QUESTION : Qu’est-ce que la jalousie?

Posté par othoharmonie le 2 janvier 2016

 

 Jalousie

    KRISHNAMURTI : La jalousie suppose d’être insatisfait de ce qu’on est et d’envier les autres, n’est-ce pas? L’insatisfaction par rapport à soi-même est le commencement même de l’envie. Vous voulez ressembler à quelqu’un d’autre qui a plus de connaissances, ou qui est plus beau, ou qui a une plus grande maison, plus de pouvoir, une meilleure situation que vous. Vous voulez être plus vertueux, vous voulez savoir comment méditer mieux, vous voulez accéder à Dieu, vous voulez être autre que vous n’êtes, vous êtes donc envieux, jaloux. Comprendre ce que l’on est extrêmement difficile, parce que cela suppose d’être totalement libéré de tout désir de changer ce que l’on est en quelque chose d’autre. Le désir de se changer engendre l’envie, la jalousie, alors que la compréhension de ce que l’on est suscite une transformation de cet état. Mais voyez-vous, toute votre éducation vous incite à vouloir être différent de ce que vous êtes. Lorsque vous êtes jaloux, on vous dit: « Voyons, ne sois pas jaloux, c’est affreux! » Vous vous efforcez donc de ne pas être jaloux. Mais cet effort même fait partie de la jalousie, car vous voulez être différent. Une belle rose est une belle rose, un point c’est tout. Mais nous, les humains, nous avons reçu en partage la capacité de penser, et nous pensons mal. Savoir comment penser requiert énormément de pénétration, de compréhension, mais savoir quoi penser est comparativement facile.

 

Or notre éducation actuelle consiste à nous dire quoi penser, elle ne nous apprend pas comment penser, comment explorer, pénétrer les choses ; et ce n’est que lorsque le professeur autant que l’élève savent comment penser que l’école est digne de ce nom.

 

KRISHNAMURTI – LE SENS DU BONHEUR 

Publié dans SAGESSE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Conspiration du silence

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2015

 

 « Quand on discute avec des scientifiques en privé, il y a beaucoup plus d’ouverture qu’on pourrait le croire, observe le neuropsychologue Mario Beauregard. Mais ils disent: « nous devons penser à notre carrière, à nos crédits de recherche, etc. Il y a une sorte de conspiration du silence, qui est aussi une réaction de peur. « 

Conspiration du silence

C’est donc du terrain que viennent les évolutions en cours, des thérapeutes eux-mêmes, mais aussi et surtout du public qui exerce une pression croissante pour que l’on prenne en compte non seulement le corps de l’individu, mais également les dimensions émotionnelle et spirituelle de son existence. En témoigne le succès de l’association Inrees fondée par le journaliste Stéphane Allix, et qui vient de publier un Manuel clinique des expériences extraordinaires à l’usage des thérapeutes mais aussi des curieux et passionnés. Contributrice de l’ouvrage, la psychologue Isabelle de Kochko observe le basculement engagé : « Ce qui m’étonne toujours quand on parle de l’extraordinaire est la précipitation superficielle à trouver des explications dites rationnelles qui sont parfois bien tirées par les cheveux, même dans les milieux psy qui devraient être plus ouverts. »

Quand on ne comprend pas, on dit trop facilement que « ce n’est pas possible » ou que « ça n’existe pas », ajoute-t-elle. Mais elle juge « tout aussi étonnantes » les réactions plutôt confidentielles de professionnels de santé qui parlent de dons qu’eux-mêmes possèdent: voyance, prémonition, magnétisme… « Comme il y a quelques années avec l’hypnose, les jeunes psychologues chercheurs qui briguent des postes universitaires ne doivent pas trop se compromettre », relève-t-elle.

Paradoxe Thierry Janssen, ex-chirurgien devenu psychothérapeute, a lui-même parcouru le chemin qui mène d’une médecine mécanisée, quasi déshumanisée, à une approche globale, holistique, de la personne et de son trouble. « La guérison est un concept qui permet de faire le lien entre le corps et l’esprit, explique-t-il.

Dans les cultures asiatiques, qui n’ont jamais séparé le corps et l’esprit, l’énergie est au centre des systèmes de guérison : Prana en Inde, Qi en Chine, Ki au Japon, etc. » Le paradoxe est que la science, la médecine elle-même, ne croit pas à l’énergie vitale, comme le constate fort justement le biologiste canadien Bernard Grad.

Nous passons enfin de la biochimie à la biophysique, avec une prise en compte graduelle de la notion d’énergie . En référence aux rois thaumaturges (« Le Roi te touche, Dieu te guérit »), Thierry Janssen note qu’en Occident « beaucoup de guérisseurs ont un mythe personnel. Ils insistent sur un parcours initiatique, passé par la souffrance et au bout duquel il y a comme une révélation extérieure, qui leur donne une connexion, une légitimité. »

Au final, ils se disent « connectés à plus grand qu’eux, à ce mystère de la vie que beaucoup appellent Dieu. » Traumatismes effacés Psychiatre, neurologue et lui aussi auteur à succès, David Servan-Schreiber a rencontré le prodigieux au détour du virage intellectuel qui fut le sien. Parmi les méthodes qu’il présente dans son livre Guérir, l’EMDR est véritablement spectaculaire, et encore plus incompréhensible pour la science que tous les concepts d’énergie vitale. Comment en effet les mouvements oculaires rapides (comme dans le sommeil du rêve), associés au rappel d’un souvenir traumatisant, peuvent-ils faire disparaître les (graves) symptômes liés à ce traumatisme ?

Victimes d’attentats, de viols, té- moins de scènes de massacre…, ils ont perdu le sommeil et la sérénité depuis des années. Et voilà que quelques séances d’EMDR effacent littéralement toutes les composantes psycho-émotionnelles associées au traumatisme pour ne laisser que le souvenir lui-même… Dans le domaine de la maladie mentale, on gravit encore une marche vers l’inconnu. « Freud a découvert l’inconscient en étudiant l’hystérie », rappelle le psychiatre Serge Tribolet, qui a le sens de la formule : le « fou » n’a pas une case en moins, mais une case en plus! « À qui sait entendre, le délire dit beaucoup, écrit-il dans son dernier livre .

Réduire la folie à la maladie mentale est une grave erreur en même temps qu’une faute éthique! La folie n’est pas l’expression d’une carence, mais la manifestation d’une capacité supérieure, capacité à dépasser le mur de la connaissance rationnelle pour accéder à un savoir comparable à celui que pouvait transmettre la pythie (oracle grec). » Expériences chamaniques Parmi les vécus autrefois systématiquement associés à la folie, les expériences transpersonnelles sont aujourd’hui vues d’un autre œil. « Après Freud et Jung, on a découvert que l’inconscient humain est beaucoup plus vaste qu’on le croyait, souligne Mario B.

 L’esprit humain et la notion de soi peuvent varier énormément, au-delà du temps et de l’espace, jusqu’à des expériences d’identification avec tout l’univers, de conscience cosmique. »

 La psychologie transpersonnelle est aujourd’hui un quatrième courant reconnu de la psychologie aux États-Unis. Olivier Chambon, autre psychiatre formé à l’EMDR, s’intéresse désormais aux expériences de type chamanique, qui présentent à ses yeux des « possibilités insoupçonnées », autant que des « propriétés thérapeutiques originales ». Ainsi, les voies d’exploration ne manquent pas pour tenter de comprendre un peu mieux un être humain décidément multidimensionnel.

Sur le blog de Francesca Source Magazine NEXUS

Publié dans SAGESSE, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Les effets sur la santé à différents stades de l’Eveil

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2015

 

1 prièreDe nombreuses études ont constaté les effets bénéfiques sur la santé de pratiques spirituelles, ou simplement de la relaxation. Aujourd’hui, les neurosciences vont plus loin en identifiant ce qui se passe réellement dans le cerveau.

L’interface esprit/cerveau conserve l’essentiel de son mystère. C’est le « problème difficile » de la conscience, identifié par le philosophe australien David Chalmers. Perspective matérialiste ou pas, la façon dont les deux entités interagissent reste incomprise. Ce qui est certain, pour le neuropsychologue québécois Mario Beauregard, c’est que « dans l’effet placebo comme dans les thérapies cognitives, les croyances de la personne modifient la réponse du cerveau.

Or, si l’esprit était quelque chose d’impuissant, on ne pourrait pas observer ces résultats. » Par exemple, une personne atteinte de phobie ou de TOC (trouble obsessionnel compulsif) va être capable, grâce à une thérapie comportementale, de « reprogrammer » son cerveau en mobilisant son attention. De nouvelles pensées vont se substituer aux pensées intrusives ou phobiques, et un nouveau circuit neuronal va remplacer le circuit pathologique, comme on l’observe ensuite en imagerie cérébrale.

Pour Mario Beauregard, « l’interprétation la plus simple est de considérer que ce qui se passe au niveau psychique a une influence au niveau neurobiologique. » Prière « à l’insu de son plein gré » Ces observations viennent confirmer une quantité impressionnante d’études mettant en évidence que des activités telles que la méditation, la relaxation, la prière, etc., sont bénéfiques à la santé et favorisent la guérison. Edward Larson a effectué, dans son livre The Faith factor, une revue détaillée de 158 études médicales portant sur l’effet de la religion ou de la spiritualité sur la santé, dont 77 % faisaient état d’un bilan clinique positif.

Une autre étude portant sur 400 personnes âgées de plus de 64 ans a montré que des activités de nature spirituelle étaient associées à un meilleur taux de survie. À l’inverse, on a montré qu’une relation conflictuelle avec « la religion » augmentait le risque de décès chez des patients malades et âgés. Le lien de causalité n’est peut-être pas si évident et il ne s’agit pas de donner des gages définitifs aux croyants. Ce ne sont pas les croyances elles-mêmes qui sont bénéfiques, puisque différentes pratiques religieuses donnent des résultats semblables, mais bien les états mentaux qui en découlent. D’autres études ont été plus controversées, car elles portaient sur la « prière d’intercession », qui consiste à prier pour la guérison de quelqu’un d’autre, parfois à son insu.

Une étude portant sur 1 800 patients opérés du cœur n’a pas montré que les prières orientées vers leur guérison avaient un effet quelconque. Pire, ceux qui savaient que l’on priait pour eux se sentaient encore plus mal que les autres! Pourtant, William Harris avait montré en 1999 que « la prière d’intercession, complémentaire, à distance, en aveugle, produit une amélioration mesurable des indicateurs médicaux chez les patients gravement malades ».

Et d’autres études l’ont confirmé, mais dans le cas des opérés du cœur, il a été avancé que ceux qui savaient que l’on priait pour eux pouvaient s’en effrayer en se pensant réellement à l’article de la mort.

C’est ce qu’on appelle un effet nocebo, contraire au placebo. Éveil accéléré Une étape supplémentaire est franchie avec les études qui montrent que l’éveil induit par une forme de bénédiction produit des modifications dans le cerveau. Le chercheur allemand Christian Opitz s’est penché sur le cas de la « bénédiction d’unité » appelée deeksha, telle qu’elle est pratiquée par Sri Bhagavan au sein de la Golden Age Foundation, en Inde. Selon ce dernier, l’éveil peut être transmis comme une grâce, et se réaliser en quelques semaines.

Opitz a étudié les scans cérébraux de personnes à différents stades d’éveil et observé qu’ils présentaient des caractéristiques communes: baisse d’activité dans les lobes pariétaux, liés au sentiment de soi et à l’orientation dans l’espace ; et hausse d’activité dans les lobes frontaux, principalement le gauche, lié au sentiment de bonheur et de bien-être.

 Ceci confirme selon lui un processus d’éveil en marche, comme si le deeksha installait en premier lieu le « câblage » neuronal, puis que l’expérience subjective de la personne se transformait peu à peu. Opitz en déduit également que l’expérience mystique « sauvage » peut être déstabilisatrice et pathologique précisément parce que le cerveau n’est pas prêt pour l’intégrer. Chez des disciples indiens de Sri Bhagavan et Amma, Opitz a observé que la zone appelée « septum pellucidum », associée à l’humeur et la joie, était « énorme », alors qu’elle est sous-active chez la plupart des gens et très réduite chez les dépressifs. Au niveau hormonal, il note également l’augmentation de la production d’ocytocine, l’hormone de l’amour et de la confiance.

Sri Bhagavan insiste sur la nécessité d’avoir des relations sociales et personnelles harmonieuses, où l’on rejoint Maître Philippe et les « pensées justes » qui devaient accompagner ses soins. Nouveau cerveau Le chercheur danois Erik Hoffmann a étudié les tracés EEG (électroencéphalogramme) de douze personnes participant à un « séminaire d’éveil » en Inde. Il constate d’abord « une forte tendance des deux hémisphères à fonctionner de façon plus symétrique ».

Ensuite, il observe une augmentation des ondes cérébrales gamma dans les lobes frontaux, qu’il traduit par une activation du « nouveau cerveau », indispensable au processus d’éveil et à l’état d’unité. En effet, de telles ondes gamma ont été observées par Richard Davidson chez des méditants bouddhistes zen expérimentés.

Selon Mario Beauregard, ces ondes gamma seraient toutefois liées à l’effort d’attention qui est requis dans ces formes de méditation.

En revanche, il a lui aussi observé que certaines personnes ayant vécu une expérience de mort imminente (NDE) conservaient également une trace dans le cerveau. D’ailleurs, plusieurs cas de guérisons spectaculaires ont été constatés après une telle expérience. Ainsi, le mystère demeure, mais le potentiel de la conscience semble illimité.

Issu du magazine Nexus Guérison 2010 sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Expériences, L'Esprit Guérisseur, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

C’EST LE MOMENT d’AGIR

Posté par othoharmonie le 11 décembre 2015

 

TR401_ascensionNous voilà au cœur d’une période chargée de défis et d’adversités, mais cette période offre également du merveilleux. Il suffit  de  regarder  les  informations  télévisées  ou  de  lire  les  journaux  pour  constater que  tout  s’accélère.  Bien  sûr,  certains faits  divers  sont  déroutants  et  même accablants. Mais parfois, tout cela semble faire partie d’un changement inévitable.

En fait nous sommes au cœur de ce que l’on  nomme  «  le  Moment  Cosmique», et que vous en ayez conscience ou pas, nous l’avons tous préparé, il y a des éons. Nous  sommes  dans  la  phase  où  cette douce  Planète  et  toute  vie  y  évoluant, vont  reprendre  le  cours  de  leur  destiné et  franchir  les  portails  qui  mènent  à la  Perfection  et  continuer  ainsi  sur  le chemin de l’évolution qui les reconduit au Cœur de notre Dieu Père/Mère. Il y a eu beaucoup de travail accompli pour nous préparer à vivre cette bascule vibratoire et  même  si  beaucoup  de  travail  reste encore  à  accomplir, notre  victoire  est assurée.

Un grand nombre d’évènements ont pris place ces dernières années afin que nous soyons prêts à vivre ce « bond en avant »  dans  les  fréquences  de  la  quatrième dimension,  dimension  de  la  perfection physique. Si vous découvrez ces notions, cela  va  vous  sembler  un  peu  comme de  la  science-fiction,  mais  en  fait,  ces informations sont clairement énoncées dans les  Mémoires  Akashiques  de cette Planète et un jour, elles s’inscriront dans une réalité historique.

Nous voilà à l’aube de ce que ce qui a été annoncé  comme  l’Age  d’Or  Permanent, impulsion  de  départ  de  l’Age  de l’Illumination.  C’est  le  moment  où  nous allons corriger notre trajectoire, redéfinir notre Vision et suivre inéluctablement le Plan Divin qui s’inscrit ainsi : «Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Le Paradis  va  concrètement  se  manifester sur Terre et le postulat : « Que ton Règne vienne,  que  Ta  Volonté  soit  faite  sur  la Terre comme au Ciel» sera accompli.

Comme  souvent,  dès  qu’un  certain degré de sagesse ou de compréhension commence à s’infiltrer dans la conscience de l’Humanité, cela génère de la confusion et de la peur. Nos systèmes de croyances sont mis à l’épreuve et nous nous sentons menacés et vulnérables.

Nous  interprétons  les  évènements en  fonction  de  nos  expériences personnelles,  ce  qui  crée  encore  plus de  confusion  car  personne  ne  vit,  ni  ne ressent de la même façon. Il en découle une  myriade  de  scénarii  sur  ce  qui  est vrai ou faux. Afin de dissiper nos peurs et pour nous sentir en sécurité, nous nous convainquons  que  ce  que  l’on  perçoit comme réel est forcément « vrai », par déduction,  le  reste  est  «  faux  ».  Nous créons ainsi une « zone de confort » qui nous donne l’illusion d’être en sécurité.  Malheureusement, cela crée une scission et  limite  notre  analyse.  Il  nous  devient difficile alors de percevoir et de recevoir un  plus  grand  entendement  provenant des Royaumes de Vérité.

Aujourd’hui, il y a tant d’inquiétude qu’il est  fondamental  de  rester  vigilants  et observer où notre attention se pose le plus souvent. Mais, souvenez-vous : « ce sur quoi nous prêtons notre attention, nous le manifestons ».Par conséquent il est évident que si nous nous approprions des croyances  négatives  quant  à  l’évolution de  ce  monde,  nous  créons  encore  plus de chaos.

Nous  rentrons  dans  un  Nouvel  Âge.  Ce que  l’on  appelle  Nouvel  Age,  n’est  pas une religion, ni un mouvement. Ce nouvel âge  ne  se  rattache  pas  à  une  croyance particulière, ni même à une philosophie. Le Nouvel Age est une période donnée. Un Age est une durée de temps qui dure environ  2  000  ans  et  il  est  déterminé par  les  mouvements  physiques  et astronomiques  de  la  planète  aussi précisément que l’heure, les mois ou les saisons. Nos heures et nos jours évoluent parce que la Terre tourne autour de son axe.

Les mois, les saisons changent en raison de la révolution que fait la terre autour du soleil et en raison de l’inclinaison de son axe.  Le  changement  d’âge  correspond à  ce  que  l’on  connaît  comme  étant  «  la précession  d’équinoxes  ».  Alors  que  la terre tourne autour d’elle-même, tout en tournant autour du soleil, elle se déplace  également  de  façon  orbitale  au  travers des  douze  constellations  qui  entourent notre  système  solaire.  Cette  orbite  se déroule sur une période de 24 000 ans.

Notre système solaire se situe dans une tranche de temps particulière. Autour de notre système solaire et dans l’Univers, il y a douze constellations plus connues sous les signes du zodiaque.

Ces constellations restent proches de la terre, mais en raison de la rotation que la  terre  effectue  sur  son  axe,  chaque constellation  correspond  à  une  période de  2000  ans  (soit  32  degrés)  qui  exerce une influence sur la planète. A chaque printemps, lors de l’équinoxe, le  premier  degré  du  Bélier  est  calculé en  fonction  de  la  position  du  soleil  au moment  où  celui-ci  passe  au-dessus de  l’équateur.  Ce  point  de  convergence change  chaque  année.  Il  faut  environ 72 ans à la terre pour se déplacer d’un degré.  Sachant  qu’il  y  a  360  degrés, il  faut  donc  environ  24  000  ans  pour compléter  le  cycle  des  constellations.

Par  conséquent,  une  constellation  aura une  influence  prédominante  pendant 2000 ans sur la terre. Une  fois  le  cycle  d’une  constellation achevé,  on  bascule  dans  la  vibration d’une  autre  constellation.  Voilà  ce  que l’on appelle Le Nouvel Age. C’est ce qui se  produit  actuellement  sur  terre.  Les 2000 ans de l’ère du Poisson s’achèvent et nous entrons dans l’ère du Verseau qui à son tour, durera 2 000 ans.

Quand nous pénétrons le nouveau champ d’énergie  de  la  nouvelle  constellation, cela provoque une mutation considérable dans le champ énergétique de la Planète. Cette  mutation  vibratoire  favorise  de façon  exceptionnelle  l’accès  à  des fréquences  supérieures  de  sagesse et  de  compréhension  qui  influencent la  conscience  de  l’humanité.  Cela  est facile  à  comprendre  si  l’on  observe  ce qui  se  passe  lors  de  pleine  lune  ou  de nouvelle  lune.  Il  en  est  de  même,  lors de  protubérances  solaires  ou  encore lors  d’éclipses  lunaire  ou  solaire.  Il  est évident  que  nous  sommes  affectés  par ce qui se produit dans les corps célestes qui entourent la Terre. Alors imaginez un peu lorsqu’il s’agit d’un changement de constellation.

Chacune des douze constellations vibrent à  sa  propre  fréquence  de  Lumière.  Ces fréquences sont reconnues comme étant les  Douze  aspects  de  Déité  Solaire.. Elles  renferment  des  qualités  Divines spécifiques, ainsi que des couleurs, des tonalités musicales, des fragrances, des vérités  et  des  entendements  provenant du Corps Causal de Dieu.

