12 pierre blanches
Posté par othoharmonie le 30 avril 2016
Publié dans Expériences, L'Esprit Guérisseur, Nature insolite, Philosophie de la VIE | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 30 avril 2016
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Posté par othoharmonie le 1 août 2015
Le plan terrestre représente le plan de la contemplation. Contempler toutes ses œuvres et ses merveilles est la preuve existentielle de la grande réalité qu’il nous est possible de découvrir à chaque moment de notre existence. Toutes ces merveilles permettent à l’homme de vivre sur ce plan, d’être le participant, de devenir l’unité avec ce plan et de coopérer avec toute la force qui se propulse, dans le temps et l’espace, et qui se cristallise dans notre réalité.
Quelle est cette force qui est propulsée et qui déploie toutes couleurs perceptibles à l’homme ? Quelle est donc cette force qui se perpétue dans notre existence ? Cette force provient de l’invisible, mais cette force a besoin du visible pour se cristalliser dans la synthèse de la matière et de la lumière.
La nature se déploie, s’ouvre et existe sur ce plan pour permettre à l’homme de contempler l’œuvre inachevée, mais l’œuvre de qui ? L’œuvre de l’homme bien sûr. Pourquoi l’homme a-t-il ce grand désir de déployer toutes les beautés qui existent sur ce plan ? Pour reconnaître l’identité en lui. Cette identité se présente sous forme invisible, mais l’homme participe, dans son existence, à cette grande réalité dans le visible. Il est le participant à cette grande nature.
L’homme contemple, marche, court sur ce plan et expérimente avec une force qui se propulse dans le temps et l’espace pour identifier le Dieu en lui. Ce Dieu qui habite en l’homme a l’opportunité de vivre ici et de participer avec les forces de la nature. Ces forces jouent un rôle important pour l’homme car étant le participant, il peut ressentir cette force provenant de la nature. Pour se cristalliser, cette force a besoin d’une synthèse, d’une infinité, d’une multiplicité et d’un potentiel infini pour permettre à la nature de se déployer, de s’ouvrir et de créer toutes les beautés qui existent maintenant. Il y a une cellule qui a été propulsée dans le potentiel d’une force divine et cette cellule microscopique comporte une intelligence suprême, infinie et potentielle pour permettre à toutes créations d’être potentielles et perpétuelles.
Cette fameuse cellule, appelée Amoeba, est une cellule microscopique qui a la force de se perpétuer, de croître pour créer d’autres cellules et ainsi se propulser dans notre temps et dans notre espace. Elle permet aux arbres d’êtres colorés, d’obtenir une coloration différente. Elle permet à un brin de foin d’être unique. Cette cellule permet à chacun d’entre-nous d’être unique et cette même cellule permet à chacun d’être perpétuel, immortel et potentiel. Donc, elle croît, progresse, se multiplie et permet ainsi à l’homme de ressentir une fréquence provenant de la nature. C’est pourquoi l’homme expérimente la Terre, émotionnellement parlant, il expérimente certaines émotions face à cette force de la Nature.
Cette nature, unique en son genre sur la planète Terre, nous permet de voir, d’entendre, de sentir, de goûter, de marcher, d’expérimenter, d’aimer… La fréquence vibratoire en provenance de la nature est indescriptible en mots, mais peut-être réalisée pour notre compréhension car à l’image du Divin en toute chose, cette force perpétuelle et potentielle qui vibre à une fréquence ultra-rapide. Cette fréquence vibratoire permet à cette cellule, Amoeba, de se perpétuer, de se multiplier et de concevoir d’autres cellules qui permettent les réalisations qui existent sur ce plan. Cette force devient au même moment, une réalité perpétuelle mais potentielle de notre existence ici-bas. Pour agir ainsi, cette fréquence a besoin d’être perpétuée, de se cristalliser dans notre existence pour se déployer abondamment car dans l’abondance, le divin devient potentiel et ce potentiel abondant permet à chaque cellule de propulser cette force infinie. Cette même cellule a permis la croissance de notre corps physique, a permis l’unité et la totalité de notre corps physique et la connaissance de ses limites pour ensuite engendrer la connaissance du potentiel de l’illimitation qui existe dans la Nature.
Donc, vous qui cherchez des preuves d’une existence invisible, d’une force incroyable, vous qui cherchez même à connaître Dieu, vous avez de grandes preuves sous les yeux de cette force qui se perpétue et se manifeste dans votre réalité, à tout moment. C’est cette force, cette fréquence vibratoire qui se déploie qui permet les changements de saisons, qui permet la vie de devenir potentielle, qui permet aux animaux de se reproduire, aux fleurs de devenir beauté, aux arbres de grandir avec l’espoir du potentiel du lendemain.
Les forces de la Nature permettent à l’homme d’expérimenter, de se connaître, d’aimer, de rêver, d’espérer. Cet espoir permet de découvrir le potentiel de toute existence conçue par l’homme pour l’homme. L’espoir est le mot qui représente l’infini, voire même la liberté car dans la liberté, l’homme est abondamment capable de s‘exprimer, de vivre l’infinité du moment présent. Quand l’homme aura ouvert l’autre partie de son cerveau, il aura les outils nécessaires pour capter dans sa totalité cette fréquence infinie, potentielle et juste car cette fréquence possède l’intelligence suprême. Mais l’intelligence suprême ne veut point de l’intelligence connue, limitée, logique, sans espoir, elle veut bien dire l’intelligence potentielle, celle qui représente l’espoir de connaître l’autre moment. Cette même force a l’opportunité et est abondamment capable de propulser les forces nécessaires pour créer l’autre moment appelé « futur ».
Amoeba, cette cellule-conscience qui a créé toute vie sur la Terre a été créée par la pensée réfléchie, pour ensuite se propulser afin de créer une cellule microscopique sans conception de grandeur car l’infinité ne peut concevoir toute grandeur, mais toute grandeur devient l’infinité. Il revient à l’homme de voir l’infinité, sa propre grandeur en terme invisible, en terme d’intelligence suprême, en terme de divinité et au même moment de voir l’infinité d’une réalité qu’il peut concevoir, voir, palper, toucher afin d’obtenir en lui le potentiel de l’espoir. L’espoir engendre une liberté ultime dans cette force perpétuelle, immortelle, sans cesse grandissante, sans cesse intelligente, sans cesse créatrice de nouvelles réalités.
Les changements de la nature, les couleurs, les beautés, les êtres vivants, les écosystèmes, TOUT provient d’une même force qui devient multiplicité car une seule force n’aurait point le potentiel de devenir. Sans l’action, rien ne pourrait être. Si l’on regarde les branches des arbres, cette force, dans toute sa manifestation, permet au même arbre de perdre ses feuilles, de s’endormir et de revenir avec l’espoir potentiel de l’autre moment, celui que l’on appelle saison. Et, cette fréquence électromagnétique chimiquement naturelle traverse notre corps physique et entre dans ses tissus, se déploie et se multiplie dans nos cellules, nos atomes, nos hormones et nous permet de vibrer à une fréquence pure, potentielle, perpétuelle, immortelle, ce qui fait de nous, humains, un être immortel, abondant qui vit dans cette vastitude, notre réalité.
