettre des cafés en suspens aux quatre coins de la province, de Tadoussac à Montréal en passant par Sherbrooke et Beloeil.
« Tout le monde le faisait déjà, soutient la propriétaire du café rosemontois avec un sourire convaincu. Mais personne ne l’assumait vraiment. » C’est à la suite d’un échange estival qu’elle-même a décidé de se lancer officiellement dans l’aventure. Elle a confectionné une ardoise et hop ! le tour était joué. Le bouche-à-oreille a fait le reste du travail.
Le cœur sur la main
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Julie Gilbert a toujours aimé aider les autres. « Depuis quelque temps, il y a un monsieur qui vient au restaurant tous les jours et j’adore m’en occuper, explique-t-elle. Je lui sers souvent une soupe ou un café et dernièrement, on lui a même fourni un manteau. »
Pour la propriétaire, le principe des cafés en attente ne viendra que rendre plus habituelle une aide qu’elle qualifie de nécessaire dans les grandes villes comme Montréal. « Il y a tellement de gens qui en ont besoin, affirme-t-elle. Si ça peut les réconforter ne serait-ce qu’un petit peu, on pourra dire mission accomplie. »
Les employés du commerce, situé au coin du boulevard Rosemont et de la rue St-Hubert, ont déjà pensé à des alternatives en cas d’une trop grande affluence due aux cafés en attente. « Si on voit qu’on reçoit trop de gens, on fera des boîtes à lunch pour emporter et les gens dans le besoin pourront aller les manger dans le parc, juste en face du restaurant. »
Le commerce de Julie Gilbert est le deuxième au Québec à se joindre au mouvement. Le Tam Tam café, situé à Québec, a été le premier à le faire, en avril dernier. Sur Facebook, les gens étaient visiblement heureux de l’arrivée des cafés en attente à Montréal. « C’est vraiment génial! J’y adhère et j’espère que plusieurs le feront », a écrit, notamment Lynda Kara.
lire la suite ici … http://www.energie-sante.net/bn/?p=717
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Posté par othoharmonie le 26 mars 2014
Un produit hygiénique
La laine est une matière noble par excellence. Elle a la propriété de s’adapter à la température du corps et vous confère un confort naturel grâce à une excellente ventilation. La laine au naturel possède des qualités de régulation thermostatique unique. Elle vous protège du froid, et isole le corps des effets de l’électricité statique. Les fibres de laines possèdent d’excellentes propriétés hygiéniques. Car elles absorbent l’humidité pour la libéré dans l’atmosphère, évitant ainsi la sensation d’étouffement. Les produits en laine ne se froissent pas et conserve toujours leur forme, ce phénomène est dû à l’excellente élasticité des fibres de la laine. La laine » respire « , ce qui lui permet de ne pas prendre de mauvaises odeurs et d’évacuer les microbes. Enfin, la laine comporte de lanoline, qui la protège contre la poussière et facilité son nettoyage
Qualité du sommeil
L’influence du sommeil sur notre santé et notre état quotidien est immense. Nous domrons 1/3 de notre vie. Le sommeil doit contribuer à la régénération de notre organisme. Pour se reposer pleinement notre sommeil doit être ininterrompu surtout dans la phase d’un sommeil profond. La température du corps endormi doit être constante et régulée à travers la peau malgré la couverture et les draps.
Maintien de la température constante du corps
Les couvertures traditionnelles isolent et ne laissent pas passer l’air. Quand la température du corps augmente, l’homme se surchauffe et transpire. Ensuite il se découvre pour se refroidir. Toute la nuit il « se bat » inconsciemment pour la température constante. L’homme dort différemment sous la couette en laine car en hiver elle chauffe et en été elle protège contre réchauffement de l’organisme. La couette en laine automatiquement force l’arrivée d’air adapté aux conditions extérieurs. Parmi des fibres naturelles le fil de laine de mouton possède la plus grande capacité d’absorption d’humidité (43%). La couette en laine est ainsi capable d’absorber dans une première phase la transpiration humaine et pendant une seconde phase d’aération elle le perd facilement cette eau absorbée, restant très longtemps fraîche.
