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L’ESPRIT D’UNITÉ

Posté par othoharmonie le 25 avril 2016

 

 

Derrière toute la diversité des formes partout dans le monde, il y a un grand point d’Unité puisque tout ce qui existe provient de la Source Originelle (que d’autres appellent Dieu, le Grand Créateur, le Grand Architecte, le Clown Cosmique, la Grand Esprit, le Sans Nom, Tout Ce Qui Est, etc…). 

esprit d'unité

La Monade (dans la 10ème Dimension de la Création) de chaque être humain est son Point individualisé originel, elle provient de la Source, et l’Esprit divin de chaque être humain (son Maître interne, son Etre interne, son Soi… dans la 7ème Dimension)  provient aussi de cette Monade reliée à la Source. Par conséquent, chaque corps physique est relié à une âme humaine, et chaque âme humaine et reliée à son Ame divine, qui elle, est reliée

à son Esprit divin individualisé, qui lui, est relié à sa Monade, qui elle à son tour, est reliée à la Source Originelle. 

Chaque être est ainsi relié à la Source, la Présence la plus grande qui soit en Intelligence et en Amour. Alors nous faisons tous partie d’une Grande Famille Universelle. Nous sommes tous frères et sœurs, nous sommes tous les cellules d’un Grand Etre, d’une Grande Force Universelle, qui est notre Source. 

De nombreux mystiques, au fil du temps, et de plus en plus de gens dans un processus d’éveil… dans notre monde moderne, ont vécu l’expérience de « faire Un » avec tout ce qui est, et ont ressenti les oiseaux, les animaux, les arbres, les chaises, les tables, les autres humains, la pluie, le soleil, comme si c’était eux-mêmes. Ils se sentaient en eux, ils se sentaient eux, ils sentaient donc que tout était Un. 

En regardant les formes denses du plan physique, tout semble séparé, mais plus les gens peuvent voir ou sentir les énergies subtiles qui sont au cœur de ces formes, plus ils contactent l’essence de chaque chose, de chaque être, et réalisent que cette essence est également eux. 

Ces perceptions d’unification conduisent aux conclusions suivantes : Faire du mal aux autres, c’est se faire du mal à soi-même. Se faire mal à soi, c’est faire mal aux autres. Donner c’est recevoir. Recevoir c’est donner. Enseigner, c’est apprendre. Apprendre c’est enseigner. Etc, etc… 

L’autre est une partie de nous. En interagissant avec l’autre, nous nous découvrons. En exprimant envers un autre l’Amour du Christ, nous ressentons le Christ en nous. En admirant une facette en nous, nous pouvons l’admirer chez les autres. En reconnaissant les talents des autres, nous pouvons reconnaître les nôtres… 

L’Atelier de fusion des regards, qui est appelé en milieu anglophone « le Eye Gazing » représente un exercice de groupe qui aide les gens à sentir cette unité :  www.atelierdesregards.com

 

Plus nous découvrons à quel point nous sommes tous profondément interreliés (puisqu’en réalité nous sommes Un), nous comprenons que le pardon à soi est aussi le pardon aux autres, et vice-versa : le pardon véritable aux autres devient le pardon de soi. Également, la compréhension d’un individu, par diffusion télépathique (puisqu’en profondeur, il existe un seul Mental Unifié) fait en sorte que cette compréhension devient aussi accessible à tous les individus. La réussite d’un être, ouvre le chemin à la réussite de tous les êtres. L’éveil d’une personne conduit à l’éveil de toutes les personnes ! 

C’est pour ça que la Solidarité, l’Entraide, la Vie de plus en plus solidaire et communautaire devient une évidence pour de plus en plus de gens… et que le futur de la Terre sera inévitablement dans les projets de Communauté spirituelle, de Réseau de partage, de Groupe ouverts de communication, où les ressources, les talents, les richesses des uns et des autres seront partagés librement. 

Si vous avez un élan pour participer à divers Projets solidaires bien lumineux, voici quelques sites qui vous invitent à collaborer à votre façon selon vos propres élans et inspirations : 

RÉUNIC : www.everyoneweb.fr/reunic  

MÉCÈNES : www.everyoneweb.fr/mecenes

TOUS UNIS ! : www.everyoneweb.fr/tousunis

HARMONIAVISION : www.everyoneweb.fr/harmoniavision

SPECTACLES BÉNÉFICES : www.everyoneweb.fr/spectaclesbenefices

LES ANGES DE LA COMMUNICATION : www.everyoneweb.fr/lesangesdelacommunication

LE PARADIS SUR LA TERRE : www.everyoneweb.fr/leparadissurlaterre

 

« L’Union fait la force » comme dit le dicton. En fait, nous pourrions aussi dire que la Force émerge dans l’Union. Nous sommes interdépendants, complémentaires, tous nécessaires, et l’énergie circulaire qui reconnaît l’égalité de la valeur de chacun est merveilleuse à sentir et nous aide à nous reconnaître les uns les autres comme les pièces importantes d’un grand casse-tête planétaire, un grand « puzzle » planétaire, qui devient au fil de nos collaborations et communications, une œuvre d’art extraordinaire dont chacun de nous est à la fois la partie et le Tout, dans sa Conscience plus étroite ou plus élevée ! 

Ceux et celles qui souhaitent venir partager leur cheminement d’éveil… dans un Cercle de parole spontanée, sont les bienvenus ici à Montréal: www.everyoneweb.fr/cercledeparole

 

Merci de copier ou de partage ce document et de le faire circuler librement…

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/  

 

 

Publié dans En 2012-2013 et après 2016, SPIRITUALITE c'est quoi ?, TRANSFORMATION INTERIEURE, UNE TERRE D'ALLIANCE | Pas de Commentaires »

AIMANTATION ÉNERGÉTIQUE

Posté par othoharmonie le 24 avril 2016

 

 

Nous sommes des aimants, que nous en ayons conscience ou non ! Les énergies d’essence ou d’égo qui sont dans chacune de nos Dimensions de vie, attirent des gens, des situations, des événements qui ont le même taux vibratoire que nous. 

Chaque fois qu’une situation désagréable survient, nous pouvons nous demander quel type de pensées ou d’émotions nous avions au moment où cela s’est produit… 

Parfois, nous sommes inconscients de nos pensées, de nos émotions, et nous les vivons mécaniquement. Nous sommes dans des états de peur, de colère, de frustration… sans le remarquer vraiment, parce que cette situation dure depuis très longtemps ou parce qu’elle est refoulée et cachée derrière nos fuites de toutes sortes, nos courses, nos diversions avec différentes activités. 

aimantation energétique

Si nous changeons nos énergies internes, le monde externe change autour de nous.

En fait, il existe un mécanisme qu’on appelle la projection, qui consiste à voir devant soi ou autour de soi, les parties de notre ombre (de notre égo) que nous sommes encore incapable d’accepter de regarder. Ainsi, nous voyons chez l’autre ce que nous sommes en profondeur. Chaque caractéristique que nous dénigrons chez une personne est une partie de nous-mêmes que nous n’avons pas encore vue et qui est cachée dans notre inconscient. Lorsque nous sommes vraiment conscient de ce qui nous habite, nous avons de la compassion pour les autres, nous les comprenons, car nous comprenons ce qui les a conduit à vivre telle ou telle situation, semblable à ce que nous avons vécu. 

Alors à chaque fois que nous sommes en colère contre quelqu’un, nous pouvons nous demander : Est-ce que j’ai déjà fait ou dit quelque chose de semblable dans ma vie ?  

Et si nous sommes vraiment honnête, nous trouverons une ou plusieurs situations semblables, parfois dans un contexte plus subtil toutefois. Cet événement est donc un signal d’alarme pour nous inviter à changer cette façon de faire… afin de changer les énergies dans notre champ d’énergie (notre aura), l’ensemble de ce que nous sommes dans nos 7 Grandes Dimensions énergétique, et ainsi l’aimant que nous sommes changera et nous attirerons de nouvelles situations de vie. 

L’aimantation énergétique qui est aussi appelée la Loi d’attraction, est difficile à accepter par bien des gens parce qu’elle nous rend profondément responsable de tout ce qui survient dans notre vie. 

Toutefois, il est utile de savoir que chacun ne peut faire que selon sa conscience actuelle en accord avec ce qu’il sait et ne sait pas présentement. La compréhension véritable de l’aimantation fait aussi en sorte que nous évitons les accusations même si nous constatons que nous sommes le créateur de notre bonheur ou de notre malheur, car chaque accusation de soi ou des autres attire le négatif. 

Il est utile également de savoir que la visualisation de notre idéal de vie est bien précieuse pour l’aimanter et pour faire les pas nécessaires pour nous en rapprocher graduellement… Cependant, l’émotion qui nous habite est tout aussi importante que la pensée dans notre pouvoir d’aimanter.

Si nous pensons à une situation x, y ou z, en ressentant des émotions très désagréables pendant une grande partie de notre journée, en lien avec autre chose de notre vie… nous ne pourrons pas aimanter la situation agréable que nous voulons car la vibration que nous dégageons ne correspond pas suffisamment à la situation agréable que nous souhaitons. Nous devons nous mettre dans l’état émotionnel et mental qui correspond à ce que nous souhaitons pour l’aimanter vraiment.  

C’est pour cette raison qu’il a souvent été expliqué aux gens de ne pas seulement visualiser leur idéal, mais de le ressentir, et de ne pas se plaindre de ce qu’ils n’ont pas. Il convient plutôt de sentir tellement fort que la situation idéale est en préparation, qu’elle est sur le point de survenir dans notre vie, que nous pouvons déjà nous réjouir, et faire comme si nous avions déjà cela dans notre vie. 

En ayant ainsi des émotions agréables et des pensées positives, nous sommes dans une vibration qui correspond au taux vibratoire de la situation idéale que nous souhaitons, c’est ce qu’on appelle « un match vibratoire », une même longueur d’ondes, et nous verrons se manifester dans notre vie ce que nous souhaitons si nos émotions et nos pensées restent ainsi alignées avec notre désir profond. 

En ressentant des émotions désagréables, nous attirons des situations désagréables… Il s’agit aussi à ce moment « d’un match vibratoire » mais sous une forme négative. Nos émotions et nos pensées négatives ont aimanté une ou plusieurs situations négatives. 

Par conséquent, nous sommes invités à faire des pivots psychologiques aussi rapidement que possible, chaque fois que nous remarquons que nous ne sommes pas dans notre essence. 

Un pivot est un passage d’une pensée ou d’une émotion de bas taux vibratoire, à une pensée ou une émotion de plus haut taux vibratoire. Une « switch » comme on dit parfois aussi. « Switcher » ou pivoter, d’un état intérieur à un autre. Et éviter autant que possible de parler du négatif dans notre vie. Plus nous faisons rapidement nos « switchs », nos pivots, et plus nous pensons et parlons des choses que nous apprécions, plus notre vie devient agréable parce que nous vivons de plus en plus dans la pensée lumineuse et l’émotion harmonieuse qui attirent de belles et bonnes choses pour notre vie. 

Chaque situation désagréable qui survient est le résultat de pensées et d’émotions du passé qui étaient dans la négativité, la non-estime de soi, le pessimisme… en d’autres mots : nous étions dans de basses vibrations qui nous ont attiré la situation en question. À ce moment, il ne sert à rien de nous apitoyer sur notre sort, de nous mettre en colère, d’accuser l’extérieur, Dieu ou les gens, et de crier notre ressentiment. Tout cela ne ferait qu’attirer vers nous encore plus de situations désagréables ! 

Alors aussitôt qu’une situation désagréable survient, il convient de détourner aussi rapidement que possible notre attention de cette dernière, et plutôt préciser ce que nous voulons vraiment vivre, et nous aligner sur cela dès maintenant, en pensée, en émotions, et en actions. Plus notre vibration s’élèvera rapidement, plus la situation idéale que nous souhaitons se manifestera rapidement. 

Nous pensons parfois que nous sommes malchanceux ou victime ou… mais il n’en est rien. Tout ce qui survient dans notre vie est le résultat de nos énergies du passé. Et lorsque nous changeons nos émotions et nos pensées, notre vie change. Alors plus nous vivons avec Intelligence et Amour, plus nous récoltons des manifestations d’Intelligence et d’Amour des gens autour de nous. 

Pour plus d’informations sur l’Aimantation des énergies, vous pouvez visiter ces 2 sites :

SOURCES : www.everyoneweb.fr/abraham  et www.everyoneweb.fr/byronkatie

Sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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Accepter nos Responsabilités

Posté par othoharmonie le 16 avril 2016

 

La plupart des gens rejettent l’idée qu’ils sont responsables de la création de leur réalité lorsque survient dans leur vie quelque chose qu’ils n’auraient jamais voulu voir se produire. «Jamais je ne créerais une pareille chose!» 

C’est vrai; jamais leur personnalité ne le ferait. Mais, ainsi que l’affirment toutes les traditions spirituelles, notre être comporte plusieurs dimensions. 

Cette schizophrénie divine porte de nombreuses étiquettes: l’ego versus le véritable moi, la personnalité versus la divinité intérieure, le fils de l’homme versus le fils de Dieu, le corps mortel versus l’âme immortelle; mais,  essentiellement, elle implique qu’il existe différents niveaux d’être à partir desquels vous pouvez créer. Le but de l’illumination est de dissiper cette fragmentation du moi et de créer à partir d’une unique source. Il s’agit donc d’élargir notre conscience jusqu’à ce que nous soyons pleinement conscients de toutes nos créations. 

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Accepter la responsabilité de ce que nous créons constitue un outil extraordinaire pour faciliter cette expansion de la conscience, car, si cette responsabilité existe, c’est une partie de nous-mêmes que nous rejetons ou nions chaque fois que nous refusons d’admettre le rôle que nous jouons dans la création de la réalité. Alors, la fragmentation continue. En fait, selon les sages illuminés, la partie spirituelle de notre être crée ces réalités dans le seul but de devenir complète. 

Pour évoluer, nous devons faire l’expérience de certaines choses qui ne sont pas nécessairement le premier choix de notre ego/personnalité. C’est ce qui s’appelle le karma: nous avons créé, dans un passé récent ou lointain, toutes les conditions auxquelles nous faisons face dans cette vie-ci. 

Mais de quelle façon les karmas de toutes les personnes vivant dans le monde sont-ils en interaction? Comment tout cela s’harmonise- t-il? Comment sont orchestrées toutes ces «coïncidences» heureuses (ou malheureuses) qui sont des signes avant-coureurs d’un nouveau monde? Qui fait fonctionner l’ordinateur qui gère tout cela pour plus de six milliards d’humains? 

Comment cela fonctionne-t-il ? 

C’est l’univers lui-même qui est l’ordinateur. Voilà la non-dualité. Tout est interconnecté et enchevêtré de telle sorte que tout est raccroché à tout et est créé à partir de tout ce qui est. L’univers ne réagit pas à nous; il est nous. Selon le modèle dualiste du karma, si je frappe quelqu’un, quelqu’un d’autre me frappera en retour. Cette manière de concevoir le phénomène est entièrement fondée sur le modèle newtonien de cause et d’effet. 

Mais si l’on aborde la chose à partir du modèle non dualiste de l’enchevêtrement de tout, on aura une vision fort différente du karma. On comprendra alors que l’idée d’une action ou d’une pensée (qui sont la même «chose») surgit dans une partie de ma conscience et qu’une certaine fréquence ou vibration y est associée. En accomplissant l’action, j’adhère à cette réalité, de sorte que je suis désormais relié à l’univers par cette fréquence ou cette vibration. Tout ce qui vibre à cette même fréquence dans l’univers y répondra et se reflétera ensuite dans ma réalité. C’est le principe sur lequel sont fondées la transmission et la réception d’ondes radio, rendues possibles lorsque le transmetteur et le récepteur syntonisent la même fréquence. 

Il s’ensuit que tout ce qui se trouve dans notre vie – les gens, les lieux, les époques et les événements – n’est rien d’autre que le reflet de notre signature vibratoire. Selon Ramtha (lien : http://francesca1.unblog.fr/category/ramtha-nous-parle/ , «tout ce qui existe dans votre vie est en résonance spécifique avec qui vous êtes». 

Par conséquent, si vous voulez connaître la réponse à la question «Qui suis-je?», il vous suffit de regarder autour de vous. L’univers vous la fournit constamment. 

L’ennui, c’est que les parties cachées et refoulées de notre être sont également reflétées, et nous les refoulons parce que nous ne les aimons pas. Ce sont ces reflets qui nous font dire: «Jamais je ne créerais une telle chose.» Et c’est ce qui nous est reflété encore et encore jusqu’à ce que nous le comprenions. C’est la roue du karma, le grand manège de la vie. Ou encore, ainsi qu’un professeur de philosophie l’a déjà affirmé: «La vie est un sandwich à la merde et chaque jour nous en prenons une bouchée.» Voilà le langage des vraies victimes.

 

Extrait de Vivre Sa Légende.  www.dominique-claire-germain.com

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En cultivant la présence

Posté par othoharmonie le 27 mars 2016

Interview : 

Quel est l’origine de votre intérêt pour l’anxiété et la souffrance humaine ?

J’ai été confronté au stress et à l’anxiété depuis ma plus tendre enfance, j’ai ressenti très tôt la tension quai permanente qui habitait mon père. Cette tension se rependait dans toute la famille comme un virus et souvent s’en suivait des cris et des paroles regrettables. J’ai assisté impuissant à la mort lente et douloureuse de mon père rongé de l’intérieur par son stress et son anxiété qui lui pourrissaient la tête et le corps tel un véritable cancer. Je n’ai cessé de chercher une façon de l’aider à s’en sortir en lui achetant des livres qu’il ne lisait pas et en lui donnant des conseils qu’il ne pouvait entendre. Il n’a jamais accepté de se faire aider par un professionnel car il redoutait trop de voir ou de toucher à ce qui bouillait en lui. Les seules « aides » qu’il accepta et qui sont resté sa béquille jusqu’à sa mort furent des anxiolytiques et des antidépresseurs qui lui ont permis de survivre sans jamais se soigner réellement. Je pense que les anxiolytiques et antidépresseurs sont utiles pour commencer un traitement mais qu’ils ne peuvent en aucun cas être utilisés comme un traitement car ils ne traitent pas le problème de fond. Ayant été moi-même confronté à ce mal-être j’ai cherché à comprendre quel en était la cause profonde et comment m’en guérir.

