LA DANSE DES SOURCILS

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2016

SOURCILS

L’expressivité, le jeu ondoyant, la danse des sourcils. Admirez ces virgules de poils situées à la base du front, gardiennes (sourcilleuses, cela va de soi) des cavités orbitales. On croirait de petits serpents prestes et frétillants. Leur tête se niche près du nez, leur queue, ou bien s’étire comme un fil jusqu’aux temps, ou touffues, velue, s’étale, buissonne. Il y a les queues de sourcils confuses, honteuses, rabattues, il y a les ballantes, indifférentes, et les queues de sourcils glorieuses, en crête de coq, en bataille, en panache !

Mais quelles que soient leur tâte, leur queue, leur forme, les sourcils ont une tâche commune : accompagner, nuancer deux émotions particulières, l’étonnement  et l’inquiétude pensive. Quand on est stupéfait, on lève ses sourcils, et sur son front se dessine un réseau de ridules transverses. Quand on réfléchit, se concentre, s’angoisse, on fronce les sourcils, et se creuse entre eux un canal de rides verticales et profondes. Ce qui alerte ce sont les sourcils toujours froncés, qui ne se décoincent jamais. Cette contraction des sourcils, hélas fréquente, induit le vieillissement du visage, bagatelle pour certains sans doute, mais signe aussi à terme les ulcérations de l’estomac, du duodénum, les spasmes douloureux du côlon, et au bout de la chaîne un état de tension généralisée. Défroncez-vous, c’est rendre la vie la vie à vos sourcils, à leur danse pittoresque, à la liberté, et c’est remettre de proche en proche l’organisme tout entier sur le chemin de la santé.

La théorie est simple, il faut et il suffit de laisser s’écarter les sourcils, et qu’ils retrouvent ainsi au repos leur place originelle à distance raisonnable du nez. La pratique est plus difficile. En effet on ne peut détendre que les tensions musculaires dont on a auparavant pris conscience. Il faut repérer la tension qui maintient rapprochés les sourcils, et cela demande exercices et expérience. La tension des muscles est une sensation ni douloureuse ni agréable, une sensation diffuse, légère. Essayez avec un doigt, c’est plus facile.

Quand vous posez la main à plat et que vous levez imperceptiblement l’index, vous distinguez deux sensations, celle d’effort qui maintient le doigt levé et cette sensation douce, acide, délicate, fugitive que vous observez pendant que vous levez le doigt. Oui, ou non ?

Si vous n’y arrivez pas, ou mal, exercez-vous. Ensuite placez-vous devant un miroir. Rapprochez au maximum les sourcils, laissez-les s’écarter. Recommencez, jouez des sourcils, obtenez des froncements de plus en plus léger, infimes, à peine esquissés, devinés. Ne vous découragez pas, ce savoir que vous acquerrez vous servira infiniment dans toutes les formes d’émotions.

Le fabuleux pouvoir du sourire… son premier sourire après des heures, les rides entre les sourcils d’un seul coup s’effacent, visage nettoyé, radieux, rendu à la jeunesse, à la vie. La jeunesse est élastique, et les sourcils aussi.

Mais gare ! la jeunesse envolée, il faut la mériter : la danse heureuse et libre des sourcils, et le front serein de l’enfance… sont à reconquérir !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Comment mesurer le progrès spirituel ?

Posté par othoharmonie le 15 juin 2013

Comment mesurer le progrès spirituel ? dans Chemin spirituel a1 

par M. Govindan Satchidananda

Comment mesurer le progrès spirituel ? C’est une question importante à laquelle chaque personne attirée par la spiritualité doit pouvoir répondre. De plus, la réponse n’est pas facile à donner car le chemin spirituel est progressif et l’esprit est sans forme ce qui rend le progrès spirituel difficile à mesurer. C’est pourquoi, avant de définir ce qu’est la progression, nous devons définir ce que nous entendons par « spirituel ».

Dans le yoga nous parlons de la dualité de l’égo, de l’identification avec le corps et l’esprit. Nous nous référons aux cinq corps : le corps physique (anna maya kosha, littéralement le corps de nourriture), le corps vital (prana maya kosha, qui anime le physique et est le siège des émotions), le corps mental (man omaya kosha, qui comprend le subconscient, le mémoire, les cinq sens et les facultés de discernement), le corps intellectuel (vinjnana maya kosha, qui comprend les facultés de raisonnement) et le corps spirituel (ananda maya kosha, littéralement, le corps divin, ou l’âme, qui est pure conscience, le Témoin).

Pour cette raison, le « progrès spirituel » implique une identification progressive à l’ananda maya kosha ou corps spirituel et nécessite de se détacher progressivement de l’identification aux corps physique, émotionnel, mental et intellectuel ou aux dimensions de l’existence. Cependant, comme nous le verrons par la suite, une fois que l’état de réalisation de soi est maîtrisé, il commence à descendre dans les corps intellectuel, mental, vital et physique et les transforme. Notre développement spirituel ne nécessite pas d’être au-delà et hors de ce monde. Il peut, comme nous le verrons, impliquer un développement qui intègre les cinq plans de l’existence.

Au départ, cependant, notre capacité à progresser spirituellement dépend de notre capacité à nous identifier de manière croissante avec cette partie de nous-mêmes qui est pure conscience, ou le Témoin. C’est ce qu’on appelle le processus de Réalisation de Soi.

Cela se produit dans les étapes suivantes :

1. L’état de calme s’installe. Le calme n’est pas l’absence de pensées mais le fait d’être présent avec elles. Ainsi, au fur et à mesure que nous progressons dans cette première étape, nous prenons graduellement l’habitude de remplacer notre façon de réagir habituelle comme la colère ou l’anxiété par un état de calme. L’illusion mentale, ou maya, s’affaiblit au fur et à mesure que l’on cultive un état de calme. Toutes les ascèses de yoga, c’est-à-dire les postures, la respiration, les mantras, la méditation et le bhakti yoga nous aident à ce stade à diminuer l’agitation et l’activité inutiles (rajas) et à affaiblir l’inertie, le doute, la paresse (tamas) avec tranquillité, calme, sérénité (sattva). Cela amène la présence, l’existence (sat). En pratiquant le détachement, nous commençons à lâcher prise par rapport à notre besoin d’être absorbé par notre vie.

2. Le Témoin, ou Chit, pure conscience prend place. Nous adoptons une nouvelle façon de voir les choses en gardant une partie de notre conscience en retrait, en état d’observation. Le Témoin ne fait ou ne pense rien. Il regarde simplement les actions se dérouler, les pensées ou émotions surgir et s’en aller. Une partie de notre conscience est impliquée dans les activités, une autre est passive, en retrait. Nous commençons cette étape avec la pratique de Nityananda Kriya, ou le témoin en continu pendant des durées relativement courtes ou bien en continu du début à la fin d’une activité. Cela est surtout possible lorsque nous réalisons des activités de routine qui ne requièrent pas beaucoup de concentration ou pour lesquelles nous sommes conditionnés. Par la suite, nous le pratiquons lors d’activités qui demandent davantage d’efforts ou bien lorsque nous vivons quelque chose pour la première fois, par exemple quand nous avons un accident, si nous tombons. Cette pratique demande de moins en moins d’efforts et s’intègre aux activités de notre vie quotidienne.

3. « Je ne suis pas l’acteur». Au fur et à mesure que notre conscience Témoin se développe, nous n’avons plus l’impression que nous faisons quelque chose car nous ne nous identifions plus avec les mouvements du corps et du mental. Nous sommes plutôt un simple observateur et notre corps et notre esprit sont des instruments. Une partie de notre conscience est impliquée dans les faits et gestes que nous faisons, que ce soit marcher, parler, travailler, manger, etc., mais maintenant une partie de notre conscience est en retrait. Elle ne fait rien. Elle observe un état passif qui ne juge pas. Nous avons l’impression d’être un instrument et que le Divin fait tout. Nous sentons qu’il n’y a pas d’acteur impliqué. Et pourtant, tout est fait. Nous apprécions l’enchaînement des évènements, leur harmonisation et leurs conséquences. Nous sommes de plus en plus sensibles à la façon dont les actions, les mots et les pensées entraînent des conséquences, ou karma et comment cette loi peut être utilisée pour apporter de la joie plutôt que de la souffrance aux autres. Avec ce nouveau sens du Soi élargi, nous avons l’impression que les besoins des autres sont nos propres besoins. Nous ressentons de l’amour pour les autres, nous les aidons à trouver le bonheur.

4. « Je suis celui qui est ». En méditation profonde nous devenons conscients de ce qui est conscient. La conscience même devient l’objet. Nous sentons que «Je suis dans tout » et « Tout est en moi ». Par la suite, progressivement, la réalisation du Soi commence à imprégner nos actions quotidiennes. La réalisation de Dieu nous vient avec l’intensification de cette étape. Les Saints et les mystiques de toutes les traditions spirituelles ont essayé de décrire cette expérience, mais les mots leur ont généralement manqué. En fait, plus nous essayons de le décrire, plus nous nous en éloignons car en décrivant, ou même en y pensant, nous en venons à le restreindre à quelques idées. Comme « celui qui est » surpasse tous les noms ou formes, imprègne tout et est infini et éternel, tout autre expérience ne peut s’y mesurer. Tous ceux qui en ont fait vraiment l’expérience préfèrent garder le silence plutôt que d’en parler. Comme Swami Rama Tirtha, le premier Yogi à introduire le yoga en Amérique à la fin du 19ème siècle l’a dit d’une manière convaincante : « Un Dieu défini, est un Dieu limité. Tout ce qu’il y a à dire à son sujet ne peut être raconté ni même loué ».

Les étapes ci-dessus ne représentent pas une ligne droite. Nous pouvons fréquemment zigzaguer entre elles du fait de la nature instable de l’esprit et de nos habitudes (samskara), du karma, de maya et de l’action des gunas. Mais de manière générale, c’est le cheminement que nous suivons si nous progressons spirituellement. Notre identification au corps, aux émotions et aux mouvements de l’esprit diminue et est remplacée par l’identification avec celui qui est, qui est sans nom, sans forme, qui est le Soi, Pure conscience et qui est finalement Divin.

Phases de la réalisation de Dieu

36 dans ExpériencesNotre conception de Dieu ou de l’Etre Suprême se développera aussi de manière progressive par des phases qui sont parallèles aux étapes mentionnées ci-dessus concernant le développement spirituel. Que nous considérions Dieu comme « quelque chose complètement en dehors de nous » ou comme « ce qui est à l’intérieur de nous », il est intéressant d’analyser comment nous concevons Dieu et ce que nous identifions en soi, évolue au fur et à mesure que nous avançons sur le chemin spirituel. En faisant cela, nous évitons de rester bloqués à un niveau inférieur. Les Théologiens ont classifié les différentes conceptions de Dieu selon les religions. Chaque religion et même chaque groupe culturel considère que sa conception de Dieu est la seule qui soit bonne. Il est évident que notre conception de Dieu est limitée par notre éducation, notre compréhension de la nature, notre expérience personnelle, notre imagination, nos désirs et peurs. La situation humaine est projetée sur notre conception de Dieu. Ce qui suit illustre ce propos.

Phase 1 : Dieu est le Protecteur. Je suis le corps physique.

La croyance en un être suprême apparaît lorsque nous devenons conscients de la peur et la plus grande peur est la peur de mourir. Les hommes primitifs cherchaient à surmonter les peurs en attribuant aux événements qui se produisaient des sources supra mentales. Afin d’apaiser leurs craintes, ces derniers offraient des sacrifices dans l’espoir que cela calmerait les esprits en colère responsables des orages, inondations, sécheresses, guerres, maladies et de la mort. Dans les premières religions polythéistes, les être surnaturels, qu’ils soient malveillants ou bienveillants pouvaient être des ennemis ou des alliés. Les croyants cherchaient la protection des dieux et déesses pour écarter le mal, les forces maléfiques et les souffrances engendrées. Les forces surnaturelles pouvaient être capricieuses et même vindicatives. La vie était courte, bestiale et la survie était la chose la plus importante, la protection était plus que tout nécessaire. Dans cette phase, nous nous identifions tout d’abord avec le corps physique et la survie est la première chose recherchée. Si je suis le corps, alors le mal est ce qui menace ma survie. Le bon est celui qui apporte la sécurité, la nourriture et le logis. L’ignorance qui fait partie de notre identité et par conséquent l’égoïsme est profondément ancré dans le corps physique.

Phase 2 : Dieu est omnipotent. Je suis l’esprit et la personnalité.

Une fois que la société a trouvé une certaine stabilité et que la survie n’est plus la préoccupation première, les humains cherchent à établir des lois pour régir leur vie sociale. L’autorité est attribuée à un Dieu « Tout Puissant ». Dieu est alors à l’origine de tout pouvoir et toute autorité. Ceux qui prennent le pouvoir le font parce que Dieu leur a donné. Les chefs de tribu deviennent rois, les juges deviennent prêtres. Mais le pouvoir finit par les enivrer car plus nous en avons, plus nous en devenons avides. L’être humain maintenant libéré de sa préoccupation de survie s’identifie à son esprit et ses désirs vitaux. L’égo, l’habitude de s’identifier à son corps et son esprit, englobe maintenant un éventail presque illimité de possibilités au fur et à mesure que les désirs augmentent. L’un concurrence les autres. Nous sommes égoïstes. Avec le pouvoir, nous cherchons à accomplir des choses, à dominer les autres, à réaliser ses ambitions. Nous le faisons, tout en essayant de respecter les lois définies par Dieu, craignant néanmoins d’être punis si nous les transgressons.

Phase 3 : Dieu est Imperturbable : « soit en paix et sache que je suis Dieu ». Je suis Témoin.

De nombreuses personnes atteignent cette phase quand, pour une raison ou une autre, elles découvrent leur être intérieur, qui est au-delà des mouvements du corps, des sens et de l’esprit. Ce peut être au cours d’une expérience spirituelle spontanée, dans laquelle nous transcendons notre nature, ce peut être à la suite d’une pratique de méditation définie, cela peut arriver à la suite d’une expérience physique intense accompagnée de douleur ou qui a nécessité une concentration intense au cours de laquelle nous nous détachons de notre état mental ordinaire. Par la suite, nous commençons à réaliser que les conceptions que nous avions de Dieu sont juste des concepts, c’est-à-dire que nous nous rendons compte que jusqu’à présent, nous avons créé un Dieu pour nous servir, pour faire face à nos peurs et satisfaire nos désirs. Mais dans cette phase, nous trouvons la paix, et Dieu est la paix. Nous nous rendons compte de la vérité contenue dans les Psaumes : « sois en paix et sache que je suis Dieu ». Nous réalisons que c’est seulement en développant la perspective intérieure de son vrai Soi, un Témoin conscient, que nous parvenons à surmonter l’agitation du monde extérieur. Dans la paix de l’esprit nous découvrons la pure conscience. C’est comme une pièce baignée de lumière. Trop préoccupés jusqu’à présent par les objets réfléchis par la lumière, nous ignorons la lumière elle-même Au début, nous observons une tension entre la vie intérieure et la vie extérieure qui peut conduire à l’un rejetant l’autre. Au fur et à mesure que cette phase évolue, nous cherchons à cultiver le calme, la conscience méditative à travers chaque moment de la journée que nous vivons. Nous ne rejetons pas le monde. Selon les paroles de Jésus, nous sommes dans ce monde, mais pas de ce monde.

Phase 4 : Dieu est sage. Je suis intuitif.

Une fois que nous nous sommes affranchis de la peur et du désir et que nous avons trouvé la paix intérieure, nous réalisons que Dieu nous aime, qu’il nous pardonne, qu’il comprend. Il est par conséquent sage. Dieu est toute connaissance et en écoutant Dieu je connais aussi. Je l’écoute en étant calme, réceptif et en laissant mon intuition s’exprimer. Je commence à m’identifier à celui qui connaît, non pas parce que j’ai appris quelque chose à l’école, mais simplement parce que je connais. La compréhension arrive spontanément, à chaque fois que mon attention se fixe sur quelque chose, « ça coule de source ». Les choses deviennent claires. Je vois la vérité sous-jacente derrière toute chose et la sagesse grandit. Je parviens à distinguer ce qui est permanent de ce qui est impermanent, ce qui amène la joie et ce qui cause la souffrance, et Qui Je Suis vraiment, l’âme éternelle, la pure conscience. Nous ne sommes plus soucieux de nous conformer aux lois et d’éviter ce qui fait souffrir, particulièrement dans l’agitation du monde « extérieur », comme dans les phases précédentes. Nous nous tournons vers un Dieu aimant transcendantal en toute confiance, en chérissant Celui qui est dans notre cœur constamment, nous nous sentons intuitivement aimés, purifiés et guidés par le Seigneur. A la fin de cette phase, nous nous sentons complètement innocents, nous lâchons prise sur toutes notions de bon et de mauvais, de culpabilité et d’orgueil. Nous nous identifions aux autres, nous les aimons et nous les aidons à trouver le bonheur.