Quand  la  Terre  entre  dans  la  nouvelle constellation,  tous  ses  «  trésors  » de  Lumière  de  cette  constellation  se déversent sur Terre. La constellation du Verseau vibre aux énergies du septième aspect de Déité. Au cœur de cette Lumière d’un violet  améthyste, resplendissent les  qualités  divines  suivantes: Pardon, Miséricorde, Compassion, Transmutation, Invocation et Liberté.

La  magnifique  Lumière  Violette influencera avec force la Planète pour les 2000 ans à venir. Il a été déterminé (par un Fiat Cosmique) que la Terre, pendant cette  période,  vivra  une  transformation et renaîtra à sa vraie nature Divine, Terre de Liberté. La Liberté Spirituelle signifie liberté dans toutes les facettes de notre vie. Lors  de  cette  impulsion,  quand  les opportunités se présentent, Dieu et tous les  Etres  de  Lumière  qui  le  servent, évaluent  les  progrès  de  l’Humanité.  Il est  alors  déterminé  l’assistance  dont nous  avons  besoin  pour  faciliter  cette transition,  et  ainsi  le  retour  vers  notre Dieu Père /Mère.

Quand la Terre était totalement immergée dans  le  chaos,  la  peur  et  la  confusion, plusieurs  tentatives  ont  été  entreprises pour  élever  les  consciences.  Très progressivement, un plus grand niveau de conscience s’est infiltré dans l’Humanité, nous  permettant  alors  de  reprendre  la direction  juste.  Cette  ouverture  nous  a permis  d’entrevoir  qui  nous  sommes vraiment.  Cette  brèche  dans  le  voile  de l’illusion,  nous  aide  à  accomplir  notre but celui d’affranchir cette planète dans l’amour. Nous  savons  maintenant  que  «la  chute de l’homme » et notre séparation du Divin sont le fruit de notre création.

La négativité qui  emprisonne  la  Terre  n’a  jamais  fait partie  du  Plan  Divin.  Les  évènements qui se sont succédés pour nous amener jusqu’à  ce  moment  cosmique,  nous  ont permis de réveiller en nous le pourquoi nous  sommes  ici  en  cette  période toute  particulière.  Les  raisons  de  notre présence  sur  terre  aujourd’hui,  sont inscrites profondément dans notre ADN et ARN. Dès que les schémas pré-encodés de notre Plan Divin sont réactivés, nous pouvons  puiser  dans  toute  la  sagesse,  les  talents,  la  force  et  le  courage  que nous  avons  développés  depuis  des éons  afin  d’amorcer  notre  «  travail  » pour  lequel  nous  nous  sommes  portés volontaires. 

Préparez-vous  à  recevoir des  informations,  ouvrez  votre  cœur  et votre  esprit.  Demandez  à  la  Présence Divine  qui  pulse  en  votre  Cœur  de  vous guider  clairement  dans  ces  moments d’extraordinaire transformation.

Patricia Diane COTA-ROBLES

Traduit par Dominique-Claire GERMAIN issu de sa new-letter sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans ADN Démystifiée, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

L’ART DU DÉTACHEMENT ET L’AMOUR INCONDITIONNEL

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2015

 

L’amour inconditionnel réside dans le sein de la déesse. Et pourquoi trouvai-je cela la chose la plus magnifique qui soit? Parce que cela signifie que cette femme possède plus d’amour que d’association; là où était l’association, rien n’existe que l’amour, parce que cela seul vous reste lorsque vous retirez tout ce qui soutient vos sentiments de victime à chacun des niveaux de votre vie. Et maintenant je dis que la déesse est florissante car, de son sein, ne coule que l’amour. Cet amour n’est pas forcé ; il est, car il n’existe là rien d’autre. Et pourquoi ceci est-il si important? Parce que c’est la qualité qui fait un Christ. C’est l’amour qui guérit. C’est l’amour qui relie et l’amour qui soutient. Et l’amour ne peut exister dans un état d’attachement. Combien d’entre vous comprennent? Tournez-vous vers votre voisin et expliquez.

l'art du détachement

Eh bien, une des raisons pour lesquelles vous gardez ce démon intact, ce démon dont vous commencez à comprendre un peu mieux la nature, une des raisons est que – regardons les choses ainsi – si vous neutralisiez l’ombre du soi en vous, vous avez peur de ce que vous pourriez être sans lui. Autrement dit, quel serait le stimulus à vos conversations ? Combien d’entre vous comprennent? Et vous craignez aussi de ne pas avoir de raison de vous lever tous les matins, prêt à passer une nouvelle journée à suer sang et eau sans sombrer dans une dépression nerveuse. Réfléchissez-y. Les gens craignent de se retrouver nus, sans aucun attachement, parce qu’ils ont une peur réelle de ce qu’ils pourraient être ou de ce qu’ils pourraient devenir parce qu’ils ont vécu une camaraderie véritable et fructueuse avec ce que l’on appelle l’ombre du soi. Ils sont attachés aux attachements. Combien d’entre vous comprennent?

Voilà un concept déconcertant! Je ne souhaite pas en dire plus là-dessus dans notre conversation unilatérale, parce que je ne veux pas que vous vous endormiez avant la fin et créiez un attachement vis-à-vis de l’enseignement que je viens de vous donner, ce qui est toujours un risque. Que dire de l’idée que la raison pour laquelle vous ne laissez pas volontiers tomber votre passé est peut-être que celui-ci a été un tel compagnon de votre présent, ce qui impliquerait que vous devriez devenir une autre personne en quelque sorte, et, comme vous êtes quelqu’un qui veut toujours contrôler ses attachements, cela vous empêche quelque peu d’exercer ce contrôle. Combien d’entre vous comprennent? Je vous le dis, les saints naissent d’un tel feu – c’est la vérité – et les maîtres aussi, qui sont des personnes authentiques et vraies engagées dans une divine mission, celle de découvrir le défaut qui a inhibé leur progrès depuis des millénaires. Ils veulent vraiment le découvrir. C’est ce qu’ils veulent vraiment.

Ainsi, vous savez, vous n’avez pas tant de karma que cela. Ce que vous avez, c’est un défaut – un défaut – que vous pouvez maîtriser, et il s’agit du défaut le plus évident dans votre vie. Vous pouvez le maîtriser en prenant une épée et en renversant les béquilles qui le soutiennent, et vous découvrirez qu’il est vide. Ce sont les béquilles qui vous font revenir vie après vie après vie. Comprenez-vous?

Nous savons bien qu’un enseignement de cet ordre ne va pas être entendu par certains d’entre vous. Vous entendez de façon sélective et éludez de grandes parties de mes enseignements. Il existe de grands espaces où rien n’a été retenu, alors que je suis un orateur bien meilleur que cela. Votre ouie devient sélective lorsque vous ne voulez pas entendre ce que je vous dis, mais, je vous le dis, vous êtes ici pour l’entendre. Vous êtes venu ici afin d’entendre ce que vous n’avez jamais auparavant voulu entendre.

Le premier pas permettant de résoudre ceci est qu’il a fallu toutes ces années pour vous amener à un point où votre connaissance est parvenue au-delà de la superstition et au-delà du fanatisme, à un point où nous pouvons maintenant nous approcher du centre sans causer d’hystérie. Je vais encore rencontrer quelques personnes hystériques parce qu’elles n’écoutent pas. Elles n’écoutent pas l’enseignement dans son intégrité, elles ne le contemplent pas pleinement jusqu’à voir par elles-mêmes que tous ces blocs sont en réalité vides et que la seule chose qui soit réelle à leur sujet est le blâme. Et une fois que nous nous sommes débarrassés de lui, il n’y a rien d’autre et ce qui existe à sa place est l’amour. Telle est la qualité divine dont nous sommes à la recherche. C’est ce pouvoir qui déplace les montagnes. Eh bien, il m’a fallu tout ce temps pour vous amener dans ce petit endroit où vous puissiez écouter ce simple message. Et c’est aussi simple que cela.Est-il donc si difficile de vous détacher de votre attachement?

Ce n’est pas difficile du tout; si vous vous appliquez à vous concentrer sur le manque en dehors des gens, lieux, temps et événements, le manque ne peut se maintenir en tant que manque, il n’existe pas. Et lorsque se produira cette illumination, le cerveau fera tout son possible pour redéfinir ses connections conformément à cette compréhension. Que se passe-t-il donc sein, ne coule que l’amour. Cet amour n’est pas forcé; il est, car il n’existe là rien d’autre. Et pourquoi ceci est-il si important? Parce que c’est la qualité qui fait un Christ. C’est I’amour qui guérit. C’est l’amour qui relie et l’amour qui soutient. Et l’amour ne peut exister dans un état d’attachement. Combien d’entre vous comprennent? Tournez-vous vers votre voisin et expliquez.

Eh bien, une des raisons pour lesquelles vous gardez ce demon intact, ce démon dont vous commencez à comprendre un peu mieux la nature, une des raisons est que – regardons les choses ainsi – si vous neutralisiez l’ombre du soi en vous, vous avez peur de ce que vous pourriez être sans lui. Autrement dit, quel serait le stimulus à vos conversations ? Combien d’entre vous comprennent? Et vous craignez aussi de ne pas avoir de .raiso~ d~ vous lever tous les matins, prêt à passer une nouvelle Journee a suer sang et eau sans sombrer dans une dépression nerveuse. Réfléchissez-y. Les gens craignent de se retrouver nus, sans aucun attachement, parce qu’ils ont une peur réelle de ce qu’ils pourraient être ou de ce qu’ils pourraient devenir parce qu’ils ?nt vécu une camaraderie véritable et fructueuse avec ce que l’on appelle l’ombre du soi. Ils sont attachés aux attachements. Combien d’entre vous comprennent?

Voilà un concept déconcertant! Je ne souhaite pas en dire plus là-dessus dans notre conversation unilatérale, parce que je ne veux pas que vous vous endormiez avant la fin et créiez un attachement vis-à-vis de l’enseignement que je viens de vous donner, ce qui est toujours un risque. Que dire de l’idée que la raison pour laquelle vous ne laissez pas volontiers tomber votre passé est peut-être que celui-ci a été un tel compagnon de votre présent, ce qui impliquerait que vous devriez devenir une autre personne en quelque sorte, et, comme vous êtes quelqu’un qui veut toujours contrôler ses attachements, cela vous empêche quelque peu d’exercer ce contrôle. Combien d’entre vous comprennent? Je vous le dis, les saints naissent d’un tel feu – c’est la vérité – et les maîtres aussi, qui sont des personnes authentiques et vraies engagées dans une divine mission, celle de découvrir le défaut qui a inhibé leur progrès depuis des millénaires. Ils veulent vraiment le découvrir. C’est ce qu’ils veulent vraiment.

Ainsi, vous savez, vous n’avez pas tant de karma que cela. Ce que vous avez, c’est un défaut – un défaut – que vous pouvez maîtriser, et il s’agit du défaut le plus évident dans votre vie. Vous pouvez le maîtriser en prenant une épée et en renversant les béquilles qui le soutiennent, et vous découvrirez qu’il est vide. Ce sont les béquilles qui vous font revenir vie après vie après vie. Comprenez- vous ?

Nous savons bien qu’un enseignement de cet ordre ne va pas être entendu par certains d’entre vous. Vous entendez de façon sélective et éludez de grandes parties de mes enseignements. Il existe de grands espaces où rien n’a été retenu, alors que je suis un orateur bien meilleur que cela. Votre ouie devient sélective lorsque vous ne voulez pas entendre ce que je vous dis, mais, je vous le dis, vous êtes ici pour l’entendre. Vous êtes venu ici afin d’entendre ce que vous n’avez jamais auparavant voulu entendre.

Le premier pas permettant de résoudre ceci est qu’il a fallu toutes ces années pour vous amener à un point où votre connaissance est parvenue au-delà de la superstition et au-delà du fanatisme, à un point où nous pouvons maintenant nous approcher du centre sans causer d’hystérie. Je vais encore rencontrer quelques personnes hystériques parce qu’elles n’écoutent pas. Elles n’écoutent pas l’enseignement dans son intégrité, elles ne le contemplent pas pleinement jusqu’à voir par elles-mêmes que tous ces blocs sont en réalité vides et que la seule chose qui soit réelle à leur sujet est le blâme. Et une fois que nous nous sommes débarrassés de lui, il n’y a rien d’autre et ce qui existe à sa place est l’amour. Telle est la qualité divine dont nous sommes à la recherche. C’est ce pouvoir qui déplace les montagnes. Eh bien, il m’a fallu tout ce temps pour vous amener dans ce petit endroit où vous puissiez écouter ce simple message. Et c’est aussi simple que cela.

Est-il donc si difficile de vous détacher de votre attachement? Ce n’est pas difficile du tout ; si vous vous appliquez à vous concentrer sur le manque en dehors des gens, lieux, temps et événements, le manque ne peut se maintenir en tant que manque, il n’existe pas. Et lorsque se produira cette illumination, le cerveau fera tout son possible pour redéfinir ses connections conformément à cette compréhension. Que se passe-t-il donc lorsque vous prenez conscience qu’en vous n’existe rien que l’on puisse appeler manque, peur, maladie ou mal – ou toute autre chose à laquelle vous pourriez penser – ou ignorance ? Que se passe-t-il en vous au moment où vous savez cela? L’espace entier de cette contemplation est balayé parce qu’il ne peut se maintenir seul. Il est balayé et un pouvoir prend sa place : le pouvoir de l’espace libre, l’amour. C’est dans un tel lieu que le miraculeux se produit. Le miraculeux ne se produit pas dans le passé, il ne se produit pas non plus dans le futur. Il a lieu au moment où vous êtes présent, lors de votre contemplation; c’est à ce moment que le miracle a lieu. C’est le seul espace dans lequel il peut se produire. Quel est le miracle? Le miracle est que le mensonge est aboli et qu’à sa place apparaît l’abondance. Elle avait toujours été là, elle a toujours été là. Ceux d’entre vous qui n’entendent pas très bien, vous allez continuer à préserver votre sale petite conscience et vos sales petits modes de pensée et à être ceux qui possédez votre passé parce que celui-ci vous offre une raison de vous plaindre et quelque chose sur quoi travailler, tout cela parce que vous ne me croyez pas, moi, mais croyez assurément en votre manque.

Ceux d’entre vous qui tiennent par-dessus tout à leur tourments – vos tourments imaginaires, votre trahison imaginaire, vos réactions méchantes imaginaires – ceux d’entre vous qui vont y tenir par-dessus tout, votre vie ne va être rien d’autre que l’enfer non seulement pour le reste de cette vie-ci, mais également pendant toutes vos vies à venir. Quel est le prix à payer pour votre attachement à l’ «ombre du soi» ? Le prix en est que l’amour que vous portez à cet être erroné vous séduit plus que l’amour de la vie et les opportunités qui font que chaque jour l’amour de cette bête est plus important que l’amour de la vie – et la participation à cet amour de quelque manière que ce soit, dans chaque action, dans chaque pensée, ce qui nous permettrait de dire que nous sommes réellement en vie, et en vérité, que nous avons réellement vécu. Vos manières de pensées, petites et erronées, ne vous permettront jamais de faire l’expérience de la vie, malheur à vous. Et vous ne serez jamais un maître dans cette école car le salaire de la maîtrise est très strict. Non seulement il requiert la conquête de soi, mais il requiert aussi l’absolution du divin en nous. Ceci signifie la liberté de notre divinité. Et cette divinité, où réside-t-elle? Elle réside précisément là où vous imaginez que réside votre manque. Notre divinité, c’est la volonté. C’est l’épée de la volonté qui nous permet, comme un législateur, de déterminer quelle vie nous voulons. Moi, je dis qu’aucun ennemi, ni aucun homme, ni aucune femme, ni aucun parent n’est assez imposant pour me priver de ma vie et de mon pouvoir de faire ce que je veux de ma vie. Personne n’a eu une telle importance dans ma vie. Pourquoi en serait-il ainsi pour vous?

Ainsi, ceux parmi vous qui ont des oreilles, écoutez ce que je viens de dire et n’y apportez aucune interprétation qui changerait le sens de mon enseignement. Ceux parmi vous qui veulent savoir, votre liberté est à portée de main; votre légèreté d’être absolue est à portée de main. Et peu importe qui vous êtes – et peu importe quelle langue vous parlez, si vous savez lire, si vous savez écrire ou pas – nous sommes tous égaux en Dieu. Et lorsque nous prenons un moment pour nous regarder droit dans les yeux, pour regarder nos limitations et pour définir notre manque par ce qui lui sert de support, lorsque nous retirons ensuite ces mêmes supports, je jure que nous mettons en œuvre le divin, chose que nous avons tous la faculté de faire. L’amour est un aimant. Il est magnétique et puissant. Le manque est artificiel, limité et destructeur. Le merveilleux véritable, nous ne l’avons pas encore appris dans l’école; on ne peut l’apprendre avant d’avoir appliqué et maîtrisé cette leçon. Combien d’entre vous comprennent? Qu’il en soit ainsi.

Notre premier pas dans cette entreprise eut donc lieu avant cette vie-ci; s’ensuivit notre rencontre, vous et moi, et cette école. Tel fut le premier pas : faire en sorte que vous demandiez, que vous exigiez que l’âme requiert que vous recherchiez dans cette vie une solution significative à votre dilemme, à ce petit et unique problème qui est le vôtre. Et lorsque nous donnons satisfaction à l’âme, nous sommes libres d’aller où bon nous semble. Ce soir, j’ai satisfait l’âme en donnant à celui qui la porte l’information qui lui est nécessaire en sorte qu’il puisse prendre les décisions qui conviennent à propos de cette petite attitude, ainsi que la manière de l’éliminer. Je ne peux l’éliminer pour vous – ce n’est pas mon chemin – mais je suis votre professeur et je vous assure que cette discipline est la plus rapide, la plus radicale de toutes. Elle va vous lancer dans l’espace libre plus rapidement que tout ce que je vous ai enseigné jusqu’à présent. Ce pas est à la portée de ceux qui veulent bien le prendre.

coeur

Cela peut ne pas sembler tâche bien ardue, mais, je vous le promets, renoncer à votre fierté est en vérité très difficile à faire. Être humble est difficile pour un homme ou une femme. L’acte de pardonner et la prostration de soi dans l’acte de pardonner – pour en donner une image, se prosterner, signifie que l’on se met la face à terre, que l’on s’étende sur le sol comme un aigle à la merci de quelque chose de plus grand – c’est cela l’image. Cela signifie que l’on accepte de renoncer à ce que l’on est pour quelque chose de plus grand et de le sacrifier. Ceci n’est pas facile mais on peut aussi dire que ça l’est.

Et au moment où vous allez vous concentrer sur ce petit problème ou sur cette attitude, vous allez découvrir que – et je vous abjure de ne le relier en aucune manière avec le passé, ni avec aucune personne de quelque manière que ce soit, ni à aucun événement quel qu’il soit, non plus qu’à aucun temps, je vous en abjure – si vous vous concentrez sur cette petite attitude selon ces recommendations, vous allez découvrir que ce ne sera rien. Vous voilà maintenant à apprendre le secret. Il suffit en premier lieu d’acquérir la connaissance, et vous possédez désormais cette connaissance. En second lieu, vous devez accepter de faire ce que je vous ai enseigné.

Quand allez-vous faire cela? Quand vous voulez : ce soir, demain matin, demain après midi ? À vous de choisir. Et vous découvrirez cette chose en vous, et je vous promets qu’avec un peu d’aide de votre ami, elle va faire surface. Comme toujours, vous avez alors le choix d’agir à son encontre ou de la laisser courir. Si vous êtes décidé à agir, il vous suffit d’aller quelque part, de fermer les yeux – mettez un bandeau sur vos yeux si possible – installez-vous dans un endroit tranquille, mettez cette étoile, roulez vos yeux en arrière, serrez, soufflez, et commencez à faire monter l’énergie. Et quand vous êtes prêt, prenez cette petite attitude et placez-la ici ( le lobe frontal) dans votre concentration sans y mettre aucun autre attachement. Alors que vous allez le maintenir là pendant un certain temps, il va essayer de se dérober; vous allez alors devoir souffler et le ramener dans votre concentration, et cela sans attachement. Quand vous ferez cela, je vous promets que votre monde va changer – votre vie, le flux de votre énergie et votre liberté – et lors de notre prochaine rencontre, vous aurez acquis de la sagesse. Vous comprenez? Qu’il en soit ainsi.