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Quel est votre expérience de l’anxiété et de la souffrance ?

Avant que je comprenne que mon père était sous l’emprise de ses blessures et de son insécurité, j’ai souvent pris personnellement ses attaques et cela a contribué à construire en moi la source de ma propre anxiété. Ainsi la souffrance se transmet telle une maladie, Eckhart Tolle appelle cela le transfert intergénérationnel du corps de souffrance. Le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances ne se transmettent pas seulement de génération en génération, elles se transmettent dans toutes les formes de relations et souvent à notre insu car lorsque nous sommes persuadés que la cause de nos tensions sont à l’extérieur de nous, nous nourrissons inconsciemment notre propre souffrance en étant en position de victime dans les situations que nous vivons et dans nos relations. J’ai donc pendant des années blâmé mon père pour ses comportements, me coupant moi-même de ce qui vivait en moi et je constatais avec désarroi que je reproduisais ce que je lui reprochais. Plus je voyais mon père comme la cause de mes difficultés, plus la souffrance grandissait et plus j’étais impuissant face à elle.

Quel est votre chemin de libération ?

Mon expérience de libération des souffrances c’est produite lorsque j’ai commencé à les reconnaitre et à les accueillir en toute conscience, par une mise en lumière qui finalement me permit de les transcender. Ceci ne se produit pas souvent en un atelier ou en lisant un livre, c’est un travail de fond. Nos souffrances ont tant de facettes qu’il est rare d’en prendre conscience et de s’en libérer définitivement en une fois comme ce fut le cas pour Eckhart Tolle. Reconnaître mon opposition à mes souffrances et prendre conscience de cette dualité par la pratique de la présence ou de la pleine conscience me permet de les aborder avec une autre perspective et de commencer à les accueillir et à les transcender une à une dans le seul vrai atelier qu’est la vie. Dans l’atelier pratique  »La présence en relation : Les relations des révélateurs puissants  » nous voyons comment les défis du quotidien et les relations révèlent et mettent en évidence des parties de nous qui ne sont pas encore conscientisées ou mises en lumière et auxquelles nous nous étions inconsciemment identifié.

Accepter la souffrance n’est pas évident pour tout le monde…

Je comprends et je respecte les gens pour qui l’acceptation et l’accueil de leurs souffrances paraît tout simplement insupportable voir impossible. J’ai aussi pendant la plus grande partie de ma vie essayé de me couper de mes souffrances par tous les moyens possibles mais sans réel succès. J’étais loin d’imaginer que ce serait en les embrassant entièrement qu’elles se dissiperaient. Ceci ne m’a été accessible que lorsque j’ai cessé d’avoir peur de mes souffrances en en faisant une expérience consciente dans un cadre sécuritaire et accompagné par des gens qui eux-mêmes, avant moi, avaient fait cette audacieuse expérience de les accueillir pour les transcender. Avant cela, si quelqu’un m’avait invité à accepter ou accueillir mes souffrances, je l’aurais probablement traité de fou en lui rétorquant que je ne suis pas masochiste !

Il ne s’agit en aucun cas de faire l’éloge de la souffrance, le but de ce travail n’est effectivement pas de s’y complaire, mais de la reconnaître pour ce qu’elle est, en cessant de s’y identifier pour lui permettre de se libérer.

C’est en lisant le chapitre à propos du corps de souffrance dans le livre  »Le pouvoir du moment présent » que j’ai enfin pu faire la part des choses, la souffrance de mon père vivait en lui et la mienne en moi. La libération de la souffrance passe par la reconnaissance de ce qui souffre en nous, cette reconnaissance révèle un espace de conscience qui permet de l’accueillir. Nier la souffrance et se couper de cette partie essentielle de notre expérience de vie en voulant s’en débarrasser est vain, et de plus, si cela était possible ce serait passer à coté de ce qui nous permet d’élargir notre conscience et donc de nous éveiller et d’évoluer. Au contraire, la reconnaître entièrement et être en lien avec elle, m’a permis de la transcender et de devenir plus conscient donc plus libre.

Eckhart Tolle écrit à ce propos,  »le feu de la souffrance est la lumière de la conscience ». C’est en vivant entièrement ma souffrance dans le moment présent (le seul endroit ou je peux vraiment la rencontrer) et de façon consciente qu’elle se révèle, se démystifie et se dissout enfin.

Une fois vécue pleinement, elle n’est plus alimentée par des schémas inconscients (cela peut prendre un certain temps, ce n’est pas forcement instantané). Il n’y a donc pas dans cette pratique une volonté d’évitement ou de négation, bien au contraire, mais un accueil complet et inconditionnel de ce qui est vécu …

La souffrance se vit le temps qu’il faut, dans certains cas cela a pris plusieurs semaines pour véritablement transcender une souffrance puisqu’il fallait d’abord que j’accepte de la vivre pleinement. Dans d’autres cas cette alchimie de guérison se produisit plus rapidement. Dans les deux cas j’ai constaté que ce qui avant conditionnait ma vie n’en avait plus le pouvoir, j’en étais entièrement libéré.

Auparavant la souffrance ne pouvait pas être transcendée car j’essayais de l’éviter, de la nier, de ne pas la ressentir, et donc je la perpétuais inconsciemment en lui refusant l’attention bienveillante qu’elle réclamait (c’est une image). Il m’est arrivé aussi de prétendre que je l’accueillais mais avec l’intention de la faire disparaître, il va s’en dire qu’il ne s’agit pas dans ce cas d’un accueil complet et inconditionnel et donc cela ne permet évidement pas une réelle libération.

La libération passe-t-elle nécessairement par un chemin d’ouverture au ressenti et à l’intériorité?

En effet, c’est en portant mon attention à l’intérieur de moi que je fis pour la première fois l’expérience de l’auto-empathie, j’accueillais ma souffrance plutôt que de m’identifier à elle en blâmant les circonstances ou les autres.

Après avoir passé des années à chercher par tous les moyens d’éviter ou d’enterrer cette souffrance, je trouvais enfin la paix en la reconnaissant entièrement, en lui permettant de vivre en moi, de s’exprimer et faire son propre chemin de guérison. En d’autres mots, je laissais aller ce que j’avais retenu depuis des années et je connus dès lors un allègement constant qui a complètement transformé mon expérience de la vie.  Désormais le stress, l’anxiété et les autres formes de souffrances étaient devenus des alliés plutôt que des ennemis, des révélateurs de parties de moi qui étaient restées dans l’ombre ou des élans de vie que je n’écoutais pas.

Certes l’expression de ces souffrances et les manifestations physiques qui les accompagnent ne sont pas toujours plaisantes, et au début ce n’est pas évident de les accueillir. Le premier réflexe est le plus souvent de les repousser ou de se couper de ce qu’on ressent. Je l’ai fais pendant des années et force est de constater qu’au lieu de disparaître, ces souffrances reviennent régulièrement et souvent de plus en plus fort. De plus tout ce que nous refusons de voir et reconnaître en nous a le pouvoir de décider à notre place. Nous nous demandons ensuite ce qui nous a pris, mais ce qui nous a pris est en fait ces souffrances ignorées et accumulées qu’Eckhart Tolle appelle le corps de souffrance.

Thomas d’Ansembourg parle dans sont livre  »Cessez d’être gentil, soyez vrai » de la théorie de la marmite à pression, à force de mettre le couvercle sur nos émotions et sentiments, on fait monter la pression à l’intérieur et le couvercle menace de sauter à chaque. Au contraire, lorsque nous nous habituons à ouvrir le couvercle pour accueillir et laisser sortir un peu de pression, notre expérience de vie est globalement allégée et transformée. C’est en goutant à la joie de la libération que la confiance grandit et que ce chemin d’ouverture au ressenti se construit.

Pour résumer, mon travail s’adresse à celles et ceux qui souffrent et qui sont démunis face à leurs souffrances et sont souvent submergés par elles. J’ai le plus grand respect pour eux car mon père est mort dans cet état sans que je n’aie pu rien y faire et j’ai été de ceux-là la plus grande partie de ma vie. Je propose ce travail avec amour et empathie pour les humains que nous sommes, je souhaite partager une expérience humaine vécue qui peut résonner éventuellement pour d’autres. Je suis très touché lorsque je revois des participants aux ateliers ou à des séances d’accompagnement individuel qui me témoignent des changements profonds et durables qu’ils connaissent en pratiquant la présence dans leur vie.

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Qu’est-ce qui peut selon vous aider à se libérer de l’anxiété et d’autres souffrances ?

La pratique de la présence au quotidien permet de prendre conscience d’un espace de paix à l’intérieur duquel il est possible d’accueillir et de transcender nos souffrances. Nous devons développer notre habilité à être présent et ouvert à tout ce que la vie met sur notre chemin afin que notre état intérieur ne dépende plus des circonstances extérieures. C’est plus difficile d’être présent lorsque nous faisons face à de grands défis, ainsi la présence est une aptitude qui se développe par la pratique et comme pour toute nouvelle discipline, il vaut mieux choisir un contexte favorable pour s’y exercer. Par exemple, on ne commence pas à pratiquer le ski sur une piste noire mais plutôt une piste verte ou bleue et ensuite en développant une aisance, on peut l’utiliser pour faire face progressivement aux contextes plus difficiles. Ainsi dans l’atelier pratique  »La présence au quotidien » je propose des pratiques simples et concrètes qui peuvent être expérimentées et ensuite utilisées en toutes circonstances afin de faire de la présence une nouvelle façon de vivre. Il ne s’agit pas de pratiques contraignantes qui demandent du temps mais plutôt d’une autre façon d’être et de faire ce que l’on fait déjà en y mettant plus d’attention et donc, en élargissant le champ de notre présence à ce qui se passe non seulement à l’extérieur de nous mais aussi à ce qui se passe à l’intérieur du corps et ce, dans le même instant présent.

Il s’agit donc d’un processus de libération qui passe par la présence au ressenti ?

En effet cette aptitude à vivre en lien avec ce qui se passe dans le corps nous permet de comprendre de façon plus intuitive les enjeux réels des défis que nous rencontrons au quotidien et de retrouver notre pouvoir d’agir au lieu de réagir. En d’autres mots, nous pouvons agir plus consciemment et tendre vers une action juste et appropriée en lien avec nos besoins et nos aspirations au lieu de réagir de façon contre productive et inconsciente.

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que votre façon d’être vous apportait parfois le résultat contraire de celui escompté ?

L’apôtre Paul disait  » Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. » . En faisant ce constat moi-même j’ai cherché à comprendre ce qui semblait agir en moi à ma place et à mon insu. J’ai découvert que lorsque je ne suis pas présent à mes pensées et à mes conditionnements, ils prennent les commandes.

En mettant mon attention sur mon ressenti, je peux alors voir clairement ce jeux et choisir consciemment les actions en cohérence avec mes besoins, mes intentions et mes élans de vie. Je suis en lien avec ce que la vie attend de moi et y répond sans être détourné et parasité par le mental. Mon mental est alors au service de la conscience plutôt que le contraire. La relation à l’existence est plus directe et intuitive au-delà des interprétations et programmations inconscientes. Avec cette attention dans la présence, les impostures sont révélées et la vérité s’impose d’elle-même. De la même façon nos souffrances sont misent en lumière et reconnues pour ce qu’elles sont, c’est-à-dire une interprétation personnelle d’une situation, un point de vue qui manque de recul et qui est aveuglé par son identification au soi-disant problème.

Le mental à fait d’un évènement SON problème et c’est bien ce rapport à MOI (ego) qui est la cause de la souffrance. Soumis à la lumière de la présence, ces schémas de l’égo et du corps de souffrance se déconstruisent et se dissolvent d’eux-mêmes ne laissant que la présence consciente en harmonie avec  »ce qui est ».

Concrètement, une séance commence par une pratique de pleine conscience suivi d’une observation neutre des impressions et ressentis corporels en lien avec ce qui semble être un problème à résoudre, une peur à dépasser, un mal-être dont nous pensons connaître l’origine ou non ou un choix important à faire dans notre vie.

Notre façon habituelle d’aborder une difficulté nous incite à générer des tas de pensées et d’hypothèses dans l’espoir de trouver une solution, une idée qui va nous aider à en sortir. Au fil de notre réflexion, les pensée se bousculent, se recoupent les unes les autres et rentrent souvent en contradictions. Alors que nous pensons approcher du dénouement, un doute s’installe et une autre pensée semble être plus appropriée, elle-même est remplacée par une autre et parfois 3 ou 4 pensées tournent en rond ainsi pendant des heures. Soudain par chance ou grâce à un léger relâchement du mental causé par la lassitude nous venons de toucher une pensée qui résonne en nous et là enfin nous ressentons physiquement une impression de soulagement, d’apaisement.

C’est donc notre ressenti qui nous indique la justesse de nos pensées, Eckhart Tolle dit  »si il semble y avoir un conflit entre le mental et le corps, la mental mentira alors que le corps dira la vérité ». Le processus d’accompagnement par la présence part des sensations et des impressions corporelles qui se traduisent ensuite en pensées, ce chemin est beaucoup plus direct et évite tous les méandres du mental. C’est une démarche plus intuitive qu’intellectuelle et c’est pour cela qu’elle me convient car elle me protège des  »embrouilles » de mon mental très productif.

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Quels sont selon vous les bénéfices retirés d’une telle démarche ?

Ils sont nombreux mais je pourrais dire en autre qu’elle nous permet d’être plus conscient de notre réalité, de faire la différence entre la réalité et nos perceptions conditionnées, d’être plus ancré dans notre corps et moins dans notre mental, d’être plus en lien avec qui nous sommes vraiment et nos intuitions, d’être en relation plus harmonieuse avec ceux qui nous entourent (conjoint, enfants, amis, patron, collègues de travail, etc.), de nous sentir vivant, heureux et libre, d’être plus créatif (dans nos relations, notre travail, notre expression), de vivre la plénitude de la vie que nous avons choisie, d’être surpris de découvrir tout ce que nous sommes capable d’accomplir que nous pensions jusque là impossible, de jouir d’un bien-être, d’une plénitude et d’une paix intérieure sans aucune raison extérieure.

Par Pascal Hastir sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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L’illumination, c’est s’élever au-delà de la pensée

Posté par othoharmonie le 26 mars 2016

La pensée n’est-elle pas indispensable pour survivre en ce monde ?

Votre mental est un outil, un instrument qui est là pour servir à l’accomplissement d’une tâche précise. Une fois cette tâche effectuée, vous déposez votre outil. Je dirais ceci : telles que sont les choses, environ quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de la pensée chez l’humain est non seulement répétitive et inutile, mais aussi en grande partie nuisible en raison de sa nature souvent négative et dysfonctionnelle. Il vous suffit d’observer votre mental pour constater à quel point cela est vrai. La pensée involontaire et compulsive occasionne une sérieuse perte d’énergie vitale. Elle est en fait une accoutumance. Et qu’est-ce qui caractérise une habitude ? Tout simplement le fait que vous sentiez ne plus avoir la liberté d’arrêter. Elle semble plus forte que vous. Elle vous procure également une fausse sensation de plaisir qui se transforme invariablement en souffrance.

Pourquoi serions-nous des drogués de la pensée ?

Parce que vous êtes identifiés à elle et que cela veut dire que vous tirez votre sens du moi à partir du contenu et de l’activité du mental. Parce que vous croyez que si vous vous arrêtez de penser, vous cesserez d’être. Quand vous grandissez, vous vous faites une image mentale de qui vous êtes en fonction de votre conditionnement familial et culturel. On pourrait appeler ce « moi fantôme », l’ego. Il se résume à l’activité mentale et ne peut se perpétuer que par l’incessante pensée. Le terme « ego » signifie diverses choses pour différentes gens, mais quand je l’utilise ici, il désigne le faux moi créé par l’identification inconsciente au mental.

Aux yeux de l’ego, le moment présent n’existe quasiment pas, car seuls le passé et le futur lui importent. Ce renversement total de la vérité reflète bien à quel point le mental est dénaturé quand il fonctionne sur le mode « ego ». Sa préoccupation est de toujours maintenir le passé en vie, car sans lui qui seriez-vous ? Il se projette constamment dans le futur pour assurer sa survie et pour y trouver une forme quelconque de relâchement et de satisfaction. Il se dit : « Un jour, quand ceci ou cela se produira, je serai bien, heureux, en paix. » Même quand l’ego semble se préoccuper du présent, ce n’est pas le présent qu’il voit. Il le perçoit de façon totalement déformée, car il le regarde à travers les yeux du passé. Ou bien il le réduit à un moyen pour arriver à une fin, une fin qui n’existe jamais que dans le futur projeté par lui. Observez votre mental et vous verrez qu’il fonctionne comme ça.

livre tollé

Le secret de la libération réside dans l’instant présent. Mais vous ne pourrez pas vous y retrouver tant et aussi longtemps que vous serez votre mental.

Je ne veux pas perdre ma capacité d’analyse et de discernement. Je ne suis pas contre le fait d’apprendre à penser plus clairement, de façon plus pénétrante, mais je ne veux pas perdre ma tête. Le don de la pensée est la chose la plus précieuse que nous ayons. Sans elle, nous ne serions qu’une autre espèce animale.

La prédominance de la pensée n’est rien d’autre qu’une étape dans l’évolution de la conscience. Il nous faut passer à l’étape suivante de toute urgence. Sinon, le mental nous anéantira, car il est devenu un véritable monstre. Je reparlerai de ceci plus en détail un peu plus loin. Pensée et conscience ne sont pas synonymes. La pensée n’est qu’un petit aspect de la conscience et elle ne peut exister sans elle. Par contre, la conscience n’a pas besoin de la pensée.

Atteindre l’illumination signifie s’élever au-delà de la pensée, ne pas retomber à un niveau situé en dessous de la pensée, soit celui du règne végétal ou animal. Quand vous avez atteint ce degré d’éveil, vous continuez à vous servir de votre pensée au besoin. La seule différence, c’est que vous le faites de façon beaucoup plus efficace et pénétrante qu’avant. Vous vous servez de votre mental principalement pour des questions d’ordre pratique. Vous n’êtes plus sous l’emprise du dialogue intérieur involontaire, et une paix profonde s’est installée.