Neutralisation des ions positifs nocifs pour la santé
Les matières synthétiques dont le monde actuel est rempli sont étranges à la nature humaine. Chaque jour nous sommes obligés de les côtoyer. L’une de plus nocives activités de ces matériaux est la propriété de charger l’environnement en ions positifs. Une ionisation positive dérange fortement, et peu déstabiliser l’organisme humain, cela se manifeste par la fatigue, les douleurs des muscles, le manque de la résistance, la trop grande excitabilité… La laine d’une manière efficace élimine une ionisation positive en la remplaçant par une ionisation négative, naturelle pour l’organisme humain. L’utilisation permanente des habits en laine serait idéale, mais si cela ne vous est pas possible, nous vous recommandons un sommeil réparateur avec une couette en laine. Elle contribuera à la purification et régénération de votre organisme.
source : http://www.dosagile.com
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Posté par othoharmonie le 31 décembre 2013
Publié dans Bonjour d'amitiés, En 2012-2013 et après 2016, Entre amis, Penserie | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 22 décembre 2013
un texte de Jean-Michel Blanquer
L’un des grands plaisirs de la lecture réside dans cette impression de proximité, si souvent éprouvée, vis-à-vis d’un auteur qui, selon l’expression erronée, « n’est plus de ce monde ». Nous sommes touchés, à des milliers d’années d’intervalle, par l’épopée de Gilgamesh refusant la mort. Nos dilemmes sont ceux des personnages de Sophocle. Nous parcourons les pensées de Pascal comme un chemin familier qu’auraient emprunté nos ancêtres, avant lui et après lui.
Ces hommes nous donnent le plaisir de sentir une universalité concrète. Il y a ainsi des auteurs avec qui l’on aimerait parler, une fois le livre fermé, avec la certitude que le temps s’immobiliserait comme cela se produit quand on discute entre amis. J’ai ressenti cela dès ma première lecture de Charles Baudouin qui est mort à peu près quand je suis né.
Nous ne refoulons pas seulement nos instincts. Nous refoulons aussi notre âme. L’affirmation vient d’un psychanalyste, fortement influencé par Jung, et elle me paraît lumineuse. Elle éclaire l’oeuvre de Baudouin dans toutes ses dimensions, scientifique et littéraire. L’homme se présente en effet avant tout comme un pédagogue, ou même comme un psychagogue. Il a commencé par enseigner la philosophie au lycée de Neufchâteau, non loin de Nancy où il était né. Il a alors une vingtaine d’années.
Lorsque la guerre est déclarée en 1914, il est réformé parce qu’il est tuberculeux. L’Est de la France est envahi. Il entend parler d’un institut à Genève qui porte le nom du philosophe qu’il vénère, Jean-Jacques Rousseau. On y expérimente les méthodes pédagogiques les plus modernes. Il s’y rend. Il y reçoit le meilleur accueil. Il restera en Suisse toute sa vie. Il commence une analyse et, tout en continuant à enseigner, va devenir rapidement un psychanalyste reconnu.
Baudouin est révolté par son époque. La boucherie de 1914 en fait un pacifiste convaincu, comme en témoigne sa correspondance nourrie avec Romain Rolland, avec qui il partage notamment une même passion pour Tolstoï. La modernité qui se profile l’effraie par bien des traits. Il déteste la vitesse, la superficialité, la violence. Il se défie de nouveaux phénomènes comme l’automobile, le tourisme ou le sport qui commencent déjà à envahir le monde. Il veut rester proche de la nature, à l’image de Rousseau. Une bonne partie de ses lectures se fait en marchant sur les sentiers*! Pourtant, Baudouin n’est pas un conservateur. Il tient à distance égale la morale ancienne et l’amoralité nouvelle dont il constate les ravages symétriques sur les patients qu’il reçoit. Il veut échapper aux catégories qu’elles soient professionnelles ou idéologiques. Il se veut libre.