Tout le monde à travers les âges a posé cette question proverbiale : Maître, qu’est-ce que l’amour inconditionnel ? L’amour inconditionnel est ce qui toujours est. S’il n’existe pas d’attachement, il apparaît dans tout son éclat. Ce n’est pas quelque chose qu’il vous faille être; c’est ce que déjà vous êtes. À sa place sont maintenus illusions et mensonges. Ceux-ci enlevés, l’amour est là. Il n’est nul besoin d’y apporter d’efforts. C’est la nature de notre être, mes bien-aimés. Nous avons été conçus dans l’amour ; nous y demeurons donc. Point Zéro est l’amour, et tout le pouvoir qui a formé toutes les dimensions, tous les plans et tous les cieux est ce même pouvoir. Ayant été conçus dans la matrice d’un tel amour, ce dernier se doit d’être l’aspect de notre nature véritable. Etre autre que cela est un artifice par rapport à cette nature. Telle la raison d’être de ce qu’on appelle la roue de la réincarnation…

par RAMTHA Extraits de son livre Le mystère de la naissance et de la mort: le soi redéfini p. 49  aux éditions Adda. Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Philosophie de la VIE, SAGESSE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Le développement de la vie et de la conscience sur la terre

Posté par othoharmonie le 5 décembre 2015

 

Sur la terre, l’évolution des formes de vie était intimement mêlée au développement intérieur des âmes de la terre. Bien qu’aucune âme ne soit limitée à une planète particulière, on pourrait qualifier les âmes de la terre d’autochtones de votre planète. Cela parce que leur croissance et leur expansion coïncident grosso-modo avec la prolifération de la vie sur la terre.

Lorsque des unités individuelles de conscience naissent, elles sont assez semblables à des monocellules physiques, en ce qui concerne leur structure et leur potentialité. Tout comme des cellules individuelles ont une structure relativement simple, les mouvements intérieurs d’une conscience nouveau-née sont transparents. Il y existe encore peu de différenciation. Elles ont un monde de possibilités à la fois physiques et spirituelles à leurs pieds. Le développement qui s’étend d’une unité de conscience nouveau-née à un type de conscience capable de réfléchir, d’observer et de réagir à son environnement peut se comparer grosso-modo au développement qui s’étend d’un organisme monocellulaire à un organisme vivant complexe capable d’être en interaction avec son environnement de multiples manières.

vie et conscience sur terre

Nous comparons ici le développement de la conscience de l’âme avec le développement biologique de la vie et ce n’est pas qu’une métaphore. En fait, le développement biologique de la vie tel qu’il a pris place sur la terre doit être vu sur l’arrière-plan d’un besoin spirituel d’exploration et d’expérience de la part des âmes de la terre. Ce besoin ou ce désir d’exploration a fait naître la richesse de variétés des formes de vie sur la terre. Comme nous l’avons vu, la création est toujours le résultat d’un mouvement intérieur de conscience. Bien que la théorie de l’évolution, telle que reconnue par votre science actuellement, décrive de façon correcte le développement des formes de vie sur votre planète jusqu’à un certain point, elle omet complètement la commande intérieure, le motif caché derrière ce processus profondément créatif. La prolifération des formes de vie sur la terre était due aux mouvements intérieurs au niveau de l’âme. Comme toujours, c’est l’esprit qui précède et crée la matière.

D’abord, les âmes de la terre se sont incarnées dans des formes physiques qui convenaient au mieux à leur sentiment de soi rudimentaire: des organismes monocellulaires. Après une période d’acquisition d’expérience et d’intégration de celle-ci dans leur conscience, s’est éveillé le besoin de moyens d’expression physique plus complexes. C’est ainsi que des formes de vie plus complexes ont vu le jour. La conscience créait ces formes physiques pour répondre aux besoins et aux désirs des âmes de la terre dont la conscience collective habitait la terre à l’origine.

La formation de nouvelles espèces et l’incarnation d’âmes de la terre en membres individuels de ces espèces représentent une belle expérience de la vie et de la conscience. Bien que l’évolution soit dirigée par la conscience, et non par l’accident ou l’incident, elle ne suit pas une ligne de développement prédéterminée. Cela parce que la conscience est libre et imprévisible.

Les âmes de la terre ont expérimenté toutes sortes de formes de vie animale. Elles ont habité plusieurs corps physiques du règne animal mais toutes n’ont pas suivi la même ligne de développement. Le chemin de l’âme est beaucoup plus fantaisiste et aventureux que vous ne le supposez. Il n’existe aucune loi au-dessus ou hors de vous. Vous êtes votre propre loi. Si par exemple vous désirez faire l’expérience de la vie du point de vue d’un singe, vous pouvez vous retrouver à un moment donné dans le corps d’un singe, dès la naissance ou en visiteur temporaire. L’âme, et spécialement l’âme jeune, a un ardent désir d’expérience et d’expression. Cette soif d’exploration explique la diversité des formes de vie qui abonde sur la terre.

Dans cette grande expérience de vie, l’éveil de la forme de vie humaine a marqué le début d’un stade important du développement de la conscience de l’âme sur la terre. Avant d’entrer dans une explication plus détaillée, nous parlerons d’abord des stades du développement intérieur de l’âme en général.

L’évolution de la conscience: stade infantile, maturité, vieillesse

Si nous observons le développement de la conscience de l’âme qui est devenue une unité individuelle, nous constatons qu’il passe grosso-modo par trois stades intérieurs. Ces stades ne dépendent pas du plan de réalité particulier (planète, dimension, système stellaire) où la conscience choisit d’habiter ou de faire son expérience.

  1. Le stade de l’innocence (paradis)
  2. Le stade de l’ego (« péché »)
  3. Le stade de la seconde innocence (illumination)

On peut comparer ces stades métaphoriquement à la petite enfance, la maturité et la vieillesse.

Après la naissance des âmes en unités de conscience, elles quittent l’état d’unité océanique dont elles se souviennent comme d’un état de béatitude et de sécurité absolues. Puis elles continuent d’ explorer la réalité d’une manière totalement nouvelle. Lentement, elles deviennent plus conscientes d’elles-mêmes et de leur unicité par rapport à leurs compagnes de voyage. A ce stade, elles sont très réceptives et sensibles, comme de jeunes enfants qui regardent le monde les yeux grands ouverts, exprimant la curiosité et l’innocence.

Ce stade peut être qualifié de paradisiaque, puisque l’expérience d’unité et de sécurité est encore fraîche dans la mémoire des âmes nouveau-nées. Elles sont encore proches de leur foyer; elles ne remettent pas encore en question leur droit à être qui elles sont.

Au fil de leur voyage, la mémoire de leur foyer s’estompe pendant qu’elles s’immergent dans divers types d’expériences. Tout est neuf au début et tout est absorbé de façon non-critique au stade infantile. Elles entament un nouveau stade quand elles commencent à se vivre comme le point focal de leur monde. Elles se mettent alors à réaliser vraiment qu’il existe quelque chose de l’ordre du « moi » et de « l’autre ». Elles commencent à expérimenter comment influencer leur environnement en agissant sur cette réalisation. La notion même d’une action originaire de leur propre conscience est neuve. Il y avait auparavant une absorption plus ou moins passive de ce qui passait à leur portée. Maintenant, il y a chez l’âme un sens croissant de son pouvoir à exercer une influence sur ce dont elle fait l’expérience.

C’est le début du stade de l’ego.

 Pamela Kribbe web Jeshua Challelings, « L’Artisan de Lumière II » SUR LE BLOG de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Channeling, En 2012-2013 et après 2016, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

À l’intérieur de Dieu

Posté par othoharmonie le 2 décembre 2015

           

 

Nécessairement, le sens du Mal s’évanouira, puisque le Temps n’existera plus et que sera perçue la totalité des choses. Ce n’est pas que nos fautes nous seront remises, ce n’est pas que le pardon nous sera consenti, qu’une amnis­tie générale sera accordée. C’est que, la linéarité du Temps ne jouant plus pour notre conscience, un événe­ment cessera d’en susciter un autre : la causalité ne sera plus ce qui réunit les choses, nous ne jugerons plus en termes de Bien et de Mal, nous ne verrons plus que l’unité, ne vivrons plus que l’intégralité. Nous ne serons plus nous-mêmes au sens où nous le sommes aujourd’hui — séparés du reste et opposés à lui —, nous serons fondus dans le Tout, nous serons tout, et, ayant la conscience de Dieu, nous serons Dieu. Comme lui sans début et sans fin, nous serons comme lui sans cause. Et cela même, qui est la signature de l’Éternité, prouvera notre affranchissement de ce Bien et de ce Mal qui n’existaient pas sur la Terre avant qu’une créature ne s’y avisât du passage du Temps.

Conscience7

De cet état de conscience, l’extase des mystiques donne un aperçu sidérant où est d’un seul coup arraché le voile des perceptions habituelles. À quelque pays, quelque siècle, quelque culture qu’ils appartiennent, l’expérience est identique, même si, par la suite, au moment d’être expri­mée, elle se recouvre d’un vocabulaire ethnique parti­culier et semble se référer au canon d’une Église.

L’expérience peut s’emparer d’un laïc autant que d’un religieux, d’un athée autant que d’un croyant, d’un réprouvé autant que d’un homme de bien, d’une victime autant que d’un bourreau, d’un enfant autant que d’un vieillard, car, en vérité, rien ne peut la provoquer. Les macérations, les rites, les systèmes de yoga ne sont d’aucun secours : ils peuvent éclairer la nature extérieure, l’embellir, la sanctifier en termes strictement humains, ils ne sauraient donner l’expérience de Dieu, laquelle se situe dans un plan où ils n’ont pas accès.

D’ailleurs, pour celui qui a vu Dieu, l’impression est toujours la même : il n’y est pour rien — comment la ché­tive force humaine pourrait-elle soulever à elle seule l’insoupçonnable dalle qui nous cache la Réalité de notre être ? Comment effacerions-nous d’un regard l’immensité stellaire ? Comment passerions-nous de la conscience étroite où nous vivons, déchirés par les dualités, à cette conscience sans limites où, soudain, et depuis toujours, et pour toujours, et tout naturellement, nous sommes l’essence de tout ce qui est, a été ou sera ?

Cette conscience dont l’unité manifeste et constitue tout espace et toute durée, comment oserions-nous dire, si nous l’avons touchée et nous y sommes immergés, que c’est grâce à nos efforts ? Nous savons bien, désormais, que la chose est impossible, même s’il nous semble que l’expérience était le fruit d’une inlassable purification.

Et nous sourions de notre ancienne naïveté qui nous insufflait la ferveur au moyen de laquelle nous nous imagi­nions pouvoir déplacer les montagnes sans savoir au juste ce qu’étaient ces montagnes — nous croyions qu’elles appartenaient à notre monde, qu’elles étaient faites d’une même matière, et maintenant que nous sommes passés de l’autre côté, nous savons bien que non, car nous avons vécu ce qu’aucune langue ne peut laisser soupçonner, avons été possédés de ce dont nul ne peut se douter, dépris de nous-mêmes, de notre corps, de nos sentiments, de nos pensées, de notre foi, même — des mille images brisées qui composent notre univers. Nous avons été effacés et, alors, non pas anéantis, mais rendus infinis, éternels, omni­scients d’une omniscience silencieuse et absolue qui, après coup, nous a peut-être donné à comprendre qu’il n’y a rien à savoir.

Du moins n’y a-t-il rien que la pensée puisse savoir, ana­lyser, comprendre et mettre en application. Rien que l’esprit humain puisse ensuite prétendre posséder en propre. À supposer qu’il le veuille, il ne le pourrait pas. Mais il ne le veut pas. Il est comblé par son annulation. Il abdique en faveur d’une autre forme d’intelligence. La seule chose qu’il puisse affirmer dorénavant, c’est que « cela » existe, et incomparablement plus que n’importe quoi au monde. Il insiste pour le dire d’une manière ou d’une autre, et tout, autour de lui, mystérieusement, se fait l’écho de l’oracle qui, en lui, déchiffre la vérité : « Cela est, et il n’y a que cela, je suis cela, tu es cela, je suis toi, tu es moi, depuis toujours et à jamais. Les myriades d’existences qui, à travers l’univers, naissent et meurent à chaque instant ne sont en réalité que cela. Atomes ou galaxies, elles ne sont que l’existence unique que je suis moi-même dans l’Éternité. »

Or, c’est à l’homme qu’est procurée l’expérience : elle fait partie du champ de nos possibilités. Elle nous définit autant que le don de composer de la musique, d’écrire de la poésie, ou de recenser les nébuleuses spirales. Elle ne nous est pas étrangère. Même si elle n’est accordée qu’à certains, elle ne peut être rejetée par les autres sous pré­texte que son contenu est invérifiable : en shlôkas, en sou­rates, en soutras, en versets, ce contenu nous est transmis de par le monde au fil des siècles, comme nous sont communiqués d’autres savoirs en formules scientifiques dont la valeur ne nous apparaît vraiment que si nous les mettons nous-mêmes à l’épreuve.

Ce dont témoigne le voyant, c’est que quelque chose a été à jamais détruit en lui, au cours de l’expérience, qu’il a atteint un point de non-retour, qu’il lui est, à l’avenir, impossible de penser comme il pensait, de croire ce qu’il croyait, quoi que cela ait pu être, si vertigineuse qu’ait pu être sa pensée, si profonde sa foi. Cela même qui le dis­tingue à présent du reste des hommes indique ce que l’humanité — dont il continue de partager les coutumes — a la puissance de réaliser demain.

C’est un homme comme les milliards d’autres hommes qui a vu s’effondrer le mur inexpugnable de la Nuit pour alors devenir la Lumière. C’est un représentant de l’espèce humaine et non un être appartenant à une race différente, que mouvraient d’autres lois, c’est une cellule de la grande masse des hommes qui a vu, qui a vécu, qui a connu et qui, par là, a montré que toutes les autres cellules sans exception peuvent, à son exemple, voir, connaître et vivre ce que cache l’illusion cosmique.

D’ailleurs, il ne revient au monde que pour révéler cette identité, cette ressemblance, cette fraternité. Il ne se réclame pas de cette vision pour s’emparer du pouvoir. Il ne demande pas qu’on l’adore. Même si une poignée de disciples ou des foules entières se prosternent devant lui, il ne peut rechercher les marques de l’adoration. Devant lui, il n’y a que lui-même. À ses pieds, il n’y a que des êtres qui, essentiellement, sont lui et qui, un jour, seront, comme lui, libérés de la conscience humaine pour laquelle l’écoulement temporel est tout, avec son sens de la causa­lité, du Bien, du Mal, de la Mort et de Dieu.

Et lui que l’on voudrait parfois vénérer comme un Dieu, il sait qu’un jour il n’y aura plus de Dieu. Ou qu’il n’y aura plus que Dieu, ce qui revient au même, car cela veut dire qu’il n’y aura plus de différence entre Créateur et création. Et ce jour-là, la Mort aura été vaincue, le Temps dépassé, nul Bien n’aura plus à compenser nul Mal, tout sera au-delà de ce qu’aujourd’hui nous vivons. Les contraires disparaîtront. Il y aura autre chose. Il n’y aura plus qu’une chose.

Lui-même n’est donc, en quelque sorte, qu’un messager du futur. Il ne sait, bien entendu, quelle physionomie arborera vraiment l’avenir de la Terre. Mais du moins peut-il affirmer qu’il existe une autre forme de conscience pour laquelle ce qui fait notre quotidien n’est absolument d’aucun poids. Du moins peut-il enseigner que cette conscience, étant infinie et éternelle, appartient à tous et à chacun depuis toujours et à jamais, qu’aucune forme d’être passée, présente ou à venir ne peut en être retran­chée : en effet, si une seule forme de vie était rejetée de l’éternité, condamnée au nom d’une morale quelconque à vivre en dehors de l’infini, cette éternité cesserait d’exis­ter, cet infini serait annulé, le Dieu au nom duquel le juge­ment aurait été prononcé serait dénaturé.

De sa propre illumination, le voyant peut déduire que tout le monde sera donc fatalement illuminé. D’où son amour pour chacun, sa compassion pour tous. D’où son sourire, et la légèreté de son rire. Nul châtiment n’est à craindre. Nul enfer à redouter. Et regardant ses sem­blables, ceux que l’on dit les pires comme ceux que l’on considère les meilleurs, il ne voit plus que des enfants qui, à leur insu même, s’ébattent dans la lumière.

Pourtant, il est conscient de leurs souffrances, il souffre avec eux, et même, parfois, plus qu’eux. Mais il sait, et sa connaissance est inaliénable. Rien ne peut l’oblitérer ni la lui dérober. Il est lui-même sa connaissance, pour ainsi dire. Il ne la trouve ou ne la retrouve dans aucun livre en particulier. Les livres les plus beaux ne sont que paroles inspirées ou recueillies. Lui est Vie vivante, et tout devient vrai à ses yeux sans recours aux Écritures. Il n’a besoin de rien ni de personne. Il se suffit à lui-même. Il ne désire rien. Il n’a pas de cause, pas d’origine et pas de fin. Lui, l’homme sur la Terre, il est infini et se meut doucement dans l’immense mouvement des astres, fondu dans leur splendeur et la contenant. Il est seul, et l’univers est en lui. Il est un et il est tout. Et il sourit.

Suivant les nations et les siècles, selon l’étape que la pensée humaine a déjà conquise, ce qu’il éprouve se colore d’une manière ou d’une autre, définit son époque en même temps qu’elle ouvre les portes d’un âge nouveau, d’un nou­veau progrès. Le voyant qui vient après le Bouddha et le Christ possède, grâce à eux, le sens de valeurs qui, avant eux, n’existaient pas et peut, dès lors, poursuivre plus loin la découverte de l’âme humaine. C’est toujours la même chose avec laquelle il s’identifie, lors de l’extase suprême, mais la pensée dont il usera ensuite pour la traduire est de plus en plus élaborée.

 

(Extrait de Alexandre Kalda: Le Dieu de Dieu. Flammarion 1989)

 

Publié dans DIEU, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

L’âme devrait apprendre à ne plus dis­tinguer entre l’intérieur et l’extérieur

Posté par othoharmonie le 2 décembre 2015

 

Dans les siècles à venir, nous devrions apprendre à pénétrer consciemment dans cette dimension sainte où nulle dualité n’existe, où nous cesserons d’être séparés de notre origine et où, même, nous n’aurons plus d’origine car l’ayant alors retrouvée, nous la serons redevenus ; l’ayant réintégrée, nous en serons indissociés. Nous serons un avec ce que, depuis le début, les religions nous ont permis d’évoquer et vers quoi nous n’aurons cessé de marcher sous le rou­lis majestueux des nébuleuses. Nous n’aurons plus besoin de prières ni de sacrifices. Nous n’aurons plus besoin d’adorer. La barrière sera enlevée, qui nous sépare de l’Être pur dont nous sommes les effigies. La frontière sera franchie, que des millénaires de labeur et de souffrance nous auront aidés à atteindre. Nous serons passés de l’autre côté.

Conscience3

Peu à peu, nous passerons de l’autre côté. Peu à peu, nous nous ouvrirons à de nouveaux influx. Peu à peu, nous serons transmués. L’espérance ancienne sera récompensée. De notre mémoire, sera effacée l’horreur qu’il nous aura fallu traverser depuis le commencement des choses. L’aveugle monstruosité de la vie au cours des âges qui nous ont précédés est tombée dans l’oubli lorsque nous sommes apparus. De même la fièvre et la violence où nous sommes aujourd’hui obligés de vivre seront-elles balayées de notre conscience, lorsque, rompant les chaînes du Temps, nous envolant plus haut que l’Espace, dominant les lois ultimes de la Matière, nous pénétrerons physiquement dans l’Éternité et vivrons à l’intérieur de Dieu. 

Comment passer de l’autre côté sans mourir ? Comment, à bord de ce vaisseau qu’est notre forme physique, nous lan­cer sur l’océan de l’invisible ? Comment pénétrer intégralement dans ce qui, pour nous, est aujourd’hui le royaume de la Mort (ou celui de la Vie éternelle seule­ment accessible par les portes de la Mort) ? Comment vivre au-delà avec tout notre être, et non plus seulement par l’esprit, dans un corps que nous imaginons immaté­riel ? Comment, sans nous faire disparaître, fendre l’écorce qui nous enveloppe ?

Toutes nos recherches, depuis un siècle et davantage, convergent dans ce sens : artistes et savants se penchent fiévreusement sur ce que leur alloue leur milieu et rompent les digues les unes après les autres, détruisent les structures, brisent les formes musicales, poétiques, pictu­rales et autres, ou bien décortiquent la Matière et divisent l’atome. Et sous les doigts des uns et des autres, il semble que rien ne doive subsister. 