Lorsque vous employez le mental, en particulier quand vous devez trouver une solution créative à quelque chose, vous oscillez toutes les quelques minutes entre la pensée et le calme, entre le vide mental et le mental. Le vide mental, c’est la conscience sans la pensée. C’est uniquement de cette façon qu’il est possible de penser de manière créative parce que c’est seulement ainsi que la pensée acquiert vraiment un pouvoir. Lorsqu’elle n’est plus reliée au très grand royaume de la conscience, la pensée seule devient stérile, insensée, destructrice.

Essentiellement, le mental est une machine à survie. Attaque et défense face à ses « congénères », collecte, entreposage et analyse de l’information, voilà ce à quoi le mental excelle, mais il n’est pas du tout créatif. Tous les véritables artistes, qu’ils le sachent ou pas, créent à partir d’un état de vide mental, d’une immobilité intérieure. Puis, c’est le mental qui donne forme à l’impulsion ou à l’intuition créative.

Même les plus grands savants ont rapporté que leurs percées créatives s’étaient produites dans des moments de quiétude mentale. Une enquête effectuée à l’échelle nationale auprès des plus éminents mathématiciens américains, Einstein y compris, a donné des résultats surprenants. Questionnés au sujet de leurs méthodes de travail, ils ont répondu que la pensée ne « jouait qu’un rôle secondaire à l’étape brève et déterminante de l’acte créatif lui-même ». Je dirais donc que la simple raison pour laquelle la majorité des scientifiques ne sont pas des gens créatifs, c’est qu’ils ne savent pas s’arrêter de penser et non pas qu’ils ne savent pas comment penser !

Ce n’est pas la pensée, le mental, qui est à l’origine du miracle de la vie sur terre ou de votre corps. Et ce n’est pas cela non plus qui les sustente. De toute évidence, il y a à l’oeuvre une intelligence qui est bien plus grande que le mental.

Comment une seule cellule humaine mesurant 1/2500 de centimètre de diamètre peut-elle contenir dans son ADN des informations qui rempliraient un millier de livres de six cents pages chacun ? Plus nous en apprenons au sujet du fonctionnement du corps, plus nous réalisons le caractère grandiose de l’intelligence qui est à l’oeuvre en lui et la petitesse de notre savoir.

Lorsque le mental se remet en contact avec cette réalité, il devient le plus merveilleux des outils et sert alors une cause bien plus grande que lui.

Eckart TOLLE


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Soigner les malades et sauver les âmes

Posté par othoharmonie le 22 mars 2016

 

 CHAMANISME

Dans la vision chamanique du monde, la maladie n’a qu’un nombre limité de cause possibles. L’âme ou les âmes d’un individu peuvent s’égarer, et l’âme du chamane se rendre dans le monde des esprits pour lutter en sa faveur et la rapporter. Autrement, on peut trouver un objet étranger, par exemple une chenille poilue ou un éclat d’os, logé dans le corps du malade. Il y aura été placé par des esprits, ou encore, un sorcier aura plongé une fléchette magique dans le corps du patient. Dans ce cas, il y a quelque chose d’excédentaire à l’intérieur du patient qu’il faut enlever. 

Le chamane l’extraira en le suçant et le montrera peut-être au patient et aux spectateurs. Dans ces circonstances, on pourra recourir à la transe. Pourtant le vol de l’âme sera peu probable parce que le problème ne se trouve pas dans le monde des esprits mais ici, dans le monde physique. 

Si un ennemi vivant est impliqué dans les causes d’un mal, alors le chamane tentera de l’atteindre par magie, puisque l’une des façons de rendre les forces au patient consiste à affaiblir son adversaire. La possession et l’exorcisme, où le corps de la victime abrite un esprit qu’il est nécessaire de chasser, ne font normalement pas partie de la cure chamanique. 

La maladie peut encore provenir du viol des tabous, lesquels constituent la base de la moralité et de la vie juste. De tels actes affaiblissent le patient en tirant sur ses forces vitales. Ce genre de malheur afflige souvent des communautés et des régions entières en provoquant mauvaises récoltes et manque de gibier. Le traitement exige généralement que l’on confesse ses méfaits. 

La perception chamanique du bien-être ne se limite pas à la santé physique au sens médical ni ne se restreint à la santé mentale au sens psychiatrique. S’y trouvent incluses une bonne alimentation, de bonnes amitiés, la prospérité, de même que des affaires et des guerres couronnées de succès. Toutes ces choses renvoient à des idées d’équilibre, de fluidité et de stabilité par rapport à l’environnement, à des idées de don et de retenue, d’amour et de colère, et dépendent aussi de la motivation et de l’intention des esprits qui animent l’environnement.

Dès qu’une âme se perd, elle se comporte un peu comme un animal. Elle peut s’être égarée d’elle-même, ou on l’aura détournée par ruse, capturée, emprisonnée. Enlevée par les esprits, elle sera passée dans un autre monde. 

Il arrive que l’âme soit l’impuissante victime d’un rapt violent, et dans ce cas il faudra combattre l’esprit voleur ou se montrer plus malin que lui. Il existe parfois un certain degré de connivence entre l’âme et son voleur, et c’est l’âme capturée qu’il faudra tromper pour lui permettre d’être secourue. 

Une Wana raconte comment, un jour qu’elle était malade, les esprits auxiliaires d’un chamane en voyage dans un canoë repérèrent son âme. Attirée par leur tambour, elle leur faussa quand même compagnie de par sa nature « sauvage ». 

La patiente était une danseuse de renom et les esprits auxiliaires encouragèrent son âme à danser pour dévoiler ses talents ; peu à peu, l’âme fut touchée par leurs compliments et, finalement se laissa « dompter » ; repêchée, on la rapporta à sa propriétaire. Parfois l’âme rechigne à être sauvée à cause d’une attirance érotique. Les vegetalistas disent que les Gens de l’Eau vivent au fond de l’Amazone dans un monde de beauté où les canoës sont des alligatoris, les bancs des tortues et les policiers des dauphins. Les sirènes sont là pour séduire les pêcheurs. Quand un pêcheur succombe à leurs charmes, il faut vite le sauver, sinon il se transforme en Homme de l’Eau et on ne peut plus de ramener. 

Le chamane ingère une préparation d’ayahuasca et d’autres plantes et chante l’icaro du nicacuru, insecte aux yeux semblables à des phares de voitures. Le chamane devint alors pareil au nicacuru et part en reconnaissance ; il entre dans l’eau et repère la victime dans les bras d’une sirène. Il revient à terre et cherche un compagnon pour le voyage suivant. Ils prennent tous les deux de l’ayahuasca et entrent dans l’eau. Tandis que son collègue distrait al sirène en lui chantant un icaro spécial, le premier chamane ramène le pêcheur à terre. Le pêcheur sauvé pleure et veut retourner dans l’eau, mais el chamane lui pose un crucifix sur la poitrine ; le pêcheur recouvre peu à peu la raison et reconnaît les siens.

Les vegetalistas soient aussi les maladies dues à l’introduction de fléchettes magiques appelées virotes qui se trouvent dans le yachay, le flegme que les chamanes et les sorciers régurgitent et qui contient l’essence de leur pouvoir. Les virotes sont des fléchettes, des flèches ou des éclats d’os en suspension dans le flegme, que l’on peut cracher sur une victime éloignée. 

Les Chamanes  de Piers Vitebsky sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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COMMENT BIEN PRENDRE SOIN

Posté par othoharmonie le 19 mars 2016

 

Prendre soin, c’est aider l’autre à vivre ce qu’il a à vivre, ce n’est pas l’en empêcher, ce n’est pas tenter de lui faire faire l’économie d’une souffrance qui se trouve sur son chemin en la minimisant ou en la prenant soi-même en charge… c’est l’aider à entrer dans sa difficulté, à pénétrer sa souffrance pour pouvoir en sortir, conscient que ce chemin lui appartient et que personne d’autre que lui ne peut le parcourir.

Prendre soin, c’est apporter toute notre attention à la faculté de guérir de sa souffrance ou de résoudre sa difficulté qui est en l’autre plutôt qu’apporter un remède. C’est avoir confiance que l’autre dispose souvent de toutes les ressources nécessaires pour s’en sortir, s’il parvient à s’écouter ou à être écouté au bon endroit. Cela suppose que nous ayons acquis cette confiance et cette estime pour nous-mêmes. Comment pourrions-nous avoir confiance dans la capacité d’être de l’Autre si nous n’avons pas acquis confiance dans la nôtre ?

Apprendre-a-faire-confiance

Le risque, en prenant l’autre en charge, est de ne pas avoir conscience que ce n’est pas de lui dont nous prenons soin mais de nous, de notre image de bon saint Bernard, de sauveur et souvent de notre besoin de reconnaissance, de notre bonne conscience. S’il y a risque, c’est que comme nous nous occupons de nous-mêmes alors que nous croyons nous occuper de l’autre, notre attitude ne soit pas appropriée, pas adéquate, et qu’elle entretienne les deux dans la frustration, la confusion ou la dépendance.

Si nous avons appris à correspondre aux attentes des autres, à nous mettre sous tension pour eux, nous attendons presque immanquablement que l’autre corresponde à nos attentes et se mette sous tension pour nous. Ainsi, nous n’apprenons pas à aimer les autres comme ils sont mais comme nous voudrions qu’ils soient.

Rencontrer, c’est d’abord Etre. Cela n’empêche pas que nous ayons aussi le goût d’évoluer, de croître et particulièrement de croître ensemble. Grandir ensemble, en couple, en famille, entre amis, au sein d’une équipe de travail, est certainement la source d’une des satisfactions les plus profondément nourrissantes. Aimer l’autre comme il est, veut aussi dire que nous nous intéressons à lui et que nous accueillons ce qu’il devient ou pourrait devenir. C’est aimer l’autre avec tout son potentiel de croissance, d’ouverture, de diversification. Je vois des couples ou des familles dans lesquels chacun et chacune s’est mutuellement enfermé dans des rôles, en  arrêtant ou en limitant ainsi fortement tout processus d’évolution personnel et interpersonnel. L’anesthésie s’y installe vite…

Ainsi, si l’un se met à changer, à évoluer, à revoir sa façon d’être, l’autre ou les autres s’affolent. La différence est toujours vécue comme menaçante.

Nous avons peur de constater notre différence. Nous l’évitons ou la refoulons. Ce faisant, nous nous entraînons peu à accueillir la différence des autres. Face à la différence de l’autre, que faisons nous ? Nous l’évitons ou la rejetons. Nous tolérons l’autre dans la mesure où il est « même » et où « il m’aime ». Pour ce faire, nous rencontrons alors davantage les gens qui pensent comme nous, parlent comme nous, s’habillent comme nous, croient ou prient comme nous, font les mêmes choses que nous… C’est rassurant !  Nous vivons souvent la différence de l’autre comme un risque, une menace. Cette insécurité intérieure peut être telle, qu’elle s’extériorise en racisme, en intégrisme, en antisémitisme ou en homophobie, mais elle se manifeste plus couramment par le jugement, la critique, le reproche, la suspicion. La différence n’éveille pas la curiosité bienveillante, mais le doute et la méfiance.

Nous avons peur de prendre notre place, d’exister vraiment, d’affirmer notre identité parce que nous ne sommes pas assurés d’être aimés et accueillis comme nous sommes et, en retour, nous avons peur que l’autre prenne sa place, existe vraiment, affirme son identité parce que nous ne sommes pas assurés de pouvoir, nous, continuer d’exister devant lui. L’autre, même aussi proche qu’un conjoint, est toujours plus ou moins perçu come un empêcheur, je n’ose pas dire un ennemi, encore que … quelqu’un qui nous empêche d’être nous-mêmes.

Eh bien non, ce n’est pas « tout çà » qui nous empêche d’être nous-mêmes. Ce qui nous en empêche, c’est notre façon à nous de voir « tout ça », de vivre ces relations. Ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, c’est que nos besoins de sécurité intérieure et de confiance n’ont pas encore reçu l’attention nécessaire pour se développer et nous permettre de vivre « tout ça » avec davantage d’aisance.  Je ne pense pas que nous puissions éradiquer tout à fait la peur. Elle fait partie de notre vie avec la confiance, et comme la peine et la joie. Ce qui libère, c’est de ne plus avoir peur d’avoir peur.

Si nous portons un masque et que l’autre porte un masque, ce n’est pas une relation, c’est un bal maqué. Alors, si c’est drôle et qu’on s’amuse des masques et des jeux, je ne vois que l’occasion de s’en réjouir. Malheureusement, l’expérience montre que ces bals masqués sont tristes et désolants. Ils ne rassemblent pas, ils isolent ; ils ne font pas rêver, ils empêchent de dormir ; ils ne se terminent pas en feu d’artifice, ils rétrécissent en peau de chagrin. Derrière ce masque sec de gentillesse complaisante, nous risquons de nous habituer à vivre des rapports anémiés, aseptisés, que nous pouvons très bien prendre pour de vrais rapports humains. Ainsi, si nous n’avons jamais bu que du coca-cola, nous pouvons passer notre vie sans imaginer que cela vaille la peine de goûter du vin.

Ma confiance dans la nature humaine ne va pas jusqu’à prétendre que toute vérité est bonne à dire tout le temps et à n’importe qui, certes non. Sans doute y a-t-il des circonstances où ne rien dire répondra à un besoin de patience, de prendre le temps, un besoin d‘attendre le moment opportun, un besoin de réflexion, de bienveillance ou de vérification…. Chacun de nous a ce choix et ce pouvoir dans sa vie quotidienne, tous les jours : contribuer ou non à la clarté, à la transparence, à la paix.

Je pense que chacun de nous reçoit, avec sa dignité, sa part dans cette responsabilité. Je souhaite que de plus en plus d’hommes et de femmes en prennent conscience et reconnaissent joyeusement cette responsabilité et l’assument dans leur vie quotidienne, heureux de contribuer ainsi, là où ils sont, avec les moyens qu’ions ont, au bien-être de l’humanité. Je crois en effet qu’il n’y aura pas de paix dans le monde tant que chacun d’entre nous ne prendra pas soin de sa paix intérieure, comme un jardinier prend soin de ses fleurs – chaque jour. Elle se propagera ensuite par rayonnement : la paix, c’est contagieux.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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Pourquoi se couper de nous-mêmes

Posté par othoharmonie le 17 mars 2016

se couper de soi

Si nous sommes déjà largement coupés de nos sentiments, nous le sommes presque tout à fait de nos besoins.

Nous avons parfois l’impression qu’une dalle de béton nous coupe de nos besoins. Nous avons plus appris à tenter de comprendre et de satisfaire les besoins des autres qu’à tenter de nous mettre à l’écouter des nôtres. S’écouter a été longtemps synonyme de péché mortel, en tout cas d’égocentrisme ou de nombrilisme : « Ce n’est pas bien de s’écouter comme cela… Oh ! c’est encore une personne qui s’écoute« … L’idée même que l’on puisse « avoir des besoins » est encore souvent perçue comme infamante.

Il est vrai que le mot besoin est souvent mal compris. Il ne s’agit pas d’une envie du moment, d’une pulsion passagère, d’un désir capricieux. Il s’agit de nos besoins de base, ceux qui sont essentiels à notre maintien en vie, ceux que nous devons satisfaire pour trouver un équilibre satisfaisant, ceux qui touchent à nos valeurs humaines les plus répandues : identité, respect, compréhension, responsabilité, liberté, entraide. En avançant dans ma pratique, je vois de plus en plus combien le fait de mieux comprendre nos besoins nous permet de mieux comprendre nos valeurs.

Pouvons-nous être vraiment et adéquatement à l’écoute des autres sans être vraiment et adéquatement à l’écoute de nous-mêmes ? Pouvons-nous être disponibles et bienveillants vis-à-vis des autres, sans l’être vis-à-vis de nous ? Pouvons-nous aimer l’autre dans ses différences et ses contradictions sans d’abord nous aimer profondément avec les nôtres ?

La coupure par rapport à nos besoins se paye de différentes façons. En voici les conséquences les plus fréquentes.

-          nous avons de la peine à faire des choix qui nous engagent personnellement. Dans les affaires, au travail, ça va bien. Mais dans notre vie affective, intime, dans les choix plus personnels, quelle difficulté. Nous dansons d’un pied sur l’autre, ne sachant que choisir, espérant finalement que les événements ou les gens décident pour nous. Ou alors, nous nous imposons un choix impuissants que nous somme s à écouter et à comprendre notre élan profond.

-          Nous sommes des accords du regard de l’autre. Incapables d’identifier nos vrais besoins, ceux qui nous appartiennent personnellement, nous allons souvent dépendre de l’avis des autres. Ou pire, nous nous coulons dans le moule de leurs attentes telle s que nous nous les imaginons, sans les vérifier et en nous adaptant et nous sur-adaptant à elles. Nous nous épuisons à cet exercice de dépendance à la reconnaissance des autres et à l’extrême, nous devenons la girouette d’une mode, d’un courant ou d’instructions formelles.

Ainsi, nous sommes épuisés d’essayer de faire valoir nos besoins sans aucun succès. Finalement, nous renonçons. Nous nous écrasons, nous démissionnons de nous-mêmes, on s’enferme ou on s’enfuit. Dans ce cas, nous nous faisons violence à nous-mêmes.

Le seul fait d’identifier notre besoin sans même qu’il soit satisfait apporte déjà un soulagement et un bien-être surprenant. En effet, lorsque nous souffrons, la première des souffrances est de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Si nous pouvons identifier la cause intérieure de notre mal être, nous sortons de la confusion. Ainsi, si vous ne vous sentez pas bien physiquement, si vous avez des douleurs suspectes au ventre, à la tête ou au dos, vous vous affolez… Si vous allez voir votre médecin et qu’il pose un diagnostic sur votre mal-être, vous vous sentez rassurés, rassuré de savoir ce qui se passe, vous sortez de la confusion. Il en va de même du besoin : l’identifier permet de sortir de la confusion qui ajoute au mal être.

En indiquant à l’autre quelle est notre demande concrète, nous rendons le besoin moins menaçant parce que nous «l’incarnons » dans la réalité, dans le quotidien. Ce n’est pas un besoin virtuel, apparemment insatiable et donc menaçant. C’est une demande concrète, bien définie en termes d’espace et de temps, et par rapport à laquelle nous pouvons nous situer, adopter une attitude.