Ses livres s’en ressentent. Une de ses premières qualités est la clarté dans un domaine, la psychanalyse, où le vocabulaire dresse trop souvent une barrière entre profanes et initiés. Cela se manifeste dans celui de ses livres qu’il faut lire en premier « L’Œuvre de Jung »1. Tout est limpide dans cette présentation d’une pensée complexe. Baudouin expose parfaitement l’importance des « archétypes », ces mythes communs à l’humanité, qui se révèlent dans nos rêves comme dans nos récits et qui nous indiquent quelque chose de la psychée humaine.
Cette idée, au noeud de la discorde entre Freud et Jung, fut d’emblée très combattue car certains voyaient se profiler en conséquence des notions peu engageantes comme celle d’inconscient collectif. Pourtant, la psychanalyse s’est sans doute séparée d’une moitié d’elle-même en rejetant cette conception. Baudouin tente courageusement de lui restituer cette plénitude. Comme il le répètera dans « Psychanalyse du symbole religieux », le mythe nous indique des réalités plus hautes que le concept. C’est le symbole qui est donné d’abord à l’Homme, comme l’ont compris toutes les grandes religions. L’idée rationnelle ne vient qu’après. « En un mot, nous dit Baudouin, ici comme devant tous les objets essentiels, la poésie est plus fidèle que la prose. »
Ce nécessaire réenchantement du monde se poursuit dans tous ses autres ouvrages de psychanalyse avec peut-être une idée directrice : I’unité de l’Homme. Cela signifie : prendre en considération en chaque homme les multiples dimensions de son être, mais aussi reconnaître chez tous les hommes le travail de ces mêmes aspirations.
Il y a en tout homme, plus ou moins refoulée, la force de l’instinct, notamment sexuel. Ici, I’héritage de Freud doit être accepté avec toutes ses conséquences fondatrices. Il y a en tout homme, plus ou moins manifestée, une volonté de puissance. Baudouin, très marqué par Nietzsche, ne peut qu’intégrer aussi cet apport des théories d’Alfred Adler. Il y a enfin en tout homme une quête du « Soi », cette personne intérieure recherchée depuis le « connais-toi toi-même » des Grecs jusqu’au « centre invisible où tout se rattache » de Mounier qui est à la fois être intime et être idéal, parcelle d’une humanité commune ancrée en chaque individu.
Sur ce point, Baudouin prolonge Jung en cherchant dans les grands mythes et symboles de l’histoire humaine des explications de la psychée humaine. On le voit ainsi travailler avec persévérance sur la figure orientale ancestrale de l’équilibre.
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Posté par othoharmonie le 16 octobre 2013
L’erreur est douloureuse quand nous faisons de notre histoire familiale notre seule histoire personnelle, sans comprendre les traumatismes qu’elle nous a légués, les enseignements sains qu’elle nous a transmis, et les compétences qu’elle a omis de nous transmettre.
Conséquence: la quiétude interne, qui mériterait d’être construite et étanchéifiée, est ébranlée et le système émotionnel fortement perturbé.
Les heures de travail sont des heures de notre vie. Nous venons de comprendre que nous vivons professionnellement à partir de notre personnalité. Cette personnalité possède des compétences à entretenir et des incompétences à identifier pour les combler.
La souffrance au travail est un symptôme, une plainte. Décrire ce que l’on vit, en identifier les conséquences, trouver des mots pour mieux préciser et classifier tout ce que l’on observe est fondamental pour s’alerter soi-même et alerter les autres, mais peut laisser aussi se développer une passivité observationnelle toxique. Il est certes utile d’avoir des mots pour se plaindre, mais construisons-nous une démarche résolutive en se limitant à cet exercice? Non.