L’infinité de ce grand invisible, de l’univers, du cosmos est omniprésente dans notre visible. Sans le cosmos, l’univers, sans l’infinité, sans l’invisible, le visible ne pourrait être contemplé de nous. Même si l’homme peut choisir de participer avec la nature ou de détruire cette nature parce qu’il pense, selon l’ignorance établie en lui, il connaît l’ignorance et s’en sert… ceci est un choix, le choix de l’homme lui-même, il a l’opportunité de vivre avec le choix qu’il a engendré, puisque ce choix a été son désir ultime. Personne n’est à blâmer ; tout a été fait par choix et tout se fait par choix.
L’homme se servira de cette puissance électromagnétique pour créer et recréer sa réalité. Mais la nature ne s’inquiète pas, car connaît le déploiement de cette force ultime, divine, suprême, intelligente et elle connaît le résultat de cette course inébranlable, de cette course qui se perpétue et qui va continuer à se perpétuer dans les prochains jours, les prochains mois, les prochaines années.
Francesca du forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/
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Posté par othoharmonie le 27 mai 2015
S’il est difficile de s’accorder universellement sur la définition du beau, il est des paysages, des êtres vivants ou des ouvrages humains qui subjuguent tout le monde ou presque. Incroyables, insolites ou tout simplement drôles
La nature fait toujours bien les choses !
Mais il faut savoir les découvrir
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Posté par othoharmonie le 27 mai 2015
Les « élémentaux » de la terre sont les « esprits » gardiens de la nature, en mouvement continuel, en expansion ou en rétraction, pouvant atteindre des tailles semblables à celles des grands mammifères. Il se fondent dans la nature, c’est pourquoi il est souvent difficile de les voir. Ils constituent la part spirituelle des pierres, des forêts, des fleuves, des rivières et des océans, du vent, du feu. Donc des quatre éléments, la terre, l’eau, l’air, le feu qu’ils régissent… Bonne rencontre avec le petit peuple
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Posté par othoharmonie le 19 mars 2015
Les Eléments suivant les traditions, sont au nombre de quatre, de cinq ou de sept.
A aucun moment ces traditions ne se contredisent, elles mettent simplement l’accent sur une spécificité d’un même principe, ou insistent sur une partie d’un Tout plus vaste. Au nombre de Sept, au sein du Cercle Infranchissable dans lequel notre processus évolutif s’accomplit, c’est à dire le système solaire, les Eléments sont rarement utilisable sen totalité, car les Trois derniers, touchent des Réalités et des Plans de Conscience qui nous sont encore difficilement accessibles ; mentalement, il nous est possible de les concevoir, mais concrètement ils ne nous sont pas utiles pour le moment, ils nous sont même relativement étrangers. Ils ne concernent pas encore l’Homme et son développement conscientiel actuel, mais des Entités Spirituelles dont nous avons encore aujourd’hui peu de choses. C’est la raison pour laquelle les Enseignements liés aux Quatre Eléments ou aux Cinq de la Tradition Taoïste nous sont plus familiers.
En dépassant les limites du Cercle Infranchissable Solaire et en accédant à des Plans de Conscience Cosmiques encore plus élevés, d’autres Eléments qui nous sont inconnus les animent et les vitalisent. Sur un plan pratique, cette information n’a pas le moindre intérêt pour nous maintenant, mais sur le plan des concepts, elle nous permet d’envisager la vie comme un processus sans fin au sien de laquelle des Courants d’Energie sou des Champs de Force multiples et variés se manifestent, se croisent, s’interpénètrent, se nourrissent et s’unissent dans la plus parfaite harmonie dans le seul objectif de permettre à toutes formes de « Conscience » de s’affiner, de croître et de grandir.
D’après les textes anciens retrouvés, ceux évoquant la théorie des Quatre Eléments d’une manière structurée, viennent de la Kabbale, dont les enseignements semblent provenir de l’Egypte ancienne et de la Chaldée, et du philosophe-médecin Grec Empédocle qui vivait au IVè siècle avant Jésus-Christ. A ma connaissance, l’on n’a pas identifié d’auteurs spécifiques développant de manière approfondie cette tradition avant Empédocle. Il n’est pourtant pas le premier auteur à s’en référer, d’autres l’on fait avant lui, la Kabbale que je viens d’évoquer en est l’exemple patient, mais nous n’en connaissons pas l’origine exacte. Il en va de même pour l’Enseignement Tibétain de la Kalachakra (qui évoque la genèse du cosmos et ses cycles de vie) et du Bouddhisme Esotérique en général, des Shâstra indiens (l’ensemble des textes sanskrits traitant de philosophie et de cosmologie), du Chaminisme Indien d’Amérique du nord et du centre et du Celtisme Druidique, qui évoquent, parfois avec insistance, cet enseignement.
Il a aussi été abordé en Occident dans la Gnose Chrétienne, principalement depuis la Renaissance, dans la Théosophie d’Héléna Blavatsky à la fin du siècle dernier et dans tout le vaste courant de l’ésotérisme moderne dont Madame Blavatsky peut être considérée, à juste titre, comme la source inspiratrice. La Communauté de Findhorn située dans le nord de l’Ecosse, créée en 1962 par Peter et Eileen Caddy et Dorothy Mclean, l’un des bastions de la pensée « Nouvel Age », a effectué un travail de collaboration conscient avec les « entités élémentales » qui oeuvrent au service des Quatre éléments. Ce travail avait une valeur symbolique profonde, car de sa réussite dépendait la valeur symbolique profonde, car de sa réussite dépendait la possibilité pour l’Homme d’œuvrer, sur une grande échelle, avec les Forces de la Nature dépendant de ces Quatre Eléments. La coopération entre le règne humains et celui des Elémentaux était pratiquée par les anciens, principalement dans les sociétés animistes. Ce type de rapport avait été en partie rompu aux alentours du VIème siècle au moment où les prêtres Druides initiés avaient décidé, face à la montée du Christianisme, d e ne plus officier au sien de leur propre religion, pour intégrer la nouvelle et ainsi lui faire don de leurs connaissances ancestrales. Le grand initiateur de ce mouvement fut le Druide Saint Colomban qui se convertit au Christianisme afin d ‘enseigner aux moines de certaines abbayes situées principalement en pays Franc, la sagesse immémoriale dont il était le détenteur. Il fit bâtir, avent son départ d’Ecosse pour le continent, une croix celtique qui s’élève toujours à son emplacement initial. Devant la croix, il prédit à ses disciples druides que pendant plusieurs siècles la connaissance des Druides, en rapport avec les Forces des Quatre Eléments de la Nature, serait oubliée, puis resurgirait à cet endroit même ; C’est sur l’emplacement de ce lieu sacré que se créa la Communauté de Findhorn en 1961
Je ne vais pas traiter de la nature spécifique du travail effectué à Findhorn, ni de la nature et du rôle des « entités élémentales ». Je vais simplement donner, à titre d’information, le nom des « élémentaux » les plus significatifs et surtout les plus familiers qi peuplent les mythes et les légendes de la littérature symbolique en relation avec les Quatre Eléments dont ils sont les ouvriers spécialisés. Ils oeuvrent au sein d’un Elément particulier, à transmettre, à véhiculer, l’énergie de cet Elément, là où elle est nécessaire. Pour ceux qui souhaiteraient connaître précisément la nature de la collaboration vécu par les membres de la communauté de Findhorn avec les esprits de la nature, et connaître l’univers des « élémentaux », je leur conseille de lire le merveilleux ouvrage « Les Jardins de Findhorn« paru aux Editions Nature et progrès ».