Tant que nous serons obnubilés par l’idée que notre besoin n’est pas reconnu, nous ne serons pas disponibles pour constater qu’il l’est. A force de ressasser l’impression de ne pas être compris(e) ou reconnu(e), de faire l’objet d’injustices ou de rejet, nous nous forgeons une nouvelle identité. Nous nous installons dans cette croyance de telle sorte  que le monde autour de nous peut bien nous envoyer des messages d’accueil, de compréhension, d’intégration, nous ne les entendons ni ne les voyons plus.

Un travail sur soi est nécessaire, et une fois notre besoin identifié, nous allons pouvoir formuler une demande concrète et négociable qui va dans le sens de nos satisfactions.

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Pour une Nouvelle Spiritualité

Posté par othoharmonie le 12 mars 2016

 

Notre vie et notre monde peuvent être guéris, un instant à la fois. Par chacun de nous.

Allez, maintenant, et accomplissez ce travail joyeux. Soyez dès à présent des messagers. Prenez ces Nouvelles Révélations et implantez-les fermement dans votre esprit, au plus profond de votre cœur et à jamais dans votre âme.

la porte

Je vous laisse ces paroles, je vous offre ces cadeaux. Ils peuvent change à jamais notre monde :

A – Dieu n’a jamais cessé de communiquer directement avec les humains. Depuis le début des temps, il communique avec et à travers eux. Il le fait encore.

B – Tout être humain est aussi exceptionnel que tous ceux qui ont vécu, vivent à présent ouvriront un jour. Vous êtes tous des messagers. Chacun d’entre vous. Vous portez un message à la vie à propos de la vie, chaque jour, à chaque heure ou instant.

C – Aucune voie menant à Dieu n’est plus directe qu’une autre. Aucune religion n’est la « seule véritable », aucun peuple n’est « le peuple élu » et aucun prophète n’est « le plus grand ».

D – Dieu n’a besoin de rien. Dieu n’exige rien pour être heureux. Dieu est le bonheur même. Par conséquent, il n’exige rien de quiconque ni de quoi que ce soit dans l’univers.

E – Dieu n’est pas un Super Etre singulier habitant quelque part dans l’univers ou à l’extérieur, ayant les mêmes besoins émotionnels et étant sujet aux mêmes tourments émotionnels que les humains. Ce qui Est Dieu ne peut être aucunement terni ni perturbé et n’a donc aucun besoin de vengeance ni de punition.

F – Toutes choses ne font qu’Une. Il n’y a qu’Une chose, et tout fait partie de la seule chose qui Soit.

G – Le bien et le mal n’existent pas. Il n’y a que ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, selon ce que vous cherchez à être, faire ou avoir.

H – Vous n’êtes pas votre corps, vous êtes sans limites et sans fin.

I – Vous ne pouvez mourir et ne serez jamais condamnés à la damnation éternelle.

Ces affirmations sont vraies. Ces révélations sont réelles. Elles peuvent servir de base, si vous le voulez, à une Nouvelle Spiritualité. Mais tout d’abord, tournez-vous vers la vérité, la sagesse et l’amour de votre être ; Qu’ils vous servent de baromètres. Qu’ils vous servent d’étalons de mesure. Rappelez-vous que votre plus grand outil pour créer non seulement une nouvelle spiritualité, mais tout un nouveau monde, c’est la vie telle que vous la vivez.

Utilisez les moments de votre vie pour démontrer votre propre vérité ultime, pour offrir votre propre amour authentique et guérir les blessures que vous et les autres vous êtes infligées.

Vous n’avez pas à vivre ainsi. Les humains sont capables de vivre ensemble dans la paix et l’harmonie. Mais certains doivent décider de montrer la voie. Certains doivent déclarer par leur vie qu’ils sont la voie. Certains doivent choisir d’être le premier domino.

Je vous invite à faire ce choix. Je vous invite à faire des instants de votre vie…

…. Les nouvelles Révélations.

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LE MONDE CHAMANE

Posté par othoharmonie le 10 mars 2016

ameridien

Etre élu des esprits qui vous apprennent à entrer en transe et à voler avec votre âme vers d’autres mondes, dans le ciel, ou à descendre par  de périlleuses crevasses dans les terreurs des mondes souterrains ; être écorché vif, réduit à l’état de squelette (pour une société de chausseurs, les os sont le noyau même de la vie), puis reconstruit pour renaître ; acquérir le pouvoir d’affronter les esprits et de soigner leurs victimes, de tuer les ennemis et de sauver les siens de la maladie et de la faim. Voilà quelques traits propres aux religions chamanistes répandues un peu partout dans le monde.

Ce qui n‘empêche pas les chamanes de mener une vie ordinaire, de chasser, cuisiner, jardiner et faire le ménage comme les autres. Quand les chamanes parlent d’autres mondes, ils ne veulent pas dire que ces mondes n’ont aucun lien avec celui-ci. Au contraire, les autres mondes représentent la véritable nature des choses et les causes réelles, de ce qui se passe dans ce monde-ci. Cette division est largement partagée dans la communauté et nombre d’individus peuvent se retrouver chamanes à la mesure de leur intuition de cette réalité supérieure.

Les chamanes sont à la fois médecins, prêtres, travailleurs sociaux et mystiques. On les a traités de fous et persécutés tout au long de l’histoire ; on les a écartés dans les années 60 comme de purs produits « insipides » de l’imagination des anthropologues, et aujourd’hui ils sont tellement à la mode qu’ils inspirent autant le débat universitaire que le nom des groupes de rock.

Le mot chamane est une création des Evenk, un petit groupe sibérien de chasseurs et de gardiens de rennes parlant toungouse ; au début du XXè siècle, il s’appliquait déjà à toutes une catégorie d’hommes-médecins d’Amérique du Nord, et, de nos jours, certains adeptes du Nouvel Age appellent chamanes tous ceux qui, pensent-ils, sont en rapport avec les esprits. Il semblerait que l’âme du chamane sibérien soit à même d’en quitter le corps pour visiter d’autre lieux, particulièrement le monde supérieur, ou céleste, et le monde inférieur, ou souterrain. Cette capacité, dont la tradition existe dans certaines parties du monde et non dans d’autres, permet de parler de société et de cultures clairement chamanistes.

Une définition plus large inclura tout individu capable de contrôler sa transe et, en ce sens, les chamanes diffèrent des autres médiums que certains esprits possèdent et dominent comme et quand ils le choisissent. Or, même si le chaman entre en transe dans des conditions qu’il contrôle, sa « maîtrise » des esprits demeure extrêmement précaire ; Aussi, sont métier est-il considéré comme très dangereux au niveau psychique, car le chamane court toujours un risque de mort ou de folie.

Il n’existe pas de chamane sans société ni culture environnantes. Le chamanisme n’est pas une simple religion mais une forme pluriculturelle et de sensibilité et de pratique religieuses. Dans toutes les sociétés que nous connaissons à ce jour, les idées chamanistes ne forment généralement qu’une seule tendance au sein des doctrines qui font autorité dans les autres religions, idéologie set pratiques. Il devait autrefois exister des communautés purement chamanistes mais nous n’avons qu’une vague idée de la vie qu’on pouvait y mener. Dispersé, fragmenté, le chamanisme ne devrait peut-être pas être un « isme » : il n’a ni doctrine, ni église mondiale, ni texte sacré, ni prêtres faisant autorité pour décider du bien et du mal.

Cependant, on trouve d’étonnantes similitudes dans les idées et les pratiques chamanistes de sociétés aussi éloignées que l’Arctique, l’Amazonie et Bornéo. Nombre d’interprétations actuelles insistent sur le côté thérapeutique du chamanisme, mais ce n’en est là qu’un seul aspect. Le chamanisme est, entre autres, une religion de chasseurs contraints de prendre la vie pour vivre. La vision chamanique de l’équilibre cosmique est largement fondée sur l’idée de fournir une compensation aux animaux dont il faut se nourrir et dans de nombreuses sociétés, le chamane a pour tâche d’aller trouver le propriétaire de l’animal pour en négocier le prix avec lui.

Enfin, de nombreux mouvements du Nouvel Age se réclamant aujourd’hui du chamanisme, il importe de préciser que ce phénomène n’est intelligible – et que l’on ne peut en faire une expérience authentique – que dans le cadre de sociétés données, participant d’un univers « pré-moderne ». Il se peut que certaines idées des chamanes puissent venir enrichir notre vision « post-moderne » du monde, mais ces notions, extraites du contexte précis dans lequel elles ont surgi, n’ont plus grand-chose à voir avec le chamanisme proprement dit.

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Des Images pour communiquer avec son Ange

Posté par othoharmonie le 8 mars 2016

 

 TAROT

Le Tarot : une origine spirituelle

L’ancêtre du Tarot de Marseille nous a été donné par des Initiés : les traces les plus lointaines remontent à l’ancienne Egypte (4200 ans av.Christ) où Thot Hermès, le grand Initié de l’époque utilisait des images symboliques pour faire vivre des expériences spirituelles à ses disciples. Cet outil initiatique s’est perdu durant de nombreux siècles pour réapparaître vers les 12/13ème siècle grâce à des initiés Soufis (porteurs de cette spiritualité orientale). Le Tarot renaît alors au cœur d’une période de renouveau spirituel avec les troubadours, les chevaliers du Graal, l’amour courtois…Cette sagesse venue d’Orient vit alors une transformation pour s’adapter à l’Occident. Puis le Tarot trouve sa forme « définitive » à la fin du 14ème siècle.

Ce bref historique invite à considérer le tarot comme un outil sacré, un grand « livre » de sagesse empli d’une richesse spirituelle infinie. Aujourd’hui, le tarot de Marseille présente 22 lames majeures montrant de façon plus ou moins voilées, 22 étapes de l’évolution, 22 facettes et potentiels de l’être humain, 22 manières de vivre des expériences humaines…

Le Tarot, un moyen de développer son libre-arbitre ?!

Dans notre société matérialiste, le tarot est considéré comme un art divinatoire, pour « dire l’avenir ». Pourquoi a-t-il perdu la profondeur initiatique de ses origines ?

Il faut savoir que depuis la Renaissance, l’être humain vît une identification de plus en plus forte au monde matériel, ce qui le coupe davantage de sa nature spirituelle (pour en savoir plus, voir le livre de Pierre Lassalle « La vie spirituelle »). Cette séparation l’insécurise fortement car il perd la conscience de sa nature éternelle et donc la confiance en son futur. Ainsi s’explique la recrudescence de la voyance : ce besoin vital de connaître son avenir pour se rassurer. Cependant, les réponses qui sont données dans les pratiques divinatoires apportent au mieux une connaissance psychologique de l’individu mais ne répondent aucunement aux vraies questions sur le sens de la vie. Ce tarot divinatoire empêche surtout l’individu de penser et de faire des choix par lui-même pour se reconnaître en tant qu’être spirituel adulte, capable de diriger sa vie à partir de vraies et nobles valeurs. Comme de nombreux autres outils spirituels, le Tarot a été matérialisé et désacralisé, créant ainsi une dépendance entre la personne qui cherche de l’aide et son médium.

Oui, d’une certaine façon, le Tarot peut nous montrer notre avenir mais pas celui que l’on croit !

Il nous montre des étapes pour nous améliorer, exprimer de plus en plus nos qualités d’être spirituel jusque dans notre vie matérielle. Le tarot est un langage codé, symbolique pour nous aider à prendre du recul par rapport à une question, à en voir le point de vue spirituel. Son but n’est pas de nous dicter ce qu’il faut faire, effaçant notre libre-arbitre, mais au contraire, il nous invite à nous poser les bonnes questions puis à choisir en tenant compte de notre dimension spirituelle. L’utiliser ainsi fait naître un sentiment de liberté mêlé de joie de vivre et de volonté d’entreprendre.

Du Tarot vers l’Ange…

Mais, qui nous « parle » au travers du Tarot ?
Lorsqu’on fait un tirage, que l’on questionne le tarot avec un état d’esprit sincère, en cherchant la vérité, avec l’envie de grandir, d’évoluer, de se transformer, c’est celui que l’on nomme l’Ange-guide (ou le Gardien de notre destinée) qui nous « répond ». Cette entité spirituelle, plus évoluée que nous, a en main toutes les « cartes » de notre destinée sur terre. Notre Ange veille sur nous comme un grand frère et nous accompagne pour accomplir notre but de vie. Le Tarot est donc pour Lui un moyen idéal pour entrer en relation avec son protégé et le guider. En apprenant à « parler le Tarot », on apprend à communiquer de façon de plus en plus sensible avec son Ange et à ne plus perdre le fil qui nous relie à notre nature spirituelle.

Ainsi, le tarot joue le rôle d’intermédiaire entre les mondes spirituel et matériel. Notre pensée interprète le tirage grâce à la connaissance symbolique des 22 lames majeures, ce qui nous rapproche de la manière de voir de notre Ange. Si on ajoute à cela la méditation sur les Images du Tarot, alors nous vivons l’expérience intérieure et vivante du message que notre Ange nous a adressé. (voir livre de Pierre Lassalle et Céline Divoor « Parler le langage des Anges »). A chacun de nos efforts d’élévation vers le point de vue de notre Ange, c’est un peu la mission originelle du Tarot que nous faisons renaître.
Pratiquer de façon autonome le Tarot est un excellent moyen de retrouver une confiance absolue dans l’existence du monde spirituel, présent à nos côtés à chaque instant de notre vie, si on y est attentif !

Et n’oublions pas, le Tarot est un jeu, ce n’est pas un hasard ! C’est justement pour apprendre à jouer avec la vie, à cultiver un détachement par rapport à soi-même et aux événements, et apprendre toujours plus des expériences pour progresser vers son futur dans la liberté.
Les « cartes » sont entre vos mains,
A vous de jouer !


Virginie LANDELLE

images (1)A 22 ans, elle découvre ce langage merveilleux des 22 lames majeures du Tarot de Marseille qui lui ouvrent le chemin d’une évolution spirituelle, lui dévoilant le vrai sens de sa vie : partager aux autres cette proximité qu’elle retrouve consciemment avec le Monde Spirituel ou monde angélique.

Durant quinze années, elle apprend à parfaire cette relation au Monde Spirituel par la pratique méditative dans le cadre du Sentier du Graal, une université spirituelle libre créée et enseignée par Pierre Lassalle (auteur de nombreux ouvrages de spiritualité). Elle est amenée aussi à transmettre le fruit de ses transformations au travers d’animations de séminaires, d’ateliers, de conférences sur le Tarot, de nombreuses consultations individuelles en thérapie spirituelle ainsi qu’à co-écrire un livre avec Pierre Lassalle « Les mystères de l’Enfant Intérieur – un point de vue spirituel » (eds. Terra Lucida)

 

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A LA DECOUVERTE DE LA CORDE D’ARGENT

Posté par othoharmonie le 5 mars 2016

 

La Bible y fait référence : « Mais souviens-toi de ton Créateur aux jours de ta jeunesse, avant que viennent les jours mauvais et que paraissent les années dont tu diras : « Je n’y ai point de plaisir »… Car l’homme s’achemine vers sa demeure éternelle et les pleureurs parcourent les rues ; avant que se rompe le codon d’argent, que se brise la lampe d’or … Avant que la poussière retourne à la terre pour redevenir ce qu’elle était, et que le souffle de vie retourne à Dieu qui l’a donnée (L’Ecclésiaste, XII,6)

corde d'argent

La corde d’argent prend sa source dans le corps humain, la plupart du temps au niveau des omoplates. Aux abords du corps physique, sa couleur est presque blanche, brillante come le ventre d’un poisson. En s’éloignant, elle prend une teinte plus foncée, un peu dorée. Elle a la consistance de la buée ou du corps astral, presque sans masse, et a l’apparence d’un fil de nylon. Sa forme évoque le cordon ombilical et va en s’aplatissant. Elle semble avoir la capacité de s’étirer à l’infini pour se transformer en une matière purement astrale, dans ces aspects de la réalité que nous ne connaissons pas.

La corde d’argent est l’assurance que le dédoublement ne comporte aucun danger définitif ; elle ne peut se rompre et ramène toujours le corps spirituel dans le corps physique. En cas de nécessité, vous la sentirez tressauter et vous réintégrerez votre corps en un instant. Si vous vous endormez, vous passerez par le rêve, puis l’éveil. La corde d’argent relie la maison provisoire (le corps) et la maison éternelle, le royaume des âmes.

Pour les Grecs, par exemple, trois sœurs, les Moires (les Parques des Romains), régnaient sur la vie, l’une filant, l’autre tissant, la troisième coupant. L’expression : « Sa vie ne tenait plus qu’à un fil » indique que la corde d’argent ne se brise qu’à la mort. Ensuite, l’âme est libérée et continue son exploration dans des zones astrales.

Votre corps éthérique et votre corps physique ont bien des sensations en commun, mais il est parfois difficile de les différencier. Comme je le dis : « Il m’a fallu un certain temps pour me rendre compte que je me trouvais hors de mon corps. Pendant une période qui me parut assez longue, je me suis promenée, puis j’ai réalisé que j’étais en train de rêver. Peu après, j’ai compris qu’il s’agissait d’un rêve très particulier plutôt inhabituel. Et lorsque je me suis réveillée, curieusement, j’étais toujours en train de rêver. J’étais encore dans un état de conscience modifiée et j’ai constaté que je n’étais pas chez moi. Je n’étais pas dans un rêve, mais dans un état inconnu. J’étais perchée au-dessus d’un toit, sans savoir où aller. Après quelques secondes de panique, je me suis ressaisie et me suis dirigée vers ma maison. Ce qui m’a surpris, c’est l’aspect familier de cette expérience. Une fois mon corps physique réintégré, j’ai réalisé que j’avais déjà connu pareille expérience à plusieurs reprises dans ma vie, comme si je me surprenais alors que j’étais encore à l’extérieur de mon corps. Ce qui m’avait ramené dans mon cors, c’était le besoin d‘uriner. Je me sentais étrangement bine ; j’avais l’impression d’avoir accédé à une très grande compréhension du monde extérieur.