Exemple de définition observationnelle médicale de la souffrance au travail: «La souffrance au travail peut aller du simple malaise (remise en question de son orientation professionnelle) à la mise en danger de sa santé morale (harcèlement). Face à cela, le médecin du travail joue le rôle de médiateur entre l’entreprise et le salarié. Il peut, à la demande du salarié, et si la situation le justifie, établir un arrêt de travail.»
C’est comme dire: «J’ai le pneu avant droit qui s’use sur ma voiture. Il faut que je le change», et oublier d’en décrire la cause: «C’est un défaut de parallélisme». A mes yeux donc, il est préférable de décrire les causes, d’énoncer les faits par des éléments décrivant l’origine des troubles.
Un autre exemple: «Un chef me harcèle, il me dévalorise, je n’en dors plus, je me sens mal à mon poste» devient: «A six reprises sur ces derniers quinze jours, le chef du second service comptable m’a dit «Un escargot déshydraté avancerait plus vite que vous, je n’ai pas choisi de vous avoir comme secrétaire, vous êtes mollasse, quand allez-vous bouger? Faut-il que je vous dé-mollasse?» car il exige que je lui fournisse les tableaux d’amortissement que ma collègue, actuellement en congé maternité, n’avait pas eu le temps d’élaborer. Or, je suis toujours confrontée à la charge de travail de mon service, et je consacre l’intégralité de mon temps restant à la découverte des dossiers de ma collègue. Ces tableaux lui sont nécessaires pour la clôture de l’exercice comptable dans deux mois. J’estime pouvoir les produire dans un délai de deux à trois semaines.
Ce chef, ne connaissant pas mon sérieux et ma capacité de travail, est probablement inquiet, il pense qu’en les exigeant il les obtiendra plus vite.
Il se sentira alors en sécurité.»Mais aujourd’hui la communication qu’il mène avec moi comporte de sa part des exigences irréalistes et improductives. A notre prochain entretien, je pourrai lui témoigner deux choses: d’une part ma compréhension de sa nécessité et de sa crainte, et d’autre part mon besoin de sérénité et de confiance pour être performante.
Accueillir et nommer avec bienveillance sa vulnérabilité me permettront de créer du lien entre nous ce qui favorisera de sa part l’écoute de mes besoins. Nous pourrons alors développer une stratégie commune.»
Commentaire: Évidemment, c’est très idyllique comme propos, mais pas irréaliste ni irréalisable. Professionnellement, on serait en droit d’attendre cela du manager plus que de l’employée. Idéalement, des deux. Certains chefs d’entreprise ont réalisé ce challenge. Ils ont ouvert leur conscience et ont compris que l’homme n’est pas une ressource mais une finalité. Des formations de Communication Non-Violente ont été suivies par le personnel et la hiérarchie, aboutissant à un épanouissement de tous.
Identifier l’agression…La souffrance au travail est une réalité, mais toute souffrance provient d’une agression. Je raisonnerai dès lors à partir de cette nouvelle vision: l’agression au travail. Selon ma classification personnelle, l’agression au travail provient de trois domaines qui peuvent se cumuler et interagir entre eux par la voie de leurs conséquences: domaine physique, domaine physiologique, domaine psychologique.
J’entends par causes physiques d’agression: les charges matérielles manipulées (le poids), la sédentarité, l’ergonomie défaillante, la cadence de travail excessive, les objets contondants, l’exposition au froid, à la chaleur, à l’humidité, à la sécheresse, au vent, aux radiations, aux rayonnements lumineux, au bruit, aux allergènes, aux bactéries, aux virus, aux parasites, aux champignons, aux toxiques. Tous ces éléments agissent sur notre corps, directement, d’autant plus qu’il est inadapté à ces fonctions professionnelles (constitution insuffisante ou corps mal entretenu). J’entends par causes physiologiques d’agression: les amplitudes horaires (longues), les décalages horaires (travail constant de nuit), les variations d’horaires (les trois huit), les rythmes alimentaires bouleversés (sources d’hypoglycémies avec leur cortège secondaire de troubles d’humeur ou de concentration et de troubles physiques), les erreurs alimentaires (excès et insuffisances), les carences en micronutriments, le manque de sommeil, l’excès de repos, le manque de luminosité, le tabac, l’alcool, les autres drogues ou dépendances.