Et en vérité, quelque chose va disparaître — et quelque chose apparaître. Ce qui, peu à peu, va s’évanouir, c’est ce qui ne peut entrer de plain-pied dans l’au-delà, ce qui ne peut vaincre la Mort, ce qui ne peut devenir immortel. Et ce qui va, peu à peu, se manifester, c’est justement ce qui est physiquement capable d’immortalité, ce qui, en demeurant sur cette Terre matérielle, est capable de savourer l’Éternité, ce qui, corporellement, peut être à la fois nous-mêmes et l’infini cosmique. Ce qui va, peu à peu, se révéler, c’est Dieu en sa splendeur ludique et sa jeu­nesse inaltérable, Dieu s’exprimant de nous, de chacun d’entre nous, et comme s’extirpant patiemment du vête­ment obscur de notre forme qui le déguisait, de notre être qui nous le cachait et nous empêchait de voir que nous étions lui et qu’il était nous.

Folie ? Peut-être. Mais si c’était la folie que l’on attend de nous ? Si c’était à la folie de nous sortir des impasses de la raison ? Si, une fois de plus, la folie d’aujourd’hui était la sagesse de demain ?

Ni religieux, ni scientifique, ni théiste, ni athée, un nou­veau mode de pensée se prépare où vont se fondre les deux tendances actuelles de notre esprit. Jusqu’à présent, elles se sont tenues à distance, se méprisant et s’estimant tour à tour, mais refusant de s’allier : d’un côté, le monde et, de l’autre, Dieu. Même pour ceux qui devinaient que le monde est Dieu sous un visage étranger, le monde n’en était pas moins inférieur, négligeable, ou vaguement mau­dit. Quant à ceux pour qui le monde était le seul souci, Dieu, s’il existait, leur semblait ne rien avoir à faire avec ce qu’enseignaient les religions : comment parler en termes de Bien et de Mal, de compassion, de rachat, quand il s’agit d’établir que la Terre tourne ou que l’effon­drement gravitationnel d’une étoile peut aboutir à un autre univers, ou quand on veut enregistrer la mort d’un proton pour savoir si le monde se désintégrera ?

Cependant, les deux lignes se rapprochent, au point de sembler parfois n’être que le reflet l’une de l’autre. Le point sacré de leur tangente est-il illusion créée par la dis­tance dans un Espace courbe et fermé ? Ou bien l’illusion n’est-elle pas dans ce dédoublement d’une seule ligne que notre pensée ne peut saisir qu’à condition d’en séparer les deux principes — de séparer l’Esprit de la Matière, le Jour de la Nuit, la Vie de la Mort, l’Éternité de l’Espace-Temps, et Dieu de son expression sidérale ?

 

(Extrait de Alexandre Kalda: Le Dieu de Dieu. Flammarion 1989)

Publié dans DIEU, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Le symbole du centre : la croix, structure à cinq éléments

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2015

 

C’est dans la tradition chinoise que le pro­blème nous semble avoir été le mieux posé . Le centre marque alors une rupture de niveau ontologique. Il est en même temps le seul point stable, si nous inscrivons la croix non plus dans un carré, mais dans un cercle  : la circonfé­rence est le monde de la Création ; le centre est le Verbe, l’Émanation originelle, le « moteur immobile » ; la circonférence est animée d’un perpétuel mouvement, que l’on peut même assimiler à un tourbillon, tant que cette énergie en constante mutation n’est pas ramenée vers le centre par un mouvement évolutif : d’où, dans toutes les traditions, les images de la roue comme symbole de renouvellement et d’inces­sante circulation, et, chez les chrétiens, cette devise très explicite des chartreux : « stat crux dum volvitur orbis », « la croix est immobile, et le monde tourne autour ». Quant aux branches de la croix, elles deviennent alors des rayons animés d’un double mouvement, et les vecteurs d’une dynamique qui conjugue à chaque instant des forces d’expansion, correspondant au processus de création, et des forces partant de ce monde créé et tendant à le faire retourner vers ce centre dont il est issu. La croix explicite alors le mystère du Centre : elle est à la fois diffusion et rassemblement.

Il est une autre figure apparentée à la croix qui nous aide à comprendre ce symbolisme, car elle transcrit, elle aussi, la diffusion de l’énergie cosmique d’un centre « immobile » à une cir­conférence en perpétuel mouvement : c’est le vieux symbole hindou de la svastika, à ceci près que « la rotation autour du centre fixe, au lieu d’être représentée par le tracé de la circonférence, est seulement indiquée… par les lignes ajoutées aux extrémités des branches de la croix » .

Le centre joue alors, par rapport aux quatre rayons de la croix, le même rôle que l’éther par rapport aux quatre éléments, en alchimie : celui de la quintessence (quinta essentia), parfois représentée, dans l’iconographie alchimique, par une étoile à cinq branches, ou une fleur à cinq pétales située au centre de la croix des éléments.

La croix tridimensionnelle : le sénaire / septénaire

Toutefois, ce « centre » reste, en lui-même, mal défini, dans la mesure où il indique une rupture, le passage de l’horizontalité à la verticalité, mais sous une forme mystérieuse, et même prêtant à ambiguïté. Il est beaucoup plus explicite de le représenter non comme un point (symbole inadéquat, puisque inscrit dans l’espace, alors que le « point » principiel dont nous parlons n’est pas soumis à l’espace, dans la mesure où c’est lui qui l’engendre), mais comme un axe qui transcende verticalement les différents plans de la création représentés, eux, horizontalement (l’horizontalité traduisant alors la multiplicité des expériences possibles et le foisonnement de la vie).

La croix acquiert alors la plénitude de sa valeur symbolique : elle s’inscrit dans trois dimensions de l’espace, et s’ouvre ainsi sur le monde de la transcendance, représenté sous une forme plus explicite et plus complète que par le « centre » ; en même temps, elle devient une figure à six pôles, qui est en fait un septénaire si l’on intègre le centre, qui se charge alors de ce que nous croyons être sa véritable signification (sur laquelle nous reviendrons). L’axe vertical est, métaphysiquement parlant, l’axis mundi, et, sur un plan ontologique, le symbole de notre « verticalité », c’est-à-dire de notre possibilité d’accéder à d’autres niveaux d’être. Cet axe est lui-même polarisé (haut vs bas) ; être au centre, c’est donc être à l’intersec­tion du plan « horizontal » et du plan « verti­cal », dans un espace et un temps absolu, qui permettent de connaître tous les états de l’être, dans ce que nous appellerons une « illumina­tion » :

 

LA CROIX

Ainsi, le symbolisme de la croix permet de comprendre le mouvement dialectique qui intègre la relation au monde « horizontal » et l’intériorise dans une « verticalité » ; comme le dit le mystérieux et éblouissant initiateur des Dialogues avec l’Ange : « Ne pas élever ! Ni,entraîner vers le bas – Mais relier ! »

On remarquera que cette structure sénai­re/septénaire trouve un écho dans d’autres situations symboliques où elle transcrit le même rapport fondamental, dans un autre contexte :

  • dans l’Ancien Testament, la Création est accomplie en six jours, et le septième, celui du « repos », marque en fait le centre, à partir duquel s’élabora et en lequel s’achève le monde créé (on pense à la parole du Christ : « Je suis l’Alpha et l’Oméga »), lui-même « décrit » à travers le symbole du six, caractérisant la création-émanation ;
  • de même, dans les sept couleurs de l’arc-en-ciel, le blanc, symbole de l’Absolu, est en fait la « récapitulation » des six autres.

 

De plus, le schéma ci-dessus fait ressortir que les six directions partent du centre en s’oppo­sant deux à deux (fait qui est souligné par ailleurs par l’ambivalence de tous les grands symboles, connotés de façons opposées : feu créateur vs feu dévastateur, etc.), et y revien­nent en se neutralisant deux à deux dans le mouvement de retour. On trouve des traces de cet enseignement, entre autres, dans les Actes de Pierre : « Si vous ne rendez pas la droite semblable à la gauche et la gauche semblable à la droite, et ce qui est en haut semblable à ce qui est en bas, et ce qui est derrière comme ce qui est devant, vous ne connaîtrez pas le royaume du ciel » (chap. 38). Cette croix, perçue comme symbole de l’union des contraires, nous rappelle que, dans la tradition mythique des anciens Mexicains, les quatre directions de l’espace sont regroupées autour du centre, perçu comme lieu de synthèse 6 ; en ce centre s’enracine un arbre dont le symbolisme « vertical » ne fait aucun doute, et donne à l’ensemble de la figure sa troisième dimension (cf. infra nos remarques sur l’arbre perçu comme axis mundi).

René Guénon précise de façon très intéres­sante le sens ontologique de ce symbole de la croix à six branches en le rapprochant des trois guna de l’Inde : le plan sattvique serait alors projection vers le « haut », élan pour retrouver la conformité à l’essence pure de l’être ; le plan tamasique serait attraction vers le « bas » et la pesanteur des forces régressives, des pulsions, d’une zone de l’inconscient qu’il importe d’explorer, de canaliser et de transmuter ; quant au plan rajasique, caractérisant la force expansive de l’être, il serait représenté par tout le niveau « horizontal », celui de l’action de l’homme dans et sur le monde, à travers lamultiplicité de ses expériences ; cela peut se représenter ainsi :

 

REPRESENTATION CROIX

Le centre devient alors le lieu où s’opère la transmutation, par le biais de ces courants d’énergie, de tamas en rajas, puis de rajas en sattva, en même temps que l’union de Purusha et de Prakriti chez l’« éveillé ».

Dans le monde chrétien, on trouve, très précisément, cette croix à six branches et à trois dimensions sur les clochers des églises d’Orient. Mais on peut aussi relever que c’est un des sens dont se charge le symbole du chrisme, à condition de remarquer que sa représentation en surface plane n’est qu’une apparence, et qu’elle transcrit en fait une structure tridimen­sionnelle .

Les textes ne manquent pas, chez les Pères de l’Église, qui définissent très clairement la néces­sité à la fois de cette tridimensionnalité et de cette complémentarité, pour décrire correcte­ment le symbolisme des énergies mises en jeu, et donc permettre à l’homme sa rédemption.

 

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 12. Janvier-Février 1984)

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans APPRENDS-MOI, Philosophie de la VIE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Changer le monde et être Soi

Posté par othoharmonie le 20 novembre 2015

 

Et si vous aviez juste à laisser rayonner ce que vous êtes 
pour que tous les possibles s’ouvrent dans votre vie ?
Rencontre avec un docteur pas comme les autres…

 

etre Soi

De passage à Paris pour un workshop intensif intitulé « Sois toi et change le monde », le Dr Dain Heer nous ouvre les portes d’une nouvelle conscience pour changer véritablement le cours de notre existence. Ayant développé un processus énergétique unique à travers la méthode Access Consciousness®, fondée par Gary Douglas, il rayonne une puissante aura de liberté qui pourrait bien balayer nos résistances à dissoudre nos schémas de limitation, qui plus est dans la joie. Et si pour changer le monde et y apporter notre meilleure contribution, il suffisait d’être soi-même ? 

Sois toi et change le monde, est-ce vraiment possible ? 

D.H. : J’ai pris conscience, il y a très longtemps, que la meilleure contribution que nous puissions apporter pour changer le monde est d’être qui nous sommes réellement. Il existe une telle pression, aujourd’hui, à viser un état d’être supérieur à celui où nous sommes, qui présuppose que nous ne sommes pas « assez bien ». J’ai vu tellement de personnes essayer d’être quelqu’un d’autre, de jouer un rôle qui n’était pas le leur. Peut alors s’ensuivre un profond malaise, difficile à identifier. La vraie question qui se pose, c’est plutôt : et si vous étiez vous–même, qui seriez-vous ?

Votre méthode repose sur plusieurs fondamentaux, à commencer par le fait que nos points de vue créent le monde… C’est-à-dire ? 

D.H. : Le principe d’incertitude énoncé en 1927, par Heisenberg, pourrait se résumer de la façon suivante : une particule (qui est une énergie) est là dans une potentialité, attendant le point de vue qu’on va mettre dessus avant de se transformer en ce que nous pensons qu’elle est… C’est à dire que nous influençons la particule ! Einstein avait déjà cette compréhension : l’observateur peut impacter une molécule (et donc l’énergie et les évènements associés) par ses pensées ! Un concept fondateur pour la physique quantique pour qui ce monde est pure énergie, vibrant sur différentes fréquences qui créent ensuite la réalité matérielle.

Des données qui font références aux extraordinaires découvertes de Masaru Emoto, sur l’eau ? 

Exactement ! Imaginez votre vie tel un champ de molécules dans l’eau : nous aurions donc la possibilité de la déstructurer ou bien de l’harmoniser, selon que nous émettions des vibrations de colère ou de haine, d’amour, de joie, de gratitude ou de gentillesse qui vont immanquablement entraîner des résultats différents. Nous pouvons influencer notre vie selon nos formes de pensées. Le choix nous appartient ! Nous avons simplement à reconnaître que ce choix est suffisamment important pour nous, au delà de la cacophonie ambiante !

Nous pouvons influencer notre vie selon nos formes de pensées. 

Comment changer de point de vue ? 

D.H. : Il s’agit de revenir à notre nature véritable. Nous « sommes » ce point de vue d’amour, de paix et de gratitude ! Nous l’avons oublié. Pour revenir à qui nous sommes vraiment, je propose en premier lieu de sortir du jugement ! Sans doute le plus efficace destructeur de nos potentialités. Jusqu’ici nous avons pris l’habitude de créer notre vie à partir du jugement de ce qui est « bon ou pas » de choisir. S’il n’y avait pas de jugements, qu’est-ce que vous choisiriez vraiment ? Il n’y a pas à se battre avec la vie, à être d’accord ou pas avec, mais à accepter ce qu’elle nous présente. Ce laisser–être se définit par cet espace où tout n’est simplement qu’un point de vue intéressant ! Nos choix devraient être orientés par ce qui nous fait vraiment vibrer, ce qui va nous apporter du bonheur… Un bon indicateur pourrait être la sensation de légèreté qu’il nous procure ! Quand c’est le cas, allez-y ! 

Que faire de nos points de vue limitant ?

D.H. : A l’origine de la cascade de limitations (pensées, sentiments, émotions, croyances) qui nous empêche d’être qui nous sommes vraiment et d’être heureux, il existe un point de vue dit « racine » ! Grâce à une sorte de stratagème pour occuper le mental pendant que la dimension énergétique de l’intention agit, vous dirigez votre attention, et donc votre énergie, jusqu’à ce point originel de création de vos pensées limitantes pour vous en libérer ! Par exemple, enfant, vous avez peut-être validé la croyance selon laquelle vous étiez « insuffisant ». Un « point de vue » qui au fil de votre vie va créer cette réalité en accord avec cette croyance ! Le plus souvent à votre insu. La formule de déblayage va agir sur l’instant précis où vous avez fait ce choix, sans forcément l’identifier ! En réalité, nous en connaissons la source, mais du point de vue de la conscience. Vouloir accéder à cette information du point de vue cognitif n’est pas nécessaire pour libérer cette mémoire et « décréer » tout ce qui y est rattaché. Nos limitations peuvent provenir du transgénérationnel ou du collectif… Avec le déblayage mental, il est possible de remonter au point de création de nos limitations que ce soit il y a 20 minutes, 20 heures, 20 ans ou plus encore… 

changer le monde

Un autre aspect fondamental de votre méthode réside dans le fait « d’être dans la question ». De quoi s’agit-il ? 

D.H. : Il s’agit de ne jamais prétendre être la réponse, ou avoir les réponses, qui sont autant de manières de nous couper du champ des possibles de notre évolution. La simple phrase : « Comment ça peut devenir encore mieux que cela ? » à chaque fois que vous rencontrez une situation, va ouvrir de nouvelles opportunités. Quand vous partez du principe que tout point de vue est intéressant, alors vous n’avez plus peur de vous tromper ou de faire « un mauvais choix ». Le seul risque que vous prenez est celui d’essayer, tout en étant à la pointe de la créativité, dans une attitude de changement dynamique. 

L’univers « quantique » va résonner avec la confiance que vous dégagez et vous offrir des opportunités.

L’univers « quantique » va résonner avec la confiance que vous dégagez et vous offrir des opportunités. Essayez ! Votre volonté d’avancer dans votre vie en posant cette question, en devenant cette question, ouvre de nouvelles portes et d’autres possibilités.

Ca peut sembler magique ! Y a–t-il une disposition intérieure particulière qui facilite ce processus ? 

D.H. : Quel que soit l’espace d’où vous décidez de le faire, que ce soit celui de la volonté ou du cœur, ça marche. La pratique va changer l’énergie avec laquelle vous abordez la journée. Une présence attentive et chaleureuse donne sans doute de meilleurs résultats, mais ça n’est pas un prérequis ! C’est un peu comme prendre une douche énergétique, tous les jours finalement ! Si vous aviez la possibilité de vous nettoyer de vos croyances limitantes en prenant votre douche, le feriez-vous ? Le plus important est de ne pas le pratiquer comme une obligation, comme une tâche supplémentaire pour atteindre un objectif. C’est juste et avant tout la conscience que ça améliore votre vie et que ça peut la rendre plus épanouissante !

Le fait d’entendre que nous sommes illimités peut faire peur ! La peur peut-elle bloquer notre évolution, et qu’en fait-on ? 

D.H. : Ma question serait « est-ce que vous avez peur, ou bien cette éventualité d’être illimité vous paraît-elle excitante ? » Est-ce qu’un être infini peut avoir peur ? Ma vie a été pilotée par la peur, pendant plus d’une quinzaine d’année… Celle-ci a disparu. J’ai juste réalisé que c’était un mensonge. Elle n’est pas réelle, c’est une création, une invention. La plupart de ceux qui ont peur ne reconnaissent plus leur excitation positive à franchir un pas, ou concrétiser telle chose ! Il existe une certaine confusion entre l’excitation et la peur. C’est juste une manière de nous stopper et de nous limiter !

Une conclusion ? 

D.H. : De nombreuses personnalités hautement spirituelles peuvent nous inspirer, mais le plus important est de réaliser que chacun de nous est vital pour ce monde. En étant vraiment nous-mêmes, nous sommes le cadeau et les possibilités dont le monde a besoin pour changer !

 

SOURCE : Magazine INEXPLORE

Publié dans En 2012-2013 et après 2016, LECTURES Inspirantes, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Vous pouvez continuer à prier

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2015

 

Famille-qui-prieC’est très important pour ceux qui sont partis de ce plan brutalement et surtout, en les visualisant, priez pour tous les êtres qui sont dans la désespérance, dans la souffrance de la séparation. Il est primordial de vous visualiser en tant qu’être divin, de visualiser la planète rayonnante de Lumière.

Visualisez les règnes végétal, animal et humain en parfait équilibre et en parfaite harmonie, et ce monde nouveau qui vous attend, qui vous ouvre les bras. Essayez de vous visualiser personnellement dans ce monde merveilleux de paix et de sérénité où l’argent n’existe plus, où il n’y a plus de pouvoir directeur, plus de gouvernements ni de religions, mais où règnent le service et l’entente, où tous les êtres humains ont compris qu’ils sont réellement frères, où chacun s ‘assume, un monde où les êtres vivent en paix parce qu’ils ne sont plus dans l’ignorance.

La projection et la visualisation de ce monde sont très influentes sur sa transformation. Plutôt que d’avoir du chagrin, de vous lamenter au regard de ce qui se passe sur cette planète et de toutes ces souffrances, ayez beaucoup de compassion et d’Amour et surtout, projetez-vous en permanence dans le monde de demain.

Priez, priez comme nous prions, priez pour votre propre évolution. Demandez à la Source, demandez à votre Divin qu’ils vous aident à grandir, à accepter ce que vous devenez. Priez pour vos proches. Nous vous incitons à vous tourner délibérément vers votre futur, d’utiliser toute l’énergie qui est en vous et que vous recevez pour vous construire, mais d’une très belle manière. Soyez assurés que lors de vos moments de méditations, de prières, vous serez assistés par vos Guides et par vos Frères de Lumière.

Il est important de prier pour soi, mais il est aussi important de prier pour ceux que vous désirez aider, en demandant simplement que le mieux soit pour eux et que la Source ou leur propre Divinité éclairent leur chemin. Souhaitez toujours le meilleur à l’autre et essayez de voir celui qui est en difficulté dans la sérénité et dans la paix, toutes ses difficultés ayant été consumées dans l’Amour de sa propre Divinité.

Si nous vous parlons de la prière, c’est qu’elle va prendre de l’importance dans votre vie. Imaginez que demain, il y ait des événements qui vous dépassent. Que fera à ce moment là l’humanité dans sa globalité ? Elle priera, mais de quelle façon ? Elle dira « Mon Dieu, aidez-nous. Père Divin, aidez-nous ». Elle dira bien sûr d’autres choses bien souvent générées par la peur ; à ce moment là, la réponse qui pourra être faite aux humains sera ; « vous êtes vous aidés vous-mêmes pendant que vous en aviez encore la possibilité. Avez-vous compris votre pouvoir intérieur ? Avez-vous compris qui vous êtes réellement ?