Phase 5 : Dieu est mon co-créateur. Je crée.

A ce niveau de développement spirituel, nous réalisons que nous détenons la possibilité et la responsabilité de créer notre propre vie. Nous allons au-delà de l’état ordinaire de « rêver les yeux ouverts » à celui de visionnaire. Nous devenons un visionnaire. Nous restons fidèles à nos rêves, les rêves qui, nous le savons, sont en accord avec notre chemin vers la sagesse et la Réalisation de Soi. Le Seigneur n’est plus distant et nous sentons que nous sommes un « co-créateur » avec le Seigneur. Le Seigneur donne gracieusement. Le Seigneur inspire. Lorsque nous avons l’intention de manifester quelque chose, par voie de conséquence, l’univers fait en sorte de nous soutenir afin que nos intentions se réalisent. Nous pouvons avoir à travailler beaucoup pour atteindre nos objectifs, mais nous sentons que nous ne sommes plus l’acteur, juste un instrument. Nous devenons patients quant aux résultats car nous savons que l’univers s’en charge. Nous demeurons dans le moment présent et les choses se font quel que soit ce qui doit être fait. Nous nous alignons de plus en plus avec la volonté du Seigneur au fur et à mesure que nous purifions l’égo. Quel que soit le résultat, nous nous sentons bénis.

Phase 6 : Dieu est un miracle. Je suis radieux et conscient.

En considérant Dieu notre co-créateur, nous commençons à voir le monde comme un miracle de la création et nos vies sont une aire de jeux. Les miracles abondent. Dieu est « une joie sans cesse renouvelée » comme le disait Yogananda, tellement grandiose est chaque moment, chaque évènement. Nous percevons le Seigneur comme ce qui est au-delà de toute cause, non affecté par la création, la lumière de la conscience. Nous réalisons que notre Soi le plus profond est le même : radieux et conscient. La lumière est une métaphore pour la conscience, mais c’est aussi ce que les mystiques expérimentent au fond de leur âme. Le Seigneur est au-delà du temps, de l’espace, non limité par quoi que ce soit. A ce stade, la grâce du Seigneur apporte de nombreuses choses merveilleuses. Nous voyons le sacré dans le banal. Nous voyons avec les yeux d’un mystique l’omniprésence du Seigneur. La Grâce, contrairement au karma, ne se mérite pas, et ne dépend pas de la qualité de nos actions, bonnes ou mauvaises ; c’est la réponse du Seigneur à l’appel de celui qui veut s’unir avec Celui qui est, qui est sans nom, sans forme, un appel à l’abandon de la dualité de ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas, d’avoir et de perdre, de la réussite et de l’échec, du succès ou de la honte. Nous reconnaissons que le jeu de l’égo avec tous ses désirs est un grand piège et nous nous en remettons au Seigneur non seulement mentalement mais consciemment. Nous cherchons à nous libérer des jeux de l’égo. Nous nous plongeons dans ce qui est au-delà du mouvement du mental, la source fondamentale, la lumière de la conscience.

Phase 7 : Dieu est l’Etre, la Conscience et la Béatitude Absolue. « Je suis »

Ayant vaincu la dualité de l’esprit, nous atteignons l’état de non dualité « satchidananda » ou l’être, la conscience et la béatitude absolue. Cet état est inconditionnel en ce qu’il ne dépend de rien. Il est simplement et nous réalisons : « ce que je suis ». Nous ne devenons rien de particulier ; nous n’expérimentons rien de particulier. Car particulier implique que nous sommes séparés et à ce stade nous avons dépassé les opposés et réalisé l’unité avec tout. A ce stade, que les théologiens classifieraient de monisme, il n’y a qu’un et un seul. Dans le théisme, il y a l’âme et le Seigneur, ils sont séparés. Pour les monistes, il n’y a qu’un et un seul. L’un est infini, intact, éternel, indéfinissable, la source de tout. Nous atteignons Celui qui est en état de méditation profonde, le mental devient silencieux et la conscience s’élargit. Lorsque Moïse a demandé à Dieu « Qui est tu ? » Dieu s’est exprimé par le buisson ardent et a répondu « Je suis celui qui est ». Ce qui exprime à la fois les états ultimes de la vie, qu’ils soient objectifs ou subjectifs. « Je » est le sujet et « Celui » est l’objet. Ce n’est pas le vide. C’est la source de tout ; c’est l’intelligence suprême elle-même. Être ici maintenant devient par conséquent la seule façon d’être ! Être, et non pas faire, devient notre véhicule et notre but. Être présent, quelles que soient les circonstances, apporte la conscience et la conscience amène l’extase : « satchidananda ». Il n’est alors plus possible de répondre à la question « Qui es-tu ? » si ce n’est par la réponse « Je suis ». Toute autre réponse serait l’expression d’une fausse identification, le jeu de l’égo. Nos vieilles habitudes, goûts et dégoûts s’évanouissent et le sentiment de « Je suis » prévaut. Il n’existe plus « autre ». Cette réalisation, que l’on nomme « samadhi » en yoga, se produit lors d’expèriences méditatives profondes et pendant de nombreuses années cette réalisation peut être évasive car nous avons tellement l’habitude de nous identifier à nos mémoires, notre corps et notre esprit. Mais en retournant continuellement à cet état, l’ignorance, l’égoïsme, l’illusion et le karma se dissipent progressivement dans la réalisation de soi.

Lire la suite ici ….   

M. Govindan enseigne le Kriya Yoga de Babaji. Il habite en Estrie, au Québec, et il donne des conférences et des séminaires régulièrement en France.
Son site web est: www.babajiskriyayoga.net
courriel : info@babajiskriyayoga.net

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Les relations dans la fratrie

Posté par othoharmonie le 23 février 2013

 

On pourrait reprendre les propos du Docteur Minou Poirier

Médecin psychanalyste, psychosomaticienne
http://minoupoirier.e-monsite.com/

Ce docteur met des éléments importants en avant… si vous voulez bien que nous les consultions ensemble, voici :

souvent, la fratrie naît d’un couple qui désire au moins 2 enfants.

Ces enfants sont des personnes nées de mêmes parents géniteurs, habituées au langage corporel des autres, aux racines entremêlées comme des graines qui poussent dans le même pot, qui ont vécu ensemble de multiples événements au quotidien mais qui les ont vécus différemment selon leur personnalité et leur humeur lorsqu’ils sont survenus.

Les relations dans la fratrie dans Tests de personnalité telechargement-1Tout ceci crée entr’eux des liens indestructibles même si, parfois, il arrive que certains ne se fréquentent plus en vieillissant.

Cependant, enfants, ils sont tous dépendants de l’amour des mêmes parents, ils vivent ensemble sans s’être choisis, sans s’être désirés, sans avoir choisi leur place…. Quoi que…
Tout ceci crée des tensions inévitables que tout parent voudrait ne pas vivre.
Un cocon, dans lequel tout le monde s’entend, serait si douillet !un petit nid qui nous ferait revivre notre vie fœtale serait si doux ! !un idéal… !un imaginaire, certes, mais non une réalité faite d’individus différents.
Idéaliser la famille, c’est la fragiliser et fragiliser les individus qui la composent :
– les parents sont agressifs ou se sentent coupables « si je ne sais pas créer cette harmonie chez moi, c’est que je suis mauvais parent »
– les enfants : « si je suis agressif, jaloux, c’est que je suis méchant » ils en sont, eux aussi coupables ; ils vont donc essayer de refouler, ils deviennent alors névrosés ou malades. Bien souvent, quand ils seront adultes, ils voudront, à leur tour, créer une couple, une famille idéale avec les mêmes problèmes que leurs parents : agressivité, culpabilité, sentiment d’échec, dévalorisation qui sont, dans la relation, autant de vers dans une belle pomme.

Néanmoins, il est possible d’atténuer les conflits qui surgissent en en comprenant les causes, ce qui permettra d’y porter remède.

Voyons ensemble les besoins fondamentaux de l’enfant.


1) Il a tout d’abord besoin de se sentir aimé pour se sentir exister.

Chaque enfant est un être unique, spécifique. Il a, de par ce fait, des besoins spécifiques.
Pour cela, il a besoin d’écoute pour pouvoir exprimer en tête à tête ses émotions, ses sentiments, ses craintes, pour trouver, dans ce moment privilégié, les mots qu’il ne trouve pas en groupe. L’enfant a droit à la parole, mis à part des insultes, il a le droit de tout dire, mais n’ en a pas l’obligation (son jardin secret lui appartient). Il a le droit d’avoir de la rancune, d’être jaloux etc, il n’y a pas de mauvais sentiments, tous les sentiments sont simplement humains, seuls les passages à l’acte sont interdits .

Ex : l’enfant exprime qu’il a envie de tuer ou de frapper le petit qui prend beaucoup de place dans la disponibilité des parents, ce sentiment a son existence propre, il est là, qu’on le veuille ou pas. Si l’enfant peut l’exprimer sans honte, son ressenti sera un peu désamorcé mais surtout, l’enfant se sentira reconnu par le parent dans son vécu du moment, ce sera aussi l’occasion de le rassurer sur l’amour qu’on lui porte et de l’aider à faire la différence entre ce qu’il ressent et le passage à l’acte. 
Imaginons quelque chose comme :
« je te comprends, c’est difficile pour toi d’avoir un petit frère tout le temps mais, tu sais, je t’aime autant qu’avant, j’ai seulement moins de temps qu’avant. Par contre, tu n’as pas le droit de lui faire du mal ». La jalousie n’est qu’une peur de ne plus être aimé.

Pour le petit qui n’a pas encore les mots, le dessin fait en tête à tête a valeur de langage même si le parent ne le comprends pas, lui sait qu’il s’est exprimé et que le parent était là pour lui .
Ce temps d’écoute ne demande pas forcément beaucoup de disponibilité, ½ h par semaine avec chaque parent lui suffit souvent sauf en état de crise.

Peut-être quelques erreurs à éviter :

La comparaison

Chaque personne est unique. On ne peut comparer que des objets, des résultats, dans les sports de compétition par exemple, mais le problème, c’est que l’enfant se projette dans ses actes, dans ses résultats.
« Si je suis mauvais élève, c’est que je suis nul » il en oublie toute sa valeur humaine, relationnelle ou autre qu’il nous appartient de lui rappeler.

L’égalité

images-14 dans Tests de personnalitéChaque personne est spécifique avec des besoins spécifiques.
Egaliser, c’est encore comparer.
De toute façon, il est faux que nous aimons tous nos enfants de la même façon car entre deux êtres uniques se crée une relation unique, mais il nous est possible de dire que nous les aimons autant.
Par contre, il est possible de faire passer à chacun quelque chose comme : « il n’y a dans le monde qu’une personne comme toi, et je suis heureux(se) que tu sois mon fils(fille) »

Que faire des attirances qui font aussi partie de nous « humain ». D’abord les reconnaître, essayer de découvrir leurs racines : projection de nos projets personnels, ressemblances…. ?Trouver dans l’enfant non pas «  moins attirant » mais « celui qui nous attire moins » le côté qui serait susceptible de nous attirer. Lui donner plus de temps, plus d’attention.

Les rôles

Les rôles qu’on donne aux enfants les emprisonnent, les étouffent et les empêchent de ressentir notre amour. Ils prennent leur source :

* dans ce qu’on attend d’eux à leur conception ou à leur naissance. On peut y retrouver :désir d’amour, de valorisation, d’appui, de réparation, de remplacement d’un être cher disparu ou tout autre chose.
* Dans le rôle que l’enfant se donne pour attirer notre attention ou pour se différencier des autres : le gentil, le responsable, le malade, le méchant, le grand, le petit etc.
Si l’enfant a perçu que sa personnalité est unique au monde et qu’il est aimé tel qu’il est il n’aura pas besoin de se donner un rôle.

 

2) Besoin de valorisation pour se structurer solidement

L’enfant a besoin que l’on mette des mots sur ses valeurs devant lui et devant les autres : ses valeurs humaines, relationnelles, morales, physiques non seulement son apparence mais aussi sa santé, ses capacités intellectuelles . Même si ses résultats scolaires sont insuffisants, il a des valeurs intellectuelles : intelligence pratique, intuitive, imagination, valeurs artistiques, jugement, vivacité d’esprit, humour, etc…

Dès l’âge de 7 ans, il est important de l’entraîner à l’autoévaluation, ceci lui permettra d’apprendre à se reconnaître valable sans avoir besoin du regard des autres et aussi de reconnaître ses limites (les personnes qui ne veulent pas reconnaître leurs manques sont la plupart du temps des personnes très dévalorisées), ses erreurs, donc d’ouvrir son esprit aux apports extérieurs : études, connaissances, expériences des autres, apprentissage…

3) Besoin de territoire, de posséder des biens.

Ces besoins sont fondamentaux et font partie de notre nature humaine. Qui dit territoire, dit avoir un espace, ne serait-ce qu’un lit qui n’appartient à personne d’autre et dans lequel personne n’a le droit de s’introduire sans l’autorisation du propriétaire. Toute intrusion du territoire de l’autre est un délit, comme dans le code civil et est passible d’une sanction.

Il en est de même pour les biens, les jouets de chacun. Disposer du bien de l’autre sans son consentement est un délit nécessitant une sanction.
Vous pouvez y retrouver facilement les règles qui régissent la société, la famille est l’apprentissage de la vie en société où nous avons le devoir d’introduire nos enfants, certes, mais ces règles font partie des besoins de tout être vivant, humain et animal.
Ce qui nous différencie de l’animal, c’est que nous pouvons prêter un bien, l’offrir à quelqu’un qu’on aime, mais pour pouvoir le faire, il faut d’abord le posséder.

Quelques erreurs à éviter :

- Les parents ne sont pas des objets, ils ont leurs désirs propres, ils doivent pouvoir dire « non » et frustrer simplement au nom de leurs désirs.

- Les jouets collectifs ne peuvent se concevoir que s’ils sont régis par des règles : les jeux de société. Les autres sont sources de conflits légitimes car l’enfant n’a pas la maturité nécessaire pour les gérer avant l’âge adulte.

 

4) Besoin de cadre pour être rassuré

L’enfant, l’adolescent a besoin de cadre jusqu’à ce qu’il quitte le foyer parental pour vivre autonome.
Ce cadre doit être fait :

- Des règles sociales qui régissent la société et qui sont valables pour tous (y compris les parents) et à tous les âges (y compris les bébés).
Elles sont peu nombreuses :

* Interdiction de porter atteinte au corps de l’autre et de le toucher sans son autorisation, même pour l’embrasser.

* Interdiction de violer le territoire de l’autre.
* Interdiction de disposer du bien de l’autre sans son consentement.
* Interdiction d’insulter quelqu’un en sa présence.

* Interdiction de l’inceste entre les frères et sœurs, et entre les parents et enfants.

Toute transgression nécessite une sanction, il n’y a pas de petit délit.

Il me semble important de revenir sur le fait que le fait que d’avoir envie de transgresser n’est pas un délit, c’est le passage à l’acte »le faire » qui seul en est un.


- Du règlement intérieur de maison

C’est un cadre de vie familial fait par les parents, réalisé pour rendre la vie familiale plus confortable, plus agréable, plus respectueuse des besoins (et non des désirs ) de chacun.

Ce cadre, bien qu’indispensable pour l’équilibre de chaque enfant, suscite bien entendu des frustrations, lesquelles engendrent de l’agressivité. Ces réactions ne sont pas néfastes du tout, au contraire, chacun a le droit de s’exprimer pourvu qu’il le fasse d’une façon socialement acceptable, sans insultes. La frustration ne rend pas malheureux, elle gêne le désir de toute puissance, sans plus, et ceci est bénéfique.

Je préconise qu’il y ait dans chaque famille un sac de frappe pour se défouler et un lieu :chambre ou débarras où il est possible de s’exprimer seul, en criant, en disant tout haut n’importe quoi. Là, les injures, les grossièretés sont permises.
Ces défouloirs évitent presque toujours la violence, la délinquance et les troubles somatiques : maladies diverses, troubles digestifs, troubles du sommeil, troubles du comportement. Si l’enfant les utilise tôt, ils passent naturellement dans leur hygiène de vie.

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Importance de la fratrie dans la vie d’adulte :

C’est dans cette vie de groupe que l’enfant peut apprendre à vivre avec les autres.

Il peut y apprendre 
qu’il n’est pas le centre de l’univers,
l’esprit d’équipe,
la complémentarité,
le partage,
le respect des autres,
l’amour des autres et beaucoup d’autre chose encore.

Sa place, son vécu dans la fratrie influencera fortement son choix professionnel, sa vie privée, la place qu’il prendra dans la société.