Dans le tableau ci-dessous, je donne les correspondances des Eléments avec les êtres élémentaires ou esprits de la nature les plus familiers à la culture occidentale.
TERRE |
EAU |
FEU |
AIR |
Gnomes |
Ondines |
Salamandres |
Sylphes |
Nous leur connaissons aussi d’autres noms, car à l’intérieur d’une même famille, nous pouvons dénombrer plusieurs branches suivant les lieux, les latitudes où ils se trouvent et le rôle spécifique qu’ils ont à jouer. Par exemple :
- pour l’Elément Terre, nous avons les nains, les lutins, les faunes, les trolls, les gobelins, certains types de fées.
- pour l’Elément Eau, les nymphes et les sirènes.
- pour l’Elément Feu, les agnichaitans, les esprits animant le feu interne de la planète comme dans les volcans.
- pour l’Elément Air, les elfes, d’autres types de fées, les petits devas de la nature.
Je pourrais aussi citer certains « esprits » d’un niveau d’évolution plus élevé que ceux évoqués ci-dessus, comme les Devas de la nature qui ont la charge d’un paysage, d’une forêt, d’une rivière, d’une catégorie de plantes, etc… Ce sont les Devas mineurs. Et aussi des grands Devas qui s’occupent de créer et maintenir en cohésion les formes archétypales sur lesquelles le monde manifesté et intangible repose.
Les Etres Elémentaires et les Devas mineurs sont les formes de vie énergétique des Quatre Eléments. Leurs corps ne sont pas constitués de matière dense comme les nôtres, mais de matière éthérique. Ils sont dépourvus de conscience individualisée, au sens ou nous l’entendons, sauf pour les Grands Devas qui sont des Entités Spirituelles, et ont pour mission de véhiculer le Prana, ou Energie de Vie, dans les Quatre mondes dont les Quatre Eléments ont la charge. Ces Entités peuplent les contes et légendes des traditions du monde, car les cultures archaïques les considéraient avec, soit du respect et de la vénération, soit da la crainte ; les textes sacrés ésotériques leur allouent une ancienneté plus grande que celle de l’Homme.
Les Quatre Eléments n’influent pars seulement sur les comportements humains, mais aussi sur toutes formes d’existences, à savoir : le règne animal, végétal, minéral, élémental et d’une certaine mesure, spirituel. Leur champ d’action et de manifestation, si je puis me permettre ces termes impropres, est illimité.
LES CINQ ET SEPT ELEMENTS TAOISTES : consultez ma PAGE ICI….
EXTRAIT DU LIVRE : L’interprétation des Arcanes Mineurs par Alain BRETHES aux Editions Oriane.
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Posté par othoharmonie le 30 décembre 2014
Wheel of the Year – Living the Magical Life* de Pauline et Dan Campanelli est un de ces livres qu’on ouvre toute l’année, au fil des saisons et des Sabbats. Informatif et pratique, il invite le lecteur à porter un regard ré-enchanté sur la nature changeante et à l’intégrer concrètement à sa vie magique. En effet, l’acte magique se doit d’être vécu non pas comme seule théorie, mais pensé de manière créative par le sorcier tout au long de la Roue de l’Année. C’est dans les actes les plus anodins, dans l’artisanat simple à la portée magique puissante, que s’éveille la créativité du rituel à venir. En cela, Pauline et Dan Campanelli nous incitent à mieux observer ce que nous offre la Nature et à la laisser nous imprégner de son énergie.
Voici quelques extraits pour appliquer ces gestes pratiques, de Litha jusqu’à Yule, et apprendre à vivre concrètement, au quotidien, notre vie magique.
JUIN – L’Echelle de Sorcière
L’un des charmes les plus puissants à base de plumes est l’Echelle de Sorcière. Il s’agit d’une tresse réalisée à partir de trois longueurs de fils colorés, avec des plumes de différentes couleurs nouées dans le cordage à intervalles réguliers. L’Echelle de Sorcière peut avoir deux objectifs : elle est soit une amulette de chance et de protection en général, soit réalisée dans un but spécifique, comme l’acquisition d’un savoir mystique, la protection de la santé ou la prospérité. Une Echelle de Sorcière classique est composée de neuf plumes, chacune d’une couleur différente, et d’une corde tricolore. Le blanc, le rouge et le noir sont trois couleurs appropriées, car elles représentent les trois aspects de la Déesse. Dans le cas d’un but spécifique, trois plumes et un fil d’une couleur adéquate seront intégrés. Pour réaliser une Echelle de Sorcière, collectez les matériaux nécessaires, de préférence lors d’une nuit de Pleine Lune. Disposez un autel et tracez le cercle. Prenez environ un mètre (trois fois la longueur de votre coude jusqu’au bout de votre petit doigt) de chaque couleur de fil, et nouez ensemble les trois fils à une extrémité. Commencez alors à les tresser ensemble, en chantant : Fil rouge, fil blanc, fil noir, Dispensez votre magie ce soir
Répétez ce chant encore et encore, jusqu’à ce que tout le fil soit tressé (tresser est un acte magique en soi, car il implique trois brins, qui représentent les trois aspects de la Déesse réunis en un seul symbole). Quand le tressage est terminé, nouez l’extrémité. Fixez alors la première plume à 30 cm environ du début de la tresse avec un noeud, en disant (pour une plume verte par exemple) : Avec cette plume et ce fil noué, Ce charme apportera la prospérité Quand les neuf plumes ont été disposées le long de la corde, aussi régulièrement espacées que possible, joignez les deux extrémités pour former un cercle. Passez-le alors dans la flamme de la bougie et la fumée de l’encens, puis aspergez-le avec du sel et de l’eau en prononçant des mots comme :
Au nom du Dieu et de la Déesse, Par l’Air, la Terre, le Feu et l’Eau, Je consacre cette tresse De neuf plumes et de trois fils
Ainsi soit-il Accrochez alors l’Echelle de Sorcière en hauteur dans votre maison, là où les regards profanes ne pourront pas l’atteindre, mais où vous-même pourrez la voir tous les jours.
