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TOME 3 – Chapitres 15-16

 TOME 3 - Chapitres 15-16 9782920987326FS   TOME III – Chapitres 15 et 16  de  Conversation avec Dieu

En somme, mes très chers enfants, je veux vous dire que cette question de qui vous êtes, et de qui vous choisissez d’être, a une grande importance. Non seulement parce qu’elle donne un ton à votre expérience, mais parce qu’elle crée la nature de la mienne.

 Toute votre vie, on vous a répété que Dieu vous avait créés. Je viens maintenant vous dire ceci : c’est vous qui créez Dieu. 

C’est là une restructuration colossale de votre compréhension des choses, Je le sais. Mais elle vous sera nécessaire afin d’accomplir le travail véritable pour lequel vous êtes venus. 

Vous et moi, nous nous trouvons face à un travail sacré. Nous avançons sur un sol sacré. C’est la Voie.  

À chaque instant, Dieu s’exprime en vous, en tant que vous et par votre intermédiaire. Vous aurez toujours le choix quant à la façon dont Dieu sera créé à partir de maintenant, et Elle ne vous enlèvera jamais ce choix et ne vous punira jamais d’avoir fait le «mauvais» choix. Mais vous ne manquez pas de conseils en ces matières et n’en manquerez jamais. Un système de guidage intégré en vous vous indique comment revenir chez vous. C’est la voix qui vous parle toujours de votre choix le plus élevé, qui place devant vous votre vision la plus grandiose. Vous n’avez qu’à entendre cette voix et ne pas abandonner la vision. 

Tout au long de votre histoire, Je vous ai envoyé mes maîtres. Chaque jour, mes messagers vous ont annoncé de grandes joies. 

Les Saintes Écritures ont été rédigées, et des vies saintes ont été vécues, pour vous permettre de connaître cette vérité éternelle : vous et moi ne faisons qu’Un.  De temps à autre, Je vous envoie des écritures – vous avez l’une d’elles entre les mains. De temps à autre, Je vous envoie des messagers qui cherchent à vous apporter la parole de Dieu. 

Écouterez-vous ces mots ? Entendrez-vous ces messagers ? Deviendrez-vous l’un d’eux ? 

Voilà la grande question. C’est l’invitation grandiose. C’est la décision glorieuse. Le monde attend votre déclaration. Vous allez déclarer votre façon de vivre votre vie.  

La race humaine n’aura aucune chance de se relever de ses pensées les plus inférieures tant que vous ne vous soulèverez pas jusqu’à vos idées les plus élevées.  Ces idées, telles qu’elles s’expriment à travers vous, en tant que vous, créent le gabarit, établissent le décor, servent de modèle pour vous permettre d’atteindre le palier suivant de l’expérience humaine. 

Vous êtes la vie et la voie. Le monde vous suivra. Vous n’avez aucun choix concernant cette question. C’est la seule question par rapport à laquelle vous n’avez aucune liberté de choix. C’est tout simplement ainsi. Votre monde suivra l’idée que vous vous faites de vous-même. Il en a toujours été ainsi, il en sera toujours ainsi. D’abord vient la pensée que vous avez de vous-même, puis s’ensuit le monde extérieur de la manifestation physique. 

Ce que vous pensez, vous le créez. Ce que vous créez, vous le devenez. Ce que vous devenez, vous l’exprimez. Ce que vous exprimez, vous en faites l’expérience. Ce dont vous faites l’expérience, vous l’êtes. Ce que vous êtes, vous le pensez. 

Le cercle est complet.  

L’unique travail dans lequel vous êtes engagé vient tout juste de commencer, car maintenant, enfin, vous comprenez ce que vous faites.  C’est vous qui vous êtes amené à savoir cela, c’est vous tous qui vous êtes amenés à vous en préoccuper. Et vous vous préoccupez vraiment, maintenant, plus que jamais, de qui vous êtes vraiment. Car maintenant, enfin, vous voyez l’ensemble du tableau.  

Qui vous êtes, Je le Suis.  Vous êtes en train de définir Dieu.  

Je vous ai envoyé – vous, une part bénie de moi – dans la forme physique, afin de me connaître de façon expérientielle tout comme Je sais ce que Je suis de façon conceptuelle. La vie est pour Dieu un outil qui lui sert à transformer le concept en expérience. Elle vous servira à faire de même. Car vous êtes Dieu, en train de faire cela.

 Je choisis de me recréer à nouveau à chaque instant. Je choisis de faire l’expérience de la version la plus grandiose de la vision la plus grandiose que J’aie jamais eue de qui Je suis. Je vous ai tous créés afin que vous puissiez me recréer. Voilà notre travail sacré. Voilà notre plus grande joie. Voilà notre raison d’être. 