Je suggère aux parents d’enfant unique de les sociabiliser très tôt en leur faisant bénéficier de la vie sociale d’une crèche ou d’activités dans lesquelles il a à composer avec d’autres enfants de son âge.

Je souhaite à tous les parents beaucoup de courage, beaucoup de patience et surtout beaucoup de simplicité pour accepter de ne pas pouvoir être parfait, la perfection n’existe pas .
Faire de son mieux est le maximun qui nous est possible.

 

Docteur Minou Poirier

Médecin psychanalyste, psychosomaticienne
http://minoupoirier.e-monsite.com/

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Décoder le langage des dents

Posté par othoharmonie le 9 février 2013

 

S’il est une partie du corps que nous répugnons à faire soigner, ce sont nos dents. Prompts à les accuser de nous pourrir la vie, nous les livrons par nécessité au dentiste, après avoir tenté de reculer l’échéance fatale par force calmants et antibiotiques.

 Décoder le langage des dents dans Tests de personnalité dentition1

Hasard, fatalité, hérédité ou simplement malchance: de nombreuses personnes expliquent ainsi leurs maux de dents. Et si nos problèmes dentaires avaient un sens? Et si, à travers les nombreux problèmes qui les affectent (carie, déchaussement, etc.), nos dents lançaient une sorte d’appel au secours, tentaient de traduire à leur manière le mal-être intérieur que nous ne voulons pas voir, l’émotion bloquée que nous n’osons pas exprimer? Cette vision nous ouvre de nouveaux horizons. Quelle que soit sa nature (carie, déchaussement, malposition, etc.) l’atteinte est une information que le corps envoie, un message à décoder pour mieux se comprendre et se soigner. Ainsi, comprendre le langage de ses dents devient le premier acte de guérison que le patient peut poser, en parallèle avec le soin réalisé par le dentiste. 

Développement personnel 

En matière de problèmes dentaires, s’il est évident que le sucre joue un rôle, il n’explique pas tout. Premier facteur nécessaire à la genèse d’une carie, il n’est pourtant pas le seul. Il n’y a pas de lien mathématique entre la quantité de sucre qu’une personne ingère, son hygiène et la quantité de caries qu’elle développe. Certains gardent une denture indemne en dépit d’une hygiène médiocre ou inexistante et des quantités de sucreries consommées. D’autres à l’inverse, pourtant attentifs à leur hygiène dentaire et alimentaire, voient leurs dents s’abîmer inexorablement au fil du temps. De nombreuses études, chez l’animal comme chez l’homme, ont démontré qu’un lien existe entre stress et caries. Par exemple, une surpopulation induite artificiellement chez le rat augmente de 14% le taux de ses caries. Toute forme de stress (confinement, contrainte, bruit strident) augmente le taux de caries. Une recherche portant sur 311 recrues de la marine a montré que plus une personne est anxieuse et introvertie, plus son taux de caries est élevé. L’observation clinique montre que les caries surviennent à des périodes clés de la vie, en écho à des stress professionnels ou personnels (perte d’emploi, deuil, divorce, etc.). 

Si la dent est un résonateur puissant de notre vie psychique, c’est qu’elle entretient un lien très étroit avec le cerveau. Le lien est embryologique: un tissu commun (le cerveau primitif) est à l’origine de l’encéphale et des dents qui se développent à partir de cellules ayant migré depuis l’ébauche cérébrale. Il existe aussi un lien anatomique: un tronc nerveux d’importance majeure, le nerf trijumeau (cinquième paire de nerfs crâniens) relie directement dents et cerveau. La dent est une extension du cerveau, vis à vis duquel elle joue le rôle de capteur. Ce capteur un peu particulier, capable de percevoir des différences de pression de l’ordre du dixième de millimètre, informe le cerveau sur la position de la mandibule par rapport à la pesanteur. Il en découle pour un individu la capacité de se situer dans l’espace. Des études ont montré que des personnes édentées perdent prématurément leur mémoire spatiale et sont davantage exposées à la démence sénile. Véritable antenne sensible, la dent est un capteur qui fonctionne dans les deux sens: en réception (de la périphérie vers le cerveau) et en émission (du cerveau vers l’extérieur). Ainsi la dent est le baromètre de notre vie psychique. Ses atteintes résonnent avec nos stress, traduisent nos non-dits, nos émotions non exprimées. 

La dent atteinte nous interpelle: « qu’est-ce que je n’exprime pas, qu’est-ce qui coince en ce moment dans ma vie, quelle émotion suis-je en train de ravaler? ». La dent qui s’abîme désigne la facette de la personnalité qui est la cible du stress. Chaque dent porte un sens particulier. Chaque dent est une partie de soi, représente un domaine de la vie personnelle, professionnelle, relationnelle, etc. Par exemple, les incisives du haut représentent la vie relationnelle sur le plan social. Les incisives centrales portent l’identité, l’image: « qui suis-je et qu’est-ce que je montre de moi? ». Leur atteinte évoque un problème de dévalorisation. La canine évoque le pouvoir et la puissance personnelle. Les avoir longues et fortes est signe d’ambition (ce n’est pas un hasard si certaines personnalités médiatiques se les font limer). Leur atteinte témoigne du sentiment d’avoir perdu le contrôle et la maîtrise de sa vie. Chaque dent matérialise une qualité: en haut, les incisives centrales du haut représentent le rayonnement, la canine la volonté, etc. 

Se poser la question de la dent qui s’abîme (pourquoi cette dent s’abîme-t-elle à ce moment de ma vie?) peut éviter bien des déboires. Tout message non compris tend à se répéter. De plombage en dévitalisation et de soin en couronne, la dent s’abîme de plus en plus, parfois jusqu’à devoir être extraite. Ainsi Valérie retourne consulte régulièrement son dentiste, toujours pour la même dent. La première molaire, en bas à gauche, se détériore inexorablement, malgré les soins prodigués. Fatalité, malchance? En faisant le lien entre les épisodes de sa vie et les périodes où la dent s’abîme, Valérie finit par comprendre le sens du message que pendant des années elle n’a pas vu. La première molaire en bas à gauche représente la sécurité matérielle et affective donnée par la mère nourricière ou maman. Or Valérie a perdu sa maman à l’âge de six ans, moment où la dent justement fait son éruption. La dent, qui traduit la fragilité et le manque inscrits par le décès, s’abîme à chaque fois que Valérie est confrontée à un changement qui la place dans une situation d’insécurité: changement d’école, de travail, déménagement, séparation, etc. Certes, comprendre ne fait pas repousser la dent mais permet d’enrayer l’inexorable engrenage. Une dent véritablement soignée (c’est à dire sur tous les plans) le reste. 

Décoder le langage des dents permet de comprendre qu’il n’y a pas de fatalité, juste des messages non compris. Perdre ses dents n’est pas inéluctable. Il ne tient qu’à nous de les garder. Il suffit pour cela de leur prêter un peu d’attention en écoutant leur message.

 

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/

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Comprendre le sens de nos problèmes dentaires

Posté par othoharmonie le 9 février 2013

 

Nous avons tendance à voir nos dents comme des corps inertes plantés dans nos mâchoires. Le nerf qui les habite et leur donne leur sensibilité se manifeste parfois à travers douleurs et rage de dent.

On se souvient alors qu’elles sont vivantes pour l’oublier aussitôt. En dépit de son apparente dureté, la dent est tout sauf inerte. Sous la fine couche d’émail qui la recouvre, la couche plus profonde, appelée dentine ou ivoire, regorge de fibres nerveuses qui émanent de la partie centrale (nerf ou pulpe). Une dent, c’est avant tout un nerf (et pas n’importe lequel puisqu’il émane directement du cerveau!). Ce que nous désignons sous le terme de dent est donc une extrémité nerveuse hautement différenciée, un nerf gainé d’ivoire et d’émail en quelque sorte. Capteur ultrasensible, la dent est un organe sensoriel à part entière, au même titre que l’oil ou la peau. La nature des informations captées par la dent est physique (chaud, froid, variations de pression) mais aussi psychique. Plus encore, la dent engramme dans sa structure le vécu de l’individu. Ce processus d’enregistrement commence dès le moment où le germe de la future dent ébauche sa formation à l’intérieur des mâchoires du fotus, du nouveau-né puis de l’enfant. La dent porte donc des informations très anciennes. Ensuite, tout au long de la vie, elle continue d’absorber et de stocker les stress, émotions et autres perturbations psychiques. C’est une antenne. Si le cerveau est l’ordinateur central du système, alors les dents sont le clavier à trente-deux touches qui permet de communiquer avec l’unité centrale. Chaque touche ou dent nous connecte en direct avec une période bien précise de l’enfance et un domaine ou facette spécifique de la personnalité.

Comprendre le sens de nos problèmes dentaires dans Tests de personnalité dents

Il est difficile dans ces conditions de nier le lien étroit qui unit la dent au psychisme. Même si nous avons tendance à la réduire à une meule broyeuse d’aliments, la dent est avant tout un capteur d’informations. Dès lors, si je ne veux plus percevoir mon environnement proche parce qu’il est trop dur, que les conditions deviennent trop difficiles ou qu’il ne me convient tout simplement pas, je vais m’arranger pour détruire le récepteur qui le capte: la dent. Le processus s’apparente à une sorte d’auto-anesthésie inconsciente dont nos dents font malheureusement les frais. Par exemple, perdre ses dents par un déchaussement généralisé est une manière de ne plus ressentir le clivage entre qui je suis et ce que je vis. Robert est doté d’un tempérament fantasque. Artiste dans l’âme, il ne rêve depuis tout jeune que de poésie, de musique et de dessin. Il voudrait voyager, découvrir le monde en troubadour nomade. Hélas, son père ne veut pas d’un fils artiste. Robert sera militaire. A vingt ans, embrigadé malgré lui, il réprime ses rêves pour entrer dans l’armée.

Puis à trente, il se range, se marie et devient prof de maths. Vingt ans plus tard, le déchaussement de ses dents témoigne des terribles contraintes que Robert s’est imposé durant de longues années. On ne réprime pas impunément sa nature profonde. Perdre ses dents est parfois la rude sanction d’une vie passée à côté de soi-même. La carie qui ronge nos dents représente elle aussi une forme d’auto-destruction inconsciente. Elle traduit le besoin d’effacer une souffrance passée inscrite dans la dent et réactualisée par un événement récent. La carie qui détruit nos dents a pour finalité d’évacuer l’information nocive liée au vécu douloureux (stress, traumatismes, deuils, chocs émotionnels, etc.), inscrit parfois précocement dans la structure dentaire. C’est la solution parfaite trouvée par l’inconscient lorsque la personne ne peut prendre en charge cette élimination par un travail conscient de libération émotionnelle (psychothérapie ou autre). A travers la carie, processus de dissolution, le corps digère une information négative source de perturbation. Les caries traduisent les stress dont paradoxalement elles essaient de nous soulager. Durant ses années d’enfance, Quentin subit l’autorité pour le moins chaotique d’un père alcoolique dont l’attitude oscille entre  des crises de violence et le laxisme le plus total.  Toute sa vie, Quentin n’aura de cesse de tenter d’éliminer à son insu l’empreinte laissée par ce père traumatique. Sans qu’il sache pourquoi, sa première molaire supérieure gauche, qui représente l’autorité du père, se délabre malgré les soins. Dans le même temps, les dents voisines demeurent saines.

Carie, déchaussement, usure, fracture, etc.: les moyens d’éliminer ses dents ne manquent pas. Le type de problème qu’une personne développe de manière préférentielle dépend de son tempérament et de ses croyances les plus inconscientes. Les caries touchent plus particulièrement les personnes qui se nient, qui croient qu’elles n’ont pas droit à la parole et ravalent leurs besoins et leurs émotions pour ne pas gêner leur entourage. Le déchaussement se développe sur un  terrain psychologique où domine le sentiment d’être impuissant, trop faible pour faire face aux épreuves et aux stress de la vie. Le déchaussement touche les personnes qui au plus profond d’elles-même, et souvent à leur insu, se sentent dépendantes des autres, incapables de subvenir seules à leurs besoins.

Aussi paradoxal que cela paraisse, éliminer ses dents par le déchaussement, par la carie ou un autre moyen, représente une tentative inconsciente de se soulager en s’empêchant de ressentir l’insupportable. Chaque problème qui touche nos dents est donc porteur d’une intention positive. C’est cette finalité inconsciente qu’il faut absolument comprendre et identifier, sous peine d’engager un combat perdu d’avance contre soi-même. D’un côté je m’acharne à vouloir remettre une dent alors que de l’autre j’ai, comme Quentin,  le besoin inconscient mais viscéral de l’éliminer pour ne plus ressentir l’information ou le contenu souffrant qu’elle véhicule. L’apparition d’un problème signe l’impérieux besoin de libérer une souffrance en rapport avec la dent. Le faire par la prise de conscience, tout en faisant soigner la dent par le dentiste, évite que le processus de destruction ne se poursuive inexorablement. Dans le cas contraire, le corps poursuit à sa manière le travail d’élimination et le délabrement se poursuit malgré les soins engagés.

C’est tout l’objet du décodage du langage des dents que d’amener la personne à identifier le besoin de mieux-être qui se cache derrière son problème dentaire. Dès lors qu’elle le comprend, elle peut y répondre autrement qu’en détruisant ses dents. Le véritable travail de reconstruction de soi peut commencer en collaboration avec le dentiste.

 

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/ 

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Racines dentaires, racines de vie

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

 

Oui, vous êtes en lien avec vos racines familiales jusque dans vos racines dentaires. 

Racines dentaires, racines de vie dans Tests de personnalité dentitionAvec qui ? Vos parents, votre famille, vos ascendants. Chacun de nous est en lien avec les siens proches ou lointains. Des liens qui interagissent dans le quotidien de notre vie. 
Comment le savoir, le reconnaître ?

C’est ce qu’offre la méthode des constellations familiales. D’observer, de mettre à jour les liens qui nous relient à notre système familial. 
Certains de ces liens nous attachent, freinent, ou contraignent jusque dans nos mouvements ou nos choix de vie. Alors…, que faire ? Apprendre à se réorienter pour reprendre sa véritable place au sein de son système familial, retrouver sa force en rétablissant en conscience l’harmonie manquante. Une réparation qui se savoure, car elle porte ses fruits rapidement pour soi, et son entourage sans que celui-ci ait à intervenir, un bénéfice très précieux pour nos enfants. 

Les constellations familiales, appelées systémiques, sont aujourd’hui largement utilisées comme outil de développement personnel, en groupe ou en individuel, et aussi dans les entreprises lorsqu’une volonté d’acquérir des relations saines et efficaces est choisie. Leur originalité est de réparer les troubles relationnels autant que physiques à partir de leur origine. 

Issue de cette méthode, la constellation dentaire, vous informe sur l’origine des symptômes liés aux dents, leurs facteurs déclenchant ou aggravant. Chaque dent peut être vue, appréhendée comme le site ou le relais privilégié d’une ligne de force ou de vie. Le processus de la constellation dentaire permet d’entrer en résonance avec le champ d’informations ou de mémoires perceptibles depuis les canaux dentaires. 

La constellation familiale rend visibles, lisibles et perceptibles, les liens externes, de soi, vers les autres. La constellation dentaire rend visible, les liens internes, de soi à soi, de soi à sa dent, de soi à ses dents, de soi à son articulation, de soi à son maxillaire.

A partir des dents, le praticien peut se placer dans l’état d’écoute intérieure pour exprimer le contenu emprisonné et empoisonnant qui obstrue le passage de l’énergie et de la vitalité dans les racines dentaires, qui sont nos racines de vie ! Les émotions, les conflits latents présents ont un effet potentiel destructeur sur soi, à effet immédiat ou retard.
Ecouter ce qui se joue au plus profond de l’être, puis l’exprimer a un effet libératoire, semblable au dégagement d’un canal de fermentation. Ainsi, l’énergie peut à nouveau circuler dans le réseau dentaire, et l’irriguer librement. Le réseau dentaire est un véritable poste de pilotage ou guidage pour la personne.

La pratique des constellations dentaires est un mode d’observation et de réparation innovant qui nécessite de la part du thérapeute une écoute intérieure fine. L’outil est puissant, et agit sur les mémoires, de façon rapide et profonde, tel un faisceau laser. 

Deux actions clés pour un changement d’attitude salutaire entrent en jeu : le nettoyage des mémoires résiduelles engrammées et la reconnaissance des mécanismes acquis, générés par l’héritage passé.

Que me disent mes dents…, que je n’écoute pas ?

Question fondamentale et personnelle, elle est une invitation à l’ouverture de son attention, de sa présence à soi, en toute circonstance et en toute bienveillance. Prendre soin de soi, commence par se donner une attention bonne pour soi, se reconnaître et s’aimer tel que l’on est, clé de base de sa propre voûte…, et joie de vivre !