JUILLET – La collecte de matériaux
Les plumes ont un large éventail d’utilisation en magie, de l’Echelle de Sorcière à la médecine des Indiens d’Amérique, et les plumes de mouette ont une portée magique toute particulière, car cet oiseau est chez lui dans trois des quatre éléments : l’eau, la terre et l’air. Les plumes de mouette se ramassent facilement au bord de mer. Il y a une grande quantité de noix et de graines échouées sur les plages qui peuvent être collectées. Dans le monde entier, du grand chef Indien légendaire au pêcheur Ecossais, tout le monde considère que cela leur confère un grand pouvoir magique. La plus grosse de ces noix est la Coco de Mer, qui s’échoue notamment sur les cotes indiennes. Sa terre d’origine, les Seychelles, ne fut découverte qu’au XVIIème siècle. Elle ne pousse nulle part ailleurs, et fut utilisée en médecine et pour son pouvoir aphrodisiaque dû à sa forme érotique. Les Coco de Mer ne sont pas les noix les plus promptes à s’échouer sur les cotes nord-américaines, mais on peut en trouver beaucoup d’autres variétés, qui portent toutes en elles le mystère de contrées lointaines, autant que leurs traditions magiques. Parmi elles, on trouve le Coeur de la Mer, l’oeil-de-boeuf ou le Bonduc.
Le Coeur de la Mer (Entada Gigas) est une large graine en forme de coeur (largeur 5 cm environ) d’une couleur marron foncé, d’aspect lisse et brillant. En Norvège, les femmes ouvrières boivent un breuvage à base de cette graine pour atténuer leur peine. En Angleterre, les Coeurs de la Mer étaient donnés comme amulette aux jeunes marins qui partaient en mer. L’oeil-de-boeuf (Mucuna sp.) est une jolie graine marron de 2,5 cm environ de diamètre. Elle est ronde et aplatie, avec une ligne noire soulignée de beige qui parcourt les trois quarts de sa circonférence. En Irlande de l’Ouest, elle était placée la nuit sous l’oreiller pour protéger le dormeur contre les esprits malveillants.
Le Bonduc (Caesalpinia Bonduc) est une noix grise parfaitement ronde et lisse de 1,5 cm environ. Dans les Îles Hybrides elles sont portées comme des amulettes protectrices et connues pour prévenir d’un danger celui qui les porte. Une balade à la plage est le moment idéal pour ritualiser, mais aussi pour collecter des matériaux magiques. Il sera nécessaire de se renseigner sur les marées pour s’assurer que la période est bien propice au type de rituel magique que vous souhaitez entreprendre. Une marée montante et une lune croissante sont idéales pour les rituels de prospérité, d’accroissement ou de fertilité. Une marée montante et une lune décroissante seront une bonne période pour se débarrasser d’une maladie ou autres gênes. Mais surtout, les rivages sont des endroits parfaits pour nous permettre d’exprimer l’amour que nous portons aux Dieux. Dans cet endroit magique entre terre et eau, à l’aube ou au crépuscule, tracez le cercle dans le sable, faites un feu, aspergez-vous d’Eau-Source-de-Vie, et entreprenez des libations de vin.
AOÛT – Le tressage des oignons
Arrivés à la moitié du mois d’Août, les fortes chaleurs humides sont, pour la plupart, derrière nous. Les récoltes ont été célébrées avec la fête de Lammas. Nous commençons à ressentir l’urgence de les rentrer avant l’arrivée de l’hiver. Les oignons, qui furent plantés en mai et arrachés fin Juillet, ont été baignés de soleil chaque jour depuis les deux dernières semaines. Lors de la Pleine Lune, quand la lune est en Lion (la Lune d’Orge), on ritualise en tressant les oignons. Le tressage des oignons est une manière ancienne de les stocker ; c’est facile, amusant… et magique. Commencez par plier un mètre de ficelle épaisse en deux et faites un noeud à quelques centimètres du pli, de manière à former une boucle. Disposez la ficelle sur une table, la boucle à l’opposé, et les deux brins de ficelle face à vous. Puis placez l’oignon à l’envers au niveau du noeud, de façon à ce que la tige de l’oignon et la ficelle forment trois brins prêts à être tressés. Commencez à tresser la tige et la ficelle, puis ajoutez un second oignon et joignez les deux tiges pour les tresser avec la ficelle. Répétez l’opération jusqu’à ce qu’il ne reste plus que quelques centimètres de ficelle, puis nouez l’extrémité solidement. Relevez la tresse délicatement par la boucle, et stockez-la pour l’hiver dans le cellier, ou bien où vous voulez dans la maison, comme amulette de protection. Elle est idéale dans une chambre de malade, car elle absorbe les ondes négatives, au lieu de les repousser. Pour faire une tresse d’oignon dans un but particulièrement protecteur, procédez de la même façon, mais à l’intérieur d’un cercle que vous aurez projeté. En tressant l’oignon avec la ficelle, chantez quelque chose comme :
Charme de ficelle et d’oignons, Renvoie d’où elles proviennent les mauvaises intentions, Charme de cordage et d’oignons, Protège ma maison. Après un an, les oignons perdent leur pouvoir protecteur car ils ne peuvent être conservés vraiment plus longtemps, donc la tresse d’oignons doit être remplacée chaque année. Les oignons ont un fort pouvoir magique, dû à leur symbolisme complexe mais puissant. La forme globulaire de l’oignon, recouverte d’une peau cuivrée, symbolise le Soleil, dont la correspondance avec le signe du Lion marque le moment où les récoltes sont prêtes. La peau produit une teinture allant de l’or cuivré à l’abricot. Cette teinture peut être utilisée pour écrire des talismans solaires, ou colorer des cordages «fait maison» si la couleur est appropriée à leur utilisation. C’est aussi une teinture idéale pour colorer des oeufs pour l’équinoxe de printemps. L’oignon coupé en deux dessine le symbolisme de la Lune. Coupé à l’horizontale, il reproduit le disque de la Pleine Lune, coupé à la verticale il montre les phases de la Lune croissante ou décroissante. Certains oignons, coupés à l’horizontale, révèlent une forme «yin-yang» rappelant la dualité du symbolisme Soleil/Lune.