J’entends par causes psychologiques d’agression: le manque de sens ou d’utilité du travail, les harcèlements moraux ou sexuels, le manque de valorisation, le manque de reconnaissance verbale ou pécuniaire, le manque de communication de qualité, le manque de capacité à gérer sa motivation ou ses émotions ou son estime personnelle, le manque de capacité à communiquer de manière constructive.
Pour en traiter les conséquences. Ces diverses causes s’entremêlent. Un manque de sommeil peut créer une compensation alimentaire sucrée qui provoque dans les deux heures une hypoglycémie réactionnelle qui ensuite diminue la tolérance au stress et laisse émerger une agressivité, orientant vers de mauvais choix alimentaires et perturbant le sommeil. La boucle est bouclée. Et la qualité de ce que j’offre au travail est faussée. Donc, on peut soi-même se mettre en mauvaise condition physique, physiologique ou psychologique pour travailler.
Nos collègues ou supérieurs peuvent faire les mêmes erreurs. L’effet miroir fonctionne alors en amplificateur. Quel que soit le point de départ, moi ou le/les autres, les réactions maladroites se succèdent. Un cumul d’incompétences crée rarement la vertu, plus facilement la médiocrité. Petit mode d’emploi de la vie. Pour Christophe Dejours «Les stratégies collectives de défense contribuent de façon décisive à la cohésion du collectif de travail, car travailler n’est pas seulement avoir une activité c’est aussi vivre: vivre le rapport à la contrainte, vivre ensemble, affronter la résistance au réel, construire ensemble le sens du travail, de la situation et de la souffrance».
L’origine de tout cela est encore antérieure: c’est le manque d’éducation à vivre. Le système d’éducation nationale est défaillant actuellement. Les familles le sont parfois aussi. Les médias le sont pleinement. A mes yeux, l’éducation d’un être humain (d’un enfant par des adultes, d’un adulte par d’autres adultes ou par lui-même) se définit ainsi : Eduquer un être humain, c’est l’aider à:
– devenir autonome dans la gestion de son estime personnelle,
– percevoir sa zone de quiétude émotionnelle intérieure inébranlable (la sérénité spirituelle),
– comprendre comment communiquer avec les autres de manière constructive et bienveillante (à partir de cette zone de quiétude),
– connaître ses besoins nutritionnels et corporels et en même temps, l’aider à:
– acquérir les capacités d’exploiter son environnement à son profit sans que cela ne se fasse au détriment d’autrui ou de la Nature.
L’éducation nationale enseigne et n’éduque pas. Elle enseigne des matières souvent stériles et provenant d’une perception archaïque de l’existence humaine à travers notre historique, sans laisser de place à un futur. Le passé est le chemin de l’expérience. Nos erreurs nous indiquent d’agir autrement. Cet autrement, à nous de l’imaginer. C’est pour cela que notre origine est notre futur.
Ainsi, voici une liste de compétences contenues dans ce que je considère être «le petit mode d’emploi de la vie»:
Compétences physiques: assouplissements, activité cardio-pulmonaire d’endurance, activité pour développer la tonicité des muscles posturaux et des muscles moteurs, hygiène corporelle, ergonomie fonctionnelle. Compétences physiologiques: suppression des irritants (agents infectieux, allergisants, rayonnements (son, lumière, radiation), équilibre alimentaire (le bon aliment, en bonne quantité, au bon moment et de bonne humeur), entretien du système immunitaire, régularité des horaires de vie, bonne gestion du repos et du sommeil, utilisation de la lumino-thérapie, comblement des carences micro nutritionnelles (Fer, Vitamine D, Iode, Magnésium, Acides Gras Essentiels, Acides Aminés Essentiels, …).