Si vous avez compris tout cela, vous savez que l’aide vous sera donnée automatiquement. La prière générée par la peur n’est pas porteuse, elle ne vous élève pas, elle peut tout au plus cacher un peu les effets de votre peur, parce que vous vous dite « si je prie, je serai automatiquement exaucé, et ce qui me terrorise ou me dépasse me sera enlevé de la route ».

Ce n’est pas ainsi que les êtres humains doivent fonctionner. Ils doivent  grandir en eux-mêmes, ils doivent devenir adultes, ils doivent quitter l’enfance pour se prendre en main réellement, pour comprendre réellement les trésors qui dorment en eux et qui attendent d’être utilisés.

Enfants de la Terre, la prière va devenir essentielle pour vous. C’est une manière de vous relier, d’évoluer, d’aider, de projeter hors de vous-mêmes les meilleurs intentions et tout se qu’il y a de plus beau. Pendant vos prière, bénissez en permanence, bénissez ceux qui vous entourent, visualisez(les dans la paix, dans la joie et dans la santé parfaite. Dans cette bénédiction, offrez aux autres vos plus belles pensées.

Apprenez à remercie le créateur votre Père pour toute la beauté qu’il a mise sur ce monde ; C’est la plus belle des prières que vous puissiez faire. Apprenez à respecter la Création, la prière c’est cela, c’est cela aussi. La prière est un état d’être avant tout. Cela aussi il faut que vous le sachiez.

Quand vous dite ; »Merci, Père, de la beauté que vous avez mise sur mon chemin », c’est une très belle prière. « Merci, mon frère, pour la joie que me donne ta présence », c’est une prière. « Merci mon compagnon, de l’Amour que tu me donnes », c’est une prière ; Apprenez que tout est prière et priez dans ce sens-là.

Lorsque vous êtes en prière, lorsque vous honorez le Divin en vous, et la vie autour de vous, lorsque vous envoyez beaucoup d’Amour à la Création de la Source dans sa moindre manifestation, lorsque vous vous émerveillez devant une fleur, un animal, un arbre, un ciel étoilé, lorsque vous sentez l’Amour fuser de votre cœur et aller vers votre mère La Terre, lorsque vous vous connectez à ce qu’il y a de plus beau en vous, à cet enfant Divin, à ce soleil intérieur, lorsque vous vous connectez à la Source, que vous l’honorez et que vous lui dites, avec l’Amour le plus beau, le plus pur de votre cœur, combien vous l’aimez, lorsque vous faites la même chose pour vos frères de Lumière, pour vos frères Humains, et pour toute vie, vous faites monter vos vibrations. Prier, honorer la vie est très important.

Lorsque vous envoyez gratuitement de tout votre cœur, de toute votre âme votre Amour le plus beau, le plus pur, l’Amour du Divin en vous à toute la Création, vous élevez votre fréquence vibratoire. Au contraire, lorsque vous êtes révolté, quand vous ne voulez pas lâcher prise, quand vous ne voulez pas accepter certaines expériences, quand vous vous mettez en colère, quand vous jugez vos frères, vous abaissez votre taux vibratoire.

Chantez la vie, aimez-la, aimez tout ce que votre Père, qui est la Source de toute vie, à créé pur vous et autour de vous.

Extrait de LA PRIERE – Association du Ciel à la Terre. Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Penserie, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Le retour de Dieu vers le nouveau Dieu

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2015

 

 

nouveau dieuToutes sortes de légendes courent déjà sur le compte de l’être à venir, tout un folklore se constitue, qui fait couler l’encre et l’argent, comme tant d’autres manifestations qui, aujourd’hui, se veulent spirituelles. Mais il est dou­teux que cette foire aux hommes-dieux donne une idée juste de l’évolution et du temps qu’il faudra pour que se manifeste une autre race. Ni les opaques dissertations des uns ni les slogans des autres n’apporteront beaucoup de lumière. Car il s’agit d’autre chose qui, au fond, ne prend aucun chemin précis, n’épouse aucune pensée particulière, ne se reconnaît aucun maître, aucun messie, aucune déesse, mais se donne entièrement à ce qui est devant nous et que l’esprit humain n’a jamais supposé et donc encore moins défini.

Ainsi parler de Dieu, et prétendre que nous marchons vers lui, ne veut-il pas dire grand-chose. De même vouloir mettre des noms sur les formes futures de la manifestation n’a-t-il guère de valeur. Ce qui doit se produire nous étant totalement inconnu, n’appartenant à aucune de nos caté­gories, comment voudrions-nous en faire le récit des siècles ou des millénaires avant que rien ne se soit effec­tivement passé ? Un australopithèque aurait-il pu prévoir Praxitèle ou Mozart ? Comment pourrions-nous décrire l’apparence et le comportement d’une future race hypo­thétique alors que nous sommes incapables de déterminer ce qui se passera dans dix ans et s’il n’est pas des inven­tions ou des systèmes de philosophie qui, dans un temps aussi court, ne mettront pas en question tout ce que nous tenons aujourd’hui pour normal ou pour essentiel ?

Cependant, il est des lignes que nous pouvons tenter de dégager en considérant la physionomie du passé qui s’étend derrière nous et dont nous sommes l’aboutissement provisoire. Au gré des mutations qui démontrent d’emblée que rien n’est impossible à l’Énergie créatrice (qu’elle soit purement mécanique, comme le veulent certains, ou qu’on l’appelle Dieu, comme d’autres le demandent), la Vie, d’abord absente pendant un milliard d’années, a proliféré lentement, puis de plus en plus vite : pendant plus de deux milliards et demi d’années, des algues unicellulaires et des bactéries ont constitué ses seuls vaisseaux — et aujourd’hui nous régnons, entourés d’un peuple d’animaux divers et environnés de forêts, de jardins et de champs. Tous nés d’une même matrice, et l’oubliant tous. Tous frères — non pas seulement entre nous, les hommes, mais entre les règnes variés, puisque issus d’une même substance ori­ginelle, enfantés par l’unique Magna Mater, et l’ayant oublié. Unité perdue? Ou bien jamais connue encore, seu­lement pressentie et devant appartenir à la psyché de demain?

À chaque pas, s’est accompli un miracle qu’aucun cal­cul des probabilités n’aurait évidemment pu prévoir, car un nouvel élément s’ajoutait, venu, semble-t-il, de nulle part et commandé, peut-être, par un déterminisme omni­scient. En sorte que nous ne pouvons guère déduire ce que demain sera de ce que nous sommes et savons aujourd’hui. Ce qu’il y aura, nous le portons sans doute en nous, mais ce que cela sera nous ne saurions le dire, puisque cela sera différent de tout ce que nous offre le monde et que nous ne pouvons le déduire des apparences actuelles. Et même si nous pouvions d’avance en avoir la vision, nous ne sau­rions l’interpréter, car elle ne correspondrait à aucun de nos archétypes.

Nul langage au monde ne peut évoquer ce qui échappe à sa fonction. Nos mots désignent un ordre de réalité pure­ment humaine. Depuis les sons les plus primitifs de l’homo erectus jusqu’aux équations des scientifiques, un même courant tend à décrire une réalité qui, pour être unique, n’en varie pas moins dans la façon qu’elle a de se proposer aux regards : toujours plus précise, elle devient aussi plus subtile, et il est clair que ce que nous voyons et nommons aujourd’hui aurait échappé à la vision de nos ancêtres génétiques.

D’une certaine manière, les premiers balbutiements des races d’avant l’homo sapiens correspondent, sur le plan de l’espèce, au langage imitatif et non réfléchi du petit enfant. Et de même que l’enfant grandit et devient conscient, de même l’espèce a-t-elle grandi, est-elle deve­nue consciente quand sont apparus les néandertaliens, avec qui, sans que nous puissions savoir comment, le langage a dû se charger d’un sens original, acquérir le pou­voir qu’il revêt chez l’enfant qui s’interroge d’une façon personnelle et commence d’organiser ses souvenirs et ses rêves. Âge qui n’est pas encore de raison, mais où se profile ce que la raison forgera plus tard, âge de l’intuition fulgurante et inexplicable qu’il faut ensuite une vie pour déchiffrer. Un choc, à ce moment-là, se produit, une secousse dans l’être, où est renversée l’enceinte de l’inconscience protectrice. Que ce soit pour l’enfant humain ou pour l’espèce humaine en son enfance, le choc a lieu comme un cataclysme libérateur.

Pour l’homme de Neandertal, on l’a vu, le choc a été la découverte de la Mort qui avait toujours existé autour de lui et dont, brusquement, la signification lui est appa­rue. Et de ce choc imparable, notre race est née peu à peu, comme l’adolescent naît de l’enfant, et l’homme de l’ado­lescent.

La Mort ! La Mort ! Ç’avait été comme un cri jeté au visage de nos ancêtres, qui vivaient sans se douter de rien. Et ce viol de leur conscience — ou cette fracture de leur inconscience —, c’est ce qu’ils nous ont transmis et qu’aveuglément nous tentons d’élucider. C’est ce qui nous aiguillonne à notre tour et que nous voulons à toute force dépasser. Cela qui a donné un sens à leurs grognements obscurs, c’est ce qui, aujourd’hui, illumine nos hymnes, fait parler nos ordinateurs et se volatilise en des abstrac­tions où l’esprit se dépasse lui-même.

Toute notre histoire est en fait l’histoire de la Mort. Est l’histoire de sa découverte et de son dépassement par un être que métamorphosent les rapports qu’il entretient avec elle. L’éveil de l’intelligence entraîne la révélation stupé­fiante de la Mort qui, à son tour, fournit l’aliment dont l’intelligence se nourrira. Parce que les perceptions se sont affinées chez l’homo erectus, un sens nouveau a été donné à ce qu’il n’avait jamais cessé de voir autour de lui, à ce à quoi il avait même participé dans la chasse et les crimes anthropophagiques. La Mort a brutalement pris un autre visage, plus subjectif, plus mystérieux, plus insondable. Jusque-là naturelle et non suspecte, elle n’entraînait aucune interrogation. Les moyens de s’interroger n’exis­taient pas encore. Mais à présent, la question était là, comme une blessure perpétuelle qui ne se refermerait qu’à la fin, sur un silence qui serait la seule réponse.

La question nous ronge à notre tour, ayant traversé les dizaines de millénaires, en dessinant la généalogie de la douleur, homme après homme, dans l’éploiement de l’espace et du temps terrestres. Est-il vrai que moi aussi je vais mourir ? Mais pourquoi ? Pourquoi ? Et pourquoi suis-je seulement né ?

Intolérable question qui nous courbe vers le sol où nous devons nous écrouler demain, ou peut-être aujourd’hui. Intolérable, intolérable question greffée sur notre cœur et qui nous oblige, pour respirer un peu à redresser la tête et à regarder le ciel, à espérer, à croire, à affirmer qu’il y a autre chose. Oui, oui, là-bas, là-haut, plus loin, toujours plus loin — au-delà —, s’étend le pays où l’on ne meurt pas, le soleil y brille toujours, la nuit n’existe pas, le Temps n’existe pas, tout est éternel là-bas.

 

(Extrait de Le Dieu de Dieu de Alexandre Kalda aux éditions Flammarion 1989)

Publié dans Chemin spirituel, DIEU, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Clés pour l’éveil de la conscience

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2015

SELON AMMA

Au cours des trente dernières années, Amma a consacré sa vie à élever le niveau de conscience de l’humanité souffrante grâce au plus simple des gestes : une étreinte. C’est de cette manière intime qu’elle a béni et consolé plus de trente cinq millions de personnes dans le monde entier. Ambassadeur de la paix et engagée de longue date dans des oeuvres de caritatives (Embracing the World), Amma distille aussi un enseignement authentique, émané du coeur, comme une mère parle à ses enfants. Les réponses simples qu’elle apporte aux questions des gens qui l’entourent ou au cours des programmes qu’elle donne partout dans le monde, sont inimitables et pragmatiques, emplies d’une sagesse que chacun peut comprendre. Les paroles qui suivent sont issues de ces entretiens.

 AMMA

Question : Quelle est la relation entre l’homme et la nature ?

Amma : L’être humain n’est pas différent de la Nature. Il en fait partie. L’existence même des êtres humains sur la terre dépend de la Nature. En fait, nous ne protégeons pas la Nature, c’est elle qui nous protège. Les arbres et les plantes, par exemple, sont indispensables à la purification de l’énergie vitale. Chacun sait qu’il est impossible à l’homme de vivre dans le désert car il n’y a pas d’arbres pour y purifier l’énergie vitale. Si l’atmosphère n’est pas purifiée, la santé des êtres humains se détériore et il s’ensuit la maladie, la diminution de la durée moyenne de vie, l’affaiblissement voire la perte de la vue. Notre existence est inextricablement liée à la Nature. Un changement, même minime, dans la Nature se répercute dans notre vie sur cette planète. Nos pensées et nos actions ont également un effet sur la Nature. Si l’équilibre de la Nature est rompu, l’harmonie de la vie humaine est elle aussi brisée, et réciproquement.

Le facteur reliant les hommes à la Nature, c’est leur innocence innée. Lorsque nous voyons un arc-en-ciel ou les vagues de l’océan, ressentons-nous toujours la joie innocente d’un enfant ? Un adulte qui interprète l’arc-en-ciel uniquement en termes d’ondes lumineuses ne connaîtra pas la joie et l’émerveillement de l’enfant devant l’arc-en-ciel ou les vagues de l’océan. La foi en Dieu est le meilleur moyen de préserver cette innocence enfantine chez les êtres humains. Inversement, la foi et la dévotion jaillissent de l’innocence et grâce à elles, un croyant voit Dieu en tout, qu’il s’agisse d’un arbre ou d’un animal ; il perçoit Dieu dans chacun des aspects de la Nature. De ce fait, il vit en parfaite harmonie, en accord avec la Nature. Le fleuve d’amour infini qui s’écoule d’un véritable croyant vers la création tout entière produit un effet doux et apaisant sur son environnement. Cet amour est la meilleure protection de la Nature. La perte de l’innocence vient avec le développement de l’égocentrisme. Alors l’être humain aliène la Nature et commence à l’exploiter. L’homme est inconscient de la menace qu’il représente maintenant pour la Nature. En la maltraitant, il pave le chemin de sa propre destruction. Tout en développant son intelligence et ses connaissances scientifiques, l’être humain ne devrait pas oublier les sentiments de son coeur, qui lui permettent de vivre en accord avec la Nature et ses lois fondamentales.

 

Q : Quel rôle doit jouer la religion dans les relations entre l’homme et la Nature ?

 

Amma : C’est la religion qui aide les êtres humains à rester conscients de leur union avec la Nature. Sans la religion, l’humanité perd cette conscience. La religion nous enseigne à aimer la Nature. En vérité, le progrès et la prospérité de l’humanité dépendent entièrement du bien que l’homme fait à la Nature. La religion permet de maintenir une relation juste entre l’Homme et la Nature. La relation entre l’homme et la Nature est semblable à la relation entre le microcosme (pindanda) et le macrocosme (Brahmanda). Nos ancêtres, dans leur sagesse, l’avaient compris. C’est la raison pour laquelle ils accordaient tant d’importance au culte de la Nature dans les pratiques religieuses. L’idée sous-tendant les pratiques religieuses (acharam) était d’associer intimement les êtres humains avec la Nature. En établissant une relation d’amour entre l’Homme et la Nature, ils assuraient à la fois l’équilibre de la Nature et le progrès de l’humanité. Prenez un arbre. Il donne de l’ombre même à celui qui l’abat. Il offre ses fruits sucrés et délicieux à la personne qui lui fait du mal. Mais notre attitude est totalement différente. Quand nous plantons un arbre ou élevons un animal, notre seul intérêt est le profit que nous pouvons en tirer. Si l’animal cesse d’être rentable, nous le supprimons sans délai. Dès que la vache ne donne plus de lait, nous la vendons au boucher pour retirer quelque argent. Si un arbre ne produit plus de fruits, nous l’abattons pour fabriquer des meubles. L’égoïsme règne en maître. Il est impossible de trouver où que ce soit l’amour désintéressé. Mais nos ancêtres étaient différents. Ils savaient que les arbres, les plantes et les animaux étaient indispensables au bien des humains.

Q : Quelle a été la raison de la rupture des relations entre la Nature et les êtres humains ?

Amma : C’est à cause de son égoïsme que l’homme voit aujourd’hui la Nature comme séparée de luimême. C’est la conscience que les deux mains sont « miennes » qui pousse l’une à consoler l’autre en cas de coupure ou de blessure. Nous n’éprouvons pas le même souci si quelqu’un d’autre est blessé, n’est-ce pas ? Cela ne vient-il pas de la notion : « Ce n’est pas moi » ? Ce mur de séparation entre les humains et la Nature est créé principalement par le comportement égocentrique de l’homme. Les hommes pensent que la Nature n’existe que pour être exploitée et utilisée en vue de satisfaire leurs désirs égoïstes. Cette attitude crée un mur, une séparation, une distance. Il est effrayant de constater que l’homme moderne a perdu sa largesse d’esprit et que c’est la conséquence du développement phénoménal de la science. L’homme a découvert des méthodes pour produire cent tomates à partir d’un plant qui n’en portait habituellement que dix. Il a également réussi à doubler la taille des fruits. Ces techniques ont certes permis de réduire en partie la pauvreté grâce à l’accroissement de la production, mais l’homme n’est pas vraiment conscient des effets nocifs des engrais et des pesticides artificiels qui pénètrent dans son corps avec les aliments dont il se nourrit. Ces produits chimiques détruisent les cellules du corps et en font une proie facile pour les maladies. Le nombre des hôpitaux a lui aussi augmenté tandis que les scientifiques multipliaient artificiellement le rendement des graines et des plantes, sans tenir compte de leurs limites naturelles.

Bien que la science ait atteint des sommets inimaginables, l’homme, par égoïsme, a perdu la vision claire des choses et la faculté d’agir avec discernement. (…) Il est grand temps de réfléchir sérieusement à la protection de la Nature. Détruire la Nature signifie détruire l’humanité. Les arbres, les animaux, les oiseaux, les plantes, les forêts, les montagnes, les lacs et les rivières, tout ce qui constitue la Nature, ont désespérément besoin de notre bienveillance, du soin attentionné et de la protection de l’homme. Si nous les protégeons, à leur tour ilsnous nous protègeront.

Le légendaire dinosaure et de nombreuses autres espèces vivantes ont complètement disparu de la surface de la terre car ils ne purent survivre aux conditions de changements climatiques. Si l’homme n’est pas prudent, il subira le même sort lorsque son égoïsme atteindra son apogée. La protection et la préservation de la Nature ne sont possibles que grâce à l’amour et à la compassion. Mais ces deux qualités sont en diminution rapide chez l’être humain. Afi n d’éprouver un amour et une compassion réels, il est nécessaire de prendre conscience de l’unité de la force de vie, qui est le substrat et le soutien de l’univers entier. Cette réalisation ne peut survenir que par une étude approfondie de la religion et par l’observance des principes spirituels.

Q : Quels sont les points communs entre un cheminement spirituel et la préservation de la Nature ?

Amma : Les Upanishads disent : « Isavasyamidamsarvam », tout est pénétré de Conscience Divine. C’est cette Conscience qui maintient le monde avec toutes ses créatures. La religion nous enseigne à voir et à vénérer Dieu en toute chose. Cette prise de conscience nous conduit à aimer la Nature. Aucun d’entre nous ne blesse délibérément son propre corps car nous savons que c’est douloureux. Ainsi, lorsque nous percevons la même conscience vivante, unique, dans tous les êtres, la souffrance et les douleurs d’autrui deviennent notre souffrance. La compassion éclot dans notre coeur et nous aspirons à aider et à protéger les autres. Lorsqu’un humain accède à cet état, il ne souhaite pas cueillir inutilement ne serait-ce qu’une feuille. Il ne cueille une fleur qu’au dernier jour de son existence, juste avant qu’elle se fane. Et il considère comme un acte très nuisible, pour la plante comme pour la Nature, le fait de cueillir la fleur dès le premier jour, par avidité. En regardant la Nature et en observant sa façon désintéressée de donner, nous pouvons prendre conscience de nos propres limitations, ce qui favorise le développement de la dévotion et l’abandon de soi à Dieu. Ainsi, la Nature nous aide à nous rapprocher de Dieu et nous apprend à l’adorer vraiment. En réalité, la Nature n’est rien d’autre que la forme visible de Dieu que nous pouvons percevoir et expérimenter à travers nos organes sensoriels. En aimant et servant la Nature, nous louons en vérité Dieu lui-même. De même que la Nature crée les circonstances nécessaires pour qu’une noix de coco devienne un cocotier et pour qu’une graine se transforme d’elle-même en un arbre immense, qui porte des fruits, la Nature crée les circonstances permettant au Soi individuel (jiva) d’atteindre le royaume du Soi Suprême (Paramatman) et de se fondre en lui en une union éternelle. Un chercheur spirituel sincère, un vrai croyant, ne peut nuire à la Nature, car il voit la Nature comme étant Dieu, il ne ressent pas la Nature séparée de luimême. C’est un amoureux authentique de la Nature.