OCTOBRE – Masques
Les masques […] ont longtemps été associés à la Mort. Les masques mortuaires en or découverts par Schielmann à Mycenae sur les visages des corps de héros ou de nobles étaient complétés de cils et de barbes. Sans doute devaient-ils préserver la beauté des défunts à travers le temps. C’était certainement le but du plus célèbre des masques mortuaires, le portrait en or et pierres précieuses de Toutankhamon. Beaucoup des tribus d’Indiens d’Amérique enterraient leurs défunts avec des masques de bois, alors qu’au sud et au centre de l’Afrique, ils étaient faits de mosaïques de jade ou de turquoise. Les masques de cérémonie utilisés par les Indiens du Nord-Ouest du Pacifique, par ailleurs, ne représentent pas les âmes des défunts mais, comme le masque Kachina des Hopi du Sud-Ouest, ils représentent les esprits de la Nature. Pendant leurs rituels, ils les invoquent lors de danses cérémonielles, ou en récréant leurs mythes dans le but de les apaiser car, selon un chaman esquimau : «toutes les créatures que nous tuons pour les manger, ou celles que nous chassons et détruisons pour nous faire des vêtements de leurs peaux, ont une âme tout comme nous». Si l’on en croit les témoignages des sorcières recueillis pendant la Persécution, le mage guidait souvent les danses magiques en étant déguisé en chien, taureau, bouc ou chat noir en Allemagne, France et Angleterre. La preuve la plus récente de l’existence de ces rituels déguisés est le Dorset Ooser, un masque en bois peint représentant un visage humain et des cornes de taureau. Il est bien dommage que ce trésor païen ait été volé pendant la première moitié du siècle dernier. Que les masques représentent les Dieux eux-mêmes, les esprits de la Nature, des animaux ou encore des défunts, ils ont été fermement assimilés aux traditions de Samhain et de cette période de l’année pendant laquelle le monde des esprits est si proche, quand nous sommes remplis de l’émerveillement et du mystère d’autres mondes. Pour cette raison, et parce que pendant la Persécution les masques furent portés pour protéger l’identité des acteurs du paganisme, vous aurez peut-être envie d’inclure la création de masques à votre Sabbat de Samhain. Les masques peuvent être conçus pour représenter le Dieu et la Déesse, et portés quand ils sont invoqués par le prêtre ou la prêtresse. Ou bien ils peuvent être créés de manière à représenter le triple aspect de la Déesse – La Vierge, la Mère et la Vieille Femme – pour que la Déesse se manifeste à travers la prêtresse. Ou de la même manière, le prêtre voudra peut-être porter un masque représentant le Dieu dans son symbole de mort ou de renaissance, pour qu’il choisisse de s’exprimer à travers lui. Les masques peuvent aussi représenter les esprits de la nature. Ils peuvent être fabriqués dans une multitude de matériaux, et décorés avec plus de matériaux encore. Ils peuvent n’être même pas portés, mais juste suspendus dans différents endroits du cercle de Samhain, où ils peuvent être dévoilés puis cachés, tour à tour, selon le vacillement des flammes des bougies. Un masque peut circuler dans le cercle et être porté par chacun, tour à tour. C’est incroyable de constater à quel point les fluides psychiques circulent mieux sous le port du masque. Mais portés ou pas, les masques nous rappellent que nous sommes entourés par le monde des esprits et des Dieux, et que cette nuit-là plus qu’une autre, ils sont très proches de nous.
NOVEMBRE – Bougies
La magie des bougies la plus efficace consiste à associer la bonne huile avec la bonne couleur. Il y a deux façons de déterminer quelle couleur utiliser pour quel objectif. L’une est le principe des couleurs primaires, qui revient à dire que toutes les couleurs peuvent être obtenues à partir du jaune, du rouge, du bleu et des noir et blanc, neutres. Le blanc représente la lumière pure, et le noir l’absence de lumière. Les trois couleurs primaires correspondent à la division en trois plans de l’existence : le rouge pour le physique, le jaune pour le mental et le bleu pour le spirituel. Certaines traditions de magie cérémonielle perçoivent le Dieu comme étant vivant, conscient et bienheureux. Ces trois attributs correspondent aux aspects physique, mental et spirituel de l’homme, et aux trois couleurs primaires. Les couleurs secondaires, le vert, l’orange et le violet, sont obtenues en mélangeant l’une ou l’autre des couleurs primaires, tandis que les couleurs tertiaires vert pomme, rouge
orangé ou violet bleu, etc. sont obtenues en mélangeant une couleur primaire avec une couleur secondaire. Les couleurs primaires, secondaires et tertiaires réunies composent la roue des couleurs. La roue des couleurs est généralement représentée avec le jaune vers le haut puis, dans le sens des aiguilles d’une montre : vert pomme, vert, bleuvert, bleu, violet-bleu, violet, violet-rouge, rouge, rouge orangé, orange, jaune orangé et, de retour en haut, jaune à nouveau. Si la roue des couleurs est inversée, avec le jaune vers le bas et son opposé, le violet, en haut, alors on constate une connexion évidente avec le cercle magique et ses quatre points cardinaux, ainsi qu’avec la roue de l’année et ses solstices et équinoxes.
En divisant le cercle magique par une ligne partant de l’est (qui symbolise la naissance) à l’ouest (qui symbolise la mort), la partie haute du cercle devient le domaine de la vie spirituelle, qui correspond à la fois à la partie obscure de la Roue de l’Année (qui s’étend de l’équinoxe de printemps à l’équinoxe d’automne), et à la partie sombre/froide de la roue des couleurs (allant du bleu-vert au rouge-orangé). La partie basse correspond à la vie physique avec toutes ses étapes de la naissance à la mort, à la partie chaude/lumineuse de la Roue de l’Année et aux couleurs claires/chaudes de la roue des couleurs.
Le second classement de couleurs est parallèle à la Doctrine des Signatures, qui établit qu’une plante porte un signe distinctif indiquant à quel organe elle correspond, ou quelle maladie elle guérit. En utilisant ce système, les couleurs des bougies sont choisies en fonction de ce à quoi elles ressemblent. Le rouge évoque la chair et le sang, elle est donc utilisée pour le plan physique : la force de vie, l’énergie vitale ou le sexe. Le vert est la couleur de l’argent et des choses qui poussent, les bougies vertes sont donc utilisées pour des rituels d’accroissement et de santé, etc. Le rose, obtenu à partir du rouge et du blanc (lumière pure), représente une forme d’amour plus spirituelle. Alors que le rouge représente l’amour physique, sexuel, les rouges profonds comme la couleur carmin ou marron sont obtenus à partir de rouge et de noir (absence de lumière spirituelle), et sont utilisées pour représenter la colère ou le conflit, généralement de manière négative. Ce sont les couleurs de Mars, le Dieu de la guerre. Le violet, combinaison du rouge «physique» et du bleu «spirituel», est l’une des couleurs les plus spirituelles quand elle est combinée au blanc. Elle correspond à la fois au point Nord du cercle magique, et à la partie la plus sombre de la Roue de l’Année – de Samhain à Yule. Dans sa teinte la plus vibrante et la plus profonde, c’est la couleur appropriée pour les rites sexuels. Par sa nature, le violet à l’état pur est si profond qu’il ne peut que difficilement être atteint par le noir. Il est souvent utile de combiner le système de la roue des couleurs et celui des correspondances de couleurs (les couleurs utilisées pour ce à quoi elles ressemblent) pour que l’un des deux conforte l’autre.
DECEMBRE – La Bûche de Yule
Pour les Païens de la plupart des traditions, le Soleil représente le Dieu masculin, et le solstice d’hiver est considéré comme le moment de sa mort suivie de sa renaissance. C’est aussi la mort de l’ancienne année solaire et la naissance de la nouvelle, ou encore la naissance de l’Enfant Divin, le Dieu Soleil de la nouvelle année. Pour les Egyptiens il s’agissait d’Horus, l’enfant divin d’Isis et Osiris. Pour les Grecs et les Romains il était Apollon, fils de Zeus et frère jumeau d’Artemis, la Déesse de la Lune. Pour les Nordiques et les Anglo-Saxons c’était Balder. Pour les Phéniciens, Baal. Pour les Celtes, Bel. Ainsi pour les Païens du monde entier, le solstice d’hiver, ou Yule, est un festival solaire, donc célébré avec le feu. La Bûche de Yule est une tradition ancienne et la faire brûler symbolise la promesse de feu du Soleil naissant. La Bûche de Yule est brûlée avec une partie non consumée de la bûche de l’année précédente, et une partie sera conservée pour l’année suivante, symbolisant ainsi la continuité. La partie non brûlée est conservée toute l’année comme amulette de protection.