Nos racines familiales nous alimentent, elles nous nourrissent, elles vivent en nous, œuvrent en nous, nous investissent. L’énergie de notre généalogie ou de certains de nos ascendants en particulier, s’écoule en nous…, et parfois nous écroule ! Qu’en faire ? Ne pas s’y opposer, on ne s’oppose pas au flux de la vie, on est pris par elle ! Juste le reconnaître, le rencontrer, pour se rencontrer. Tout est en soi, le problème, le conflit, sa source et sa résolution, comme si côte à côte, en soi la solution attendait notre regard, de l’égard enfin.

De nos racines familiales à nos racines dentaires coule la vie, les dents sont les témoins lumineux de nos zones d’ombre, non vues, non reconnues. Notre passé, notre héritage, notre réseau familial et ses quatre premières branches révélées par nos dents de sagesse, celles de nos grands-parents. Ils et, elles sont nos ressources et nos richesses, à la fois. A nous de nous organiser, éclairer, de mettre en ordre et en action en soi nos propres liens. Un travail de jardinier et d’artiste créatif.

Quel sens donner à mes dents ?

Les dents révèlent notre monde intérieur. Nos quatre premières molaires sont nos fondements, telles les quatre premières pierres de notre propre maison. Le quatre pattes, avant les premiers pas sur ses deux jambes, l’entrée debout. Pour être bien installé en soi, en possession de ses capacités et potentialités, il importe que nos quatre dents fondamentales soient bien arrimées, non encombrées comme un grenier irrespirable, envahi. Apporter de l’air et de la clarté, dans sa maison comme en-soi. D’où l’importance de nettoyer extérieurement et préliminairement intérieurement l’histoire enclavée, pour véritablement rénover, rétablir la pleine fonction : pour que l’énergie passe, ce qui signifie que l’impulsion électrique puisse être perçue et reçue, que le muscle et l’articulation agissent et que la parole devienne libre et véritablement expressive. Un nettoyage des conduits intérieurs bienfaisant et éclairant. Lorsqu’une dent est extraite ou absente, sa voisine va assumer sa fonction, son rôle, à ses risques et périls. Ne prenons pas de risques aveugles, apprenons à éclairer notre intérieur.

Observer, aller à la rencontre de soi pour une réparation réelle et s’ouvrir à sa vie, la voie des dents est une voie à emprunter pour le rayonnement de soi.

 

 

Isabelle Desclèves
Docteur en chirurgie dentaire
www.energiedentaire.fr

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Dentisterie holistique

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

 

Petite définition de la dentisterie holistique : soins naturels, matériaux biocompatibles et décodage psychosomatique dentaire pour une dentisterie d’avenir

La dentisterie holistique, parfois appelée dentisterie énergétique, soigne la dent, non comme un organe isolé du corps, mais dans une perspective globale.

 

Dentisterie holistique dans Tests de personnalité dent-gif-219x300Pendant longtemps, la tolérance biologique des matériaux ne fut pas une préoccupation parce que les dentistes n’en n’avaient pas les moyens. Métaux allergisants, plombages au mercure (et même par le passé plomb véritable !) furent employés à des époques où la technologie n’avait rien de mieux à proposer. Aujourd’hui, grâce à la mise au point de nouveaux matériaux, une dentisterie véritablement holistique émerge. Aperçu en trois points de cette “nouvelle dentisterie”. 

Traiter les dents pour améliorer la santé 
Soigner le corps à travers la dent, tel est le principe fondamental de la dentisterie holistique. L’étendue des problèmes  induits ou aggravés par les dents est largement sous-estimée. De nombreux organes (cœur, poumons, yeux, peau, reins) peuvent être atteints par des bactéries d’origine dentaire. Les toxines générées par l’inflammation chronique liée au déchaussement peuvent causer cancer du pancréas et maladies cadiovasculaires. Bien d’autres troubles tels qu’otites à répétition, strabisme, fibromyalgie, insuffisance respiratoire, apnée du sommeil, scoliose, arthrite, atteintes musculo-tendineuses, entorses ou foulures à répétition, accidents ou baisse des performances sportives sont imputables aux dents. Prendre soin du carrefour essentiel qu’est la bouche est vital. Santé et bien-être dépendent de la manière dont on traite ses dents. 

Privilégier les matériaux les plus biocompatibles 
Nombre de matériaux insérés en bouche génèrent une insidieuse pollution. Les controverses sur l’amalgame ou plombage n’ont mis en lumière qu’une partie du problème. L’intoxication chronique par les matériaux dentaires est largement sous-estimée, ainsi que ses conséquences. Trop de métaux allergisants (nickel, chrome, cobalt, béryllium) entrent aujourd’hui encore dans la composition d’alliages dentaires dont la multiplication génère un plurimétallisme aux conséquences redoutables. Même des matériaux dits biocompatibles comme le titane peuvent déclencher des allergies chez les personnes sensibles. Il faut en outre éviter absolument certaines spécialités contenant des substances toxiques ou irritantes comme celles qui entrent (à l’insu du patient) dans la composition d’un grand nombre de pâtes d’obturation canalaire. Introduites dans le canal après dévitalisation, ces pâtes sont de véritables implants médicamenteux qui relarguent des années durant (et parfois à vie) des composés irritants, allergisants ou franchement toxiques qui minent la santé au moins autant que le mercure des plombages. Au fil des ans, cette pollution invisible altère la santé. Les processus vitaux s’épuisent à lutter contre une pollution interne active 24 heures sur 24. La fatigue s’installe. Les forces mobilisées pour tenter de juguler l’intoxication permanente font défaut sur d’autres fronts. Empoisonné par l’intérieur, le corps se défend moins bien contre les infections, devient plus vulnérable au stress. Le terrain s’affaiblit, faisant le lit des maladies dégénératives. 

Inclure décodage et psychosomatique dentaire 
Enfin, pour être véritablement holistique, la dentisterie moderne ne doit pas oublier la dimension psychosomatique. Chez l’être humain, doué de conscience, le psychisme est au cœur de la pathologie aussi bien que de la guérison. Une dentisterie holistique digne de ce nom doit inclure la dimension psychosomatique. Comprendre le sens du problème dentaire évite sa récidive (voir à ce sujet les autres articles de l’auteur sur le langage des dents et le décodage symbolique dentaire). 

Une dentisterie nouvelle pour un patient responsable 
L’approche holistique ou globale va bien au-delà  du remplacement des plombages au mercure mais surtout, elle sonne le glas de la passivité du patient. Elle s’adresse à un patient responsable, conscient des enjeux de santé associés aux problèmes et soins dentaires, un patient impliqué dans sa propre guérison et qui fait ses choix en conséquence. La multiplication des techniques et des matériaux employés en dentisterie oblige aujourd’hui chacun à s’informer. Ouvrir la bouche en attendant que le dentiste y insère matériaux ou produits de nature inconnue est une attitude révolue. Trop d’enjeux de santé sont liés à des techniques, dont certaines séduisantes ou spectaculaires, pour qu’on se permette de rester dans l’ignorance. Il est essentiel de savoir ce qu’implique en terme de santé globale la pose d’un implant, d’un bridge, d’une couronne ou de toute autre prothèse, de même que la réalisation d’un soin, quelle que soit sa nature. Dans l’environnement de plus en plus pollué où nous sommes contraints de vivre, il est vital d’éviter toute pollution supplémentaire d’origine dentaire, de loin la plus redoutable car présente et active à demeure dans le corps. Grâce aux progrès technologiques, la dentisterie moderne peut nous réserver le meilleur ou le pire. À chacun de savoir choisir le meilleur.

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/ 

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Décodage dentaire

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

Décodage dentaire : l’implant, solution miracle ou échec thérapeutique ?

Décodage dentaire dans Tests de personnalité dentaire1-228x300L’implant est une révolution technologique sans précédent en art dentaire. Parvenir à ancrer une dent artificielle dans l’os de la mâchoire pour remplacer l’organe dentaire détruit est un vieux rêve de l’humanité, rêve devenu réalité.

L’implant séduit parce qu’il donne l’illusion d’avoir à nouveau sa dent (ou ses dents). Si l’opération réussit et que l’implant s’ancre solidement dans l’os maxillaire, le problème paraît résolu. Mais l’est-il vraiment ?

Si le problème paraît réglé du point de vue mécanique, qu’en est-il du point de vue du décodage dentaire ? L’implant est-il une solution miracle ou un échec thérapeutique ?

Autrement dit, si l’implant tient, la problématique psychologique associée, cause de la perte de la dent, l’est-elle nécessairement?

Le ligament qui fait la différence

Contrairement aux idées reçues, l’implant n’est en aucun cas l’équivalent d’une dent naturelle. En effet, il lui manque pour cela un élément essentiel : le ligament. Présent uniquement sur une dent naturelle, qu’elle soit vivante ou dévitalisée, le ligament est une structure fibro-élastique qui relie la racine à l’os. Le ligament permet d’amortir les chocs et contraintes liées à la mastication. Intermédiaire entre la dent et l’os, le ligament permet à la dent naturelle de dialoguer avec le reste du corps qui est ainsi informé de sa présence.

Implant dentaire en ankylose

Au contraire d’une dent naturelle, l’implant est dépourvu de ligament. La surface de l’implant est directement au contact de l’os auquel il adhère par un phénomène connu sous le terme d’ostéo-intégration. L’ostéo-intégration est en réalité une ankylose. L’implant adhère à l’os de manière rigide (rigidité qui n’est pas sans poser d’autres problèmes d’ordre mécanique, lire à ce sujet Le pratikadent, rubrique Ligament). L’implant est donc posé ou plutôt imposé au corps sans que celui-ci ait la possibilité de le reconnaître comme une structure lui appartenant.

Sans prise de conscience ni travail de préparation spécifique, l’implant reste donc un corps étranger, plus ou moins toléré mais non intégré au corps. Le fait que l’implant tienne ne signifie donc pas que la problématique psychologique associée à la dent perdue, a été résolue.

Rejet de l’implant

Un implant qui est rejeté, doit donc être pris au sérieux. Les échecs implantaires s’expliquent par le fait que le terrain osseux où on implante n’est pas neutre mais chargé de toutes les émotions négatives et du vécu lié à la dent que l’implant est censé remplacer. Au-delà de la mémoire dentaire, perdure donc une mémoire osseuse qui, si elle reste silencieuse dans de nombreux cas (ce qui explique l’intégration apparente de l’implant), peut parfois se manifester avec violence. Ainsi s’expliquent certains problèmes implantaires : douleurs post-opératoires anormales, cicatrisation difficile avec évolution vers la fibrose, inflammation et infection ou péri-implantite, mobilité et perte de l’implant…

Avant la pose d’un implant dentaire

Pour anticiper ou résoudre les somatisations survenant lors de la pose d’un implant, il est utile de se préparer pour aborder l’intervention en conscience des enjeux émotionnels associés à la dent. Dans ce but, il est nécessaire de comprendre le sens de la dent à remplacer et également de s’intéresser aux causes profondes qui ont motivé sa perte (abcès, déchaussement, carie…). Par exemple, si l’implant fait suite à une dent extraite pour cause d’abcès, il est nécessaire de prendre conscience qu’on a refoulé une violente colère qui s’est traduite par un abcès et que cette charge émotionnelle perdure au sein de la structure osseuse. Un travail libératoire par prise de conscience est donc nécessaire avant d’aborder la pose de l’implant. À cette condition, l’implant peut représenter une réhabilitation de l’organe dentaire détruit dans ses dimensions physique et psychologique.

Estelle Vereeck

http://www.holodent.com/

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Les dents, outil de transformation

Posté par othoharmonie le 3 janvier 2013

Le décodage dentaire, outil de transformation personnelle

Selon Deepak Chopra, nous changeons constamment de corps. C’est ainsi que 98 % des atomes du corps sont remplacés une fois par an. L’eau de notre corps, soit environ les deux tiers du poids, est renouvelée en 20 jours.

L’épiderme se renouvelle une fois par mois, la muqueuse gastrique tous les cinq jours. Un nouveau foie est fabriqué toutes les six semaines. Et nos dents?

Les dents, outil de transformation dans Tests de personnalité dentaire1-228x300La dent, point de cristallisation

Dans ce vaste turn-over cellulaire, nos dents font partie des 2 % qui ne se renouvellent pas, un point de fixation. Structure formée par un empilement de cristaux de forme hexagonale, le minéral dentaire engramme notre vécu et ce dès le début de la formation de la dent. Dès la naissance et même dès la vie utérine, nos dents enregistrent et fixent les émo

tions et stress que nous subissons. Réceptacle de notre mémoire, ce n’est pas un hasard si la dent est un organe doté de racines. Elle porte en effet les racines de notre passé: personnel, familial et même ancestral.

L’intégralité de notre histoire est gravée dans notre bouche, semblable au temple intérieur dont les dents sont en quelque sorte les colonnes porteuses.

Caries et mémoire dentaire

Pour évoluer et parvenir à changer vraiment nos concepts, idées, croyances et habitudes, il nous faut prendre compte la mémoire dentaire. Contrairement aux autres cellules de notre corps, la dent, organe cristallisé ou fossile, ne peut se renouveler mais procède par empilement. Couche après couche, la dentine, tissu situé sous l’émail, est constamment déposée de l’extérieur vers l’intérieur de la dent, au sein de la cavité centrale qui abrite le nerf ou pulpe. De même, constamment, nos émotions et nos stress cristallisent également, en couches déposées successivement, à l’intérieur de la dent.

Comme il n’a pas les moyens d’évacuer cette mémoire, notre corps utilise la pathologie (carie, déchaussement, etc.) pour détruire les cristaux et ainsi effacer la mémoire qu’ils portent. Sans prise de conscience, les soins et travaux dentaires (pose de plombage, couronne, orthodontie…) enfouissent un peu plus les blocages qui cristallisent de plus en plus profondément dans la structure dentaire. C’est particulièrement le cas quand du métal est utilisé (plombage ou amalgame au mercure, couronne en métal) car le métal est une chape étanche sous laquelle les émotions sont enfouies.

Lever les blocages par le décodage de la mémoire dentaire

Tout problème dentaire est le signal d’une transformation intérieure à opérer, un appel à actualiser notre mémoire dentaire. Il appartient à chacun, par la prise de conscience, d’effectuer le nettoyage ou digestion des émotions engrammées, évitant ainsi au corps d’avoir à le faire à notre place.

Sur le plan intérieur, il arrive un point dans l’évolution personnelle où la mémoire dentaire doit être prise en compte. Faute de quoi, on se heurte à un blocage : la mémoire dentaire cristallisée fixe les problématiques passées et nous ramène sans cesse en arrière.

La première étape consiste à décoder les problématiques émotionnelles inscrites dans les dents grâce à l’analyse d’une radio panoramique. La seconde étape est de faire procéder à la dépose des éléments métalliques, cette dépose devant se faire en conscience sur la base des informations données par l’analyse psychodentaire. Ainsi des blocages anciens peuvent être levés et des transformations s’opérer.

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/

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Le sens sacré des dents

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2012

 

Carrefour entre différents mondes, point de rencontre entre haut et bas, intérieur et extérieur, visible et invisible, la bouche et les dents sont le support de multiples fonctions

Si la mastication est la plus évidente, c’est loin d’être la seule. Nos dents servent également à parler, fonction spécifiquement humaine. Elles participent à la séduction, à l’esthétique du visage, et sont le support de l’image sociale.

Le sens sacré des dents dans Tests de personnalité implant_dentaire-228x300Autre fonction, malheureusement ignorée, les dents sont un système de perception ultra sophistiqué, un référentiel spatial qui participe à la verticalité de la posture. Richement innervées, connectées directement au cerveau par un nerf crânien (trijumeau), les dents sont des sources d’informations (température, pression), aussi essentielles que les yeux, dans un autre registre de sensations. Même si c’est la plus mal connue, ce n’est pas la moindre de leur fonction car elle concourt à la station debout qui signe notre humanité. Là où l’animal s’empare de son environnement d’une manière concrète, en l’incorporant au sens littéral par la prise de nourriture, l’homme l’appréhende de manière plus subtile en prenant des informations grâce aux capteurs ultrasensibles que sont les dents. Ainsi on constate que les personnes édentées vieillissent moins bien que les autres. La perte des dents affecte leurs repères spatiaux. Leur mémoire et leur capacité de s’orienter dans l’espace s’en trouvent altérées.