« Plus étonnant, tout mon être était devenu un être communiquant avec le monde extérieur. Ma main, mes pieds, mes épaules, chaque partie de mon corps pensait – et je dis bien pensait, et pas seulement ressentait – , réfléchissait. Ce point est important parce que, pour la première fois, je compris que j’étais un être complet, que chacune de mes cellules communiquait avec le monde extérieur. Mon corps éthérique était un champ d’énergie, et ce champ d’énergie m’avait attiré pour me faire rentrer ; ce corps éthérique était doté des mêmes sens, des mêmes capacités de perception que mon corps physique. C’est probablement à la suite de ces expériences que les humains ont établie une relation entre la sortie du corps et le voyage de l’âme après la mort, qu’ils en ont déduit que cela perdurait au-delà du temps. On continue à voir, à entendre et à ressentir. Cependant, même si j’avais une masse identique à déplacer, ma force tétait plus grande dans ma tête que dans mon corps. Ces mots semblent absurdes, car en réalité il n’y avait pas de différence entre la pensée et le physique, fusionnés.

Mais si moi, je me sentais dans mon état quasi normal, il en allait autrement pour l’environnement. Les murs, les meubles, les objets semblaient animés…. J’étais modelé dans la même matière. « Un autre jour, e présence d’une jeune femme, je ne fis plus de différence entre elle et moi. J’étais devenu elle. Je captais ses pensées et ses émotions. Comme si j’étais son jumeau. Une substance vert argenté coulait de moi vers elle. Pourtant j’avais la certitude de ne pas la connaître, il s’agissait d’une amie de rêve ou astrale. En me déplaçant, des ondulations argentées me guidèrent. Le vent coulait sur moi, l’air coulait autour de moi, comme de l’eau. Je m’enfonçais dans cette matière vivante. Deux mètres nous séparaient, pourtant cela parut assez long.

Les sensations n’étaient pas vraiment identiques. Le poids de mon corps ne pouvait se comparer à la sensation d‘un pied nu sur la moquette. Une sorte de balancement évoquait l’oiseau qui joue dans un courant d’air, monte et descend. J’avais l’impression de marcher dans l’eau en m’enfonçant légèrement, comme sur un nuage… Ce n’était pas des hallucinations, le contact était bien réel ; il n’y avait, dans la pièce, aucun objet supplémentaire : les meubles, les livres, la télévision se trouvaient exactement à leur place. Mon corps physique et mon corps éthérique étaient reliés par une sorte de corde jaillissant de mon plexus. Elle s’étendait à l’infini, elle protégeait mon corps, le nourrissait comme un cordon ombilical. Elle ne me causait aucune gêne ; d’ailleurs, la plupart du temps je ne remarquais pas sa présence. Peut-être était-ce dû à un certain éclairage ». Propos rapportés par Bernard RAQUIN

Cette corde traverse les objets. Elle sert de courroie de transmission entre le corps physique et le corps spirituel. Grâce à elle, on revient instantanément dans son corps physique. Il se produit parfois un bruit métallique, un claquement quelque peu désagréable, mais sans gravité, lors du dédoublement ou de la réintégration. Si vous êtes en milieu hostile, ou si vous êtes épuisé, pensez à votre corde d’argent pour rentrer à la maison. La réalité est réversible, et  en permanence, vous communiquez avec votre corps spirituel par la corde d’argent. Vous pouvez la ressentir pendant l’exercice du miroir. Quand vous planez au-dessus de votre corps physique, quand vous regardez en face de vous ou dans un miroir, (ou si vous faites un exercice à deux) concentrez-vous sur le plexus. Elle se trouve parfois dans la poitrine ou dans le troisième œil.

C’est peut-être par elle que se transmet l’énergie entre le magnétiseur et son patient, et que les amoureux communiquent en osmose, lorsqu’ils forment une seule personne, sensations et pensées unies. Elle vous protège, en captant les informations lorsque votre conscience voyage. Si le corps astral et le corps physique sont trop proches, ils risquent de fusionner. Elle devient souvent perceptible lorsqu’ils sont au moins à un ou deux mètres. 

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ELEMENTS DECLENCHEURS DE SPIRITUALITE

Posté par othoharmonie le 2 mars 2016

 

Notre monde n’est pas régi que par des lois inventées par les hommes. Il est gouverné en premier lieu par des lois naturelles plus fortes que tout. Que l’homme en ait découvert et compris certaines, cela ne fait pas de lui le maître de l’Univers.

PROVERBE

Trop souvent, nous avons tendance à l’oublier et à nous croire plus forts, individuellement ou socialement, que ces forces naturelles. Profitant de cette illusion de puissance, nous agissons de façon tout à fait irrespectueuse envers la planète, envers l’univers, aussi bien qu’envers les autres et nous-mêmes. Il faut souvent des cataclysmes naturels épouvantables, des drames personnels extrêmement éprouvants pour nous ramener sporadiquement à nos dimensions humaines et nous rappeler notre petitesse. Il faut souvent de telles embûches pour que tout à coup nous nous tournions vers la spiritualité, vers un ailleurs, vers une force que nous espérons de tout cœur voir surgir du néant pour nous sortir de ce trou béant où nous nous sommes enfoncés.

Pourtant, c’est tous les jours que nous devrions avoir cette conscience, cette ouverture d’esprit devant les forces et l’énergie du cosmos. C’est tous les jours que l’home doit se rappeler que son existence est gouvernée par une myriade de lois à respecter pour vivre en harmonie avec soi-même et les autres, autant qu’avec la nature et l’univers.

D’autre part, si l’homme est parvenu à découvrir et à comprendre certaines lois naturelles, comme la gravité, d’autres demeurent plus nébuleuses, voire incomprises. En outre, plus l’humanité avance sur le chemin des découvertes scientifiques, plus nous prenons conscience que même nos certitudes n’en sont pas vraiment. Par exemple, la matière que nous avons longtemps crue solide, s’est avérée un jour être composée d’une multitude de particules. La solidité de la matière est donc devenue du jour au lendemain, ni plus ni moins qu’une illusion.

L’harmonie sur la terre passe également, bien entendu, par les lois humaines. Elles sont aussi changeantes que l’idée que l’homme se fait de l’univers ; ce qui est interdit aujourd’hui peut devenir la norme demain et vice-versa. Ces lois délimitent ce que la société dans laquelle nous évoluons considère comme normal et pour la plupart, elles représentent les interdis ce qu’on ne doit pas faire sous peine de punition. Plusieurs personnes s’imaginent qu’il suffit d’être prêt à en payer le prix pour transgresser une loi ou une règle ; elles ont aussi la certitude qu’elles peuvent se jouer des règles qui ne sont pas faites pour elles. Elles se vantent même parfois de transgresser les lois, d’être au-dessus d’elles. Elles la manipulent selon leur fantaisie dans un irrespect flagrant des autres.

Il est possible, certes, de déjouer les lois sociales créées par les hommes, amis il ne faut pas oublier que s’il est possible de duper quelqu’un, parfois il est impossible de duper tout le monde, tout le temps. Il existe une loi à laquelle on ne peut se soustraire, c’est celle de la Vie. On peut souvent croire qu’on a réussi à y échapper, mais ces leçons qu’on se refus à apprendre au cours d’une existence reviennent nous hanter dans d’autres vies.

La tendance de la nature est vers la vie, vers le positif, vers l’harmonie. Lorsqu’on cesse d’être en harmonie avec la nature, avec la vie, on transgresse le code même de l’univers. Et les lois cosmiques sont là pour nous aider à vivre en harmonie avec l’univers. Agissant comme un pont entre les lois naturelles et celles crées par l’homme, elles facilitent notre compréhension et notre rapport à l’univers, faisant de nous des êtres humains plus entiers et sûrement plus heureux. Ces lois naturelles servent à atteindre le bonheur, à être bien avec soi, avec les autres et en harmonie avec tout ce qui vit. Ce sont des lois d’harmonie universelle. Elles rassemblent en symbiose tous les éléments pour nous permettre de nous débarrasser de nos craintes, de nos doutes, de nos peurs, de nos angoisses, de nos inquiétudes. Petit à petit, elles ouvrent les portes à une spiritualité plus épanouie, à une grande sérénité et à une acceptation de nos places dans l’univers.

Ces lois, s’épanouissent en nous graduellement. Elles s’incèrent dans notre vie par des leçons que nous avons personnellement d’apprendre, des tâches que nous nous sommes fixées avant notre venue au monde. Il n’est pas possible de décider un bon matin de travailler une loi en particulier si les leçons des précédentes n’ont pas été comprises et intégrées. Car elles découlent les unes des autres.

Vous pourrez les découvrir en lisant LES DOUZE LOIS COSMIQUES sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Le Vrai visage de la Vie ne se dévoile qu’à ceux qui le cherchent

Posté par othoharmonie le 29 février 2016

 

Oui, je sais… une incroyable quantité d’ouvrages divers nous disent tous cette même chose ; votre esprit peu tout ! oui… et malgré cette affirmation répétée, vous ne savez toujours pas comment vous y prendre pour développer en vous cette énergie formidable de vos forces créatrices. Je vais donc être extrêmement précise et vous donner ici une méthode très claire en 5 points qui va vous permettre d’épanouir en vous-même votre force intérieure.

ESPACE

Faites votre ménage intérieur

La première chose à bien comprendre, c’est que nous partageons avec tous les autres êtres humains les soucis et les problèmes de ce monde. Quoi qu’il puisse vous arriver en ce moment, la même chose est déjà arrivée à d’autres gens, en d’autres lieux, à d’autres époques. Vous n’êtes pas seul(e) avec vos problèmes. Lorsque vous aurez bien compris et surtout bien assimilé cette pensée, elle vous permettra de relativiser ce qui peut vous arriver de désagréable.

Faites votre « ménage intérieur » car vous seul(e) pouvez le faire ! acceptez dès maintenant l’idée que ce qui vous arrive n’a rien de particulier et que bien d’autres personnes que vous, ont vécu la même choses. Cette simple attitude mentale va vous permettre d’ouvrir devant vous les chemins de la liberté. Votre être intérieur, votre personnalité réelle va peu à peu s’éveiller et bientôt, vous serez celui ou celle qui sait puiser le bonheur à sa source.

Votre bonne attitude envers la vie

L’armée des mécontents de la vie est immense. Et ces éternels « mécontents de tout » ne s’aperçoivent même pas que c’est leur attitude négative devant la vie qui fait leur malheur dans un enchaînement constant de causes à effets. En fait, ils sont très nombreux ceux qui croient vivre alors qu’ils ne font médiocrement que s’empêcher de mourir. Mais vous, si vous comprenez bien l’effort sur vous-même qu’il convient de faire, vous n’appartiendrez pas ou plus à cette cohorte de défaitistes qui hélas sont de plus en plus nombreux. Commencez ce travail sur vous-même (après avoir bien fait votre ménage intérieur) en ayant une attitude positive devant la vie. Le but est pour vous de transformer les circonstances extérieures grâce à votre fois constante en vous-même. Vous devez arriver à n’avoir QUE des pensées positives.

Si vous entreprenez une affaire nouvelle, n’ayez aucun doute sur son succès. Si un obstacle survient, pensez « j’y parviendrai quand même ». Ayez toute confiance en vous en sachant que votre nouvelle façon de regarder la vie va attirer, « aimanter » le succès que vous attendez.

Votre nouvelle vie

Le vrai visage de la vie ne se dévoile qu’à ceux qui font l’effort nécessaire de le chercher en affirmant sans cesse sa beauté. Allez-y ! n’ayez pas peur. Chassez le doute ou les vaines angoisses. Lorsque votre transformation intérieure sera faite, la transformation des circonstances extérieures suivra d’elle-même. Affirmez que la vie est belle. Affirmez que vous êtes heureux (se) même si ce n’est pas encore le cas aujourd’hui. Affirmez le bien, toujours et partout. Vous verrez ainsi votre horizon d’élargir en même temps que les circonstances extérieures vous deviendront favorables.

L’esprit léger

Souvenez-vous d’un moment particulièrement heureux de votre vie ; comme vous vous sentiez léger(re) pendant ces instants là ! eh bien, qui vous empêche de retrouver cette sensation aujourd’hui même ? Quels sont les filets qui vous retiennent ? Qui vous empêche d’avoir la légèreté de l’esprit ? Qui sinon la seule personne capable de vous brimer réellement, c’est à dire vous-même. Rendez votre lumineuse par votre légèreté d’esprit et cette attitude mentale sera suffisante pour « aimanter » le bonheur.

Votre meilleure amie : LA VIE

L’esprit est tout : « Ce que tu penses, tu le deviens » disait déjà Bouddha et c’est tellement vrai. L’idée crée la réalité. Ce que vous pensez devient partie intégrante de vous-même et de votre vie. Alors, vous le savez maintenant, TOUT dépend de vous et seulement de VOUS. Vos succès à venir sont entre vos mains car ils dépendent en tout premier lieu de votre manière de penser.

Et à ceux qui penseraient lire ici des paroles en l’air…. Je répondrai : C’est mon expérience ! Car oser vivre spirituellement, c’est oser le vrai bonheur !

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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PERCEVOIR NOTRE PROPRE NIVEAU D’EVOLUTION

Posté par othoharmonie le 27 février 2016

 

Il serait utopique d’essayer de distinguer celui des autres sans savoir où nous en sommes sur le plan évolutif. D’abord, il est important de savoir que ce n’est pas un système de palier rigide. On peut être très avancé sur un sujet et pas du tout évolué sur d’autres.

Certains sujets représentent nos forces, tandis que d’autres sont les écueils sur lesquels nous devons travailler sans relâche. Ce n’est pas non plus la petite école où il existe une note de passage et où on passe à la classe suivante à la fin de l’année. Cette leçons prennent plusieurs vies pour êtres intégrés, véritablement assimilés, alors que d’autres ne prennent que quelque jours.

L’évolution ne connaît ni de limites ni de frontières. Par contre, lors d’une existence, nous nous donnons certains paramètres afin de pouvoir concentrer notre attention sur un ou deux points en particulier. En fait, les seules limites de notre évolution sont celles que nous nous imposons nous-mêmes.

Lorsque nous apprenons à distinguer le niveau ou le degré d’évolution des gens, nous apprenons par le fait, à respecter leur degré d’évolution ainsi que leur cheminement ; Nous arrivons ainsi à reconnaître où ils se situent tout en nous évitant de rabaisser ou de blesser ceux qui ne sont pas au même niveau que nous. Le respect nous permet de percevoir les efforts de chacun et nous retient de porter un jugement lorsqu’une personne échoue ou éprouve de la difficulté à intégrer certaines leçons.

visage

Il ne faut pas non plus se laisser piéger, car pratiquer la méditation ou effectuer des voyages astraux ne signifie pas nécessairement posséder un niveau spirituel plus élevé qu’une personne qui ne pratique pas ces techniques. La seule conclusion que nous pourrions émettre, c’est que la personne qui pratique est plus évoluée sur ce plan qu’une autre qui n’en tient pas compte. L’individu qui ne pratique pas la méditation n’est pas prêt à le faire. Il se peut aussi que cette personne n’ait pas eu l’occasion de méditer ni l’enseignement requis. Cela ne veut pas dire non plus que je doive me taire complètement à ce sujet. Simplement, nos histoires ouvrent une porte à d’autres personnes. Chaque personne possède son propre rythme d’évolution et nous devons absolument respecter celui-ci sans tenter de le changer.

NIVEAU 1Le premier niveau d’évolution est relativement primitif au point de vue spirituel. La personne qui se trouve à ce niveau est essentiellement matérialiste. Elle ne se plaît que dans la matière, c’est-à-dire dans l’accumulation de biens et à travers la satisfaction de ses besoins primaires ; Pour cette personne, il n’est pas question de penser ni de parler de spiritualité ; cela n’existe tout simplement pas, si ce n’est que pour leurrer le peuple. Les plaisirs des sens sont les seuls que cet individu juge bon de satisfaire, souvent avec excès, comme boire, manger et s’accoupler sont les passion dirigeantes dans son existence. Cette personne est encore convaincue qu’après la mort, il n’existe plus rien. Lorsqu’on meurt, c’est complètement fini croit-elle ; on pourrit dans un trou et c’est comme si on n’avait jamais existé. L’existence d’un dieu quelconque n’entre même pas dans l’équation. Ces personnes se font mener par leurs émotions et leurs passions.

Il peut être agréable de les rencontrer l’espace d’une soirée, pour un bon repas par exemple, mais comme l’association n’est basée que sur la satisfaction des besoins les plus primaires, sur le plan spirituel, c’est le tout de même le désert.

NIVEAU 2 - Le deuxième niveau ressemble beaucoup au premier. Les possessions matérielles sont encore une force dirigeante, une pierre angulaire de l’existence. La satisfaction des sens tient encore la place la plus importante dans l’existence de ces personnes et elles ont tendance à croire que la valeur des gens est proportionnelle aux biens qu’ils possèdent.

Par contre, les personnes à ce niveau croient en un Etre supérieur, en fait, elles ont tendance à se créer un dieu qui les arrange. Leur spiritualité est très rudimentaire, tout comme leur image de Dieu ; cet Etre suprême vit dans un endroit situé hors de la porté des hommes, mais elles ont tendance à y croire au cas où il existerait. Ces gens ne comprennent pas vraiment ce qui se passe à la mort et ils ont souvent l’impression d‘être dépassés lorsqu’ils pensent à de telles considérations. Ils sont conscients de leur mortalité et s’en inquiètent assez pour croire en un Dieu et espérer que ce qu’ils font est bien ce qu’ils doivent. Leur conscience spirituelle n’est pas un sujet dont ils s’occupent réellement, sauf en cas de catastrophe de grande envergure. Ils ont l’impression que la spiritualité est l’affaire des autres et ne les touche pas vraiment. Par contre, ils adoptent ou tentent d’adopter une ligne de conduite non dénuée de principes ; ils ont une conscience, adoptent même parfois une religion, celle de leurs parents.