La Bûche de Yule est sélectionnée tôt dans l’année, et gardée de côté. Généralement, il s’agit d’une bûche de chêne. Tôt dans la saison, alors que vous commencez à décorer la maison avec des branches de pin et des rameaux de houx, vous pourrez choisir d’orner aussi la bûche de Yule avec des symboles traditionnels de verdure. Les épines vert clair du pin représentent la naissance de l’année sur le point de commencer. Les épines foncées de l’if symbolisent la mort de l’année qui se termine. Du lierre représente la Déesse en tant qu’élément féminin, tout comme les branches de bouleau effeuillées, dont l’apparence hivernale rappelle que le printemps reviendra. Les rameaux de houx, avec leurs baies rouge écarlate, symbolisent le Holly King (Roi Houx) de l’année qui s’éteint, tandis que la bûche de chêne représente le Oak King (Roi Chêne) de l’année nouvelle. Tous ces feuillages et branches peuvent être noués ensemble dans une jolie gerbe et surmontés d’un gros
noeud de ruban pour décorer la Bûche de Yule. Le morceau non brûlé restant de l’année précédente, s’il est assez gros, peut être décoré de la même manière.
(* «Roue de l’année – Vivre la vie magique») Avec l’aimable autorisation de reproduction et de traduction des Editions
Llewellyn – http://www.llewellyn.com/
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Posté par othoharmonie le 3 avril 2014
Bonjour à tous,
Nous avons mis en ligne le nouveau dialogue avec mon Ange n°29 disponible aussi en audio et en pdf :
» L’origine multidimentionnelle de l’ego «
et
» Le chemin transdimensionnel de l’Âme «
« … nous savons qu’il existe en ce moment même, différentes lignées d’Êtres stellaires sur terre, dont certains sont incarnés sous forme humaine. C’est pourquoi, via moult expériences, nous avons fini par admettre que l’Âme qui s’incarne à travers un individu, exprime certains caractères propres à ces différentes lignées. Nous savons donc que la polarité dominante de l’Âme qui caractérise les lignées prédatrices, soumises ou rédemptrices, se reflète ainsi dans certains caractères prééminents de l’ego, que celui-ci a compilés durant toute la durée de son karma… »
Vous trouverez de nouvelles rubriques sur le site en cliquant sur les onglets de navigation à droite :
- Messages de Dame nature et des dimensions invisibles avec de surprenantes photos d’Êtres de la nature, des dimensions invisibles et autres… Il y a notamment des images en palindrome et de magnifiques paysages du pays Cathare.
- Vidéos à voir contenant des conférences vidéos intéressantes.
SOURCE : http://bienvenussurlanouvelleterre.jimdo.com/dialogues-2014/le-27-03-2014/
En audio sur You tube : https://www.youtube.com/watch?v=zzLurF4QG-k
Bonne lecture.
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Posté par othoharmonie le 27 mars 2014
On trouve le symbole du soleil dans toutes les cultures à travers l’histoire avec beaucoup d’explication selon les traditions et les coutumes. La plupart des peuples considère le soleil comme une puissance cosmique, il n’est pas surprenant que nous voyons le soleil sur d’innombrables objets et d’écrits. L’ancienne culture chinoise a reconnu le soleil comme le Grand Homme Principe – le nec plus ultra Yang. Ces personnes symboliquement élogieuses également personnifiez le soleil comme un œil cosmique sur sa domination au cours de la journée. En Alchimie, le soleil est sol et il est un symbole ésotérique de l’esprit ou de l’intellect. L’or est considéré comme le matériau du soleil dans les pratiques symboliques à l’extérieur de l’alchimie.
Bronze
Or
Diamant
Ruby
Topaze
Le signe planétaire du soleil (un cercle avec un point au centre) est également un symbole alchimique d’origine d’achèvement signifiant une Grande Œuvre. En outre, ce symbole du soleil représente le Soi dans son rapport à l’ensemble cosmique. C’est également le cas en astrologie où le soleil est le symbole du Soi qui s’exprime à l’extérieur – qui brille ouvertement à nos amis, famille, collègues, etc la position du soleil au moment de notre naissance donne un éclairage spécial pour nos caractéristiques. C’est comme si le soleil brille sur nous-mêmes symboliquement et nous rend plus visible pour le monde entier.
Vie
Puissance
Force
Énergie
Forcez
Clarté
Dans le christianisme, le soleil est la maison de l’Archange Michael (Gabriel vit à l’intérieur de la lune), et est également un symbole du Christ, ou des attributs comme le Christ. Dans l’Egypte ancienne le soleil est associé à l’Horus, Ra et Osiris. Horus représente le soleil levant, Osiris le soleil couchant, et Ra représente le zénith du soleil. Encore une fois, nous voyons le symbolisme solaire en association avec les yeux ou la vision que le soleil est l’œil de Zeus dans la mythologie grecque. De même, dans la mythologie hindoue, le soleil est l’œil de Varuna, et est également considéré comme le « régénérateur divin.” Le soleil est en résonance avec l’énergie masculine dans la plupart des cultures. Toutefois, la perspective Celtique met la puissance féminine au sein des rayons du soleil. De même, l’Afrique antique, le Japon, l’Allemagne, et certaines tribus amérindiennes occupent tout le soleil comme une énergie féminine. Les animaux peuvent également être considérés comme des symboles du soleil. Par exemple, l’aigle est un symbole du soleil levant dans sa gloire et le pouvoir sur leurs villes. Le tigre est le soleil dans son aspect de réglage.
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Posté par othoharmonie le 20 mars 2014
Sommes-nous prêts, chacun de nous à accepter le Silence ? Un Silence total, intégral.
Sommes nous prêts réellement, à voir les choses telles qu’elles sont, sans les transformer, les interpréter ni les masquer derrière tout un cortège de faux semblants et de faux fuyants ?
Une fois au moins dans notre existence, allons-nous accepter d’aborder de façon pleinement disponible, sans calcul d’aucune sorte, ce que l’instant et les circonstances présentes nous demandent et nous suggèrent. Ou bien, une fois encore, nous empresserons-nous d’utiliser toute une série de ruses, de stratagèmes, de dérobades puériles et de justifications faciles que notre Moi fragile personnalité de surface, use à profusion, afin de conserver l’illusoire prestige, allié à cette pseudo-certitude, d’être quelqu’un de bien tangible et de bien continu.