Voir dans la dent un simple outil de mastication est très réducteur. Pourtant c’est cette fonction animale qui a conditionné de manière profonde notre perception de la dent. En effet, le mot dent vient de la racine ed qui signifie mâcher. La dent est d’abord vue comme une meule broyeuse, un instrument qui malaxe. Du moins est-ce la fonction que nous avons choisi de privilégier dans une vision matérialiste, extérieure ou animale. Les Hébreux voient bien autre chose dans ces fragments minéraux qui garnissent nos mâchoires. La lettre Shin a pour hiéroglyphe d’origine une dent, plus exactement une molaire dont elle reproduit les trois racines dirigées vers le haut, symbolisant ainsi la racine dans la tête, c’est à dire l’esprit. Shin, qui a donné shen la dent, représente l’esprit, le feu divin qui pénètre toute la création. Comme les hébreux, les peuples anciens ont su percevoir la nature hautement spirituelle de nos dents. Dans l’Amérique précolombienne, les Mayas les limaient pour leur donner une forme particulière et y incrustaient des pierres (jade, pyrite, obsidienne). Ces ornements constituaient un code en rapport avec le rôle social ou spirituel dont le personnage qui les portait était investi. On peut voir, aujourd’hui encore, au musée de Mexico les dents incrustées de disques de jade de l’empereur Maya. Les dents sont associées au pouvoir, à la force intérieure ou spirituelle. C’est ainsi qu’on a retrouvé des bracelets faits de défense de sanglier dans des tombes préhistoriques. En Orient, on pensait que les sages ou les personnes supérieurement évoluées avaient plus de dents que le commun des mortels. Le Bouddha est traditionnellement représenté avec quarante dents. Au début de notre ère, une confrérie de philosophes avait pour coutume d’examiner la bouche de tout candidat potentiel à leur cercle avant de l’admettre. Ils affirmaient en effet pouvoir lire dans la conformation de la bouche et des dents le reflet de l’âme plus sûrement que dans n’importe quelle autre partie du corps. Les romains considéraient la bouche comme le vestibule de l’âme. Le rituel de la pièce d’or ou d’argent glissée dans la bouche du défunt sitôt après sa mort afin qu’il puisse s’acquitter de son obole auprès de Charon, le passeur des enfers, et ainsi gagner le séjour des âmes, atteste de la haute valeur symbolique qu’ils attribuaient à cette zone. A travers le mythe de Charon, on devine que la bouche est un lieu de passage: entre jour et nuit, mort et vie, soi et Soi. C’est une porte ouverte sur les profondeurs de l’inconscient ou de l’âme. C’est un lieu d’initiation.

A mi-chemin entre extérieur et intérieur, la bouche est un sas interposé entre deux mondes. Les mots en sortent et la conscience s’y intériorise comme dans un temple. La bouche est un lieu de transition, de transformation: de la nourriture à un premier niveau, de soi à un niveau plus subtil. Transposé à l’âme, le processus de digestion qui commence dans la bouche s’apparente à une décantation, à la purification et au raffinement des éléments qui composent la personnalité, à la transformation de la matière vile en matière noble, telle que la rêvaient les anciens alchimistes. Une dent qui s’abîme est le signe qu’on est resté bloqué dans le passage, faute de pouvoir mener à son terme le processus de transmutation. Le langage des dents est celui de l’âme, de l’inconscient. Chaque problème dentaire est porteur de sens ou peut le devenir pour peu qu’on accepte l’initiation proposée. La bouche est un temple, une cathédrale dont chaque dent est un pilier qui possède une fonction et un sens bien précis. Aucune dent, fut-elle de sagesse, n’est superflue, chacune de nos trente-deux sculptures vivantes a sa place dans notre bouche. Si les anciens l’avaient compris, nous, les modernes, avons malheureusement oublié cette vérité. Tandis que la science progressait, le sens sacré de nos dents s’est perdu. Pour beaucoup, la dent n’est plus que ce corps inerte, sorte de cailloux planté dans nos mâchoires, dont la fonction se limite à mâcher et qu’on livre par nécessité aux soins du dentiste. La perte du sens nous a conduit à maltraiter nos dents. On n’hésite pas, par exemple, au nom de la « prévention » à extraire systématiquement les dents de sagesse au prétexte qu’elles seraient vouées à disparaître (ce qui est faux). Ces extractions mutilantes infligent souvent des dégâts irréparables à la cathédrale dentaire et à l’être. En effet, c’est par ces dents qu’on entre en contact avec le divin. Au dix-septième siècle on les surnommait les « dents du sens ». La dent de sagesse représente notre noyau d’énergie le plus profond, notre potentiel créateur, notre germe d’immortalité. L’arracher de manière prématurée (comme cela se pratique actuellement dès l’âge de douze ans), c’est tronquer le potentiel de l’individu, le couper de la part la plus sacrée de lui-même, lui fermer la porte de l’âme en quelque sorte.

Abordé sous l’angle symbolique, la question des « plombages », tant controversés, trouve une réponse évidente. Songeriez-vous à restaurer une cathédrale avec de la tôle ondulée ou un temple égyptien avec du béton armé? De nombreuses personnes les font aujourd’hui retirer. Cependant, remplacer un matériau toxique par un autre biocompatible n’est pas suffisant si on reste dans la logique mécanique du trou qu’il faut boucher. Il est impératif de comprendre le sens de la dent plombée et pourquoi la carie l’a détruite. Cette prise de conscience est de la responsabilité du patient qui doit se préparer à la dépose et s’y investir activement et non attendre du dentiste « holistique » qu’il prenne en charge l’intégralité du problème. Mené dans cet esprit, la dépose des « plombages » s’apparente à un véritable travail spirituel de transmutation du plomb en or. Quelque soit le problème, la participation du patient, sa manière de vivre l’acte s’avèrent déterminantes dans le processus de guérison. L’état d’esprit avec lequel est abordé le soin compte au moins autant que le soin dentaire lui-même. Il est vain, voire dangereux, d’attendre du dentiste, même « holistique », qu’il prenne en charge l’intégralité du problème. Restaurer sa cathédrale dentaire, c’est se restaurer soi-même. Fait avec la conscience, le soin et l’amour qu’il mérite, ce travail donne l’opportunité d’être un peu plus enraciné et présent à soi-même. Un peu plus vivant en somme. La cathédrale dentaire redevient alors ce qu’elle n’a jamais cessé d’être: le temple de l’âme.

 

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/

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Décodage dentaire et personnalité

Posté par othoharmonie le 7 décembre 2012

 

Dans des articles précédents, nous avons vu comment le langage des dents permet de décoder un problème ponctuel : carie, déchaussement, abcès ou autre problème sur une dent en particulier.

Appliqué au décodage d’une radio panoramique, le langage des dents permet d’aller encore plus loin en appréhendant la personnalité dans sa globalité. 

 La radio panoramique dentaire est un outil précieux en décodage dentaire. Base du diagnostic psycho-dentaire © mis au point par Estelle Vereeck, ce simple rectangle de papier recèle bien des informations et son analyse réserve quelques surprises.

Décodage dentaire et personnalité dans Tests de personnalité dents

Empreinte du vécu

L’analyse d’une radio panoramique à la lumière du langage des dents permet d’accéder au vécu d’une personne. Pour autant, il n’est pas question de voyance ou de divination. Le vécu auquel donne accès le décodage dentaire se lit, non en termes d’événements, mais de traces laissées par ces événements dans l’inconscient. Les atteintes dentaires que sont extractions, dents dévitalisées ou obturées sont autant de cicatrices d’un vécu douloureux qui s’est imprimé dans le psychisme. Par exemple, la dent du père (première molaire supérieure gauche) extraite ou très abîmée indique un rapport difficile avec l’autorité paternelle. En revanche, le décodage dentaire ne permet pas de savoir comment ce rapport difficile s’est traduit en terme d’événements: père absent ou au contraire écrasant par son autorité, père tyrannique, immature, etc.

Cerner la problématique fondamentale

Le but de la lecture du diagnostic psycho-dentaire est moins de raconter l’histoire d’une personne de A à Z que de cerner sa problématique fondamentale. De quoi ai-je le plus souffert? Quel est mon problème essentiel qui sous-tend aujourd’hui encore tous mes comportements et m’empêche de m’épanouir affectivement ou de réussir socialement ?

Accéder au noyau de la personnalité

Si le diagnostic psychodentaire est une porte d’accès privilégiée à l’inconscient, c’est parce qu’il permet d’accéder d’emblée et sans détours au plus fondamental de l’être. La radio panoramique révèle le noyau secret de notre personnalité, la structure la plus profonde qui s’est construite sur les trois premières années de notre vie. Ce sont donc les blessures, carences et croyances du tout petit enfant qui se révèlent grâce à cette analyse. Le diagnostic psychodentaire nous plonge au cœur de notre structure, nous ramène là où tout a commencé, aux racines de notre personnalité, là où s’est cristallisé notre rapport au monde. Le diagnostic psychodentaire révèle le squellette de la personnalité, fait de croyances modelées par un vécu si ancien qu’elles sont profondément enfouies dans l’inconscient.

Surprises et révélations

En écoutant le petit enfant qui vit toujours en nous et parle à travers nos dents, on peut avoir quelques révélations et aussi quelques surprises. De nombreux mécanismes de défense qui sont autant de voiles, ont été déposés par le mental sur la souffrance première de l’enfant pour justement ne plus souffrir, ne plus voir, ne plus ressentir la blessure primordiale inscrite entre zéro et trois ans. Par exemple, une femme qui n’a jamais eu que des rapports distants avec sa mère et se pense détachée d’elle pourrait découvrir qu’en réalité la petite fille en elle est restée en fusion avec la figure maternelle, prisonnière d’une quête d’amour impossible à obtenir. Dès lors elle réalisera que son détachement est une posture destinée à ne pas ressentir l’énorme besoin d’amour maternel non satisfait. Au passage, elle comprendra pourquoi, en dépit de tous ses efforts, elle ne parvient pas à devenir maman elle-même. Comment devenir mère quand on est restée une petite fille assoiffée d’amour ? Autre exemple, cet homme qui depuis l’adolescence est en révolte contre ses parents et se pense affranchi de leur autorité pourrait découvrir qu’il est en réalité au plus profond de lui totalement fidèle à leurs idées, leurs valeurs, leurs croyances et que son comportement « de surface » n’est qu’une réaction destinée à masquer cette réalité évidemment difficile à accepter.

Au cœur de soi

L’analyse d’une panoramique par le diagnostic psycho-dentaire mène directement au cœur de soi. C’est son avantage et son défaut. Il faut être prêt à réaliser qu’on est peut-être pas celui ou celle qu’on croyait être et que les comportements qui font notre personnalité sont des strates construites sur un schéma beaucoup plus profond, cristallisé au cours des trois premières années de la vie et la plupart du temps totalement inconnu de nous. Pour bénéficier d’une telle analyse, il faut être prêt à lâcher les a priori qu’on a sur soi et à renverser la vision de qui on pense être.

Incomparable outil 

Le diagnostic psycho-dentaire délivre des informations essentielles. Pour autant, ce n’est que le début du travail. Seule ou accompagnée, la personne doit ensuite travailler ce matériau qui lui est donné, s’approprier les informations données en les mettant en perspective, à la fois avec son vécu passé et ses comportements présents. Ce travail lui permettra de comprendre comment, par quels mécanismes de réaction, de compensation et d’adaptation, elle est devenue celle qu’elle est ou croit être aujourd’hui.

Le diagnostic psycho-dentaire est une voie directe vers soi pour tous ceux qui osent ou sont prêts à l’emprunter.

 

Estelle Vereeck
http://www.holodent.com/

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Végétarisme

Posté par othoharmonie le 11 août 2011

Le végétarisme en 11 questions

 

Végétarisme dans Tests de personnalité thank_s_giving014Afin de débusquer les idées reçues en matière d’alimentation végétarienne, nous avons demandé à l’Alliance végétarienne de vous proposer un petit test de connaissances puis de vous faire découvrir ses réponses. A vos stylos !

 par Lionel Reisler paru aux Editions G.Productions.presse  

 

Testez vos connaissances !

1.     les végétariens mangent du poisson :   Oui   -   Non 

2.     la cuisine végétarienne est longue à préparer :   Oui   -   Non 

3.     manger végétarien est économique :   Oui   -   Non 

4.     manger végétarien est compliqué :   Oui   -  Non 

5.     l’alimentation végétarienne aide à maigrir :   Oui   -   Non 

6.     l’alimentation végétarienne est carencée :   Oui   -   Non 

7.     cette alimentation prévient certaines maladies :   Oui   -   Non 

8.     les sportifs peuvent être végétariens :   Oui   -   Non 

9.     l’élevage moderne aide à lutter contre la faim dans le monde :   Oui   -   Non 

10.   le végétarisme convient aux femmes enceintes :   Oui   -   Non 

11.   le végétarisme peut aider à la guérison de certaines maladies :   Oui   -   Non

 

 doigt dans Tests de personnalité     Découvrez les réponses ! 

(*) Lionel Reisler est président-fondateur de l’Alliance Végétarienne. Il est végétarien depuis 40 ans et père de 4 enfants tous végétariens de naissance. 

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Synergologie

Posté par othoharmonie le 15 mai 2011

RDV sur : blogue synergologique de Philippe Turchet 

 

Ce blogue est destiné à populariser une discipline, la synergologie dont l’objet est de mieux comprendre le fonctionnement de l’esprit humain à partir de la structure de son langage corporel. (http://www.synergologie.org) Il permettra également de répondre aux questions que les lecteurs de mes ouvrages se posent et auxquelles les livres ne répondent pas toujours. Ce blogue sera enfin l’occasion d’échanger autour de l’actualité de la communication non verbale

 

 

 

 

Synergologie dans Tests de personnalité AMOUR-mains-nez-doigt-FEMME-rouge-main-98257    Se tortiller les cheveux : J’ai une idée derrière la tête 

 

Je reviens sur moi.

Si vous observez avec exactitude le mouvement de la main, vous risquez de vous apercevoir qu’elle ne part pas directement vers son interlocuteur. Si la main part vers l’extérieur c’est également le signe que la nature des pensées de cette personne est extérieure à son interlocuteur. Pour savoir exactement ce qui se passe, il est indispensable de repérer si la personne cligne des yeux à notre contact, si elle le fait, elle est encore avec nous. Si elle ne le fait pas, elle est revenue dans son monde. C’est généralement le cas et vous notez alors qu’elle est alors assise très en arrière par rapport à vous.
Ce geste est assez rare si la personne se tient en station debout. 

 

 

 

 

 

reflech4 dans Tests de personnalitéSe prendre le menton : Je suis tout ouïe 

 

La personne est extrêmement attentive. 

Une très légère gêne est décelable au retour vers la bouche de l’annulaire.

La main fait la jonction entre la bouche et l’oreille pour que nous puissions écouter dans les meilleures conditions.
L’axe de tête partant du côté de la main montre une forme d’abandon positif. Votre interlocuteur a mis de côté sa vigilance. 

 

 

 

 

robert-pattinson-se-gratte-le-nez-avec-grace_27990_w80    Se gratter le nez : Ce que je sens me dérange 

 

 

Je n’aime pas ce que je vois

Ce que je vois n’est pas conforme à ce que je voudrai voir. Ca me concerne directement.
Pour parvenir à cette interprétation il a fallu prendre en compte :

1. la zone du visage.
2. Le côté du visage.
3. le doigt impliqué dans la micro-démangeaison. 

 

 

 

sticker-fillette-qui-se-gratte-la-tte-poux,21496624   Se gratter la tête :  Vous me renvoyez à moi… et à ma plastique 

 

 

Je vous montre ma présence sensuelle. 

(geste mi-conscient, mi-inconscient)

Dans cette situation, le fait que ce soit la main gauche qui soit utilisée est particulièrement important. Proféré avec la main droite, il aurait eu une toute autre signification.
Ici cette personne est renvoyée à elle-même par le regard de l’autre. Dans plus de 70 % des cas, ce type de geste est réalisé avec un sourire.

Ce geste est réalisé autant par les hommes que par les femmes. En fait la condition nécessaire à le voir se produire est que la personne porte les cheveux longs. 

 

 

 

 

 

0511_throattickle_120x120-714938     Se gratter l’oreille : Je jouis de ces propos 

 

 

Grand bien-être. 

La nature matérielle voire sensuelle de la situation attire notre main vers le bas de l’oreille.

Ici :
1. La main intervient sur le lobe.
2. Il s’agit du lobe gauche.
3. Il s’agit de la main gauche.
4. Le geste est une microcaresse.

Ce que j’entends est bien agréable et me touche personnellement. J’aide les mots à entrer et rester dans l’oreille. 

 

 

 

nu85qpnqSi vous voulez en connaître plus sur la SYNERGOLOGIE, alors cliquez ici….    

Et y faire tout plein de découvertes comme celles-ci par exemple :

 

 ·         Se faire entendre avec les mains ! 

·         Québécois et français : entre joue gauche et joue droite. 

·         Le terrain de jeu des baisers. 

·         Lorsque la princesse tire la langue_prise 2 

·         Lorsque la princesse tire la langue 

·         Clignements de paupières et préférences électorales. 

·         Ecriture et esthétique… 

·         La mauvais humeur a des vertus !