NIVEAU 3 - A ce niveau, on rencontre des gens qui vivent encore dans la matière tout en croyant en Dieu. Il s ont découvert le rapport entre Dieu et le reste de l’univers. On peut affirmer sans vraiment se tromper que la majorité des gens qu’on rencontre un peu partout appartiennent à ce niveau d’évolution. Ils sont assis entre deux chaises, si on peut dire. D’un côté, ils jouissent des plaisirs des sens, ils amassent des biens matériels, mais sans y mettre l’accent des deux premiers niveaux. La collecte ou l’accumulation des possessions matérielles n’est plus le but essentiel de leur existence. Leur niveau de spiritualité vacille selon leurs intérêts du moment. Ils font souvent partie d’une religion quelconque et empruntent la philosophie de celle-ci pour ce qui est des considérations spirituelles, en ce qui a trait aux dogmes et à la façon de se conduire dans la vie. Ils comprennent mieux la spiritualité et le concept d’un Etre supérieur. Pour eux, l’au-delà existe vraiment, bien que sa forme dépende de la religion qu’ils pratiquent. Ils ont parfois une certaine curiosité intellectuelle face à la spiritualité et il leur arrive de se poser certaines questions. Ils manquent un peu toutefois d’imagination et leur emprise sur le monde matériel les empêche encore d’explorer à fond le domaine spirituel. En fait, ils sont de ceux qui veulent tout avoir, la spiritualité et le matérialisme, sans trop faire d’effort.

NIVEAU 4 - A ce niveau, les personnes sont dotées d’une sensualité très raffinée. Elles perçoivent l’univers comme un tout et si elles ne dédaignent pas l’aspect matériel de notre monde, elles ne s’intéressent plus à l’accumulation de possessions. Elles ont atteint un niveau où leur intuition est très grande. Elles arrivent à développer assez rapidement et facilement leurs dons psychiques et s’en servent volontiers pour aider les autres. Elles communiquent aisément avec leurs guides spirituels et ont pleinement conscience de leurs actions et de leurs effets sur leur évolution.

Ces gens pratiquent généralement plusieurs techniques comme la méditation et ils possèdent une très grande ouverture d’esprit qui leur permet de comprendre et d’aider les autres. Ils s’orientent vers des occupations qui les mettront au service du plus grand nombre de personnes possible sans rechercher d’une manière forcenée la gloire. Ils ne méprisent pas leur corps physique, mais ils n’y attachent pas une importance démesurée. Ils perçoivent facilement la beauté intérieure des gens et s’appliquent à se débarrasser de leurs préjugés. Ils sont conscients des lois cosmiques qui gouvernent notre univers et tentent de les respecter le mieux possible.

NIVEAU 6 - L’être qui a atteint ce niveau a réussi à unifier ses sens à sa spiritualité. Les plaisirs des sens ne sont plus pour lui qu’une façon différente de prier. Il est pratiquement libre de ses passions et de ses émotions. Ses sentiments sont hautement idéalisés ; il pratique l’amour inconditionnel avec succès dans la majorité des cas. Sa pensée est aussi devenue universelle ; il fait partie de la race humaine et ne voit plus les distinctions entre les races ; il est libre de préjugés. Il communique aisément avec les entités spirituelles et son Soi Supérieur. Cette personne sait pourquoi elle est venue s’incarner dans cette et comprend les leçons qu’elle st venue apprendre. Elle développe et maîtrise ses facultés psychiques et les met au service des autres. Cet être peut guider aisément ceux qui ont besoin de ses services sans pour autant s’immiscer dans leur évolution personnelle. Il ne porte plus de jugement sur le niveau d’évolution des autres mais, autant que faire se peut, il les aide à le dépasser. Il a bien intégré les messages des lois universelles et il met en pratique de mieux en mieux celles-ci. Il est conscient de sa propre évolution et tente toujours de s’améliorer. Bien qu’il soit conscient et respectueux de son corps physique, il ne recherche pas les biens matériels ni la satisfaction de ses sens en tant que tel.

NIVEAU 7 - C’est le niveau spirituel le plus élevé de l’évolution humaine ; l’être a totalement réussi à spiritualiser la réaction de ses sens. L’horizon de ses pensées est vaste et sans frontières. En fait, il se dresse comme une antenne entre la matière et Dieu. Il n’est plus question pour lui de suivre les lois cosmiques, car iles a intégrées et les vit pleinement sans se poser de question ; c’est devenu sa nature. C’est un maître qui a réussi la parfaite harmonisation entre son corps, son esprit et son âme. Il peut voyager dans l’au-delà aussi facilement que sur terre, car il est en constante communion avec l’univers. C’est un état très rare, car le chemin pour y arriver est long à parcourir et difficile à atteindre. C’est le niveau où l’âme ne ressent  plus le besoin de s’incarner et peut continuer de voyager.

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LE BON DIEU NE TEND PAS DE PIEGE

Posté par othoharmonie le 24 février 2016

vie dimensionnelle

Comment expliquer la fascination qu’exerce la magie ? Quelque chose se produit sous nos yeux, sans que nous le voyions. Quelque chose nous étonne. Une chose se transforme en une autre. Des objets disparaissent ; D’autres apparaissent en se multipliant.

Les enfants adorent les magiciens. Les enfants sont capables de croire, de faire confiance, de se réjouir, de se montrer reconnaissants. Les adultes veulent des faits, veulent connaître les lois qui régentent les choses, veulent exercer une influence là où les enfants laissent simplement les choses se faire. C’est en cela que réside la magie de la prière ; dans le laisser faire. Dans la confiance, dans la foi, dans la joie, dans la gratitude.

Les enfants prient : « Mon Dieu, fais que ;.. » et puis ils s’endorment.

Les adultes prient : « Mon Dieu, fais que, et fais le de la façon suivante… » Et ils sont long à s’endormir.

La frontière entre la formule magique et la prière est mouvante, comme il est écrit dans le dictionnaire. Certes, car nous faisons l’expérience de la « magie » lorsque nous laissons faire. Nous ne prions « correctement » en fait qu’à partir du moment où nous sommes prêts à laisser faire. Dieu n’est pas une société de vente par correspondance auprès de laquelle il nous suffirait de passer commande pour avoir ce qui nous est « destiné ».

Cependant, il existe une manière de prier et de demander grâce à laquelle ce dont nous avons besoin peut nous être envoyé. Il existe une prière, une seule, qui transporte la « magie » de la parole dans toutes les langues. Elle contient déjà tout ce que nous puissions demander, de telle sorte que nous pouvons nous concentrer sur les mots sans avoir à expliquer notre besoin…. Cette puissante prière est le NOTRE PERE.

Elle « fonctionne » par la vertu de la parole et il ne nous est pas nécessairement utile de savoir comment elle fonctionne. Mais il nous faudrait peut-être savoir comment nous pouvons à travers elle prier avec efficacité. Si nous comprenons correctement le Notre Père, si nous prions de façon opportune, nous ressentirons la magie de cette prière et peut-être, espérons-le ressentirons-nous que nous ne pouvons prier qu’avec un cœur d’enfant. L’enfant de « Notre Père ». Il ne nous est pas nécessaire de voir comment telle chose se produit. Il nous suffit de faire confiance dans le fait que cela se produise, à la manière d’un enfant.

NOTRE PERE – MON PERE, A MOI TOUT SEUL ?

Mon Dieu, comment prions-nous ? « Mon Dieu ? « Mon » Père ? Par Dieu, oui, c’est bien ainsi que nous prions, et nous n’en sommes probablement même pas conscients. Nous prions pour nous seuls.

Entre deux parties de Notre père, nous plaçons notre requête personnelle ; »Notre Père, j’ai le problème suivant … vous qui êtes au Ciel ». Nous ne pensons pas une seconde si ce que nous demandons doit être harmonisé avec les besoins et les désirs d e notre prochain. Pense à ton prochain comme à toi-même, Jésus Christ, dont nous avons reçu le Notre Père, a dit un jour : « Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende ». Nous n’écoutons jamais vraiment. Or, toutes les erreurs de traduction et de transmission engendrées « après J.C » nous pouvons être sûrs que le sens premier est « Notre » Père.

Que se passe-t-il dans une grande famille ? Je vais trouver mon père et lui demander de l’argent, d’augmenter mon argent de poche. Mon père refuse. Je lui demande la raison. Il me dit que pour me satisfaire, il devrait diminuer l’argent de proche de mes frères et sœurs. Je lui réponds que cela m’est égal. Pouvez-vous imaginer de penser de la sorte ? Bien sûr, lorsque nous récitons le Notre Père, la situation est tout à fait différente. Dieu saura bien trouver un moyen. Le Père va le faire.

Or, justement, il ne le fait pas. Si de facto, nous prions « Mon Père à moi tout seul », nous parlons comme un « enfant unique » que nous ne sommes pas, avec un Père que nous n’avons absolument pas. Il est donc logique que notre requête ne puisse pas être entendue.

Et pourtant il n’existe pas de prière plus puissante au monde que le « Notre Père ». Aucune prière ne contient autant de paroles magiques, autant d’énergie curative pour tous les maux que nous subissons ou que nous infligeons. Nous n’avons rien d’autre à faire que de nous concentrera sur ce que nous prions, de nous plonger dans la méditation de ces paroles, de pénétrer dans la « vibration du Notre », si secourable, si protectrice, contenue dans le Notre Père.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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AIDE-TOI ET LE CIEL T’AIDERA REELLEMENT

Posté par othoharmonie le 22 février 2016

ANGE

Tout ce qui existe vient, à l’origine, de l’esprit, se situe toujours au niveau de la pensée ; la bombe atomique autant que les mouvements pacifiques. Rien ne peut se produire si cela n’a pas été réfléchi auparavant. Nous savons, par des informations médiumniques, que dans ce qu’on appelle l’au-delà c’est-à-dire dans le monde spirituel, une pensée occasionne une «matérialisation » immédiate. Il n’en va pas autrement ici-bas, à la différence près qu’en tant qu’êtres humains nous sommes soumis aux lois de l’espace et du temps, et que pour notre perception humaine, la réalisation indispensable dans la matière selon les trois dimensions, n’est accessible qu’après un certain laps de temps. La pensée, en tant que création spirituelle, œuvre constamment à la réalisation d‘elle-même, mais comment ?

Nous connaissons tous cette formule que bon nombre de personnes ne semble pas comprendre : « Aide-toi, le Ciel t’aidera ». Nous avons déjà tous jeté une pierre dans l’eau pour observer les rondes qu’elle y forme. Le principe est le même. Du fait que nous soyons prêts à nous aider nous-mêmes dans une situation difficile, nous permet de nous représenter cette situation une fois modifiées, telle qu’elle s’améliore en bien. Nous forgeons de l’espoir en percevant qu’il s’agit d’une forme d’énergie. En même temps, nous sentons que nous sommes déjà en train de résoudre notre problème, que nous en sommes capables, que cela nous réussit. De même que les molécules se transforment dans l’espace sous l’effet du moindre de nos mouvements, notre vibration, notre aura se transforme sous l’effet du moindre soupçon d’espoir, et comme par un acte magique nous attirons des situations et des personnes dans la vie qui nous aident à tourner la page.

C’est ainsi que fonctionne la pensée positive, c’est ainsi que fonctionne Dieu.

Mais ce processus fonctionne aussi en sens inverse. Si nous ne voulons pas nous aider nous-mêmes – ce qui est identifiable avec le syndrome d’impuissance énoncé sous la forme « Je n’en suis pas capable » – nous nous refermons à des énergies positives, secourables. Il devient donc parfaitement inutile de se dire avec confiance « Notre père mettra de l’ordre dans tout cela » si par ailleurs, nous pensons qu’il n’existe pas de Notre père. La pensée positive est donc une condition préalable à l’action positive. Lorsque la pensée et l’action ne sont pas en harmonie, nous devons changer notre façon de penser. Les pensées étant des forces.

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CHAQUE « CROIX » nous fait évoluer

Posté par othoharmonie le 12 février 2016

 

croixN’y a-t-il pas de quoi faire sourire le cosmos lorsque d’une part l’homme associe sa souffrance à la croix et même parfois qualifie de « croix » sa souffrance, et que d’autre part, au début et à la fin de chaque prière qui doit lui être une aide et un soutien pour porter sa croix, il exécute en fait le signe de croix.

Au nom du Père et du Fils, mouvement vertical : Symbole du principe masculin, créateur, de l’activité ; de l’unification des mondes supérieurs (spirituels) et inférieurs (physiques). Et du Saint Esprit : mouvement horizontal : Symbole du principe féminin, intuitif, de la passivité, de l’horizon, de la surface de l’eau, de la terre.

Ainsi soit-il. Ainsi soit-il donc clair aussi qu’avec le signe de la croix, nous ne nous dressons pas uniquement au principe spirituel (en haut) mais aussi au principe matériel (en bas). Qu’il est quasiment en notre pouvoir d’évoquer la tri-nité pour triompher de l’absence d’unité, et que nous pouvons y voir plutôt un atout qu’une croix à porter….

Quels sont en fait les deux éléments qui constituent une croix ?

Nous voyons tout d’abord deux lignes absolument identiques. De nature « androgyne » jusqu’à ce qu’elles se rencontrent en leur centre et s’orientent selon la direction (verticale ou horizontale) qui leur est impartie. La verticale « incarne » alors l’aspect masculin et l’horizontale l’aspect féminin. Deux lignes absolument identique ; en haut comme en bas. C’est ainsi que l’androgynie, l’opposition des contraires, subsiste. Que chaque ligne conserve ses deux pôles opposés, fondant ainsi la « quadrunité », symbole de notre matière, les 4 éléments, les 4 directions du ciel, les 4 saisons.

Dans la gématrie, cette branche de la Kabbale juive que nous appelons aujourd’hui la Kabbale des nombres, le nombre 4 représente l’action. Et comme nous le savons, « l’action », l’acte d’agir, est contenu dans le mot sanscrit « karma ».

Ceci peut expliquer que nous nous incarnons pour pouvoir « agir » et « faire » et que nous nous réincarnons aussi pour cette même raison ; que le karma ne peut donc être « vécu » que dans la « quadrunité », dans la matière. Ceci peut aussi expliquer que le karma, que la plupart des personnes considèrent comme une croix à porter, est en fait notre plus grande chance.

Et si nous faisions une croix sur chaque point négatif….

Chaque carence, dans notre vie, est le résultat d’un manque de pensée dans le domaine correspondant ; nous projetons ce « moins » sur le monde extérieur alors qu’il repose en nous.

Car si nous acceptons que les pensées soient des forces – et nous finissons bien par l’accepter peu à peu aux quatre points cardinaux de la terre – nous ne pouvons pas sérieusement espérer obtenir de résultats positifs à la fois à partir de nos attitudes positives vis-à-vis de la vie et de nos attitudes négatives vis-à-vis de la même vie. Lorsque nous pensons avec l’énergie du manque, le manque s’installe ou subsiste. Un manque dans le sentiment de ma propre valeur en matière d’amour, de travail et d’argent conduit immanquablement à un manque d’amour, de travail et d’argent, conduisant à la passivité et à l’immobilité.

Mais de même que la verticale dans le signe de la croix supprime la passivité, et donc le « moins », il est possible que nous nous libérions de tous nos manques, en croisant le moins à l’aide du principe créateur et donc donateur, de la tri-unité, avec l’énergie unificatrice du corps, de l’âme et de l’esprit.

Ce que cela demande, c’est de la confiance en soi.

Francesca du blog http://othoharmonie.unblog.fr/

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La Nouvelle Terre existe déjà dans le monde de la Cause

Posté par othoharmonie le 4 février 2016

eau jaillit

 Les Plans Divins sont complexes, et il nous est difficile d’en saisir l’orientation ou le pourquoi du comment. La Nouvelle Terre existe déjà dans le monde de la Cause et une de nos missions est bien, à l’aide de nos pensées, de nos mots, de nos actions et de nos émotions de manifester la Nouvelle Terre.

En effet, il y a assez de personnes éveillées partout dans le monde qui maintiennent la vision du Nouveau Monde et qui s’investissent chaque jour pour la Lumière. Toute cette convergence d’énergie et donc d’amour contribue puissamment à la guérison planétaire. Afin de renforcer cette dynamique de Restauration, il nous est demandé d’être une Présence de Paix et d’Amour où que nous soyons, quoi que nous fassions.

Il est de notre devoir de ne plus réagir aux situations mais bien de créer une autre réalité. Nous n’avons plus le temps de nous impliquer dans les mesquineries et les petitesses de ce monde, mais bien de les transmuter et de projeter à la place des pensées lumineuses et bienveillantes. C’est pour cette raison, que les Maîtres nous invitent à aller au delà de ce qui s’observe et de nous immerger dans la Vision glorieuse de la Nouvelle Terre. C’est notre travail, il est prépondérant. Ils nous conseillent également d’utiliser tous les jours la puissante Flamme Violette afin d’accélérer le processus de purification.

Cette Flamme Violette porte en elle les vertus de la Liberté, de l’équilibre du masculin sacré et du féminin sacré et son usage restaure la perfection sur Terre.

Extrait de la Newletter de Dominique Claire Germain du Magazine Vivre sa Légende sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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L’amour de Dieu

Posté par othoharmonie le 2 février 2016

 

Je vous ai déjà dit que la mère qui regarde son enfant n’a rien d’autre que l’amour pur. Cette chère entité ne dira jamais à son enfant qu’elle va l’ignorer ou qu’elle va lui faire « la vie dure », que la vie avec elle va être difficile. Elle ne jettera jamais l’enfant dans un endroit sombre, s’il ne fait pas ce qu’elle lui dit. Au lieu de cela, il y a l’amour, la compréhension, la patience et l’aide. C’est tout. C’est ce que vous recevez de la part de l’autre côté du voile. C’est la raison de ma présence ici, chers Êtres Humains. Alors, pourquoi humaniser Dieu (votre divinité intérieure), et le limiter à la condition 3-D ? Pourquoi ne pas considérer toute votre splendeur, au lieu de limiter cette énergie créatrice à la dualité ? S’il en est encore ainsi, c’est parce que vous pensez selon l’ancienne énergie des Êtres Humains. Vous n’avez pas encore acquis la sagesse de la Nouvelle Terre. L’humanité change, donc, elle prend de plus en plus conscience de sa propre divinité intérieure, de son Dieu intérieur. Sa compréhension grandit chaque jour.

cité de lumière

Précisions et mises en garde au sujet de l’interprétation de la Nouvelle-Énergie

Observons attentivement la nouvelle énergie – avec un oeil neutre. Vous n’avez pas besoin de sortir ou de quitter votre culture, pour ce faire. Dans l’ancienne énergie, vous aviez tendance à vous retirer des situations obscures et à chercher des personnes dites illuminées. Vous étiez portés à créer des communes, et, peut-être, marcher seul avec vous-même, dans un désert quelconque. Le saint homme de la tribu vivait toujours en ermite, n’est-ce pas ? Dans l’ancienne énergie, cet enseignement avait pour but d’augmenter la prise de conscience de votre divinité intérieure, afin d’améliorer le service envers l’Esprit.