Allons-nous, si soudainement s’impose ce Silence tenter d’éprouver une ultime sensation, une quelconque émotion, pour que notre Moi, ce résultat complexe de courants, de forces et d’énergies, puisse durer, demeurer en tant que repère au sein de l’Espace et du Temps. Il ne s’agit pas d’un Silence provoqué, ni d’une absence de bruits et de sons. C’est un Silence tout autre, celui de la Conscience, dont le seul fait d’être, manifeste instantanément l’Amour, l’Intelligence et l’Action.
Un Silence total, qui règne au cœur de chaque chose comme au cœur de notre psychisme et dont la vague bienfaisante nous instruit sans cesse de ce que sont la Vie et la Mort.
Cependant, il n’est pas la conséquence d’une quelconque manœuvre mentale, ni d’un désir d’éprouver ou d’une soif de durer. Il s’exprime au travers de nous, noyant dans son flot toutes nos certitudes, toutes nos connaissances figées et nos relatives croyances.
Dans la fulgurance, il prend place au tréfonds de notre être, nous faisant vivre ce qu’est l’Autre, ce que sont les êtres et les choses, nous faisant vivre ce qu’est le Cosmos tout entier. Silence de la Conscience, des pensées et des mots. Sans forme ni limite, il baigne en ce centre où n’existent nulle tension, nul désir de résultat, nul observateur. Centre infiniment lointain et proche à la fois, où rien ne vient troubler cet éternel ressenti. Approcher et vivre profondément en soi ce Silence par delà les multiples remous de la matière et de l’énergie, c’est intégrer en un seul mouvement l’existence et la mort…
Silence qui génère une action libératrice, dont le merveilleux pouvoir de renouvellement stimule en l’Homme, une nécessité d’union, de convergence et d’Harmonie sans restriction. Cette Action est pure vibration, pure intention, et engendre pour celui qui la vit, une mutation essentielle et fondamentale de sa conscience, qui le rend immédiatement maître et créateur de son devenir.
Les événements ne se trouvent plus être le résultat d’un quelconque déterminisme, ou issus d’un hasard hypothétique, mais plutôt provenir d’un centre commun prenant naissance par delà la relativité des Espaces et des Temps.
Ainsi se découvre dans un seul et unique mouvement, l’origine première, la cause et son effet. Mouvement sur lequel le Temps, l’Espace, la pensée et la mémoire étendent leurs emprises afin de le transformer et de le fragmenter. L’instant nous offre des circonstances toujours neuves ; en son sein se situe le domaine de l’Action véritable, qui n’est point la conséquence d’une stimulation relevant de la sphère de notre conscience. Ses possibilités sont illimitées et lorsqu’elles sont parfaitement utilisées par l’Homme, révolutionnent les événements, les situations dans lesquelles il est impliqué, voire son existence tout entière. Entrer en contact avec cette Action qui est Amour et Silence nous demande un complet dépouillement à l’égard de toutes les dépendances psychologiques qui emprisonnent notre psychisme dans la durée.
La perception de son mouvement exclut toute manœuvre mentale, toute intention d’éprouver. Dans la momentanéité de l’instant, lorsque tout conflit en l’Homme s’est aboli, elle surgit, imprévue et régénérescente. Pure Action, Pure Intelligence, Pur Amour.
Son champ d’action est cosmique et les propriétés qui en découlent ne peuvent pas être retranscrites par l’intermédiaire de notre intellect, dont la marge d’investigation se limite à ses propres connaissances — issues essentiellement du passé — qui ne possèdent aucun caractère d’originalité et de créativité. Sa réalisation exige de briser une à une les chaines de la multitude des conditionnements qui composent et déterminent notre fardeau héréditaire émanant de la Famille, de la Société et de l’Histoire. Mais aussi de discerner avec une précision extrême le pourquoi et le comment d’une influence ainsi que les causes diverses qui président à son irruption. Cette Action est Energie et ne peut être assimilée à celle qu’il nous est donné d’appréhender dans notre Univers, celle-ci n’étant qu’une forme dégradée du mouvement initial. Il s’agit, d’une puissance infiniment plus subtile, plus limpide, dont le mouvement constant ne peut en aucune façon être altéré par l’Espace, le Temps et la Pensée. Elle est au cœur de chaque chose mouvante, miroitante dans sa fixité.
EXTRAIT de L’Engagement Spirituel – Conférences données en France, Suisse et Belgique de Gérard Méchoulam aux Edition Etre Libre Bruxelles 1974
http://www.revue3emillenaire.com/doc/livres/Gerard-Mechoulam-L-engagement-Spirituel-1974.pdf
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2013
Telle une énigme nous invitant à penser autrement, l’expérience du Chat de Schrödinger, imaginée par le physicien Erwin Schrödinger dont on fêtait le 126e anniversaire dernièrement, compte parmi les grands classiques de cette physique qui repousse nos frontières. Explication d’une théorie qui illustre un chat vivant et mort à la fois.
La physique quantique nous demande de saisir des notions qui sont à contre mesure de nos habitudes de pensée. Toutefois ces challenges et ces casse-têtes virtuels sont souvent stimulants et nous permettent d’élargir notre compréhension des choses. Telle une énigme nous invitant à penser autrement, l’expérience de pensée du Chat de Schrödinger compte parmi les grands classiques de cette physique qui repousse nos frontières. C’est l’histoire d’un chat qui est dans tous ses états, tant qu’on ne l’a pas regardé…
Imaginée en 1935 par le physicien Erwin Schrödinger, cette expérience permet d’aborder le problème posé par le fait que les particules, qui sont à la base de notre matière, semblent être dans des états indéterminés. « En mécanique quantique on a observé que les particules peuvent être dans un état qui n’est pas défini, avoir des vitesses ou des positions qui ne sont pas déterminées. Ce qu’on dit alors, c’est que tous ces états existent simultanément, qu’ils sont superposés », nous explique Philippe Guillemant, physicien, spécialiste de l’intelligence artificielle et du temps, ingénieur de recherche au CNRS. Donc tant que nous n’avons pas pris la mesure de ces particules, elles sont dans tous leurs états à la fois.
Afin d’aborder les questions soulevées par ces états quantiques superposés, Schrödinger a imaginé une situation dans laquelle un chat serait placé dans une boîte avec un dispositif qui tuerait l’animal dès qu’il détecterait la désintégration d’une particule radioactive. Le hic, c’est que cette particule peut se trouver dans tous les états possibles, et le chat – qui est intriqué avec la particule dans cette expérience – est donc à la fois mort et vivant, il est indéfini. Et nous n’avons aucun moyen de savoir quel est cet état indéfini, car prendre sa mesure a pour effet de le réduire à un seul état, soit mort, soit vivant. « Il faut se représenter que nous ne sommes pas dans une réalité telle que nous la voyons habituellement, mais dans un univers d’informations. L’idée c’est alors que la réalité que nous essayons de voir dans la boîte n’existe pas tant que la mesure n’a pas été faite. L’univers n’a tout simplement pas d’information sur l’état du chat dans la boîte », poursuit Philippe Guillemant. Alors comment comprendre ce moment clé où l’état se définit ? Que se passe-t-il ? Là sont les questions auxquelles le chat attend impatiemment des réponses.