Compétences psychologiques: connaissance et pratique de la gestion de la motivation, des émotions et de l’estime personnelle, compréhension de l’origine des blocages dans l’enfance et connaissance des étapes pour s’en libérer, connaissance et pratique de la communication autour des sentiments et des besoins (avec les autres, en couple et avec soi -même), connaissance et pratique des cinq langages de l’amour, perception de la sérénité par la libération du conditionnement négatif des acteurs médiatiques.
Il est évidemment nécessaire d’associer à ces compétences personnelles des compétences techniques professionnelles spécifiques. Ainsi, on pourra exercer son métier en pleine conscience, en tant qu’individu fonctionnel en rapport avec des individus eux aussi fonctionnels, en communion autour d’une activité productive, créatrice pour le genre humain.
Je suis ce que je pense
En résumé, le travail étant en fait inclus dans notre vie, nous y projetons nos maladresses qui deviennent des agressions envers nous-mêmes ou envers les autres, et nous recevons des agressions par les maladresses des autres. Nous souffrons de nos incompétences à vivre sur le plan personnel (physiquement, physiologiquement, psychiquement) et nous y subissons les incompétences des autres à vivre leur personnalité, et aussi l’effet miroir de nos incompétences que nous exerçons sur eux.
On ne vit pas ce que l’on fait, on vit la manière dont on le fait. On le fait en fonction de ce que l’on est. Je suis ce que je pense! Penser, dans sa forme de raisonnement philosophique et spirituel, me fait «être». «Etre» a des besoins. Il est fondamental de déterminer ce que l’on veut «avoir» (en restant vigilant au contentement de ce que l’on a déjà et en quoi le nouveau participera à notre bonheur).
Puis de «faire» pour l’obtenir. Donc, en partant de la qualité d’ «être», on peut définir quoi «avoir» et quoi «faire» pour l’obtenir, dans le contentement et la qualité de vie.
Le malheur provient du ressenti de la frustration de possession. On regarde le vide de ce que l’on n’a pas et on fait pour «avoir» en oubliant l’utilité à l’«être». Alors c’est «avoir» qui détermine ce que nous sommes et qui nous fait paraître (=«pas être»). Nos pensées (philosophiques ou spirituelles), devenues inutiles par l’éloignement de nos préoccupations et par l’oubli, nous déshabitent. Ainsi, nous appauvrissons l’esprit et nous souffrons. La souffrance de vie se retrouve alors au travail. Pour aider quelqu’un en souffrance, nul besoin d’écouter l’intégralité de son discours. Son besoin d’expression est chronophage et une vidange totale est improductive. Il peut en ressentir un soulagement réel et cela s’impose souvent en première étape d’écoute. Mais il reste dans son manque d’habileté à se comprendre et à se soulager. En décryptant le récit, on repère les outils dont la personne a besoin pour avancer. Et à la première opportunité, après avoir validé son autorisation, on lui enseigne. J’appelle cela: partir du factuel pour monter au niveau éducatif conceptuel, puis redescendre analyser le factuel grâce au nouvel outil.
Le factuel est mal vécu par manque de connaissance conceptuelle. De suite, le soulagement se produit. Pour finir, j’observe que le pire dans la souffrance, c’est de l’évaluer en terme d’injustice. En psychologie, l’injustice se définit comme un mécanisme mental d’interprétation empêchant le processus de résolution personnel. La justesse des habiletés remplace favorablement l’évaluation prenant forme d’injustice.
Apportons-nous plus de douceur, ne serait-ce que pour montrer l’exemple. Identifions nos manques et mettons en œuvre les compétences personnelles et relationnelles en pleine conscience de nos responsabilités. C’est un chemin de bonheur.