   

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Chapitre 16 

La lecture de ces paroles me remplit de respect et de vénération. Merci d’être ici avec moi, ainsi. Merci d’être ici avec nous tous. 

De rien. Merci à toi d’être ici avec moi. 

Il ne me reste que quelques questions, entre autres sur ces «êtres évolués», et je me permettrai de terminer ce dialogue. 

Mon bien-aimé, tu ne finiras jamais ce dialogue, et tu n’auras jamais à le faire, non plus. Ta conversation avec Dieu se poursuivra à jamais. Et maintenant que tu y es activement engagé, cette conversation mènera bientôt à l’amitié. Toutes les bonnes conversations finissent par laisser place à l’amitié, et sous peu, votre conversation avec Dieu produira une amitié avec Dieu

Je le sens. Je sens que nous sommes vraiment devenus amis

Et, comme cela advient dans toutes les relations, cette amitié, si elle est nourrie et entretenue et qu’on la laisse grandir, donnera lieu enfin à un sentiment de communion. Tu auras le sentiment et l’expérience que ton Soi est en communion avec Dieu.  

Ce sera une sainte communion, car alors, Nous parlerons en tant qu’Un

Alors, ce dialogue va continuer ? 

Oui, toujours

Et je n’aurai pas à te faire mes adieux à la fin de ce livre ? 

Tu n’auras jamais à le faire. Tu n’auras qu’à me saluer

Tu es merveilleux, tu sais ? Tu es tout simplement merveilleux. 

Toi aussi, mon fils. Toi aussi.  Tout comme mes enfants, partout. 

As-tu vraiment des enfants «partout» ? 

Bien sûr ! 

Non, je veux dire littéralement partout. Y a-t-il de la vie sur d’autres planètes ? Tes enfants sont-ils aussi ailleurs dans l’univers ? 

Encore une fois, bien sûr. 

Ces civilisations sont-elles plus avancées ? 

Certaines, oui. 

De quelle façon ? 

De toutes les manières. Du point de vue technologique. Politique. Social. Spirituel. Physique. Et psychologique.  

Par exemple, votre penchant marqué pour les comparaisons et votre constant besoin de décrire une chose comme étant «meilleure» ou «pire», «supérieure» ou «inférieure», «bonne» ou «mauvaise», démontrent à quel point vous êtes dans la dualité; à quel point vous êtes submergés par la séparation

Dans des civilisations plus avancées, tu n’observes pas ces caractéristiques ? Et qu’entends-tu par dualité ? 

Le degré d’avancement d’une société se reflète, inévitablement, dans le degré de sa pensée dualiste. L’évolution sociale est démontrée par des mouvements vers l’unité, et non vers la séparation

Pourquoi ? Pourquoi l’unité est-elle un étalon de mesure ?

 Parce qu’elle est la vérité. La séparation est l’illusion. Aussi longtemps qu’une société se considère comme séparée – une série ou une collection d’unités séparées -, elle vit dans l’illusion. 

Toute la vie sur votre planète est construite sur la notion de séparation, elle-même fondée sur la dualité. 

Vous croyez être des familles ou des clans séparés, rassemblés dans des quartiers ou des États séparés, réunis dans des nations ou des pays, formant un monde ou une planète séparés. 

Vous tenez votre monde pour le seul monde habité de l’univers. Vous prenez votre pays pour le meilleur de la terre. Vous regardez votre État comme le meilleur du pays, et votre famille, comme la plus merveilleuse de l’État. 

Finalement, vous vous trouvez mieux que tous les membres de votre famille.   

Oh ! vous prétendez ne rien penser de tel, mais vous faites comme si vous le pensiez.

 Vos pensées véritables se reflètent chaque jour dans vos décisions sociales, vos conclusions politiques, vos déterminations religieuses, vos choix économiques et vos sélections personnelles en tout, des amis aux systèmes de croyances, jusqu’à votre relation même avec Dieu. C’est-à-dire avec moi. 

Vous vous sentez tellement séparés de moi que vous croyez que Je ne vous parlerai même pas. Ainsi, on vous demande de nier l’authenticité de votre propre expérience. Votre expérience, c’est que vous et moi ne faisons qu’Un, mais vous refusez de vous y fier. Ainsi, vous êtes séparés non seulement les uns des autres, mais aussi de votre propre vérité. 

Comment une personne peut-elle être séparée de sa propre vérité ? 

Lorsqu’elle l’ignore. Quand elle la voit et l’ignore. Ou lorsqu’elle la change, la déforme ou la tord pour l’ajuster à une idée préconçue qu’elle a des choses.  