Suite à votre évolution, nous disons que vous êtes maintenant des PDL [Porteurs De Lumière ou Phares De Lumière. Kryeon utilise le terme "Match Bearer", qui pourrait se traduire par "porteur d'allumette"], envers votre Famille Humaine qui est de moins en moins enlisée dans la fosse de goudron matérialiste et 3-D. Vous, les Phares de Lumière, vous savez ce que je veux dire, n’est-ce pas ? Vous ne fuyez plus l’obscurité. Lorsqu’elle est présente, vous restez là et vous maintenez votre lumière, sans l’imposer. Donc, les personnes qui le désirent, pourront profiter de votre éveil de conscience. Voilà pourquoi vous êtes ici, sur Terre, en incarnation 3-D. En termes techniques ou statistiques, chacun de vous est seul à travers deux cents Êtres Humains et plus, qui sont encore dans l’obscurité de la reconnaissance de QUI et de CE qu’ils sont. Vous êtes les graines de semence qui vont faire fleurir la paix sur Terre, grâce à votre lumière. N’oubliez pas que vous avez déjà commencé à planter ces graines, mais elles ne vont pas toutes germer immédiatement. Alors, ne tenez pas compte du temps linéaire, des saisons physiques terrestres. Voilà pourquoi nous espérons que vous n’éviterez pas les endroits obscurs, comme c’était le cas dans l’ancienne énergie, et que vous ferez briller votre lumière.

Alors, voici ce que je veux vous dire. Il y en parmi vous, qui disent :  » Pourquoi dois-je travailler à cet endroit ? Il n’y a personne qui semble chercher à comprendre l’âme et l’esprit des Êtres Humains, c’est un endroit sombre. Je ne l’aime pas, mais je dois y aller.  » Depuis dix ans, nous vous répétons que si vous êtes un Phare de Lumière, votre mission est d’éclairer les endroits obscurs. Qui sait, vous êtes peut-être la seule lumière de cet environnement ? Vous n’avez pas la moindre idée du nombre de bateaux que vous aidez à naviguer en toute sécurité. C’est pourquoi vous êtes ici. Votre but est d’éclairer ces endroits et peut-être aller en d’autres endroits sombres, là où vous n’êtes jamais allés auparavant.

Dans cette nouvelle énergie, l’obscurité ne vous affectera pas. C’est, pour ainsi dire, la promesse de l’Esprit. L’obscurité peut être affectée par la lumière, mais l’inverse est impossible. Donc, l’obscurité ne peut pas vous affecter, sauf si vous le permettez. Désormais, vous n’avez plus besoin de vous retirer de ces endroits. Ne vous percevez pas comme étant supérieurs à ces chers Êtres Humains qui sont encore dans l’ombre. Ne les prenez pas en pitié et ne les jugez pas. Soyez compatissants et laissez briller votre lumière. N’oubliez pas qu’ils sont des étincelles divines comme vous et moi. La seule différence est que vous êtes des PDL. Vous avez les graines d’un maître. Votre lumière, offerte librement, va peut-être les aider à mieux voir ou mieux percevoir leurs esprits et leurs âmes.

Ils ne sauront peut-être pas d’où leur vient cette lumière rafraîchissante. Ils ne connaîtront peut-être pas votre nom ou votre prénom. Cependant, avec votre atout de PDL, ils pourront mieux se voir – les uns les autres. Bénis soient les Êtres Humains qui se voient les uns les autres, dans la lumière que vous leur apportez, car il est peu probable qu’ils se fassent la guerre. Voyez-vous à quel point votre rôle de PDL est important, même si vous ne le voyez pas toujours ?

Nous utilisons le terme PDL [Match Bearer] à titre de métaphore, afin d’illustrer une ancienne âme qui est éclairée. Une âme qui marche sur cette planète avec la connaissance de QUI et de CE que sont les Êtres Humains. Si vous me demandez ce que vous devez faire ou quelle est votre tâche, je vais vous répondre que vous n’avez rien de spécial à faire, sauf le fait « d’ÊTRE », tout simplement. Les Phares De Lumière ne communiquent pas directement avec les bateaux qui sont dans leur environnement. Ils projettent de la lumière autour d’eux. Vous n’avez pas besoin de parcourir la planète, en cherchant à évangéliser tout le monde autour de vous. Vous n’avez pas besoin de faire la même chose, en distribuant gratuitement des livres de Kryeon. Bref, vous n’avez pas besoin de dire ou faire quoi que ce soit. La lumière que vous portez dit tout, au sujet de vous-mêmes. Elle illustre clairement comment vous agissez avec les autres, comment vous agissez avec votre famille, et comment vous agissez – au lieu de réagir – lors des situations parfois nébuleuses, qui sont typiquement Humaines, 3-D. Si ces chers Êtres Humains sont suffisamment intéressés ou assez éveillés envers leur esprit et leur âme, ils vous verront comme étant le « miroir de Dieu », comme étant leur propre miroir, puisque vous illustrez l’amour global et inconditionnel de Dieu.

KRYEON sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/ - Extraits du channeling « L’humanisation de Dieu », 16 juillet 2011

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La communication avec Dieu

Posté par othoharmonie le 31 janvier 2016

 

Parlons de la prochaine « communication ». Pourquoi est-ce que vous voulez humaniser Dieu ? Il y a quelques instants, je vous ai dit que vous étiez parfois portés à placer Dieu en dehors ou à part vous, que vous lui donniez un genre masculin, portant une barbe et ayant une voix de stentor. Vous le voyez comme étant plus vieux que vous, comme un ancêtre, vous l’adorez et faites des statues de lui, ayant une forme humaine. Dieu est à l’intérieur ! Chaque parcelle de votre ADN a cette énergie en elle. Environ 100 billions de parcelles d’ADN [un billion = un million de millions, en français. En anglais, un billion est appelé un trillion]. Il y a une conscience et même une communication entre les molécules d’ADN, mais la science ne l’a pas encore constaté. Dieu est en vous ! Alors, pourquoi le fragmenter et lui construire des édifices où il sera restreint à cet environnement ?

autre dimension

Permettez-moi vous demander quelque chose. Imaginons que vous entrez dans l’un de vos organes. L’exercice du moment sera d’entrer dans l’un de vos reins, afin de lui parler. Est-ce que vous commenceriez par lui construire un édifice géant, afin de pouvoir l’adorer ? Pourquoi feriez-vous une telle chose, puisque vos reins sont en vous, à l’intérieur de votre propre corps physique ? C’est parce que vous voyez ou percevez Dieu comme étant une source extérieure qui vient vers vous, au lieu d’une source intérieure qui EST VOUS et qui provient de VOUS. De notre point de vue, la limitation 3-D de votre divinité en incarnation est très drôle, mais elle est très utile à la Création. Ne l’oubliez jamais. Donc, c’est une question de perception divine. Ne pensez-vous pas qu’il serait peut-être temps de changer la perception de votre propre Divinité Intérieure ? Lorsque vous le ferez, que vous ouvrirez vos yeux quantiques et que vous vous regarderez dans le miroir, vous direz :  » Je suis ce que je suis. Je suis Dieu, et tout le monde l’est !  » Oh oui ! Je sais que c’est plus facile à dire qu’à réaliser, lorsque vous êtes dans un corps physique limité à la 3-D. Chers Êtres Humains, cela demande que vous sortiez de l’ancienne réalité de « victimisation », de la réalité qui vous plaçait dans un état d’esclavage, auprès d’un Dieu quelconque.

Voyez-vous ce que je tente d’expliquer avec mes métaphores, adages ou axiomes, car ils vont plus loin que la limitation des mots 3-D ? Il est temps que vous changiez l’image que vous voyez de vous-mêmes ! Lorsque ce sera chose accomplie, vos yeux vont s’ouvrir. En vous regardant dans le miroir, vous direz :  » Je suis qui je suis. Dieu est en moi.  » Je sais que ce n’est pas une chose facile à faire et à comprendre pleinement, lorsque vous jouez le rôle d’un Être Humain. Cela demande de sortir de l’ancienne réalité qui dit que l’Être Humain est inférieur à Dieu et qu’il doit s’y soumettre, sous peine de damnation éternelle [selon certaines religions humaines].

Que dit votre culture au sujet de votre divinité ? Tout ce que vous voyez dans les médias vous dit, parfois indirectement et subtilement, que vous n’avez pas le plein contrôle de votre vie physique. Ils disent que vous avez besoin de ceci ou de cela. Avez-vous déjà vu une publicité où ils vous regardent et disent:  » Vous n’avez besoin de rien, sauf de vous-mêmes. Alors, qu’attendez-vous pour passer à l’action ?  » Non.

Quelle est la meilleure manière de communiquer avec l’Esprit ? Permettez-moi de vous faire une « p’tite » suggestion. Vous devez commencer par « tomber ou plutôt vous élever en amour » avec vous-mêmes. C’est la clé. C’est le portail. Il est normal d’avoir Dieu en vous. Vous n’êtes pas nés en état d’infériorité, de déchéance ou avec le « péché originel », selon certaines religions humaines. Vous naissez dans toute votre magnificence. Oui, dans toute votre magnificence ! Si vous avez découvert et appliqué votre magnificence, sachez que ce n’est pas le produit de l’égo. Vous êtes axés plutôt sur l’amour que sur l’ego, et cela fait toute la différence. Vous percevez et aimez votre vous-même de la même manière que vous le faites avec Dieu. Votre équilibre vous permet de maintenir votre lumière – même dans les endroits obscurs. Vous ne permettez plus que l’ancienne énergie et l’obscurité parviennent à faire diminuer votre lumière. En outre, vous ne permettez plus à l’ego d’avoir le contrôle de vos vies. Les maîtres l’ont fait et enseigné. Lorsque vous reconnaissez votre propre créativité divine, celle qui est en vous, alors, la communication avec Dieu devient un automatisme. Ceci ouvre le portail.

KRYEON – Extraits du channeling « L’humanisation de Dieu » sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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LA RESPONSABILITÉ DE TOUS est INTERIEURE

Posté par othoharmonie le 29 janvier 2016

 

Je sentis de la colère envers mon ami. Je lui dis ma rage, et celle-ci disparut.
Je sentis de la colère envers mon ennemi . Je lui tus ma rage, et celle-ci crût.

William Blake

La véritable responsabilité intérieure tourne autour de la disposition de chacun à exprimer tout ce qui peut émerger en lui dans le cadre d’une relation. Ceci est important aussi bien pour vous que pour la personne avec qui vous êtes en relation. À défaut d’être présent, il n’y a rien à quoi réagir. Et l’amour ne peut devenir réel dans le monde que par notre capacité à réagir. Amener sa propre vérité dans une relation donne aux autres l’occasion de dépasser leurs limites par l’amour. Cela leur donne aussi l’occasion de se montrer.

Pensée limitée

Si vous restez muet, je peux alors inconsciemment continuer à vivre toute iniquité ou déséquilibre existant entre nous. Mais quand vous me montrez votre blessure, votre frustration, votre confusion ou votre questionnement, j’ai alors la chance d’arrêter de participer inconsciemment au scénario particulier dont notre relation est faite. La clé faisant en sorte que je réagirai ou pas à vous a souvent à voir avec l’amour, la seule chose qui puisse rompre l’inertie propre aux vieilles habitudes.

Il se peut que nous roulions sur l’infinie autoroute de l’été et que nous soyons pris dans un scénario devenu suffocant pour vous. Mais, à moins que vous ne soyez mû par un vent soudain qui révèle le tronc du saule pleureur pendant que nous roulons à toute vitesse, à moins que vous ne soyez touché au point de dire: « Je ne peux plus continuer comme ça! », je ne peux quant à moi avoir l’occasion de répondre: « Moi non plus, je ne veux plus continuer comme ça! » Si vous ne rompez pas le silence, je n’aurai pas l’occasion de vous demander : « Que pouvons-nous faire pour changer les choses? »

Souvent, nous passons un temps incroyable à attendre que l’autre se réveille et constate notre souffrance. Entre-temps, nous devenons chacun de plus en plus frustré et blessé. Mais tout ceci exprime une limitation: notre incapacité à reconnaître l’évidence.

Ainsi, pendant que nous craignons d’exprimer nos peurs et nos blessures les uns aux autres, l’amour ne peut s’exprimer parce qu’il n’a rien de vrai vers quoi se refléter.

  • Centrez-vous et remémorez-vous une peur ou une blessure que vous portez en silence et qui concerne une relation significative pour vous.
  • Respirez pleinement et, en sécurité dans votre espace intérieur, exprimez sans paroles ce que vous ressentez.
  • Laissez l’émotion monter librement jusqu’à votre esprit et votre cœur.
  • Continuez à respirer profondément et sentez-vous devenir de plus en plus à l’aise devant la vérité propre à cette émotion.
  • Ce sera tout pour aujourd’hui. Ayez confiance que vous saurez si, quand et comment vous devez exprimer cette vérité à la personne dans votre vie qui a besoin de l’entendre.

Par MARK NEPO – Extraits de son livre LE LIVRE DE L’ÉVEIL, p. 88-89 – sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/  aux Éditions Ariane , 2006

 

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Le détachement intérieur et l’ouverture au divin

Posté par othoharmonie le 26 janvier 2016

 

le divinJ’aimerais ici vous raconter une petite histoire allégorique, tirée du plus récent livre de Peter Russell, The White Hole in Time, qui exprime fort joliment de quelle façon l’être humain peut arriver à se libérer de ses peurs et de ses conditionnements pour enfin goûter à la véritable liberté d’esprit d’un être illuminé. Nous sommes tous un peu, écrit Russell, comme un homme à qui on aurait dit toute sa vie de se tenir fermement à une corde et de ne pas la lâcher sous aucun prétexte au risque de tomber et mourir. Arrive un sage qui lui dit que la sécurité offerte par la corde est illusoire et que s’il consentait à prendre le risque de la relâcher un peu, il en éprouverait une joie profonde et une réelle sécurité. Un seul doigt d’abord lui suggère-t-il… Après quelques hésitations, l’homme se dit qu’il ne risque pas grand chose après tout pour goûter à un peu de béatitude et il tente le coup.

Comme promis il en ressent une grande joie, mais ce n’est pas suffisant pour amener un bonheur durable. Après avoir été ainsi encouragé par le sage à relâcher graduellement sa prise sur la corde, un doigt après l’autre, l’homme en arrive enfin à surmonter la grande peur qu’on lui avait inculquée et il relâche le dernier doigt qui le retenait à la corde. Son bonheur est total et, à sa grande surprise, plutôt que de tomber, il réalise qu’il est simplement debout sur le sol ferme et qu’il est enfin libre d’aller où bon lui semble. Il en est de même pour nous. Il suffit de relâcher peu à peu notre adhésion à la transe culturelle qui nous maintient dans une illusoire sécurité, pour accepter enfin le risque de découvrir l’univers d’un oeil différent et ainsi changer totalement notre perception sur tout ce qui nous entoure et surtout sur nous-même.

Ce lâcher-prise, si l’on s’y abandonne de tout notre coeur, nous ouvrira la porte sur un univers merveilleux où nous vivrons des instants véritablement divins. Survenant parfois comme par magie, par la grâce d’une conjonction unique de circonstances et de disponibilité intérieure, ces moments d’extase, toujours trop courts mais d’une indescriptible intensité fulgurante, marquent à tout jamais la conscience et laissent entrevoir l’extraordinaire conscience d’être et l’ineffable paix de l’âme qui nous attendent lorsque nous aurons retrouvé le Chemin qui mène à Dieu. Après avoir vécu de tels instants, l’on ne peut ensuite que trop bien réaliser à quel point nous sommes attachés à nos désirs, à nos craintes, à nos opinions et à tout ce qui nous maintient dans l’illusion.

La pratique du détachement, surtout le détachement du fruit de nos actions, et la découverte du Soi profond que de telles expériences nous amènent à faire, nous mettent alors sûrement sur la Voie royale menant à l’illumination de l’être. Nous cultivons l’art de vivre le moment présent, laissant de côté les souvenirs passés préoccupants et toute inquiétude face à l’avenir, demeurant indifférents au bavardage omniprésent de notre incessant dialogue intérieur, pour centrer toute notre attention au sein de la pure essence de notre être, dans la conscience du veilleur silencieux qui sait, observe et est. Ainsi libéré du fardeau de tout ce qui le retenait dans le monde phénoménal de la matière, notre esprit peut alors se tourner vers le véritable service, rire sereinement grâce à tous les petits bonheurs que la vie apporte et resplendir d’un amour inconditionnel et communicatif pour tous les êtres qui habitent l’univers où nous avons la joie de vivre.

Ce tableau idyllique ne doit cependant pas nous faire oublier où nous en sommes. Le chemin à parcourir est long. Une des meilleures façons de mettre à l’épreuve notre nouvelle conscience spirituelle naissante et de renforcer notre capacité d’harmonisation avec notre lumière intérieure, consiste à appliquer dans nos relations avec nos proches la compréhension plus large de la vie que nous découvrons. Ainsi, nous pouvons prendre conscience à quel point l’amour que nous professons pour notre partenaire de vie est souvent conditionnel à ce qui nous satisfait chez cette personne, spéciale à nos yeux : son apparence physique, sa manière de s’habiller, ses talents, son comportement, etc., toutes conditions qui font qu’elle comble nos attentes.

L’expression d’un amour dénué de toute forme de jugement, empreint de compassion et d’acceptation, durable et désintéressé, dans le contexte d’une relation de couple ou envers n’importe quel autre être, est à maints égards semblable à l’amour que Dieu nous porte – selon la conception que chacun de nous a de cet être. Toute relation entre deux êtres humains constitue donc le laboratoire où peut se faire notre propre libération des attaches et illusions qui nous emprisonnent. Notre conjoint peut en effet nous aider à devenir conscient de nos peurs cachées et de nos divers attachements psychologiques et ainsi favoriser notre croissance vers une plus grande maturité intérieure.