Bonne-visite16

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Morpho-visage

Posté par othoharmonie le 10 juillet 2010

 Morpho-psychologie : personnalité selon la forme du visage 

 Le décryptage de Christophe Drouet, morpho-psychologue

Morpho-visage dans Tests de personnalité morpho2

 

Votre visage : 

Il est rond, vos joues sont pleines et rebondies. On vous dit souvent que vous avez une frimousse de poupée ou poupon. Les lignes de votre visage lui donnent une certaine douceur, pareille à celle d’un enfant. 

> Vos qualités : Ouverture et souplesse, vous savez vous adapter. Vous êtes une personne gentille, chaleureuse, spontanée, optimiste, et parfois un peu naïve et sans défense. Au travail, avec vos amis ou en couple, vous prenez les choses du bon côté, cherchez la conciliation plutôt que l’affrontement. 

> Vos points faibles : Attention, vous vous exprimez très facilement au risque de regretter vos paroles. Votre optimisme peut vous conduire à surestimer vos forces ou à survaloriser celles des autres. 

> Vos valeurs : le matérialisme, le pragmatisme et l’épicurisme. Pour vous, la vie est une sorte de grand jeu avec de nombreuses possibilités de se faire plaisir. D’une grande vitalité, vous aimez en profiter. 

fleur

Votre visage : il n’est ni rond ni creusé, plutôt ovale et équilibré. C’est la forme de visage la plus courante. 

> Vos qualités :  Calme, objectivité, vous savez résoudre les conflits avec diplomatie. Discrétion quand il le faut, vous vous montrez aussi ouvert avec les gens que vous appréciez. 


> Vos points faibles : Votre carapace ! Très réservée, vous cachez votre sensibilité, vos sentiments et vos émotions. 

> Vos valeurs : la vérité et l’objectivité. Vous trouvez le monde et les gens complexes, c’est pourquoi vous prenez le temps d’y voir clair avant de prendre position, car vous avez peur de vous tromper. D’une manière générale, vous vous méfiez de tout ce qui est définitif et catégorique : les dogmes, les opinions tranchées, les décisions irréversibles. 

fleur

Votre visage : Les traits du visage sont « creusés », les joues ne sont pas pleines, au contraire. Cela donne à la figure une forme triangulaire. 

> Vos qualités : Indépendance, hypersensible, sélective. Rigoureuse, vous aimez contrôler les choses. Dotée d’une grande capacité d’analyse, vous préférez observer et écouter avant d’agir. 

> Vos points faibles : Au premier abord, vous êtes froide et distante, mais les relations se réchauffent lorsqu’on apprend à vous connaître. Au quotidien, vous êtes plutôt critique, pessimiste et susceptible. Vous trouvez la vie compliquée, dangereuse et difficile. 

> Vos valeurs : L’authenticité, la sincérité. En toute chose et notamment dans vos relations, vous recherchez ce qui est rare et profond, intense ou subtil, fort ou durable. Vous préférez la solitude à l’abondance de relations superficielles. 

fleur

Votre front : Le front est haut et dégagé, assez prépondérant. Les cheveux sont implantés sur le sommet du crâne. 

> Votre intellect : Vous avez une grande capacité à digérer l’information. Vous aimez apprendre et vous êtes capable d’étudier des sujets ardus ou complexes. Maths, physique, philosophie…, votre intelligence a besoin d’un domaine pour s’exprimer.   


> Votre tempérament : Très prudente, vous repérez facilement les dangers et savez les évaluer. Vous n’aimez pas les risques et tout ce qui s’y rapporte : l’inconnu, le désordre, le flou, l’ambiguïté et l’irrationnel. Ce que vous recherchez, c’est la clarté, la sécurité, l’ordre et la « normalité ». Vous avancez lentement mais sûrement et toujours à l’intérieur d’un cadre défini à l’avance. 

fleur

Votre front : Le front est de taille moyenne, ni trop haut ni trop étroit. 

> Votre intellect : Vous avez une intelligence de bon niveau, apte à capter une diversité de situations. Votre devise : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement« . Vous aimez les idées claires, les conceptions évidentes et imagées. Ce qui fait de vous une personne très pédagogue et organisée. 

> Votre tempérament : Le mental est un aspect de votre personnalité, mais vous misez également beaucoup sur les sentiments et l’intuition. Ce mélange de rigueur et d’imagination fait de vous une personne équilibrée, capable de dénouer les situations les plus difficiles. 

fleur

Votre front : Le front est étroit, les cheveux sont implantés assez bas sur la tête, le visage n’est pas très allongé. 

> Votre intellect : Les problèmes et les casse-têtes, très peu pour vous ! Pour appréhender la réalité, le mental n’est pas votre outil de prédilection. Très indépendante, vous n’aimez pas perdre votre temps à examiner les choses, à les décortiquer de manière tenace et rigoureuse. 


> Votre tempérament : Vous êtes une fonceuse. D’abord on fait, après on réfléchit ! 

Vous préférez apprendre en agissant, et tirer les leçons de vos erreurs. Vos idées et vos principes proviennent de votre expérience. 

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Vos yeux : Ils sont grands et illuminent le visage. 

> Vos atouts : Qui dit grands yeux, dit grands récepteurs. D’autant plus s’ils sont clairs ! Vous avez une ouverture d’esprit incroyable et une curiosité intellectuelle insatiable. Au quotidien, vous fuyez l’ennui et votre imagination très développée vous porte vers les domaines créatifs. 

> Vos points faibles : Vous avez tendance à  »absorber » la réalité. Le hic : s’il y a trop d’informations, vous n’arrivez pas à vous concentrer, vous vous montrez distraite. Attention également à votre hypersensibilité, car vous pouvez réagir très fortement à certaines situations. 

fleur

Vos yeux : Vos yeux sont petits et enfoncés. 

> Vos atouts : Qui dit petits yeux, dit petits récepteurs. Vous avez une intelligence thématique et sélectionnée. Rigoureuse et organisée, vous aimez réfléchir sur un problème à la fois et le résoudre avant de passer à autre chose. Car vous ne supportez pas de vous disperser. Mais quand quelque chose vous intéresse, vous vous donnez cœur et âme. 

> Vos points faibles : Vous vous montrez parfois un peu obtuse et bornée. Essayez de vous ouvrir davantage aux choses qui, a priori, ne vous passionnent pas. Elles vous seront forcément utiles un jour. 

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Votre nez : Le nez est petit et court

> Vos atouts : Idéaliste et profondément gentille, vous êtes une grande sensible. Votre émotivité à fleur de peau et votre douceur enfantine font de vous une personne attachante. 
> Vos points faibles : Parce que vous êtes souvent sur la défensive, il est difficile d’entrer dans votre intimité. Vous vous méfiez de ce qui vous est étranger, vous vous repliez sur vous-même face à une difficulté, alors que le problème est bien souvent dans votre tête ! 

fleur

Votre nez : Le nez est allongé et plutôt fin. 

> Vos atouts : Vous êtes dans l’action et dans la décision. Vous vous intéressez à tout ce qui bouge, change, apparaît, évolue, se transforme : le sport, les voyages, les découvertes culturelles. Dynamique, vous avez sans cesse besoin de mouvement, de liberté, d’espace et de projets.  


> Vos points faibles : Vous avez tendance à fonctionner comme une adolescente, vous essayez tout sans réellement vous engager, vous courez après un idéal « inaccessible »…  d’où une certaine insatisfaction chronique. Vous aimez prendre des décisions, des initiatives. Ce côté « petit chef » vous handicape dans vos relations aux autres. Car vous aimez faire les choses rapidement et à votre manière, et tant pis pour ceux qui ne sont pas d’accord ! 

fleur

Votre nez : Le nez est aquilin, replié sur lui même, avec une petite bosse.

> Vos atouts : Entière, vous avez horreur de toutes les qualités intermédiaires : la tempérance, la mesure, la douceur, la lenteur, l’objectivité. Soit vous aimez, soit vous détestez. Vous, vous avez besoin d’admirer, de vous passionner et de vous investir à fond dans quelque chose qui en vaille la peine. Cette fougue vous confère un certain charisme et un enthousiasme contagieux. 


> Vos points faibles : Vous êtes trop sensible aux apparences, qui sont parfois trompeuses. A trop vouloir ressembler aux « grands » de ce monde et à multiplier les folies, vous risquez de vous fatiguer. Attention également à ne pas vous marginaliser à cause de vos principes, apprenez plutôt à faire des concessions. 

fleur

Votre bouche : La bouche est fine, les lèvres sont bien dessinées. 


> Votre sensualité :
Vous avez une sensualité mesurée et sélective, vous recherchez la qualité et non la quantité. Vous privilégiez certains sens et avez tendance à négliger les autres. 


> Ce que vous appréciez : Le raffinement, les choses bien faites, la belle langue, les jolies présentations, la subtilité. Votre goût vous pousse vers les extrêmes et vous appréciez de tout connaître d’un domaine.  

fleur

Votre bouche : La bouche est grande, les lèvres sont épaisses, pulpeuses.

> Votre sensualité : Vous avez une sensualité ouverte et épanouie. A la recherche du plaisir, vous êtes une épicurienne, une vraie. Vous dégagez ainsi une confiance en vous et une aura très attractive pour les autres
> Ce que vous appréciez : L’échange ! Vous aimez profiter des choses d’ici bas, goûter à la nouveauté et surtout les partager avec d’autres, donner et recevoir. 

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Ma mâchoire : La mâchoire est large, prononcée. 

> Mes atouts : La mâchoire large est généralement signe de force, de résistance physique. Elle indique un réel sens pratique au quotidien. En amour, vous êtes entreprenante. Faire le premier pas ne fait pas peur, au contraire, vous aimez diriger vos relations affectives comme professionnelles. Active et combattive, vous savez défendre votre territoire. 


> Mes points faibles : L’impatience ! Vos besoins doivent être assouvis, vous supportez difficilement la frustration. 

fleur

Ma mâchoire : La mâchoire est peu développée, le bas du visage est ovale.

> Mes atouts : Raffinée, exigeante, vous aimez profiter des plaisirs de la vie tout en privilégiant la qualité de vos relations. Vous êtes une personne profonde, en quête de valeur et d’authenticité. Avec les autres, vous aimez les ambiances de communion, l’intimité harmonieuse. Vous vous imposez tout en finesse

> Mes faiblesses : Vous êtes très attachée aux traditions, ce côté conventionnel vous bloque parfois. Très exigeante, vous manquez de tolérance à l’égard de vos proches que vous n’épargnez pas au moindre faux pas.  

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LES MAINS 

La signification des mains à un rapport indirect avec la chiromancie, nous pouvons les interpréter de manière différente car pour la chiromancie, c’est les lignes de la main que l’on interprète. 


Voici donc les significations des mains ci-dessous

- Si vous possédez des mains grosses et courtes, cela signifiera que vous êtes une personne d’un tempérament plutôt vaniteux, travailleurs mais vous aurez plutôt tendance à vivre dans le mensonge. 

- Si vous possédez des grandes mains, cela signifiera que vous êtes une personne d’un tempérament pacifiste et plutôt serviable. 
 


- Si vous possédez des mains velues avec des doigts boudinés, cela signifiera que vous avez un tempérament plutôt luxurieux et que vous possédez un esprit peu subtil. 

- Si vous possédez des mains fines avec des proportions agréables, cela signifiera que vous êtes une personne de bon sens et que vous êtes prudents dans toutes les circonstances. 
 


La signification des mains ne se fait pas qu’a l’apparence, elle se fait aussi en fonction de la teinte de celles-ci : 

- vous avez des mains blanches où jaune pâle, cela indiquera que vous êtes un individu instinctif et tranquille. 


- Vous avez les mains rouges, cela signifiera que vous êtes une personne plutôt active. 

- Vos mains sont d’un jaune accentué, cela signifiera que vous êtes mélancolique et pessimiste. 


- Vos mains sont de couleur sombre, cela signifiera que vous êtes une personne volontaire. 

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LES PIEDS Moins remarqué et pourtant peut-être beaucoup plus significatif car ignoré, le langage de nos pieds serait un miroir de l’âme quasi-indéfectible… 

Car si l’on a tous plus ou moins idée des signaux envoyés par certaines mimiques de notre visage   ou bien encore du maintien de notre corps, peu nombreux sont ceux qui savent déchiffrer ce que racontent nos pieds. Et pourtant attention! Ils en disent bien plus qu’il n’y paraît… 

Il existe trois formes de pieds : le pied grec, le pied égyptien et le pied carré.
Le pied grec possède le deuxième orteil (en partant du gros orteil) qui dépasse des autres. Lorsqu’on a le pied grec il faut se baser sur cet orteil plus grand que les autres pour choisir la longueur de ses chaussures. Le pied grec est en forme de triangle. On dit que 25 % de la population aurait le pied grec. 

Le pied carré dit également auvergnat possède les trois premiers orteils de même longueur, puis les 4ème et 5ème orteils régressent. Le pied carré est également appelé pied romain. On dit que le pied carré est le plus facile à chausser. 6 % de la population aurait le pied carré.

Le pied égyptien possède le gros orteil plus long que tous les autres orteils qui vont en diminuant, c’est le plus propice à l’Hallux Valgus (déformation sur le côté). On dit que le pied égyptien est le plus difficile à chausser car la chaussure est soit trop petite pour le pouce du pied, soit trop grande pour les orteils. 65 % de la population aurait le pied égyptien.

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Grains de beauté

Posté par othoharmonie le 6 juin 2010

 

 

 VISITEZ CE SITE :    Grains de beauté dans Tests de personnalité 0002024B 

 

adresse ici :   http://marylynn.iquebec.com/grainsbeaute.html

  

La métoposcopie ou divination par les grains de beauté 


 

Les grains de beauté sont un peu comme les étoiles fixes de notre visage et de notre corps :
ils révèlent notre caractère et notre destinée. 

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De même que l’on peut décrypter les signes inscrits dans le ciel ou révélés par certains phénomènes naturels, on peut lire comme dans un livre ouvert sur notre visage, notre corps, dans la paume de nos mains, sous la plante de nos pieds, mais aussi dans nos attitudes, nos gestes et notre démarche. Tout ce que nous sommes transparaît dans le moindre de nos traits et dans notre comportement. Si nous savions utiliser ces techniques ancestrales à bon escient, nous serions sûrement moins dupes de nous-mêmes et des autres. Ainsi, nous saurions par exemple discerner du premier coup d’oeil le décalage et l’incohérence qui dominent la plupart des campagnes de publicité où sont associés un produit de consommation et une personne à la beauté plastique indéniable, mais dont les traits révèlent une indifférence, un désintérêt, voire même parfois un mépris affiché pour le produit en qu’elle présente.