Première des trois théories, qui d’après Philippe Guillemant sont intéressantes pour l’interprétation de cette expérience : la théorie des univers multiples de Hugh Everett, qui propose l’existence d’un éventail de mondes parallèles. Les états indéfinis ou superposés seraient comme différentes possibilités qui existeraient chacune dans un monde parallèle séparé. En ce qui concerne notre chat, il y aurait donc un univers où il est retrouvé mort et un autre où il est retrouvé vivant. Et à chaque fois que se présenteraient plusieurs possibilités, de nouvelles branches d’univers se créeraient et continueraient d’exister en parallèle. « Et ça se produirait à chaque fois que nous faisons un choix. Mais c’est impensable. Vous imaginez, la conscience devrait également être dédoublée. Nous aurions des milliards de milliards de milliards de doubles conscients dans des univers parallèles », souligne Philippe Guillemant.
La seconde théorie proposée s’appuie sur le phénomène dit de « décohérence ». La décohérence est un procédé qu’emploie la nature pour partir d’états indéfinis et les réduire en un seul état final, par des interactions avec l’environnement. Au lieu d’arriver dans une multiplicité de manifestations, les états superposés se matérialisent en un choix effectué dans l’espace temps qui existe de manière précise pour nous. « La décohérence nous amène à notre seul univers réel. Ce qui ne veut pas dire que les autres univers n’existent pas pour la physique, précise Philippe Guillemant, mais ils sont potentiels et non réels ».
Seulement voilà, la décohérence n’explique pas le choix. Elle montre un moyen mais pas la direction. Nous savons que nous allons arriver à un état final, mais lequel ? Notre pauvre chat attend toujours sa réponse. La théorie de la décohérence se décline en deux interprétations, dont l’une propose qu’il y ait des variables cachées, c’est à dire que le choix nous échappe, et l’autre propose que le choix soit aléatoire. « Mais le problème c’est que ça fait intervenir un hasard qui est celui d’un Dieu qui jouerait aux dés », poursuit Philippe Guillemant – rebondissant sur cette fameuse expression d’Einstein « Dieu ne joue pas aux dés ».
Soutenue par des prix Nobel comme Eugène Wigner et par les français Bernard D’Espagnat et Olivier Costa de Beauregard, la troisième théorie proposée avance que le choix serait effectué par une forme… de conscience. « Le rôle de la conscience serait de déterminer l’état final de la particule. On arrive à un seul univers réel vécu par la conscience », explique Philippe Guillemant. Force fondamentale de notre univers, un libre arbitre serait à l’œuvre, dont nous serions nous-mêmes dotés comme toutes les formes de consciences. C’est ce libre arbitre qui agirait dans la construction de notre réalité. Voilà que cette branche de la physique quantique rejoint les plus vieilles traditions de notre monde.
« Je suis d’accord avec l’idée de l’influence de la conscience, par contre pour moi elle n’intervient pas dans le présent, c’est à dire pas au moment où la boîte est ouverte et donc au moment de la mesure. La conscience intervient sur le futur ». Voilà que Philippe Guillemant introduit le temps dans l’équation. En fait tant que la particule et le chat sont indéfinis, le temps n’existe pas. Tout est simultané, tout est là en même temps. Mais lorsqu’un choix est fait, ce positionnement se traduit par un événement, qui produit du temps. On dit alors que nous entrons dans une épaisseur d’événements, qui fait apparaître l’épaisseur du temps tel que nous le connaissons. Imaginez que vous décidez d’aller chercher du pain mais vous ne savez pas encore comment vous allez vous y rendre. La réalité d’acheter du pain se crée dans « votre futur », sous forme d’informations, pas sous forme temporelle. La direction est donnée, le choix est fait. Et les moyens pour aller chercher du pain se matérialisent ensuite, en créant l’épaisseur de chaque instant, à la suite les uns des autres, ce qui donne la sensation du temps linéaire. Un potentiel futur influencerait notre présent. Alors, quels choix de conscience faites-vous ?
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Posté par othoharmonie le 14 août 2012
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Posté par othoharmonie le 6 août 2012
Le rituel de nomination est l’équivalent des dédications wiccanes, druidiques, ou toutes autres croyances, à l’exception près que celui ci est considéré comme un peu plus général puisqu’adressé aux quatre Eléments. Ainsi, si vous n’appartenez à aucune tradition bien définie et si vous avez l’habitude d’ouvrir votre cercle aux quatre Eléments, cette nomination est faite pour vous.
Ingrédients :
Simplement de quoi ouvrir votre cercle aux quatre Eléments, à savoir :
– Une coupe d’eau pour l’Eau
– Une coupe de sel pour la Terre
– Une chandelle pour le Feu
– Un bâton d’encens pour l’Air
Spécifications :
Il est préférable de faire ce rituel dans un endroit à ciel ouvert, mais à l’abri des regards. Un jardin clos, ou une clairière en pleine nuit fait très bien l’affaire. Toutefois si vous n’avez pas la possibilité de le faire, l’intérieur de votre logement conviendra lui aussi. Une fois le lieu trouvé, repérez les quatres points cardinaux.
Rituel :
Ouvrez votre cercle, placez-y les 4 éléments. Tournez vous vers le Nord et dites:
« Je suis fille (fils) de la Terre, enfant de la Mère.
Terre nourricière, que je sois celle qui veille
A ce que tu sois toujours verte et fertile.
Et qu’ainsi je sois Terre généreuse. »
Tournez-vous ensuite vers l’Est, levez les mains et dites:
« Je suis fille de l’Air.
Oh vent qui parcours le monde, que je sois celle qui veille
A ce que ton souffle soit pur et libre.
Et qu’ainsi je sois Air curieux et vigilent. »
Tournez-vous vers le sud et dites:
« Je suis fille du Feu, enfant du Père.
Feu bienveillant, que je sois celle
Qui t’entretienne dans toute forme de vie.
Et qu’ainsi je sois Feu actif et vivant. »
Tournez-vous vers l’Ouest et dites:
« Je suis fille de l’Eau.
Eau puissante, que je sois celle qui veille
Ace que ton cours soit pur et libre.
Et qu’ainsi je sois Eau créatrice. »
Enfin, tournez vous vers le Soleil (le jour) ou la Lune (recommandé la nuit) et dites:
« Je suis [votre nom sorcier], fille des éléments, fille des saisons.
Je suis la voie de la Mère en confiance.
Eau et Terre et Air et Feu, veillez sur mon chemin
Comme je veillerai à toute chose vivante,
Accordez-moi votre attention.
Esprits tutélaires, esprits bienveillants qui protégez les miens,
Entendez ces mots qui m’engagent sur le sentier de la Mère. »
Remerciez les éléments et fermez votre cercle.
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Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
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Posté par othoharmonie le 27 juillet 2011
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Posté par othoharmonie le 21 novembre 2010
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Posté par othoharmonie le 16 avril 2010
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Posté par othoharmonie le 11 avril 2010
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Posté par othoharmonie le 11 avril 2010
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Posté par othoharmonie le 11 avril 2010
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