Q : Comment entrer sur le chemin de la paix ?

Amma : Pour éviter les attaques terroristes, des mesures de sécurité très sévères ont été instaurées dans les aéroports et autres lieux publics. Certes, de telles mesures sont absolument nécessaires pour notre sécurité physique, elles ne constituent pourtant pas une solution ultime. En vérité, le plus destructeur de tous les explosifs et celui qu’aucune machine ne peut détecter, c’est la haine, associée à l’aversion et au désir de vengeance, qui demeure dans le coeur humain. A ce propos, Amma se rappelle une histoire. Le chef d’un village célébrait son centième anniversaire. De nombreux dignitaires et journalistes assistaient à la fête. Un des journalistes lui posa la question suivante : « Vous avez eu une longue vie. Dites-moi, en regardant le passé, de quoi êtes-vous le plus fi er ? » Le vieil homme répondit : « Eh bien, voyez-vous, j’ai vécu cent ans mais je n’ai pas un seul ennemi sur cette planète. » « Vraiment ? Voilà qui est réellement surprenant, dit le journaliste, puisse votre vie être une source d’inspiration pour tous ! Maintenant, dites-moi comment avez-vous fait ? » « Oh ! C’est très simple : je me suis assuré qu’aucun d’entre eux ne restait en vie ! » s’exclama le centenaire. Si nous ne nous libérons pas de nos émotions destructrices, il n’y aura pas de fin à la guerre ni à la violence.

De nos jours, en cas de guerre, le pays ennemi est détruit de fond en comble. Les vaincus sont assujettis par les vainqueurs qui les dépossèdent de leurs terres, pillent leurs ressources naturelles et leurs richesses. La culture et les traditions ancestrales, transmises de génération en génération, sont anéanties et de nombreux innocents sont tués sans aucune pitié. En outre, la quantité de gaz toxiques qui se répand dans l’atmosphère et pollue le sol suite à l’explosion de bombes et d’autres armes de guerre est inimaginable. Ces gaz affectent la santé mentale et physique de nombreuses générations à venir ! Au lendemain d’une guerre sévissent la mort, la pauvreté, la famine et les épidémies. Voilà les cadeaux que la guerre offre à l’humanité. Aujourd’hui, certains pays riches encouragent l’émergence de guerres uniquement pour écouler leurs dernières innovations en matière d’armement. Le but de toutes nos actions, y compris de la guerre, devrait être de protéger la vérité et le dharma (la justice). Je ne dis pas que la guerre est inévitable. Elle n’est jamais une nécessité. Mais réussirons-nous à éliminer la guerre du monde extérieur tant que des conflits persistent dans l’esprit humain ? Voilà une question sur laquelle il nous faut absolument méditer.

im AMMA

Q : Quelle est la source de ces conflits ?

Amma : La raison principale de nombreux conflits dans le monde actuel, c’est la séparation entre la science et la religion. En réalité, la science et la religion doivent aller de pair, avancer main dans la main. Sans la religion, la science est incomplète et vice-versa. La société essaie de couper l’humanité en deux : d’un côté les scientifiques, de l’autre les croyants. Les scientifiques déclarent que la religion et la spiritualité sont fondées sur une foi aveugle. En revanche, ils s’accordent à dire que la science repose sur des faits, prouvés par des expériences.

La question qui se pose est la suivante : de quel côté se place-t-on ?

Du côté de la foi ou du côté des preuves scientifiques ? Il est inexact d’affirmer que la religion et la spiritualité sont basées sur une foi aveugle et que leurs principes n’ont pas été prouvés. On peut même dire que les maîtres spirituels ont fait des recherches plus poussées que les De nos jours, en cas de guerre, le pays ennemi est détruit de fond en comble. Les vaincus sont assujettis par les vainqueurs qui les dépossèdent de leurs terres, pillent leurs ressources naturelles et leurs richesses. La culture et les traditions ancestrales, transmises de génération en génération, sont anéanties et de nombreux innocents sont tués sans aucune pitié. En outre, la quantité de gaz toxiques qui se répand dans l’atmosphère et pollue le sol suite à l’explosion de bombes et d’autres armes de guerre est inimaginable.

Ces gaz affectent la santé mentale et physique de nombreuses générations à venir ! Au lendemain d’une guerre sévissent la mort, la pauvreté, la famine et les épidémies. Voilà les cadeaux que la guerre offre à l’humanité. Aujourd’hui, certains pays riches encouragent l’émergence de guerres uniquement pour écouler leurs dernières innovations en matière d’armement. Le but de toutes nos actions, y compris de la guerre, devrait être de protéger la vérité et le dharma (la justice). Je ne dis pas que la guerre est inévitable. Elle n’est jamais une nécessité. Mais réussirons-nous à éliminer la guerre du monde extérieur tant que des conflits persistent dans l’esprit humain ? Voilà une question sur laquelle il nous faut absolument méditer…

INTERVIEW de AMMA sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Philosophie de la VIE, SAGESSE, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

LA VIE EST UN STAGE D’AMOUR

Posté par othoharmonie le 24 octobre 2015

 

Vie en famille, vie en société, variété des mentalités, variété des races et des cultures, tout en ce monde nous provoque à améliorer sans cesse la qualité de nos relations. C’est sur la qualité de notre accueil aux autres que l’authenticité de notre accueil de Dieu se vérifie. « Celui qui prétend aimer Dieu qu’il ne voit pas et n’aime pas son frère qu’il voit est un menteur. » [Ep. Saint-Jean]

Un stage d'amourNotre séjour terrestre est un stage d’amour. Tout est combiné, arrangé, ficelé pour que l’amour soit à la vie des hommes ce que le soleil et la pluie sont aux plantes ; une condition de vie ou de mort.

« Aimez vos ennemis, priez pour vos persécuteurs afin de devenir fils de votre père du ciel. Oui, il fait lever son soleil sur les bons et sur les criminels, pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Vous, soyez parfaits de la perfection même de Dieu. » A elle seule, cette parole donnerait un sens à nos vies. Apprendre à aimer de l’amour dont Dieu aime. Non pas un amour sélectif. Aimer le mécréant aussi fort que l’être le plus séduisant. Peut-être davantage si j’en juge par la parabole du fils prodigue et de la brebis perdue. Non pas un amour conditionnel comme celui de certains pères : « Je t’aimerai si tu es propre, si tu es dégourdi, drôle, plein d’astuces, si tu es d’agréable compagnie. Et l’enfant aimé d’un tel amour voudrait répondre : « Je pourrais devenir tout cela… si seulement tu m’aimais. « Le soleil ne dit pas au bouton de la rose : « Ouvrez-vous donc, mon cher, je viendrai vous caresser de mes rayons si vous le méritez !  » Non, c’est parce qu’il le réchauffe et l’éclaire qu’il peut s’ouvrir.

« Si la haine de ton ennemi ne fond pas au creuset de ton amour, c’est que ton amour pour lui n’est pas assez brûlant. » Gandhi avait été droit à l’essentiel de l’Évangile et le sermon sur la montagne était la charte de son attitude intérieure. « Partout où règne l’amour total sans idée de vengeance, le Christ est vivant. » [Young India, 5 mars 1925]

Aime ton ennemi d’un véritable amour. Fais appel au diamant en lui, prisonnier de sa gangue. Au lieu de le juger sans appel « va le trouver, parle-lui seul à seul. S’il t’écoute, tu l’auras sauvé. Sinon, reviens avec un de ses amis. » Ton adversaire n’est pas à éliminer, il est à convertir.

Cherchez une vérité plus haute au nom de laquelle vous avez tous deux le droit d’exister et d’évoluer. À ce sujet, le langage d’Antoine de Saint-Exupéry me va droit au cœur : « La paix, je ne l’impose point. Je fonde mon ennemi et sa rancune si je me borne à le soumettre. Il n’est grand que de convertir et convertir c’est recevoir. C’est offrir à chacun, pour qu’il s’y sente à l’aise, un vêtement à sa mesure. Et le même vêtement pour tous. Car toute contradiction n’est qu’absence de génie…

« C’est pourquoi je répète ma prière : « Seigneur, éclairez-moi. Faites-moi grandir en sagesse afin que je réconcilie non par abandon, exigé des uns et des autres, de quelque souhait de leur ferveur. Mais par visage nouveau qui leur apparaîtrait le même. Ainsi du navire, Seigneur ! Ceux-là, sans comprendre, tirent les cordages de bâbord, luttent contre ceux qui tirent à tribord. Ils se haïraient dans l’ignorance. Mais s’ils savent, ils collaborent et tous deux servent le vent. » [Citadelle, Saint-Exupéry, La Pléiade, p. 567.]

 

source : Stan Rougier – Revue Itinérance. No 2.

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans APPRENDS-MOI, PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Aller à la découverte de soi-même

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2015

 

humanitéLa découverte de soi-même, d’un autre côté, n’est pas un processus d’accumulation d’information sur soi. Elle ne se construit pas sur le passé en créant une continuité. C’est plutôt une voie vers la compréhension immédiate : une vision de ce que l’on est, et de ce qui est à un moment particulier. Cet éclair d’intuition donne une plénitude de vision parce qu’il ne vient pas d’un point de vue limité né du résultat de certaines identifications. Une telle vision est donc libre de toute résistance et ne conduit donc pas par réaction à une interférence avec ce qui est perçu. Par conséquent, en l’absence d’un point de vue étroit, qui est le « Je », grand responsable d’états tels que l’ »ambition » et l’ »avidité », on en arrive à une transformation momentanée. Que peut-elle donc être d’autre qu’une sorte de « purification immédiate » ?

Je ne sais pas si vous y avez déjà songé sérieusement, mais il me semble que si l’homme n’est pas une entité psychologique durable mais une manifestation momentanée d’un processus de pensée, l’idée même de l’ »être éclairé » devient alors plutôt douteuse, ou ne signifie absolument rien. Je suis d’accord avec le mot « lumière ». Mais pour ce qui est de l’individu « éclairé », c’est autre chose. Ce dernier mot impliquerait qu’on est finalement « arrivé », un achèvement irréversible, un état de permanence. Comment pourrait-il en être ainsi quand on sait très bien que rien n’est permanent en ce bas monde ? S’il vous plaît, ne m’interprétez pas mal; je ne fais qu’enquêter, je ne maintiens pas catégoriquement qu’il ne peut pas y avoir ou qu’il peut y avoir un « Être éclairé » (ou même plusieurs). Ne devons-nous pas demeurer constamment sur nos gardes afin de ne rien tenir pour acquis, afin de pouvoir découvrir par nos propres vérifications si une thèse particulière s’actualise ou si elle demeure un simple concept ?

Je crois personnellement, et je l’ai énoncé ailleurs, qu’un moment de clarté dans la conscience n’est pas un état final; ce n’est vraiment que le commencement d’un processus d’apprentissage. Car, à cause et par ces moments éternels de perception immédiate, il se produit un mouvement additionnel qui diffère des mouvements à l’intérieur du temps, celui-là ne semble, pour moi, avoir ni dessein ni fin en vue. Ce mouvement d’exploration profonde du soi est un mouvement dans lequel la réalité se révèle de plus en plus et où nous semblons devenir de plus en plus partie de cette réalité. C’est malgré tout un processus dans lequel le temps et la pensée ne jouent pas le moindre rôle. Mais aussitôt que nous commençons à parler de ces choses, nous nous exposons à la confusion. Car un mot, pour nous, a des associations définies; et quand nous parlons de tel « mouvement » ou de « beaucoup de méditation », l’esprit s’empare immédiatement de cette terminologie pour quantifier et traduire l’expression comme une chose impliquant plus ou moins le temps. Peut-il y avoir satori si un tel mouvement de méditation représente un voyage interminable qui n’a ni commencement ni fin comme le dit Krishnamurti ? Et si tout cela était mal compris et que le voyage avait une fin, après tout, comment le saurions-nous jamais ? Ce n’est pas une chose qui peut se résoudre logiquement, et encore moins se deviner. Si notre attitude personnelle ne vient pas d’une expérience directe, cette connaissance ne peut être que celle d’un tiers et implique l’acceptation d’une autorité et de tous ses traquenards.

 

Propos de Robert Powell Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans En 2012-2013 et après 2016, Expériences, Philosophie de la VIE, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Mais qu’est-ce que la pleine conscience

Posté par othoharmonie le 13 octobre 2015

 

bouddha-rigoloLa Mindfulness attitude est la posture mentale de « pleine conscience ». Quels que soient les phénomènes qui viennent se porter à la connaisse de ma petite conscience – des pensées, des images mentales, des idées, des sensations physique, des émotions, etc – je suis en pleine conscience à partir du moment où j’en prends simplement note, sans cherche à les juger, les comprendre, les chasser ou m’y agripper.

La conscience regarde, c’est tout. Elle devient conscience observante ; tout comme un observateur juché sur un promontoire, qui embrasse du regard les phénomènes évoluant au sol, elle est cette instance silencieuse, gravée dans le corps et l’esprit, capable d’observer les faits et gestes du mental et du corps sensible. Au risque d’être redondante, mais pour fournir des exemples parlants, une bonne image serait celle d’un entomologiste attentivement penché au-dessus d’une fourmilière, notant juste les évolutions de ses diligentes petites habitantes, mais dans leurs moindres détails. Une autre métaphore serait celle d’un reporter chargé de filmer simplement tout ce qui peut défiler dans le champ de sa caméra, sans porter de jugement ou de sélection sur les informations qu’il enregistre.

Dès les années 1970, la pleine conscience fut isolée par des chercheurs en psychologie américains qui reconnaissaient déjà ses vertus thérapeutiques. C’était l’amorce d’une étude qui allait gagner ses lettres de noblesses grâce à l’intérêt que Kabat-Zinn allait lui porter. La pleine conscience repos eau cœur même du bouddhisme, dans toutes ses formes et toutes ses traditions. Cependant, son essence est universelle, dans la mesure où elle cherche à affiner l’attention et la vigilance. Elle est un véhicule puissant pour travailler à l’exploration de son soi profond, à la recherche des causes ultimes de la souffrance, et pour s’en libérer.

Comme le rappel ce personnage, la pleine conscience dérive de l’enseignement du Bouddha historique ; elle est une traduction du terme pali sati. Mais il est vraisemblable que la pleine conscience soit encore antérieure au Bouddha ; les bases de cette technique se retrouvent dans les disciples hindoues très anciennes, qui puisent elles-mêmes leurs sources dans des écrits sémitiques et chamaniques.

Plus près de nous, deux définitions approchantes sont données par les créateurs de la MBSR ; être mindful, c’est le fait « d’amener toute sa vigilance sur l’expérience l’instant Présent, moment après moment ; ou de porter son attention sur le moment présent, avec intention, et sans jugement de valeur sur ce qui vient.

Avant que la MBSR ne popularise la pleine conscience bouddhiste, cette culture de l’instant présent était peu familière en Occident. Sans doute ses origines exotiques en étaient-elles la cause ; Mais comme Kabat-Zinn souhaitait l’intégrer coûte que coûte dans son programme de soin, il l’enseigna à ses patients sous une forme « laïcisée » c’est-à-dire dénuée du contexte spirituel qui lui avait donné naissance. Faut-il le déplorer ou s’en réjouir ? En tout cas, ce sacrifice lui a permis d’en faire profiter le lus grand nombre, toutes obédiences confondues – y compris et surtout les réfractaires à la religiosité ; aujourd’hui la MBSR connaît un immense succès grâce à l’existence de près de 250 centres qui, par-delà le monde, permettent de secourir la détresse liée à un grand nombre de problèmes de santé.

Toutes les expériences visent à enseigner que la pleine conscience, c’est accueillir en soi ce qui se passe sans plus de jugement ; sans que nos actions et décisions soient polluées par des crispations du mental. Tout ce qui franchit le champ de la conscience (sons, image s, affects, sensations, pensées, etc) est simplement observé dans une attention la plus équanime possible. Et toute évaluation critique loin d’être refoulée ou exaltée, n’est simplement pas attisée.

D’ordinaire, nous nous sentons solidaires de nos pensées. Parfois, nous l’assimilons même à cette petite voix intérieure, même si son discours est souvent source d’égarements ou d’émotions pénibles… Elles ont un pouvoir despotique sur nos émotions et nos actes, dès lors que nous nous mettons à y croire. Examiner ses productions mentales en pleine conscience, avec minutie et sans passion, place celui qui pratique dans le rôle d’observateurs de son monde intérieur. Et à l’usage, les pensées sont enfin considérées pour ce qu’elles sont : de simples représentations de la réalité ou de soi-même, rien de plus. En prenant conscience de cela, le sujet cesse progressivement de s’identifier à elles et d’y réagir par des crispations émotionnelles ou des actes impulsifs.

Ce nouveau positionnement peut sembler passif. Il n’en n’est rien, bien au contraire : contempler ses productions mentales, c’est prendre activement une distance pour se désolidariser de celles-ci, et choisir un regard plus critique sur la validité de leur discours.

Ainsi, l’observation dénuée de jugement de pensées anxieuses ou tristes amène le sujet à réaliser qu’elles sont d’abord une production de notre esprit ; elles ne reflètent ni ce que nous somme, ni ce qu’est la réalité extérieure. Ainsi cette attitude neutre et décentrée présente un intérêt majeur pour lutter contre les pensées négatives et destructrices.

Méditer, c’est mieux gérer sa vie.

L’entrainement à la pleine conscience offre des résultats prometteurs chez les personnes souffrant par exemple de boulimie. D’une part, cela permet d’affûter la sensation consciente de plénitude gastrique, sensation qu’un apprentissage adapté transformera en un « stop » face à la crise boulimique débutante. En second lieu, cela permet d’observer davantage ses envies au sein du corps et du mental, même si elles sont pénibles et d’y céder moins souvent. Enfin, grâce à cette position plus sereine d’observateur, le sujet parvient à prendre davantage de distance par rapport à sa détresse. Par conséquent, la mise en place d’attitudes de résolution de problèmes plus constructives face au stress est plus aisée à réaliser.

Pour conseil, il est nécessaire de ne pas éviter les situations pénibles, mais d’accepter de les affronter progressivement pour mieux les dépasser …!

sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans Méditation, Philosophie de la VIE, SAGESSE, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

L’Alliance Sacrée

Posté par othoharmonie le 11 octobre 2015



Chers enfants de Lumière, depuis des années vous êtes en recherche de votre pouvoir divin co-créateur, cherchant comment manifester le meilleur dans votre vie. Plus vous avancez sur le chemin de votre re-connaissance intrinsèque, plus vous vous rendez compte que la joie, le bonheur et l’abondance que vous attirez dans votre vie sont proportionnels à la qualité de vos états d’âmes: plus vous êtes empreint d’harmonie et de sérénité intérieures, plus il en est de même dans la réalité qui vous entoure. 

guérisonpraniquePourtant, s’il subsiste encore des moments de doutes, de peur ou de dévalorisation, ceux-ci ont un impact direct et immédiat sur votre existence, parfois même avec douleur et fracas sur tous les plans. Pourtant, vous dites-vous, votre pratique spirituelle est régulière, vous avez fait le ménage parmi vos anciennes croyances et vous nourrissez des pensées de plus en plus lumineuses… Comment se fait-il qu’il y ait encore tant d’événements douloureux ou de sentiments de mal-être qui surviennent à l’improviste? 

Se pourrait-il que, tout en étant conscient d’être connecté à votre moi divin, vous ayez négligé le fait que cette parcelle divine est aussi reliée à tout ce qui vit? Ainsi, vous « savez » que votre rayonnement énergétique illumine et transforme votre entourage, mais il importe de réaliser que l’inverse est aussi vrai: il en est de même pour l’extérieur qui « influence » et, parfois, « affecte » votre intérieur… Alors, malgré le fait que vous vous soyez évertué à « travailler » sur vous-même depuis des années, que vous ayez choisi de vous entourer seulement de personnes ouvertes et conscientes, et que toute votre vie soit orientée vers la pleine réalisation de votre être, vous demeurez sensible et vulnérable à l’énergie des situations et des personnes qui croisent votre route, en particulier celles à qui vous vous êtes « attaché »… En fait, vous avez « choisi » d’attirer celles-ci sur votre parcours justement parce que vous « savez » qu’il existe entre vous des liens qui méritent d’être approfondis et « transformés » par la Grâce… pour que votre compassion devienne empathie et vos liens d’amour ou d’amitié soient désormais empreints de « détachement » c’est-à-dire, de respect, d’équité et d’un juste équilibre constant entre donner et recevoir. Il en va de votre qualité de vie comme de votre rayonnement lumineux! 