      Parmi toutes les techniques empiriques se référant à des observations minutieuses et séculaires, la métoposcopie, ou divination par les grains de beauté, est l’une des plus anciennes et méthodiques qui soient. Elle fut en usage en Mésopotamie, en Égypte et en Chine, puis, comme beaucoup d’arts divinatoires et de pratiques ésotériques, connut un regain d’intérêt à la Renaissance. Voici quels enseignements l’on peut tirer de cet art divinatoire, qui est sans conteste l’une des sources d’inspiration de la morpho-psycholoqie moderne

 

 

 

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Langage des fleurs

Posté par othoharmonie le 12 mai 2010

Cliquez sur le bouquet Rhododendrons pour l'agrandir                            gifs

Ancolie 

folie – caprice 
Anémone  abandon – tristesse 
Asphodèle  regret 
Aubépine  espérance 
Azalée  amour sincère 

 Cliquez sur le bouquet Pink Paradise pour l'agrandir         

 

Bégonia 

cordialité – franche amitié 
Bleuet  délicatesse – pureté des sentiments 
Bougainvillée  aventure 
Bouton d’or  esprit d’enfance 
Bruyère  solitude 

 

fleur

 

Camélia: – blanc
…………..
- rose
………..- rouge 

beauté parfaite
admiration
repentir 
Capucine  raillerie – patriotisme 
Chardon  agressivité 
Chèvrefeuille  amour généreux – attachement 
Colchique  nostalgie 
Coquelicot  reconnaissance – consolation 

             

   Cliquez sur le bouquet Le Bouquet Parfumé pour l'agrandir                            Cliquez sur le bouquet Passion de Roses pour l'agrandir

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 fleur

Delphinium 

amour nostalgique 

Eglantier 

poésie 

Fuchsia 

ardeur du cœur 

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Géranium 

simplicité – consolation 
Giroflée  fidélité – promptitude 
Glaïeul  provocation 
Glucine  confiance réciproque – amitié précieuse 
Grenade  élégance – orgueil – ambition 
Hellébore  « soulagez mon anxiété «  
Hortensia  caprice 
Houx  force – éternité – agressivité 

     fleur

Iris 

heureuses nouvelles 

 

Jacinthe: – rouge
…………..
- bleue
……….- blanche 

douleur
constance
discrétion 
Jasmin: – jaune
…………- blanc 
grâce – élégance
amabilité 
Jonquille  désir – langueur d’amour 

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Laurier 

gloire – victoire 
Lavande  défiance 
Lilas : – blanc
……….- mauve 
innocence de la jeunesse – indocilité
premier amour 
Liseron  « unissons-nous » 
Lys  pureté – amour chaste 

 

 

Marguerite 

innocence – préférence 
Marronnier  bravoure – sombre mélancolie 
Mimosa  sensibilité 
Muguet  porte-bonheur 
Myosotis  ne m’oubliez pas 

Narcisse 

égoïsme – reproche : « vous n’avez pas de cœur » 
Nymphia  froideur – pureté du cœur 

 

fleur

Oeillet : – rouge
………..
- blanc
……….
- panaché
………..- jaune 

passion
talent
refus
dédain 
Oranger  virginité 

fleur

 

Pâquerette 

innocence – affection partagée 
Passiflore  passion mystique 

 fleur         

 

Romarin 

mémoire 
Ronce  peine – difficulté 

 

Sauge 

force – santé 
Souci  chagrin 

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Tournesol 

tromperie 
Trèfle  « pense à moi » 
Tulipe : – rouge
…………
- jaune
……. – panachée 
déclaration d’amour
amour sans espoir
admiration 

Vigne 

ivresse 
Violet  soupçon 

 

  fleur

 

Chêne : force – courage
Herbe : pureté – consolation – persévérance
Lierre : constance – fidélité éternelle
Olivier : sagesse – paix 

 

 

 

 

Cliquez sur le bouquet Bougainvillea pour l'agrandir                Cliquez sur le bouquet So Chic ! pour l'agrandir                   Cliquez sur le bouquet L'Orchidée Miltonia pour l'agrandir

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Coupe de cheveux

Posté par othoharmonie le 5 mai 2010

CE QUE REVELE

VOTRE COUPE DE CHEVEUX

Coupe de cheveux dans Tests de personnalité coupe1

 

 

 

ma_coupe_de_cheveux_a_20_ans_l_originalite2_feuillet_lien_colonne dans Tests de personnalité   Coupe asymétrique 


Vous possédez une certaine fraîcheur, une intelligence aiguisée et de l’énergie à revendre. Vous êtes une femme dépensière, mais généreuse. En amour, vous êtes une artiste. Vous avez le sens du spectacle et de la démesure. Vous aimez transposer votre vie sur une scène où vous faites l’actrice. Vous adorez profiter de l’instant présent et savez comment vous amuser dans l’existence. Mais attention, votre inspiration risque parfois de froisser des gens au passage. Votre grande force de caractère cache une hypersensibilité. Il faut apprendre à maîtriser votre grande étourderie, vous qui êtes tant occupée à chercher des divertissements.

product_964686b  Cheveux bouclés 


Vous êtes une personne faisant onduler l’air autour d’elle. Vous êtes en éternelle recherche d’harmonie et d’équilibre, mais c’est difficile à trouver quand on boucle. Tout comme les saisons, vous êtes dans un perpétuel recommencement. La boucle frivole fait de vous une habile séductrice : les hommes volent vers vous comme des papillons sur du melon. Mais vous avez de la difficulté à choisir le bon compagnon de vie. Vous avez un côté très bohème et adorez les plaisirs de la vie. Comme votre personnalité est très éclatée, vous avez tendance à vous éparpiller. Vous êtes une femme chaleureuse et sensuelle. Il est certain qu’à vos côtés, la vie n’est pas un long fleuve tranquille.
 
22888-norah-jones-les-cheveux-courts-156x133-1  Cheveux courts 


Vous êtes directe et franche et allez à la rencontre des autres sans détour. Vous aimez être entourée, recherchez le mouvement. Il faut que tout bouge vite et bien. Vous êtes une femme pratique et d’humeur joviale qui adore les relations humaines. Vous allez directement vers les gens sans aucune hésitation, au risque de blesser leur sensibilité ou de pénétrer dans leur bulle. Vous avez tous les talents pour tenir une maison d’une main de maîtresse : habile cuisinière, maman infirmière. Vous avez conservé votre candeur tout comme un enfant qui s’extasie devant la première neige. Toutefois, attention de ne pas faire preuve de naïveté.



  7d971c2c36leable2  Cheveux mi-longs 


Vous êtes une femme très créatrice, curieuse et imaginative. Vous avez une intuition incroyable. Mais cette immense curiosité, combinée à votre envie incroyable de mordre la vie à belles dents, vous pousse parfois à une grande indépendance. Vous êtes animée d’une passion dévorante pour les trucs qui vous intéressent ; une fois la nouveauté passée, votre enthousiasme s’estompe, ce qui dénote un manque de ténacité. Vous avez tendance à évoluer dans votre petit monde imaginaire et redessinez l’univers à votre image. Si quelqu’un se fraie un chemin jusqu’à votre esprit, vous lui faites confiance et pouvez dès lors vous confier les yeux fermés.

 
  copie-de-p8240148 Cheveux longs

Des gestes doux et des mouvements lents, voilà ce que les autres perçoivent au premier regard. Vous détestez l’excentricité et les attitudes explosives. Vous préférez la mode classique, celle qui dure toute une vie. Vous êtes une personne très secrète et cultivez votre jardin dans le plus grand silence. Vous êtes extrêmement exigeante envers vous-même, mais également avec ceux que vous estimez. Vous avez une opinion sur tout et aimez la partager. Attention de ne pas culpabiliser les autres avec votre air moralisateur. Une chose est sûre : vous êtes une personne juste et ponctuelle.

 

 

 foto%2520de%2520corte%2520de%2520pelo%2520medio  Vous portez la raie à gauche, vos cheveux sont coiffés avec un mouvement vers la droite.

Votre Caractère Actif, Vous Aimez Le Mouvement. Vous Ne Voulez Pas Perdre De Temps Sur Des détails, vous souhaitez aller à l’essentiel. Secrète, vous ne vous exprimez pas facilement sur vos sentiments alors que vous êtes pourtant très à l’aise dans les relations sociales.

Votre sensibilité reste votre jardin secret, vous préférez vivre de façon dynamique et avancer sans vous poser trop de questions.

 

 

stalgue3  Vous portez la raie à droite, vos cheveux sont coiffés avec un mouvement vers la gauche.

Profonde, réfléchie, vous aimez vous interroger sur la vie et vous-même. Vous préférez les relations intimes et authentiques, et n’êtes pas toujours à l’aise en société, où l’on vous demande d’être plus mondaine et superficielle. Très fidèle à vos amies, vous savez écouter les autres et les conseiller. Vous avez parfois du mal à agir et à vous décider, vous détestez ce qui va trop vite.


 

 

 

G_frange_balayee  Vous portez une mèche ou une frange sur le front.

Votre coiffure révèle votre caractère sensible. Vous avez besoin de vous protéger de l’extérieur et de garder une petite barrière entre vous et les autres. Cela traduit une certaine timidité et une tendance à vous refermer dès que vous avez le sentiment d’un obstacle ou d’une opposition.

Vous possédez une grande délicatesse et une intuition importante, dont vous ne vous servez pas suffisamment.

 

 

 

coiffure_gonflee_reference  Vous tirez vos cheveux vers l’arrière, en queue de cheval, ou les ramenez vers le dos de la tête s’ils sont courts.


Ce que ça veut dire : Votre coiffure révèle votre ouverture au monde. Vous abordez la vie de façon directe et n’avez pas peur d’aller de l’avant. Franche, ouverte, dynamique, votre énergie active peut parfois vous faire manquer de finesse, car vous ne faites pas toujours dans le détail, vous allez à l’essentiel rapidement.

Optimiste, chaleureuse, vous aimez le contact avec les autres. Mais vous avez tendance, parfois, à vous faire des idées un peu trop arrêtées sur le caractère de l’un ou de l’autre, et à ne plus vouloir en démordre !

 

 

032740a_05  Vous portez les cheveux courts, votre coiffure découvre votre nuque.


Votre coupe révèle votre caractère entier. Vous aimez vous montrer sans apparat, vous préférez découvrir vos qualités et vos défauts, plutôt que d’avoir à jouer de diplomatie et de délicatesse. Qu’on vous prenne comme vous êtes, sinon tant pis ! 

Votre caractère franc, un peu raide, peut parfois dérouter. Vous ne connaissez pas la prudence et découvrez vos idées et opinions sans détours. La frontière entre le courage et l’inconscience n’est pas toujours très claire pour vous !

 

 

 

chignon-10869  Chignon

 Le fait de relever ses cheveux en chignon, révèle une personnalité un peu coincée, qui souhaite faire un effort conscient de contrôle de ses énergies et par ce fait, garde beaucoup de secrets enfouis au fond d’elle

 

 

 

 

 

 

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Les couleurs

Posté par othoharmonie le 4 mai 2010

Le choix des bonnes couleurs !

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Le fait de voir des couleurs influence notre humeur ; certaines couleurs nous donnent de l’énergie, tandis que d’autres sont perçues comme dérangeantes. 

Sans que nous ne nous en rendions compte, la luminosité et les couleurs influent sur notre état d’esprit. De par leur propriété et leur signification spécifique, les couleurs constituent donc un outil psychologique très efficace. Dès que nous avons compris de quelle manière les couleurs agissent sur nous et sur notre environnement, nous pouvons en effet les utiliser à notre avantage ! 

Personnellement, je suis un être qui ne porte que trois couleurs depuis de nombreuses années : le noir, le rouge et le blanc…. Avec d’autres couleurs que celles-ci, je me sens très mal à l’aise. J’ai donc essayé de comprendre plus en profondeur ; je suis ainsi, j’aime comprendre le pourquoi des comportements.  Et pour ce faire, j’ai même réalisé un test de personnalité…. 

J’ai fait le Test des couleurs :    Le langage de mes couleurs préférées SUR CE SITE : www.testcouleur.com         

 

 

Résultat du test : Mes résultats indiqueraient qu’ils présentent un excellent rendu de mes émotions et mes qualités du moment.

Pour décrire ce résultat :  Je serais donc extravertie à 49 % et introvertie à 51 %. (Pas mal équilibré tout de même !) 



On me dit : Sans ordre d’importance, vous êtes inventif, vous avez toujours des idées nouvelles et vous savez les mettre en application. 
Vous êtes également volontaire, vos actions sont déterminées par votre volonté propre, par les objectifs que vous vous êtes fixés, et par votre besoin d’agir et d’avancer. 
Enfin, vous êtes profond, vous réfléchissez avant d’agir, et vous savez communiquer vos connaissances.  

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Les qualités qui décrivent le mieux ma personnalité en ce moment

Votre inventivité 

à 21 %  vous êtes inventif, vous avez toujours des idées nouvelles et vous savez les mettre en application. 
Votre énergie.  à 21 %  vous êtes volontaire, vos actions sont déterminées par votre volonté propre, par les objectifs que vous vous êtes fixés, et par votre besoin d’agir et d’avancer. 
Votre créativité.  à 20 %  vous êtes créatif, vous savez voir le beau, vous êtes intuitif et votre inspiration vient de l’intérieur. 
Votre capacité intellectuelle.  à 19 %  vous êtes intelligent, vous vous interrogez et vous vous renseignez avant de poser vos actes. 
Votre dynamisme.  à 17 %  vous êtes dynamique, vous avez de l’énergie et vous savez entraîner les groupes de personnes. 

Conclusion :


Enfin vous êtes profond, vous réfléchissez avant d’agir, et vous savez communiquer vos connaissances, également vous êtes communiquant, vous savez dialoguer, échanger, séduire et entraîner les personnes. 

Je vais donc tenter de donner quelques indications sur les couleurs en général, en commençant par mes préférences personnelles bien sur :

Le Noir 


Le noir est la couleur des affaires. La personne qui porte du noir dégage une impression d’importance. D’autre part, le noir crée sans que l’on s’en aperçoive une distance par rapport aux autres. Cette couleur sera moins adaptée lorsque l’esprit d’équipe et les aptitudes sociales revêtent une grande importance. Dans les métiers créatifs, le noir dénote un côté rebelle.  C’est la couleur de la distinction et du design.  Cette couleur agit favorablement sur le cœur et sur le sommeil et c’est donc une couleur à oser dans la chambre à coucher par exemple.  C’est une couleur à éviter cependant  à ceux qui ont des tendances dépressives ou qui sont superstitieux.  

 Le Noir dans sa symbolique religieuse, ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon : 

Le noir, négation de la lumière, est le symbole du néant, de l’erreur, de ce qui n’est pas et s’associe à la nuit, à l’ignorance, au mal, à ce qui est faux. Il indique « l’ignorance enfantée par le mal et par toutes les passions égoïstes et haineuses« . Couleur du charbon, il évoque le processus de la combustion, prélude à la régénération et renferme une idée de résurrection. Les rites initiatiques de l’antiquité comportaient des épreuves nocturnes : le postulant traversait une mort symbolique dans un lieu obscur, pour devenir un homme nouveau et renaître à la vie spirituelle. 

On peut y voir l’expression du complexe d’abandon, inséparable de la mélancolie et souvent accompagné de la peur de la vie et du désespoir, tendance reflétées dans les rêves, ainsi que le besoin d’indépendance. 

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Le Rouge 


En rouge, vous ne passerez pas inaperçu. Cette couleur possède en effet une grande valeur d’attraction de l’attention. En excès, le rouge fait néanmoins penser à un signal d’avertissement ; songez par exemple aux pompiers. Ne vous présentez à un rendez-vous dans une tenue rouge que si vous êtes vraiment sûr de vous car, dans cette couleur, vous devrez être à la hauteur.

  C’est la couleur du dynamisme, de la chance, du bonheur, de la beauté et du courage. N’en abusez cependant pas. Appliquez-la par petites touches car elle a un pouvoir excitant qui empêche de dormir et de se relaxer. A moins que vous n’ayez toute une pièce exclusivement réservée aux activités… toniques !   En conclusion, le rouge est couleur de la passion, de l’ambition ou encore de l’excitation. Couleur chaude par excellence, le rouge peut être accueillant, mais aussi provocant, voire agressif !  Le rouge capte l’attention, il surprend et invite à l’action plutôt qu’au repos. 

Le Rouge, dans sa symbolique religieuse, ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

En Egypte, le rouge symbolisait l’amour divin. C’est la couleur du sang frais et du feu qui, selon les anciennes croyances a créée le monde et le détruira. Il symbolise la vie, la chaleur et la génération, mais aussi la destruction. Le rouge vif, ou clair est la force vitale, la richesse et l’amour. Mais, sous son aspect infernal, le rouge correspond à l’égoïsme, à la haine et à l’amour infernal. 

Dans les textes sacrés des Chrétiens, des Egyptiens, des Hébreux et des Arabes, cette couleur a toujours été associée au feu et à l’amour divin, et a symbolisé la divinité et le culte. Couleur des généraux, de la noblesse, des patriciens et des empereurs à Rome, les cardinaux ont hérité de ce symbole de la souveraineté. Au Pérou, elle était liée à la guerre et désignait les soldats. 

Au niveau psychologique, le rouge représente la joie de vivre, l’optimisme, la vigueur, l’instinct combatif et ses tendances agressives, la pulsion sexuelle, le désir amoureux, la passion, le besoin de conquête…

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Le blanc évoque généralement la pureté, la propreté et augmente l’activité organique. Et ce n’est pas un hasard si c’est la couleur dominante dans la plupart des hôpitaux. C’est également la couleur de la luminosité et du froid qu’il convient d’associer à une autre couleur. 

Utilisez-la pour agrandir une pièce mais essayez autant que possible de la mixer avec d’autres couleurs, soit sur les murs, soit avec le linge de maison (rideaux, coussins, nappes…). 

Le Blanc dans sa symbolique religieuse  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

Synthèse de toutes les couleurs, le blanc est la lumière, et les anciens en avaient fait la couleur de la divinité : les Egyptiens enveloppaient les défunts dans un linceul blanc pour montrer que la mort délivre l’âme pure de son enveloppe charnelle périssable. Chez les Hébreux, la tunique de lin blanc représentait la pureté du Sacrificateur et la justice divine. A Rome, le blanc était la couleur des vestales (prêtresses qui étaient brûlées vivez lorsqu’elles manquaient à leur vœux de chasteté…). C’était aussi le couleur des druides, des initiés… Participent de la symbolique du blanc et emblèmes de pureté, vertu et chasteté : la robe blanche de la communiante et de la mariée, le bouquet de fleur d’oranger, le lis, la colombe, le lin, l’ivoire, le diamant, la neige… Par extension, c’est aussi parfois la couleur du deuil d’un enfant, d’un être pur… Sous son aspect maléfique : la lune (le blanc lunaire est celui de la lividité cadavérique et du linceul).