Laurent Delachery – Médecin – La REVUE de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com
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Posté par othoharmonie le 15 octobre 2013
« Le deuil d’un bébé pendant la grossesse ou après, ce n’est pas le deuil du passé, comme le deuil d’un adulte. C’est le deuil de l’avenir, le deuil du futur et des projets qui viennent avec. Ce n’est pas un deuil qui se règle en très peu de temps, puisqu’on va peut-être revivre une grossesse, accompagnée d’inquiétudes et de stress. Et c’est justement à ce moment-là qu’il faudra renégocier la perte qu’on a vécue. »
«Chaque année des milliers de parents vivent le décès d’un bébé en cours de grossesse ou dans les jours, semaines ou mois suivant sa naissance. Aujourd’hui j’appuie ces parents en affichant comme photo de profil le ruban du deuil périnatal, faites comme moi!»
Cet événement vient de toucher le couple de ma fille et son compagnon ! la grossesse avait atteint 7 mois ! le petit Nolan sera… en pensées !
«Un bébé qui meurt entourant sa naissance, c’est toute une vie qui ne sera jamais vécue. Appuyons les parents vivant un deuil périnatal en affichant comme photo de profil le ruban de la cause aujourd’hui»
«La peine ne se mesure pas au nombre de semaines ou au vécu d’un bébé, mais à la grandeur du rêve que portaient en eux ses parents. Aujourd’hui j’appuie la cause du deuil périnatal en affichant le ruban officiel comme photo de profil. Faîtes comme moi!»
«Le deuil périnatal est ce que vivent les parents dont le bébé décède en cours de grossesse ou dans l’année suivant sa naissance. Un deuil méconnu, tabou et très difficile à vivre. Aujourd’hui est la journée internationale de sensibilisation au deuil périnatal, faites comme moi et affichez le ruban de la cause comme photo de profil!»
OSEZ en parler et faites en sorte que le deuil périnatal ne soit plus un sujet tabou pour notre société !
Chaque petit geste compte!
France – Fondatrice
Nos Petits Anges au Paradis
Groupe de Soutien au Deuil Périnatal
www.nospetitsangesauparadis.com
Nos Petits Anges au Paradis – Deuil Périnatal
www.nospetitsangesauparadis.com
Groupe de soutien pour les parents qui font face au deuil de leur petit bébé mort in utero, décédé à la naissance ou encore suite à de graves malformations menant au décès.
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Posté par othoharmonie le 21 septembre 2013
Bonjour les Amis !
j’ai reçu dernièrement un message personnel de Marc Vallée des Editions ARIANE…. Vous connaissez peut-être ?
sinon, alors je vous invite vous aussi à me rejoindre : vous aimeriez vous abonner à l’infolettre Le Fil d’Ariane, vous pouvez vous y abonner sur cette page.
Je précise que c’est GRATUIT ! au cas où vous hésiteriez !
Je cite : « J’ai accepté de participer à cet événement d’envergure en compagnie de 32 autres ambassadeurs du développement personnel. Nous serons 33 spécialistes du milieu, dont Lee Carroll, qui se réuniront pour vous raconter un point tournant de notre vie. Le «Point de bascule» le plus important de notre vie. Vous découvrirez quand et pourquoi notre vie a soudainement chaviré et comment nous sommes arrivés à utiliser cet événement pour devenir qui nous sommes devenus par la suite. »
Si vous souhaitez être informés vous aussi du déroulement de l’événement et de l’horaire des activités, vous devez remplir le formulaire d’inscription sur la page du télésommet. Faites-le en cliquant ici.
C’est une occasion en or pour mettre en pratique des enseignements diversifiés ou encore pour découvrir des gens ou des enseignements que vous ne connaissez pas encore. Certaines choses sauront grandement vous surprendre. D’autres vous toucheront profondément. J’en suis certaine ; tout comme moi-même ils m’ont touchée en racontant leurs expériences.
Plus nous serons nombreux et plus l’entre-aide sera effective !