De la même façon, votre Essence divine « sait » qu’il ne sert à rien de vous « retirer du monde » ou de tenter de vivre constamment sur un petit nuage doré… Maintenant que vous avez accueilli et reconnu votre grande sagesse lumineuse, il devient essentiel et primordial de vous mettre en action dans votre milieu de vie immédiat pour que celle-ci fleurisse et porte fruit concrètement en vous et autour de vous! Depuis longtemps, vous savez ce qu’est « manifester »: attirer le meilleur dans le moment présent. Mais avez-vous appris à maitriser parfaitement votre capacité de matérialisation? Avez-vous réussi à faire émerger votre pleine puissance alchimique avec constance et régularité dans votre quotidien, sans déception ni mauvaise surprise? Se pourrait-il que la raison pour laquelle vous ne parvenez pas à assurer cette constance co-créatrice soit tout simplement due au fait que vous êtes encore soumis aux fluctuations extérieures qui, bien souvent, sont le reflet de vos fragilités intérieures, mais surtout, les conséquences de vos liens affectifs « co-dépendants » avec le monde qui vous entoure… 

S’il vous est de plus en plus aisé d’obtenir des faveurs et des bénédictions pour vous-même, vous remarquerez qu’il en va tout autrement lorsque d’autres personnes sont impliquées dans vos rêves, projets ou objectifs précis. Pourtant votre puissance de matérialisation devrait aussi pouvoir se concrétiser à travers vos relations avec les autres: un couple harmonieux, des amis nourrissants, une famille soutenante, un travail épanouissant, un milieu de vie riche et ressourçant… Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il existe encore une certaine dose de dualité à l’intérieur de vous qui se reflète à l’extérieur. Vous avez besoin de vous engager plus profondément à vous respecter vous-même et prendre le temps régulièrement de vous recentrer sur l’essentiel, soit: accueillir votre lumière intérieure pour que votre divinité occupe le plus d’espace en vous-même… afin d’ensuite rayonner au dehors! 

Vous vous dites que vous « savez » déjà tout cela, mais s’il subsiste encore des lacunes ou des écarts entre votre vie spirituelle et votre réalité humaine, c’est qu’une partie de vous résiste à pleinement se reconnaître et oser révéler dans toute sa splendeur cette belle lumière divine présente en vous-même! En 2014, vous êtes donc invité à passer du stade des apprentissages (apprenti sage) à celui de la maîtrise (maître en soi)! 

Pour la nouvelle année qui débute, vous êtes conviés à créer des liens, vous engager dans votre milieu et apprendre à fleurir « là où la vie vous a planté », en vous appliquant à manifester votre sagesse et votre lumière à l’endroit même où vous ressentez les plus grandes noirceurs… Celles-ci vous appartiennent: elles font partie de votre vie, de votre passé, de votre lien avec l’évolution planétaire… Et VOUS avez le pouvoir de changer le monde! Non plus de « réparer » ce qui ne va pas ou de « soigner » ceux qui souffrent, mais bien d’activer votre puissance de création et de manifestation à plein régime pour, en vous alliant avec d’autres, matérialiser collectivement ce paradis terrestre auquel vous aspirez de tout votre être… 

Car c’est seulement dans la collaboration et la co-création vivante qu’il vous est possible d’intégrer parfaitement votre part divine! D’où l’importance de non seulement prendre conscience de cette reliance existentielle, mais d’en faire un engagement concret, une ALLIANCE SACRÉE! 

Or, vous le savez maintenant, vous n’êtes jamais seuls: vous frères et soeurs de lumière vous guident, vous accompagnent et vous apportent leur support aimant… Et ceux-ci ne sont pas seulement présents dans l’invisible: vous en côtoyez à tous les jours dans votre quotidien! Plus vous oserez dévoiler la lumière qui VOUS habite, plus vous serez sensible à leur présence et aux possibilités de vous joindre à eux pour mettre en pratique tout ce qui vous avez appris durant votre cheminement vers la maîtrise de votre puissance créatrice… 

Passez à l’action, unissez-vous, partagez vos idées, vos rêves, vos projets… Et sentez que votre complicité d’âme attire à vous les personnes avec qui vous avez le plus de chances de faire advenir le meilleur… Pas seulement pour vous-même, mais pour les gens qui vous entourent dans votre famille, votre milieu, votre quartier ou même votre planète toute entière… L’heure de vérité a sonné: fini les voeux pieux et les espoirs illusoires! Dorénavant, vous récolterez non plus seulement ce que vous semez à l’intérieur de vous, mais les fruits de ce que vous aurez partagé « autour de vous », en devenant un exemple vivant pour tous ceux qui vous entourent! 

Engagez-vous à « sortir de votre coquille », à déployer votre puissance lumineuse pour en faire bénéficier votre entourage et, ainsi, enseigner aux autres à faire de même. Que votre engagement soit ferme et constant pour que les résultats aillent dans le même sens. Rédigez votre propre contrat d’engagement à faire advenir le meilleur et appuyez-vous sur vos acquis intérieurs et votre reliance divine pour que votre capacité de manifestation devienne un véritable pouvoir de matérialisation à long terme. Tel est le véritable secret de l’ALLIANCE SACRÉ: faire éclore le divin dans l’humain en toutes circonstances… Il suffit de dire OUI!

 sommeil

Message de Bianca Gaïa/Diane LeBlanc, transmis le 1er janvier 2014,

aussi disponible sur www.biancagaia.com. Vous êtes invité à faire circuler ce texte

à condition d’en respecter l’intégralité, y compris ces quelques lignes.

Publié dans DIEU, En 2012-2013 et après 2016, Nouvelle TERRE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

De Cœur à Cœur Célébration

Posté par othoharmonie le 10 octobre 2015

 coeur à coeur

La fin de l’année est une période excellente pour réfléchir à notre parcours de vie : qu’est-ce qui ressort de cette année et quels sont nos projets pour la Nouvelle Année. 

Imaginez-vous en train de préparer une grande fête. Elle est censée célébrer la vie. Pendant vos préparatifs, vous vous réjouissez de plus en plus. Vous avez décidé d’inviter toutes les personnes formidables qui ont compté pour vous d’une manière ou d’une autre pendant cette année. Chaque jour qui passait, quelqu’un vous a marqué. Vous décorez votre maison en vue de cette réunion unique. Des fleurs remplissent les pièces, et des bougies donnent une lumière chaude et accueillante. Vous accueillez chaque convive à la porte d’entrée avec une accolade chaleureuse. Vous vous regardez profondément dans les yeux pour bien vous relier pendant un instant et établir le contact des âmes.

Vous invitez ensuite vos hôtes à passer dans une immense salle à manger où la table a été dressée avec la meilleure porcelaine de chine et des verres de cristal. Le repas le plus élégant et le plus délicieux est sur le point d’être servi. Il est si bon de voir les gens s’amuser et être heureux. Vous souhaitiez que cette réunion soit parfaite pour vos précieux hôtes, et elle l’est. En prenant place en tête de table, vous regardez encore chacun pendant un instant. Vous regardez votre mère, votre père, vos enfants, vos amis. Il y en a que vous ne voyez que de temps à autre ou que vous n’avez rencontrés qu’une seule fois, mais ils comptent tous tellement pour vous, à leur manière, unique et magnifique. C’est une réunion de famille de tous les êtres qui comptent dans votre vie. Vous vous sentez bénie d’avoir toutes ces merveilleuses personnes dans votre vie et le comprenant, un sourire se dessine sur vos lèvres. Elles vous ont aidé à découvrir qui vous êtes en étant un miroir qui vous reflète.

L’un après l’autre, vous ôtez vos lunettes pour vous porter un toast de remerciement individuel. Les gens racontent comment ils apprécient leur vie et puis ils se tournent vers vous pour vous dire ce que vous représentez pour eux. Le cercle d’énergie d’amour croît en passant de l’un à l’autre, et s’amplifie au fur et à mesure que chaque personne prend la parole. Cette fête, vous la donniez pour montrer à ceux que vous aimez à quel point vous êtes reconnaissant de les avoir dans votre vie. Le cadeau vous a été retourné. C’est cela, le cercle d’énergie d’amour. Ce que vous donnez vous est retourné. C’est maintenant à votre tour de remercier. En prenant une grande respiration, vous vous préparez à parler, mais des larmes de joie inondent votre cœur en réalisant à quel point vous êtes béni d’avoir toutes ces merveilleuses personnes dans votre vie. En levant votre verre pour porter un toast spécial, vous ressentez un tel bonheur de vivre ce jour. Vous reconnaissez la merveille de votre parcours de vie avec toutes les personnes qui vous entourent. Tout ce que vous pouvez dire est merci, car c’est le meilleur moyen d’exprimer votre gratitude et ces simples paroles vous viennent du fond du cœur.

Vous finissez la fête en vous remerciant vous-même. Cette vie, c’est vous qui l’avez créée. Sachez que lorsque vous vous donnez de l’amour à vous-même, vous pouvez en donner davantage à ceux qui vous entourent. L’année passée a été magnifique, pleine d’aventures, certaines positives et d’autres plus difficiles. La Nouvelle année est pleine de merveilleuses possibilités.

Amour et Lumière,

Barbara

We welcome your comments here.

Publié dans Bonjour d'amitiés, Chemin spirituel, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Sortez vos Vies d’Ange

Posté par othoharmonie le 3 octobre 2015

 

Ce titre vous fait rire?

notre vie d'angePourtant regardez ce qui se passe régulièrement dans votre vie : combien de temps passez-vous chaque semaine à chercher à vous améliorer, vous perfectionner, grandir et évoluer? Lorsque vous êtes constamment à la recherche de la « petite bête noire » qui vous empêche d’accéder à votre Lumière intérieure, c’est comme si vous sortiez de la maison chaque nuit pour vérifier que personne ne vient fouiller dans vos poubelles… Non seulement ce serait épuisant et inutile, mais cela vous empêcherait de jouir pleinement d’un sommeil réparateur! 

Ainsi en est-il dans votre vie actuelle : si vous êtes constamment occupé à arracher les mauvaises herbes dans votre jardin intérieur, il ne vous reste plus de temps pour contempler les milliers de fleurs qui sont continuellement en train d’éclore : les innombrables qualités, vertus, dons, richesses et sagesse déjà présents en vous-même! 

Si vous croyez aux vies antérieures, posez-vous la question : se pourrait-il que, à une époque ou une autre, vous ayez déjà été un ange… céleste ou terrestre? Que vous ayez mené une vie exemplaire, connecté à votre véritable lumière intérieure, serein, épanoui et rayonnant? Songez-y vraiment : l’univers étant en constance recherche d’équilibre, il est mathématiquement impossible que vous n’ayez accumulé que du « mauvais karma » à travers toutes ces existences terrestre ou interplanétaires… 

Et si, au lieu de « vouloir » sans cesse travailler (dur) sur vous-même, vous vous permettiez de partir à la recherche de toutes les « bonnes actions » que vous auriez pu faire dans votre vie (ou les précédentes) pour enfin reconnaître et « assumer » toute l’énergie POSITIVE (dharma) déjà présente en vous-même? 

Imaginer que, chaque fois que vous avez aidé quelqu’un, que vous l’avez écouté, accompagné, que vous avez été généreux envers une cause, un projet, un animal ou autre, vous ayez pu « engranger » des « bons points »… Que, dans l’au-delà, vous fassiez partie d’un « club fidélité » où vous avez accumulé des « points-mérite » pour chaque geste empreint d’amour et de lumière que vous avez posé… S’il s’agissait de points « Air Miles » certains pourraient probablement faire le tour de la planète plusieurs fois! 

Par conséquent, lorsque vous avez des moments difficiles, que vous vous sentez fragile ou ébranlé par les aléas de la vie, imaginez que vous vous permettiez de « réclamer vos points récompenses ». Songez-y vraiment : n’est-il pas temps de récolter les fruits de tout ce que vous avez semé, en vous et autour de vous, depuis si longtemps? Se pourrait-il qu’il y ait en vous beaucoup plus de lumière que de noirceur… et qu’il soit temps d’oser enfin révéler au grand jour l’Ange (En-Je) merveilleux que vous cachez si précieusement dans le secret de votre cœur? 

Aujourd’hui, en ce moment même, votre âme, votre Essence divine, vous invite à prendre conscience que la partie de vous qui a peur de se dévoiler, qui n’ose pas se trouver « beau, bon, efficace et lumineux » : c’est encore juste l’ego, de l’orgueil à l’envers! 

Car minimiser qui nous sommes  n’est pas moins « égoïste » que de s’enfler la tête… tout simplement parce qu’en refusant de se dévoiler dans toute sa splendeur, nous « empêchons » les autres d’avoir accès à notre Lumière, nous les « privons » de notre sagesse… et, pire encore, n’ayant pas d’exemple à suivre, il leur est sans aucun doute difficile d’accueillir leur propre connexion divine… 

Actuellement, au plan mondial, les personnes ouvertes, conscientes et éveillées sont accablée par le syndrome de l’enfant illégitime. C’est comme si vous saviez de quelle famille (divine) vous provenez mais que, alors qu’au fond vous n’aspirez qu’à exprimer vraiment qui vous êtes, vous vous sentez indigne, presque honteux de ne pas être encore assez « parfait » aux yeux de ceux que vous admirez ou qui, « officiellement » vous gouvernent (que ce soit au plan religieux ou institutionnel); que parce que vous ne maîtrisez pas « parfaitement » vos dons, votre capacité de co-création et/ou de guérison, vous vous sentez inférieur aux autres et, donc, déconnecté de votre partie lumineuse… 

N’est-ce pas là la plus grande illusion qui soit? Emprisonner votre Lumière de crainte qu’elle « aveugle » les autres n’est-il pas un leurre qui vous maintient dans la dualité? Croyez-vous vraiment que vos échecs, vos erreurs ou les événements douloureux de votre existence aient pu « entacher » votre Moi divin? 

Et si votre défi existentiel ne consistait plus à « sortir vos vidanges intérieures », mais bien à reconnaître, affirmer et rayonner ouvertement de toute la beauté et la magie présente dans toutes vos cellules vivantes? 

Vous n’êtes pas plus lumineux, brillant, divin et illimité que les autres : nous le sommes tous, de par notre filiation divine. Or, tout un chacun attend que l’autre ose se révéler pour ensuite, peut-être, emboîter le pas… Et la roue tourne, et la souffrance s’éternise. 

Revenez à l’intérieur de vous. Branchez-vous sur cette fabuleuse énergie cosmique qui vibre dans chaque parcelle de votre Être depuis des éons… et osez laisser enfin émerger cette puissance co-créatrice infinie afin qu’elle éclaire votre route, transforme votre vie… et illumine vos semblables tel un phare dans la tempête! 

N’est-ce pas là le plus beau cadeau que vous puissiez faire à l’humanité toute entière? Il suffit de dire « oui » ! 

Message de Bianca Gaïa/Diane LeBlanc, transmis le 10 septembre 2015,

aussi disponible sur www.biancagaia.com. Vous êtes invité à faire circuler ce texte

à condition d’en respecter l’intégralité, y compris ces quelques lignes.

Voir sur La vie Devant Soi : http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans APPRENDS-MOI, Chemin spirituel, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Petit Lexique Spirituel

Posté par othoharmonie le 1 octobre 2015

271604544

EVEIL

( Extrait ) G.M. L’éveil est devenu de nos jours le terme qui désigne le centre de toute quête spirituelle. Vous-même, vous ne cessez de tenter une description de cette autre rive de soi-même qu’est l’éveil. Malheureusement pour ceux qui restent du côté de la rive enténébrée, toute description ne fait que stagner la plupart du temps dans les eaux boueuses de la représentation intellectuelle. Ne pourra-t-on jamais définir ce mot ?

S.J. Non bien sûr, mais on peut essayer d’approcher son sens de la façon la moins tendancieuse et la plus descriptive possible.

G. M. Pour rester simple dans l’approche de ce mot éveil, ne pourrait-on pas dans un premier temps, parler de nos trois états de conscience : sommeil, veille, éveil en partant de ce que chacun connaît, c’est-à-dire la différence entre le sommeil et la veille pour faire ensuite la distinction entre la veille et l’éveil ?

S.J. : C’est vrai que l’analogie avec le sommeil nocturne et l’éveil matinal est très grande. Dans les deux cas, il y a retour à la conscience. C’est très clair.

Ce qui se produit lorsque l’on dort physiquement et que l’on s’éveille le matin en se dressant tout d’un coup dans son lit ressemble beaucoup à ce qui se passe lorsqu’un homme s’éveille alors qu’il ne dort plus, alors qu’il veille, du moins, croit veiller. Quelqu’un qui se souvient bien de ces éveils en sursaut de l’enfance attache une grande importance à ce moment du retour à la conscience, qui lui apparaît comme l’une des expériences les plus mystérieuses et les plus émouvantes qui soient. Le retour à la conscience de l’éveil matinal a pour base le sommeil et les rêves.

Mais l’éveil matinal n’est que la prémisse balbutiante de la véritable accession à la conscience, de « l’éveil », qui s’effectue à partir d’une toute autre base. Tout se passe comme s’il subsistait un résidu mystérieux de sommeil et de rêve dans la texture même de ce que nous considérons comme l’état vigilant. « L’éveil » dissout de façon fulgurante cette obscurité et cette hallucination résiduelles, il met fin à un sommeil métaphysique. « L’éveil » foudroie sur place un rêve qui s’épanchait dans ce grand sommeil qu’est l’état conscient habituel. L’analogie a des limites, mais il est vrai qu’elle est très grande, et surtout très utile pour se faire comprendre.

G M : Si cette analogie fonctionne bien, quelle est l’information préalable qui manque pour qu’elle fasse sens de façon plus décisive ?

S.J. : Il n’y a aucune pré-connaissance de « l’éveil », il n’y a pas d’avant-goût de « l’éveil ». Quand « l’éveil »‘ jaillit, on réalise immédiatement que l’on ne savait préalablement rien sur la nature de « l’éveil ». Admettons que quelqu’un cherche une telle chose, soudain il l’atteint : il comprend aussitôt qu’il cherchait une toute autre chose. « L’éveil » se révèle comme l’irruption d’un principe totalement neuf et inédit, dont la notion n’existe simplement pas dans l’état conscient habituel.

G.M. : On ne peut pas faire de description de l’éveil, on ne peut pas non plus s’en faire la moindre idée. Est-ce qu’on ne risque pas de faire un monument inaccessible de ce mot éveil tout comme pendant des siècles on a fait un monument indescriptible et inaccessible du mot Dieu. On dirait qu’avec ce mot à la mode – éveil -, on aurait tout simplement ravalé la vieille peinture du monument Dieu.

S.J. : C’est une très bonne remarque. Le danger majeur qui guette l’homme qui aura entendu parler d’un tel éveil est la conception perverse qu’il va s’en faire, le statut d’objet extérieur, et simplement d’objet, qu’il va lui conférer. « L’éveil »-objet est un néant profond. Le pire est que cet objet va acquérir rapidement un aspect monumental, la naïveté humaine incline vers le monumental. Sans s’en rendre compte, cet homme va glisser de l’erreur spirituelle, excusable, à la trahison spirituelle, et se mettre à adorer une abstraction, une entité. Objectiver « l’éveil », ce n’est pas une bonne façon de frapper à sa porte. Déifier « l’éveil », c’est prendre le risque de s’aliéner à jamais ses bonnes grâces. « L’éveil » est sujet pur, moi pur. « L’éveil » n’est en aucune façon dissociable de moi. « L’éveil » jaillissant récuse comme hallucinatoire « l’éveil »-objet et « l’éveil »-lui.

G M. : Qu’entendez-vous plus précisément par « l’éveil »-objet ?

S.J. : « L’éveil »-objet, c’est la pensée de « l’éveil ». La pensée de « l’éveil » est une imposture, qui doit être dénoncée farouchement.

271604544

EVEIL=MOI

G M. : Si je comprends bien, « l’éveil » reviendrait à dire « l’éveil c’est moi », mais en fait, ce moi n’est pas moi en tant qu’objet, ni même en tant qu’état, ce n’est même pas un événement non plus.

S.J. : La proposition sacrée, première, inscrite en lettres de feu dans ce miracle qu’est « l’éveil », est : Je suis personnellement cette conscience infinie, cette conscience infinie est moi. L’intuition de cette identité absolue de « l’éveil » et de moi est une même chose que « l’éveil ».