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Le Gris (pour info) 

Union du blanc de l’innocence et du noir de la culpabilité, le gris fut l’emblème chrétien de la mort terrestre et de l’immortalité spirituelle, de l’innocence calomniée, noircie, condamnée par l’opinion ou les lois. C’est aussi la tonalité de la tristesse, de l’anxiété, de la rêverie vague. Dans la Bible, c’est la couleur de la cendre, symbole de pénitence et de deuil.

 Couleur équivoque, le gris traduit le manque de vigueur des asthéniques, des déprimés, l’égoïsme, le refus de l’engagement, l’enclos narcissique, et, dans les rêves, l’excès d’indifférence, l’ennui, la froideur, le besoin de tranquillité. 

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Le Marron 

Le marron ou Brun dans sa symbolique religieuse,  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon  Le marron est une excellente couleur si vous occupez une fonction de support ou si vous souhaitez favoriser la collaboration entre collègues. Cette couleur dégage un sentiment de complicité et de stabilité. Si vous êtes régulièrement amené à vous mettre en avant, le marron sera moins approprié. Le brun, couleur de la terre, de la boue et du feuillage d’automne renferme des idées de dégradation et de mort. Dans la symbolique chrétienne, le rouge-noir, mélange de feu, de fumée, de cendre et de suie est le symbole de l’amour infernal et de la trahison. Couleur de la matérialité, le brun correspond à l’agressivité latente ou déclarée, la méchanceté, l’obstination, l’avarice, l’égoïsme. Dans les rêves, il traduit le besoin de confort et de sécurité. 

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Le Mauve

 
Le mauve est un bon choix, surtout pour les femmes. Il s’agit d’une couleur osée et pas trop sage. 

Le Violet : couleur pour exprimer une forte sensibilité. Le violet évoque délicatesse, splendeur, intériorisation et profondeur des sentiments.

  Le violet dans sa symbolique religieuse,  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon …Le bleu et le rouge s’équilibrent dans le violet qui signifie l’amour de la vérité et la vérité de l’amour. Il fut le symbole des noces mystiques du Seigneur et de l’Eglise, de la passion et des martyrs, et représente l’identification totale du Père et du Fils. C’est aussi la couleur des veuves, des évêques et des martyrs, et un symbole de mort pour les Chinois.  En psychologie, le violet, couleur de la fusion amoureuse, de la soumission, traduit le besoin d’union, d’approbation et d’identification à un être aimé. Mais ce rouge refroidi renferme quelque chose d’éteint et peut exprimer un étant d’esprit mélancolique, s’accompagnant du besoin de tendresse et de douceur. 

 

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Le Bleu 

Le bleu (foncé) se prête à quasiment toutes les circonstances. Il s’agit d’une couleur sûre. Le bleu foncé est la couleur de la fiabilité et du pragmatisme. Portez du bleu si vous ignorez comment votre interlocuteur sera habillé. Pour les professions créatives, le bleu sera par contre une option moins judicieuse, car trop prévisible.  C’est la couleur de la détente, de la paix et de la sérénité. Elle agirait favorablement sur le système nerveux en apportant à la fois détente et concentration. 

Le bleu est une couleur fraîche et apaisante, la couleur bleue est la couleur de la sensibilité et de la créativité. Elle invite au calme et à la détente, à l’affection. A privilégier pour les chambres d’enfants et dans le bureau.  

 Le Bleu dans sa symbolique religieuse,  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

Le bleu est associé à la divinité dans toutes les mythologies : à Amon-Râ, dieu du soleil levant dans l’ancienne égypte ; en Grèce à Jupiter, père des dieux et des hommes, et à Junon, incarnation de la féminité féconde et épanouie ; en Inde, à Vishnou le justicier… En Chine, il symbolise le Tao, la Voie sacrée, le principe insondable des êtres. Le bleu jupitérien, couleur froide du vide, est celle de la vérité ; pour les Égyptiens, de la vérité éternelle, de l’immortalité ; la fidélité, la chasteté, la loyauté et la justice dans la tradition chrétienne. Identifié à l’air, au vent, il symbolise la spiritualité, la contemplation, la passivité et favorise la méditation, le repos. Le bleu clair reflète l’inaccessible, le merveilleux, l’évasion.  Sur le plan psychologique et dans les rêves, le bleu est la couleur de la tolérance et représente l’équilibre, le contrôle de soi, les tendances à la générosité, à la bonté, un comportement réfléchi et le besoin de sérénité. 

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Le Vert 

Le vert est la couleur du calme et de la tranquillité, mais peut également donner lieu à une interprétation négative dans la mesure où il dénote aussi dépendance et hypersensibilité. Une couleur bleu-vert, telle que le turquoise, rayonnera tout autant mais dégagera plus de puissance. 

C’est la couleur du tonus et de l’équilibre. Elle apporte le calme aux gens anxieux. C’est la couleur de l’espoir et de l’enthousiasme, la couleur de la sérénité en communion avec notre mère nature. A adopter dans le bureau et les chambres à coucher.

 

Le vert est une couleur symbolisant le calme, l’attention, la fraîcheur, la sécurité. On dit que c’est la couleur la plus reposante pour les yeux. 

Le Vert dans sa symbolique religieuse, ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

Le vert, couleur de la nature, est doué d’un pouvoir de régénération, car il capte l’énergie solaire et la transforme en énergie vitale. Il est le symbole de le régénération spirituelle. Couleur des bourgeons printanier, signalant la fin de l’hiver, il symbolise l’espérance. En Egypte, la couleur verte est attribuée à Phtah, le créateur et le stabilisateur, et à l’eau, parce que dans la cosmogonie égyptienne, l’eau était l’élément primordial de la création. Elle désignait la fondation du temps, la création du monde et symbolisait la naissance matérielle et spirituelle, c’est à dire les mystères de l’initiation. 

 

Produit de l’association du jaune et du bleu, le vert possède une dualité : c’est la couleur de Vénus, symbole de renouveau, mais aussi de la vengeance ; du dieu-serpent aztèque, inventeur des arts, identifié au Thot-Mercure égypto-latin et au Lug gaulois, médecin, magicien, satiriste et artisan ; du Kirs musulman qui avait pour fonction de concilier les extrêmes (fonction synthétisée par le Caducée). En Chine, le vert désigne l’Est, le printemps, le bois et la charité ; dans le christianisme, la régénération dans les actes, c’est à dire la charité, et par antinomie la dégradation morale et la folie, le désespoir. Teinté de jaune (la couleur des yeux du dragon et des serpents) le vert est la couleur des eaux mortes, de la putréfaction et a une influence néfaste. 

Sur le plan psychologique et dans les rêves, le vert, couleur de la vigueur sexuelle, reflète le besoin d’épanouissement, d’estime, de valorisation, de culture et de connaissance.

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Le Jaune 

Le jaune est la couleur par excellence de l’énergie, de la légèreté, de la spontanéité, de la sagesse, de la gaieté et de la richesse. Dans un environnement d’affaires, vous ne serez pas vraiment pris au sérieux dans une tenue jaune.   

Elle stimule l’appétit et convient donc parfaitement aux cuisines et salles à manger. Pour booster l’intellect, recouvrez-en également les murs de votre bureau. Ses dérivés, appliqués dans un salon, favorisent la convivialité.  Couleur caractéristique du printemps, le jaune éclaire et donne l’impression d’avancer.  Le Jaune,  dans sa symbolique religieuse,  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon.

 

Couleur de la lumière, emblème de l’or, associé au miel, le jaune était la couleur de la lumière céleste révélée aux hommes et de la doctrine religieuse enseignée dans les temples. Mais le jaune lunaire, couleur de l’or terni est du soufre symbolise l’inconstance, la jalousie, les passions dépravés, l’adultère, la culpabilité, la trahison (dans l’iconographie, Judas est vêtu de jaune ; dans plusieurs pays, les juifs devaient porter des vêtements jaunes parce que Judas avait trahi le Christ , ou une étoile jaune… ; en France, on barbouillait de jaune la porte des traîtres, les « briseurs de grève » étaient appelés des « jaunes« …)  Au point de vue psychologique, et dans les rêves, le jaune est la couleur de l’intuition et symbolise la capacité de renouvellement, l’entrain, la jeunesse et l’audace, mais aussi souvent l’instabilité et la vanité. Il révèle un besoin de supériorité et à l’extrême, la volonté de puissance aveugle manifestée en prétentions exagérées à une supériorité factice (souvent compensation d’un sentiment d’infériorité mal liquidé ou inconscient). 

 

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L’orange 

Couleur riche et joyeuse, aux vertus stimulantes. Elle correspond à l’énergie mais à l’impatience aussi. Dans ses nuances plus foncées de rouille, terre ou de brun, elle évoque le confort et la sécurité. 

C’est la couleur de l’organisme. Elle est en effet réputée pour ses effets étonnamment positifs sur le cœur, la respiration et la digestion. Elle relaxe et comme le jaune, favorise l’appétit. A appliquer dans les pièces de détente et dans les coins repas. 

L’ Orangé dans sa symbolique religieuse,  ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

L’orangé qui procède du rouge et du jaune désigne la révélation de l’amour divin à l’âme humaine et fut le symbole du mariage indissoluble, mais aussi, par renversement du symbole, de l’adultère, de la luxure, et dans la langue héraldique, de la dissimulation et de l’hypocrisie. 

Dans les rêves, cette tonalité chaude et brillante, emblème de la luxure, exprime un intense besoin de jouissance et d’expansion, et reflète un équilibre fragile et la nécessité de contrôler ses impulsions.  Attribut de Typhon (le monstre qui, en s’attaquant aux dieux de l’Olympe, engagea la lutte entre la lumière et les forces souterraines, le roux a symbolisé dans toutes les mythologies les tendances animales de l’homme, la fécondité extravagante, la perversion, la concupiscence et leurs conséquences : intempérance, débauche, violence, égoïsme… 

 

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le Rose 

Evitez le rose lors d’entretiens importants ou de circonstances formelles. Vous n’obtiendrez certainement pas l’augmentation salariale que vous souhaitez aborder si vous portez cette couleur. Le rose n’est pas une couleur sérieuse et donne à l’autre partie le sentiment qu’elle peut marcher sur vos pieds. 

C’est la couleur de l’optimisme, du bonheur et de la joie de vivre. Elle favoriserait la procréation. C’est donc une couleur à adopter exclusivement pour la chambre à coucher conjugale.

Le Rose,  dans sa symbolique religieuse, ésotérique et psychanalytique se décrit d’une toute autre façon 

Association du rouge et du blanc, le rose, couleur de la chair, de la rosée régénératrice, de la séduction, symbolise l’amour, la pureté, la fidélité (comme la fleur du même nom).

Le symbole des couleurs, Selon les disciplines que nous exerçons dans notre quotidien….

  

Blanc  Rouge  Vert  Jaune  Bleu  Noir 
Symbole de  INNOCENCE  PASSION  SANTÉ  OPTIMISME  LOYAUTÉ  ASSURANCE 
Objet rappel  Neige  Sang  Nature  Soleil  Ciel, mer  Nuit, ténèbres 
Général  Clarté Pureté  Stérilité Innocence  Interdiction Négatif  Destruction Horreur  Écologie Fertilité  Positif Espoir  Chance Soins  Éclat Vivacité  Avenir  Espace Paix  Tranquillité Sécurité  Tristesse Morbidité  Malheur Mauvais présage 
Social  Mariage Propreté  Santé (clinique)  Passion  Révolte  Jeunesse Croissance  Prospérité  Gaîté Traîtrise  Cocu  Aristocrate  Noble  Mort 
Humeur  Angoisse  Audacieux  Optimisme  Envie  Lâcheté Cupidité  Jalousie Maladif  Froideur  Discipliné  Mélancolie Pessimiste  Désespoir 
Religion  Lumière Pureté  Mort (Chine)  Feu et sang  Charité      Cieux Vérité  Immortalité (Chine)  Mort 
Sexe  Virginité  Idylle passionnée  Inexpérimenté  Adultère  Garçon  Puissance 
Mode    Liberté ou  Provocation    Éclat  Évanescence  Élégance  Contemporain 
Politique  Royalisme  Communisme      Conservateur  Anarchisme  Piraterie 
Héraldique  Fidélité  Pureté  Bravoure  Courage  Jeunesse  Espoir  Honneur  Loyauté    Chagrin  Tristesse 
Internet    Orthographe  Anomalie  (Ondulation)    Lien  Normal 
Code de la route    Interdiction  Secours  Avertissement  Obligation   
Cartes routières    Nationales  Touristiques  Départementales     
Rédaction des cartes  Glaces  Repères  Végétation  Forêts  Déserts  Hydrographie Mers  Rivières  Contours 
Finances    Perte        Gain 
Chimie    Chaud      Froid   

Suite : 

Gris  Rose  Orange  Brun  Violet  Pourpre 
Symbole de  FORCE  AMITIÉ  PRÉVENANCE  HONNÊTETÉ  SPIRITUALITÉ  MAÎTRISE 
Objet rappel    La rose  L’orange  Feuilles en automne  Terre  Violette  Cardinaux 
Général  Neutralité  Harmonie  Amour  Chaleur  Flamboyance  Foyer  Trouble  Mystère 
Social    Bébé  Enfance  Énergie  Équilibre  Confort Fiabilité  Fermeté  Spiritualité  Religion  Richesse  Puissance 
Humeur  Équilibre  Douceur  Joyeux  Stabilité  Simplicité  Préciosité  Créativité 
Religion            Chagrin Souffrance  Deuil 
Sexe    Fille  Homosexualité         
Mode  Design  (métallisé)  Raffinement      Mystère   
Politique    Socialisme         
Héraldique      Force Résistance      Royauté  Dignitaire 
Code de la route      Prudence  Sacrifice  (Rouge cramoisi)     
Cartes routières             
Rédaction des cartes      Localités  Zones très résidentielle  Zones industrielles   
Finances             
Chimie             

Suite et fin

  Doré  Argenté  Beige  Indigo 
Objet rappel  Dorure  Argenterie     
Général        Instinct 
Social         
Humeur        Perspicace 
Religion         
Sexe         
Mode  Style château  Design (métallisé)     
 Politique         
Héraldique         
Code de la route         
Cartes routières         
Rédaction des cartes         
Finances         
Chimie         

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Voici le résultat de mes recherches, je comprends beaucoup mieux pourquoi j’aime porter les couleurs que j’ai choisies et j’espère vous avoir aidé un petit peu, vous aussi, dans vos choix !   Une couleur peut agir seule sur notre comportement. La proximité d’une couleur sombre exalte une couleur claire. Deux couleurs complémentaires sont en harmonie pour l’œil. L’expression naît du choix des couleurs, de leur forme, de leur grandeur et de leurs positions relatives.  Suivant les domaines, les lieux ou les époques, les réponses sont semblables ou différentes, voire contradictoires, car chaque civilisation, chaque groupe, s’est forgé un symbolisme émanant de sa propre culture. En outre, il apparaît que les couleurs ont un pouvoir physique, physiologique et psychologique sur tout ce qui vit (voir l’utilisation qu’en font les caméléons et certains insectes pour leur défense, le paon et le publiciste pour la séduction, etc…)

  Les couleurs occupent une place exceptionnelle dans la symbolique traditionnelle depuis le début de l’humanité. Elles eurent la même signification chez tous les peuples de la haute antiquité. Leur langage, intimement lié à la religion, passe dans l’Inde, en Chine, en Egypte, en Grèce, à Rome… reparaît dans le Moyen Âge, et les vitraux des cathédrales gothiques trouvent leur explication dans les livres zends, les Vedas, et les peinture des temples égyptiens… Elles ont joué une fonction cosmique et ont représenté des divinités dans diverses cosmogonies : chez les Amérindiens (Mayas, Aztèques, Incas…), le rouge est associé à l’Est, pays du soleil ; le bleu ou le blanc au Nord (pays du froid) ; le Noir à l’Ouest (pays de l’ombre) ; le jaune ou le blanc au Sud… 

Les Japonais reconnaissent aux couleurs « des significations particulièrement délicates dépassant ce que l’homme est capable de décrire« . Les écoles shintoïstes enseignent à leurs initiés les correspondances suivantes par exemple : 

 

Noir et Violet  Nord – Primitif, origine, paradis. 
Bleu ou Vert  Est – Vie, création. 
Rouge  Sud – Harmonie et expansion. 
Blanc  Ouest – Intégration et propulsion. 
Jaune  Centre – Créateur, unité 

Cette série de cinq couleurs domine le rituel au japon : lorsque l’Empereur fait à un dieu un don d’étoffes, il doit y en avoir au moins une pièce de chaque couleur ; les bannières sont composées de bandes de cinq couleurs ; les bandelettes de cinq couleurs pendent aux grelots portés par les danseurs lors de certaines danses sacrées… Voilà, je pense qu’il y en a pour tout le monde et surtout pour toutes les croyances ….. 

    couleur45

 

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