Il peut également nous aider à voir nos réactions négatives face aux conséquences de nos rêves illusoires, nous aider à reconnaître nos erreurs et nous éveiller à notre vérité intérieure. En pratiquant le pardon avec notre conjoint, nous apprendrons aussi à nous détacher de la croyance voulant que nos états émotifs, nos colères et nos sautes d’humeur soient causés par l’autre. Nous accepterons alors d’assumer la responsabilité de notre propre détresse et changerons notre perception face à la notion de faute de l’autre, qui n’est après tout rien de plus qu’une banale erreur d’apprentissage d’une personne encore prise au piège de l’illusion – tout comme nous d’ailleurs. De même, cette capacité de pardonner appliquée envers soi-même pourra atténuer tout sentiment de blâme démesuré contre nous ou de honte destructrice, et nous aidera à mieux se comprendre et s’aimer.

Extrait de L’ÉVEIL DE LA CONSCIENCE INTÉRIEURE par JEAN HUDON sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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Les Récompenses et les Punitions du Ciel

Posté par othoharmonie le 26 janvier 2016

Transformation ANGE

La coutume dit qu’il doit y avoir récompense et punition dans le Ciel. Après tout, c’est équitable et correct… Tout comme Dieu. Si vous êtes bons, vous obtenez une récompense. Si vous êtes méchants, vous êtes punis. Très chères et très chers, ce n’est pas ainsi que ça fonctionne de mon côté du voile. Vous ne trouverez pas cette coutume dans le Ciel ni dans aucun royaume angélique. Il n’y a pas de récompenses ou de punitions. C’est une culture entièrement différente. C’est une culture divine et elle ne travaille pas dans une dualité comme la vôtre, mais vous pensez que Dieu a le droit de punir ou récompenser, n’est-ce pas ? Si vous êtes bons vous allez au Ciel, et si vous ne l’êtes pas vous n’y allez pas. L’un fait que vous vivez l’éternité avec le Père du Ciel. Quelle image ! Et l’autre fait que vous vivez l’éternité avec Lucifer, l’ange déchu. Quelle vision ! Évidemment, ce n’est pas ainsi que ça fonctionne. Premièrement, c’est un niveau inter-dimensionnel où le temps n’existe pas. À quoi pourrait bien ressembler le temps, dans le Ciel ? Voyez-vous à quel point ceci s’adapte parfaitement avec votre version de punition et récompense ? Une éternité en Enfer peut signifier trois minutes, selon moi !

Nous vous avons maintes fois dit que ce n’est pas cette manière que Dieu et les choses fonctionnent, mais il y aura des intellectuels qui diront,  » Ben voyons donc ! Il doit nécessairement y avoir un système comme celui-ci. Sinon, où seraient le contrôle et l’ordre des choses ?  » Et nous vous répondons que « c’est » votre système. C’est votre dualité, alors, prenez-en le contrôle ! De toutes façons, ce n’est pas le système de Dieu. De notre côté du voile, nous n’avons pas besoin de contrôler les anges ou les Humains.  » Kryeon, es-tu en train de me dire qu’un Humain peut venir sur cette planète, devenir le tueur le plus démoniaque qui existe, exterminer six millions de personnes pour ensuite se retrouver de l’autre côté du voile sans être puni ?  » Au risque de me répéter, je vais vous dire que c’est effectivement le cas, parce que vous ne comprenez pas le test. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez quand vous êtes dans la dualité. Cependant, ne supposez pas que ce système peut se poursuivre de l’autre côté du voile. Il existe uniquement pour vous qui êtes ici.

Nous vous répétons que ceci vous a été clairement expliqué, même dans les Écritures qui parlent de l’Enfant Prodigue. [ NDT (Selon mon Bibliorom Larousse) : Enfant prodigue (parabole de l'), parabole de l'Évangile, illustration de la mansuétude divine. Un fils ayant quitté son père pour courir l'aventure est reçu à bras ouverts lorsqu'il revient chez lui dans la misère. (Luc, XV.) ] Cette parabole représente le père, qui est Dieu, envoyant deux de ses fils dans ce monde, donc, envoyant deux anges pour jouer des rôles respectifs à titre d’Êtres Humains sur Terre. L’un fait tout ce qui es bien et l’autre fait tout ce qui est de travers ; l’un fait seulement ce qui est bien et l’autre fait seulement ce qui est mauvais – très noir et blanc ou très zébré selon vous. Toutefois, vos Écritures vous disent que lorsque le mouton noir est revenu à la maison (de l’autre côté du voile), il a été célébré tout autant que le mouton blanc ! Qu’en pensez-vous ? Faisons une petite révision. Cela signifie que lorsque vous quittez la scène de la Terre et retournez vous démaquiller dans votre loge (de l’autre côté du voile), vous n’êtes pas coupable du rôle que vous avez joué, et si vous retournez sur scène pour un autre scénario (réincarnation), le dernier rôle que vous avez joué est sans importance. Les rôles que vous jouez sur Terre sont sans karma ou sans notion de punition ou récompense.

Cela se rapporte au test de la planète et ça concerne la dualité Humaine. Voilà pourquoi, vous et moi, sommes ici sur cette planète, en train de faire ce que nous faisons. Ce qui se passe sur scène ne veut pas dire que la même chose se passe dans la loge de démaquillage. Oh ! Si je pouvais désengager votre mental. Les perceptions de l’humanité sont que, d’une façon ou d’une autre, votre bonté doit plaire à Dieu. Vous les anges, je souhaite vous dire que vous avez déjà plu à Dieu, du simple fait que vous êtes ici ! C’est la raison pour laquelle des guérisons vont avoir lieu ici, aujourd’hui, parce que vous êtes assis ici – parce que vous êtes en train de vous éveiller à qui vous êtes et vous retrouvez votre divinité intérieure.

Pour ce qui est de « plaire à Dieu », c’est déjà une chose accomplie ! Vous n’avez pas à craindre ou vous faire du souci pour tenter de plaire à Dieu, à cause d’une quelconque sorte de super système de récompense et de punition, une fois que vous êtes de l’autre côté du voile. Ce n’est pas la réalité. Ne trouvez-vous pas que le test est suffisamment difficile sans en rajouter ? Si vous aviez su à quel point vous êtes aimés, vous n’auriez jamais pensé qu’il puisse y avoir un système de punition de l’autre côté du voile, même pour les plus malveillants parmi vous. Pourtant, vos religions principales sont toutes basées sur ce principe. Un milliard d’Humains pensent être nés dans l’état de déchéance ou avec le péché originel, déjà cassés et portant le fardeau de tout le mal commis par l’humanité, mais s’ils s’unissent et font certains rituels ou croyances, ils peuvent surmonter cet horrible destin. Dans ce processus, celles et ceux qui ne trouvent jamais comment ça fonctionne vont en enfer ! Par conséquent, Dieu vous aime tellement que la majorité d’entre vous ira brûler en enfer. Est-ce que ceci est spirituellement sensé de quelque manière que ce soit ? Il est temps de comprendre à quel point ce concept est Humain.

Si vous faites quelque chose dans le but de plaire à quelqu’un, alors faites-le pour la divinité avec laquelle vous êtes venus. Recherchez la paix sur Terre et voyez-vous comme étant l’instrument que votre intelligence divine a créé. Réclamez votre ange intérieur ; levez-vous et proclamez que vous êtes prêts à être le Phare de Lumière pour lequel vous êtes venus ici et pour le test de ces temps difficiles. Il est maintenant temps de laisser tomber toute l’énergie des punitions et récompenses divines, car elle héberge des sentiments de défaite, d’une vie vide de sens, d’une soumission aux contrôles des autres et d’une tendance à la peur… Une sorte de religion, huummm, huummm. Avez-vous besoin d’une religion ? Si oui, alors cherchez-en une qui amplifie le pouvoir de l’esprit Humain et qui enseigne que vous êtes une partie divine du Dieu Universel. Bénis soient celles et ceux qui se réunissent et célèbrent la puissance de l’amour de Dieu à l’intérieur de l’Être Humain. Tout ceci peut être accompli en l’honneur de cette planète.

Extraits de LES SEPT GRANDES ILLUSIONS HUMAINES DE DIEU sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

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La magie des fils d’Enoch

Posté par othoharmonie le 24 janvier 2016

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La Magie sacrée des Fils d’Enoch est encore vivante aujourd’hui. Elle se renouvelle d’âge en âge au sein de la tradition la plus ancienne du monde : la Tradition Primordiale ou essénienne. Celui ou celle qui veut s’approcher des saints mystères du Père et de la Mère et traverser les portails de l’Initiation ; celui ou celle qui veut entrer dans le cercle intérieur de l’Alliance de Lumière ne peut y pénétrer comme un homme, une femme, mais uniquement comme un serviteur du monde divin, comme une Mère pour Dieu. Le candidat doit donc apprendre à séparer le subtil de l’épais, le vrai du faux, le mortel de l’immortel en lui et dans le monde qui l’entoure, de peur d’être capturé dans les filets de l’oiseleur, de celui qui va venir le tester pour voir si ses intentions sont vraiment claires et s’il sait répondre aux questions essentielles de la vie : A qui appartiens-tu ? Es-tu vraiment prêt à abandonner les forces de la décomposition du monde des hommes qui ne peuvent entrer dans le Temple et qui pourtant constituent l’essentiel de l’existence mortelle ? Sais-tu vraiment qui tu es ? 
 
L’homme qui vit dans la vallée et celui qui se tient au sommet de la montagne ne sont pas du tout les mêmes. En apparence, ils sont identiques. Mais en réalité, ils ne voient pas du tout le monde de la même façon. Le premier vit dans sa bulle, prisonnier d’une vision limitée où tout est séparé de tout, où toute la vie n’est qu’une conséquence du « hasard », du « rien », le Dieu des hommes. Au mieux, l’homme est un spiritualiste, un religieux qui va penser que tout a une raison d’être et contient une sagesse, mais cela reste bien souvent une philosophie et une abstraction. L’autre, celui qui connaît la vision des hauts sommets, voit tous les chemins et tous leurs aboutissements. Il voit une chose, un événement, un être, mais il voit en même temps la cause première qui les a engendrés, tout le chemin, toutes les étapes qui ont été parcourues pour donner naissance à cette chose, à cet être ou à cet événement. Rien de mal ne peut arriver à un tel individu qui possède la vision du sommet, car même s’il lui arrive quelque chose de « mal », il s’éveillera et comprendra qu’il y avait une raison à cela. Il s’apercevra que ce « mal » lui est arrivé pour qu’il en découvre la cause et puisse agir en conséquence. L’homme qui cultive cette vision supérieure devient alors un magicien, un créateur conscient de sa vie, en accord avec la destinée lumineuse de son âme, car il sait qui il est, pourquoi il s’est incarné sur la terre et ce qu’il doit y faire.
 
De l’homme ordinaire à l’homme-Ange L’un des buts majeurs de l’Initiation est de transmettre au candidat, de nourrir en lui les pensées, les états d’âme et les forces magiques qui lui permettront de s’élever au-dessus de sa condition d’homme ordinaire passif jusqu’à atteindre l’Ange – celui qui se tient derrière et au-delà de la montagne du monde. Si l’initié parvient à réaliser cette alliance avec l’Ange, il lui apportera la vision juste qui lui permettra de maîtriser sa destinée et de conduire sa vie tout entière dans la Lumière. Alors, quand il aura atteint le sommet de cette montagne (appelée Montagne des six Lunes dans la Tradition) et après avoir contemplé la lumière de son Ange, il sera une créature nouvelle, un homme nouveau. Par la force et la vision divines qu’il aura reçues d’un monde supérieur, il sera enfin prêt à accomplir sa destinée en servant l’oeuvre du Père et de la Mère.
 
Méditer sur le hiéroglyphe de la montagne Celui qui se tient au sommet de la montagne a un recul, une vision qu’il ne pouvait pas avoir en restant dans la vallée. Tout ce à quoi il donnait tant d’importance dans la vallée devient inexistant. Il n’y pense même plus et peut se demander comment il pouvait être attaché à des choses aussi inutiles et éphémères. De même, tant qu’il n’aura pas traversé les méandres de la vallée de son corps et tous les brouillards psychiques qui l’empêchent de sortir de son emprise ; tant qu’il n’aura pas affronté et triomphé de tous les animaux sauvages et guéri toutes les ombres de la nuit qui séparent son corps de son Ange et de son âme, le candidat ne pourra pas savoir qui il est et n’aura aucune force pour accomplir sa destinée. Elle demeurera un rêve lointain, une chimère insaisissable. Le chemin de la montagne ou des 6 lunes lui montrera qu’il est lui-même une montagne et que le but de la vie est de se gravir soi-même, en se libérant progressivement de tout ce qui nous enchaîne à la mort et nous empêche de respirer dans la grandeur de notre âme. La montagne invite le pèlerin à sortir de l’esprit de la vallée pour vivre ses propres expériences et goûter la vie supérieure de son âme, mais elle demeure cachée pour celui qui ne veut pas marcher sur ses pentes escarpées et s’élever au-dessus de l’illusion de ce qui est mortel.
 
La richesse de l’expérience Il ne s’agit pas de croire, mais d’expérimenter la réalité des mondes invisibles supérieurs. Aujourd’hui, dans la Tradition Essénienne, cela se fait par la pratique de la Ronde des Archanges et par le chemin des Formations Esséniennes. S’élever vers le sommet de l’existence est une expérience intime. Il faut d’abord s’élever au-dessus de la vie du corps physique, puis au-dessus des désirs du corps, puis des sentiments nés du monde de la vallée, puis des pensées mécaniques nées de la culture de la vallée pour enfin entrer dans le royaume de la clarté, de l’harmonie supérieure, de l’impersonnel, de l’universel, de l’intelligence supérieure. Ceux qui ont gravi une haute montagne ont vécu cette expérience de s’élever au-dessus de tous les autres sommets et d’entrer dans le royaume du silence et de la pureté. Ils pouvaient alors contempler de haut les montagnes des problèmes du monde en s’en sentant délivrés. 
 
Ils pouvaient puiser une force pour changer les choses,  pour les améliorer. La montagne est le lieu de l’initiation  et de l’ennoblissement. Elle commence dans la vallée  et s’élève jusqu’au ciel. Elle unit les deux mondes des  ténèbres inconscientes et de la pleine lumière du jour.  Elle ne favorise pas l’un au détriment de l’autre, mais  les protège et les harmonise. Ainsi, il ne s’agit pas de  remplacer une nature par une autre, de supprimer  « la nature inférieure » pour faire vivre « la nature  supérieure ». Une telle attitude équivaudrait à faire  descendre le sommet dans la vallée. Et pour cela, il  faudrait détruire la montagne de Dieu. Or, il ne s’agit  pas de détruire mais de construire. Dieu le Père, caché  dans le sommet, doit s’unir à Dieu la Mère, cachée  dans la vallée. C’est le travail de l’homme d’unir en lui  les deux pôles.  S’élever vers le sommet, c’est laisser derrière soi le  confort de la vallée. Il ne faut emporter avec soi que  l’essentiel… Car ceux et celles qui connaissent la  montagne le savent bien : il est impératif de voyager  léger ! Ainsi, il faut se détacher de certains désirs,  de certaines préoccupations… Plus l’on s’approche  du sommet, plus il faut lâcher du lest au niveau des  pensées, des préjugés, des croyances… D’autres  sentiments, d’autres pensées, d’autres sensations  peuvent alors venir vers soi. Tel est le chemin de  l’Initiation des 6 lunes, de la résurrection des Mystères  d’Enoch. Il s’agit d’une transformation qui peut être  douloureuse et difficile, mais qui conduit finalement  vers un grand allègement et une grande purification, en  ouvrant le chemin vers de vastes horizons, jusqu’alors  inconnus et insoupçonnés…
 
Les trois étapes de l’alchimie  des 6 lunes : de la chenille au papillon  Une autre image que nous offre le grand livre de  la nature vivante peut nous aider à comprendre le  processus que le candidat devra vivre et traverser au  cours de l’initiation des 6 lunes : celle de la chenille  qui devient papillon, après être passée par toutes les  métamorphoses de la chrysalide. Dans son psaume  42 de l’Evangile Essénien, l’Archange Ouriel décrit à la  perfection les processus intérieurs et les épreuves que  doit nécessairement rencontrer l’initié aux 6 lunes, à  l’image de la chenille qui se transforme et travaille sur  elle pour devenir un papillon :  « Dans la faiblesse et l’espoir, l’homme se tourne  naturellement vers la Lumière.[…] Les hommes veulent  vivre avec le monde divin et attendent la libération. Ils  aimeraient pouvoir vivre en Dieu et se sentir libres dans  leur être. Sache que tout cela est une illusion. Rappelle-toi  que la Tradition de la sagesse associe l’homme  au papillon. L’homme est avant tout une chenille. En  cela, il est très limité dans ses déplacements, dans  ses perceptions. Il est dépendant du monde qui  l’entoure et n’importe quel animal peut l’attraper et le  manger. L’homme doit accepter d’être une chenille et  comprendre le processus de transformation exigé. »  L’Archange Ouriel parle ici aux êtres qui veulent  travailler sur eux et se transformer, aux Enfants de la  Lumière sans équivoque. Il commence par leur montrer  que se tourner vers la Lumière pour avoir des réponses  est déjà en soi une faiblesse qui révèle un manque de  compréhension élémentaire des lois de la vie. Il laisse  entendre que l’homme est totalement inconscient  des forces qui vivent en lui et qu’il n’y a pour ainsi dire  rien en lui qui puisse rencontrer la Lumière. Il affirme  que l’homme n’a pas compris et mis en application  la première des lois, la loi des affinités selon laquelle  « qui se ressemble, s’assemble » ou dit autrement : « on  attire à soi ce que l’on est ». Il ne voit pas que de par  son hérédité, le climat social et culturel de la nation qui  l’a formé et par l’état général du monde dans lequel il  vit, il est totalement impossible que la Lumière vienne  partager sa vie avec lui. Pour les mondes de la Lumière,  l’homme – même l’Enfant de la Lumière – qui cherche  à entrer en communication avec eux, est semblable à  la chenille : un être nuisible qui ne peut ni recevoir, ni  donner la Lumière, mais qui cherche à l’attraper par  quelque moyen que ce soit.
 
 « La chenille ne peut pas recevoir la Lumière et vivre en  elle. Elle doit prendre le chemin d’être enfermée dans  un cocon, coupée du monde pour un certain temps. » 

Extrait : Par Olivier Manitara sur le blog de Francesca http://othoharmonie.unblog.fr/

 

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