Prends la question par laquelle tu as commencé tout à l’heure. Tu voulais savoir s’il y avait de la vie sur d’autres planètes. Et J’ai répondu : «Bien sûr. » J’ai dit : «Bien sûr» parce que la preuve est évidente. Elle est si évidente que Je suis étonné que tu aies même posé la question. 

Mais voilà de quelle manière une personne peut être «séparée de sa propre vérité» : en regardant cette vérité en face, au point de ne pas pouvoir la manquer – puis en reniant ce qu’elle voit. 

Le reniement, voilà le mécanisme en cause ici. Et nulle part ce reniement est-il plus insidieux que dans le désaveu de soi. 

Tu as passé toute une vie à renier qui et ce que tu es vraiment.

 Il serait déjà triste que tu limites tes répudiations à des choses moins personnelles, telles que la disparition de votre couche d’ozone, le viol de vos forêts primitives, l’horrible traitement que vous infligez à vos jeunes. Mais vous ne vous contentez pas de renier tout ce que vous voyez autour de vous. Vous ne serez pas en paix avant d’avoir également renoncé à tout ce que vous voyez en vous. Vous voyez en vous la bonté et la compassion, mais vous les reniez. Vous voyez en vous la sagesse, mais vous l’abjurez. Vous voyez en vous d’infinies possibilités, mais vous les reniez. Et vous voyez et faites l’expérience de Dieu en vous, et pourtant vous le reniez. 

Vous refusez de croire que Je suis en vous – que Je suis vous – et en cela, vous me reniez ma place légitime et évidente. 

Je ne t’ai pas renié, et je ne te renie pas. 

Tu avoues être Dieu ? 

Eh bien, je n’irais pas jusqu’à énoncer cela… 

Exactement. Et Je te dis ceci : «Avant le chant du coq, tu m’auras renié trois fois  

Par tes pensées mêmes, tu m’auras renié.  Par tes paroles mêmes, tu m’auras renié.  

Par tes gestes mêmes, tu m’auras renié.  Tu sais dans ton coeur que Je suis avec toi, en toi ; que nous ne faisons qu’Un. Et pourtant, tu me renies.  

Oh, certains d’entre vous disent que J’existe bel et bien. Mais loin de vous. Très loin, , quelque part. Et plus vous m’imaginez loin, plus vous vous éloignez de votre propre vérité.

 Comme pour tant d’autres choses de la vie – de l’épuisement des ressources naturelles de votre planète, à l’abus perpétré envers les enfants dans tant de vos foyers -, vous le voyez, mais vous ne le croyez pas

Mais pourquoi ? Pourquoi le voyons-nous sans y croire ? 

Vous êtes tellement pris dans l’illusion, vous y êtes si profondément enfoncés, que vous ne pouvez voir derrière. En effet, il ne faut pas, pour que l’illusion persiste. C’est la divine dichotomie. 

Vous devez me renier, si vous voulez continuer à chercher à devenir moi. Et c’est ce que vous voulez faire. Mais vous ne pouvez devenir ce que vous êtes déjà. Alors, le reniement est important. C’est un outil efficace

Jusqu’à ce qu’il ne le soit plus.  

Le maître sait que le reniement convient à ceux qui choisissent de perpétuer l’illusion. Et l’acceptation convient à ceux qui choisissent maintenant de mettre fin à l’illusion.  Acceptation, proclamation, démonstration. Voilà les trois étapes qui mènent à Dieu. Acceptation de qui et de ce que tu es vraiment. Proclamation aux yeux du monde entier. Et démonstration de toutes les façons possibles. 

L’auto-proclamation est toujours suivie d’une démonstration. Tu démontreras que ton Soi est Dieu – tout comme tu indiques à présent ce que tu penses de ton Soi. Toute ta vie en est une démonstration. 

Mais celle-ci deviendra ton plus grand défi. Car dès que tu cesseras de renier ton Soi, d’autres te renieront.  

Dès que tu proclameras ton union avec Dieu, d’autres professeront ton pacte avec Satan. 

Dès que tu prononceras la vérité la plus élevée, d’autres diront que tu énonces le blasphème le plus bas

Et, comme cela advient à tous les maîtres qui démontrent calmement leur maîtrise, tu seras à la fois vénéré et injurié, exalté et dénigré, honoré et crucifié. Car, tandis que pour toi le cycle sera terminé, ceux qui vivent encore dans l’illusion ne sauront pas quoi penser de toi. 

 si ces écrits vous intéressent alors je vous fais un cadeau …………. 

Mettez votre moteur de recherche en “traduction” pour le format en PDF avec ce lien : 


http://www.nous-les-dieux.org/Image:Conversations_avec_Dieu_-_Tome_3.pdf 

®un dialogue hors du commun® de Neale Donald Walsh

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