Très curieusement cette proposition est souvent correctement formulée par des esprits à la fois ouverts et brûlants : « éveil » = moi, conscience infinie = moi. Mais rien ne se passe et on se demande alors : nom de Dieu, pourquoi cela ne marche-t-il pas ? Et la question est empreinte de rage, car « l’éveil » est une potentialité de tout esprit humain, et que le type qu’on a devant soi est à un cheveu de l’actualiser.

Si la proposition magique fait long feu, c’est qu’elle n’est correcte que formellement. Le mot « moi » est là, pas le sens « moi », ce qui est véritablement signifié est « lui » = un objet. Le mot sacré « moi » a été vidé de sa signification personnelle, et ceci n’est pas pieux, ni intelligent, ceci est un sacrilège stupide.

Il faudrait donc ajouter cette précision, « l’éveil » = moi, oui, mais moi c’est… MOI !

(En prononçant ce dernier « moi « , Stephen Jourdain pointe vigoureusement ses deux index en direction de sa poitrine.)

G.M. : En vous écoutant un autre mot me vient à l’esprit, c’est celui de conscience pure. Par rapport à cet « acte d’éveil », est-ce que la conscience pure n’est pas le point central de cet événement ?

S.J. : « L’éveil » est le surgissement de la conscience-moi infiniment consciente d’elle-même. « Eveil » c’est un bon mot, « l’éveil » cela chosifie et généralise dangereusement le sens du mot, mais il faut bien s’exprimer ! Je me console en me disant qu’au moins j’emploie ce substantif dans son sens propre, et non dans un quelconque fumeux sens figuré, où il ne resterait rien de la notion fondamentale de vigilance. « L’éveil » est un événement, la plus colossale et la plus décisive des révolutions que puisse connaître le « dedans » d’un homme, et il est également vrai que l’événement ici est datable… Impossible de ne pas tenir ce langage. Et en même temps, impossible de ne pas le désavouer aussitôt, de ne pas affirmer que « l’éveil » est un non- événement pur. Quand un chien se trouve devant une contradiction, il se gratte, moi je parle d’un non-événement majeur.

Conscience pure. Pure de quoi ? On pourrait se le demander. Mais l’épithète est juste. « Infinie », là c’est strictement descriptif, il y a dans cette conscience un infini qui n’a rien de théorique, un infini, aussi peu discutable que la présence du soleil dans le ciel d’août. « Un infini patent d’active conscience », je me cite. « Absolue » ? Je n’utilise ce terme que rarement, je le trouve lourd.

G. M. : Le mot de vigilance pourrait-il s’associer à celui d’éveil ?

S.J. Les mots en français qui sont immédiatement adéquats à « l’éveil » sont en nombre extraordinairement restreint. Il y a conscience, vigilance, être, moi, valeur suprême, et puis basta ! Ecrire sur cette chose est une gageure, c’est comme essayer de composer une symphonie pour trois doigts. Vraiment difficile d’accomplir un acte littéraire avec cinq mots – mais on peut s’en sortir !

Petit Lexique Spirituel par Stephen Jourdain
aux Editions Charles Antoni l’Originel
Cliquez ici pour commander le livre en ligne >

Publié dans SPIRITUALITE c'est quoi ?, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Comment se maintenir dans une vibration élevée

Posté par othoharmonie le 27 septembre 2015

ego1Il est très facile de se retrouver dans une vibration élevée. Un dîner entre amis, la victoire d’une équipe sportive favorite, font vite changer d’e niveau vibratoire, mais tout cela garde un caractère aléatoire alors que l’important est de s’y maintenir avec régularité.

Comme le sportif qui s’astreint à une certaine discipline pour atteindre ses objectifs, comme l’étudiant qui veut obtenir son diplôme, c’est un « travail » de chaque instant pour se maintenir dans une haute vibration et se soustraire à la négativité. Le mieux est d’en faire un jeu.

Ce sont nos émotions qui nous révèlent si nous établissons ou non une relation harmonieuse avec la force vitale universelle. À chaque instant, il est possible de prendre conscience de la nature positive ou négative de la fréquence que l’on émet tout simplement en analysant le sentiment que l’on vit.

Si l’on ressent une impatience joyeuse à l’idée d’entreprendre quelque chose qui passionne, on met en place les conditions d’un probable succès. Si, au contraire, on ressent de l’inquiétude ou de la colère, on met en place des conditions propices à de futures difficultés.

Les circonstances, les événements que chacun peut rencontrer ne sont, pour l’immense majorité, que la conséquence de l’état de conscience qui nous anime et tant que l’on veut n’y voir que des causes, on se condamne à l’impuissance.

Aucune décision ne devrait être prise dans la peur, dans l’anxiété. En matière de finance par exemple, une personne qui a recours à un emprunt pour financer ses investissements selon l’émotion qu’elle ressent à cette idée va lancer un message très différent à l’Univers.

Pour une personne avec une mentalité de manque, emprunter signifie plus s’endetter qu’investir et l’énergie n’est plus la même. Elle voit d’éventuelles difficultés tandis que d’autres voient une perspective de profits. La crainte de ne pas honorer ses échéances la domine et tout risque d’être plus compliqué.

NOTRE VIBRATION DOMINANTE REFLÈTE CE À QUOI NOUS PRÊTONS ATTENTION.

La tendance attractive persiste aussi longtemps que le sentiment, l’émotion équivalente va se maintenir. Une personne qui « vibre » négativement avec des pensées de peur ou d’agressivité peut rapidement changer d’énergie si elle renonce à son passé destructeur.

Publié dans APPRENDS-MOI, Auto-Guérison, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Retour à la Source : Unifier l’humain et le divin en soi-même

Posté par othoharmonie le 27 septembre 2015

 

Et si vous vous offriez une pause, hors de la frénésie du quotidien, pour réharmoniser toutes les dimensions présentes en vous-même et réactiver vos mémoires de royauté… universelle??

emantation1


Retourner à la Source, c’est prendre de temps de s’arrêter pour revenir à l’essentiel, considérer ses réels besoins et redéfinir ses priorités à travers les yeux de l’âme plutôt que la personnalité… Pour ce faire, il est bon, idéalement, de séjourner en nature, près d’une Source d’eau vive, afin de reconnecter avec la Vie dans son Essence la plus pure, en s’oxygénant le corps, l’âme et l’esprit. C’est aussi éveiller notre potentiel cocréateur et libérer nos mémoires ancestrales ou intracellulaires sur des lieux énergétiques enchanteurs et/ou chargés d’Histoire… Et enfin, idéalement, explorer les meilleures ressources disponibles au quotidien pour retrouver la paix du cœur, la santé globale et l’harmonie dans toutes les dimensions de notre Être… dans le but avoué d’accéder à notre nature profonde et de communier avec la Source de toute Vie : notre Quintessence Divine, éternelle et illimitée.

Retour à la Source, c’est tout ça et plus encore!

En complicité joyeuse avec des intervenants qui « enseignent par l’exemple », vous êtes invités à venir bénéficier de multiples enseignements, échanges, exercices et expérimentations visant à équilibrer les 5 dimensions présentes en vous-même (physique, émotionnelle, mentale, spirituelle et énergétique)… et à vibrer en communion avec les mondes visibles et invisibles qui vous entourent (la nature, les animaux, les éléments, le cosmos, les Êtres de Lumière, votre Famille d’Âmes, etc.).

Lors de ce stage résidentiel d’une durée de 5 jours, venez explorer en toute simplicité une foule d’outils pluridimensionnels favorisant la plénitude des sens et l’élévation de conscience… tout en écoutant vos besoins, votre rythme intérieur et votre intuition.

Quai

Au programme

  • Réhabilitez votre « conscience souveraine » en savourant la vie de châtelain/e
  • Éveillez votre puissance de transmutation alchimique en communiquant avec ceux qui ont conçu le labyrinthe de Chartres et/ou d’autres personnalités ancestrales ayant marqué l’histoire de France
  • Laissez-vous charmer par la musique et les sons harmoniques qui élèvent l’âme et bercent le cœur
  • Réactivez votre potentiel d’autoguérison et l’énergie christique présente en vous-même en communion avec votre Famille d’âmes, tant céleste que terrestre
  • Et fusionnez avec la Source de toute Vie en vibrant de tout votre Être avec la nature luxuriante entourant le château de Bois Rabot… où vous serez agréablement logés pour cette semaine de ressourcement inoubliable!

Durée: 5½ jours, du samedi à compter de 16h au jeudi 17h

Coût du stage (incluant l’animation, les enseignements, les canalisations et l’accompagnement personnalisé) : 350€ par personne (tarif au pair pour les Canadiens)

Hébergement en pension complète (incluant le petit-déjeuner, un panier-repas le midi et dîner 3 services le soir) : 350€ par personne en occupation double ou triple (supplément de 100€ en occ. simple/tarif au pair pour les Canadiens)

Date et lieu: 

Pierrefitte sur Sauldre, France

Du samedi 24 octobre 16h au jeudi 29 octobre 17h

Participation demandée: 350€ par personne (tarif au pair pour les Canadiens)
Durée : 5½ jours 

Animation:
Diane LeBlanc, Formateur et Coach Quintessence

 Pour info et/ou inscription:

Gloria – 06 26 51 11 09

gloria.martins12@gmail.com

Serge – (418) 849-4149 ou 001.418.849.4149

sbelair@biancagaia.com - www.sergebelair.com

 

 

 

Publié dans APPRENDS-MOI, Guérir en douceur, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Sagesse des contes

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2015

 

Le magicien


sagesse des contes

 

C’était deux frères aux destinées incomparables. l’un était pâtissier, l’autre magicien. Ils vivaient dans un modeste village à l’abri des paillettes et des tapis rouge. Le premier se contentait de peu, le deuxième était rongé par l’insatisfaction. 

Mécontent, il quitta son village pour devenir le magicien le plus reconnu du pays. Après mille et une craintes, privations et sacrifices, il réalisa enfin son rêve. 

Hélas ! Cela ne put suffire à combler la vacuité de son âme.

Il partit alors séduire sa future âme sœur dans les soirées branchées de la capitale. Le voici marié à une déesse parmi les femmes.

Malgré toutes ces réjouissances, le bonheur n’était toujours pas au rendez-vous.

Le couple céleste déménagea alors dans un splendide manoir et mit au monde sept merveilles qui furent éduqués dans des conditions royales. 

Pauvre magicien… Il avait beau gravir les sommets les plus élevés de l’humanité, il ne pouvait échapper à cette sournoise insatiabilité.

Désespéré, il revint aux sources et reprit contact avec son frère bienheureux. En guise de retrouvailles, ce dernier avait préparé une tarte aux citrons qu’ils partagèrent au café du village. Après quelques discussions stériles, ils en vinrent à l’essentiel :

« Mon tendre frère, j’ai un meilleur métier, une plus belle femme et une plus grande famille que toi. Pourtant, de nous deux, c’est toi le plus heureux. Comment fais-tu ? Quand pourrais-je enfin goûter au bonheur ? »

Le pâtissier s’essuya les babines avec sa serviette, et déclara ceci :

« Tu seras heureux quand tu cesseras de désirer autre chose que cette tarte aux citrons. » 

Ils firent silence, et le magicien repris une part de tarte qu’il s’efforçât de savourer pleinement.

Il avait là le pressentiment d’apprendre le seul tour de magie qui échappait à sa virtuosité : le bonheur.

     Un conte thérapeutique de François Sivade sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

Publié dans SAGESSE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Votre Soleil intérieur se met à danser

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2015

 

1 amour lumière«Comme nous nous réjouissons quand nous observons tous les efforts entrepris par chacun de vous pour atteindre d’autres niveaux de compréhension et donc d’élévation. Vous sortez de l’ignorance et maintenant il est temps de vous approprier pleinement ce que vous avez découvert au fur et à mesure de vos lectures et de vos expériences. Pendant des milliers d’années, vous avez cru que le monde extérieur était la source de votre vie. Vous vous êtes nourris les uns des autres et vous vous nourrissez encore trop souvent de fréquences provenant de sphères limitées sans vraiment saisir que ces nourritures inadéquates sont largement insuffisantes.

Aujourd’hui, nous vous encourageons à puiser votre force vitale dans la puissance de votre Présence JE SUIS et dans le rayonnement que nous vous offrons sans cesse. Car, Le Soleil que nous sommes, est un opulent émetteur de Vie. A chaque seconde, nous vous transmettons une énergie phénoménale qui gorge votre multidimensionnalité de Perfection Divine, d’informations et d’Amour Pur. Cependant, vous vous épuisez encore à attendre bien trop de l’autre (familles, amis, voisins, collègues..), de la société, de vos gouvernements, de vos médias, de votre travail…

Votre Présence JE SUIS, La Substance Universelle, les Maîtres Ascensionnés et Le Grand Soleil Central sont vos Ressources premières. En puisant dans ces Forces Divines et en leur exprimant votre plus sincère Gratitude et votre Amour, vous transformez votre vie et celle de ceux que vous croisez tous les jours. Bien sûr que les autres vous nourrissent également ainsi que vous les nourrissez et ceci est de grande valeur. Cependant, vous avez choisi de vous incarner pour expérimenter votre Omnipotence. Par conséquent, l’heure n’est plus pour vous d’aller vous sustenter encore auprès de sources extérieures.

Bien sûr que toute interaction, quelle qu’elle soit apporte des éléments nutritifs car tout est information. Mais les liens que vous entretenez avec votre univers extérieur se doivent de rester justes et beaux afin qu’ils contribuent à votre Ascension..

La souffrance que vous ressentez depuis si longtemps vient du fait que vous êtes encore trop dépendant du monde qui vous entoure et que vous portez une grande partie de votre attention aux réalités extérieures. Ces réalités ne sont réelles que parce que, encore trop souvent, vous vous abreuvez à des sources qui ne sont pas toujours régénératrices. Dès lors que vous vous tournez avec révérence vers des fontaines divines et éclatantes de splendeur, vous verrez très vite que cette réalité se dissout pour laisser la place à une autre bien plus satisfaisante. Tout ce qui est Divin est un breuvage illimité et enchanteur. Nos rayons sont des élixirs d’une extrême puissance, puissiez-vous les honorer comme nous vous honorons et pensez à honorer votre Sublime Présence qui sans cesse œuvre avec tous les attributs divins pour vous présenter vos propres merveilles et des merveilles infinies. Que votre soleil intérieur se mette à danser avec nous..

Merci et bienvenue dans votre Royaume Solaire. »

Canalisation de Hélios et Vesta par Dominique-Claire Germain de Juin 2015

S’aligner sur la fréquence d’un Nouveau Monde

Nous vivons une époque de défis et de potentialités comme jamais dans notre histoire. De nouvelles alliances seront créées. Bientôt, le parcours initiatique lui-même intéressera la science, qui sera fascinée par les facultés dites « spirituelles » des individus toujours plus nombreux qui s’avanceront pour en témoigner – adultes et enfants.

Depuis Descartes, les quêtes spirituelles et scientifiques ont fait chacune cavalier seul, avec de bonnes justifications historiques d’ailleurs, mais dorénavant elles convergeront, car cela est dans l’ordre des choses. Déjà, plusieurs auteurs de renom n’hésitent pas à établir des liens entre la spiritualité et la science. Il est à prévoir que des collaborations nouvelles s’établiront aussi progressivement entre la spiritualité et d’autres domaines d’étude, et même jusqu’au cœur des sciences économiques et de la gouvernance de nos sociétés. Ainsi, la démarche spirituelle – et ici nous distinguons la spiritualité de la religion – s’exprimera de telle sorte qu’elle influencera une société en transformation profonde à tous les niveaux de ces institutions.

Ces collaborations sont essentielles et elles seront le signe certain de progrès importants accomplis. Cependant, la nature première de la transition en cours nous demande de considérer des alliances de portée encore plus considérable. Le temps est venu de rendre accessible à tous l’histoire sacrée de l’humanité. Cette dernière doit comprendre qu’elle n’a pas été laissée seule dans ses défis évolutifs et que ceux qui l’ont guidée depuis des millénaires se révèlent maintenant. Leurs messages annoncent un cycle de grand éveil spirituel et de découverte de la vie dans d’autres dimensions de réalité. Ils nous parlent de convergence à réaliser.

Dans un premier temps, la notion de cycles dans notre évolution est fondamentale pour saisir la portée du passage que nous nous apprêtons à vivre. Cela nous permettra de mieux apprécier la phase actuelle d’alignement sur la fréquence du Nouveau Monde. Puis, nous aborderons la Nouvelle Alliance et le projet concret proposé pour participer à son actualisation – projet auquel vous, chers lecteurs, êtes invités à participer.

Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions que l’on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances (citation René Descartes)

Descartes ressentait bien l’ampleur de ce que la science allait apporter à l’humanité et à quel point celle-ci nous libérerait des dogmes de l’Eglise. Il a participé à introduire ce qui allait devenir l’ère du triomphe de la raison. Aujourd’hui, il apparaît plutôt ironique de le citer en regard d’une libération prochaine des dogmes mécanistes et matérialistes d’une science dont l’évolution est limitée par le refus de voir la nature unitaire et holiste de la vie, et de son sens.

Néanmoins, il est indéniable que nous sommes de maintes façons redevables aux nombreux scientifiques et à leurs découvertes. Ils ont aussi participé au fait que cette humanité se trouve désormais sur le seuil d’un des plus importants portails, ou points de passage, de son histoire. Pour la science, il s’agit à l’heure actuelle de prendre un certain recul et d’examiner dans un nouvel état d’esprit la matière qui pulse dans ses laboratoires. Elle a un message à livrer. D’ailleurs, le domaine de spécialisation scientifique qu’est la physique quantique établit de plus en plus que les échanges d’information observés entre les particules subatomiques font partie d’ensembles plus complexes de la matière en cohérence les uns avec les autres. C’est cette cohérence qui nous intéresse ne particulier, car elle indique des principes de fonctionnement qui se coordonnent interactivement sur plusieurs niveaux de complexité de la réalité.

Je vous Conseille la lecture de : Emergence d’un Monde Nouveau de Marc M.Vallée aux Editions ARIANE

Publié dans En 2012-2013 et après 2016, LECTURES Inspirantes, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

Les synchronicités à l’épreuve

Posté par othoharmonie le 16 septembre 2015

 

SynchronicitéLe psychologue Jean-François Vézina nous propose d’explorer la rencontre synchronistique, c’est-à-dire les grandes rencontres avec des personnes, des livres, des films ou encore des lieux qui transforment nos vies, sous un angle rigoureux tout en gardant une disponibilité à la dimension poétique des coïncidences. 

Quels sont les critères d’une rencontre synchronistique ? Une synchronicité est une coïncidence de type acausal, c’est-à-dire que le lien entre les événements se fait par le sens. Cette coïncidence provoque un fort impact émotionnel chez la personne qui la vit, suggérant une constellation d’images symboliques. Cet impact se traduit par le fait qu’il exerce une fascination sur le sujet — on parle du caractère « numineux » de l’expérience. Cette coïncidence témoigne de transformations de la personne, d’où la valeur symbolique de la synchronicité.
C’est le sentiment pour la personne d’être interpellée par son inconscient. 

Mais ne s’agit-il pas « simplement » de hasard ? Jean-François Vézina souligne que le hasard nous renvoie à la complexité de certains phénomènes non-linéaires telles que nous le montre la théorie du chaos et la mécanique quantique. Bien que ce concept fasse peur en général le hasard — nous dit-il — nous invite à plus d’humilité devant notre désir de compréhension et de contrôle sur la vie. Étymologiquement le mot hasard renvoie à un terme arabe qui signifie les « dés ». Le hasard nous renvoie l’idée que la vie joue constamment avec ses possibles. 

Alors, les synchronicités s’éprouvent-elles davantage qu’elles ne se prouvent ? Les recherches de Jung sur la question nous permettent-elles d’envisager des liens possibles entre la synchronicité et la science ? Entre inattendu, coïncidence et hasard, Jean-François Vézina, pour qui le hasard est nécessaire — et il y a des hasards plus nécessaires que d’autres — nous invite à une exploration de ce merveilleux et mystérieux phénomène de la synchronicité. 

Ce que l’on appelle les synchronicités sont ces grandes rencontres avec des personnes, des livres, des films, des symboles ou encore des lieux qui transforment nos vies. S’agit-il de coïncidences ? Sont-elles dues au hasard ? Mais qu’est ce que le hasard ? Les synchronicités s’éprouvent-elles davantage qu’elles ne se prouvent ? Les recherches de Jung sur la question nous permettent-elles d’envisager des liens possibles entre la synchronicité et la science ? 

Le Blog de Jean-François Vezina

Publié dans En 2012-2013 et après 2016, Philosophie de la VIE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaire »

12345...7
 

katoueluv |
jeanneundertheworld |
darkangelusmag |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | debbyka
| nouvelles du front ... en a...
| Les ateliers d'Anissina Tur...