Premier congrès international
Passé – présent – futur
Un événement parrainé par Drunvalo Melchizedek, qui interviendra par vidéo-conférence, en direct de Sedona
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Le 6 octobre 2013 Khosmic Univers-City présente un programme exceptionnel, qui réunit pour vous des spécialistes du monde entier, afin de partager leurs visions susceptibles de contribuer à l’évolution de la conscience planétaire… Klaus Dona, Humbatz Men, Alan Butler, Patrick Drouot et Franck Echardour nous parleront des vraies origines de l’humanité, de la transition actuelle, et de ce que nous aurons à bâtir demain |
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Posté par othoharmonie le 7 mai 2013
Mon blog a 3 ans
Et depuis cela il a bien grandi !
D’ailleurs aujourd’hui un FORUM est à votre disposition
Venez m’y rejoindre sur http://devantsoi.forumgratuit.org/
Amateurs excentriques et hystériques de fin du monde, gens soumis à une quelconque religion contrôlante et archaïque ou sectes aveugles et abrutissantes, prenez un bon verre d’eau, respirez profondément et calmez-vous.
Tout être qui sort de sa prison mentale est un prophète.
Méfiez-vous des porteurs de faux cadeaux et de leurs promesses non tenues. Il y a beaucoup de douleur, mais il est encore temps de s’opposer à la tromperie et de croire.
Réveillons-nous, ce monde est mort, et nous sommes vivants !
Il y a du bon dans l’univers.
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Posté par othoharmonie le 1 janvier 2013
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Posté par othoharmonie le 25 décembre 2012
LIBÉRATION DU CORPS DE SOUFFRANCE
par Pauline Veilleux
« Il n’y a pas de paradis tant qu’un seul homme est en enfer!
Parce qu’il n’y a qu’un seul Homme. »
Sri Aurobindo ou L’aventure de la conscience
Expérience avec la grande intention de mettre fin à la souffrance et à la douleur.
Du point d’amour dans le cœur de Dieu, que l’amour guide nos gestes et nos interventions afin que nous touchions le grand corps universel des hommes, des humains et de tous les êtres vivants sur cette planète.
Nous demandons la présence de l’Esprit Saint, des guides de lumière, des médecins du ciel, des archanges et des anges gardiens.
Afin qu’avec la permission du Grand Créateur nous puissions agir en conscience sur le grand corps universel, pour le libérer, le délivrer et le soulager du poids des anathèmes posés sur lui depuis si longtemps: « Tu enfanteras dans la douleur. – Tu gagneras ta vie à la sueur de ton front. – Tu es poussière et tu retourneras à la poussière… » et tous les autres anathèmes qui ont emprisonnés l’être humain dans la douleur.
Nous demandons que la Divine Énergie curative d’Amour intervienne dès maintenant à travers le temps, l’espace, à distance et de façon illimitée, afin de libérer le flux inné vivant qui circule pour tous depuis le début de la création.
Que par les couleurs, les sons, les gestes intentionnés et faits dans la présence consciente et confiante, nous participions à la délivrance des humains en divinisant tout ce qui a été divisé.
Nous décrétons que soient retirés et dissouts tous les anathèmes et les égrégores de douleur et de souffrance afin que l’âme et l’amour recréent l’être humain. Que celui-ci retrouve sa dignité, qu’il redevienne la créature humaine créée à l’origine à Sa manière et à Sa ressemblance, afin de redécouvrir l’être dans toute sa beauté, sa grandeur et la splendeur de son corps de gloire.
Que par le contact de l’Homme à sa Divine Essence, il reconnaisse le monde infini de la création continue et son affiliation à la Loi de l’UN. Qu’il se réalise et participe à la co-création en communion avec tous les mondes.
Ceci est le décret que nous avons fait en dessinant ce grand corps que nous avons appelé modestement le corps universel.
Ce que nous souhaitons est que cela circule, afin que ceux qui se sentent appelés ou interpellés soient touchés par ce travail appliqué, fervent et inspiré…
Ont contribué à l’expérience : Louis par la musique, Johanne par le mouvement, Pierre par la méditation et Pauline par le dessin, les formes et les couleurs.
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